Attention le texte suivant relate des pratiques extrêmes, certains lecteurs pourraient en être choqués.


Je me prénomme Estelle et je suis âgée de 25 ans au début de ce récit.


Entre ma puberté et mes 22 ans, ma vie sentimentale a été particulièrement agitée et très pénible à vivre pour moi. En effet, mes premières pulsions sexuelles m’ont tiraillé très jeune. J’ai tout d’abord découvert mon corps seule, en m’instruisant sur Internet. Mes premières stimulations m’ont immédiatement provoqué un plaisir un intense, mais aussi une addiction très virulente. Je me touchais très souvent, plusieurs fois par jour.


Comme toute addiction, mes pulsions sexuelles ont été crescendo et ne se sont pas contentées de mes séances de masturbation, aussi fréquentes et intenses soient-elles. Les sites pornographiques d’Internet aidant, ma libido a rapidement dérivé vers des fantasmes de vrais rapports sexuels. C’est ainsi que j’ai eu mon premier amant très jeune. Ce dernier, lui aussi très jeune et trop maladroit pour me procurer un réel plaisir, a très vite fait place à un garçon plus expérimenté et à même de me satisfaire… pour un temps. En effet, poursuivant mes investigations sur la jungle des sites pour adultes, mon esprit pervers m’a rapidement conduit vers des pratiques plus déviantes. J’ai connu l’amour avec une autre fille bien avant ma majorité. Expérience sensuelle très agréable, qui m’a laissé croire, pas longtemps, que j’étais « simplement » lesbienne. Mais mon vice était beaucoup plus grand. Je me suis alors peu à peu enfoncée dans des pratiques totalement débridées, restant souvent spectatrice médusée de mon esprit vicieux et de mon corps si réactif à toutes sortes de sollicitations.


Si je dis avoir souffert de ma lubricité c’est parce que mon comportement sexuel hors normes m’a conduit à bien des déconvenues côté cœur. En effet, ne pouvant résister aux appels de ma libido je me suis donnée à tant de partenaires que j’ai perdu toutes les personnes qui ont vraiment comptées, dont j’étais tombée amoureuse.


Une partie de mon problème repose sans doute sur mon physique. Car au-delà d’un appétit sexuel hors du commun, la nature m’a doté d’un physique qui plait. Mes cheveux sont blonds, très clairs, mes yeux sont bleus, très clairs également ; même si je suis née en France, les gens pensent généralement que je suis originaire de Scandinavie. Je mesure 1,60 m et pèse environ 50 kg. Je suis mince, une poitrine et des fesses menues mais bien fermes. Ce qui semble séduire le plus souvent mes rencontres, c’est ma frimousse. Même à 25 ans, je constate moi-même dans la glace, que mon visage reste enfantin, avec quelque tâches de rousseur qui marquent mes joues aux pommettes hautes et rebondies.


Après ces déboires, heureusement le destin m’a permis de rencontrer l’homme de ma vie il y a 3 ans. Tout à commencé comme trop souvent : une rencontre, un flirt,… Mais ce beau garçon me connaissait déjà, à mon insu, de par ma réputation de fille très « chaude ». J’appris plus tard que certains de ses amis avaient été mes partenaires et avaient longuement commenté mes actes et mon esprit vicieux, sans doute avec quelques images à l’appui. Toutefois, cet homme ne s’est pas arrêté là. Il a su lire ma détresse et conquérir mon cœur tout en m’offrant la possibilité de répondre à mes pulsions.


Dès notre première rencontre, avant même que nous nous soyons embrassés, il me dit très franchement : « Ecoutes, on m’a parlé de toi et je sais que tu es soumise à des envies sexuelles très grandes. Mais saches que ce n’est pas un problème pour moi. Je sens que je pourrai t’aimer et, si tu le veux bien, je pourrai être ton compagnon dans la vie de tous les jours et pas seulement ton partenaire sexuel. Tu pourrais bien-sûr assouvir tes envies et tes fantasmes… ».


Ses propos, qui peuvent paraître des plus curieux et fort peu romantiques aux personnes concevant l’amour de façon traditionnelle, ont eu sur moi un effet incroyable. Le beau garçon que j’avais en face de moi n’était pas seulement une aventure sexuelle de plus, mais la véritable chance de ma vie, mon Amour…


Et 3 ans plus tard je suis toujours avec lui, mariée depuis 6 mois, heureuse et enfin épanouie.


Il faut dire, que Tristan – c’est son prénom – m’apporte un équilibre improbable : aimée, cajolée, chérie, je construis ma vie avec et autour de lui en faisant mille projets. Par ailleurs, je dispose d’une liberté sexuelle quasi sans limites. Tristan souhaite bien-sûr que je passe du temps avec lui, mais en dehors de cela, et souvent même pendant ce temps là, je peux m’éclater et donner libre cours à mes pires vices. Tristan parvient même à me faire explorer de nouveaux horizons en partageant mes perversions. Il a en outre développé un côté « dominateur sexuel » vis-à-vis de moi, qui me comble.


Vous conter toutes nos aventures lubriques serait bien trop long, aussi je me contente ici de vous transcrire le récit de mon incroyable journée d’anniversaire, pour mes 25 ans. Cette dernière résume assez bien l’étendue de notre « folie ». Plus loin, je vous conterai un autre moment charnière de notre vie.


L’évènement s’est produit il y a un peu plus d’un mois. Sans vouloir me gâcher la surprise Tristan m’avait laissé entendre que mon principal cadeau serait d’ordre sexuel. Je n’en attendais pas moins de sa part !


Pour cette journée qui doit être très particulière, donnée dans un endroit inconnu de ma part, mon mari m’impose une tenue très « business woman » : tailleur court, clair et décolleté, bas, porte-jarretelles blancs, talons aiguilles, soutien-gorge pigeonnant. Il m’a également demandé de porter des lunettes, très classes et très sexy à la fois. Libre sur ce point, je choisis un maquillage très léger.


Cependant, ces accessoires vestimentaires ne représentent pas grand-chose à côté de la face cachée de ma préparation : Tristan m’a demandé de me préparer en négligeant mon hygiène intime au cours des derniers jours ! Obéissante, comme j’aime l’être, j’ai pris bien soin de ne pas laver mon entrejambe depuis quatre jours. Pas de gant de toilette bien-sûr, mais pas non plus de papier hygiénique ! Tout cela en ne changeant pas de culotte ! Heureusement, j’ai prévu quelques jours de congés, avant et après le jour J. Ma culotte est un modèle plutôt large comparativement aux strings que j’ai l’habitude de porter, elle couvre une bonne moitié de mes fesses. Blanche à l’origine, elle a très vite tourné au jaune brun !


Malgré des températures frisquettes, l’odeur dégagée par mon intimité est rapidement devenue prégnante. Je me plais à l’humer de toutes mes narines à chaque occasion. Je ne peux m’empêcher de me toucher et de me branler chaque fois que je vais aux toilettes ou que je me déshabille. La cyprine vient s’ajouter aux autres fluides séchés et souille davantage le pauvre tissu.


Autre élément important du préparatif, je dois impérativement me retenir d’aller à la selle durant les deux jours qui précèdent mon anniversaire. Je dois également me priver d’uriner pendant la demi-journée avant le grand soir ! Ces préparatifs m’excitent au plus haut point ! Je presse Tristan, mais il ne divulgue rien de ses intentions…


Enfin, après des jours et des semaines d’attente, le moment crucial arrive. Je suis dans un état d’excitation, nerveuse et sexuelle, très élevé.


Tristan a annoncé un départ pour 19h. Je suis prête depuis près d’une heure, quand il donne enfin le signal du départ. J’ai un peu peur que la saleté de ma culotte ne tâche ma jupe, je n’ose pas beaucoup bouger. J’ai beau me frotter à lui et l’allumer de mon mieux, il garde son calme et reste de marbre. Nous roulons plus d’une demi-heure, avant de nous garer à côté d’une villa. Je sens mon sexe s’humidifier un peu malgré moi. Toutefois, mon excitation est troublée par de petits picotements qui chatouillent mon ventre, signe d’un certain stress devant l’inconnu.


A ma surprise nous ne nous dirigeons pas dans la maison, mais dans le garage. Tristan me précède et nous entrons dans le local. A l’intérieur, l’ameublement n’a rien d’un garage, il ressemble plutôt à un salon défraîchi, mais cosy.


Je crois un instant que nous sommes seuls, mais une belle jeune femme sort de derrière un paravent. C’est une belle brune aux cheveux longs et frisés, plus grande que moi, qui est vêtue d’une jupe en lin clair, d’un chemisier blanc et de chaussures à talons hauts assorties à sa jupe.


Tristan me pousse vivement vers elle et s’adressant à la fille : « Occupes-toi de cette cochonne ! Elle est aussi dégueulasse que toi… ».


Ca y est ! Mon cadeau d’anniversaire commence vraiment. Mon excitation monte encore d’un cran.


Tristan s’installe sur l’un des nombreux canapés de la pièce.


De fait, la belle brune s’approche de moi et me toise. Elle doit bien mesurer 15 cm de plus que moi. Elle ne prononce pas un mot, mais je sens son regard de braise émanant de ses yeux noisette. Je suis à la fois excitée à l’idée d’avoir cette belle fille pour mon cadeau, mais elle est en même temps un peu intimidante.


Toujours sans mot dire elle m’envoie un gros crachat en pleine figure. Puis enchaîne : « Je suis Virginie et ton mari m’a dit de m’occuper de toi comme j’ai l’habitude de faire avec lui. »


Je suis un peu surprise, à la fois par le crachat mais aussi par le fait qu’elle semble avoir des relations avec Tristan. Peu importe, je suis là pour m’éclater et la soirée débute bien, je ne me pose pas plus de question.


Virginie, poursuit. Elle approche son visage à quelques centimètres du mien et je sens son haleine très chargée. La cochonne ne s’est pas lavée les dents depuis quelques temps… Voulant paraître bien cochonne, comme ma nouvelle amie semble l’être, je lèche quelques gouttes de sa bave qui dégoulinent sur mon visage. Visiblement excitée, la belle attrape mes cheveux et m’attire à elle pour un baiser de feu.


Nous bouches s’aspirent, nos dents s’entrechoquent, nos langues se frottent furieusement, lubrifiées par nos salives lourdes qui débordent de nos lèvres pour venir souiller nos mentons. Sa langue est percée d’un clou, j’adore ! Ce baiser fougueux dure plusieurs minutes, pendant lesquelles nous nous palpons mutuellement à travers nos vêtements. Les mains de la jeune femme parcourent mon torse, s’attardent sur ma poitrine, descendent sur mes fesses… J’explore son corps, son ventre, ses seins, qui me semblent beaucoup plus imposants que les miens,… Mon excitation continue de grimper. Mes tétons durcissent, ma chatte coule.


Elle rompt ce premier baiser, et me gifle vivement, déplaçant mes lunettes, avec un sourire mauvais sur ses lèvres gluantes.


-« Quelle cochonne ! Tu ne m’avais pas menti ; tu dois t’amuser mon salaud. », lance-t-elle à Tristan, toujours tranquillement installé sur le canapé.


Toujours interloquée par le comportement de cette jeune salope, mais également très excitée, je me sens un peu perdue. J’ai pour habitude de mener mes ébats avec des filles et celle-ci me déconcerte. C’est encore elle qui prend l’initiative en me poussant vivement sur un canapé et en fourrant sa tête dans mon entre-jambes, sous ma jupe. Elle presse entre mes cuisses et atteint rapidement ma culotte sale. Je soulève ma jupe pour qu’elle puisse respirer.


-« Hummm… C’est bon par là ! T’es une grosse dégueulasse. », lance Virginie visiblement très excitée par l’état de saleté avancé de mon sous-vêtement.


Virginie n’est nullement dégoûtée par l’état déplorable de mon entrecuisse, je sens ses doigts et bientôt sa langue toucher aux parties les plus sensibles et les plus souillées de ma culotte.


-« Tu es vrai truie… », ajoute-t-elle entre deux coups de langue sur le tissu poisseux.


Le tissu de ma culotte est aspiré, elle doit mordiller et humidifier les fibres pour faire ressortir les jus. Quelle chienne !


-« Ca pue vraiment là dedans ! Que ça m’excite ! », poursuit-elle d’une voie qui trahit son excitation et son empressement à profiter de la saleté que je garde entre mes cuisses depuis plusieurs jours !


Après quelques minutes de léchage, la belle brune, remonte vers mon visage. Au passage elle déchire en partie ma jupe et glisse sous mon chemisier, dont elle fait sauter quelques boutons. Elle atteint mon soutien-gorge et malaxe mes seins avec une grande vigueur. Elle me lance un nouveau mollard dans le visage. J’ouvre cette fois la bouche pour l’accueillir en vraie salope que je suis. Sa salive a déjà un petit goût salé typique des substances qui polluent mon intimité.


-« T’es vraiment une grosse sale, t’as pas dû t’essuyer ni te laver depuis des jours… T’aimes être sale, hein ? », me susurre Virginie me faisant profiter de son haleine lourde. En disant cela elle m’assène une nouvelle gifle qui écarte mes lunettes.


-« Oui, j’adore être crade… », réponds-je.


Virginie semble très excitée par ma réponse et retourne s’occuper de mon entrecuisse. Cette fois elle ne se contente pas de tâter l’extérieur de ma culotte souillée, elle l’écarte et fourre sa langue directement sur ma vulve gluante et puante ! Je suis un peu, un tout petit peu, gênée, mais elle me rassure bien vite.


-« Que cette bon cette odeur de chatte faisandée ! », déclare-t-elle en s’écartant à peine de mon sexe trempé.


