La matinée fut belle. Julie et sa grand mère ne se quittèrent pas, et après une douche qu'elles prirent ensemble, elles allèrent toutes deux se promener par le bras au bord de la mer chacune confiant à l'autre mille et un petits secrets. Julie découvrit ainsi, ce que tout le monde ignorait  : sa grand mère ne fréquentait plus les hommes depuis longtemps, préférant la compagnie féminine, elle avait depuis quelques temps une amie intime qu'elle retrouvait de temps à autres lorsque «  besoins  » se faisaient  « sentir  »  !


-  Elle partage avec toi ce que nous aimons toutes les deux  ?


-  Oui Julie, mais d'une autre manière...


-  J'aimerais beaucoup la rencontrer  !


-  Peut-être …. avant la fin des vacances …


-  Oh oui mamy, surtout si elle est aussi belle et gentille que toi  !


La promenade s'acheva sous un timide soleil d'avril qui n'incitait pas à prendre le repas de midi sur la terrasse, toutes deux se réfugièrent alors plus au chaud, Marie Odile pour préparer le repas et Julie dans le salon pour consulter les albums photo de sa grand mère.


Vers midi Marie Odile vint rejoindre Julie au salon avec deux verres entre les mains dont l'un était déjà plein d'une boisson de jolie couleur jaune.


-  Voudrais-tu que nous prenions un petit apéritif avant de passer à table  ?


-  Un apéritif  ?


-  Oui ma chérie j'avais une envie de faire pipi  !


-  Oh mamy, donne-moi l'autre verre, moi aussi je vais le remplir pour toi  !


Julie disparut dans les toilettes et revint avec le verre plein , chacune s'empara alors du verre de l  'autre et avec un tendre sourire complice, se mirent à lentement les déguster.


- Tu vois ma chérie, c'est très doux, bien moins fort que le pipi de la nuit  ! Mais ne bois pas tout maintenant, on va prendre nos verres avec nous pour accompagner le repas. A la fin du repas, Marie Odile se leva  :


-  Et maintenant , mon ange … je vais te faire un beau dessert  ! Ne bouge pas …


Marie Odile disparut dans la cuisine et deux minutes plus tard revint avec un curieux plat à dessert en porcelaine aux bords relevés comme un petit pot de chambre, mais très peu profond. Ce n'est qu'une fois sur la table que Julie put apprécier son contenu  !


-  Je t' ai fait un joli bébé ma chérie, tout chaud,  regarde comme il est beau  !


Marie Odile s'était soulagée dans le plat d'un gros caca brun qu'elle avait délicatement enrubanné  de rouge et or, piqué de petits œufs de Pâques et baigné dans une fine mare d'urine....


-  Mamy  !   C'est pour moi  ?   Tu viens de le faire pour moi  !  Ohhhh  et puis tu l'a décoré  !  Je peux goûter  ?


-  Bien -sûr, mais pas avec le doigt   retire ta main, laisse moi faire.


Marie Odile s'empara d'un couvert et vint en saisir une petite cuillerée dans le fond du plat accompagnée d'un peu d'urine et présenta la friandise aux lèvres de Julie.


-  Je voudrais seulement que tu goûtes et que tu me dises si ce n'est pas trop fort ou trop sale, au début, ce n'est pas comme pour le pipi, on peut être un peu dégoutée et vomir si on en prend de trop.


Julie ouvrit la bouche et la referma sur la cuillère, elle regardait sa grand mère avec un regard malicieux.


-  J'aime ça mamy , donne m'en encore  !


-  Tu es sûre ma chérie, ce n'est pas trop fort  ? Tu n'es pas dérangée  ?  L'odeur ne t’écœure pas  ?


-  Si mamy, c'est fort et ça a un drôle de goût quand on avale, mais ça me plait, je crois que ce que l'on fait n'est pas bien, mais ça me plait.....et après.... on n'est pas malade  ?


-  Non mon ange...seulement si on en avale de trop, ça fait vomir...mais après on peut recommencer...tu en veux encore  ?


-  Encore, oui donne m'en  encore ...pour voir...


-  Alors attend, voilà comment on va faire...


Marie Odile replongea la petite cuillère dans la matière odorante et encore tiède, puis la porta à sa bouche et s'approcha des lèvres de Julie pour ainsi l'embrasser amoureusement en glissant sur sa langue le contenu de sa propre bouche. Elles échangèrent ainsi durant de longues minutes une petite boule de matière qui finit par se diluer dans leur salive, ne sachant plus qui en avait avalé le plus... puis elles s'écartèrent en se léchant mutuellement les lèvres à petits coups de langue


-  Mamy chérie, je t'aime, je t'aime, je t'aime  !!


-  Tu me rends folle ma Julie, viens dans le salon, dans le grand fauteuil, je tiens plus, il faut que tu viennes me lécher le minou, je suis brulante... tu vas aimer  !


Près du fauteuil, Marie Odile s'empressa de dégrafer sa jupe et de l'enlever, elle apparut alors aux yeux émerveillés de Julie en bas sombres soutenus par une gaine porte jarretelles beige à l'ancienne.


-  Mamy , tu es très belle comme cela, j'aime beaucoup ce que tu portes  !


-  Je suis très heureuse que cela te plaise...plus tard, je te montrerai d'autres tenues.


La culotte glissa le long des jambes et Marie Odile la fit sentir à sa petite fille avant de s'allonger dans le fauteuil en ouvrant les cuisses,


-  Viens vite ma chérie, viens au chaud, je n'en peux plus, regarde, j'ai les poils trempés et tout gluants, j'ai commencé à mouiller ma culotte durant la promenade de ce matin, et depuis ça n'a pas cessé. Viens, je veux sentir ta langue, viens me boire... si je peux je te ferai un petit pipi dans la bouche...


Julie s’installa dans le fauteuil, la tête entre les cuisses gainées de sa grand mère, contempla quelques instants le large sexe poilu et baveux, des mains elle écarta  les lèvres et vint doucement laper la gluanteur des poils puis l'intérieur des chairs, de plus en plus profondément, langue tendue vers une source qui ne tarissait pas. Marie Odile se mit à gémir , son bassin tout entier tanguait  sous l'ardeur dévorante de Julie, qui de temps à autres pointait sa langue entre les fesses qu'elle écartait pour aller laper les restes de la friandise du dessert....Puis vint la jouissance, formidable marée montante, les cuisses secouées de tremblements irrépressibles, Marie Odile ne put retenir une forte giclée d'urine dans la bouche de Julie, et dans une longue plainte accompagnée d'un odorant gargouillement anal, retomba ,épuisée dans les coussins du fauteuil.


Elles restèrent ainsi de longues minutes dans un silence seulement troublé par les petits bruits de déglutition de Julie qui n'avait pas quitté sa place et  continuait doucement à suçoter le sexe offert de sa grand mère.


Marie Odile s'endormit, suivie de peu par Julie, le visage blotti dans le creux de ses cuisses.


LES VACANCES DE JULIE

CHAPITRE 4 - JOUR DE PÂQUES