Paradoxalement Marie Odile ne trouva pas sa journée trop longue, occupée par  l'achat de quelques sous vêtements, de divers accessoires pour bébé dont un petit biberon et de quelques produits alimentaires, elle ne vit pas le temps s'écouler. A l'heure du diner elle retrouva Julie qui avait passé la journée chez une copine du voisinage.


Le repas fut plus court qu'à l'accoutumé aucune des deux ne souhaitant s'attarder à table, l'invitation de Marie Odile à monter se coucher fut le déclenchement d'une certaine fébrilité. En passant devant Julie pour monter à l'étage, Marie Odile, se retournant , pris conscience du regard de sa petite fille vers le haut de sa jupe qu'elle portait courte et qui laissait sans doute entrevoir le haut de ses cuisses gainée de nylon


-  Viens Julie on va tout de suite dans ma chambre, il n'est pas nécessaire que l'on passe par la salle de bain, je n'ai pas fait de toilette aujourd'hui et depuis ce matin je garde pour toi tous mes parfums intimes.


-   Mais mamy il faut que je fasse pipi....


-   Ne t'inquiète pas pour cela, j'ai un petit pot dans ma chambre, on pourra y faire tous nos besoins  !


Julie connaissait bien sur la chambre de sa grand mère pour y être furtivement passée lui dire «  bonne nuit  » ou «  bonjour  », mais ce soir là elle fut surprise d'y découvrir l'ambiance qui y régnait  : la pièce était éclairée de lumières tamisées par des voiles jetés sur les lampes des tables de chevet.Il n'était pas tard, mais les volets de l'unique fenêtre étaient fermés à la lumière de l'extérieur. Le grand et haut lit de Marie Odile disparaissait un peu dans la pénombre car recouvert d'une chaude couette sombre dont un pan entier largement relevé découvrait cependant le lumineux drap blanc du lit ouvert, comme une invitation à y pénétrer ...Quelques meubles anciens à peine visibles dans la pénombre, un petit secrétaire et, dans un coin de la pièce, un curieux fauteuil que Julie n'avait jamais vu auparavant...


-  ça te plait  ? C'est désormais notre chambre , le refuge secret  de nos nuits...tu veux toujours dormir dans mon lit  ?


-  bien sûr mamy, j'y ai pensé toute la journée  !


-  Alors viens,je vais te déshabiller  !


Assise sur le bord de son lit, Marie Odile entreprit alors de dévêtir sa petite fille qui se tenait debout entre les jambes écartées de sa grand mère


-  tu ne m'enlève pas ma culotte  ?


-  Non, pas encore, je le ferai plus tard sous la couette, regarde plutôt la jolie nuisette que je t'ai achetée aujourd'hui  !


Sortant le vêtement de dessous l'oreiller, Marie Odile le lui passa.


-  juste ta taille, tu es craquante comme cela on voit tes petits seins au travers et ta culotte aussi... allez, monte dans mon lit ma chérie, je me déshabille et je viens te rejoindre. Julie ne se fit pas prier, se glissant entre les draps elle se mit en appui sur un coude pour regarder sa grand mère se dévêtir dans la lumière feutrée de la lampe de chevet.


Marie Odile prit tout son temps provoquant ainsi l'excitation croissante de la gamine qui la dévorait des yeux  !


Ayant ôté son chemisier elle dégrafa son soutien gorge en prenant soin de se retourner pour ne pas exposer  ses seins lourds et un peu tombants au regard de sa petite fille, par contre une fois enfilée sa nuisette très coquine, elle se baissa longuement pour ôter ses bas exhibant sans retenue son généreux postérieur revêtu d'une très jolie culotte blanche à dentelles  et visiblement bien marbré à la naissance des fesses entre les cuisses. En se redressant, Marie Odile se retourna vers sa petite fille et put mesurer dans son regard fiévreux l'effet produit par sa petite mise en scène... Julie découvrait la voluptueuse  et très sensuelle image d'une femme épanouie dont la nudité  n'était dissimulée à son regard que par une adorable petite nuisette à la transparence bleutée, couvrant à peine le haut des cuisses et laissant deviner le dessin de la culotte tant désirée... sa grand mère  !!


