CHAPITRE I
Elle s’appelait Diane Chakaris et elle était vraiment très jolie. Le miroir reflétait sa grande beauté et semblait illuminer son corps d’un écran de lumière. Ses cheveux bruns soyeux reposaient sur son adorable poitrine et semblaient en suivre les contours. Elle se leva et observa avec attention la pointe de ses seins se raidir au contact de la chevelure.
Soulevant ses seins, elle descendit son regard sur sa chatte cachée par le fin tissu de la culotte. Une fine pellicule de mouille commençait déjà à se former et s’étendre de son sexe impatient. Sans coup férir elle descendit le dessous le long de ses jambes et se retourna de façon à voir son derrière dans le miroir. Elle contempla derrière son épaule le spectacle sublime de son petit trou dévoilé quand ses deux mains écartèrent les fesses. Une douce piqûre de plaisir courut le long de ses cuisses quand le trou du cul marron fut exposé à la face du miroir. Mouillant son indexe dans sa bouche, elle l’approcha des fronts plissés de son petit trou, observant la pénétration de ce dernier profondément dans son rectum. C’était une merveilleuse sensation, une envie de chier. Elle aimait cela depuis le jour où encore jeune fille, sa mère Jean lui avait apprit les plaisirs du sexe. Ejectant le doigt de son trou du cul, elle le présenta près de son nez et inhala le doux fumer de merde, rien ne pouvait remplacer cette formidable sensation de bien être qui se dégageait d’elle quand elle sentait sa merde, sauf le goût de celle-
Cela avait commencé au mois de septembre, il y a douze ans. Elle venait juste d’avoir quinze ans et cela faisait cinq jours que la rentrée avait eu lieu. Elle était déjà bien formée et aussi mignonne que sa mère.
Elle venait juste de rentrer de cours et se dirigeait vers la cuisine, quand elle entendit Jean l’appeler de sa chambre. La première chose qu’elle remarqua fut l’étrange son de voix de sa mère, mais elle marcha en direction de sa chambre, sans penser que tout allait changer ce jour là.
Entrant dans la pièce, Diane vit que Jean était totalement nue dans son lit. Ses yeux s’agrandirent sous l’effet de la surprise, c’était la première fois qu’elle voyait sa mère toute nue. Elle contempla les seins proéminents et son entrecuisses poilue qui ne parvenait pas à dissimuler la présence du sexe de la jeune mère.
« Diane, mon amour, n’aie pas peur, dit-
Les genoux tremblants, Diane marcha vers le lit et s’assit tout à côté du corps dénudé de sa mère. Sans un mot, sa mère l’attira près d’elle et couvrit la bouche de Diane avec sa propre bouche, dans un long baiser. Elle sentit la langue de sa mère, chaude et imprégnée de salive, glisser entre ses lèvres et dans sa bouche. Elle fut complètement choquée de sentir la main de sa mère le long de son corps, la déshabillant ; l’instant d’après elle était nue elle aussi. Elle grogna de plaisir quand sa chair se colla contre celle de Jean. Rien ne pouvait interrompre leur baiser langoureux, leur langue se rencontrait avec une passion sauvage ; puis Diane fut surprise de sentir la main de sa mère titiller ses propres seins. Ses tétés se durcirent au toucher, et elle put sentir un chatouillement entre ses cuisses.
A la fin, Jean retira sa bouche de celle de sa fille et la coucha sur le dos pour admirer son jeune corps.
« Chérie, dit-
Diane soupira de plaisir quand Jean toucha chaque partie de son corps. Elle émit un lourd relent de plaisir quand Jean suça la pointe durcie de ses seins, pendant que ses mains se baladaient le long de la chatte et du cul de Diane, ses doigts écartant le trou virginal.
Diane n’était pas en reste et retournait chacun des hommages sur le corps de sa mère. Elle glissait sa langue dans la bouche de Jean, effleurait ses immenses seins, et gentiment titillait son vagin trempé de mouille.
