AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.
Je me prénomme Capucine, je viens de fêter mes 18 ans au pensionnat où je passe le plus clair de mon temps depuis le début de mon adolescence. Il est situé à plusieurs centaines de kilomètres du domicile de mes parents et je ne rentre qu’à certaines vacances.
J’aurai dû arriver par le train ce soir, mais la mère d’une amie m’a gentiment amené en voiture et j’arrive dès le début d’après-
La porte est ouverte et j’entre sans prévenir. Mon attention est immédiatement captée par des gémissements qui émanent du salon. Craignant qu’un malfaisant ne soit en train de s’en prendre à mes proches, je m’approche le plus discrètement possible. Je parviens à jeter un œil dans le salon.
Je suis estomaquée de voir mon grand-
Je me cache, mais continue d’entendre les ébats qui se déroulent à quelques mètres de moi.
Comment une telle situation peut-
Je pense un instant à quitter la maison, à faire comme si je n’avais rien vu et à aller attendre que ma mère vienne me chercher comme prévu ce soir à la gare. Mais malgré moi, je reste immobile, j’écoute les bruits qui viennent du salon : « C’est bon, continue, baise-
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En entendant ces paroles, sans que je ne comprenne pourquoi, mon bas-
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Ils ont changé de position et ils peuvent me voir. Cependant ils ont les yeux dans le vague. Je suis face à eux, bien visible, mais ils ne réagissent pas à ma présence, comme si la copulation les rendait aveugles. J’aurai dû me cacher à nouveau, partir. Mais je ne peux pas. Je reste là, figée. Après quelques secondes, maman semble reprendre conscience. Elle est très surprise de me voir. Elle tente de cacher sa nudité et celle de papy, elle balbutie : « Ce n’est rien… Qu’est-
Papy semble plus détendu : « Et bien ma petite tu fais un retour remarqué. Ta maman et moi on se donnait du plaisir. On ne fait rien de mal. »
Je ne réponds pas. Je les regarde, médusée. Je vois le membre de papy, une grosse zigounette à demi molle. Malgré moi, je me demande les sensations qu’éprouvait maman quand papy la prenait. Il voit que je regarde son sexe : « Tu n’avais jamais vu de zizi comme le mien avant, hein ?
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Maman ne répond pas. Je ne dis rien, mais je comprends que papy couche non seulement avec maman, mais aussi avec ma sœur Philippine, qui a un an de plus que moi. Mon ventre continue de me chauffer. Que se passe-
Papy reprend : « Tu sais ma petite, on ne fait rien de mal, on se donne du plaisir. Ta maman avait envie de coucher avec moi, elle y prend du plaisir depuis longtemps et moi aussi j’aime ça. Je vois que tu as été troublée de nous voir faire. Si tu veux on se rhabille et on fait comme si rien ne c’était passé.
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Instinctivement, j’approche ma main du sexe de papy, encore gonflé. Je le tâte du bout des doigts, il est ravi : « C’est bien ma puce, je vois que tu es intéressée. Tu as déjà été avec un garçon ?
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Maman me jette un regard étrange, elle ne semble plus horrifiée, elle se fait complice : « Tu sais ma chérie, papy s’y connaît très bien en matière de sexe, il a beaucoup d’expérience et sait donner du plaisir. J’en sais quelque chose. Philippine aussi. »
Ces paroles augmentent encore la chaleur de mon ventre, je bous. Je sens de la transpiration qui s’écoule de ma fente intime, que m’arrive-
Sans que je ne m’en rende compte, je serre plus fortement le sexe de papy, je sens qu’il gonfle dans ma main. Sans savoir pourquoi, je suis fière de le faire grossir.
Maman continue de se détendre, elle me jette un regard aimant, mais pas de ceux dont j’ai l’habitude. La voir quasi nue, ses gros seins libres, ses yeux pétillants, me provoque un nouvel émoi. Je serre encore plus le sexe de papy. Ce dernier pose sa main sur la mienne et commence à imprimer un mouvement de va et vient. Son sexe gonfle de plus en plus.
Maman me dit : « Tu veux vraiment découvrir le sexe avec nous ? Tu sais normalement ça se fait avec des gens de ton âge.
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Je réfléchis un instant, je transpire à grosses gouttes, surtout dans mon entrejambes. Je sens également le bout de mes seins devenir durs. C’est vrai que ça semble bizarre de découvrir le sexe avec sa mère et son grand-
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Papy prend les choses en main : « D’abord ma belle, montre-
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Papy passe sa main sur mon entrecuisses et confirme : « En effet ma grande, ta chatte est toute trempée, tu es vraiment excitée. Ca facilitera la pénétration, tu verras. »
Ses attouchements augmentent encore le feu qui brûle dans mon intimité. Machinalement je porte ma main à mon sexe et le frotte. « Elle se branle, regarde, déclare maman.
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Il poursuit ses caresses, mes tétons pointent de plus en plus. Maman le remarque : « Vois comme ses seins réagissent… » Elle les tâte et les caresse, j’adore.