-  Ooh mamy , comme tu est belle  ! Tu me donne des frissons partout  !


-  Je suis heureuse de te plaire ma chérie,j'en frissonne aussi, mais fais moi vite une place au chaud près de toi  !


Julie se poussa un peu pour laisser sa grand mère se glisser dans le lit et rabattre sur elles la chaude couette protectrice. Spontanément, Julie vint se blottir dans ses bras et toute deux ainsi enlacées se firent face, ventre rebondi contre petit ventre fragile. La tête posée sur la naissance des seins chauds de sa grand mère, la petite fille offrait ainsi un visage d'une telle candeur émerveillée que Marie Odile ne put résister et, s'emparant de la tête de Julie, la couvrit de mille baisers sur toute la surface du visage se rapprochant ostensiblement des petites lèvres entrouvertes qui s'offrirent sans retenue lorsque, doucement,  le bout d'une langue exploratrice pénétra dans la petite bouche.


Marie Odile sentait contre son ventre les frémissements de la fillette qui se mit à gémir sous sa bouche dévorante lorsqu'elle passa toute une jambe par dessus le petit corps étonné d'être ainsi capturé  ! S'écartant alors de la bouche de sa grand mère pour reprendre sa respiration  :


-  Mamy, mamy c'est bon, comme c'est bon  ! Embrasse moi encore, je veux ta langue dans ma bouche, je ne savais pas que l'on pouvait faire cela.


-  Ma chérie ce n'est là qu'un avant goût de ce que tu vas découvrir...


    tu n'as pas oublié la raison de notre tendre rencontre , désires-tu toujours que je te confie ma culotte  ?


-  Oh ouiii mamy... mais tu ne l'as pas enlevée, elle est toujours sur toi  ...


-  C'est volontaire ma chérie, tu vas venir la sentir entre mes cuisses, l'odeur y est plus chaude et plus vraie, je crois que tu vas beaucoup aimer car je la sens très humide...


-   c'est vrai  ?   Je peux mamy  ?


-   viens, glisse toi au fond du lit et remonte entre mes jambes...oui, voilà, comme cela...    attends, je vais m'ouvrir et remonter les cuisses pour que tu sois plus à l'aise.


Sous la couette Julie reconnut immédiatement les odeurs qu'elle adorait, plus prenantes et plus enivrantes que jamais, le parfum de certains besoins naturels pas du tout essuyés par du papier toilette, mais aussi une odeur plus subtile, plus sensuelle plus charnelle. Elle s’approcha encore et senti enfin sous ses lèvres la chaude humidité d'un tissu tendu...


-  Respire ma chérie, ces parfums sont pour toi, et cette chaude humidité,  c'est toi qui la déclenche, tu me fais abondamment mouiller ma culotte...


Marie Odile avait soulevé la couette et s’enivrait de l'incroyable scène qu'elle discernait dans la pénombre  : sa petite fille visage enfoui entre ses cuisses ouvertes qui se délectait de toutes ses odeurs intimes  !


-  Tu aimes mes odeurs  ma chérie, ça te plait  ?


Julie, s'écartant un peu rencontra le regard de sa mamy, penchée vers elle.


-  Oh ma mamy, ça me plait à la folie, je crois que moi aussi je mouille ma culotte  !...    est ce que je peux  goûter  ?


-  Goûter  ?     Tu veux lécher  !   Oh ma chérie,  si tu veux je peux t'offrir mieux que le simple tissu de  ma culotte, mais faudra pour cela que tu me l'enlèves … est ce que tu le veux vraiment  ?


-  Sentir ton minou et le goûter avec ma langue  ?


-  Oui  !     Mais tu dois savoir que le mien est un petit peu poilu...et ça va sentir plus fort encore  !


