AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages
Deux sœurs, un même vice
Je sonne. Tu ouvres la porte. Tu es magnifique dans ta petite tenue de lingerie blanche, perchée sur tes escarpins, souriante, radieuse. Sans dire un mot tu t’accroupis, ouvres la fermeture de mon pantalon, sors ma queue et l’embouches, sans prendre la peine de fermer la porte d’entrée.
Docile, je me laisse faire. Tu me fais durcir très vite en introduisant mon dard au fond de ta gorge chaude et baveuse. Lorsque je suis bien raide, je pilonne te pilonne. Tu gémis.
Après quelques minutes, je claque la porte, t’attrape par tes longs cheveux blonds, tu ne protestes pas. Je te conduis sans ménagement dans la salle de bain et je te fais assoir sur le lavabo.
Tu sembles très excitée, tu me jettes un regard incendiaire en mordant ta lèvre. Je déchire le haut de ta tenue et libère tes seins plantureux. Qu’ils sont beaux ! Je les malaxe, pince les bouts, tu ronronnes de plaisir. Je leur donne une grande claque, tu pousses un petit cri et tu souris, excitée. Tu me demandes : « Prends-
Tu avances ton entrejambes, écartes largement les cuisses et dégages ton intimité de ton string. Tu es trempée. Je présente ma bite dure et fourre ta chatte violement. Tu halètes quelques instants, puis tu te rebelles, pendant que je te pistonne : « Putain, pourquoi tu me prends par la chatte ?
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Je réponds en te giflant et en continuant mes va-
Je sors de ton intimité, te fais descendre du lavabo et t’accroupir : « Suce-
Tu ne rechignes pas et avales ma queue dure, couverte de ta mouille. Je te tiens par les cheveux et imprime à ta tête d’amples mouvements pour que mon sexe pénètre loin dans ta gorge. Tu baves abondamment.
Je te relève, te retourne, te plaque contre la cloison. Je murmure à ton oreille : « Tu la veux ma grosse bite ?
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Ta voix est presque plaintive, tu sembles en manque. Je poursuis mon interrogatoire, pour te faire languir : « Tu veux que je t’encules comment ?
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Je prends pitié de toi et te donne ce que tu réclames. Je perfore ton cul violemment. Tu es habituée, mais tu as tout de même mal, tu cries : « Aïe !...Ouch… Oui, c’est bon… comme ça… encore… plus fort... déchire-
Je me lâche et pilonne ton cul. Je sens que l’intérieur est gras, cela m’excite et m’encourage encore davantage à te démolir le fion.
Ma main tient tes cheveux et te plaque contre le mur. J’écrase ta poitrine et ton visage. Tu couines toujours de plaisir : « Oh oui, éclate-
De ma main libre j’attrape un de tes seins. Je le triture, le presse, tire le bout. Tu continues de geindre.
Je te crache au visage et t’insulte : « Tu aimes te faire enculer.
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Je te bourre encore plus fort, encore plus vite. Tu couines et tu jouis en hurlant ton plaisir.
Je reste en toi, je défonce toujours tu cul rempli.
Avant que je ne jouisse à mon tour, je stoppe mes mouvements. Tu protestes : « N’arrête pas, encule moi encore.
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Je me retire brutalement. Ma bite est toute marron. Elle est suivie d’un énorme flot de merde que ton cul évacue rapidement et qui choit au sol.
Toujours en te menant par les cheveux, je te retourne, te fais agenouiller dans ta merde puante et dirige ta tête vers ma bite sale. Tu l’embouches avec appétit !
Tu t’appliques à la nettoyer, en bavant dessus. J’ajoute mes crachats à ta salive.
Lorsque mon membre commence à être propre, je tire ta tête en arrière, je te crache une nouvelle fois dans ta bouche sale, puis je te gifle. Tu me souris, heureuse, me jetant un regard vicieux et dépravé.
A ce moment on entend du bruit dans l’appartement. Une voix féminine t’appelle. Je te demande : « Qui c’est ?
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Son arrivée ne semble pas te stresser, au contraire, tu lui réponds : « Je suis à la salle de bain, viens. »
La porte s’ouvre sur une jolie rouquine à lunettes, vêtue d’une petite robe sexy, chaussée de hauts talons. Elle déclare : « Ah, il me semblait bien avoir entendu du bruit. Tu ne t’ennuies pas à ce que je vois. Tu partages ? »
Tu lui fais signe d’approcher, tout en gardant ma teub au fond de ta gorge. Elle s’agenouille à côté de toi, salissant sa robe dans ta merde. Pendant que tu continues à me sucer, Annette ramasse de la merde et te badigeonne le corps, elle insiste sur ta poitrine en pétrissant tes seins de ton caca bien collant et puant à souhait. Elle poursuit en branlant ta chatte de ses doigts merdeux, elle fait monter ton plaisir en t’insultant : « Alors pouffiasse, tu aimes la merde, c’est bon, hein ! »
Tu acquiesces d’un borborygme « Hummm, hummm… », mon dard toujours fiché profondément dans ta gorge.
Après quelques minutes Annette veut elle aussi goûter à mon membre. Elle approche sa bouche, je sors ma queue de ta cavité buccale si accueillante et la donne à ta sœur. Ne la connaissant pas, je n’ose la forcer, mais elle met immédiatement un vrai entrain à me sucer, en me prenant profondément dans son gosier bien baveux.
