Paradoxalement Marie Odile ne trouva pas sa journée trop longue, occupée par l'achat de quelques sous vêtements, de divers accessoires pour bébé dont un petit biberon et de quelques produits alimentaires, elle ne vit pas le temps s'écouler. A l'heure du diner elle retrouva Julie qui avait passé la journée chez une copine du voisinage.
Le repas fut plus court qu'à l'accoutumé aucune des deux ne souhaitant s'attarder à table, l'invitation de Marie Odile à monter se coucher fut le déclenchement d'une certaine fébrilité. En passant devant Julie pour monter à l'étage, Marie Odile, se retournant , pris conscience du regard de sa petite fille vers le haut de sa jupe qu'elle portait courte et qui laissait sans doute entrevoir le haut de ses cuisses gainée de nylon
-
-
-
Julie connaissait bien sur la chambre de sa grand mère pour y être furtivement passée lui dire « bonne nuit » ou « bonjour », mais ce soir là elle fut surprise d'y découvrir l'ambiance qui y régnait : la pièce était éclairée de lumières tamisées par des voiles jetés sur les lampes des tables de chevet.Il n'était pas tard, mais les volets de l'unique fenêtre étaient fermés à la lumière de l'extérieur. Le grand et haut lit de Marie Odile disparaissait un peu dans la pénombre car recouvert d'une chaude couette sombre dont un pan entier largement relevé découvrait cependant le lumineux drap blanc du lit ouvert, comme une invitation à y pénétrer ...Quelques meubles anciens à peine visibles dans la pénombre, un petit secrétaire et, dans un coin de la pièce, un curieux fauteuil que Julie n'avait jamais vu auparavant...
-
-
-
Assise sur le bord de son lit, Marie Odile entreprit alors de dévêtir sa petite fille qui se tenait debout entre les jambes écartées de sa grand mère
-
-
Sortant le vêtement de dessous l'oreiller, Marie Odile le lui passa.
-
Marie Odile prit tout son temps provoquant ainsi l'excitation croissante de la gamine qui la dévorait des yeux !
Ayant ôté son chemisier elle dégrafa son soutien gorge en prenant soin de se retourner pour ne pas exposer ses seins lourds et un peu tombants au regard de sa petite fille, par contre une fois enfilée sa nuisette très coquine, elle se baissa longuement pour ôter ses bas exhibant sans retenue son généreux postérieur revêtu d'une très jolie culotte blanche à dentelles et visiblement bien marbré à la naissance des fesses entre les cuisses. En se redressant, Marie Odile se retourna vers sa petite fille et put mesurer dans son regard fiévreux l'effet produit par sa petite mise en scène... Julie découvrait la voluptueuse et très sensuelle image d'une femme épanouie dont la nudité n'était dissimulée à son regard que par une adorable petite nuisette à la transparence bleutée, couvrant à peine le haut des cuisses et laissant deviner le dessin de la culotte tant désirée... sa grand mère !!
-
-
Julie se poussa un peu pour laisser sa grand mère se glisser dans le lit et rabattre sur elles la chaude couette protectrice. Spontanément, Julie vint se blottir dans ses bras et toute deux ainsi enlacées se firent face, ventre rebondi contre petit ventre fragile. La tête posée sur la naissance des seins chauds de sa grand mère, la petite fille offrait ainsi un visage d'une telle candeur émerveillée que Marie Odile ne put résister et, s'emparant de la tête de Julie, la couvrit de mille baisers sur toute la surface du visage se rapprochant ostensiblement des petites lèvres entrouvertes qui s'offrirent sans retenue lorsque, doucement, le bout d'une langue exploratrice pénétra dans la petite bouche.
Marie Odile sentait contre son ventre les frémissements de la fillette qui se mit à gémir sous sa bouche dévorante lorsqu'elle passa toute une jambe par dessus le petit corps étonné d'être ainsi capturé ! S'écartant alors de la bouche de sa grand mère pour reprendre sa respiration :
-
-
tu n'as pas oublié la raison de notre tendre rencontre , désires-
-
-
-
-
Sous la couette Julie reconnut immédiatement les odeurs qu'elle adorait, plus prenantes et plus enivrantes que jamais, le parfum de certains besoins naturels pas du tout essuyés par du papier toilette, mais aussi une odeur plus subtile, plus sensuelle plus charnelle. Elle s’approcha encore et senti enfin sous ses lèvres la chaude humidité d'un tissu tendu...
