« Bon Claire, je te confie la maison. Tu veilleras à ce qu’Océane prenne son bain et qu’elle ne se couche pas trop tard, pas après 21 heures. Je peux te faire confiance, OK…

- Ne vous inquiétez pas, madame Denoux. Vous savez je garde souvent ma petite sœur quand maman rentre tard, répond Claire sur un ton qui se veut rassurant. »

Décidément, la jeune adolescente est la perfection même, pense Sylvie.

« Tranquillisez-vous, je m’occupe de tout, Mme Denoux. Et puis ne faîtes pas attendre vos amies. Je crois savoir que c’est votre première soirée depuis la mort de votre mari.

- Je te supplie encore une fois de m’appeler Sylvie ! S’agace la jeune maman. Madame, c’est pour les vieilles rombières !

- Oh, oui excusez-moi, je n’arriverai jamais à m’y faire, répond la nounou en éclatant de rire. »

Ce rire, cette fraîcheur… Les dents blanches et saines de cette tendre jeune fille, réveillent une envie que Sylvie s’efforce à nouveau de réprimer. Ne plus y penser ! Jamais !!! Sylvie ajuste son écharpe et ouvre la porte d’entrée. Puis, elle se ravise.

« Au fait, où est mon démon d’amour. J’espère qu’elle ne fait pas de bêtises.

- Elle joue dans sa chambre. Je peux l’appeler si vous voulez, répond Claire sur le même ton conciliant. »

Sylvie ne lui en laisse pas le temps.

« Océane ! Tu peux descendre s’il te plaît ? J’ai deux mots à te dire, hèle-t-elle.

- Oui, maman, répond une petite voix en haut des escaliers »

Un petit bout de choux descend quatre à quatre les marches avec une brusquerie qui dénote. Océane se rétablit tant bien que mal en bas et tout sourire, elle fait face à sa génitrice. La gamine fait la fierté de sa maman. Elle est le portrait craché de son père. Un teint halé, des cheveux bouclés très noirs, un sourire rieur… Un amour de petite fille.

« Je rentrerai tard cette nuit mon amour, mais ne t’inquiète c’est Claire qui va te faire à manger et…

- Il y aura des hamburgers et des frites ? demande Claire en interrompant sa mère ».

En d’autres temps, elle aurait réprimandé la petite fille pour son impolitesse. Mais, ce soir elle est en retard … Elle esquisse un sourire forcé et reprend :

« Bien sûr, il en reste au congélateur. Claire te les préparera comme tu les aimes, ça ne te pose pas de problème, Claire ? »

Sur un signe de tête de l’adolescente, Sylvie continue :

« Je ne pourrai pas ce soir te faire un câlin, car tu dormiras et tu as école demain, mais pendant mon absence, je veux que tu me promettes d’être bien sage et de faire tout ce que Claire te demande, d’accord…

- C’est promis, maman, répond Océane en petite fille soumise ».

Pendant un instant, Sylvie aurait juré avoir aperçu un sourire fugace sur les lèvres de Claire. Elle décide de ne pas y prêter attention. Les enfants bâtissent  un Monde où les adultes sont indésirables.

« Bon, il se fait tard. Je m’en vais. A demain, les filles ! »


La soirée s’était déroulée sans encombre. La première depuis bien longtemps. La première depuis la mort de son mari, mais aussi la première loin de sa fille. Fallut-il qu’elle fût une mère sans cœur, pour laisser Océane à la garde d’une adolescente sans expérience ! Les mets délicieux ne jugulèrent pas ses remords pressants.  Ses amies, parlaient, parlaient… Véronique devisait sans retenue de ses affaires de cul, Joëlle, elle c’était le fric et la superbe voiture, une Audi A8, qu’elle et son mari avaient pu s’acheter. Quant à Aurélie, sa seule préoccupation, c’était son tour de taille… Sylvie participait peu à la conversation, mais buvait sans retenue. Pour oublier. Oublier… qu’elle avait abandonné Océane aux bras d’une inconnue.


Après le repas, les filles avaient prévu d’assister à une séance de cinéma. S’en était trop pour la jeune maman. Elle prétexta des maux de tête pour échapper à cette torture. Et s’enfuir. S’enfuir pour retrouver son petit bout de choux, lui promettre que plus jamais elle ne s’éloignera d’elle. Qu’elle sera toujours présente. Finalement Océane aura son câlin, et elle lui racontera même une histoire pour l’aider à s’endormir. Il était un peu plus de 21 heures.


