Le reste de la journée fut plus calme, Marie Odile avait décidé de rester en tenue légère, et Julie apprécia beaucoup de voir ainsi sa grand mère évoluer en bas et gaine porte jarretelles, elle avait seulement remis sa culotte un peu tachée et revêtu son déshabillé vaporeux qui ne cachait rien de ses sous vêtements.


Dans un petit bureau, près du salon, Marie Odile fit visiter certains sites internet à sa petite fille et lui dévoila quelques photos de son amie Cécile


-  Elle est belle, ton amie... elle a le même âge que toi  ?


-  Non, ma chérie, elle est un peu plus jeune, et tu vois, sur cette photo qu'elle a aussi de jolis sous vêtements,on a beaucoup de goûts en commun....    Peut être que nous irons lui rendre visite avant la fin des vacances, elle n'habite pas très loin d'ici.


Tout en devisant ainsi, assises côte à côte, Marie Odile tenait sa petite fille par la taille et celle ci avait glissé sa main entre les cuisses de sa grand mère au plus près de la culotte humide...Quand arriva l'heure du repas, Marie Odile se contentât de servir une petite soupe de légumes et une grande bouteille d'eau gazeuse, en précisant bien qu'en buvant ainsi, plus tard,  l'envie de faire pipi serait plus forte  !


-  Pour le reste du repas, ma chérie, il est déjà au chaud, mais on va l'améliorer et aller le déguster dans le lit...


Devant l’incompréhension de Julie, Marie Odile précisa alors  :


-  Que désires-tu manger d'autre ce soir  ?  Je te propose de finir les œufs en chocolat qui restent, regarde, il y en a encore    qelques uns.   Tu vas en prendre trois ou quatre et venir  les mettre dans mon trou à caca , comme ce matin, après j'en mettrai aussi dans le tien et tout à l'heure on va tout manger...


Marie Odile baissa sa culotte à mi cuisses et penchée en avant, tendit ses fesses  en les écartant des mains,  Julie s'agenouilla devant le tabernacle et inséra les œufs un à un dans l'anus de sa grand mère en les poussant profondément du doigt à chaque fois.


-  Mets le plus gros dans mon minou ça rentrera plus facilement...


Puis ce fut le tour de Julie qui se prêta au jeu avec un évident plaisir . Sa grand mère n'introduisit qu' un seul œuf dans l'anus déjà bien encombré et en glissa un autre dans le petit minou désormais sans entrave. Et après une petit tape sur les fesses de sa petite fille...


-  Et maintenant ma Julie, on va monter se coucher et se servir nos desserts dans le lit...


En pénétrant dans la chambre sur les pas de sa grand mère, Julie  se sentie parcourue par une étrange mais bienfaisante onde de chaleur, comme la veille l'éclairage était feutré, le grand lit, ouvert et accueillant, mais il y avait quelque chose de plus  : la rassurante certitude que ce lieu était à l'écart du monde hors d'atteinte du jugement d'autrui, le lieu secret des rêves interdits.


Julie se laissa déshabiller totalement en frétillant de plaisir sous les mains douces et caressantes de sa grand mère qui prenait tout son temps, s'attardant sur les petits seins , le ventre et les fesses frémissantes. Julie de son côté ne restait pas inactive caressant et suçotant les voluptueux seins dénudés de sa grand mère assise sur le bord du lit. Mais lorsque Marie Odile voulut dégrafer ses bas, Julie fit la moue.


-  Tu ne souhaites pas que je les enlève  ?


-  S'il te plait, mamy, garde les, je te trouve tellement belle avec ta gaine et tes bas... j'aime bien les toucher en caressant tes cuisses...


-  Et la culotte  ?


-  Mamy, c'est moi qui vais te l'enlever, mais avant j'ai envie de la sentir.


Marie Odile qui n'en demandait pas tant se laissa basculer en arrière sur le lit en ouvrant les cuisses.


-  Viens ma petite chérie, je crois que l'odeur est forte  !