Elle lèche vigoureusement mes grandes lèvres intimes, puis pousse sa langue plus loin, vers mes petites lèvres et ouvre le capuchon de mon clitoris… Sa langue me procure des sensations fantastiques, que la présence du clou renforce encore. Je ne peux m’empêcher de gémir. Elle fait monter mon excitation, je crois que je vais jouir, mais Virginie semble être une experte en jouissance féminine, elle stoppe ses caresses buccales juste avant que je n’atteigne l’orgasme. Elle vient tout de suite plonger sa langue dans ma bouche. Je sens mon odeur et le goût fort de mon sexe sale. Bien-sûr le baiser que nous échangeons est des plus baveux et se termine par un gros crachat de Virginie dans ma bouche. Je l’avale goulument !


Ma partenaire se lève et m’ordonne de l’imiter. J’obéis. Nous sommes toutes les deux encore largement habillées, mais nos vêtements sont plutôt en lambeaux. Elle s’allonge à son tour sur un canapé, les cuisses largement ouvertes, telle une invitation au cunnilingus. Du coin de l’œil je vois Tristan qui a sorti son sexe et se masturbe doucement. Il est tellement beau mon étalon…


Virginie semble me donner l’occasion de reprendre le dessus dans nos ébats et je ne m’en prive pas. Je soulève ses cuisses et remonte sa jupe. Sa culotte est dans le même état que la mienne, peut-être même pire. L’avant est jauni, tandis qu’une énorme tâche marron macule tout l’arrière.


-« Tu m’as l’air d’être encore plus dégueulasse que moi, grosse pute ! ». Je lance ses paroles autant pour l’exciter que pour faire plaisir à Tristan qui adore la vulgarité verbale dans le sexe.


-« Je sais que tu adores ça, cochonne. », répond Virginie.


Sans ménagement, je donne une bonne fessée à ce derrière tout sale.


-« Ca t’apprendra à ne pas te laver avant de baiser. »


Trop excitée par la vue de cette belle fille à la culotte bien sale, je dirige ma tête, langue sortie, vers le morceau de tissu imprégné de toutes sortes de substances intimes.


Le premier contact me ravit, je sens un goût très salé, puis l’odeur envoutante inonde mes narines subjuguées ! Je lèche quelques instants la culotte, mais l’écarte très vite pour arriver à la source de toute cette saleté, sa chatte moite ! J’adore cette sensation de saleté et le fait de toucher ces parties intimes si souillées avec ma propre langue. Aspirer les gouttes des jus intimes provoque chez moi une excitation sans limite. Cela fait partie de mes vices les plus profonds, je me vautre dans de telles pratiques avec un tel bonheur, mêlé parfois d’un peu de vexation pour mon amour-propre, depuis des années et j’aime ça de plus en plus. Je jouis pratiquement sans même me toucher. Un seul souffle suffirait en cet instant pour m’envoyer au septième ciel.


La cyprine déborde de la chatte de Virginie à mesure que je lèche ses parties les plus intimes et les plus sales. Elle semble aimer mon traitement, elle râle et pousse des petits cris de plaisir.


Tout à coup, mon visage et mes lunettes sont aspergés d’un jet chaud, la salope me pisse au visage ! Quelle garce, mais quel plaisir… Je tente de laper le maximum d’urine, mais dans la surprise, une bonne partie s’échappe sur le sol. Apparemment Virginie n’a pas fait exprès de pisser, je crois même que dans son plaisir elle ne s’est pas rendu compte de son incontinence. Si sa vessie est aussi pleine de que la mienne, je la comprends. Je poursuis mon cunnilingus avec encore plus d’ardeur après ce beau jet de pipi.


Toutefois, je me sens de plus en plus attirée, par le dessous de sa chatte. Ma langue descend doucement vers l’anus chargé de matière fécale, qui jonche les plissures qui bordent le trou. Le goût est très amer, que j’adore ça ! Je prends de petits morceaux de merde qui doivent stagner là depuis des jours. Je les passe dans ma bouche de truie et les avale avidement. Je me comporte comme une grosse cochonne bien vicelarde et cela m’excite au plus haut point. Je sais que Tristan doit être également en transe.


Je tiens également à faire profiter Virginie de l’odeur et du goût de son entre-jambes dégueulasse. Dès que j’ai un peu nettoyé les abords de son trou du cul avec ma langue, je vais l’embrasser sauvagement pour qu’elle goûte ses propres délices. Je suis sûre qu’elle va adorer !


Je décide moi aussi de lâcher un peu la pression qu’exerce ma vessie. Je pisse sur Virginie et souille ses vêtements. Elle adore :


-« Oui, c’est bon, c’est chaud, pisses-moi dessus, j’aime ça ! », lâche-t-elle avec une envie non feinte.


Alors je continue à pisser, ma vessie était tellement pleine… Virginie glisse pour placer sa bouche sous ma chatte et avaler ma pisse toute chaude ! Tristan m’a trouvé une belle salope, une grosse chienne comme je les aime, elle est comme moi !


Mon envie de pisser à peu près passée, nous nous vautrons toutes les deux dans l’urine qui refroidit à même le sol carrelé. Nous aspirons de petites lampées de pisse que nous déversons dans la bouche de l’autre, c’est si bon… Nous gardons quelques vêtements, trempés et déchirés…


Au bout de quelques minutes nos caresses se durcissent, je donne de bonnes fessées dès que Virginie laisse son cul à portée de mes mains. Elle me mord fortement dès qu’elle en a l’occasion. Nous nous giflons mutuellement. Je sens mon corps chauffer malgré l’humidité… J’adore donner et recevoir des coups lorsque je baise, la douleur fait pour moi intégralement partie du plaisir du sexe ! J’ai l’impression qu’il en est de même pour ma partenaire. Décidément elle est géniale, merci Tristan.


Nos ébats se prolongent depuis plusieurs dizaines de minute, lorsque je sens un jet chaud frapper l’arrière de ma tête. Je crois un instant que mon mari est venu nous rejoindre et nous pisse dessus. Je sais qu’il aime lui aussi les jeux uros.


A ma grande surprise il ne s’agit pas de Tristan, mais d’un autre homme. Encore plus surprenant, il y a derrière nous un groupe de mâles, la bite à l’air et l’un d’entre eux nous pisse tranquillement dessus jusqu’à ce que son envie soit passée !


Il ne stoppe pas lorsque je me retourne et continue à pisser sur les deux gouines dégueulasses qui se vautrent sur le canapé sale. Virginie et moi tendons nos bouches avides pour recueillir un maximum de liquide chaud.


J’aime être sale avec d’autres filles, mais aussi avec des hommes. De plus je ressens une certaines infériorité étrange.


Tristan, placé à côté du groupe de mâles en rut, déclare :


-« Ma chérie, voici la suite de ton cadeau d’anniversaire, profites-en bien. »


Toujours accolée à Virginie, je vois quatre hommes en plus de mon mari. Celui qui nous pissait dessus il y a quelques secondes est un beau brun doté d’une grosse verge imberbe. Il y a également un autre brun, plus petit et surtout couvert de tatouages et pourvu d’une bite qui me semble très épaisse, même si elle n’est pas encore bien bandée. Je vois également un jeune rouquin, qui ne paye pas tellement de mine, mais dont le sexe semble généreux. Enfin, se tenant légèrement en retrait, le dernier mâle est impressionnant : blond, large d’épaules, musclé, il ressemble à un viking ! Sa bite est à son image, monumentale !


A peine ai-je fini de les détailler sommairement que je me précipite sur la bite qui vient à peine de stopper son flux d’urine et me mets à la sucer avidement. J’aime sucer de belles bites et celle du beau brun me plait ! Il n’était pas encore très gonflé, mais je m’applique à le faire durcir, en l’enfonçant tout au fond de ma gorge. J’aime la sensation procurée par un beau gland qui titille mes amygdales. La bite prend rapidement de l’ampleur dans ma bouche. Le type appui fort à l’arrière de ma tête, là où il pissait quelques instants plus tôt !


D’un coup le mec m’envoie valser sur les canapés sans ménagement. Un autre type, le brun tatoué, m’attrape par les cheveux et fourre violemment son gros sexe dans ma bouche avide. J’adore ce type de traitement, brutal, violent ! La douleur se mêle au sexe pour un plaisir encore accru ! Cette nouvelle bite a un goût de pisse macérée très prononcé, ce qui m’excite encore plus ! Le mec est vraiment une brute, il serre ma tête tout contre son ventre, ma bouche est grande ouverte et la grosse queue défonce ma gorge… Je suis très heureuse d’être (mal)traitée de la sorte. Cela m’excite au plus haut point. Je pense un instant à Tristan et me dis qu’il me connaît bien pour m’offrir un tel cadeau.


Cette fellation plus que violente ne dure pas très longtemps, le type, peut-être sur le point de jouir, retire sa bite de ma bouche et m’assène une bonne gifle, qui envoie mes lunettes voler sur les canapés. Je laisse échapper un gros fil de bave bien gluante qui rejoint la pisse imprégnée dans mon chemisier en lambeaux et mon soutien-gorge. Je remets tant bien que mal mes lunettes sales, avant que le rouquin ne plonge à son tour son membre dur dans ma gorge.


Pendant qu’il force ma bouche j’aperçois Tristan, qui s’est levé et tend sa bite à Virginie. Cette salope va sucer mon mari sous mes yeux ! Je n’ai pas longtemps l’occasion de réfléchir à ma jalousie, la bite que je lèche depuis quelques secondes force ma gorge et manque de peu de m’étouffer… J’aime être traitée ainsi, comme une grosse chienne en chaleur ! Ce rouquin un peu frêle avait l’air réservé, mais il est tout aussi brutal que les autres et défonce ma bouche rudement, comme j’aime.


Collée au ventre pale de ce mec, je ne vois plus grand-chose de la scène qui m’entoure. J’entends les gémissements de Virginie qui semble elle aussi subir les assauts lubriques des hommes présents, sans doute du gros viking, et les commentaires salaces de ceux-ci :

-« Elle est super bonne cette cochonne ! »

-« Ouais, une sacrée pute qu’on a là ! »

-« Dis-donc Tristan, ta femme est vraiment chaude, mon salaud… »


Je suis appuyée sur le dossier du canapé, le mec que je suce est debout sur l’assise. Mes jambes sont écartées, je porte toujours mes chaussures à talons, mes bas – partiellement déchirés, trempés de pisse et de salive – et ma culotte sale, qui n’est plus en place et laisse libre ma chatte gluante de souillures et de mouille ! Cette vision doit exciter un des types, car je sens que l’on écarte encore davantage mes cuisses et bientôt une queue pénètre mon vagin. Je ne vois même pas duquel il s’agit, mais cela ne m’importe guère, tant que je suis remplie et maltraitée, je suis heureuse ! Sans ménagement le mâle entre et sort de ma chatte. Cette dernière à une grande et ancienne habitude des beaux calibres, mais cette bite est vraiment imposante, je sens qu’elle défonce bien mon sexe surexcité. Je suis sûre qu’il s’agit du viking.


Une bite qui pilonne ma chatte humide et moite, une autre au tréfonds de ma gorge baveuse, vêtue de haillons trempés de pisse et de bribes de sous-vêtements tâchés de traces de merde, tout cela au milieu d’une belle partouze, voilà une situation que j’adore, je suis excitée comme une folle !


Je me fais baiser ainsi pendant de longues et délicieuses minutes. Mes partenaires décident d’échanger leurs positions. Je vois enfin le mec qui me baise, il s’agit bien du viking et sa bite bandée est effectivement impressionnante.


Mon sexe est libéré quelques instants, ma bouche aussi. J’en profite pour respirer plus à mon aise. Toutefois, les hommes ne me laissent que peu de répit, ils profitent de ce changement pour maltraiter mon corps, quelques gifles qui rougissent encore mes joues, ils pincent mes tétons et claquent mes fesses. La bave dégouline de plus en plus, mon menton est totalement imprégné. Les gars ajoutent leurs propres crachats un peu partout sur mon corps électrisé. La queue qui entre dans ma bouche a un goût bien particulier : je sens la mouille qui a suinté de ma chatte mêlée à des relents d’urine pas très fraîche ! Quelques secondes après, ma chatte est à nouveau occupée, par une nouvelle bite un peu plus modeste que la précédente, mais très vigoureuse.


Je constate qu’un petit groupe s’est formé autour de Virginie. J’entends crier de joie, je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais j’en suis très curieuse. Je ne tarde pas à comprendre. Tristan approche de moi, les deux hommes qui me baisent s’écartent. Mon mari se présente fièrement, nu, sa verge parfaitement tendue. Cette dernière est couverte de merde. Il me demande :


-« Chérie, tu vas goûter à la merde de ta nouvelle copine Virginie ! Je viens de l’enculer et cette grosse cochonne avait le cul plein, regarde l’état de ma bite ! Je sais que ça t’excite de bouffer de la merde ! »


Malgré mon tempérament assumé de grosse salope, un brin de honte traverse mon esprit lorsque je me fais traiter ainsi par mon mari devant tous ces hommes inconnus et Virginie. L’idée de goûter à la merde de cette dernière me gène un peu, mais je sais au fond de moi que je ne pourrai pas résister longtemps à cette occasion de me rouler dans l’ordure, de m’humilier en public et de faire savoir à tous quelle truie je suis !


A genoux, j’embouche sa bite couverte de merde et mes lèvres s’en couvrent rapidement. Le goût âcre, amer et très prononcé de la merde fraîche irradie mes papilles. L’odeur entêtante emplit mes narines. J’ai un sursaut de rejet, mais je le maîtrise et ma perversion prend le dessus. Je nettoie cette bite que je connais si bien. J’avale de petits morceaux de merde, non sans haut-le-cœur.


Les autres protagonistes nous regardent, un peu ébahis. A nouveau les commentaires grossiers fusent :

-« Quelle grosse truie ! », lance Virginie.

-« Une fameuse chienne ! », ajoute un des gars.


