Entre les tentes du Camping de la Merde…
Linda de Zouza, mère de famille velue comme une ourse, les lèvres sexuelles pendantes presque aux genoux, comme chez les Hottentotes, et le clitoris en érection, telle une tige phallique, encule avec délices sa fillette Luisa, âgée de quatre ans à peine.
Les deux femelles sont belles. Si bandantes ! Atteintes d’une forme d’hirsutisme extrême… Velues de noir. Bestiales… Deux objets sexuels. Deux vulves anormales, hypertrophiées dans toutes leurs parties. Deux vagins et deux trous du cul béants. Deux hyènes dominantes au monstrueux clitoris, obsédées par le plaisir génital, les bizarreries excitantes, les plus odieuses perversions, les saletés innommables. La mère porte sa fillette en marchant. Elle la sodomise en masturbant le clitophallus rouge vif de l’enfant, dressé comme une pine de caniche. La petite salope gémit de bonheur.
La maman et sa gosse regardent, près d’elles, un père pédophile et scatophile en action : ce salaud dévore les excréments de son garçonnet blond à la quiquette raide, âgé de cinq ans, qui jouit en chiant de gros étrons puants dans la bouche paternelle. Dans le même temps, l’homme encule sans vergogne sa fillette blonde et toute duveteuse, âgée de quatre ans, et dont la merde enduit la grosse queue, les couilles et le bas-
« Maman, maman, ze zouis encore ! lance la petite Luisa, dont la clitopine maternelle ramone avec énergie le rectum.
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La tige clitoridienne de la mère incestueuse et scatophile va et vient de plus en plus vite dans le trou du cul dilaté, rouge d’excitation et brun de merde, de la fillette. La gamine ne retient plus ses selles : les matières fécales déferlent en masses brun-
Linda de Zouza décore la jolie figure de sa fille d’une tartine de matières fécales ignobles et glaireuses, que l’enfant velue lèche, hume et gobe avec des soupirs de bonheur. Le caca sort à présent en paquets de l’anus de la fillette. La mère en enduit leurs deux corps qui jouissent dans une succession d’orgasmes sublimes.
« Bon, dit la maman dégueulasse en tartinant encore de merde ses nichons velus et plats, maintenant, il faut retrouver le mâle que nous avons vu hier, avec sa queue monstrueuse, et son fils qui est, lui aussi, membré comme un âne.
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Les deux femelles avancent dans le Camping de la Merde. Elles tournent un coin et tombent sur une autre scène affreusement bandante.
Deux homosexuels scatophiles sont en action. Nus, excités, membres raides, anus béants.
L’un est jeune, à peine vingt ans, grand, large d’épaules, d’une beauté merveilleuse, un visage d’Adonis, le cheveu blond ondulé, un corps sculpté comme celui du « David » de Michel-
La partie la plus étonnante de l’anatomie du jeune homme se révèle lorsqu’il écarte les cuisses et ouvre à deux mains son entrefesses. Il est muni d’un anus d’une taille incroyable et d’une saleté repoussante, qui ressemble à une vulve de jument enchâssée d’excréments. L’orifice est long d’une douzaine de centimètres au repos, rouge vif et brun caca, bordé de peaux pendantes de plus de dix centimètres, qui lui donnent l’air d’une fente de femelle en chaleur. Les rebords, brisés et ignobles, témoignent de sodomies incessantes depuis le plus jeune âge, et de fistages délicieux (un poing, puis deux) à chaque moment de la vie.
« Je suis ta fente sale, ta femelle, ton trou à bite, ta vulvette ! murmure l’athlète à queue d’enfant à son partenaire.
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L’autre pédé est un homme mûr, la cinquantaine. L’exact contraire du beau jeune homme. Son corps velu de gris-
« Maman ! dit la petite Luisa de Zouza : regarde le m’sieur qui bande ! Tu as vu sa queue ? Putain de bordel de merde, elle est énorme, sa bite… Maman, tu sais que z’aime les grosses pines des m’sieurs sales…
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Le mâle mûr est, en effet, pourvu d’une queue énorme. Les couilles, lourdes et velues, pendent dans leur sac comme une paire d’oranges, presque à mi-
La fillette velue et sa mère hirsute l’excitent autant que le beau pédé qu’il se prépare à enculer. Il regarde la gamine en lui montrant l’énormité de sa bite. La gosse adore l’obscénité de ce phallus. Elle écarte les cuisses et expose son corps de fillette anormale, âgée de quatre ans à peine, avec ce gros clitoris en érection qui bande entre les lèvres pendantes de sa vulve. Le mâle adore les gamines (lisses ou velues), comme il aime les quiquettes des petits garçons, les trous et les membres des enfants, des adultes ou des vieillards des deux sexes. Il demande à la petite Luisa de Zouza d’approcher. Il la touche partout. Il adore la trouver si sale, si merdeuse. Il aime les gros suçoirs raides sur l’étroite poitrine plate de l’enfant. Il palpe le ventre et les cuisses aux longs duvets noirs, la flèche clitoridienne, les lèvres d’en bas, l’entrefesses et le cul tapissés d’excréments. Il lui dit qu’il aime la merde des petites vicieuses. Il la branle savamment. Elle se met à ahaner et presque tout de suite à jouir.