-  Oh mais alors je vais adorer  !        Et puis j'ai très envie de goûter ce qui coule dans ta culotte  !


-  Ma Julie tu es adorable  !    Tu vas enlever ma culotte, je vais me soulever un peu pour que tu la fasses glisser. Mais enlève aussi la tienne et donne la moi, je vais la sentir, elle doit être humide et donc parfumée  !


-  C'est vrai mamy que tu veux aussi sentir ma culotte  ?


-  Oui ma chérie, pendant que tu  goûtes mon minou  !


Quand elles furent toutes deux dénudées, Marie Odile n'eut pas à inviter sa petite fille, celle-ci se faufila de nouveau entre ses cuisses et vint doucement, timidement poser ses petites lèvres sur les lèvres gonflées de sa grand mère parmi les poils un peu poisseux et fortement odorants. L'instant était magique, le temps suspendu...


Marie Odile sentit tout d'abord le doux contact de la petite bouche se poser sur son sexe comme un frêle papillon de nuit puis,  prudemment, quelque chose bougeât, lentement au début, la caresse était subtile, la langue de Julie se promenait sur une chair délicate et palpitante, Marie Odile remonta vers son visage la culotte de Julie, elle était tachée et sentait une merveilleuse odeur un peu acidulée... à ce moment la tête entre ses cuisses s'était mise à s'agiter lentement de haut en bas, de sa main libre Marie Odile guida le mouvement  : Julie léchait, lapait le sexe de sa grand mère avec une soudaine avidité. La petite langue avait maintenant pénétré à l'intérieur des chairs là où la cyprine se faisait plus abondante  : Julie buvait et avalait le nectar un peu poisseux qui suintait directement dans sa bouche  !


Marie Odile eut un orgasme violent, inattendu et lâchât dans la bouche de Julie un flot de cyprine plus liquide. En entendant le profond gémissement de sa grand mère, Julie prit peur et s’écartât brusquement  :


-  Mamy  ! Mamy  ! qu'est ce qui t'arrive  ? Je t'ai fait du mal  ?


-  Mais non ma chérie, rassure-toi, tu viens de me faire jouir  !   Et c'était très fort  ! Oh la la comme c'était bon  !!


-  Jouir  ?   C'est ça jouir  ?  Ça fait beaucoup de bien  ?


-  Plus qu'on ne peut le décrire....Je vais t'apprendre, te conduire vers le même plaisir....toi aussi tu vas jouir...promis  ! Mais dis moi, est ce que mon ventre était bon  ? Tu as aimé....tu n'es pas dégoutée  ?


-  Oh non mamy ton ventre est délicieux, il contient un sirop sucré.... c'est trop bon  ! Est ce que je peux lécher encore  ?


-  Oui ma chérie viens, continue, j'adore sentir ta langue me pénétrer, enfonce la encore dans mon minou.


Et Julie replongeât entre les cuisses de sa grand mère  ! Marie Odile eut alors une idée soudaine  , repoussant doucement de la main le visage de sa petite fille  :


-  Julie mon ange, voudrais-tu que je te parfume plus encore  ?


-  Oh oui mamy, s'il te plait j'adore toutes tes odeurs.


-  Alors, attends ma chérie, ça va venir...


Marie Odile se basculât plus encore en arrière en écartant les fesses de ses deux mains, et relevât la fleur ridée de son anus à effleurer le visage de Julie


-  Tu le veux vraiment ?   L'odeur va être forte  !


-  Oui mamy, je sais ce que tu veut faire, j'ai aussi aimé ces odeurs la dans tes culottes.  !


Marie Odile ne se retint plus, son anus s'ouvrit comme une fleur et souffla au nez de sa petite fille un pet délicat, peu bruyant, juste un souffle qui sembla tellement ravir Julie qu'elle plaquât immédiatement sa bouche sur l'orifice pour y enfouir sa langue  !