Papy a le sexe dressé, il est gros et pointe fièrement. Maman s’en approche et le prend dans sa bouche. Je suis surprise, j’avais déjà entendu parler de fellation, mais la voir ainsi pratiquée me fait tout drôle. Maman gobe presque tout le sexe de papy, il râle de plaisir. J’aimerai moi aussi le sucer : « Papy je pourrai aussi sucer ton zizi ? demande-
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Maman se retire et m’invite à positionner ma bouche près du sexe de papy. Elle m’incite à sortir ma langue pour le lécher doucement. C’est doux et chaud, j’aime beaucoup ce contact entre ma langue et son membre. Je poursuis en l’embouchant, me je ne parviens pas à aller très loin, je suis un peu déçue. Maman me conseille : « Au début c’est normal, il faut bien ouvrir sa bouche, se positionner pour que la bite entre profondément dans ta gorge. »
Elle me montre. Je fais un nouvel essai et parviens à prendre quelques centimètres en bouche. Au bout de quelques tentatives j’avale la moitié du sexe. C’est une super sensation de sentir ce gros morceau de chair vivre en moi. Papy m’encourage : « Super ma chérie, tu suces déjà très bien pour une débutante, je suis très fier de toi. »
Cette fellation m’excite encore plus. Je touche furieusement mon sexe, qui mouille abondamment. Je déclare alors : « Papy j’ai envie que tu me prennes comme tu faisais à maman tout à l’heure. » Les deux me sourient.
Maman me prévient : « Tu sais ma chérie, la première fois ça peut faire un peu mal et puis ça saigne un peu.
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Ils me font allonger sur le canapé, jambes bien écartées. Maman plonge son visage dans mon entrecuisses et me lèche, c’est divin ! Je crie, je suis encore plus excitée, je force sa tête contre moi avec une main. Malheureusement elle se retire et dit : « Elle est prête. Vas-
Papy bande bien dur. Il se place où était maman, et présente son sexe à l’entrée du mien. Très doucement il presse et entre millimètre par millimètre. Mon sexe est brûlant. J’ai envie. D’un coup je ressens une vive douleur, papy est entré ! La douleur est très vite remplacée par le plaisir. Je sens le sexe de papy en moi, quel bonheur ! Petit à petit il fait des va et vient. La douleur disparaît presque, je la regrette un peu.
Il reste en moi de longues minutes. Je n’ai plus mal. J’adore la sensation d’avoir le sexe rempli par la bite de papy. C’est trop bon. J’ai envie qu’il aille plus loin en moi : « Papy encore, viens bien profond, demande-
Il s’exécute et accélère un peu ses mouvements. Maman caresse mes seins. Elle m’excite elle aussi. Je la trouve si belle, avec ses formes généreuses et fermes. Ses caresses s’harmonisent avec le rythme donné par papy. D’un coup le feu qui couve en moi depuis que je suis entrée dans la maison, s’embrase. Mon ventre m’irradie d’une vague de chaleur soudaine. Je perds haleine, je crie, j’exulte… Il me faut quelques secondes pour comprendre que je viens de connaître mon premier orgasme.
Papy et maman me sourient. Papy est toujours fiché en moi, il poursuit ses allées et venues dans mon sexe trempé et frémissant. Il me susurre : « C’est bien Capucine, tu as joui, tu réagis très bien. »
Puis il se retire de moi. Maman approche son visage de son sexe, maculé de traces de sang, qu’elle caresse de haut en bas. Papy se contracte et envoie de grosses giclées de liquide blanc sur le visage de maman. Elle lape consciencieusement, tant le sperme que le sang. Lorsqu’il a terminé, elle me regarde amoureusement, son visage maculé : « Tu as vu ma chérie, tu as fait jouir papy. » Elle s’approche et m’embrasse. Je goûte la semence de mon grand-
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Après cette première expérience, j’enchaîne les découvertes à une grande vitesse. Je découvre que tous les membres de ma famille aiment le sexe et le partagent entre eux. En quelques jours j’ai l’occasion de faire l’amour avec mon frère, ma sœur, mes cousins, mes cousines, mes oncles et tantes. A chaque fois je découvre de nouvelles sensations, de nouvelles pratiques et je prends un plaisir immense.
Pour que vous puissiez vous rendre compte de l’étendue des délires familiaux, je vous conte quelques aventures.
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En ce début d’après-
J’enfile en vitesse une robe d’été et une paire de sandales à talons hauts, aucun sous-
Habituée des lieux j’entre sans frapper, la porte de leur maison est ouverte. J’entends immédiatement des gémissements de femme qui m’indiquent qu’une partie de baise est en cours. Cela m’excite. Les bruits viennent du salon, je m’y rends. Je découvre Aurélie prise entre Guillaume et Erwan, leur fils. Les deux hommes sont debout, ils soutiennent et pénètrent la belle brune aux longs cheveux. Aurélie est vêtue d’un porte-
Tenue en équilibre entre ses deux hommes, ma tante pince l’un de ses tétons qui darde au bout de ses beaux seins en forme de poire. Entre deux halètements, elle soupire : « Ouiii, c’est bon,… plus vite… plus fort… »
Les deux mâles redoublent d’ardeur. Aurélie en veut toujours plus : « Encore, baisez-
En réponse son fils lui crache au visage. Elle sourit : « Souille-
J’adore le spectacle auquel j’assiste en voyeuse. Erwan me repère : « Tiens, Capucine, ça fait plaisir de te voir ! »
Il ne semble pas très surpris et continue de baiser sa mère. Guillaume se retourne et me salue également : « Salut Capucine. Tu as vu comme ta tante prend son pied ! »
Fascinée par ce spectacle de baise incestueuse et excitée par l’absence totale de pudeur du trio, je glisse mes doigts sous ma fine robe et titille mon abricot trempé.
