Au Camping de la Merde…

Linda de Zouza, la mère pédophile, incestueuse, scatophile, hypersexuée et hirsute, tient dans ses bras sa fillette Luisa, âgée de quatre ans. La petite est jolie comme un cœur, avec cette peau douce couverte d’un épais duvet noir précoce qui trahit le vice et fait bander les salopards dans le genre de ceux qui lisent cette histoire (et de celui qui l’écrit). La gamine est vicieuse, hypersexuée, sale ; bref, bien éduquée…

 Les deux femelles regardent, en se tripotant mutuellement la vulve et l’anus, les jeux pédo-scato d’un grand Noir à la bite monstrueuse, qui jouit de ses deux enfants chéris – un garçonnet de sept ans, qu’il finit de sodomiser, tandis qu’il avale la merde puante et excitante que sa fillette de huit ans lui chie dans la bouche. La fillette noire, très jolie et très laineuse, la vulve béante et violette de jouissance, finit d’éjaculer : son vagin d’enfant, bordé de deux énormes nymphes pendantes en escalopes rose vif, bave sur ses cuisses et ses fesses. Son clitoris phallique est secoué de spasmes. Le garçonnet, le cul rempli, dilaté, ouvert, défoncé par la bite colossale de son papa, a lui-même la queue en érection. Il ne jute pas encore, bien sûr : il est bien jeune ; mais il jouit intensément. Il s’affale en râlant de plaisir sur la poitrine et la figure conchiées de son père, dont il baise la grosse bouche merdeuse en y mettant la langue. La tige sexuelle hors du commun du papa pédophile – quarante centimètres de longueur, sept de diamètre – finit de dégommer à longs jets dans le rectum filial, puis s’en extirpe lentement, tapissée de sperme et de matières fécales, en retroussant avec elle les peaux de l’anus dévasté.

 La petite Luisa de Zouza n’y résiste pas. Elle se précipite vers le trio de Noirs en disant à sa mère :

 « Maman, ze suis toute mouillée et mon trou à caca me démanze… Z’ai envie de zouir ! Regarde la grosse queue du papa Noir, elle sort du trou à caca de son petit garçon… Elle est couverte de bonne saleté qui pue et de bon zus de couilles de m’sieur vicieux… Ze vais la touçer, la branler, la léçer, la sucer…

 - Oui, mon amour, dit Linda : nettoie bien la pine de ce salopard de Nègre qui aime la merde au cul de ses enfants. C’est comme ça qu’on devrait élever les gosses… Ensuite, ce pédophile me mettra son gros manche dans la chatte ou dans le cul, comme il voudra. J’ai envie de me faire défoncer, putain de bordel de merde de saloperie de pédophiles que vous êtes tous ! »

 La fillette Luisa s’empare à deux mains, avec autorité, du membre sexuel ignoble et monstrueux du papa Noir. L’organe, couvert d’excréments jaune-brun et de jute hyaline, est encore en pleine érection et continue de cracher le jus d’amour gluant. La gamine sait ce qu’elle doit faire : elle branle avec vigueur la pine colossale. Elle la masse et palpe les couilles ; elle la flatte ; elle agace le collet et le frein sensibles. Elle approche sa jolie bouche enfantine du gland brun-rose. Elle bisouille et mordille la tête du nœud chargée de semence et de chiasse. Elle lèche le corps de la verge sur toute sa longueur en avalant la mixture d’excréments et de semence. Elle enjambe, avec son petit corps poilu, la tête du papa Noir et place sa vulvette et son trou du cul au-dessus des grosses lèvres gourmandes. Le pédophile adore. Il sent la bouche de la gosse qui, malgré la dimension de l’engin, se referme sur le bout de son membre, donne des coups de langue et le pompe. Il a le nez dans le trou du cul de la fillette et lui lèche la vulve en appréciant la longueur exceptionnelle et le goût salé des deux nymphes. Il fête l’anus de l’enfant avec sa langue. Il y recueille d’épaisses traînées de matières fécales, dont il se délecte. Il grogne que c’est bon, la merde et la pédophilie ; qu’il aime sucer, lécher, baiser, enculer les enfants, mâles, femelles ou hermaphrodites. Pour le récompenser, Luisa se met à pisser large et dru. Le mâle ouvre un large bec et boit l’urine jaune et tiède de la nymphette, qui lui emplit le gosier en gargouillant, et qu’il avale.