Même si le membre de Tristan était bien couvert de merde, je le nettoie assez vite. Peut-être furieuse que j’ai mangé si avidement ses excréments, Virginie m’attrape par les cheveux, me gifle très fort et me crache au visage en m’insultant. Elle fourre mon visage entre ses cuisses et m’ordonne de lécher son trou du cul dégueulasse. Je m’exécute en donnant de grands coups de langue bien au fond de la raie de ses fesses, là où la merde est bien dense, bien puante !


Pendant cet analingus très particulier, deux types en profitent pour soulager leur vessie en nous pissant copieusement dessus. Virginie est sur le dos, moi entre ses cuisses. Apparemment les mecs visent la bouche de ma copine qui doit se délecter de belles quantités d’urine toute chaude, tandis que les reliquats viennent irriguer son entre-jambes où je m’en abreuve.


Au bout de quelques secondes, je sens que le tatoué me pousse en avant et se fait une place près de mon arrière-train. Je pense qu’il va enfiler ma chatte, mais il force mon cul. Vu mon habitude à me faire sodomiser, il ne lui faut pas longtemps pour entrer totalement sa queue dans mon anus. Je poursuis quelques temps mon analingus à Virginie en glissant ma langue aussi loin que je peux à l’intérieur de son trou du cul pour récupérer un maximum de merde ! Je suis parfois obligée de m’écarter un peu d’elle pour pouvoir respirer lorsque les flots d’urine et de merde m’en empêchent.


La bite qui me fourrage le cul me provoque de sensations incroyables. En effet, en plus de la belle longueur du membre, je suis ramonée jusqu’au fond de mes intestins par l’énorme étron qui encombre mes entrailles depuis des jours ! Quelle divine sensation que d’être défoncée sur une telle distance. J’ai l’impression que l’ensemble de mes entrailles sont chamboulées, fouillées, brassées,… Cette sodomie particulière me procure une incroyable envie de chier ! Je ne sais combien de temps je vais pouvoir tenir, mais je fais de mon mieux pour préserver ma merde encore quelques instants. Quel bonheur d’être aussi salope !


Virginie est malheureusement attirée par d’autres hommes qui veulent la baiser et je n’ai pas le temps de bouffer toute la merde qui souille les abords de son cul.


Les hommes prennent Virginie de toutes parts, ils lui font une belle double pénétration, qui la fait jouir à plusieurs reprises. Tristan défonce sa chatte pendant que le rouquin explore son anus. Elle porte encore des lambeaux de vêtement, déchirés, trempés de pisse et souillés de merde ! C’est vraiment une super salope comme je les aime. Où mon Tristan l’a-t-il trouvée ? Ca ne m’étonne pas de lui, quel vicelard…


Le beau viking à la bite surdimensionnée est seul, je l’appelle :


-« Viens t’occuper de moi ! »


Il approche sa bite de ma bouche avide. Il pilonne bien mon visage et me brutalise comme j’aime. Il s’attache aussi à maltraiter mes nichons ; il les attrape, les tord, les pince et les claque, comme c’est bon de souffrir sous les assauts d’un mec ! Mes tétons sont rouges vifs et gonflés, gorgés de sang, prêts à exploser !


L’autre bite me défonce toujours le cul, s’embourbe dans la merde qui doit se frayer un chemin vers l’extérieur sous la pression de ses coups de boutoirs, je commence à sentir la matière chaude et puante glisser hors de mon rectum et souiller les couilles du type. Le mec appelle alors Virginie :


-« Virginie, viens voir, Estelle et moi avons quelque chose à te montrer. », lance-t-il à la belle salope qui se faisait toujours prendre en double pénétration.


Virginie quitte ses partenaires, se rapproche de nous et se glisse sous moi. D’un seul coup, la bite qui retenait tant bien que mal la merde contenue dans mon cul sort de mon orifice et ce dernier libère une quantité impressionnante de matière fécale, juste sur le corps délicieux de la belle Virginie. Je suis surprise et impressionnée par la quantité de merde qui s’échappe, je ne pensais pas pouvoir en contenir autant, le flot ne s’arrête pas. J’ai l’impression de me vider, de ne plus rien contrôler. Mon orgasme est foudroyant !


Virginie pousse des cris de joie, encouragée par les hommes qui n’en perdent pas une miette. Ma merde se répand sur sa poitrine, encore partiellement couverte par ses vêtements. Lorsque je me suis totalement vidée, je remarque les sourires des hommes et je ne peux m’empêcher des les imiter. Je me retourne pour découvrir le résultat de ma vidange.


Virginie, affiche un grand sourire, un peu de merde a débordé sur son visage, une odeur terrible se dégage, elle m’invite… Sans réfléchir je plonge ma tête sur sa poitrine où la merde est la plus profonde et la plus puante ! Je m’enivre de mes propres excréments !


Quelques hommes se mettent à nous pisser dessus ! Je ne m’en préoccupe guère, je commence à prendre en bouche des morceaux de ma merde, je les mâche lentement et en avale un peu. Je suis une vraie truie qui mange sa merde ! J’adore me vautrer ainsi dans l’immondice, cela fait partie de mon – très grand – vice. Virginie badigeonne mes beaux et longs cheveux blonds clairs de grandes tartines de merde. Je dois vraiment avoir l’air d’une femme-chiotte ! Quelle joie !


La poitrine de Virginie était encore loin d’être propre, lorsque l’un des mâles m’intime l’ordre de me retourner. Je me trouve alors couchée sur les seins sales de Virginie, tandis que le mec me surplombe de son cul.


C’est le rouquin, son anus s’ouvre pour libérer une belle grosse merde dégueulasse qui se dépose sur mon visage. Ma bouche ouverte, avide, ne parvient pas à capter tout l’étron, dont une partie se dépose sur le haut de mon visage, mes lunettes déjà toutes sales et mes cheveux, qui étaient encore tout blonds il y a quelques heures…


Je mange encore de la merde. Celle de ce garçon a un goût plus musqué que la mienne, il a dû se retenir tellement longtemps, le porc. Je sens que je plonge dans des vices de plus en plus profonds et cela m’excite encore davantage. Je n’ai plus aucune limite ni tabou.


Tristan me regarde, satisfait de sa salope de femme.


Lorsque le rouquin se retire et que je me suis un peu repue de sa merde, les autres types viennent tour à tour chier sur moi, même Tristan. Je suis toujours allongée sur Virginie, qui, même si elle me laisse pratiquement toute la merde pour moi tout seule – c’est mon anniversaire, après tout – semble apprécier d’en voir, d’en sentir et d’en toucher autant.


Je m’efforce de manger un maximum de matière fécale. Je me sens totalement salope, comme je l’aime, depuis ma puberté. Mais petit à petit, mon estomac commence à rechigner. Je peux tenir difficilement jusqu’à ce que le dernier type chie, le beau viking, mais ce dernier pond un étron terrible : gros, gras, puant à souhait,… Dans l’excitation du moment et encouragée par les vivas des hommes et de Virginie, je bouffe une grande partie de sa merde.


Mais quelques secondes plus tard, je dois vomir une masse brune et visqueuse que je répands sur le sol ! Les mecs applaudissent avec fougue. Virginie sourit. Je suis à la fois gênée de vomir en public, fatiguée par mes efforts, mais tellement heureuse d’être aussi salope et de pouvoir assouvir mes fantasmes les plus profonds, qui plus est en compagnie de l’homme que j’aime…


Tristan s’approche et dit : «  Tu as vu ce que tu as fais ? T’es vraiment un grosse dégueulasse ! Tu sais que j’adore ça, mais il va falloir que tu sois encore plus crade. Je veux que tu bouffes ton vomi plein de merde, petite pute ! ».


Quel porc ce chéri de mari ! Il me plonge dans les vices les plus ignobles, m’insulte, tout en m’aimant très fort…


Malgré tous mes vices, je n’avais encore jamais goûté au vomi. L’odeur est très acide, différente de la merde ou de la pisse, même si la matière qui gît près de moi est largement composée des excréments que j’ai mangés.


Finalement totalement excitée, je ne me pose pas de question et sors ma langue pour lécher le sol couvert de vomi merdique ! J’aspire le liquide nauséabond et croque quelques morceaux plus durs, que je n’avais pas bien mâché la première fois !


Les hommes m’insultent tant et plus :

-« Regardez-moi cette truie ! ».

-« Quelle pouffiasse, bouffer sa propre gerbe, buerk ! ».


Tristan ordonne ensuite aux hommes, dont les queues restaient inactives, mais toujours bien dures, de me baiser comme le mérite une chienne comme moi.


C’est ainsi que le beau brun me tire m’extirpe de la flaque gluante et puante dans laquelle je me vautre, et violemment m’envoie vers un canapé plus propre. Il s’allonge sous moi. Il me prend par la chatte, tandis qu’un autre homme vînt m’enculer sans ménagement.


Après quelques minutes de ce traitement, je demande à recevoir deux bites dans le cul en même temps ! Je sais que mon anus peut le supporter et je suis tellement excitée que je veux soumettre mon corps à tous les vices ! Mais j’ai peut-être oublié la taille du sexe du viking. Et c’est lui qui se présente en compagnie du tatoué ! La pénétration est un peu longue et douloureuse, mais comme je l’ai dit la douleur fait pour moi partie intégrante du plaisir. De plus les restes de merde qui jonchent les parois de mon anus doivent faciliter la pénétration de ces deux bites. Lentement mon fion se dilate et laisse entrer les deux sexes bandés au maximum. Cette double pénétration spéciale dure plusieurs minutes d’intense plaisir.


Les hommes se succèdent ensuite dans mon derrière. Tristan me prend également, à son tour, en compagnie du beau brun.


Après plusieurs dizaines de minutes, ponctuées de nombreux orgasmes de ma part, les bites se groupent autour de la bouche avide de Virginie et y déversent des quantités impressionnantes de sperme !


Virginie affiche un plaisir franc lorsqu’elle reçoit les grandes giclées blanches, utilisant ses doigts pour y guider le foutre qui avait atterrit sur ses joues. Cependant, elle n’avale pas, elle se gargarise avec cette matière riche et odorante. Puis, quand tous les gars ont vidé leurs couilles – y compris mon mari – elle s’approche de moi et déverse le contenu de sa bouche dans la mienne, en me disant :


-« Joyeux anniversaire Estelle ! »


Je me gargarise moi aussi de cette liqueur, puis avale le tout d’un seul trait. Peut-être cette matière visqueuse va-t-elle soulager mon larynx irrité. Je termine par un rôt totalement obscène !


Tristan vient me voir et dit devant tout le monde que j’ai reçu la première partie de mon cadeau et que la suite m’attend. Si je veux.


Je reste un peu surprise, tant de baise, de salissure, d’injures,… Je croyais que mon cadeau prenait fin et j’en étais déjà très satisfaite. Mais apparemment, les choses doivent se poursuivre. Je suis un peu fatiguée, mais je fais docilement signe de la tête que « oui », je veux bien la suite.


J’ai jouit comme rarement et me suis vautrée dans le vice et les immondices au-delà de la raison, mais si Tristan a encore des surprises, mon esprit pervers était prêt à les suivre.


Il ne perd pas une minute, il lance : « Puisque ma petite salope de femme est d’accord, passons à la suite ! »


Il m’attrape alors vivement par les cheveux et m’attire dehors. Je suis assez surprise, non pas par la violence de son geste, mais par le fait qu’il me fasse sortir, non seulement nue, mais souillée par la merde de tous ces hommes sur mon corps ! Je ne suis pas très pudique, mais l’exhibitionnisme ne m’a jamais particulièrement excité.


Au dehors il fait nuit noire, Tristan me fait ôter les derniers lambeaux de vêtement qui étaient restés sur moi et saisit un tuyau d’arrosage et ouvre un robinet, de l’eau glacée en sort, qu’il me gicle dessus, d’un réflexe je m’éloigne, mais Tristan m’intime l’ordre de rester sur place et de subir l’eau froide : « Tu ne trouves pas que tu es trop dégueulasse comme ça, je vais te nettoyer un peu, laisse-toi faire ! »


Tristan m’asperge, l’eau froide et la pression du jet font rougir ma peau, d’abord protégée par la salissure, elle est vite nettoyée. Mon mari insiste davantage sur mon entrecuisse très sale. La conjugaison de la pression et du froid est très douloureuse. Mais j’aime ressentir de la douleur, cela m’excite à nouveau très vite. Quelle salope je fais !


Baissant un peu la pression, Tristan approche encore le jet de ma chatte et de mon cul pour bien nettoyer chaque recoin, il déclare : « Tu devras être bien propre pour la suite. Ca va te changer… »


Etrangement, ma chatte pulvérisée par l’eau glacée me brûle, je crie très fort, ne me rendant pas compte que nous sommes dehors et que l’on pourrait m’entendre, de toute façon je m’en fous, j’ai trop mal.


Considérant que je suis assez lavée, Tristan stoppe le jet, mais m’intime l’ordre de rester sur place. Comme dans les films de prisonniers, il m’asperge d’une poudre blanche qui me pique les yeux en déclarant : « Voilà pour une pétasse comme toi, une grosse chienne dégueulasse doit se faire désinfecter pour être vraiment propre. Tu comprendras par la suite. »


Je tousse et ai du mal à reprendre ma respiration. J’avoue ne pas très bien comprendre, je ne cherche pas plus. Je suis soumise, heureuse de l’être et fais totalement confiance à mon mari-maître. Je suis sûre qu’il saura me faire plaisir, comme depuis le début de cette folle partie et de notre vie de tous les jours.


Dès que le nuage semble un peu retombé, Tristan revient vers moi et m’empoigne par les cheveux violemment, pour me traîner à l’intérieur du garage. Nous délaissons l’espace qui a servi à nos ébats dégueulasses de tout à l’heure pour gagner une autre partie de ce très grand garage, qui a pu rester propre. L’ambiance du mobilier est assez dénudée.


Tristan me mène au centre de la pièce et me fait écarter les jambes, tout en restant debout. Grâce à des anneaux métalliques, il m’attache les chevilles au sol. Je peux me tenir des mains à une barre située juste au-dessus de moi.


