Il fait beau. La petite Luisa de Zouza sourit. Un merveilleux sourire de fillette de quatre ans, vicieuse comme on les aime, avec d’excitants restes de merde sur les dents et les lèvres… Elle a déjà joui de nombreuses fois, ce matin. Elle dit « z’ai zoui » avec un adorable zézaiement. Elle se prépare à le faire encore souvent dans la journée. Comme chaque jour.

Avec de si bandantes saletés…

Avec sa maman Linda, elles marchent dans le Camping de la Merde. Elles avancent en se masturbant le clitoris et les lèvres sexuelles, organes génitaux qui, chez elles, sont hypertrophiés, tout comme la pilosité.

Du haut de ses quatre ans, Luisa est superbe. C’est une petite fille excitante, potelée, délicieusement femelle en dépit de son âge tendre. Un amour pour pédophiles amateurs d’anomalies sexuelles extrêmes chez les très jeunes enfants… Un petit nez mutin, des yeux noirs aux longs cils épais, une grosse bouche gourmande... Elle est atteinte (c’est de famille) d’une forme extrême d’hirsutisme. Cheveux aile de corbeau, moustache visible, joues avec des prémices de barbe, énormes sourcils jointifs et foisons de poils enfantins très doux sur les bras, la poitrine, le ventre, les reins, les fesses, les cuisses, les jambes…

Outre l’hirsutisme, elle possède les attributs sexuels typiques des fillettes hyper-précoces et bien éduquées par leurs parents : un clitoris énorme, une vraie clitopine, un membre sexuel en érection quasi constante, d’une longueur de dix centimètres et d’un diamètre de trois. Autour de son petit vagin dégoulinant, où l’hymen n’est qu’un souvenir depuis le jour de la naissance, ses nymphes étirées, travaillées, pendent comme deux drapeaux écarlates entre ses cuissettes tapissées de duvet noir, et dégouttent constamment de cyprine. L’anus, ouvert plusieurs fois par jour par la bite d’un enfant, la grosse queue d’un mâle pédophile ou le mégaclitoris maternel, est béant, rouge, crotté de brun ; couvert de merde, comme le reste du cul. La fillette a été très tôt initiée aux plaisirs sans égaux de l’enconnage et de la sodomie, de la dégustation de pisse, de la scatophilie, bref des perversions les plus dégoûtantes et les plus enivrantes.

Sa mère est une ourse ignoble, incroyablement velue. Plutôt petite, jolie, avec un grand nez (signe d’organes sexuels hypertrophiés), elle a la poitrine plate, à l’exception de deux énormes suçoirs bandés, comme des bites d’adolescents qui se masturbent en regardant leur mère velue chier devant eux, dans le grand pot de chambre familial. Ventre, cul, cuisses, jambes sont tapissés d’une fourrure longue et drue, avec les chevelures de trente centimètres aux aisselles, sur le pubis, les cuisses et l’entrefesses. Le clitoris atteint une longueur de vingt centimètres, pour un diamètre de cinq, et rend jaloux bien des mâles. Les nymphes, en escalopes épaisses, frangées et violacées, ballottent presque jusqu’aux genoux, tandis que l’orifice anal ressemble à une lunette de chiottes, avec des peaux pendantes, déchirées, allongées, d’une saleté et d’une puanteur innommables…

« Tu fais grossir ma grosse tize, maman série ! zozote la petite Luisa, qui se masturbe le clitoris en étirant ses lèvres. Regarde comme ze bande dézà gros !

- Toi aussi, ma belle, tu me donnes la trique... Et tu voudrais que je t’encule !

- Oui, maman série : encule-moi ! Z’ai besoin d’un gros bâton dans mon trou sale !… »

La mère sourit et prend sa fillette dans ses bras. La puce est légère : la maman la soulève, lui baise la bouche, lui crache dedans, lui suce la salive puis lui cure les narines de sa longue langue vicieuse : elle adore la matière qui se forme dans le nez des petits et petites. Elle dispose la gosse sur elle, dans l’attitude de la grenouille (la position favorite des gamines), les cuisses bien écartées et relevées, la fentine offerte, l’anus exactement au-dessus de la tête de son énorme clitoris. La douce enfant se laisse descendre sur le membre maternel. Son sphincter habitué aux sodomies pédophiles se donne, accueille la queue femelle, la gobe, l’engloutit. La fillette s’empale jusqu’au fond du rectum en fermant les yeux et en gémissant que « c’est bon d’être une gamine vicieuse et d’avoir le cul larze ».

La mère avance ainsi, dans le Camping de la Merde, en portant sa gosse embrochée sur sa flèche d’amour. Les pas de l’adulte font entrer et sortir la clitobite du trou culier enfantin, ce qui procure aux deux partenaires des sensations délicieuses.