 Le grand Noir trique à nouveau comme un fou : il n’a pas débandé, il jute encore et il est à nouveau prêt à limer et à jouir… Sa pine de quarante centimètres sur sept ressemble à une matraque de CRS brun sombre, au gland rose vif – parcourue de grosses veines et vibrante de désir, plus grosse que la jambe de l’enfant qui la tète.

 « Viens ici, maman çérie, salope que tu es ! lance la petite fille vicieuse à sa génitrice. Et vous, les enfants de ce sale papa qui bande, venez aussi : on va zouer tous ensemble à plein de saletés ! Z’ai la moule rouze et mouillée, et mon zizi de fille est tout raide. Z’ai besoin de zouir ! »

 Tout le monde obéit à la jolie nymphette poilue de quatre ans, dont le clitoris rouge et arqué monte au nombril. La fillette arrange le groupe. Elle étend le grand Noir sur le dos. Elle fait monter sa mère à califourchon sur le mâle, jambes ouvertes, dans la position de la femelle qui s’empale. Le ventre, les cuisses, le cul hirsutes de Linda de Zouza se déploient dans leur splendeur, à la vue de tous ceux qui aiment mater en se branlant délicieusement. On voit pendre, dans la fourche vulvaire de la Portugaise, les deux lèvres sexuelles en escalopes phénoménales ; tandis que le clitoris phallique frotte la pine en érection du papa pervers. Rien n’est excitant comme les mimis mouillés de ces deux sexes impatients…

L’enfant Luisa saisit la matraque génitale du mâle Noir, la masturbe contre les poils du ventre de sa mère, la redresse en arrière et en ajuste la tête au vagin maternel. Sitôt que le gland est en place, rose et gros comme un cœur de veau, le bâton d’amour commence d’investir la fissure gluante du vagin. Les amants s’emboîtent en gémissant. La bite remplit la chatte hypertrophiée et la lime doucement, puis de plus en plus vite. Les adultes donnent de grands coups de cul. La vulve bave un jus épais qui se mêle à la merde restée sur le phallus. Le gland frotte le point G de la femelle velue, qui feule de plaisir et commence presque aussitôt de jouir.

 L’enfant Luisa saisit le petit garçon Noir par la queue. Elle lui soupèse les couilles. Elle lui excite le trou du cul – tout merdeux et tout défoncé d’avoir été, une fois encore, violé par le père pédophile. Elle branle la verge et la suce. Elle n’a besoin que de quelques coups de poignet et de langue pour redonner au puissant phallus du poulain de sept ans son plein développement : dix-huit centimètres sur quatre. Une adorable matraque brune, au gland incarnat… La gosseline de quatre ans amène le garçonnet surmembré derrière sa maman chérie dont le vagin est déjà rempli par la bite du papa pervers. Elle pose la tête phallique du gamin sur le trou du cul dilaté, abîmé, élargi, défoncé de sa génitrice, qui feule en sentant venir la sodomie, par conséquent la double pénétration. Linda de Zouza aime avoir tous les trous pleins. Elle fait beau cul. Elle pète longuement. Elle lâche de longs trains de gaz, puants à souhait… La pine arquée du jeune Noir explore l’anus dilaté et saccagé. Elle pousse, elle s’enfonce dans le derrière de la femelle adulte avec une facilité déconcertante. Le membre disparaît jusqu’aux couilles dans l’ampoule rectale garnie d’une purée fécale chiasseuse, brun foncé, douce et tiède. Le petit Noir adore enculer les mamans sales. Sa queue tonique va et vient dans le sac à merde. Les parois de l’intestin et du vagin transmettent toutes les vibrations : le père et l’enfant sont vite en phase et culètent avec énergie. Chacun sent la bite de l’autre qui ramone la femelle ; ce mimi de glands à travers les chairs du rectum et du vagin les excite encore davantage.

 Linda de Zouza, folle de plaisir, lâche de grandes giclées de jus femelle sur la queue chevaline du papa Noir qui l’enconne, et des paquets de merde grasse et puante sur la pine du fiston qui lui ramone le boyau.