*********************

Elle verrouille la portière de la voiture et toute à son inquiétude, elle longe à pas rapides le petit chemin pavé qui mène à la maison. Elle a essayé de joindre Claire sur son portable pour l’avertir de son retour prématuré. Après plusieurs sonneries, elle est tombée sur la messagerie de la jeune fille. Tout au long du trajet, elle a tenté à nouveau de la rappeler. Sans succès.


Avant d’ouvrir la porte d’entrée, Sylvie constate  avec colère et un certain soulagement que la chambre de sa fille est éclairée, au premier étage. « Claire va m’entendre ! Je lui avais portant recommandé de rester toujours joignable, fulmine-t-elle ! ».  Le reste de la maison est plongé dans la pénombre. En entrant, la jeune mère croit entendre à l’étage des murmures et des gémissements. Intriguée, elle monte les escaliers. La chambre de sa fille est située au fond du couloir et une petite lumière filtre par la porte entrebâillée.


Les gémissements sont plus audibles. Mme Denoux, jurerait qu’il s’agit de couinements de plaisir. Elle regarde à travers l’embrasure et ce qu’elle découvre la laisse pantois. Claire et Océane sont toutes deux nues dans une position non équivoque. Leurs affaires reposent pêle-mêle sur le parquet. Claire est allongée au bord du lit, les genoux ramenés sur sa poitrine. Elle présente ses fesses à la fille de Sylvie. Océane, à genoux, sur le sol, lèche le trou du cul de la jeune fille.

« Nettoies-moi le trou à caca ! Je vais venir dans un moment, gémit la jeune adolescente ».

Des ahanements et borborygmes accueillent l’affirmation.


Sylvie ouvre avec fracas la porte de la chambre et s’écrie :

« Bon dieu, qu’est-ce qui se passe ici ! ».

Surprises, les filles se sont repliées sur le lit, contre le mur. Claire repose en position fœtale, blême et tremblante. Océane, tout contre elle est en pleur et n’ose pas regarder sa maman. En approchant du lit, Sylvie sent une étrange odeur. Elle attrape par la main la petite fille et la tire hors du lit.

« Dis-moi à quoi vous jouez toutes les deux ! Hurle-t-elle à présent sans desserrer l’étreinte ».

« Oh, mon Dieu, mais qu’est-ce que t’as sur la bouche ? Reprend Sylvie en lâchant la main d’Océane ».

Les lèvres et le nez de la petite fille sont souillés d’un fine particule maronnasse comme pour un enfant qui aurait trop mangé de chocolat. L’odeur, plus forte ne laisse cependant aucun doute sur l’origine de la salissure.  

« Je ne sais pas, maman, répond une toute petite voix à peine audible ».


Claire sur le lit s’est redressée et toute larmoyante, les genoux reposant sur sa poitrine, égrène d’une voix suppliante : 

« Ce n’est pas ma faute, Madame Denoux. Ce n’est pas ma faute…

- Claire ! Qu’est-ce que tu as fait à mon bébé ? Hurle à nouveau la jeune maman en interrompant soudainement la litanie de l’adolescente ».

Toute à sa colère et à son incompréhension, Sylvie se saisit de la jeune fille et la projette hors du lit. Cette dernière se rétablit sur ses pieds, balbutie encore quelques excuses. Mais la fureur ne retombe pas.

« Ah, c’est pas ta faute, petite traînée ! Alors, tu vas me dire ce qui salit la bouche et le nez d’Océane ».

Claire toute nue et pale fait face à la jeune femme. Ses petits seins, peu développés pour son âge arquent fièrement. Elle baisse la tête, honteuse et sanglote.

« Assez larmoyé ! Tourne-toi et écartes les fesses ! ordonne Sylvie sur un ton glacial.

- Je vous en supplie, Madame…

- Assez ! Tu vas faire ce que je te dis ! »


Claire rend les armes et de guère lasse en pénitente se retourne et écarte les lobes fessiers. Comme Sylvie s’y attendait, la corolle de l’anus de la jeune fille est maculée d’une glaire aux odeurs fétides. Plus aucun doute ! La colère éclate à nouveau.

« Mais, qu’est-ce que t’as dans la tête, petite dépravée. Tu as chié dans la bouche de mon bébé ! Mais qu’est-ce qui va pas chez toi ? Pourquoi tu fais ça ? Hein, pourquoi ? »

Les sanglots de la nounou redoublent. Les pleurs attisent la colère de la jeune maman. Océane s’interpose alors et la voix remplie de larmes, elle prend la défense de Claire.