Devant une tente ouverte, les deux femelles tombent sur une autre scène de pédophilie scatologique honteusement excitante.

Deux papas se masturbent de la main droite. Ils sont nus et portent chacun leur fillette déshabillée sur leur bras gauche. Ils ont une trentaine d’années, leurs gamines à peine cinq. Les papas se sourient. Ils sont excités, la queue raide. Ils ont tous deux une grosse pine (comme tous les amateurs d’enfants), longue et lourde, et des couilles pendantes et bien pleines. L’un est brun, l’autre blond. Les enfants (brune et blonde comme les papas) sont adorables.

Les mâles adultes se roulent une pelle baveuse. Ils se tripotent mutuellement le ventre, le cul, les couilles, la bite et le trou du cul. Les gamines rient en se trémoussant sur leur bras velus. Elles écartent bien leurs petites cuisses. Elles frottent leurs parties génitales et anales sur la peau des papounets chéris. Elles aussi aiment la position de la grenouille, qui expose si largement et si vicieusement l’abricot sexuel et le tunnel à caca.

« Salaud de pédophile ! dit l’homme brun : je suis content de te rencontrer après ce contact Internet !… Je m’appelle Ahmed et voici ma petite Yasmine ; brune, vicieuse, bien éduquée et, comme tu peux le voir, déjà bien poilue.

- On est amateurs d’enfants, et c’est bon ! répond le blond : je suis Léo, et je te présente ma délicieuse Alice. Elle aussi est éduquée depuis longtemps. Et joliment hirsute, pour une puce de cinq ans...

- Il va falloir leur donner leurs vitamines ! sourit Ahmed. J’en fais prendre à Yasmine depuis sa naissance.

- Moi aussi, confirme Léo : Alice en prend plusieurs fois par jour depuis le berceau. Je lui ai d’abord administré ses fortifiants par la bouche, puis par la petite fente. Maintenant, je lui donne le plus souvent par l’anus, directement dans le boyau. C’est plus efficace.

- Et c’est là que c’est le meilleur !... Les gosses ont besoin des bonnes vitamines de leurs papas ! affirme Ahmed, dont la main tripote la fente grasse et le trou à merde de Yasmine, laquelle écarte les cuisses autant qu’elle peut en riant de plaisir.

- Oui, dit Léo : ça leur fait une peau très douce, de gros organes sexuels et ces beaux duvets d’enfant qui nous font tellement bander… Regarde ma petite Alice : elle est déjà hérissée du ventre, des jambes et du cul. Comme ta fille, salaud...

- C’est vrai, reprend Ahmed : sans compter que le bon jus de bite des papas leur donne envie de faire des pipis et des cacas délicieux…

- Putain, sourit Léo : t’es comme moi, gros porc immonde ! Tu aimes les gamines velues, la pisse, la merde ! Pédophile, urophile et scatophile ! Tu mérites qu’on fasse des saletés pendant toutes les vacances avec nos fillettes.

- Et même après, tu sais… Et avec tous les enfants qu’on pourra… J’aime tout ! Les petites filles, les petits garçons, les adolescents, les adultes mâles ou femelles, les vieux : mais je reconnais que je suis un putain de pédophile !

- Moi aussi, comme un fou !… Je me fiche des codes sociaux et des interdits. Je baise tous les âges comme je veux. Je ne compte même plus le nombre d’enfants que j’ai sucés et à qui j’ai fait téter ma queue ; des fillettes que j’ai enconnées ; des garçonnets et des fillettes que j’ai sodomisés jusqu’aux couilles… Et ta femme, elle fait quoi ?

- Cette salope de femelle hirsute cherche sûrement quelqu’un pour l’enculer, à l’heure qu’il est. Elle adore se faire prendre dans sa merde, en suçant des bébés, des adolescents, des gamins, des gamines, des transsexuels, n’importe qui, pourvu que ça sente le sexe, la pisse et la merde… Elle se fait chier dans la bouche à longueur de temps, elle en a besoin pour jouir.

- Elle aime ce qui est bon ! La mienne est avec ma grande fille de douze ans, mon fils de huit et ma petite dernière de six mois. Et avec mes parents… Ils font tout dans la tente à côté. Tu sais, je baise avec mon père, ma mère, mes frères et sœurs, leurs enfants et mes enfants, depuis des années.

- L’inceste, c’est bon… En famille, c’est encore plus bandant… Pour l’instant, j’ai envie de juter dans le boyau de ta belle petite. Tu feras pareil à la mienne. Elle adore ça. »

Ils échangent les gosses. Ils aiment se voir bander si dur pour leurs fillettes sales et vicieuses.