Bien prise en sandwich, je ne suis même pas sûre qu’Aurélie m’ait remarqué. Elle gémit de plus en plus sous les assauts de ses hommes. Elle jouit.
Dès qu’elle est un peu remise de son orgasme, les deux mâles quittent ses orifices et la déposent délicatement au sol. Elle est toujours en extase. Les deux mecs approchent de moi. Ils me regardent, leurs yeux pétillent de désir, leur sexe darde fièrement. Celui de Guillaume est souillé, des traces brunes le maculent. Gourmande, je m’agenouille et entreprends de sucer mon oncle, me délectant de sa queue sale qui sort de l’anus de ma tante.
Comme toute ma famille, j’adore le sexe sale. Je goûte la merde d’Aurélie avec appétit. Je repousse même mon cousin, lorsqu’il présente son sexe près de ma bouche : « Ta bite est trop propre pour moi. Tu devrais enculer un peu ta mère, je te sucerai après. »
Erwan me toise et me crache au visage. Je souris, puis j’embouche à nouveau la queue de son père, qui me prend en gorge profonde. Mon cousin suit mon conseil, il positionne sa mère en levrette et enfile son trou du cul encore dilaté par le chibre paternel. Aurélie semble apprécier la sodomie que lui offre son fils, elle crie son plaisir et bientôt sa jouissance.
J’ai déjà bien nettoyé la bite de Guillaume avec ma bouche. Il en profite pour me pilonner la gorge. J’aime bien cette sensation de pénétration buccale pour son côté avilissant, le fait de me sentir bien fourrée et les haut-
Quel bonheur ! Je prends mon pied de me faire ainsi malmener. En quelques semaines à peine, je suis devenue une vraie salope, qui aime être soumise, maltraitée, violentée et souillée. J’ai besoin de ça pour jouir et j’ai besoin de jouir pour me sentir bien, pour vivre pleinement.
Guillaume finit par quitter ma gorge, j’ai de la bave partout, je dois avoir l’air d’une sacrée garce avec des fils de salive qui pendent de ma bouche, coulent sur ma robe déchirée, mes seins rougis par le rude traitement que Guillaume leur a administré.
Aurélie se fait toujours défoncer le cul par son fils, elle en redemande : « Ouiiii… salaud… vas-
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Guillaume me retourne et relève le bas de ma fine robe, il admire la vue : « Quel cul ma nièce ! On doit être bien à l’intérieur.
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Il m’administre plusieurs fortes claques qui me brûlent le postérieur. J’écarte mes lobes pour lui présenter mon petit trou. Bandant bien dur il force le passage de mon anus, encore vierge il y a peu. Il pousse brutalement, j’ai mal, c’est tellement bon ! Je crie : « Ohh,… elle est grosse… aïe .. ça fait mal… oui… voilà… oh c’est bon… continue … plus vite … plus fort…défonce-
Il m’attrape par les cheveux, je suis positionnée en levrette, il pilonne mon trou de balle. J’aime le sentir bien au fond. Je sens qu’il touille la merde qui occupe mon intestin, je commence à sentir l’odeur nauséabonde et délicieuse. La pression de sa queue dans mon cul fait jaillir un peu d’urine qui s’échappe de ma vessie pleine.
Le traitement que je reçois me fait rapidement jouir. Aurélie jouit également grâce à Erwan. Les deux hommes se retirent de nos culs. Je sens le mien se libérer de la merde qui l’encombrait, je me vide pendant de longues secondes, sous les acclamations de Guillaume.
Je vois qu’Aurélie expulse également un peu de merde, en moindre quantité que moi, car son mari l’a enculée il y a très peu de temps.
Guillaume s’approche d’Aurélie et lui présente sa queue couverte de mes excréments, elle la prend profondément en bouche avec une vraie gourmandise, ses yeux pétillent d’excitation.
Comme je l’avais promis à Erwan, j’accepte de prendre sa bite en bouche, maintenant qu’elle est couverte du caca de sa maman. Je me délecte de ses immondices tandis qu’il me pilonne la gorge comme l’a fait son père peu avant lui.
Erwan se saisit ensuite d’une grosse poignée de ma merde qui jonche le sol, il me macule le visage, y ajoute un gros mollard et me lance : « Voilà salope, tu as ce que tu aimes. » Je confirme d’un grand sourire qu’il ne doit pas percevoir sous le masque merdeux.
Aurélie quitte son mari et s’approche de moi, sans doute attirée par la masse sale qui pollue mon visage. Elle aussi me crache à la face, puis m’embrasse à pleine bouche, parcourant mon visage souillé de sa langue gourmande.
Nous nous vautrons toutes les deux dans la merde. Goûtant à nos saletés intimes. Erwan et Guillaume nous pissent dessus. Nous nous battons presque pour capter le maximum d’urine chaude qui s’écoule de leur queue demi-
Après de longues minutes, nous suçons les deux mecs jusqu’à les faire jouir et nous nous délectons de leur foutre gluant.
La partie de baise se poursuit, son intensité variant en fonction de l’état de forme des deux mâles. Je reçois une double pénétration, Guillaume m’encule pendant que son fils laboure ma chatte trempée. Pendant ce temps Aurélie triture mes nichons.