 La jolie Luisa désire, à présent, s’occuper de la fillette noire, âgée de huit ans, qui vient de se faire manger la merde au cul par son papa pédophile. Luisa caresse l’enfant à la peau sombre, elle baise ses grosses lèvres et enfile sa langue dans ses larges narines pour y glaner le suc glaireux et les crottes dont elle raffole. La petite Noire répond et suce les trous de nez de Luisa : elle en extrait de longues chandelles visqueuses dont elle se régale. Les langues des fillettes se mêlent et tournent ensemble, les deux enfants se crachent dans la bouche. Elles se caressent les seins, réduits chez l’une comme chez l’autre à de gros suçoirs érectiles et obscènes, dressés sur une poitrine étroite et plate. Elles se regardent les poils : sous ce rapport, les gosselines sont très anormales. Les poils la petite Noire sont crépus, serrés, en laine drue. Ils couvrent les mollets, les cuisses et le cul, s’épaississent sur les aines et le pubis, et remontent en piste au trésor plus haut que l’estomac. Ils forment un duvet serré sur la poitrine, avant de boucler encore, épais et noir d’encre, aux aisselles. Les poils de Luisa sont plus longs, plus doux, plus ondulés, mais tout aussi drus et envahissants. La gamine est fière de son hirsutisme, comme toutes les salopes hypervelues, quel que soit leur âge.

 « Tu as le cul, le ventre et la chatte couverts de poils, c’est bizarre, à quatre ans ! dit la petite Noire.

- Ze suis comme maman, répond Luisa. Ze suis Portugaise. Ma mamie aussi est poilue de partout. Elle me fait minette avec papy, qui a une très grosse bite et qui zute très fort…

- J’aime les poils, dit la fillette noire : c’est doux, ça m’excite aussi beaucoup la minette et le trou à caca. Mon papy et ma mamie me font des trucs très sales avec leur bouche et leurs trucs du pipi et du caca. Papy et mamie sont comme papa et maman : ils me mettent du caca, du pipi, du jus de couilles sur le corps pour me faire pousser les poils, la zézette rouge et les lèvres. Ils disent que c’est le bon engrais…

 - Oui, dit Luisa en riant : tout comme toi ! Du pipi, du caca et du bon zus de çatte et de couilles partout sur la peau ! Ze m’en couvre, ze m’en mets plein partout ! Maman n’arrête pas de m’en remettre quand ze n’en ai plus… Et plein de m’sieurs dames sales me pissent dessus, me çient dessus, me ziclent dessus…

 - Comme moi ! », conclut la petite Noire, qui bande et dont le clitoris énorme fait de gros mimis collants au clitoris hypertrophié de sa jeune partenaire.

 Les fillettes se frottent, poitrine plate contre poitrine plate, ventre contre ventre, clitoris contre clitoris, lèvres sexuelles contre lèvres sexuelles. Leurs deux membres rouges sont bandés sur leurs petits ventres poilus – merveilleux clitoris raides, rouges, gonflés, hypertrophiées. Les tiges amoureuses se baisent comme deux jeunes queues mâles en état de rut homosexuel. Les fillettes dotées par la nature d’un clitoris hors normes sont les plus belles et les plus excitantes, surtout (comme ici) lorsque leur vulve, très gonflée, laisse ballotter très bas deux « petites » lèvres qui ne sont pas petites du tout, mais au contraire énormes, rouges, pendantes en tablier d’Hottentote, véritables escalopes de plaisir qui couvrent la moitié des cuissettes…

 Les gamines se mettent tête-bêche, cuisses grandes ouvertes, et commencent de se sucer le clitoris, les lèvres et le trou du cul, qu’elles ont très défoncé, béant, sale et hypersensible. Elles parviennent vite à la jouissance. Elles s’enfoncent l’une l’autre deux doigts, trois doigts, quatre doigts, puis la main entière dans la vulvette. Elles passent au le trou à merde, qu’elles ont très élargi. Les menottes disparaissent dans les rectums, les poignets puis les avant-bras suivent. Les fillettes retirent leur main garnie d’excréments. Elles se lèchent la merde sur les paumes et les doigts. Elles grognent de plaisir en se masturbant le clitoris comme des garçons, à toute vitesse. Elles jouissent comme des Messalines, tant il est vrai que, chez les lolitas bien éduquées, la puissance de l’orgasme est extrême.