« Je t’en prie, maman, ne gronde pas Claire ! C’est pas sa faute ! C’est moi qui lui ai demandé.

- Quoi, tu lui as demandé qu’elle te fasse caca dans la bouche…Mais, pourquoi ? demande Sylvie interloquée par la réaction de sa fille.

- Je sais pas, maman. Mais je crois que j’aime bien l’odeur… »


L’orage retombe, le brasier s’éteint. La réponse toute simple, dans une bouche innocente surprend la jeune mère. Comment peut-on prendre plaisir à sentir les excréments ? La surprise fait place à l’incompréhension.

« Depuis quand, tu laisses ma fille te lécher le derrière, demande Sylvie en s’adressant à Claire ? »

La jeune fille a cessé de pleurer. Elle relève le visage pour fixer la maman qui la somme de rendre des comptes. Ce joli minois qui la rendait folle, quelques heures plus tôt, est encore baigné de larmes. Elle en est que plus jolie. 

« Ne t’inquiètes pas. Je ne vais rien te faire. Je veux juste savoir, depuis quand tu laisses mon enfant faire cette horreur et pourquoi ? »


Claire aurait pu garder le silence, se murer dans le mutisme. Sylvie aurait compris une telle attitude. Parler, c’est avouer sa faute. Mais, même pour les incroyants, la rédemption par la confession apporte très souvent un certain soulagement, une libération.  Claire renifle bruyamment et d’une voix brisée, commence son chemin de croix.


« Je crois que ça a commencé il y a cinq ou six mois. Un soir, après le repas, elle s’est absentée pour aller aux toilettes. Après vingt minutes, ne la voyant pas revenir, j’ai voulu m’assurer que tout allait bien. Océane avait laissé la porte des toilettes entrouverte. Je l’ai surprise les fesses à l’air, la culotte peine de caca parterre et elle qui se touchait… enfin vous voyez elle se masturbait tout en mâchant bruyamment une de ses crottes.

-Oh, mon Dieu, non Océane. Pourquoi, tu fais une chose pareille. C’est dégoûtant ! demande Sylvie en interrompant le récit.

- Je sais pas, maman. J’avais envie de faire caca et j’ai fais dans ma culotte, répond Océane la voix encore embuée de honte. »

Réponse simple comme la chose la plus naturelle. Les petits enfants ont souvent ce genre de réaction. Plus tard, à l’approche de la puberté ils refoulent les sentiments primaires sous un voile de pudeur.


Sylvie se souvient, maintenant. Le jour de la cérémonie funèbre, Océane avait eu un petit accident. Sa maman, avait pensé que sous le coup de l’émotion, sa petite fille chérie s’était oubliée. L’incident s’était renouvelé une ou deux fois dans le mois, puis plus rien. Océane était redevenue propre.


Comme si elle était capable de suivre les pérégrinations mentales de Sylvie, Claire reprend d’une voix plus douce et posée.

« Je sais, que c’est mal et sale. Mais, Océane était en pleur. Elle m’a demandé de ne rien vous dire. Elle avait peur de votre réaction. Comment auriez-vous voulu que je réagisse ? Je ne savais pas… J’étais aussi gênée qu’elle. Je ne savais pas comment vous le dire, alors…

- Non, Claire ! Rien de ce que tu m’as dit ne justifie ton attitude. Je t’avais confié ma fille. J’avais confiance en toi. Une fille sérieuse, me disait hier encore ta maman.  Je peux comprendre que tu ne m’aies rien dit sur la scène des toilettes. Mais, ce que j’ai surpris ce soir, c’est autre chose… »

Sylvie laisse à dessein la phrase en suspens. Elle continue aussitôt d’un ton glacial :

« Ecoute, ce que j’ai surpris ce soir, ce n’est ni plus ni moins de la subornation. Tu sais ce que veut dire subornation, non… C’est du pénal, tu as quinze ans et ma fille en a huit.  Que connaît-elle aux choses du sexe ? Rien. Tu es une petite dépravée. Tu mérites la prison pour ce que tu as fait… »


Le couperet tombe. Claire en plein émoi s’affale sur le lit et replie les jambes sur sa poitrine. Elle tremble, affligée, en pleur…

« Non maman. Claire ne doit pas aller en prison. C’est moi qui ai voulu. C’est pas sa faute, supplie Océane.