En début de soirée, la copine d’Erwan, Mathilde nous rejoint. Elle est aussi salope qu’Aurélie et moi. De toute façon pour sortir avec un queutard comme Erwan, il vaut mieux que ce soit une vraie chienne.
Erwan et Guillaume la démontent copieusement. La belle blondinette qui est arrivée toute pimpante est rapidement métamorphosée en salope scatophile en chaleur. De la merde est tartinée sur ses seins, sa chatte, son visage et ses longs cheveux blonds. Elle reçoit des crachats et s’urine elle-
Elle apprécie particulièrement la sodomie profonde que lui offre son beau-
Nous baisons ainsi jusqu’à tard dans la soirée. Seule la fatigue nous arrête. Nous nous endormons dans les immondices.
Nous nous lavons seulement le lendemain. Aurélie et Guillaume partent assez vite au travail, je laisse seuls Erwan et Mathilde et regagne la maison de mes parents.
Lorsque j’arrive, ils sont déjà partis, tout comme Philippine ma sœur et Léo mon frère. Mais je trouve Galdys, ma cousine, du côté maternelle. Enceinte jusqu’aux yeux, elle doit accoucher dans moins d’un mois, elle prend son petit-
Je la salue : « Bonjour Gladys. » J’appose un baiser sur ses lèvres. Je poursuis : « Tu as passé la nuit ici ?
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Je lui raconte mon après-
Elle semble très excitée par mon récit : « Tu es aussi une sacrée vicieuse, me complimente-
En disant cela elle attrape ma main et la porte à son entrecuisse, qui est effectivement trempé. Elle m’invite à pénétrer sa chatte ouverte de femme enceinte. Je glisse mes doigts en elle. Elle feule de plaisir. Les tétons de ses gros seins gonflés dardent sous sa fine nuisette. Elle m’excite terriblement. Mes doigts sont comme aspirés à l’intérieur de sa chatte gluante de mouille, elle en avale un, deux, puis trois, puis quatre, elle quémande : « Enfile ta main entière en moi, j’ai envie… j’en ai besoin… »
J’accède à sa demande, très excitée de fister la moule de ma cousine de 19 ans, magnifique avec son corps de femme enceinte.
J’entre ma main jusqu’au poignet sans difficulté, elle est tellement trempée, que ça glisse tout seul à l’intérieur. Ses râles de plaisir m’encouragent à la labourer bien profondément. Elle jouit rapidement, sa chatte giclant des flots puissants de cyprine qui inondent mon bras. J’en lape un peu au passage.
Même si nous sommes très excitées, nous savons que malheureusement nos intestins sont vides et que nous ne pourrons pas baiser dans nos merdes ce matin. C’est fort dommage, mais ce n’est que partie remise.
Prenant à peine le temps de redescendre sa robe sur le haut de ses cuisses, Gladys prend congé de moi en me roulant une pelle bien baveuse : « Au revoir ma chérie. La prochaine fois, on sera moins sages, promet-
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Même si depuis mon récent dépucelage, j’ai connu des relations sexuelles avec la plupart des membres de ma famille, je n’ai pas baisé avec mon père.
Depuis que j’ai couché avec mon grand-
Ayant pris goût au vice que représentent les relations sexuelles incestueuses, j’ai très envie de me baiser avec mon propre père.
Il est souvent en déplacement pour son travail et je n’ai passé que peu de temps avec lui depuis mon dépucelage, l’occasion de coucher avec lui ne s’est pas présentée.
Lors d’un week-
Il est sensé rentrer le samedi soir et je me prépare à l’accueillir d’une manière très provocante, mais il ne me laisse pas ce plaisir. En effet, il me surprend dès l’après-
Il entre sans prévenir dans ma chambre et se montre sous un visage que je n’ai jamais connu, mais qui me plait immédiatement : « Alors Capucine, c’est comme ça que tu accueilles ton père qui rentre du travail, tu trainasses !
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Il approche. Je m’assieds sur le bord de mon lit. Il passe sa main derrière ma tête, caresse doucement mes cheveux, puis les serre d’un seul coup, il me fixe droit dans les yeux : « Ecoute ma petite Capucine, ta mère, ton frère et toute la famille m’ont dit que tu es devenue une grosse salope, que tu baises avec tout le monde, que tu adores ça. C’est pas vrai ?
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Sans qu’il ne me force en aucune manière, j’ouvre sa braguette et dégage son membre de son caleçon. Sa verge est à demi bandée, elle sent l’urine rance, cela m’excite terriblement, ma fente s’humidifie très vite. J’embouche la queue paternelle et la prend tout au fond de ma gorge. Je l’avale sans difficulté car elle n’est pas encore au maximum de sa taille. Papa me tient par les cheveux, je suis sa chose et j’adore ça.
Avant que sa bite n’ait atteint sa taille maximale, il la retire de ma bouche, je me demande un instant pourquoi, et comprends très vite lorsqu’un jet brûlant m’asperge le visage. Un énorme flot d’urine jaune et odorante inonde mon visage, trempe mes longs cheveux. Je tente d’en laper un maximum, mon père semble fier de moi : « C’est bien ma salope de fille. Tu aimes ma pisse ! »
En effet, j’ai déjà goûté à quelques urines et celle de mon père a un goût bien particulier, très prononcé, très salé, que j’aime immédiatement. Une fois que je suis détrempée, il fourre à nouveau sa queue dans ma bouche, plus violemment, il me fourrage la gorge, j’aime être traitée comme une trainée. Le fait que ce soit mon propre père qui se serve de moi de la sorte m’excite encore plus. Il me tient toujours par ma tignasse et me force à gober tout son membre qui durcit très vite dans ma bouche chaude et baveuse.