Elle caresse à son tour la grosse queue du mâle. Il lui dit de la lécher, de la sucer, de la faire devenir encore plus énorme et dure comme du bois. Tendrement observée par sa mère qui se masturbe, la fillette prend la mentule et les couilles de l’adulte dans ses petites mains. Elle a toujours été fascinée les paquets sexuels monstrueux. Elle regarde le gland violacé, gonflé à l’extrême, avec cette belle fente verticale par où giclera le jus délicieux, la crème des fillettes et des garçonnets, les vitamines des enfants sages… Elle se met à lécher la peau tendue à petits coups de langue. Elle aime l’odeur du sperme, mêlée de senteurs de pisse et de merde. Elle donne des bisous à la bite, elle la suçote, elle prend le gros cœur rouge dans sa bouche qui se distend, elle goûte avec des gémissements de plaisir les plaques de jute et d’excréments qui tapissent la pine. Elle tète comme une chevrette vicieuse.
« Hmmm !… Tu suces bien, petite fille ! gémit l’adulte : ton papa ou ta maman t’ont bien appris. Maintenant, mets ma grosse queue sale dans le cul de ce pédé : j’ai envie d’enfiler un mâle… Tu passeras dessous pour sucer sa petite bite…
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La scène se dispose. La fillette empoigne la bite de l’adulte mûr et la présente devant le trou du cul palpitant du jeune mâle à quatre pattes, qui écarte ses fesses au maximum, à deux mains, en réclamant qu’on le monte comme une femelle. Il dit qu’il est en chaleur, qu’il est ouvert comme une pute, qu’il a besoin de jus dans sa chatte à merde, qu’il voudrait qu’on lui fasse un enfant…
La fillette velue branle la pine énorme de l’enculeur et pose le gland gonflé, violacé, luisant de salive et d’excréments, de sperme et de jus organiques, sur le sphincter anal défoncé, déchiré, pendant, béant, débordant de chiasse. Le bellâtre soupire comme une fille amoureuse dont le papa touche la vulve et le trou du cul. Ses énormes biceps, son thorax de culturiste et ses cuisses d’athlète, excitent la gamine, qui aide l’entrée de la grosse queue dans le rectum. La saucisse sexuelle s’enfonce dans le boyau du pédé, le force, le dilate, l’investit, va loin, envahit l’ampoule ignoble, disparaît jusqu’aux couilles. Puis se retire lentement, avec volupté…
La tige phallique ressort tapissée de merde brun-
La vicieuse petite Luisa exige une queue, elle aussi. Elle se met à quatre pattes sous le bellâtre musclé, tend son mignon petit cul velu de noir, attrape la pinette raide et rouge et se l’enfonce résolument dans le trou à merde. Elle pète de bonheur en se sentant sodomisée. Elle fait aller et venir plusieurs fois le membre dans son boyau, puis libère la queue et se retourne. La quiquette arquée de l’Apollon est enduite d’une épaisse couche d’excréments, que la gamine renifle et commence de lécher. Au même moment, la maman hirsute passe derrière l’enculeur, en agitant le poignet sur son clitoris énorme. La femelle adulte palpe et excite l’anus qui se présente. Elle enfonce sa tige sexuelle bandée, raide, dans l’intestin qui la réclame. Elle perçoit, sur son pseudophallus, la chaleur des matières fécales du mâle hypermembré. Ce dernier encule de plus en plus vite et fort le pédé qui crie de plaisir.
La fillette sent la bite raide de l’enculé se contracter entre ses lèvres et sur son palais. Un long cri de plaisir s’ensuit et marque le début des giclées d’amour. L’athlète possède une pissette minuscule, mais il expulse de gros volumes de sperme tiède et clair. Le jus de couilles remplit la bouche de l’enfant, fuse, ressort par les narines, gicle encore, continue de couler comme une morve délicieuse. La gamine avale, avale, avale ce délice en pignolant sa clitopine, et en jouissant comme une folle. Son vagin de petite fille est inondé par la cyprine : toutes les enfants du monde feraient pareil si elles étaient bien éduquées.
La mère hirsute encule l’enculeur et se met, elle aussi, à jouir. Elle soupire que c’est bon et commence de chier un énorme étron marron sombre, puant, ignoble, qu’elle attrape dans sa main et plaque sur le visage du quinquagénaire en folie. Lequel culète de plus en plus fort. L’anus du bellâtre, béant, dilaté au maximum, tel un trou du cul de vache, expulse de grosses selles molles, quasi liquides, qui ont l’apparence du fumier. La queue énorme du baiseur ressemble à un gourdin brun et luisant, couvert de ces excréments tièdes. Sa grosse tête fendue va jouir. Le mâle dominant branle une dernière fois sa pine énorme. Il dit en haletant à la fillette :
« Mon amour : suce-
La gosse adorable, la bouche encore pleine du sperme abondant de l’Apollon, attrape à deux mains la tige géante et abouche ses lèvres au gland. Elle astique très vite la mentule merdeuse, suce très fort le « m’sieur sale » en le regardant de ses merveilleux yeux noirs emplis de vice. Le pervers n’en peut plus : il râle qu’il jute, qu’il jouit, qu’il va couvrir la petite fille de semence, qu’il va lui donner ses vitamines, que c’est bon, tellement bon…
La pine gigantesque est saisie de spasmes et dégomme en force dans le gosier de l’enfant velue et vicieuse, dont les yeux brillent de plaisir. Les jets de sperme fusent dans la bouchette, la remplissent, débordent des lèvres, dégoulinent sur les joues et le menton, s’étalent sur le visage, les cheveux, le cou, la poitrine de la petite. Giclée après giclée, bonheur après bonheur… On a l’impression que cet orgasme n’en finira jamais, et que la substance la plus précieuse du monde passe des couilles de l’enculeur dans la gorge d’une petite fille bien élevée, pour que chacun se masturbe en lisant l’histoire, et jute en pensant que c’est dans la gorge d’une fillette de classe maternelle. Ou d’un petit garçon, peu importe à qui éjacule.
A la fin, tout est bien.
N.B.
En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.
LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE
CHAPITRE 13 -