- Mais, Océane, tu n’es qu’une petite fille. Ce que Claire t’a obligée à faire tout à l’heure, c’est humiliant, dégoûtant.

- Je vous en prie, madame Denoux ne dîtes rien. Je ne le ferai plus. Je sais que c’était mal…rétorque avec affliction la jeune nounou »


Quelques années plus tard, Sylvie se remémorera cette scène comme un tournant. Le moment où l’issue du combat, d’incertaine change d’âme. L’attitude de Claire, prostrée, recroquevillée réveille en elle une envie contre nature. Elle se radoucit. La jeune fille se redresse et la toise.

« Je vous jure, madame que je n’ai jamais voulu ça. C’est arrivé c’est tout Je ne vous ai rien dit sur les jeux pipi caca d’Océane, c’est vrai. Je n’en avais pas le courage. Et je croyais qu’on en resterait là. Mais, quelques semaines après, je m’étais enfermée dans les toilettes pour faire mon besoin naturel… Enfin, vous voyez. Je ne sais pas pourquoi, je n’avais pas fermé à clef la porte des toilettes. Océane est rentrée au moment où j’étais en train de me soulager. Elle m’a pas laissé le temps, sinon je vous jure que je l’aurai empêchée… Elle a plongé sa main dans les toilettes, et elle l’a ramenée toute pleine… de caca. Et elle s’en est barbouillée la figure, les seins… Elle a léché ses doigts sales et tout. Mais ce qu’elle a fait après…

- Et qu’a-t-elle fait ? demande Sylvie qui n’en croit pas ses oreilles »

Sa douce, sa mignonne petite fille se livrait depuis quelques mois à des actes d’une telle dépravation. Connaît-on vraiment ses enfants ? Ils viennent au Monde entre la pisse et la merde, déplorait un tantinet dégoûté Saint Augustin. Et après, ils échappent aux emprises des mamelles. Ils font leur chemin, seuls.


« Elle a enfoncé son doigt au fond de mon trou, enfin de mon anus… Vous voyez, quoi… Elle l’a ramené tout cacateux et elle l’a léché comme si c’était un sucre d’orge. J’aurais dû empêcher votre fille de faire cet acte dégueulasse. Au lieu de quoi, je l’ai regardée faire. Et quand elle m’a demandé si elle pouvait me lécher le petit trou, et bien je l’ai laissée faire  aussi…

- Et quoi, tu ne l’as même pas empêché. C’était ton rôle, ton devoir ! réplique Sylvie sur un ton plus faible, las.

- Je sais, j’aurais dû… Mais je ne sais pas pourquoi, quand Océane a enfoncé son doigt dans mon petit trou et quand elle m’a léchée les fesses, j’ai senti quelque chose de nouveau. Je ne peux pas vous l’expliquer, mais c’était irréel…, rétorque Claire, extatique »


L’attitude de la jeune fille a changé. Elle n’est plus éplorée ou craintive. Le débit de sa voix est plus alerte, essoufflé. Sa petite main droite toute fine s’est glissée entre ses cuisses. Un liquide sirupeux commence à maculer les lèvres. « Oh, mon Dieu ! Elle jouit ! Elle jouit en me racontant ses turpitudes… s’inquiète la jeune maman »


Elle aurait pu y mettre un terme. Elle aurait dû… Sylvie assiste à une scène surréaliste. Une toute jeune fille se fait jouir sur le lit de sa fille et elle, elle contemple le tableau sans rien faire. Une mouille abondante imprègne le fond de sa culotte.

« Et vous savez ce que j’ai fait après, Madame Denoux… reprend Claire dont les yeux brillent de mille feux. J’ai léché moi aussi ses doigts imprégnés de mon caca, ma merde, Madame Denoux !  Vous croyez que c’est possible. J’ai mangé ma propre merde… »


L’attention de Sylvie est alors attirée par l’attitude de sa petite fille. Cette dernière, s’est accroupie sur le sol et écarte les fesses de Claire. Le trou bâille tout merdeux. Cela ne la rebute pas. Elle enfouit son visage dans les tréfonds. Le souffle court, Claire ahane, gémit.