Je suis donc nue, attachée, les jambes écartées, exposée à la vue de mon mari, de mes amants et de la belle Virginie… Mon mari a tout prévu, un système de glaces me permet de me voir sous toutes les coutures, y compris mon arrière-train. Il pense vraiment à tout quand il s’agit de perversité ! J’aime ce type de situation, mais une pointe d’inquiétude nait en moi. Si, comme je l’ai montré durant la baise qui a précédé je suis une grande adepte des jeux sales et des orgies de pisse de merde et de tout ce que le corps peux exécrer, je suis également une belle soumise masochiste, prête à toutes les souffrances, notamment si elles viennent de l’homme que j’aime. Il peut tout faire de moi, il pourrait même commettre l’irréparable que je ne broncherai guère, petite chose sexuelle que je suis ! Mon mari connaît très bien mes penchants et je sens qu’il va en abuser sauvagement. Il va prendre son pied et me faire prendre le mien, j’en suis sûre.


Je ne me trompe pas. A peine attachée, Tristan se transforme en bourreau. Pinçant très fort mes tétons il les tire et les tord dans tous les sens. J’ai mal, mais ne veux pas trop le lui montrer, je fais la forte… pour l’instant.


Son traitement fait gonfler mes tétons qui deviennent bien durs. Tristan les claque et leur donne de grosses chiquenaudes qui font mal, quel délice pour une maso comme moi !


Mes amants de tout à l’heure l’encouragent : « Ouais, elle aime ça ta salope, fais la bien souffrir !

-C’est une chienne qui aime la merde, punis la bien ! »


Tristan poursuit, j’essaie de ne pas trop broncher. Il sort des pinces et enserrent mes tétons. Au début je ne sens que le froid agréable du métal, mais lorsqu’il lâche la poignée je ressens un pincement terrible ! Je crois que mes tétons vont être broyés ! La pince écrase incroyablement mes bouts et leur extrémité devient rapidement violette. Tristan sourit, content de lui. Pour en profiter encore plus il m’assène une bonne gifle qui me fait mal à la joue et au cou.


Quelques nouvelles insultes pleuvent : « Quelle garce, elle aime ça, la putain !

-Oui, ajoute Tristan, on sait tous qu’elle aime la douleur ma truie de femme, elle va déguster la salope. »


Mon maître décide de laisser mes seins ainsi entravés et va s’occuper de ma chatte. La chaleur de la pièce et surtout la douleur infligée à mes nibards, ont réchauffé mon sexe glacé tout à l’heure par l’eau du jet. Ma vulve n’a pas eu le temps de sécher, à peine l’humidité de l’eau s’est estompée que la cyprine a repris possession de ce lieu de plaisir, je crois même que je dégouline sur mes cuisses !


Tristan fait en sorte de ma garder bien trempée. Il commence par tirer sur mes grandes lèvres. Habituées à ce type de traitement depuis des années, elles s’étendent sans me faire trop souffrir. Il me donne également de bonnes claques sur la chatte, puis reprend les lèvres et les étirent davantage. Puis c’est mon clito qui a droit aux sévices. Tristan le presse, le tire, le tord dans tous les sens et je ne peux m’empêcher de couiner ! Plaisir mêlé de douleur, quel délice !


Mon salaud de mari passe ensuite à mes fesses. Il les attrape à pleine main et les malaxe fortement. Puis c’est la première claque d’une longue série. Les coups pleuvent sur mon postérieur qui me chauffe très vite. Que j’aime cette sensation de douleur sur le cul. J’ai l’impression d’être en feu, cela chauffe encore plus ma chatte, je mouille énormément. La fessée à main nue se prolonge pendant de longues minutes. La douleur est particulièrement agréable, je la sens bien, mais elle reste tout à fait tolérable… du moins pour une habituée comme moi !


Tristan ne cesse sa fessée que pour revenir vers mes nichons toujours munis de pinces. Le salaud attache des poids aux pinces qui entravent mes bouts. Je ne peux retenir un cri de douleur au moment où il lâche ces poids qui tendent incroyablement mes chaires sensibles. Les poids pendent le long de mon ventre, j’évite de bouger car chaque mouvement est douloureux. Tristan le sait bien et en profite, le salaud. Il reprend de plus belle sa fessée, mais cette fois pas à main nue. L’enfoiré se munit d’une belle cravache. Pour les premiers coups il reste relativement modéré, mais plus que la douleur sur mes fesses, ces coups portent sur mes seins en faisant bouger les poids qu’ils supportent maintenus par une pince qui mord mes chaires depuis plusieurs minutes.


Petit à petit les coups se font plus forts allant jusqu’à faire en sorte que les poids de mes seins s’entrechoquent et me provoquent une grande douleur. Je crie fort, ce qui semble vraiment exciter les spectateurs de la scène. Je vois que certains mecs tripotent Virginie. Cette dernière, en bonne salope qu’elle est, se laisse faire.


Les glaces me donnent une bonne vue sur mon cul. Si la fessée à main nue lui avait donné une belle couleur rouge, la cravache zèbre mon fessier de belles traces d’un rouge profond. J’ai de plus en plus mal, mais la simple vue de mon cul abîmé par les coups m’excite tellement, que je demande même à Tristan de continuer : « Vas-y mon beau, frappe-moi encore… plus fort… »


Mes propos l’excitent, c’est sûr, il tape encore plus fort et ses coups se répètent sur les zones déjà endolories, je commence à avoir vraiment mal, mais j’arrive encore à faire la forte, malgré quelques cris de douleur.


Avant que mes fesses ne soient totalement rouges sombre, mon bourreau stoppe ma fessée. Ce n’est que pour mieux me faire souffrir. Il me contourne et profite de l’écartement de mes cuisses pour venir faire jouer sa cravache directement sur ma chatte ouverte par l’excitation. La chaleur de mon sexe atténue sans doute la portée des premier coups, mais il y a va fort et je ne peux retenir des cris de douleur et de plaisir. Je suis noyée sous une pluie de coups qui provoquent de la douleur, mais attisent également mon excitation et liquéfient mon inimité pourtant si maltraitée. Je ne sais plus vraiment où je suis, j’ai mal et je jouis… le bonheur suprême.


Lorsqu’il arrête enfin son infernal traitement, le salaud attache de nouvelles pinces, aux grandes lèvres de ma chatte, déjà rudoyées par la cravache ! Elles serrent vraiment très fort et une fois de plus ma circulation sanguine s’arrête. Je ne vois pas le bout de mes lèvres mais elles doivent être aussi violettes que mes tétons. Il joue quelques secondes avec les poids attachés à mes seins et m’envoie quelques claques sur mon cul cramoisi. Je grimace de douleur, mais parviens à me contrôler tant bien que mal. Heureusement que ce n’est pas la première fois que je suis ainsi (mal)traitée. Une bonne gifle vient ponctuer le rythme de ma torture.


Tristan n’a pas l’intention de s’arrêter là. Son esprit pervers a encore des ressources, c’est d’ailleurs ce que j’aime en lui ! Il se munit de nouveaux poids qu’il suspend aux pinces qui décorent ma chatte. Au début la douleur est supportable, mais le sadique reprend sa cravache et maltraite encore mon cul par de grands coups qui s’abattent sur ma peau brûlante et douloureuse. Je ne peux retenir des cris. Les spectateurs s’amusent toujours autant au spectacle de ma torture. Virginie se fait peloter de toutes parts et semble y prendre un plaisir certain.


Cette nouvelle fessée ne dure pas très longtemps, mais mon bourreau y va fort. Dans la glace je vois que la couleur de mon postérieur a encore évolué, de rouge sombre elle est passée au violet profond, couleur des hématomes.


Un nouveau moment crucial se prépare, Tristan va retirer mes pinces et je sais qu’il va prendre un malin plaisir à le faire de la manière la plus douloureuse qui soit ! J’en tremble d’avance, l’implore du regard, mais je sais que mes supplications resterons vaines. Le salaud aime trop me faire souffrir et il sait que j’aime tellement ça, même si je couine un peu… Il commence par mes nichons, sans enlever les poids, il tire d’un coup sec la pince de droite, j’hurle tant la douleur est prégnante. Le sein gauche me procure la même sensation et le même cri. Cette douleur ne stoppe pas immédiatement, au contraire, lorsque le sang reprend sa circulation dans mes chaires compressées, la douleur devient encore plus intense, elle dure de longues minutes, de plaisir et de souffrance.


Vient ensuite le tour de ma chatte. Je tiens fermement la barre au-dessus de moi pour ne pas m’écrouler. Il tire… je crois que ma lèvre s’est déchirée et j’hurle de plus belle. Tristan me flatte la chatte d’une petite claque en me disant que tout va bien. Quelle sensation, mélange d’horreur qui m’apporte du plaisir, je suis vraiment cinglée… C’est au tour de la deuxième lèvre, elle m’arrache elle aussi un cri horrible. Je suis en larmes, mais heureuse d’avoir enduré ce que mon maître a souhaité pour sa soumise. La douleur gronde toujours en moi, celle subie par mes seins s’estompent bien lentement.


Je pense que la séance va bientôt s’achever et je commence à espérer une fin plus câline avec mon amoureux. Mais ce dernier n’en a pas encore fini avec sa soumise de femme. Il ne me détache pas et s’éloigne de moi, j’entends qu’il cherche quelque chose.


L’objet avec lequel mon maître revient m’horrifie un peu, il tient une poignée d’épingles à nourrice. Je tremble à nouveau. Tristan le sait et en profite en titillant mes chaires avec les pointes aiguisées, sorties de leur œillet de protection. Je fais non de la tête, mais il n’en a cure. Il me lance : « Tu as été vicieuse tout à l’heure, douchée par la merde et la pisse de tout le monde. »


J’opine du chef.


« Tu as aimé, tu t’es comportée en salope hors normes. »


J’opine à nouveau.


« Alors tu dois être punie. »


J’acquiesce.


Et sans attendre il enfonce une pointe dans l’auréole d’un de mes tétons. Je hurle de nouveau. La douleur n’est pas si méchante, mais la sensation d’être ainsi transpercée est particulièrement bouleversante. C’est la première fois de ma vie de salope que je suis percée. Contrairement à ce que je pensais, je ne saigne pas… pour l’instant.


Tristan ferme cette première épingle et enchaîne en enfonçant une nouvelle pointe dans mon autre sein, je crie moins. Mais il s’acharne, et plante au total trois épingles dans chaque téton. Je ne les sens pas trop, mais Tristan sait comment me procurer de la douleur. Il triture les épingles qu’il a préalablement refermées. Toujours accrochée à la barre, je gesticule et je gémis.


Mon salaud de maître ne s’arrête pas en si bon chemin. Il descend jusqu’à ma chatte, tire mes lèvres et y plante quatre nouvelles épingles. Mes chaires déjà distendues par les pinces et les poids ne souffrent pas trop de cette nouvelle intrusion, mais lorsqu’il malaxe mes lèvres et tord les pointes qui les traversent, je souffre... tout en prenant un plaisir incroyable qui me fait mouiller. Tristan s’en rend compte : « Quelle putain ! On la bat, on la perce et elle mouille comme une chienne en chaleur. Les mecs j’ai vraiment de la chance d’avoir épouser une telle chaudière ! »


Il est approuvé par l’ensemble du public qui ne perd par une miette de mes supplices, notamment Virginie, que je vois très excitée par tout ça. Aurait-elle déjà profité de l’esprit sadique de Tristan ? Je ne me pose pas la question longtemps.


Ses paroles m’excitent encore plus et j’ai presque envie d’être prise sur le champ par une belle bite, mais mon mari a d’autres projets tout aussi délicieux.


Il reprend des poids, un peu plus petits que ceux utilisés tout à l’heure, et, un à un, les accroche aux épingles. La pression qu’ils exercent est bien différente de celle subie lorsque mes seins étaient munis de pinces, la douleur est moins vive, mais plus profonde. Je m’inquiète un peu car ces poids font saigner mes nichons, des coulées rouges se forment autour des épingles. Si cette vue m’inquiète, elle m’excite aussi grandement. Moi, Estelle la salope, je me fais maltraiter au point de pisser le sang. Quelle truie je fais, j’adore ça d’autant plus que je parviens à plutôt bien supporter la douleur.  


Les épingles fichées dans ma chatte ont elles aussi le droit aux poids. Je ne vois pas si elles saignent, mais je l’espère ! Je n’avais encore jamais vraiment saigné durant mes innombrables séances de baise en tout genre, mais j’y avais déjà pensé, notamment en regardant des sites sado-maso. Tristan vient de réaliser un de mes fantasmes.


Toujours les pieds attachés au sol, mes parties sensibles percées d’aiguilles tendues par des poids je dois offrir un drôle de spectacle pour mes baiseurs de tout à l’heure. Ils m’observent en triturant la belle Virginie complètement nue. Je vois quelques mecs bander. Je crois qu’ils ne vont pas tarder à baiser cette petite pute. Elle ne demande que ça !


Mon supplice se poursuit. Je ne comprends pas tout de suite de quoi il s’agit. Tristan approche de moi avec des tiges couvertes de feuilles vertes. Je pense un instant qu’il va me fesser à nouveau, mais ces tiges me semblent bien frêles pour mater une chienne comme moi. Je ne comprends que lorsque les feuilles entrent en contact avec la peau de ma poitrine. Ce sont des orties ! Le salaud me caresse tout le corps avec des orties fraîches très urticantes !


Ce supplice est très douloureux, notamment sur les zones qui n’ont pas été chauffées par le feu de la cravache. Quelle sensation ! Ca me pique de partout, je gesticule comme un vers ce qui fait remuer les poids suspendus aux épingles qui transpercent toujours mes parties sensibles. Quel pourri ce Tristan ! Mais quel plaisir en même temps, il a vraiment de bonnes idées pour martyriser sa soumise. Il insiste particulièrement sur mes nichons déjà bien maltraités, les piqures m’électrisent.