Tu soulèves la robe d’Annette en remontant le bas jusqu’à sa taille, elle est nue en dessous, je pense que ta sœur doit être aussi salope que toi. Tu donnes quelques claques sur ses fesses nues, elles rougissent vite et Annette gémit, sans que sa bouche ne quitte mon chibre. Tu entreprends de la badigeonner de ta merde à son tour. Tu lui branles la chatte et la fais gémir encore davantage.
Annette retire ma bite de sa bouche. Elle me regarde à travers ses lunettes, souriante, ses yeux pétillants d’un désir pervers, elle me dit : « Tu vas me baiser, me défoncer le fion ? » Elle est vraiment aussi salope que toi. Je réponds « Ta sœur va être jalouse.
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Je quitte sa bouche chaude et présente mon dard sur la rondelle d’Annette, déjà maculée de caca par tes doigts sales. Tu me conseilles : « Vas-
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Je m’exécute. J’entre sans difficulté dans le cul de la belle rouquine, qui couine sous mes assauts. Je fais d’amples mouvements dans son derrière, qui doit être habitué aux sodomies profondes. Tu embrasses ta sœur à pleine bouche, vous partagez des résidus de ta merde en la diluant dans vos salives.
Je sens que ma queue fore la merde qui encombre l’intestin d’Annette, elle est bien pleine ! Tu t’allonges, le dos et tes longs cheveux blonds dans les restes de ta merde qui jonchent le sol, et écartes largement les cuisses pour que ta sœur lèche ta chatte, pendant que je l’encule. Tu gémis sous la langue de la jolie rousse, qui crie son plaisir d’être bien embrochée par mon dard : « Oui, c’est bon… putain… j’aime ta bite… encore… plus fort… déchire-
La main sale d’Annette rejoint sa langue, elle la fourre dans ta chatte avide de grosses pénétrations, elle te fiste pour ton plus grand plaisir, tout en continuant de te lécher. Tu jouis comme une folle en inondant le visage de ta sœur de ta mouille abondante.
Sentant que je vais jouir si je continue d’enculer Annette aussi vigoureusement, je sors. Elle proteste : « Non, salaud, n’arrêtes pas de m’enculer…
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Une masse merdique marron jaune, sort à une vitesse incroyable du cul d’Annette. Son odeur est différente de ta merde. Tu entends la substance sale et chaude tomber au sol et les pets qui achèvent la vidange. Tu es irrésistiblement attirée par la merde de ta sœur. Tu te désempales de son poing et te rues vers ses excréments ! Tu admires un instant le tas de matière fécale, puis tu en saisis à pleines mains pour t’en tartiner le visage ! Tu es méconnaissable sous la gangue immonde qui te recouvre.
Tu prends encore de la merde et en barbouille la face de ta sœur, en l’insultant : « Tiens grognasse, bouffe ta merde ! »
Annette n’est pas rebutée, au contraire, elle semble aimer ce traitement ignoble, elle lape des morceaux de sa merde, les mâche et finit par les avaler, en souriant, laissant apparaître ses dents maculées ! Quel spectacle !
Je prends moi aussi de la merde pour te recouvrir le corps, je t’en fait bouffer. Tu l’avales goulument et en redemande : « Ouais, c’est trop bon. Donne m’en encore. »
Je te nourris à nouveau d’immondices : « Voilà sale morue, bouffe le caca dégueulasse de ta pute de frangine. » dis-
Annette s’approche de toi et vous vous embrassez en partageant l’immonde contenu de vos bouches. Ayant un peu réussi à débander, je vous pisse dessus. Vous adorez, vous souriez et présentez vos corps gluants sous le jet chaud et doré.
Te voir dans cet état déplorable me donne encore plus envie de te baiser comme une truie. J’attrape tes cheveux merdeux et te fais mettre en levrette, tu lèves ton cul bien haut, me présentes ta rondelle frémissante. Je bande à nouveau dur et t’empale le fion avec violence, tu cries : « Putain… aïe… tu me fais mal… oui… continue… oui… c’est bon…encore…oui… plus fort… »
C’est maintenant toi qui lèches la moule d’Annette, pendant que je te défonce le derche. Toi aussi tu enfonces ton poing en elle, mais tu as choisi de lui fister le cul. Elle prend sans broncher toute ta main dans son fion de truie, elle semble heureuse : « Ouiii… tu me remplis bien…continue… Comme ça… fore-
Ton anus et vos cris de plaisir vont me faire juter. Je sors de ton cul et vous dis : « Pétasses, venez me sucer, j’vais vous donner du bon foutre. »
Vous accourez, avides de ma semence. Ma bite sale éjacule de grandes giclées de sperme blanc qui macule vos faces couvertes de caca collant. Vous vous partagez ce présent avec délectation, en le faisant circuler d’une bouche à l’autre. Quelles bonnes chiennes vous êtes.
Je sens que vous avez encore envie de baiser, mais j’ai besoin d’un peu de repos. Je lance la conversation : « Vous êtes deux belles salopes.
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Ce récit fou m’a redonné une bonne vigueur, je vous dis : « Vous m’avez bien excité avec toutes vos saloperies. Je vais à nouveau pouvoir vous baiser comme le méritent deux truies de votre espèce. »
DEUX SŒURS
Par Fed (FFM, anal, inceste entre sœurs, uro, scato)