Après un moment, Diane s’aperçut que sa mère la chevauchait. Elle put voir la tête de Jean penchée entre ses jambes. Sa chatte mouillée réagit violemment. Soudain, elle cria son plaisir quand elle sentit quelque chose de mouillé et de chaud, moelleux, tirailler les lèvres de son sexe en feu.
Son clitoris durcit sous les coups de langue de sa mère. Diane se laissa emporter par un flot de passion quand Jean continua son manège. Elle souleva son derrière sous la montée du plaisir, poussant son cul hors du lit et agrippant la tête de sa mère pour la tenir contre son sexe.
C’était totalement nouveau pour elle, et son esprit vagabond faisait chorus avec son corps.
« Oh, maman, maman, s’écria-
Les yeux de sa mère étaient révulsés et tiraient sur le blanc quand elle changea de position. Elle s’allongea contre sa fille dans la position du soixante-
Pendant qu’elle léchait Jean, cette dernière mangeait littéralement la chatte de sa fille, suçant tout autour des lèvres le filet de mouille qui s’était échappé, excitant encore plus Diane.
Soudain Jean souleva sa tête du vagin de sa fille, « Je vais jouir », hurla-
Diane n’était pas en état de comprendre ce qui arrivait à sa mère, mais par instinct elle ouvrit la bouche. La mouille s’écoula dans la gorge de Diane. Jean soupira comme une éperdue quand elle sentit la bouche de sa fille envelopper son minou.
« Oh, soupira-
La langue de Diane débusqua le clitoris de sa mère. Soudain le sexe de sa mère se secoua, elle fut prise de frissons et l’instant d’après sa bouche fut pleine du jus d’amour. Quand Jean retrouva pleine mesure de ses moyens, elle rendit un nouvel hommage au trou virginal et au cul de sa fille, léchant le sillon de la chatte et pénétrant son doigt dans le sphincter des boyaux de Diane.
Diane gémit quand elle sentit le doigt envahir son intimité. C’était aussi quelque chose de nouveau pour elle et elle appréciait la sensation. Le plaisir ressenti sur son sexe et l’enculage contribuèrent à augmenter son plaisir.
« Oh, maman, qu’est-
Elle s’aperçut que son cul était plein ; elle n’avait pas été aux toilettes et sentit qu’elle ne pourrait pas se retenir bien longtemps. Jean grogna quand son doigt rencontra la masse chaude et molle de la merde de sa fille.
Lentement, Jean retira son doigt souillé de merde, elle voulait que sa fille voie ce qu’elle était en train de faire, donc elle changea de position. Diane vit Jean sentir le doigt sale, il était imprégné d’une épaisse couche de merde, et elle fut choquée de voir sa mère le lécher et le sucer jusqu’à ce qu’il soit propre.
Interloquée, elle ne put que regarder, et constater le plaisir évident sur le visage de sa mère. Une fois encore, Jean frotta son visage contre la chatte de sa fille, mais cette fois-
Soudain, sans prévenir, Diane laissa échapper un long pet silencieux, que dans son excitation elle ne remarqua pas, mais que Jean, elle savoura avec délectation. Avec toujours les doigts de sa mère dans sa chatte, et sa langue dans son cul, Diane commença à perdre tout contrôle de ses sphincters, et la masse de merde moulée dans ses boyaux commença à glisser jusqu’à l’ouverture de l’anus. Jean sentit que la défécation avait commencé grâce à sa langue et commença à sucer ce qu’elle trouvait. Sa langue fut expulsée du trou, et elle sentit que la merde de sa fille glissait entre ses lèvres. Elle était en extase quand l’étron se lova dans sa bouche. A la fin sa bouche était si pleine, qu’elle ne put en contenir plus, et laissa le reste tomber sur le lit, salissant les draps. Se redressant, elle observa Diane tout en gardant ses mains dans sa chatte, et lui montra sa bouche pleine de merde. Diane fut prise de folie, entre le fiste de sa mère et le fait de la voir dévorer sa propre merde, elle fut atteinte par son premier orgasme la faisant crier comme une ahurie. Puis, sans réfléchir, elle posa ses lèvres sur la bouche de Jean, couvrant la bouche merdeuse de sa mère, en goûtant sa propre merde tout en jouissant.