« Montre-toi bien, Yasmine, dit Ahmed, et fais beaucoup de mimis sales sur la grosse queue raide de mon copain Léo. Sur ses couilles et son trou du cul, comme je t’ai appris...

- Sur le trou du cul, c’est bon ! dit Léo. Alice, tu fais tout pareil à Ahmed, hein, ma chérie ! C’est un gros salaud de pédophile, comme moi… »

Les deux mâles adultes se couchent par terre, sur le dos, les jambes écartées, la queue gonflée, rouge et levée sur le ventre ; le gland bien plus haut que le nombril, les couilles offertes, l’anus béant.

Les enfants perverties viennent sur la poitrine velue des mâles, le cul au-dessus de la bouche qui les désire. Elles savent offrir le spectacle de leurs organes pour faire triquer, puis juter les amateurs de fruits verts. Elles ont appris ce qu’elles doivent faire avec leur bouche et leurs mains, leurs culs délicieux, leur corps d’enfants sales…

Yasmine, belle fillette brune, le cul rond, tout tapissé de longs duvets noirs précoces, offre aux regards une vulve travaillée, au très gros abricot d’enfant bien fendu, d’où jaillit un clitoris en forme de quiquette raide et rouge, et d’où pendent deux lèvres vaginales étirées, larges, dégoulinantes de jus d’amour. La raie culière, très velue pour l’âge, laisse voir une rondelle anale dilatée, fissurée, crêtée et violacée, tapissée d’excréments et incapable de se refermer à force d’avoir été forcée.

Chez la blonde Alice, les organes sexuels sont également hypertrophiés et le clitoris phallique, bandé, avec un gros gland décalotté. La motte, garnie de longs poils frisottés d’angelot, offre – très longues et festonnées – ses lèvres sexuelles en oreilles de cocker. L’anus forme le plus sale des orifices : dans l’étoile du sphincter défoncé, on voit poindre la tête jaune et puante d’un volumineux étron.

Les papas se mettent à lécher passionnément le clitoris, la vulve, les lèvres pendantes, le trou brenneux des gamines de cinq ans, qui font beau cul et couinent de plaisir. Les petites éduquées prennent dans leurs mimines expertes le gros phallus rouge sale des pédophiles excités, et commencent de branler l’organe en lui donnant des bisous. Les bouches excitantes des fillettes lèchent, salivent, s’ouvrent et engloutissent sans hésiter le membre sexuel dont elles sont chargées. Rien n’est beau comme une fellation administrée par une petite puce bien élevée… Les petites filles pompent goulûment les manches d’amour tumescents, crades, ignobles. Elles posent des baisers sur les couilles velues des papas, soulèvent le scrotum, reniflent la puissante odeur du cul des mâles et trouvent, dans les poils collés d’excréments de la raie culière, le vaste orifice défoncé par où les papas font leurs gros besoins.

Ahmed et Léo se mettent à péter. Ils larguent de grosses vesses puantes dans le nez délicat des fillettes qui inhalent les gaz et se mettent aussitôt à pisser. Les mâles ouvrent la bouche sous le méat urinaire des enfants, en écartant bien les longues et délicates lèvres internes en drapeaux rouges. L’urine des gamines gicle en large jet jaune dans le gosier des pervers, qui adorent ce jus tiède, ammoniaqué, abondant, qui les fait triquer plus dur encore. Tous les papas adorent le pipi de leurs enfants et le boivent en gargouillant de plaisir. Les deux vicieux râlent que c’est bon, qu’ils veulent de la merde, maintenant...

Les gamines savent ce qui plaît aux adultes scatophiles et pédophiles. Elles sucent les bites avec plus de passion encore et poussent de toute la force de leur joli ventre. Elles contractent leurs muscles et leurs boyaux. Leur anus frisotté de duvets touffus précoces devient large comme une bouche, rouge et violet, béant, fissuré, révulsé. Le résidu intestinal paraît dans des concerts de pets puants, gras, méphitiques, que les mâles inhalent en grognant comme des porcs.

Yasmine commence la première à chier sur la figure et dans la bouche du papa d’Alice. Alice pousse et pond, à son tour, une énorme défécation sur le visage extasié du papa de Yasmine. La merde de la gamine brune est jaune clair et verdâtre, molle, quasi liquide, d’une abondance rare ; cette chiasse fuse du trou infantile, s’abat en trouillons obscènes sur le visage du mâle, coule sur son cou, s’entasse contre ses cheveux et finit par couvrir toute sa tête à la façon d’une lave ignoble et excitante. Le papounet mange, avale ce qu’il peut, se tartine la poitrine puis tout le corps d’excréments, en met épais sur sa queue raide de désir, que la fillette tète avec encore plus de plaisir quand elle y goûte ses propres matières fécales.

