Au Camping de la Merde, Linda de Zouza se sent sale et vicieuse. Elle n’y tient plus. Elle s’est déjà masturbée trois fois ce matin, mais il lui en faut davantage. A présent, elle désire être ignoble.

 Elle est nue. Elle a besoin d’être nue et crade. Pour jouir. Sans cesse… Elle est incestueuse. Folle des lèvres d’en haut et d’en bas de sa fillette, la petite Luisa, si bien éduquée au sexe malgré ses quatre ans, et à qui elle procure en retour d’intenses plaisirs. La tendre gamine a hérité de la clitopine maternelle. Elle la masturbe à pleine main, adore qu’on la lui suce, et préfère à toute autre sensation celle de son clitoris dans la pisse chaude ou la merde tiède.

 On va voir qu’en fait de perversions, la bichette de quatre ans est déjà fort avancée.

 La mère vicieuse se regarde. Elle est couverte de poils noirs. Excitante. Elle laisse tomber de longs filets de bave gluante sur la fourrure de sa poitrine, afin de faire gonfler les énormes pointes de ses seins plats. Elle lâche une série de pets sonores et foireux, dont plusieurs se terminent en gargouillis gras, qui projettent dans les poils de sa raie culière et de ses cuisses des limaces de matières brunes et puantes. Linda se palpe l’anus en gémissant. Comme la vulve, l’organe de la défécation est, chez elle, hors de proportion. Il compose une sorte de cratère autrefois musclé, désormais totalement défoncé, qui pend dans l’entre-fesses, au milieu d’un fouillis de poils collés d’excréments. De la taille d’une orange, ce sphincter, divisé par de profondes fissures, augmenté de peaux pendantes et de festons brun-rouge, présente un orifice en étoile qui ne se referme plus. Il bée en permanence d’au moins cinq centimètres. Lorsqu’il travaille à expulser les selles, ou qu’il accueille une queue, un gode ou un concombre (mieux encore : une main, voire les deux mains réunies d’une fillette ou d’un garçon), il devient prodigieux. La bouche s’épanouit comme un égout, et sourit au monde sur un diamètre de douze ou quinze centimètres, en révélant les profondeurs brun-rouge, collantes, visqueuses, d’une ampoule rectale d’un volume rare.

 Linda de Zouza s’enfonce quatre doigts dans le rectum. Elle ajoute le pouce. Elle fait pénétrer sans peine la main entière dans son intestin. Elle touche et évalue l’énorme paquet mou et tiède de substances fécales qui attend impatiemment de sortir. La merde de brandade de morue est grasse, puante, excitante. La main va et vient, et branle l’anus éclaté qui jute une bave surabondante. Les doigts ressortent collés de matières brenneuses, garnis de glaires ignobles, d’une senteur repoussante, mais qui excitent la femelle et dressent sa clitobite jusqu’au nombril, dans la jungle des poils. Linda de Zouza lèche avec délectation son index et son majeur, puis ses autres doigts souillés. Elle colle une grosse virgule de merde sur les lèvres corail et la délicieuse moustache infantile de sa fillette endormie.

 L’odeur du fumier maternel réveille la petite Luisa, qui sourit à l’adulte perverse.

 La tendre enfant est merveilleuse à voir. Le vice incarné à l’âge de quatre ans. Un corps fin et délicat de gamine, mais frappé d’hirsutisme précoce. Des cheveux mi-longs, bouclés, épais, couleur aile-de-corbeau. D’énormes sourcils noirs jointifs, des joues duveteuses et déjà cette moustache excitante qui ajoute des ondes de plaisir dans la pine ou la vulve que la petite bouche vient sucer. L’enfant est nue : elle ne supporte aucun vêtement. Elle offre aux regards de sa mère son anatomie bizarre. Elle a les cuisses et les bras potelés, une peau brune et douce de bébé, un joli ventre de grosse chieuse, des fesses dodues, profondément fendues. Avec des floraisons sublimes de duvets épais, hyperprécoces, aux aisselles, sur les avant-bras, autour des pointes érectiles des tétons. De l’estomac aux mollets, la face ventrale de la gamine est un mohair délicieux : une folie de phanères épais, bouclés, divinement bestiaux. Bandants...

 La petite Luisa est déjà laineuse comme une oursonne, avec des surcroîts de longs duvets enfantins aux aines, aux reins, aux fesses aux cuisses, aux mollets. Une fillette de l’amour… Elle sait qu’elle excite tous ceux qui la regardent. Elle n’a jamais vu personne ne pas se tripoter la vulve ou la bite en l’apercevant.