Elles restèrent roulées l’une sur l’autre pendant un moment, se fixant amoureusement. Jean ouvrit la bouche, montrant à Diane la merde remplissant sa cavité buccale. Elle poussa sa langue merdeuse dans la bouche de sa fille, qui y trouva un petit bout d’étron et l’avala.
« Est-
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Sa mère sourit, et lécha les dernières traces de merde qui souillaient ses lèvres.
Diane se redressa et descendit du lit.
« Où vas-
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Diane réfléchit un moment, « Tu as raison, j’ai aimé, maman. »
Sur ce, elle s’agenouilla le long du corps de sa mère, Jean était couchée avec la bouche ouverte anticipant l’action de sa fille. Diane laissa échapper un soupire, sa vessie était remplie, et elle avait vraiment du mal à se retenir, elle ne fut pas longue à ouvrir les vannes. Le liquide jaune de la pisse surgit de sa chatte et atteignit la bouche de sa mère. Jean érupta quand sa bouche se remplit de la pisse de sa fille, et elle ferma les yeux pour avaler, le liquide éclaboussant le long de son visage, s’écoulant sur son cou et dans ses cheveux. Ouvrant de nouveau la bouche, elle fut remplie par le merveilleux nectar, n’arrivant pas à comprendre ce qui lui arrivait. Son rêve était devenu réalité, elle buvait la pisse de sa fille. Finalement, le liquide se tarit, et Jean put entendre Diane pousser et forcer. Un pet s’échappa du cul de sa fille, lequel leur causa une crise de fou rire mutuel. Observant le trou marron, Jean saliva quand il commença à s’ouvrir, révélant la fin d’un autre étron. Elle sortit la langue de sa bouche pour l’attraper mais Diane glissa sa main sous elle. Sa mère regarda fascinée quand l’étron tomba dans la main de Diane, s’allongeant comme une limace brune. La masse tenait chaud dans sa main, et elle brandit son trophée près de son visage pour l’inspecter. Elle sentit le paquet, appréciant l’odeur immonde ; elle étendit sa langue et tenta de le lécher. La merde était chaude au toucher et le goût était si particulier qu’il imprégna son haleine et sa bouche. Voulant montrer à sa mère comme elle était cochonne, elle ouvrit la bouche et plongea l’étron dans celle-
Se penchant sur sa mère, Diane ouvrit la bouche et laissa s’échapper une salive brune qui glissa dans sa bouche, leur bouche était si proche qu’elles se rencontrèrent pour un baiser merdeux et contre nature. Elles se mangeaient littéralement, poussant et repoussant la merde dans chacune des bouches, se frottant chacune la chatte pendant leur dégoûtant ouvrage, jusqu’à ce que l’orgasme achève leur repas bizarre, et qu’elles tombent de fatigue dans le lit souillé...
Diane fut soudain ramenée à la réalité, souriant au souvenir des jours et des nuits qui ont suivis. Elle pensait que leurs jeux scatos faisaient partie des meilleurs souvenirs de sa vie.
Dans le miroir, elle put se contempler assise sur la chaise, ses doigts enfoncés dans ses deux trous. Avec fascination, elle observa le mouvement de ses mains jusqu’à ce que la jouissance la fasse tomber dans un gouffre de béatitude.
Les derniers effets de son orgasme évanoui, elle pensa à ce qu’elle devait faire dans la soirée. Elle avait trouvé un emploi de professeur pour des cours du soir d’une jeune fille de quinze ans, Trisha et il tardait à Diane de la connaître.