La merde d’Alice est plus compacte. Elle s’extrude du boyau comme un gros serpent brun, assez molle mais moulée, lourde, emplie de morceaux mal digérés et de glaires. Le trouillon obscène s’arrondit sur la figure de l’adulte, qui y taille sa pâture, mâche en grommelant de bonheur, exprime le jus, avale et ne manque pas, comme son complice, de s’enduire le corps de matières immondes.

Les papas n’en peuvent plus. Ils sont couverts de fumier, la queue raide de désir. Ils font mettre les fillettes à quatre pattes devant eux.

« Putain de nom de Dieu, que c’est bon, dit l’un, la bouche pleine de merde…

- Maintenant, dit l’autre, qui déglutit en râlant de bonheur les excréments, on va leur donner nos bonnes vitamines par le trou du cul !

- Oh ! oui... Venez, les petites, faites beau cul pour vos salauds de papounets ! »

Les gosses, à quatre pattes, et les cuisses bien écartées comme de petites chiennes, lèvent les fesses et les remuent pour exciter davantage encore les pédophiles. Petits culs délicieux d’enfants offerts, et déjà tout tartinés de merde… Si petits corps, par rapport aux adultes ; si fragiles en apparence… Les lèvres internes des chatounettes pendent très bas entre les cuissettes, en drapeaux rouges et suintants. Les longs et gros clitounets bandent sur les petits ventres mousseux de poils précoces. Les anus, environnés de caca, bâillent de désir dans les raies hirsutes.

Rien n’est plus beau que ce qui se prépare : la sodomie sur enfants innocents… Les queues adultes, lourdes et raides, prêtes à juter, se balancent devant les culs étroits et les rondelles palpitantes des fillettes de cinq ans. Les papas incestueux et pédophiles, viennent faire mimi aux trous à caca de leurs petites puces adorées. Les glands, couverts d’excréments, gonflés de sang vif, avec leurs larges ailes violacées, frottent d’abord les vulvettes coulantes, fente contre fente, en remuant les nymphes qui pendent. Les papas poussent : les énormes têtes phalliques se faufilent dans les vaginets en écartant violemment les chairs. Les gamines ont été depuis longtemps violées et elles aiment la bite par devant. Même si ça rentre en largeur, ça ne va pas bien loin. Les conins des fillettes de cinq ans sont bien courts.

Les adultes sans morale ressortent leur pine des vaginets béants et posent la tête de leur manche d’amour sur l’anus des fillettes. Celles-ci sont habituées. Les excréments qui tapissent leur raie lubrifient le passage. Les glands merdeux poussent, forcent les chairs déchirées, défoncées, sensibles. Les sphincters puérils cèdent, une fois de plus. Les orifices s’écartent, se donnent. Les gros cœurs violacés des phallus s’enfoncent dans les rectums. Les tiges gonflées, veinées, dures et sales, pénètrent lentement, avec volupté, dans les gros intestins enfantins : le diamètre des saucisses d’amour des papas semble énorme, par rapport aux petits culs offerts. Les fillettes gémissent que « c’est bon, c’est bon, c’est bon ! » en se faisant des langues. Les papas, eux aussi, se roulent des pelles baveuses et échangent leurs salives au goût de merde. Chacun caresse la pine de l’autre, qui s’enfonce dans le fion de la gamine qu’il a prêtée au copain. Les queues progressent dans la chaleur des réceptacles enfantins. Tout finit par entrer. Les gosses ont dans le cul les vingt-cinq centimètres sur cinq des adultes fous de désir.

Les papas se retirent doucement en arrière, pour déployer sur leur tige les parois anales des pucettes qu’ils enculent. Les membres dégoulinent de merde tiède et odorante. Lorsque les mâles se réenfoncent, puis commencent de pistonner, on entend les râles des quatre acteurs ; les grognements graves des adultes et les cris aigus des petites. Celles-ci jouissent les premières, en mouinant que c’est bon, la grosse queue des papounets dans le trou sale des enfants. Les papas grommellent qu’ils ne tiennent plus, qu’ils vont gicler leur bonne jute, qu’ils jouissent, qu’ils vont donner les vitamines aux gosses qui en ont bien besoin.

Et ils jutent, en effet, en râlant de plaisir. Les giclées de sperme gras et blanc fusent des bites énormes… Une dizaine de jets tièdes que les fillettes sentent heurter les parois de leur rectum, et qui plongent pères et enfants dans un délire érotique qu’on recommande à tous les salauds qui se branlent en lisant ce texte immoral, mais tellement délicieux…




LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE

CHAPITRE 5 - DES VITAMINES POUR LES FILLETTES