 Elle est, à présent, tout à fait réveillée. Elle sourit à sa mère et minaude, de sa jolie bouche aux grosses lèvres rouges. Elle zozote d’une petite voix flûtée : « Bonzour, maman ! Z’ai bien dormi. Z’ai rêvé qu’un grand m’sieur sale me mettait sa grosse saucisse dans le trou à caca… Z’ai coulé partout sur mon lit… Hmmm !… C’était tout bon dans mon ventre… Z’ai beaucoup zoui, comme tu dis touzours… Maintenant, z’ai une grosse envie de faire des coçonneries. Z’en ai plein le ventre, ça me fait gonfler la zézette et le trou à crotte. Regarde, maman chérie, comme il est devenu dur, mon gros bout ! »

La fillette montre en le masturbant à pleine main son clitoris rouge, décalotté, long et raide d’excitation, comme une pine d’adolescent qui regarde déféquer sa mémé pleine de poils, puis se couvre de la merde de la vieille en riant comme un fou.

 Linda de Zouza est une mère exemplaire. Elle s’inquiète du bien-être de sa gamine. Elle vient à elle, la prend dans ses bras, la soulève, la serre contre son corps hirsute, contre les forêts de poils de ses seins et de son abdomen. Elle lui caresse les cheveux et les joues, lui fait un gros mimi mouillé sur la bouche, que la petite lui rend d’enthousiasme en enfilant la langue et en salivant d’abondance.

 La mère embrasse tour à tour les gros mamelons de la gosse, qui durcissent et gonflent. Elle frotte sa figure sur le ventre enfantin garni de duvet noir. Elle ouvre au maximum le compas des petites jambes. Le parfum de cyprine, d’urine et de caca lui envahit le nez et la cervelle. Elle admire, dans le fouillis de la laine enfantine toute gluante, la vulve hypertrophiée, qui a déjà tant joui, tant pris de langues, de clitoris et de bites. Elle songe que sa petite n’est âgée que de quatre ans. Délicieuse honte… Elle adore que son enfant soit si bien éduquée. Elle lèche en grognant les poils duveteux précoces du pubis et du petit cul qui se trémousse. La gamine est graissée de sperme, de pisse et de merde depuis le jour de la naissance…

La petite fille rit et gémit de plaisir, tortille le bas-ventre et le cul sous les baisers maternels. Elle possède, comme sa génitrice, une vulve hypertrophiée. On lui voit un mont-de-Vénus large et bien fendu, d’où pendent deux escalopes sexuelles rouges, frangées et crénelées, qui atteignent la mi-cuisses parce que soumises aux étirements et à la masturbation dix fois par jour. Vers l’avant du sexe, jaillit le fameux clitoris familial. Cette clitobite est en forme de virgule de cinq centimètres de longueur lorsqu’elle est au repos – état exceptionnel. La plupart du temps, elle bande et palpite contre le duvet du petit ventre, telle une queue de garçon de douze ans : un joli membre femelle de dix centimètres sur trois, avec un gland décalotté, conique et tronqué au sommet comme celui d’un chien.

 Linda de Zouza embrasse à pleine bouche la vulve de sa gamine qui gémit de bonheur. La clitopine est raide : maman l’embouche et la tète goulûment. Il n’existe pas de meilleure sucette qu’un clitoris de fillette ou un zizi de garçonnet : tous les pédophiles vous le diront ! Maman saisit entre ses lèvres les lèvres sexuelles dégouttantes de jus. Elle les étire, les mord, les fait baver. Elle enfonce sa langue dans le vaginet, au début duquel l’hymen n’est plus qu’un lointain souvenir. Le jour de la naissance, la mère a dépucelé au doigt son nouveau-né, que le père a sexuellement déflorée avec son gros membre à l’âge d’un mois ; avant de l’initier par le cul deux mois plus tard. Maman passe à l’entrefesse, qu’elle écarte et contemple en bavant de plaisir. Les poils duveteux de la raie puérile laissent voir, dans leur fouillis placardé de sperme, de crottes et de sécrétions vaginales, un anus dilaté, en forme de bouche étonnée, rouge et brun, sensible, fissuré et définitivement élargi.

 « C’est bon ! C’est bon !… Ze vais zouir !… », grogne la petite Luisa.

 Linda de Zouza langote avec d’autant plus de passion le trou sale de sa fille.

 « Maman, ze dois faire un gros caca ! » gémit la gamine que cette langue au cul rend folle.