Dans les glaces je vois mon dos rougir sous la brûlure des feuilles urticantes. La douleur cède le pas au plaisir et je crois un instant que je vais jouir de douleur ! Tristan place alors les feuilles dans mon entre-jambes, je pousse un cri. Ca y est j’ai jouis !


Il ne cesse de jouer avec les orties que pour reprendre sa cravache et fouetter mon cul pour remuer les poids. Mon supplice se prolonge, presque tout mon corps a droit aux morsures de cette cravache. Je suis rouge de partout.


Je crie, je jouis, je pleurs, j’en demande plus … tout est mélangé. Je perds le contrôle de moi-même, sous les coups et les insultes.


« C’est vraiment un sacrée chienne.

-Frappes-la plus fort, elle adore cette pétasse ! »


J’aperçois Virginie qui se fait baiser. Elle se prend une bite, dans chatte ou le cul, difficile à dire d’où je suis, elle suce un autre mec, mais elle continue de me regarder me faire battre. Je sais que ça excite cette petite pute.


Sans que je ne m’en rende compte, mon supplice prend fin. Je navigue toujours entre larmes et jouissance. Tristan retire les poids, les épingles, qui laissent de grandes traces de sang qui coulent sur mon corps, et finit par me détacher. Cette salope de Virginie a l’air de se faire baiser bien sauvagement, par plusieurs mecs, mais je m’en fous complètement. Nous les abandonnons, sans que je ne me préoccupe d’eux. Tristan me prend dans ses bras, me porte. Sans que je ne comprenne vraiment nous quittons ce garage et entrons dans un bel intérieur.


Mon amoureux me dépose dans un grand bain chaud et parfumé et me lance :


-Joyeux anniversaire ma chérie !


Quel amoureux sublime : attentionné, charmant, beau et baiseur vicieux hors pairs, tout ce qu’il me faut.


Il prend alors tous les soins, me lave, me masse, me câline, me pommade à la sortie du bain et me mène dans une belle chambre avec un lit gigantesque. Je perçois une pointe de lumière au dehors, quelques chants d’oiseaux. Nous avons baisé toute la nuit. Je m’endors dans les bras de mon amoureux, soudain plein de tendresses.


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Pour vous permettre de mesurer toute l’étendue de notre folie, je vous conte un second épisode qui a bouleversé nos vies de pervers. Il se déroule deux ans après le premier.


Tout a commencé il y a un mois environ. Me réveillant après une nuit torride, dans le sens sensuel uniquement puisque nous étions en plein hiver, je feuillette machinalement le journal et tombe par hasard sur les résultats du loto. Je joue régulièrement les mêmes numéros depuis quelques années et là, je n’en crois pas mes yeux, mes chiffres fétiches (même s’il n’y a pas 69 numéros !) sont là, imprimés en caractères bien nets ! J’avale ma salive, me frotte les paupières, incrédule… Mais après avoir vérifié et revérifié, l’évidence est là, il semble que j’ai bel et bien gagné le jackpot. Je décide de garder la tête froide et d’appeler l’organisateur du jeu. Il me donne rendez-vous dans ses bureaux et me confirme un gain faramineux de plusieurs dizaines de millions d’euros !


Toute la journée je ne sais que faire de cette nouvelle. J’ai encore du mal à réaliser et décide de ne rien révéler à mon mari ; pour l’instant.


Nous aimons voyager et je me dis qu'une petite escapade serait l'occasion idéale d'annoncer à Tristan cette fantastique nouvelle, qui doit bouleverser notre vie. J'hésite beaucoup sur la destination et le type de voyage qui conviendrait le mieux. Je pense bien-sûr aux îles paradisiaques, mais je ne parviens pas à trouver le voyage exceptionnel, à la hauteur de mon amour pour mon mari et de la nouvelle que je compte lui annoncer. Finalement, c'est un conseiller de l'organisme de jeu qui, après une belle partie de baise – je n'ai pas pu m'en empêcher, il était si mignon dans son beau costume – m'a fait entrer en contact avec une agence de voyage très spéciale.


Tout a commencé assez normalement, j'ai choisi la destination, le vol, le circuit, la location de voiture, les premiers hôtels,... Puis, pour les dernières nuits l'agence m'a proposé une prestation très particulière, réservées aux VIP les plus fortunés.


En plein désert jordanien, elle m'a proposé de réserver entièrement un hôtel de luxe, personnel compris et d'y faire séjourner, en plus de Tristan et moi, toutes les autres personnes que je souhaitais. L'agence m'a surtout mis à disposition une liste de personnes prêtes à séjourner avec nous dans cet hôtel pour y satisfaire tous nos désirs, notamment sexuels. J'avais le choix, vidéos à l'appui, entre des centaines d'hommes et de femmes, qui partageraient notre séjour et toutes nos folies sexuelles. J'ai bien prévenu l'agence que nos pratiques étaient totalement folles, dépassaient bien souvent les limites du raisonnables, mais la conseillère m'a répondu que beaucoup de leurs clients se comportaient ainsi et que leur personnel était tout à fait prêt à des pratiques non conventionnelles. Elle m'a même expliqué qu'elles étaient rémunérées en fonction des actes pratiqués au cours du séjour et que plus ceux-ci étaient corsés et plus elles étaient payées, il n'y avait donc aucun souci à se faire.


Voici comment quelques semaines après avoir touché le gros lot – à l'insu de mon mari – nous sommes partis pour un séjour de 2 semaines en Jordanie. Quand j'ai dit à Tristan que je voulais partir en voyage dans ce pays, cela ne l'a pas particulièrement emballé. Il a fait la moue en disant que ce n'était pas dans ce pays conservateur que nous allions nous éclater, mais il a donné son accord.


Nous avons visité le pays pendant 10 jours, allant de sites en sites, d'hôtels en hôtels, profitant du paysage. Comme il s'y attendait Tristan était un peu déçu en termes de sexe. Nous faisions simplement l'amour le soir à l'hôtel, mais étions très loin de nos folies coutumières. Je prenais même un malin plaisir à ne pas en faire trop. Nous passions parfois plus de 24 heures sans baiser, ce qui est bien rare pour nous. En plus, les autres occupants des hôtels étant des familles et des gens locaux, nous n'avons eu aucun rapport extraconjugal.


J'avais expliqué à Tristan que nous terminerions le séjour dans un bel hôtel en farniente. Je lui avais laissé entendre que nous nous rattraperions côté sexe une fois là-bas, mais je pense qu'il avait du mal à me croire, et pourtant,...


Après avoir dîné dans un beau restaurant dominant la Mer Morte, nous nous engageons dans une profonde vallée – un wadi – pour rejoindre le fameux hôtel à la nuit tombée. Plusieurs check-points gardent l’accès à cet hôtel très protégé. Nous sommes finalement accueillis par un personnel très attentionné. Une fois les formalités accomplies, une visite de l’établissement nous est proposée, mais je prétexte une grande fatigue pour décliner et demander notre chambre. Cette dernière est une suite absolument somptueuse. Je sens Tristan très excité, mais je continue à prétexter la fatigue pour aller me coucher, sans lui accorder la moindre faveur sexuelle. Je sais qu’il est frustré – moi aussi – mais je me console en pensant à ce qui nous attend pour le lendemain.


Nous nous levons dans le courant de la matinée et descendons pour le petit-déjeuner. Le cadre de l’hôtel est absolument incroyable, niché au fond d’une vallée très encaissée, bordée de cascades d’eau qui semblent irréelles dans le paysage désertique qui nous entoure.


Un serveur nous dirige sur un balcon qui fait face à une cascade et domine une magnifique piscine entourée d’un jardin luxuriant. Je scrute du coin de l’œil les autres tables. Je reconnais quelques personnes que j’ai sélectionnées pour partager notre séjour en ce lieu. J’avais laissé comme consigne que le premier matin les personnes se comportent comme des clients normaux. Ils sont répartis par couples sur les différentes tables du balcon.


Tristan remarque immédiatement la différence par rapport aux autres hôtels. Les autres tables ne sont occupées que par des couples jeunes, pas de famille, pas de personne plus âgée… De plus tous ces gens sont très agréables à regarder. Les filles sont habillées de manière sexy, les garçons très élégants. Tristan me dit tout de suite : « Dis-donc, cet hôtel n’est pas comme les autres. Je sens qu’on va passer un bon séjour … »


A ma grande surprise je rougis légèrement, j’ai le tract d’annoncer la nouvelle qui va bouleverser notre vie à jamais. Après quelques contorsions verbales, je me lance et avoue tout à mon mari. Je suis un peu honteuse de mes cachotteries.


A l’annonce de la nouvelle, Tristan reste sans voix pendant plusieurs secondes. Puis il est incrédule, me demande 10 fois si je n’ai pas rêvé, si je ne me suis pas trompée,… J’avais prévu ses questions, et lui tend le relevé de notre compte en banque avec la somme indécente qui s’y trouve. Il commence à me croire.


Je passe ensuite à la seconde nouvelle : le caractère très particulier de l’hôtel où nous sommes. Là encore Tristan est un peu sceptique. Pour le convaincre, un simple signe en direction de la piscine suffit. En effet, deux jeunes femme se prélassent dans le bassin bleu depuis un bon moment et attendent mon ordre pour engager des ébats torrides.  Elles s’embrassent vivement sur la bouche, font sauter leur haut de bikinis et se pelotent allègrement, à la vue de tous les occupants de l’hôtel… Tristan regarde ce spectacle et reste quelque peu interdit. Il finit rapidement son petit-déjeuner et me lance un regard amoureux : « Toi ma petite femme cachottière, tu ne perds rien pour attendre… «


Je m’inquiète un peu. Va-t-il m’en vouloir de mes mensonges ?


Il m’attire vers lui et m’embrasse, très tendrement, très amoureusement. Il me susurre ensuite : « Je t’aime ma chérie. »


Puis il m’entraîne dans le hall de l’hôtel et nous remontons dans notre chambre. Je suis un peu surprise, je pensais qu’il voudrait tout de suite profiter des charmes des autres convives de l’hôtel. Mais Tristan a une autre idée en tête.  Il veut me montrer tout l’amour qu’il me porte.


A peine entrés dans la chambre, Tristan m’embrasse et m’enlace. Nous nous caressons tendrement, au travers de nos fins vêtements d’été. Sevré de sexe pendant trop longtemps, mon corps réagit très vite aux caresses et aux baisers qui le parcourent.


Tristan fait glisser ma robe légère et sa langue parcourt ma poitrine, mon ventre, puis son souffle brûlant irradie mon pubis au travers du fin tissu du string blanc que je porte. Ma chatte se met à couler comme une fontaine, je me liquéfie…  


Il remonte par le même chemin. Il caresse longtemps mon nombril percé d’un petit clou, il joue avec, tout en malaxant mes fesses. Puis il atteint ma poitrine et libère mes seins du soutien-gorge qui les compressait. Il suce mes tétons tout durs, les lèche, les roule entre ses doigts. Je frissonne, je suis en transe,… Je passe mes mains sous sa chemise, dans ses cheveux, j’embrasse sa tête… Il revient m’embrasser à pleine bouche, nos langues agiles se mêlent longtemps, nous échangeons un fougueux baiser tout en poursuivant nos caresses de plus en plus excitantes.


Ces préliminaires durent longtemps. A chaque fois que j’imagine qu’il va passer aux choses sérieuses, il reprend son délicieux jeu de succion sur une partie de mon corps fébrile.


Il finit tout de même par écarter la fine bande de tissu de mon string, pour venir titiller mes lèvres trempées. Il les excite du bout des doigts, fait monter mon plaisir petit à petit. Je n’en peux plus… Il suce et lèche ma chatte pendant de longues minutes. Ces attouchements me mettent dans un état d’excitation inouï, sans doute dû au manque de sexe accumulé au cours de la dernière semaine. Je veux vraiment être baisée, je le dis à Tristan : « Baises-moi, je suis ta chienne en chaleur ! Je veux ta grosse bite maintenant ! »


Malgré mes provocations Tristan continue de m’exciter sans me donner ce dont j’ai besoin. C’en est trop pour moi. Sans égard pour la langue qui lèche mon minou, je fourre plusieurs doigts dans ma chatte gluante et astique mon clito comme une folle.


Tristan me laisse faire, il s’écarte de moi et se déshabille complètement. Sa bite est bien raide, si grosse, si belle avec ses veines saillantes, tendues sous l’afflux sanguin….


Tout en continuant à branler mon entrecuisse, j’entame une fellation très profonde sur la belle queue que Tristan me tend. Il sait s’y prendre – et moi aussi – pour introduire tout son membre dans ma bouche de salope en chaleur. Je gobe toute la belle bite et parviens même à titiller ses couilles du bout de ma langue, au prix d’un grand effort et d’un haut le cœur qui me fait baver abondamment. Que c’est bon d’avoir la bouche ainsi empalée par un chibre aussi viril ! Je continue de me branler, je vais jouir, ça va être bon… Mais non, de manière autoritaire Tristan, m’attrape le bras et m’oblige à enlever ma main de ma chatte, il me murmure : « Pas maintenant. Tu jouiras plus tard. »


Je suis frustrée, je fais la moue. Tristan presse ma tête pour que je reprenne ma fellation. Je m’applique donc, pour que lui aussi sente la pression monter.


Après de longues minutes passées à déguster son gland et à faire monter sa sève, j’ai vraiment envie de me faire baiser. Tristan le comprend et m’allonge sur le lit, jambes écartées. Il retire mon string encore en place et présente sa verge contre mes lèvres intimes, trempées et impatientes de recevoir leur dose de bite… Il me pénètre doucement, mais en profondeur, de lents va-et-vient dans ma chatte gluante, ouverte, assoiffée de queues… Ce rythme lent est très agréable, mais il ne me permet pas de jouir. Tristan, le sait, il le sent et faire exprès de ne pas me donner le plaisir que je demande, dont j’ai besoin. Il joue avec moi pendant longtemps. Instinctivement je porte mes doigts à mon clito, mais automatiquement et fermement Tristan les enlève… Il malaxe mes nichons, pince mes bouts, m’embrasse à pleine bouche.