Lorsqu’il se retire, je dois être toute rouge, de la bave coule de mon menton, mais je souris franchement, pour exprimer mon plaisir d’être violentée par l’homme qui m’a engendré. Je crache sur sa bite et l’enfourne à nouveau dans ma gorge, sans même qu’il ne m’y force, il apprécie mes efforts : « C’est bien ma petite cochonne, je vois que tu prends du plaisir à sucer ton papa, ton est une bonne chienne, comme ta mère me l’avais dit. »
Il m’oblige à stopper ma pipe, sans doute que je suis proche de le faire jouir et qu’il veut encore profiter de moi. Il se retourne et me présente ses fesses poilues, m’intimant un ordre bref et précis : « Lèche moi le cul salope ! »
Pas intimidée, je plaque mon visage dans la raie culière paternelle, écarte un peu les deux lobes et sort ma langue, qui entre immédiatement en contact avec l’anus plissé et maculé de traces de merde de mon père. Il a laissé sur le pourtour de son trou de balle une merde bien grasse et très odorante. En salope scatophile je me délecte de cette matière qui rebuterait la plupart des putains confirmées. Je m’efforce de nettoyer les fesses sales de mon père, qui râle de plaisir. Alors que j’ai bien bavé sur son anus, il m’envoie un gros pet bien gras dans les narines, je le respire à pleins poumons : « Hum, oui, c’est bon cette odeur de pet foireux.
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Il lâche une autre caisse puante. Même si j’ai déjà senti plusieurs fois des pets d’aussi près, j’apprécie particulièrement l’odeur de ceux de mon père. Lorsque je replace ma langue sur son anus, je sens que son orifice se dilate rapidement. Un étron dur en sort doucement. Je le suce comme s’il s’agissait d’une petite bite. Il progresse dans ma bouche et atteint bientôt le fond de ma gorge, il continue à sortir, sans discontinuer, sans se briser. Je suis alors obligée de reculer un peu. Là, la colonne de merde se casse et choit sur ma poitrine aux tétons durcis d’excitation. Papa continue de pousser et pond un nouvel étron qui vient maculer mes seins et mon ventre, pendant que le premier pendouille de ma bouche. Il se retourne, satisfait du chaos qu’il a provoqué sur mon corps : « Tu es belle comme ça. Une vraie traînée scatophile, je suis fier de ma fille. »
Je mâche un peu sa merde, qu’elle a bon goût ! J’en avale.
Il approche alors de moi, saisit l’étron qui dépasse de ma bouche et me barbouille le visage de sa merde puante à souhait. Il en étale jusque dans mes longs cheveux blonds, trempés de son urine. Je dois vraiment avoir l’air de la dernière des trainées, ainsi souillée et humiliée par mon propre père, mais cela m’excite terriblement, j’ai envie d’aller encore plus loin, qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me violente ! « Prends-
Il me regarde, d’un œil vicieux que je ne lui connaissais pas. Il me gifle, cela me surprend, mais j’adore, la violence fait partie de mon plaisir. Brutalement, il me fait mettre à genoux parterre, puis plier le torse vers le sol, mon cul remonte. Il arrache ma culotte et claque mes fesses de quelques coups bien sentis, elles me brûlent immédiatement et je l’encourage : « Oui, c’est bon, j’aime avoir le cul qui chauffe !
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Après une dernière claque encore plus forte, il présente son dard sur ma rondelle et m’encule sans ménagement. J’ai mal, mais j’aime ça : « Ouille, aïe,… oh…Anh,… oui, continue, c’est bon… plus fort… oh oui, que ta bite est bonne dans mon cul… défonce-
M’étant préparée à baiser avec mon père, j’avais pris soin d’avoir l’intestin bien plein. Les coups de pistons de sa queue dans mon rectum poussent la merde qui m’encombre et mon étron étire mes boyaux. Quelle sensation ! C’est trop bon ! Je jouis très vite sous ces coups de boutoir violents qui irradient mon corps au plus profond de moi.
Après mon orgasme, mon père quitte mon anus. Un flot de merde puante à souhait s’en déverse, je l’entends choir sur le sol. Mon père me fait pivoter sur mes genoux et je me retrouve le visage contre sa bite marron, sentant ma merde. Je l’embouche avec appétit. Je la gobe de mon mieux jusqu’à la garde. Ses va et vient me donnent des hauts le cœur. Lorsqu’il me libère je bave abondamment, ma salive tombe sur ma merde empilée parterre. Je souris à mon papa chéri.
« C’est bien tu es une bonne fille. Je crois que tu es encore plus garce que ta sœur et ta mère, ce n’est pas rien, me félicite-
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Je m’exécute, je tartine son membre bandé de ma merde grasse et puante. Je pense qu’il va me demander de le sucer, mais il a un autre plan en tête. Il me tire sur mon lit trempé de pisse, m’allonge sur le dos : « Ecarte les cuisses. » Il présente alors son chibre souillé sur ma fente et pénètre ma chatte. Il fait d’amples mouvements, je suis remplie par la queue sale qui a fécondée ma mère pour me donner naissance ! Il enfonce ma merde loin dans mon vagin. Les sensations conjuguées de cette pénétration et du caractère dégradant de ces actes me font jouir une nouvelle fois très vite et très fort. Il ne stoppe pas ses mouvements et continue à me pistonner vivement, me faisant atteindre de nouveaux orgasmes dévastateurs.