-
Marie Odile avait soulevé la couette et s’enivrait de l'incroyable scène qu'elle discernait dans la pénombre : sa petite fille visage enfoui entre ses cuisses ouvertes qui se délectait de toutes ses odeurs intimes !
-
Julie, s'écartant un peu rencontra le regard de sa mamy, penchée vers elle.
-
-
-
-
-
-
-
-
Quand elles furent toutes deux dénudées, Marie Odile n'eut pas à inviter sa petite fille, celle-
Marie Odile sentit tout d'abord le doux contact de la petite bouche se poser sur son sexe comme un frêle papillon de nuit puis, prudemment, quelque chose bougeât, lentement au début, la caresse était subtile, la langue de Julie se promenait sur une chair délicate et palpitante, Marie Odile remonta vers son visage la culotte de Julie, elle était tachée et sentait une merveilleuse odeur un peu acidulée... à ce moment la tête entre ses cuisses s'était mise à s'agiter lentement de haut en bas, de sa main libre Marie Odile guida le mouvement : Julie léchait, lapait le sexe de sa grand mère avec une soudaine avidité. La petite langue avait maintenant pénétré à l'intérieur des chairs là où la cyprine se faisait plus abondante : Julie buvait et avalait le nectar un peu poisseux qui suintait directement dans sa bouche !
Marie Odile eut un orgasme violent, inattendu et lâchât dans la bouche de Julie un flot de cyprine plus liquide. En entendant le profond gémissement de sa grand mère, Julie prit peur et s’écartât brusquement :
-
-
-
-
-
-
Et Julie replongeât entre les cuisses de sa grand mère ! Marie Odile eut alors une idée soudaine , repoussant doucement de la main le visage de sa petite fille :
-
-
-
Marie Odile se basculât plus encore en arrière en écartant les fesses de ses deux mains, et relevât la fleur ridée de son anus à effleurer le visage de Julie
-
-
Marie Odile ne se retint plus, son anus s'ouvrit comme une fleur et souffla au nez de sa petite fille un pet délicat, peu bruyant, juste un souffle qui sembla tellement ravir Julie qu'elle plaquât immédiatement sa bouche sur l'orifice pour y enfouir sa langue !
Surprise par la réaction spontanée de Julie, Marie Odile comprit qu'un second souffle parfumé serait le bienvenu et se mit à pousser de nouveau, mais elle réalisa très vite que ce qu'elle risquait d'expulser avait bien plus de consistance qu' un simple pet odorant !
-
-
-
-
-
Tout en étendant ses jambes vers le fond du lit, Marie Odile vit le visage de sa petite fille émerger de la couette et venir se blottir contre ses seins... elle eut à ce moment le sentiment troublant de priver une enfant de friandise
-
-
-
Julie sortit promptement du lit et s’installa sur le pot en relevant sa nuisette, elle avait le visage à hauteur de celui de sa grand mère restée couchée. Le chuintement du jet d'urine sur la porcelaine les fit sourire toutes les deux.
-
-
-
Julie s’exécutât avec une curieuse timidité, tout en soutenant le regard de sa grand mère qui l'observait intensément, elle vint poser sur la bouche ouverte son petit minou encore dégoulinant d'urine !
Marie Odile commença par laper les gouttes restantes, puis consciencieusement léchât toute la surface du petit sexe, titillant le bouton du clito du bout de la langue. Julie avait encore son pucelage et la grand mère sentit le délicat barrage lorsqu'elle voulut pénétrer dans la chair , sa langue n'en resta pas inactive pour autant et remonta vers le sillon des fesses pour dénicher un petit mollusque frémissant qui se gonflait sous l'attouchement, puis la langue revint vers le sexe au moment où Julie se raidit subitement en se cambrant la tête en arrière, juste à temps pour recueillir un dernier jet d'urine que la gamine venait d'expulser dans sa jouissance. Un petit cri aigu et Julie se lassa glisser en arrière sur le corps de sa grand mère.
-
-
-
-
-
-
-
-
En quelques secondes, Julie s'était endormie, mais sa grand mère resta encore éveillée quelques temps avant d'éteindre la lumière et s'endormir à son tour, contemplant avec une forte émotion le petit corps qu'elle tenait intimement enlacé blotti sous la couette contre son ventre palpitant.
LES VACANCES DE JULIE
CHAPITRE 2 -