Le supplice dure, et dure. Puis enfin, mon homme me donne ma jouissance, il accélère ses mouvements en moi, me possède totalement et me caresse le clito, juste où il faut, juste à la vitesse qu’il faut…


Je crois que nous jouissons simultanément. En poussant des râles de plaisir, teintés de volupté. Je sens le sperme venir inonder ma chatte déjà détrempée. Il effectue encore quelques allers-retours dans mon intimité devenue visqueuse… Quel plaisir !


Pour notre première baise dans cet hôtel je m’attendais à quelque chose de plus déluré, de plus fou. Mais nous avons fait l’amour d’une façon tout à fait incroyable, avec un désir et un amour sincère et profond.


Nous nous endormons l’un sur l’autre, sa bite sortant doucement de ma chatte au fur et à mesure que l’assoupissement fait débander mon étalon.


Nous nous éveillons en début d'après-midi, reposés, heureux d'avoir atteint une telle félicité en faisant l'amour. Pour ma part ce premier acte sexuel de notre nouvelle vie qui commence enfin a échauffé mes sens, mon côté salope reprend le dessus et me rappelle que je n'ai pas assouvi mes besoins physiques hors normes depuis plus de 10 jours, je suis vraiment en manque de sexe hard.


Certes, nu dans le lit Tristan est tout à fait attirant, mais il m'en faut plus, beaucoup plus et tout de suite. Sans même prendre le temps de m'habiller, je sors de la chambre et traverse les longs couloirs, suivie de mon mari, lui aussi totalement nu. En traversant le hall de l'hôtel, le personnel que nous croisons détourne les yeux, les autres convives nous regardent avec une pointe de désir. Je sens un reste de sperme couler le long de mes cuisses, cette situation si déplacée dans un hôtel de luxe, mais fait mouiller immédiatement. Nous gagnons le bord de la superbe piscine à débordement et nous installons sur les transats.


Je repère immédiatement une nana en train de tailler une superbe pipe à un beau mec à la queue bien raide. De l'autre côté un transat double est occupé par deux filles qui s'embrassent et se caressent tout le corps. A peine quelques secondes après notre arrivée, Tristan va rejoindre les gouines et je me dirige vers le couple de l'autre côté.


Une belle brune aux cheveux longs suce avidement la grosse bite d'un mâle musclé, qui se laisse faire gentiment en fumant une clope et en picolant de la bière. Il n'a même pas besoin d'être violent avec la gonzesse, celle-ci enfonce le membre bien au fond de sa gorge et bave tout ce qu'elle peut. Elle est agenouillée à côté du transat, montrant son superbe cul entrecoupé de la ficelle d'un string fluo. Je ne peux m'empêcher de claquer un bon coup les fesses bronzées. Le coup surprend la fille, mais elle continue sa pipe. Prise d'une envie irrésistible de baise, j'attrape la nana par les cheveux, lui retire la bite qui occupe sa bouche et la plaque sur ma chatte ruisselante de sperme et de mouille, je lui intime l'ordre de me lécher.


Que c'est bon de sentir une petite langue experte fouiller ma chatte, titiller mon clito. J’inonde de ma mouille une belle petite bouche avide de chatte. Ce cunnilingus dure quelques minutes, mais le mec qui se faisait sucer proteste : « Dîtes les filles, vous êtes super bandantes à regarder, mais je veux aussi en profiter... »


Joignant le geste à la parole, il m'allonge et me fourre sa queue dans la gorge. La brune continue de sucer ma chatte et je gobe avidement le membre que m'offre le beau mec. Je m'applique à avaler au mieux cette bite. Comme l’autre nana je bave énormément, ma salive ruisselle sur le transat et le bruit de succion humide produit des gargouillis totalement obscènes. Mon arrivée semble avoir sorti le mec de sa légère torpeur, il ne se contente pas de mes mouvements sur sa pine, il presse très fortement ma tête vers lui pour que je l’embouche au maximum.


J’adore les sensations que me procurent cette partie à trois, une langue délicieuse qui titille mon clito sensible et me procure des frissons inouïs et un gros membre qui se fraye un passage dans ma bouche et ma gorge. C’est un mélange délicieux de plaisir fins et sensibles et d’une soumission sexuelle qui me plonge dans mon côté le plus vicieux.


Après plusieurs minutes dans la même position, j’ai envie de me faire prendre et réclame la bite du mec dans ma chatte. Il ne se fait pas prier, il s’allonge pour que je vienne m’empaler sur son engin. Ma chatte est tellement habituée à être pénétrée, que l’intrusion du gros membre s’effectue sans difficulté. Il m’emplit bien le vagin et je commence à m’agiter de haut en bas à un rythme soutenu. Adorant sentir tous mes trous bien comblés, je demande à la belle brune de me fourrer quelque chose dans le cul. Elle hésite un instant et se saisit de la bouteille de bière laissée par le mec. Le froid du verre ne facilite pas la pénétration, mais la donzelle y va en force et entre en moi ce gode improvisé… Ca y est je suis bien pleine ! Une belle bite dans la chatte, une bouteille de bière dans le cul, je suis comblée… Les vraies vacances commencent enfin !


La fille ne se contente pas de laisser la bouteille fichée dans mon derrière, elle la fait coulisser au rythme des mes allers retours sur la bite. J’accélère le mouvement pour atteindre la jouissance. Dans un cri de plaisir, la bite totalement insérée dans ma chatte et la bouteille quasiment entièrement dans mon anus pendant plusieurs secondes, je jouis comme une folle ! Quelques instants après moi, le type décharge son foutre dans ma chatte, je sens de bonnes giclées inonder mon intimité. J’adore cette sensation de fornication bestiale procurée par le sperme qui s’écoule en moi.


Ce premier round est très bien, mais je suis loin – très loin même – d’avoir eu mon compte. Sentant que le mec risque d’être un peu moins vicelard maintenant qu’il vient de jouir, je l’envoie chercher un autre gars pour me fourrer : « Casses-toi, va trouver une autre bite pour me satisfaire ! »


Puis regardant la belle brune qui pince un de mes tétons, j’ajoute : « Trouves-en même deux. »


Le mec s’exécute sans rechigner. Que c’est bon d’être pleine de fric ! Au lieu des deux bites demandées, trois se présentent quelques secondes après son départ. Deux sont de beaux calibres, épais et trapus comme je les aime, mais la troisième est carrément hors normes, une vraie queue de cheval. Je ne détaille pas autrement les hommes qui se présentent à moi. J’intime l’ordre à la plus grosse bite de m’enculer immédiatement et laisse les deux autres à ma copine.


Je m’agenouille sur le transat et présente mon cul légèrement distendu. Le type est encore assez peu bandé et il y va par petites touches pour s’enfoncer en moi. Je pousse pour ouvrir mon anus et faciliter la pénétration. Que c’est bon d’être enculée par une énorme bite. Dès qu’il a inséré une première fois la totalité de son membre – au moins 30 cm – en moi, il me donne de grands coups de boutoir qui me font gémir et crier mon plaisir telle une enragée. En plus je vois devant moi, la belle petite garce se faire pistonner le cul pendant qu’elle suce un autre mec, un vrai régal…


En ces moments de baise intense, je me sens totalement dans mon élément… Je suis baisée, violentée, bousculée, … je crie, je hurle … je jouis quasiment sans discontinuer … j’adore ça ! Le seul problème c’est que j’en veux toujours plus, plus que mon corps ne pourrait en supporter. Je voudrais me faire défoncer le cul et la chatte par un TGV qui parcourrait mes orifices à 300 km/h !


Je ne sais pas combien de temps dure notre partie de baise, ni combien de bites m’ont prises par tous mes trous, ni combien giclées de foutre mon corps a absorbé. A un moment Tristan nous a rejoint, j’ai reconnu sa verge juste avant qu’elle s’introduise brusquement dans ma gorge baveuse… L’après-midi est avancé lorsqu’un membre du personnel de l’hôtel me rappelle que l’heure de ma prochaine activité approche. Je quitte donc, à regrets, les bites et quelques chattes qui m’entourent pour suivre le serveur.


Tristan me rejoint et le garçon nous conduit dans un endroit reculé de l’hôtel, au pied des cascades d’eau chaude naturelle, où un spa a été aménagé. Il nous indique que nos masseuses nous attendent.


Nos massages se déroulent dans une très grande pièce dont la baie vitrée donne directement sur la chute d’eau chaude et la vue sur le cayon. Tristan part avec une grande blonde vêtue en infirmière très sexy. Quant à moi j’ai droit à une petite asiatique aux longs cheveux, toute mignonne dans sa tenue de lingerie fine noire.


Toujours nue et souillée par le sperme de dizaines de couilles, elle m’allonge sur la table de massage et entreprend un soin relaxant en utilisant des huiles essentielles parfumées. Après les ébats de la journée, ce traitement réparateur me fait le plus grand bien. Evidemment, après quelques dizaines de minutes, son massage se concentre sur mon intimité, ses doigts parcourent ma vulve et mon anus. Je soupçonne la fille d’utiliser des huiles bien grasses qui lubrifient mes orifices. Ces huiles soulagent mon intimité qui commençait à être irritée par les multiples pénétrations sauvages.


La jeune fille entre ainsi sans problème toute sa petite main dans ma chatte pour en masser l’intérieur de ses doigts de fée. Quelles sensations sublimes de sentir une main fine et lubrifiée occuper mon intimité et agiter mes chairs ! Je sens ses doigts glisser en moi et me pénétrant toujours un peu plus profondément. Ne se contentant pas de fister ma chatte, ma « masseuse » introduit ses doigts gluants dans mon anus. Elle glisse rapidement toute sa main dans mon conduit avide de grosses pénétrations. Etre pénétrée par deux mains agiles dans mes deux trous intimes me procure une jouissance rare qui se propage dans l’ensemble de mon corps, me fait hurler de plaisir. J’halète bruyamment entre chaque orgasme. Je profite d’une jouissance inouïe, imaginant qu’elle durera toujours… Quel bonheur !


Après ce massage bien particulier, la petite asiatique se fait plus câline, elle se frotte contre moi tout en caressant tout mon corps sensible de ses mains délicates et gluantes. Je sens qu’elle aimerait elle aussi accéder à la jouissance, me donner du plaisir lui a provoqué des envies. Je ne résiste pas à au plaisir d’offrir de la jouissance à une belle minette.


Enduisant mes mains des huiles qu’elle a utilisées avec moi, je fais assoir ma compagne sur la table de massage et lui écarte les cuisses. Je glisse immédiatement mes doigts dans sa fente, ils sont absorbe sans aucune résistance, cette fille n’a pas une chatte mais un vrai aspirateur ! En deux secondes à peine je fourre toute ma main dans son intimité ! La belle feule comme une lionne, elle frissonne et s’électrise d’un plaisir évident.


Comme elle l’a fait pour moi toute à l’heure, je veux pénétrer l’anus de la belle petite cochonne qui jouit sous mes intrusions. Je la fais se retourner  – tout en maintenant mon poing fermement fiché dans son con – et entreprend de dilater son cul. Là encore, son orifice est d’une élasticité incroyable, j’entre toute ma main quasi immédiatement, sans forcer, et en faisant jouir ma partenaire… Non seulement son orifice est suffisamment large pour que j’entre toute ma main sans aucune difficulté, mais il est également d’une profondeur insoupçonnée chez une petite asiatique qui doit peser 45 kilos et mesurer à peine plus d’1m55. En quelques allers et retours je m’enfonce dans son anus jusqu’à la moitié de mon avant-bras ! La salope m’encourage à aller encore plus loin : « Oui, vas-y pousse encore, je peux prendre tout ton avant-bras… »


Je suis un peu sceptique, malgré ma grande expérience en pénétration en tout genre, de voir une jeune petite minette prendre autant dans le cul. Mais elle a raison, petit à petit, tout en douceur mon bras entre en elle. J’avoue être un peu jalouse de ses aptitudes. Je ne compte plus ses orgasmes lorsque je m’enfile dans son intestin, elle jouit presque de manière continue, ouvrant et refermant son sphincter à un rythme fou. Nos jeux saphiques se prolongent encore jusqu’à ce que Tristan – que j’avoue avoir un peu oublié pendant ce temps – nous rejoigne, sa bite à moitié bandée et toute rouge : « Je vois que ta masseuse ne s’ennuie pas.

-T’as vu comme elle prend la garce ! Il va falloir que je m’entraîne encore pour faire aussi bien qu’elle… »


Après avoir procuré un dernier orgasme à ma partenaire, je me retire de ses entrailles. Le trou que laisse mon bras dans son conduit anal est impressionnant, il se referme petit à petit, mais laisse un anus boursouflé.


Affamés par tous nos ébats de l’après-midi, nous y mettons un terme et retournons dans notre chambre nous préparer pour le dîner, que j’imagine des plus spéciaux. Nous décidons de nous habiller, de manière décontractée, mais toujours plutôt sexy. Tristan opte pour une tenue estivale avec un pantalon léger et une chemise assez ouverte. Pour moi c’est une jupe crème qui m’arrive à mi-cuisses et un chemisier assorti, sans sous-vêtement cela va sans dire !