CHAPITRE II
Dans sa chambre, Trisha Swift se branlait au souvenir de la révélation survenue à l’école, ce matin. Les événements se déroulèrent après la gym, et pendant que les filles se changeaient dans les vestiaires, elle contempla Gaby Prime, la plus belle fille de la classe. Puis après s’être rhabillée, cette dernière s’enferma dans les toilettes. C’était une aubaine pour Trisha qui prit place dans la stalle à côté de Gaby. Assise sur la cuvette des toilettes, elle fut prise d’une joie irrationnelle quand elle entendit les bruits de Gaby faisant ses besoins. Sans réfléchir, elle fit glisser sa main dans son entrecuisses pendant que le bruit de la pisse atteignant l’eau des toilettes était suffisamment audible, ce qui provoqua en elle une envie irrésistible de jouir, mais elle préférait le faire dans son lit. A la fin le bruit du liquide s’éteignit, puis à sa grande joie, elle entendit un long et bruyant pet que le mur séparant les stalles ne réussit pas à contenir. Toujours dans l’attente, elle écouta son idole commencer à pousser, et elle accueillit avec satisfaction le plop bruyant, quand la merde tomba dans l’eau.
Maintenant, couchée sur le lit, vers six heures du soir, elle se remémora les événements de ce matin, pendant que sa main triturait son sexe. Elle s’imaginait voir Gaby avec sa culotte baissée à hauteur de ses genoux, et la pisse s’échapper de sa chatte. Elle fantasma dans son esprit, le trou du cul de sa copine quand il évacua la merde, ces images suffirent à lui provoquer une décharge électrique et un orgasme surpuissant.
Puis, elle entendit frapper à sa porte. Effrayée, elle baissa sa jupe correctement. Essayant de ne rien laisser paraître de son état d’excitation, elle se remit de ses émotions et cria : « Entrer ».
La porte s’ouvrit et sa mère entra. Elle était suivie par une très jolie jeune femme. « Trisha, commença sa mère, je te présente Diane Shannon. C’est le professeur qui va t’aider dans tes devoirs. Maintenant, ton père et moi nous allons sortir, et mademoiselle Shannon va commencer ce soir à te donner des cours jusqu’à notre retour, d’accord ? »
Les présentations terminées, elle embrassa sa fille sur la joue et quitta la chambre.
Diane observa la jeune fille assise sur le lit, la voiture de ses parents venait juste de quitter la maison, elles étaient donc seules. Trisha, par timidité sans doute, gigota sur le lit, ce qui eut pour effet de faire remonter la robe au-
« J’ai besoin d’aide, répliqua Trisha.
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Trisha réalisa que quelque chose était en train de se produire, mais elle n’était pas sûre qu’elles parlaient de la même chose. Elle voulait que Diane révèle ce qu’elle pensait vraiment. Elle était en fait toujours excitée et voulait de nouveau se masturber.
Elles s’observaient en silence quand Diane remarqua que Trisha gigotait sur le lit. Elle savait que Trisha s’était masturbée avant qu’elle ne rentre dans sa chambre, et elle avait remarqué la rougeur sur ses joues quand elle avait ouvert la porte. Elle pensait que la jeune fille avait encore probablement envie de jouir. Diane posa avec délicatesse sa main sur les cuisses de Trisha, « Que devrions-
Trisha était en pleine réflexion, essayant de trouver ce qu’elles pourraient faire, elle était si confuse, ne s’imaginait-
Son problème fut résolu quand Diane se pencha vers elle et posa sa main le long de ses cheveux. Diane sourit, « Trisha, tu semble être en sueur. Est-
Sans baisser les yeux, en fixant toujours Diane, Trisha enleva son chemisier, elle aperçut le regard fasciné de Diane sur sa poitrine quand elle fut révélée, elle ne portait pas de soutien-
Elle savait maintenant ce qui allait arriver, tendant la main sur sa jupe, elle la souleva jusqu’à ce que sa mignonne petite chatte fut complètement exposée. Diane faillit défaillir quand elle aperçut pour la première fois le sexe de la jeune fille. Trisha aimait la sensation perverse d’être vue et elle voulait maintenant tout montrer à Diane. Lentement, si lentement, elle écarta les jambes. Diane regarda en silence les lèvres du sexe de Trisha s’ouvrir. Elle soupira de contentement et fut surprise du regard vicieux de la jeune fille.