Surprise par la réaction spontanée de Julie, Marie Odile comprit qu'un second souffle parfumé serait le bienvenu et se mit à pousser de nouveau, mais elle réalisa très vite que ce qu'elle risquait d'expulser avait bien plus de consistance qu' un simple pet odorant  !


-  Arrête ma chérie...arrête  !    C'est très sale... ça pourrait t'indisposer... mon trou à caca n'est vraiment pas propre  : je ne me suis pas du tout lavée aujourd'hui  !


-  Mais mamy


-  Non, n'insiste pas mon ange... pas encore... pas si vite... tout cela est très nouveau pour nous  : il faut prendre le temps de vraiment savoir ce que nous aimons l'une de l'autre, je ne veux surtout pas prendre le risque de de te choquer...


-   Mais non Mamy...


-   reviens vers moi, dans mes bras  !


Tout en étendant ses jambes vers le fond du lit, Marie Odile vit le visage de sa petite fille émerger de la couette et venir se blottir contre ses seins... elle eut à ce moment le sentiment troublant de priver une enfant de friandise


-  Viens on va s'endormir l'une contre l'autre, mets ton petit ventre contre le mien et cale bien ta tête sur mon sein


-  Mamy...il faut d'abord que je fasse pipi, je ne peux plus me retenir  !


-  Tu n'auras pas à aller bien loin, le petit pot est juste sous le lit.


Julie sortit promptement du lit et s’installa sur le pot en relevant sa nuisette, elle avait le visage à hauteur de celui de sa grand mère restée couchée. Le chuintement du jet d'urine sur la porcelaine les fit sourire toutes les deux.


-  Tu avais en effet une grosse envie  !


-  Oh oui mamy.. mais il n'y a pas de papier pour m'essuyer  ?


-  Pas nécessaire ma chérie, ta grand mère va le faire pour toi  !   Viens, remonte sur le lit et agenouille-toi au-dessus de ma bouche, je vais t'essuyer de la plus belle manière qui soit  !


 Julie s’exécutât avec une curieuse timidité, tout en soutenant le regard de sa grand mère qui l'observait intensément, elle vint poser sur la bouche ouverte son petit minou encore dégoulinant d'urine  !


Marie Odile commença par laper les gouttes restantes, puis consciencieusement léchât toute la surface du petit sexe, titillant le bouton du clito du bout de la langue. Julie avait encore son pucelage et la grand mère sentit  le délicat barrage lorsqu'elle voulut pénétrer dans la chair  , sa langue n'en resta pas inactive pour autant et remonta vers le sillon des fesses pour dénicher un petit mollusque frémissant qui se gonflait sous l'attouchement, puis la langue revint vers le sexe au moment où Julie se raidit subitement en se cambrant la tête en arrière, juste à temps pour recueillir un dernier jet d'urine que la gamine venait d'expulser dans sa jouissance. Un petit cri aigu et Julie se lassa glisser en arrière sur le corps de sa grand mère.


-  Mamy chérie, je crois que je viens de jouir  !


-  Mais oui mon ange, c'est ce qui a dû se produire  !


-  Qu'est ce que c'est étrange... et fort... et bon... pour toi c'est pareil  ?


-  Difficile de te le dire, il faudra que l'on jouisse ensemble pour le savoir...


-  Oh oui oui oui  ! Je vais adorer  !


-  Plus tard mon ange, maintenant , viens dans mes bras, on va faire un gros dodo toute les deux


-  Je vais rêver de toi ma mamy adorée... tu sais, j'ai senti que je te faisait un pipi dans la bouche... et tu as tout avalé  !!


-  Oui ma chérie, j'ai aimé... mais on en parlera une autre fois...


En quelques secondes, Julie s'était endormie, mais sa grand mère resta encore éveillée quelques temps avant d'éteindre la lumière et s'endormir à son tour, contemplant avec une forte émotion le petit corps qu'elle tenait intimement enlacé blotti sous la couette contre son ventre palpitant.




LES VACANCES DE JULIE

CHAPITRE 2 - NUIT CÂLINE