Au bout d’un temps qui me semble infini, pendant lequel j’ai pris un pied terrible, il se retire enfin et me laisse éreintée, à bout de souffle. Il me fait tout de même sucer sa bite, encore sale et jouit dans ma bouche. J’avale sa semence avec gourmandise. Malgré la fatigue, j’apprécie particulièrement le goût de son sperme, mêlé à celui ma mes excréments !
Je suis comblée par cette première expérience sexuelle avec mon père, quel bon coup ! Et surtout, que sa pisse, sa merde et son foutre ont bon goût ! Ca peut paraître bête, mais j’ai vraiment trouvé que les substances qu’il exsude n’ont pas le même goût que celles de mes autres partenaires. Et puis, sa manière de me baiser en me brutalisant, tout en me donnant du plaisir, quel pied ! Je suis toute chamboulée. Je crois que je tombe amoureuse pour la première fois de ma vie, et l’élu est mon propre père !
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Suite à ce premier rapport sexuel avec mon père, notre relation est devenue étrange, je suis tombée amoureuse de lui, je pense que c’est réciproque ; toutefois, nous pratiquons un « amour-
J’aime que mon père me baise, qu’il me prenne en force, même qu’il me brutalise, mais ce que j’adore pardessus tout, c’est qu’il me fasse cadeau de ses fluides intimes : sa pisse, son sperme, sa merde, sa salive,… Je mouille rien que d’y penser. Objectivement je ne peux pas dire en quoi ses fluides sont différents de ceux de mes autres partenaires, mais je leur trouve quelque chose de spécial, qui me pousse dans le vice de l’ordure avec une avidité encore décuplée.
Quant à lui, je sais qu’il aime me pénétrer, surtout m’enculer, bien profondément. Il adore me posséder.
Nous savons tous les deux ce qui attire l’autre en nous, mais nous ne le lui donnons pas facilement. Lui comme moi aimons faire languir l’autre, quitte à jouer les peaux de vache.
Un dimanche matin, alors que mon père m’a chié dans la bouche et m’a gavé de tous les délicieux liquides que son corps est capable d’exsuder, il cherche à me baiser. Je l’allume, je me dandine en petite tenue devant lui, perchée sur mes hauts talons. Je fais la maligne. Je me laisse légèrement caresser. Je vois qu’il bande déjà. Mais lorsqu’il devient plus entreprenant, je me dérobe et le laisse tomber : « Non, j’ai pas très envie ce matin. J’ai déjà été satisfaite hier, minaude-
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Visiblement contrarié, mais ne souhaitant pas me forcer, il abandonne la partie.
En vraie garce, je file dans la chambre de mon frère Léo. J’entre et ne referme pas la porte derrière moi. Il dort encore, je le réveille en le branlant, puis dès que son membre a un peu grossi, je l’embouche, alors qu’il n’est même pas encore vraiment réveillé.
Lorsqu’il ouvre enfin un œil, je lui dis, bien fort pour que mon père entende : « Encules-
Magnanime mon frère s’exécute et me pète le cul comme un sauvage. Il me fait jouir. J’hurle mon plaisir. Ce qui m’excite le plus c’est bien-
Papa prend sa revanche quelques jours plus tard, après un déplacement professionnel. Lorsqu’il rentre je suis certaine que ses intestins sont remplis d’une délicieuse merde. Je veux la goûter, m’en tartiner tout le corps. Je trempe ma culotte en y pensant.
Je sais aussi que pour avoir droit à ce présent, après ce que je lui ai fait subir l’autre jour, je vais devoir me laisser baiser bien profondément avant. Cela ne me gêne pas, au contraire, mais je compte tout de même résister un peu, pour la forme.
Une nouvelle fois, je le provoque : « Coucou papounet adoré.
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A ce moment, je pense qu’il va me baiser, m’enculer peut-
« Tu es prête à accepter tout ce que je vais te demander ?
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Il me quitte une seconde et ouvre la porte d’entrée. Guillaume (le mari de ma tante Aurélie), Jérôme (mon oncle, le frère de mon père) et Olivier (le mari de ma cousine Gladys, enceinte), attendent derrière. Ils entrent en suivant mon père, qui me sourit. Presque immédiatement les trois hommes se dévêtissent. Ils baladent leur main sur moi, les glissent sous mes vêtements. Je ne sais pas très bien comment réagir. Je me sens un peu roulée par mon père, mais je dois avouer que je l’ai bien cherché. En plus, je suis déjà très excitée de savoir que je vais être baisée par tous ces mecs. Je cède donc rapidement à leurs avances.
Après seulement quelques secondes, je me retrouve à genoux sur le sol, la bite de mon oncle au fond de ma gorge, les queues d’Olivier et de Guillaume dans mes mains. Rapidement, ils arrachent mes vêtements, Guillaume s’allonge, Olivier me pousse sur lui. De sa grosse queue bandée, Guillaume perfore mon anus. Je crie : « Ouch… ça fait mal… oh… putain… ta bite… elle est grosse… han… oh… c’est bon…oui… encore…encore…
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A ce moment, je sens une autre queue forcer mon cul. Les salauds, ils vont me déchirer. Je ressens une petite peur, mais surtout une vive excitation. Je vais me faire empaler comme jamais, je risque de dérouiller, mais je veux essayer cette double pénétration anale.