Lorsque nous entrons dans la salle à manger, tout est impeccable, les tables nappées entourent un énorme buffet présentant des mets élaborés. Quelques convives sont déjà assis à table. A notre entrée, les regards se portent sur nous. Je vois déjà quelques personnes lancer des clins d’œil, il doit y avoir des gens avec lesquels nous avons baisé cet après-midi, mais je n’ai pas bien regardé leur visage à ce moment et je ne les reconnais pas ! Quelle salope je fais, me dis-je, baiser avec quelqu’un et ne pas le reconnaître deux heures plus tard. Il est vrai que j’ai surtout regardé les sexes – bites ou chattes – et pas tellement les visages…

Tristan me glisse : « J’ai vraiment faim. Le repas a l’air super appétissant ! »


Je ne sais pas s’il parle des mets disposés sur le buffet ou d’une belle brune, habillée d’une robe à motifs géométriques colorés, qui est en train de se servir !


Il s’approche du buffet – juste à côté de belle brune – se sert un whisky et commence emplir une assiette. Je le suis, mais malgré mes innombrables orgasmes de la journée, la vue des belles personnes présentes dans la salle et le fait de savoir qu’elles sont là prêtes à baiser avec moi, fait reprendre le dessus à mon côté pervers. Je décide de me passer de couverts et je me sers avec mes doigts directement dans le buffet. Je commence par les entrées, un bâtonnet de surimi que je porte à mes lèvres et que j’aspire… Tristan et la jolie brune me regardent, je vois un éclair lubrique passer dans leurs yeux.


Tristan avale une grande gorgée de whisky et fait mine de trébucher pour renverser le contenu de son assiette – des pâtes à la tomate – sur la robe de la belle brune. Cette dernière, feignant la surprise, pousse un petit cri. Tristan prétexte de vouloir nettoyer sa robe pour la peloter. Le salaud y va très franchement, il lui fourre la main au paquet, il remonte la robe en lui disant : « Ca n’a pas l’air trop grave, le string n’est pas tâché, mais il vaudrait mieux enlever la robe. » Elle répond : « Ah oui, c’est peut-être mieux ainsi. »


Et le plus naturellement du monde, elle s’exécute. Elle ne porte pas de soutien-gorge et dévoile ainsi une superbe poitrine, un ventre plat avec un très joli piercing au nombril, de très belles jambes rehaussées par des chaussures aux talons vertigineux, ses seuls vêtements avec son string rouge.


Je suis un peu médusée par la rapidité avec laquelle Tristan a lancé la baise de ce soir. Cela préfigure bien la véritable orgie qui va suivre. Toujours un peu surprise, je regarde mon mari embrasser cette petite salope, puis l’inviter à s’accroupir pour lui tailler une bonne pipe. Je ne suis pas du tout jalouse, mais je veux profiter moi aussi de la fête !


Je me dirige vers la table la plus proche occupée par un joli couple : lui est un beau brun bien bronzé, elle une grande rousse aux yeux verts. Ils dînaient en matant notre spectacle, je m’incruste parmi eux. Je m’assieds directement sur les genoux du type et dégrafe largement mon chemisier pour lui offrir mes seins, je lui lance de manière provocante : « Touches, pétris mes nichons, amuses-toi. »


Sa copine se lève et nous rejoins, elle aussi caresse ma poitrine et tout à coup je sens quelque chose de froid dans ma jupe ; cette petite garce est en train de fourrer de la bouffe dans le bas de mon dos ! Je pousse un cri et elle me répond : « Voilà un peu de glace pour rafraîchir ton cul, tu allais mettre le feu au pantalon de mon mec !


Ce dernier me soulève et m’allonge sur la table, je fais valser les assiettes et les verres. Il retire ma jupe pendant que la belle rousse badigeonne mes nichons de glace à la pistache, je crie à nouveau à cause de la sensation de froid, mais quel bonheur. Mes tétons deviennent instantanément durs comme de la pierre. Elle le sait bien et me les pince très fort, cela me fait mal, mais c’est tellement bon que je suis au bord de l’orgasme rien que par ce traitement sur mes seins. Voulant me faire jouir, le type lèche ma vulve et entre quelques doigts dans mes trous. La rousse choisit ce moment pour ajouter de la glace sur mon intimité C’en est trop… je jouis en criant mon plaisir…


Je ne dispose que de quelques secondes de répit avant qu’un autre couple nous rejoigne. Le mec porte un grand plat du buffet couvert de desserts, la fille apporte une bouteille de Champagne. Je reprends tout juste mon souffle, au moment où elle fourre le goulot de la bouteille dans ma bouche, je suis gavée au Champagne. J’essaie d’avaler le plus possible, mais rapidement je suis dépassée et la mousse gicle partout sur notre petit groupe. Les lambeaux de vêtements qui nous restent sont immédiatement imbibés, la sensation de froid et de liquide collant sur les peaux m’excite au plus haut point. D’un rapide coup d’œil circulaire je vois plusieurs groupes en train de gâcher la succulente nourriture du buffet en jeux érotiques.


L’homme qui a apporté le plat de desserts se saisit d’une poire couverte de chocolat fondu et l’immisce dans ma chatte surexcitée. Le contraste entre la glace et le chocolat chaud provoque une sensation délicieuse dans mon entrecuisse avide de pénétrations. Il me stimule de va-et-vient, pendant que le contenu d’une nouvelle bouteille de Champagne est versé dans ma bouche gourmande. A ce rythme-là je vais être saoule très vite, mais peu m’importe, je suis là pour m’éclater !


Je vois que Tristan n’est pas en reste, il a réuni tout un groupe de baiseurs autour de lui. Un mec arrose les fêtards avec du Champagne, pendant que mon mari prend la belle brune en levrette, peut-être l’encule-t-il ? Je n’ai pas le temps de la savoir, un beau mâle vient fourrer mon cul avec sa grosse bite, tandis que ma chatte est toujours occupée par la poire dégoulinante de chocolat chaud ! Quel bonheur d’être prise ainsi, de gaspiller une délicieuse nourriture pour jouir ! Je me sens devenir folle, je jouis comme rarement, tant des pénétrations et des sensations physiques, que de l’image de débauche que m’inspire cette scène.


Ma soirée se poursuit pendant plusieurs heures sur le même rythme. Mes orgasmes se succèdent au fil des pénétrations en tous genres et dans tous mes trous. Je ne sais pas combien de personnes forniquent et se vautrent dans cette orgie hors normes, mais je n’avais jamais rien connu de tel auparavant !


Saoule, repue de nourriture et de sexe, un personnel de l’hôtel me reconduit à ma chambre et me lave consciencieusement avant de me coucher. Tristan est également dans le lit, je ne sais pas comment il y est parvenu. Les images des ébats de journée me reviennent brièvement, je ne sais pas si je vivrai une autre journée aussi folle demain, puis le sommeil me gagne.


Nous nous réveillons en milieu de matinée. La mal de tête est moins violent que je ne le craignais, le Champagne devait être de qualité. Un petit cachet d’aspirine suffit à le faire disparaître rapidement.


Tristan et moi nous regardons. Que penses-t-il de moi ? Ne va-t-il pas me trouver trop folle ? Un regard et un sourire amoureux chassent ces mauvaises pensées. Nous nous embrassons tendrement.


Nous nous dirigeons vers la terrasse du petit-déjeuner et dès que nous apercevons les autres convives de l’hôtel, je sens la lubricité nous reprendre. Je suis un peu choquée de voir une fille d’à peine 20 ans, enceinte d’au moins 8 mois en train de fumer une cigarette en buvant son café. En la détaillant je remarque que la main qui ne tient pas sa cigarette est fichée dans son entrecuisse, la cochonne est en train de se branler, tandis que ses gros seins, gonflés par la grossesse débordent presque de son tee-shirt. Je fais un signe à Tristan, qui s’approche immédiatement de la minette et s’adresse à elle : « Moi aussi je peux voir si le bébé ne va pas arriver tout de suite ? » Elle lève les yeux vers nous : « Bien-sûr, je tâte ma chatte car elle est trempée, je ne sais pas si je perds les eaux ou si je suis simplement excitée… »


Cette jeune fille est rayonnante, la maternité la sublime. Elle nous regarde avec un incroyable érotisme en tirant sur sa clope et en recrachant la fumée dans notre direction. Je ne peux m’empêcher d’aller à elle et de lui rouler une pelle bien baveuse. Tristan baisse son pantalon et fait jaillir sa belle bite déjà bien dure. Moins de 20 minutes après nous être réveillés d’une soirée d’orgie nous recommençons à baiser, nous sommes vraiment un couple d’obsédés !


Dès que nous rompons notre baiser, la belle jeune salope gobe la queue de Tristan, il soupire d’aise. Je me glisse dans l’entrejambe attirant et fouille sous la jupe. La nana ne porte rien en-dessous, sa chatte est effectivement détrempée et j’introduis 2 doigts à l’intérieur sans réellement sentir de résistance. Même si elle est occupée par sa fellation, la minette ronronne de plaisir lors de cette introduction.


Tristan ne ménage pas la fille pourtant enceinte, il pilonne sa bouche et sa gorge, ce qui la fait abondamment saliver. Je sais qu’il adore dominer les filles et être violent avec elle, cela fait partie de ses grandes qualités selon moi, mais je ne l’avais encore jamais vu s’en prendre à une femme enceinte. Cette dernière semble apprécier sa manière d’être rude. Elle se donne à fond pour engloutir la totalité du chibre de mon mari.


Après quelques minutes de ce traitement, Tristan se retire de la bouche baveuse et conduit la jeune salope sur un canapé, il déchire ses vêtements et plante sa grosse bite dans la chatte dégoulinante et bien écartée. Il fait un peu attention à ne pas écraser le gros ventre tendu qu’il a sous lui, mais ne ménage pas pour autant sa partenaire, il lui assène plusieurs gifles et lui crache à la figure, elle semble apprécier : « Ouais, baises-moi à fond, j’ai trop envie ! »


Je ne suis pas en reste, je profite du spectacle en léchant le jus qui s’échappe de la chatte à chaque fois que mon mari prend du recul dans le vagin avant d’y replonger violemment. Il jouit en elle après quelques minutes. Je lèche alors le con dilaté pour récupérer le bon foutre de Tristan. Voilà mon petit-déjeuner !


Cependant, je n’ai pas encore jouit. Si Tristan abandonne la fille enceinte pour prendre un vrai petit-déjeuner, je veux atteindre l’orgasme. Pendant que la nénette reprend ses esprits, en allumant une nouvelle clope, je m’assieds devant elle et écarte outrageusement les jambes pour l’inviter à fourrer sa langue dans mon intimité. Elle ne me fait pas attendre et vient lécher ma moule trempée. Elle joue avec la fumée de sa cigarette, qu’elle envoie à l’intérieur de mon vagin dilaté ! Je jouis en peu de temps…


Nous profitons « normalement » des équipements de l’hôtel pendant la fin de matinée et une bonne partie de l’après-midi : piscine, sauna, …


Tristan et moi mijotons de nous rattraper dès la fin de l’après-midi. J’ai convié une dizaine de résidents de l’hôtel à nous rejoindre dans un salon décoré de magnifiques tentures blanches. Mes consignes sont précises : chaque convive est vêtu d’une tenue claire, très sexy : les femmes – moi comprise – portent des sous-vêtements aguichants avec soutien-gorge pigeonnant, bas, porte-jarretelles et string ; les hommes des boxers. J’ai sélectionné les participants à cette séance en fonction d’aptitudes bien particulières que j’ai pu détecter chez ces personnes lorsque je les ai sélectionnées. Hormis Tristan et moi, aucun des protagonistes n’est encore entré en scène depuis notre arrivée, car j’ai exigé que tous soient le plus sales possible dans leurs parties intimes.


En voyant ces jolis jeunes gens, tous très beaux et très sexy, Tristan et moi sommes excités comme des fous, en sachant que nous allons participer à une nouvelle orgie, encore plus délirante que celle de la veille.


Tristan approche d’une grande blonde, à la poitrine généreuse. Perchée sur ses hauts talons, elle le toise et lui crache au visage. J’imagine un instant que mon mari va répliquer en la giflant violemment, mais il lui sourit et lèche le crachat qui dégouline de son nez. Puis, il envoie lui aussi un mollard au visage de la blonde, qui sourit en retour. Je sens que cette orgie va être très chaude.


Je me tourne vers un beau brun assis sur un canapé couvert de blanc. Je l’attire vers moi, lorsqu’il se lève je vois qu’il a laissé une trace brune sur la tenture claire, il doit vraiment être dégueulasse à l’intérieur de son boxer, je vais adorer !


En me collant à lui, je sens son haleine faisandée, beaucoup de personnes – normales – seraient repoussées par une telle odeur, mais sans que je puisse réellement l’expliquer, je suis excitée comme une folle, transgresser de tels interdits moraux m’échauffe les sangs, je sens ma culotte s’humidifier d’un seul coup.


Le mec vient m’embrasser et je prends alors en plein nez la puanteur de sa bouche, comment fait-il pour sentir si délicieusement mauvais ? Nos langues se mêlent, l’odeur m’excite, mais mélangée à l’action de sa langue dans ma bouche je sens un haut-le-cœur me prendre. Je passe néanmoins ma main sur ses fesses pendant le baiser. Même au travers du tissu qui couvre les fesses, je sens que ces dernières sont collantes, l’intérieur doit être rempli de merde ! Que cela m’excite !


Après plusieurs dizaines de secondes de ce baiser très savoureux, je descends vers le sexe de mon partenaire. L’avant du boxer est jauni, je n’ai aucun doute sur l’origine de cette tâche, d’autant que l’odeur de pisse est entêtante ! J’ouvre le slip pour sortir une bite encore partiellement molle, mais qui dégage un divin fumet ammoniaqué. Je ne peux me retenir de prendre ce beau sexe en bouche pour le savourer. Le goût de pisse rance est très fort, j’adore ! Je suce la bite sur toute sa longueur, la faisant coulisser loin dans ma gorge. Ma bave dilue un peu la pisse moite qui stagnait là. Quittant la bite, ma bouche part fureter plus bas, vers l’anus de mon bel étalon sale. Tout le pourtour du trou du cul est couvert de merde plus ou moins sèche. L’odeur âcre est puissante, je m’en régale. Je prends en bouche des morceaux de caca, les humidifie avec ma salive et les avale goulument.