Julie approcha doucement le visage dans l'entrejambe de sa grand mère et parcourut du bout du nez la surface du tissus en effet très parfumé et chaudement humide.




-  Enlève la maintenant et viens dans le lit avec moi.


La culotte prestement ôtée, Julie voulut se glisser dans le lit près de sa grand mère.


-  non, ma chérie pas près de moi mais sur moi, viens t’accroupir au-dessus de ma bouche , viens me présenter tes jolies fesses je vais les ouvrir pour que tu me pousses un petit œuf dans la bouche.


-  Oui, mais maintenant j'ai très envie de faire caca et je sens que si je pousse un peu pour te donner mon petit œuf, tout va venir...


-  Rien ne peut me faire plus plaisir, ma Julie, viens et surtout, ne te retiens pas.


-  Tu veux que je fasse dans ta bouche  !


-  Bien sûr, j'ai très envie de te goûter vraiment , tu me rends folle depuis hier.


Repoussant la couette, Julie vint s'installer juste au-dessus du visage de sa grand mère dont la bouche grande ouverte était déjà en attente de l'offrande...Marie Odile vit avec ravissement sa petite fille s’accroupir et d'elle même écarter ses fesses pour approcher au plus près de la bouche son petit anus déjà gonflé par l'effort. Sous la poussée un bout arrondi de matière claire apparut d'abord et sortit doucement de la muqueuse.Le chocolat de l’œuf était en partie fondu et se mélangeait intimement à la matière fécale plus brune.Julie poussa plus fort et expulsa soudainement dans un bruyant chuintement le contenu de son rectum dans la bouche vite remplie de sa grand mère qui n'eut pas le temps de déglutir, que déjà un flot d'urine arrosait ses seins puis le visage et la bouche car Julie consciente que la matière expulsée avait aussi débordé de la bouche de sa grand mère, voulut tout nettoyer par son jet d'urine  !


-  Oh mamy, j'en ai mis partout et l’oreiller est trempé  !


Marie Odile, le visage mouillé d'urine se redressant sous les fesses de sa petite fille, vint du bout de la langue, déloger le second petit œuf du minou de Julie et en profita pour laper les dernières gouttes de pipi.


Julie, quittant sa position, vint s'allonger contre sa grand mère, contempla son visage encore souillé et se mit à la couvrir de baisers pour finir par lui introduire sa langue dans la bouche, et trouver là quelques restes épicés de friandises déjà avalées...puis s'écartant un peu  :


-  Comment c'était mamy  ?  Tu as tout avalé... tu as aimé  ?


-  C'était bien ma Julie, c'était bon... je crois que je ne te laisserai plus aller aux toilettes  !  Ou alors j'irai avec toi  !


-  Mamy, maintenant moi aussi j'ai très envie que tu me fasses ton caca dans la bouche


-  Bien sûr ma chérie, je vais te faire plaisir, j'ai pas tout fait à midi, je sens que j'ai encore un beau caca au chaud pour toi, et j'ai aussi très envie de te le donner maintenant  ! Allonge toi, je vais mieux t'installer.


Marie Odile s'agenouillant dans le lit redressa la tête de Julie en la calant avec l'oreiller bien humide, puis saisissant un second oreiller, le lui glissa sous le bassin pour rehausser les fesses. Elle enjamba alors sa petite fille pour lui positionner le visage entre ses cuisses et ainsi agenouillée, se coucha en avant sur son corps, passa chacune des jambes de Julie sous ses bras et plongea son propre visage entre les cuisses ouvertes et les fesses offertes...


De son côté, Julie vit venir vers elle le voluptueux fessier de sa grand mère qui s'ouvrait largement en se rapprochant de son visage, découvrant la vulve humide et poisseuse et plus près de son regard, la fleur plus sombre de l'anus qui se gonfla pour laisser fuser le souffle gémissant d'un long pet odorant  ! L'odeur était étourdissante  !