Je tente de me détendre, les mecs m’encouragent : « Tu vas aimer salope.
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Assez vite, je sens le nouvel intrus glisser en moi, s’insinuer le long de l’autre colonne de chaire, désormais immobile, dans mon fondement. Lorsque que les deux dards se mettent en mouvement dans mon conduit anal, la douleur a déjà fait place au plaisir.
Jérôme me redonne sa pine à sucer. Il fourre violemment ma gorge, je bave abondamment comme ma mère m’a appris à le faire, pour faciliter la pénétration buccale. A chaque fois qu’il se retire, pour que je puisse un peu respirer, il m’assène de violentes gifles qui me chauffent les joues. Je suis l’objet sexuel de ces trois mecs, trois membres de ma famille, et cela m’excite follement. Je jouis plusieurs fois.
Les hommes permutent. Mon père se met également à me baiser. Il pilonne mon trou du cul, en même temps que son frère. Ils me ramonent en cadence, quel bonheur.
Ils finissent tous par éjaculer dans ma bouche gourmande. Je leur souris, mes joues sont en feu, j’avale leur liquide onctueux. Puis je réclame mon cadeau : « Alors papa, j’ai été bien sage, non, je mérite mon cadeau.
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Il s’éclipse, je reste avec les trois mecs, qui me félicitent : « Tu es vraiment devenue une belle chienne, encore mieux que ta sœur, dit Jérôme.
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Je suis alors stupéfaite d’entendre la chasse d’eau des toilettes. Mon père revient juste après, une peluche à la main : « Voilà ton cadeau ma chérie ! »
Il me tend sa peluche ridicule. Je crains le pire : « Mais c’est pas ça mon cadeau, balbutie-
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Lorsque les mecs me quittent, je vais jusqu’aux toilettes, voir si vraiment la chasse a tout nettoyé. Il reste une petite trace de caca juste au-
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Quelques mois plus tard, c’est l’évènement dans la famille. Ma sœur Philippine se marie avec son amoureux Aymeric.
Toute la famille et quelques amis sont réunis. Tout le monde porte des tenues de fête, qui restent décentes, mais sont tout de même très sexy.
La cérémonie civile à la mairie est assez rapide. Le maire et le personnel de la mairie sont sans doute un peu surpris de nos tenues osées, et de l’odeur que certains d’entre nous dégagent, mais ils ne laissent rien paraître.
Le cortège se rend ensuite dans une petite chapelle, dans laquelle tous les évènements familiaux se déroulent habituellement. Le prêtre est un ami de mon grand-
Tout le monde prend place sur les bancs. Papa conduit Philippine à l’autel, une main ostensiblement plaquée sur les fesses de sa fille.
Dans les bancs quelques mains baladeuses se promènent. Je suis assise entre mon frère Léo et ma mère. Tous deux parcourent mes cuisses et glissent des doigts sous ma robe. J’en fais de même avec maman et je titille l’entrecuisse de Léo, je vois qu’il commence à bander.
Le prêtre déroule la cérémonie. Je vois qu’il mate ma sœur, ses yeux fixent sans cesse son profond décolleté. Il profite des différents rites qu’il lui fait accomplir pour la peloter sans vergogne. Puis il prononce la phrase rituelle, enfin presque : « Vous pouvez baiser la mariée ! »
Tout le monde rit, Aymeric et Philippine se sourient, le prêtre les relance : « Allez, jeunes gens, montrez-
Il retourne sa jeune femme, la penche en avant sur l’autel, remonte sa robe, donne une bonne claque sur ses fesses et pénètre en force dans la chatte de ma sœur. Toute l’assistante applaudit son attitude, le prêtre admire le mouvement et Philippine apprécie, elle se fait savoir à tout le monde : « Oh oui mon amour, baise sauvagement ta petite femme. »
Il la ramone un moment. Devant ce spectacle la chaleur monte dans l’église. Je vois clairement une grosse bosse déformer la soutane du prêtre.
Aymeric fait jouir Philippine, qui clame son plaisir. Il se retire, apparemment sans avoir jouit.
C’est alors qu’une autre tradition du mariage est détournée. Le prêtre se place derrière Philippine, toujours en position de levrette, il lui murmure quelques mots. Je vois le visage de ma sœur se crisper. Un étron pointe de son anus et glisse lentement hors de son conduit. Le prêtre le recueille dans ses mains. Il le renifle, sourit, le titille de sa langue, puis le tend à Philippine. Elle tourne le dos à la salle. Avec Mathilde, la seule autre fille non mariée de l’assemblée, nous nous positionnons derrière Philippine. Elle jette son étron par-
Je suis toute fière, je porte les immondices délicieuses de ma sœur à mon nez et inspire profondément. Je goûte la merde de ma langue gourmande et badigeonne mon visage de cette matière repoussante et merveilleuse. Mathilde me sourit, mais je détecte une pointe de jalousie. Pour la réconforter je partage le cadeau de Philippine avec elle. Elle semble apprécier le goût de ce beau caca : « Hum, il est bien parfumé, comme j’aime … »
Nous sommes applaudies par l’ensemble des convives, puis Philippine et Aymeric sont à nouveau au centre de l’attention. Ma sœur, s’agenouille à nouveau et présente son cul légèrement merdeux à son mari, elle écarte ses lobes fessiers avec ses mains et invite son époux à s’occuper d’elle : « Viens mon beau, encule-
Aymeric assume son rôle, il présente sa queue raide sur le petit trou de ma sœur et s’introduit. En quelques mouvements, il ramone le cul de Philippine de toute sa bite, qui ressort grasse et sale à chaque coup de piston.