 « Oh ! oui, chérie…, mouine la femelle adulte : maman a faim. Fais vite ton gros caca dans ma bouche… Ensuite, on ira dans le camping chercher le m’sieur qui a une pine de cheval, tu te souviens, au supermarché ? Il a juté si fort qu’il y en avait une grande flaque par terre, et que la vieille dame a tout léché en se branlant. Hmmm !… Le m’sieur et son petit garçon… Ils ont une bite énorme, tous les deux, et ils sont sales. Le m’sieur m’a mis ses doigts dans le trou du cul à la caisse. On a rendez-vous… Hein, ma gosse, que tu aimes les grosses pines, la pisse et la merde ?

 - Oh ! maman, bien sûr que z’aime les gros maçins rouzes des m’sieurs qui pissent et qui zutent. Z’aime les culs qui proutent et les cacas qui puent…

  - Tu es adorable, dit la mère : à quatre ans, tu as appris l’essentiel du vocabulaire qui suffit à une jeune fille pour réussir dans la vie. »

 La mère est impatiente. « Chie-moi une saucisse, mon amour, demande-t-elle : il faut que je mange de la merde, je bande trop fort. Après, on partira à la plage.

- Moi aussi, demande la gamine, z’aurai une belle saucisse à manzer ? C’est meilleur que les glaces au çocolat…

- Mais oui, mon coeur : tu en auras une. Une énorme !… Et même plusieurs, parce que, moi aussi, j’ai envie de caquer… Quand maman chie, son gros boyau en fait des tas… »

 La petite fille se concentre, le clitoris rouge, luisant, dressé jusqu’au nombril contre son duvet pubien précoce. Elle écarte à deux mains les escalopes sexuelles qui couvrent plus de la moitié de ses cuisses de grenouille bizarre. Elle masturbe sa grosse vulve d’enfant vicieuse, exhale un gémissement de plaisir et pousse, pousse, de toutes ses forces. La pisse jaillit la première, large et chaude, dans la bouche ouverte de la maman urophile, scatophile et pédophile, dont la figure est éclaboussée, mais qui tente de n’en rien perdre et déglutit, déglutit, en pignolant sa clitobite comme un homme.

Lorsque la gosse a vidé sa vessie dans la gorge et l’estomac de la femelle adulte, elle se met à péter. L’odeur est affreusement érotique. L’anus se déploie et se retrousse au-dehors, rouge, déchiré, ourlé, comme un cratère rouge violacé. La tête triomphale d’un gros étron jaune et brun dilate l’orifice fissuré, dans la broussaille laineuse de l’entre-fesses infantile. La merde est cylindrique, mais irrégulière, avec des morceaux mal digérés, des filaments ignobles et de longues traînées de glaires et de vieux sperme. Linda de Zouza, les yeux fous de désir, lèche le cadeau de sa fille, dont le trou culier expulse avec vigueur sa charge coprologique. Le rondin se développe, d’un diamètre de cinq centimètres, et pend de dix, vingt, puis trente centimètres, en se balançant entre les fesses comme un battant de cloche.

Lorsqu’il se rompt, le saucisson fécal tombe droit dans la gueule avide de la maman, qui feule de bonheur. Les lèvres de la femelle adulte se ferment sur l’étron. Les dents hachent le colombin puant et le mâchent. La langue extrait avec avidité le jus brun-jaune. La salope se masturbe comme une démente en avalant avec délice les bouchées amères, qui lui emplissent l’estomac et font couler sa vulve comme une fontaine. Elle gicle. Elle éjacule la cyprine comme un mâle crache le sperme.

 Linda de Zouza engloutit les excréments de sa fille chérie en jouissant comme une Messaline. Elle devient folle. Elle se couvre la figure, les nichons, les  escalopes sexuelles, la clitobite de matières fécales ignobles. La gamine se pignole, elle aussi, en chiant, les yeux fermés de plaisir. Elle caque, caque, caque… Son clitoris bande et s’arque de plaisir dans sa petite main vicieuse. Elle crie que c’est bon. Elle finit de déféquer dans la bouche maternelle en gémissant de bonheur sexuel et anal. Elle jute, par le vagin, de longues giclées glaireuses. Elle jouit par le trou du cul en pétant comme un trombone.

 « Putain, c’est bon ! » conclut Linda de Zouza, dans un grand sourire, les joues, les lèvres, les dents empâtées de résidus de digestion, et le corps maculé de merde. La maman comblée rote bruyamment ; tant il est vrai que les repas de gourmets se concluent de la sorte, par nécessité organique autant que par politesse envers la personne qui invite.






LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE

CHAPITRE 2 - SALETÉS SOUS LA TENTE