« Oh, ta langue Océane, tu me fais jouir là, maintenant, expectore la jeune fille tout en fixant dans les yeux Sylvie. Je viens, madame Denoux, votre fille me fait jouir ! Elle me bouffe la boite à caca et elle me fait jouir ! »


L’orgasme est fulgurant. Elle emprisonne entre ses fessiers la petite tête d’Océane. Les jambes de la jeune fille semblent décrire une étrange danse. Son thorax se soulève et comme un soufflet se dégonfle aussitôt. Claire repose telle une poupée de chiffon sur le lit. Elle reprend son souffle. Océane s’est dégagée et son visage est maintenant souillé de caca.


Pendant l’action, Sylvie s’est rapprochée du bord du lit. Elle a soulevé le bas de sa robe et se triture le sexe à travers sa petite culotte déjà bien mouillée. Une odeur de transpiration et un relent d’excrément imprègnent la chambre. C’est le moment. L’heure zéro où tout peut arriver. Sylvie n’est déjà plus une maman. Son cerveau ne contrôle plus ses désires. Tout en se remettant, Claire fixe à nouveau la mère d’Océane. Son halène est fiévreuse.


Claire se redresse et elle saisit la tête de Sylvie qu’elle attire tout contre elle, dans un baiser enflammé. Plus aucune résistance, aucun obstacle. La jeune maman se livre sans aucune honte à un acte qu’elle n’aurait pensé possible qu’en rêve. Elles ne relâchent pas leur étreinte. Elles se roulent sur le lit. La jeune fille fait glisser la fermeture éclair de la robe de son amante. Elle dégrafe son corsage. En quelques secondes, les deux Vénus sont nues. Claire toute mince et belle, Sylvie un peu ronde et jolie.

Elles ne reprennent leur souffle que pour mieux repartir au combat. Elles ne se séparent plus, elles forment un léviathan. Océane monte sur le lit et à genoux, elle gamahuche tout ce qui passe à portée de sa langue. En sentant, la langue de sa fille s’attarder sur son anus, Sylvie se révolte. Non pas ça, pas sa fille ! Elle interrompt son langoureux corps à corps et d’un regard torve, elle intime à sa fille d’arrêter son mouvement.

« Océane, tu ne dois pas faire cette saleté. Je suis ta maman et non ça ne se peut pas…

- Mais, maman, je croyais, gémit la petite fille… »

La gamine vexée, les yeux rougis par la déception ne retient plus ses larmes. Claire vient à la rescousse.

« Océane, tu peux me lécher le trou du cul, si tu veux. Tu peux me le faire à moi. Mais pas à ta maman. C’est mal. Allez viens, j’ai très envie de faire caca dans ta jolie petite bouche. »

Claire s’allonge, les fesses au bord du lit. Elle soulève son postérieur et le présente à la bouche avide d’Océane. Sylvie interloquée repose sur le lit, à côté de la jeune fille. Elle aurait pu y mettre un terme. Mais, elle demeure coite. Les rêveries de la jeune mère sont interrompues par l’excitation de la gamine.

« Maman, maman ! Je sens que Claire a envie de faire caca. Regarde, maman, mon petit doigt s’enfonce comme dans du beurre ! »

En effet, Océane baratte le trou du cul de l’adolescente. A chaque poussée, elle évase l’anus de la monstresse. Un fine pellicule d’excréments suinte et souille la corolle anale. Bientôt, Océane ramène vers l’orée le doigt inquisiteur. Elle le présente, toute triomphante à sa génitrice. Il est maculé de merde. L’odeur se fait plus forte.

« Maman, regarde ! Claire a vraiment très envie de faire caca, s’exclame Océane tout en présentant le bâton infâme au nez de Sylvie. »


L’odeur puissante et trouble de la merde ne dégoûte pas  la jeune femme. Elle veut jouir, maintenant. A n’importe quel prix. Avec un brin de malice, Océane sait que Sylvie est ferrée.

« Mange le caca de Claire, maman. Tu verras c’est délicieux, reprend la petite coquine tout en approchant le doigt cacateux à la commissure des lèvres de sa mère. »


Une courte hésitation. A peine perceptible, le moment où le cortex est le siège d’une lutte entre le bien et le mal. Comme un petit chiot craintif, Sylvie s’imprègne de l’odeur. Doucement sa langue lèche le doigt de sa petite fille. Le goût est puissant, un reste de pourriture. Elle déglutit. Elle repart au combat et happe le doigt tout entier.

« Oh, Claire ! Maman mange ta merde. Elle va te bouffer le caca au cul. Il y en a encore assez pour la nourrir, s’exclame Océane toute excitée ».