Au-dessus de sa bouche, dans la moiteur de la vulve ouverte, Julie discernait ainsi l’œuf inséré plus tôt dont le chocolat fondant se mêlait à une coulée de cyprine blanchâtre. D'un mouvement du bassin, Marie Odile vint se souder à la bouche de sa petite fille tout en lui enfonçant doucement l'index dans le conduit anal particulièrement docile et gras  !


Julie tressaillit de plaisir lorsque la langue de Marie Odile vint à son tour lécher et pénétrer son  petit minou. La tête enfouie sous les fesses de sa grand mère, elle suçait, aspirait, buvait tout ce que sa langue pouvait dénicher dansles chairs marécageuses d'une vulve frémissante de fièvre...


Toutes deux se mirent à onduler d'un même accord et dans l'intime mélange des chairs,Marie Odile eut la très troublante sensation de sentir sa petite fille se fondre en elle, au plus profond de son être comme si leur deux corps n'en faisait plus qu'un. La jouissance était nouvelle, inconnue jusqu'alors, extraordinairement profonde, elle s'y adonna totalement, ses muscles se tendirent, elle bascula légèrement son bassin pour ajuster son anus sur la bouche de Julie et se mit à pousser doucement, lentement...


Julie s'empara de l'anus offert avec ravissement, elle le sentit se tendre et gonfler dans sa bouche. Du bout de la langue elle s'aventura dans la muqueuse qui s'ouvrait et y découvrit d'abord le jus chocolaté des œufs qui avaient fondu, mais très vite un contact plus dur lui révéla une autre présence qui remontait lentement dans le conduit anal...


Elle s'écarta un peu pour assister à l’émergence du bébé dont elle entrevoyait la tête dans les plis de l'anus qui l'expulsait. Un beau caca fit doucement son apparition, mais Julie ne put y résister et approchant la bouche, elle vint l’enserrer de ses lèvres pour le sentir ainsi pénétrer sur le creux de la langue.Elle suça, lécha, du plat de la langue, l'écrasa sur son palais et finit par avaler par petits morceaux. Pour ne pas avoir la bouche trop pleine, elle croqua un bon morceau et s'écarta de l'anus pour l'ingérer sans s'étouffer, mais sa grand mère poussait encore pour se vider complètement et des morceaux plus mous chutèrent sur le visage de Julie et roulèrent dans l'oreiller.


Tout en dégustant le gros caca de sa grand mère, Julie lui inséra une main dans le vagin et lui caressa du bout des doigts le renflement du col de l'utérus. La fièvre de la grand mère atteignit un paroxysme, elle dévorait littéralement le sexe suintant de Julie et de temps à autres ressortait son doigt de l'anus pour le sucer avidement et le replongeait aussitôt. Toutes deux râlaient, gémissaient et libérèrent au même moment un puissant jet d'urine. Julie, mieux placée eut tout le temps d'en saisir dans la bouche pour y faire un mélange plus facile à avaler...


Soudain ce fut l'explosion, les corps se cabrèrent, se tendirent et s'agitèrent d'une même frénésie totalement partagée.


Marie Odile entendit à peine les gémissements de Julie noyée dans ses fesses, tout son corps vibrait elle se redressa pour changer de position et venir s'allonger près de Julie mais rien n'y faisait, elle ne parvenait pas à calmer le tremblement de ses jambes. Julie aussi s'agitait encore et gémissait doucement les yeux fermés. Marie Odile serra sa petite fille contre elle, contre son ventre, contre ses cuisses tremblantes et posa sa tête près d'elle dans l'oreiller trempé d'urine encore tiède et maculé de ses propres matières fécales. Elles s'embrassèrent longuement, Marie Odile remonta la couette et sans un mot, elles restèrent ainsi de longues minutes enlacées  et s'endormirent doucement dans la tiédeur moite et sensuelle d'une totale et voluptueuse complicité  !




LES VACANCES DE JULIE

CHAPITRE 6 - TOUT EST POSSIBLE