 « Il faut qu’on leur fasse caca dessus pour les faire zouir ! dit Luisa, en montrant le trio des deux adultes et du jeune Noir.

 - Oui, dit la petite Noire : ils ont besoin de manger de la merde ! Moi, il m’en reste encore dans le cul, même si mon papa m’en a déjà avalé des gros morceaux tout à l’heure…

 - Moi, dit Luisa, ze suis pleine… Ze dois caquer très fort… Ze vais le faire dans la bouçe de ma maman et de ton papa, ils vont zuter très fort…

 - Mon petit frère aussi, il adore la merde ! précise la Négresse en manipulant déjà son anus pour venir pondre.

 - Il va en avoir, et pas qu’un peu ! » conclut la délicieuse nymphette de quatre ans.

 Les deux gamines velues – petit cul brun et petit cul blanc, deux paires de lèvres sexuelles pendantes, deux gros clitoris en érection – se mettent en position, au-dessus des têtes réunies du trio en action. Le petit garçon n’est pas le dernier à demander sa pitance, tandis qu’il encule la maman poilue de Luisa. Le père Noir sent sa queue grossir encore dans le vagin de la Portugaise, tandis que les fillettes pètent longuement sur les visages impatients. Linda feule que c’est bon, de se faire prendre par les deux trous en dévorant des étrons ; qu’elle l’a fait dès l’âge de quatre ans avec son papa et monsieur le curé ; et qu’elle va jouir comme une salope de pute de femelle à merde qu’elle est…

 La petite Négresse caque la première : il lui en reste une bonne quantité dans l’ampoule rectale, qui débonde par l’ouverture de son anus défoncé, sous la forme d’une lave molle et pâteuse, informe, jaune verdâtre, puante et gluante. Les bouches avides se jettent sur le cadeau, le baisent, le lèchent, le gobent, en taillent de grosses parts, s’en repaissent, s’en délectent. La merde de la nymphette noire est très acide et amère, donc bandante à souhait.

Vient le tour de Luisa, qui grogne de plaisir en se secouant le clitoris et en s’étirant très fort les nymphes. La gosse pousse, pousse, bée largement de l’anus en pétant comme un soudard, et commence de déféquer. L’étron qu’elle propose à la gourmandise de ses partenaires mesure cinq centimètres de diamètre et s’allonge, s’allonge, sur plus de vingt, trente, avant de s’enrouler, tel un boa fumant, sur les visages des trois scatophiles qui la réclament. Le caca de la gamine est brun-jaune, assez ferme, bosselé, luisant, agrémenté de morceaux mal digérés, de filaments, de sombres traînées de chiasse et de chandelles de sperme laissé là par divers sodomites. Les deux fillettes se saisissent du popo sale, l’écrasent à pleine main sur la bouche et la figure des adultes, qui dévorent le fumier adoré en gémissant, et du petit Noir, lequel mange et jouit en pleurant presque de plaisir, tandis qu’il agite à toute vitesse sa queue saisie de spasmes dans le rectum tiède et garni de merde de la mère indigne.

A présent, tout le monde crie et râle de bonheur en se délectant des matières fécales enfantines que Luisa continue de mouler en gros paquets, avant de s’en enduire elle-même le corps. Les femelles pataugent dans la merde en se frottant la vulve et le cul de pâte ignoble. Les mâles grognent en jutant comme des ânes. Les orgasmes succèdent aux orgasmes. Les spasmes secouent le groupe. Il est, une fois de plus, démontré que le nirvana se trouve dans l’étron. La beauté du monde s’inscrit dans les matières fécales que deux fillettes et un garçonnet partagent, au Camping de la Merde, avec une maman hirsute et un papa Noir pédophiles et scatophiles, dotés de monstrueux organes sexuels, mais d’une morale pas plus grosse qu’une pissette de bébé à peine né.


 NB. En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à échanger uniquement entre adultes. Il n’appartient qu’à la littérature.



LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE

CHAPITRE 8 - JEUX SALES EN NOIR ET BLANC