Le doigt de l’enfant ressort propre et nettoyé. Sylvie a passé avec succès le test. Océane et Claire s’adressent un regard amusé de connivence. L’adolescente chuchote à l’oreille de la gamine. Cette dernière amusée, pouffe de rire.

« Maman, s’il te plaît accroupis toi par terre. Tu vas maintenant lécher le trou de Claire. Il y a encore de la merde. »


La jeune maman a touché le fond. Elle ne peut plus rien refuser à sa fille chérie. Le désire lui sert d’aiguillon. Elle descend du lit et s’accroupit sur le sol. Aussitôt, Claire approche ses fesses de sa victime consentante. Une mouille abondante dégouline du con de la jeune fille. Cette dernière écarte les fesses. Le petit trou émet un chuintement. Un peu de merde liquide s’échappe du fion. L’odeur est horrible mais, Sylvie aime ce fumer. Sans aucune hésitation, elle darde sa langue dans le sillon merdeux.  Elle lèche, elle nettoie la bouse qui macule la partie intime et secrète. Je dois être folle. J’aime la merde, pense-t-elle.


Claire gémit de plaisir. Océane est remontée sur le lit. Elle s’accroupit sur la visage de l’adolescente. Le tableau est si indécent et érotique.

« Lèche mon trou du cul, Claire. Moi aussi, j’ai envie de faire caca et je crois que c’est un gros boudin. »


La langue de la jeune mère pénètre l’antre boueux. L’odeur et le goût sont plus prononcés. Sa langue entre en contact avec l’étron qui obstrue le conduit anal. Le cœur battant, elle accepte enfin de se vautrer dans la souillure. La respiration de Claire est plus saccadée.

« Je crois qu’elle aime ça, maman. Prend tout c’est pour toi ! »


La merde repousse la langue hors du trou. L’anus s’évase et une petite crotte tombe dans la bouche de Sylvie. La maman n’hésite pas. Elle mâche, elle se gave de ce goût de pourriture. Elle éprouve au plus profond d’elle-même un plaisir ignoble. Oui, elle bouffe la merde d’une toute jeune fille qui ne peut plus se contenir et jouit bruyamment.

« Oh, madame Denoux, je viens. Je vais jouir. Votre langue, encore… »

Claire émet un râle animal, guttural. L’anus s’entrouvre, le trou s’agrandit sous la poussée. La jeune fille ne se retient plus. Sylvie contemple le gouffre, le trou noir et la masse sombre qui approche de l’orée.

« Oh, maman mange la merde de Claire. C’est son cadeau. »


Un énorme étron commence à s’effiler hors du trou du cul. Sylvie a posé son visage à terre, la bouche grande ouverte. Elle attend l’offrande. La merde se détache et tombe enfin sur la gorette.

« Noon, hurle soudain la jeune mère en se redressant pour échapper à l’immondice. »

La merde s’abat sur son visage et glisse le long de son sternum, macule ses seins et son con.  Elle se remet à grand peine debout pour fuir la chambre et s’enfermer dans la salle de bain.

« Je suis désolée, madame Denoux entend-elle avant de verrouiller la porte des commodités. »

Elle a juste le temps de soulever la cuvette des WC et d’évacuer ses intestins. Elle reste de longues minutes accroupie près de la cuvette à se vider.


*********************

Océane a éteint la lumière de sa chambre. Sylvie attendait ce moment pour regagner la maison. Elle n’aurait pas pu se soir affronter son enfant. Elle avait sans doute trop bu. Si tout pouvait recommencer. Oublier, réparer…


Elle monte à pas de loup les escaliers, fait attention de ne pas faire craquer le parquet. La porte de la chambre d’Océane est entrouverte. Le silence est bercé par la respiration régulière de la petite fille. Elle dort. L’oubli, tout serait si facile. Sylvie regagne sa chambre. La honte et une autre envie assaillent la jeune femme. Elle sent poindre un nouveau désire.


Elle s’allonge sur le lit, soulève sa chemise de nuit. Elle se manualise. Elle songe à toutes les horreurs que les deux gamines ont pu faire quand elle était enfermée dans la salle de bain. Il ne reste de cette scène que des gémissements de plaisir. Et en mauvaise mère, elle n’a rien empêché. Pire elle en a été l’instigatrice. Le souffle court, elle sent que son orgasme vient. A travers les brumes, elle contemple le désordre de son lit. Sa première défaite.



LA NOUNOU

CHAPITRE I - Première défaite (fg, Ff, oral, feuille de rose, scato) par PYBRAC