Après plusieurs minutes de ce traitement, je suis excitée à mort, je veux vraiment me vautrer dans les immondices. Je quitte mon partenaire et m’allonge sur le canapé, toujours sommairement vêtue de mes dessous sexy, encore blancs. J’appelle trois autres types qui regardent le spectacle et les invitent à me souiller : « Les gars, venez vous vider sur moi. Je veux votre pisse et votre merde. »


Ils s’approchent, tous me crachent dessus et sortent leur bite. Ils lâchent les vannes immédiatement et je suis entièrement aspergée de jus brûlant et odorant. En quelques secondes je suis totalement trempée. Deux robinets visent ma bouche grande ouverte, qui tente de laper le maximum de pisse chaude. Les autres aspergent le reste de mon corps brûlant d’excitation. Ma lingerie est immédiatement trempée de liquide doré. Tout en lapant l’urine, je respire profondément l’odeur déjà âcre des flots de pisse qui me recouvre !


Dès que les jets s’estompent un peu je reprends me remets à sucer profondément les grosses queues encore partiellement dures. Concentrée sur ma pipe, j’en oublie presque l’ordre que j’ai donné quelques minutes plus tôt. Il m’est rappelé par une grosse masse chaude et légèrement molle qui tombe sur ma nuque : je viens de me faire chier dessus par un des types qui a vidé sa vessie sur moi.


Je fais comme si de rien n’était, toujours appliquée à astiquer le membre qui encombre ma gorge, lorsque l’un des gars saisi la merde qui glissait lentement le long de mon dos et barbouille mon visage de matière fécale puante à souhait. Quelle jouissance !


Je deviens incontrôlable. Je sors la bite de ma bouche et fais moi-même glisser de la merde à la place. Je me délecte des immondices, en les mâchant pour en apprécier toutes les saveurs. Pour faire profiter les mecs du spectacle, je me retourne et m’installe sur le dos, jambes largement écartées, sur le canapé. Je joue avec la merde en faisant entrer et sortir des petits morceaux dans ma bouche. Je les avale petit à petit. Après quelques minutes, j’ordonne à un autre mec de me chier dessus. Il ne se fait pas prier, il se place au-dessus de mon visage et évacue une grande quantité de merde, un peu molle et très odorante. Ma bouche en capte immédiatement une partie, mais la masse est telle que la majorité vient souiller mes seins encore partiellement couverts du soutif qui fut blanc.


Une telle perversité m’excite au plus haut point. J’ai besoin d’être baisée tout de suite : « Putain, il me faut une grosse bite, maintenant ! Venez me baiser ! »


Un des gars approche et écarte sans ménagement mon string pour enfiler sa grosse bite dans ma chatte trempée et gourmande. Il me fourre violemment, comme j’aime !


J’aperçois un peu plus loin un autre groupe, sans doute que Tristan est parmi eux, qui pousse de grands cris, l’une des filles est largement couverte de matière brune… Ils ont l’air de s’éclater.


D’autres hommes défèquent sur moi. Je mange une partie de la merde, bois encore de la pisse. En plus des bites qui enfilent ma chatte, un autre mec vient se faire sucer. J’enfonce sa queue aussi loin que je peux dans ma gorge. J’arrive à avaler ses plus de 20 cm et même à titiller ses couilles avec le bout de ma langue. Cette fellation en gorge profonde me provoque un haut-le-cœur violent. Comme il continue à forcer ma gorge, je ne peux – ni ne veux – retenir la gerbe qui remonte de mon œsophage ! Ma bouche étant obstruée, c’est principalement par le nez que j’évacue la merde et la pisse mêlées à la bile ! Je crois un instant que je vais m’étouffer. Le mec se retire enfin de ma bouche et je peux finir d’extruder les matières dégueulasses qui m’encombrent ! Ma poitrine et mon ventre sont souillés de merde et de pisse sortant de ma bouche. Quelle chienne suis-je, me dis-je, alors qu’un type continue de pilonner ma chatte comme si tout était parfaitement normal ! Je jouis très vite sous ses coups de boutoir.


Après ce nouvel orgasme, je décide de rejoindre l’autre groupe. Tristan encule une blondinette et fait jaillir de son petit cul une abondante matière délicieusement puante. Une autre nana, calée en-dessous prend en bouche les morceaux qui sortent. Cette vision, conjuguée à la sensation agréable des ordures qui couvrent mon corps me donne envie de participer.


Je furète dans l’entrecuisse de la fille qui avale la merde, une belle rousse. En lui enlevant sa culotte, j’ai le plaisir de découvrir le fil d’un tampon hygiénique, elle a ses règles en ce moment… quel régal !


Dès que je tire sur la ficelle, le tampon absorbeur sort imbibé de sang et de résidus de ses menstrues. Je porte le tout à ma bouche, en apostrophant un homme qui observe la scène : « Encules-moi bien fort, je veux jouir en bouffant de la merde et du sang de cette chienne ! »


Je suis immédiatement satisfaite, un gros pénis dur farcit mon trou du cul, tandis que je plaque ma bouche contre la chatte sanguinolente pour m’abreuver de ces matières immondes et si appétissantes qui en sortent !


Nous restons ainsi pendant de longues minutes. Je crois que Tristan change de partenaire, dès que celle-ci n’a plus assez de merde dans le cul. La belle rousse que je lèche doit avoir le visage couvert de merde. Elle semble adorer cela, car je la sens jouir plusieurs fois. Mon traitement sur sa chatte y est sans doute pour quelque chose.


Au bout d’un moment le type fiché dans mon cul est moins actif, je lui intime l’ordre de me pilonner, mais il ne me satisfait guère. Je compte lui dire de dégager, lorsque je sens une chaleur incroyable envahir mon cul et se propager dans mes intestins. Que se passe-t-il ?


Le salaud a légèrement débandé et il pisse dans mes entrailles ! Cela me provoque des sensations inouïes qui se transforment très vite en un orgasme surpuissant ! C’est pour vivre de telles expériences que j’ai organisé une telle scène de débauche. Je hurle. Je suis enfin comblée.


Je garde la pisse longtemps dans mon ventre ballonné. Je gargouille et dois serrer les fesses pour ne pas tout expulser immédiatement. Quelles sensations ! Au bout d’un moment je n’y tiens plus, je me positionne au-dessus du visage d’une jolie fille et libère mes intestins de la pisse et d’un peu de merde. La belle est littéralement inondée par le flot impressionnant qui sort de mon anus. Tristan est positionné à côté, il applaudit la scène et vient me prendre dans ses bras.


Une très longue douche salvatrice nous rendra un visage humain et nous aidera à reprendre nos esprits. Nous passons une nuit tranquille et reposante. Je sais que demain encore sera fait de luxure et de vice.


En effet, nous nous levons vers 9h et prenons un agréable petit-déjeuner sur la terrasse avec la vue sur les incroyables cascades au milieu du désert.


Je décide de retourner au spa. Je sais qu’il dispose d’une pièce bien spéciale que nous n’avons pas encore visitée. Tristan m’accompagne. Nous pénétrons dans une pièce sombre et découvrons des instruments de toutes sortes, dédiés au plaisir de la douleur…


Tristan me jette son regard que je connais bien, à la fois amoureux et dominateur. Il sait qu’il va abuser de moi, me faire mal. Il le fera pour son plaisir, tout en sachant qu’il provoquera le mien, même si à l’instant je n’en mène pas large devant tous ces instruments diaboliques.


Tristan m’intime l’ordre de me déshabiller. Il attache mes mains à deux anneaux suspendus et mes chevilles à deux passants enchâssés au sol, m’obligeant à écarter largement les cuisses. Il fixe un bandeau sur mes yeux. Je suis alors offerte à tous les supplices que mon vicieux de mari m’imposera inévitablement. Je suis très excitée, mais je ne peux nier ressentir une pointe d’appréhension.


Il joue pendant quelques minutes avec mes nerfs, fait claquer des cravaches et des fouets et me susurre des menaces : « Tu vas dérouiller salope ! Prépares-toi à recevoir la pire correction de ta vie de martyr… »


Le premier coup m’atteint aux fesses. Un violent coup de ce que je prends pour une cravache. Je ne peux étouffer mon cri. Très vite d’autres claquements me brûlent le postérieur. Mes fesses doivent devenir cramoisies en quelques secondes. Puis les coups pleuvent sur d’autres parties de mon corps nu : le dos, le ventre, les cuisses, les seins…


Je suis battue comme une chienne, je souffre, je crie,… mais je suis au bord de la jouissance !


Un nouveau coup porté directement sur ma chatte offerte me transporte au septième ciel ! La douleur provoque un orgasme foudroyant. Je perds pieds, suspendue par les bras au bord de l’inconscience…


Après quelques minutes, je sens à nouveau le souffle de Tristan très près de moi. Puis d’un seul coup, une douleur que je connais bien sur mon sein gauche. Une aiguille vient de le transpercer en m’arrachant un cri. Tristan est terriblement sadique, ça tombe bien je suis follement maso.


De nombreuses autres aiguilles sont plantées dans la chair délicate de mes nichons. Je parviens la plupart du temps à retenir mon cri, mais pas toujours. Tristan doit prendre un malin plaisir à triturer les aiguilles profondément enfoncées sous ma peau, je sens du sang s’écouler. Ça fait mal, mais que c’est bon !


Après les aiguilles, Tristan expérimente des pinces qui viennent mordre mes tétons gorgés de sang. Le métal écrase mes chaires si sensibles, je crie à nouveau. C’est encore pire, encore mieux, lorsqu’il arroche des poids à ces pinces, qui déforment alors l’ensemble de mes seins toujours percés d’une multitude d’aiguilles, faisant jaillir encore plus de sang ! Malgré la douleur un simple frisson sur ma chatte suffirait à me faire jouir, mais mon sadique de mari ne m’accorde pas cette délivrance, pas encore…


Il joue avec mes seins, les poids qui y pendent. Il fouette à nouveau mon corps déjà meurtri avec sa cravache. Je ne peux m’empêcher de me tordre à chaque coup… Mes mouvements font bouger les poids et amplifient la douleur infligée à mes seins. Je suis au bord de l’extase.


La délivrance arrive de manière brutale. Après avoir enlevé le bandeau qui occulte ma vue, Tristan saisit une grosse brosse qui sert habituellement à nettoyer les chiottes. Après m’avoir lancé son regard cruel de dominateur, il fourre cet objet incongru dans ma chatte avide de pénétrations sauvages. La largeur et la dureté des poils de la brosse me font jouir immédiatement, avant que la douleur n’irradie tout mon entrejambe. Tristan enfile la brosse sur une grande longueur, griffant terriblement mon intimité. Quelle douleur et quelle jouissance ! Ce traitement dure de longues minutes. J’halète comme une bête, maintenue dans un orgasme continu et dévastateur ! « Aïe…non… c’est tr… oui…encore…plus vite…plus fort… »


Il retire enfin cet objet de mon vagin et me déclare propre ! Son regard sadique illumine toujours son beau visage. Je ne sais pas ce qu’il mijote, mais je sais que ma souffrance n’est pas finie… tant mieux !


Tristan se penche près de ma chatte, j’ai du mal à voir ce qu’il fait. Je sens une très forte piqure, mes lèvres intimes sont transpercées. Je pense qu’il plante quelques aiguilles dans mon intimité, mais je me rends vite compte qu’il va plus loin. L’aiguille n’est pas seule, elle tire un fil qui trou après trou coud les lèvres de ma chatte. Je suis cousue comme un rôti !


A chaque passage l’aiguille et le fil tiré me procurent une délicieuse douleur qui m’excite toujours davantage. Quel bonheur d’avoir un mari sadique et imaginatif pour une salope comme moi.


Une fois ma chatte bien fermée, Tristan semble prendre une pose en fumant une cigarette. Il se recule et m’observe, toujours attachée, les seins déformés par les poids et barrés de coulures de sang partant des aiguilles, la peau de tout le corps striée de marques rouges. Il admire son œuvre. Puis, il porte la touche finale : il approche le bout incandescent de sa cigarette et brûle la peau de mes seins. Je crie une fois de plus. Il n’arrête ce traitement que lorsque sa cigarette est entièrement consumée. Il en allume immédiatement une autre et l’approche de ma chatte ficelée. Il entreprend de la découdre en coupant le fil avec sa clope brûlante. Bien-sûr ma chair est vivement brûlée par ce traitement. Il finit en retirant tous les fils, les poids, les pinces et les aiguilles, sans ménagement. Cette opération provoque encore de fortes douleurs, qui me maintiennent toute excitée.


Une fois détachée, Tristan me prend dans ses bras et m’invite à passer dans la pièce d’à côté. Il me désigne une baignoire qui laisse échapper un peu de vapeur. Il me porte alors au-dessus de celle-ci et me plonge dans l’eau. Je m’attends à des picotements sur tout mon corps meurtri, mais imagine également le réconfort de l’eau chaude. Toutefois, dès qu’il me plonge tout mon corps est saisi d’une douleur inouïe. Je suis affreusement brûlée, j’ai l’impression d’être totalement écorchée. Je me débats, mais ce salaud de Tristan me force à rester dans l’eau pendant plusieurs secondes. Je comprendrai plus tard que cette eau vient de la Mer Morte toute proche, elle est très fortement salée, d’où ces douleurs insoutenables.


Je pourrai enfin prendre une vraie douche, à l’eau douce et tiède. Tristan redeviendra – pour un temps – le mari câlin et aimant, que j’aime tout autant que le dominateur.


Nous repartirons de Jordanie le lendemain, pour commencer notre nouvelle vie, qui sera – je l’espère – faite de plaisirs en tous genres et de débauches toujours plus folles.



LE VICE CHEVILLE AU CORPS

PAR FED (FFFMMM, BDSM, crade, uro, scato)