Ce spectacle émoustille tout le monde, y compris le prêtre. Sans doute très gêné dans ses vêtements, il fait comme les invités, il se met à l’aise, sortant son sexe dardé.
Je continue de jouer avec Mathilde, nous nous partageons la merde de Philippine. Nos robes sont tâchées, nous bavons abondamment en nous roulant des pelles sales.
Alors qu’une véritable orgie s’engage dans la chapelle, le prêtre attise encore l’excitation. Il recueille de l’urine de plusieurs filles présentes et verse sa collecte dans un bénitier. Il se met alors à bénir de ce liquide « saint » l’ensemble des convives, qui sont tous en train de baiser.
Lorsqu’il s’approche de Mathilde et moi, nous gratifiant de quelques gouttes de pisse bénite, la vue de son sexe bandé m’émoustille. Je ne peux me réfréner à donner un grand coup de langue sur ce dard tendu. Il ne semble pas gêné : « Oh, ma fille, vous souhaitez me gâter ? »
Encouragée, je m’enhardis et prends sa queue en bouche. Mathilde caresse mes seins maculés de merde. Lorsque je me retire, je souris au prêtre : « Mon père, je vous remercie de votre bénédiction, j’espère pouvoir vous aider à atteindre le paradis moi aussi.
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Je le reprends en bouche. Il prend ma tête à deux mains et me force contre lui, sa bite s’introduit tout au fond de ma gorge avide. Lorsqu’il me relâche, de grands fils de bave brune se tissent entre ma bouche et son sexe tendu. Egalement excitée Mathilde prend le relai et embouche la queue du prêtre qui la brutalise à son tour. Il imprime d’amples mouvements de bassin qui font aller et venir sa bite dans la bouche gourmande de la jeune fille. Pour échauffer encore la situation, je trousse la robe de Mathilde et je fesse violemment son beau cul, qui rougit rapidement. Elle gémit, la bouche toujours encombrée du phallus sacré. Entre deux fessées, je tripote ses trous, sa chatte dégouline de mouille, son anus humide suinte de matière grasse.
Quittant la bouche goulue de Mathilde le prêtre nous attire vers le confessionnal de la chapelle : « Venez mes filles, vous péchez, il faut que je vous confesse. »
Amusées et intriguées, nous suivons le prêtre baiseur dans la petite boîte en bois.
« Connaissez-
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Il reprend : « Alors quels péchés avez-
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Nous poursuivons en citant au prêtre toutes les délicieuses horreurs auxquelles nous nous livrons quasi quotidiennement Mathilde et moi. Il semble à peine surpris. Au travers de la séparation grillagée nous voyons qu’il bande toujours bien dur. Au bout d’un moment il n’y tient plus : « Sortez de là petites salopes ! Je vais vous faire expier vos fautes, vous donner une bonne fessée ! »
Il sort de sa boîte et nous tire par les cheveux en dehors de notre réduit. Il nous fait agenouiller, remonte nos robes en lambeaux et nous inflige des claques bien senties sur nos postérieurs. J’adore la sensation de chaleur qui monte de mes fesses rougies. Les gémissements de ma compagne me laissent penser qu’elle ressent le même plaisir.
Voyant sans doute que ses efforts pour nous corriger font surtout monter notre plaisir, le prêtre s’énerve. Il y va plus fort. Mais ses coups continuent d’exciter les deux petites putains que nous sommes.
Il nous intime l’ordre de ne pas bouger et part quelques instants. A peine l’avons-
Après plusieurs dizaines de coups, Mathilde s’effondre. Je me porte son secours. Elle gémit : « Aïe, j’ai mal. » Elle sanglote. Je passe ma main sur les parties les plus touchées. En glissant près de la vulve, je sens de l’humidité. La salope est excitée ! Je le suis moi aussi d’ailleurs, malgré – ou à grâce – à la douleur.
Bientôt nos caresses mêlent réconfort et excitation. Le prêtre comprend vite notre manège. Il abdique : « La fessée ne vous corrige pas, petites vermines. Je dois me résoudre à employer la méthode ultime. »
M’attrapant par les cheveux, il me fait agenouiller, me penche en avant, il se positionne derrière moi et m’encule brutalement, d’une seule longue et puissante poussée. Je me fais empaler bien profondément, tandis que Mathilde continue de me caresser. Le prêtre me défonce le fion, comme je l’ai rarement connu, il me déchire : « Oh putain, vous y aillez fort, dis-
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Il quitte mon fondement et pratique le même traitement à Mathilde, enfilant sa bite salie par mon cul, dans le petit trou de la jeune femme.
Toujours excitée, je les abandonne pour me joindre aux autres convives qui baisent dans tous les coins de la chapelle. Jouant dans le stupre, la pisse, la merde, le vomi…
UNE FAMILLE AIMANTE
Par Fed (orgie familiale, inceste, BDSM, uro, scato, vomi)