Aucun mot ne fut échangé quand Diane se leva et se déshabilla. Totalement nue, elle rejoignit Trisha sur le lit. Les yeux de Trisha se perdaient dans une expression indéfinissable, mêlée de vices ; une mouille abondante coula de sa chatte, excitée par la vue du corps nu de son professeur. Soudain la main de Diane glissa le long de sa poitrine et empoigna les seins de l’adolescente.
Les mains de Diane descendirent lentement le long de son corps et titillèrent les parties qu’elles touchaient. Bientôt ses mains chatouillèrent l’épais amas de poils du pubis, causant un soubresaut chez la jeune fille. Leur bouche se rencontra, leur langue se glissèrent dans leur cavité buccale et s’épousèrent dans une passion digne de Sodome et Gomorrhe. Les doigts de Diane dégagèrent de l’épais matelas touffu les lèvres de la jeune fille, une pellicule de mouille glissa dans la paume de sa main.
Trisha soupira avec un plaisir évident et s’efforça d’évaser les lèvres de son sexe pour faciliter la pénétration. Elle le désirait de toutes ses forces, elle en fantasmait. Diane baissa sa bouche sur la poitrine ferme de Trisha et sa langue s’attarda sur la pointe des seins durcis.
« Oh, Diane, mord-
La bouche de Diane descendit le long du corps de la jeune fille. Sa langue laissa une traînée de salive sur les parties qu’elle avait léchées et sucées. Trisha était excitée et proche d’un état de folie furieuse qui s’amplifiait à mesure des mouvements imprégnés par la langue de sa suceuse sur son ventre puis bientôt sur son sexe en chaleur.
La langue de Diane se fit plus pressente, elle lécha le pourtour des lèvres. « Mmmmm, dit-
Trisha sentit le vice grandir en elle au moment où la langue s’attarda sur sa chatte, sentant le souffle chaud de l’haleine de son professeur sur son clitoris. A ce contact, Diane sentit une nouvelle coulée de mouille investir sa bouche, et elle la lapa avec un plaisir évident.
« Oooooooooh », Soupira Trisha pendant que l’orgasme sourdait en elle.
La langue de Diane lécha chaque partie du sexe qu’elle put atteindre. Pendant qu’elle suçait la chatte mouillée, elle agrippa avec une forte pression les petits seins de Trisha entre ses mains. Quand elle dégagea ses mains, elle laissa sur les seins une trace rouge de ses doigts.
S’en était trop pour Trisha qui se roulait sur le lit comme une éperdue au contact des doigts et de la langue de son amoureuse qui lui rendaient un hommage bien meilleur que ses masturbations quotidiennes. Sa bouche décrivit un rictus, elle s’ouvrit en grand comme pour chercher l’air qui lui manquait, et d’un mouvement violent elle frappa sa chatte contre le visage de Diane comme pour l’inviter à aller plus loin dans ses investigations.
« Oh, putain ! hurla-
Trisha hurla et son corps se démena sur le lit quand elle fut atteinte par l’orgasme. Diane suça avec plus d’âpreté la magnifique chatte, savourant le goût de la mouille de Trisha. Quand son orgasme atteignit le sommet, Diane glissa profondément un doigt dans le rectum de la petite vicieuse, ce qui fit perdre à la jeune fille toute inhibition et contrôle. Aussitôt que son corps retomba sur le lit après l’orgasme, sa vessie se relâcha, et sa pisse chaude gicla dans la bouche de Diane et sur son visage. Ouvrant en grand sa bouche, elle attrapa le flot et se laissa gagner par sa propre perversité, en goûtant le délice de la pisse de la jeune enculée. Pendant qu’elle avalait le liquide salé, Diane sentit son propre orgasme fuser de son corps, sa bouche se balança avec un choc violent contre la chatte de Trisha. Les deux femmes hurlèrent leur joie, puis les derniers soubresauts de l’orgasme s’estompant, elles restèrent couchées l’une sur l’autre, à bout de souffle, les cheveux de Diane et son visage mouillés par la pisse, la couverture du lit décrivant une large trace de pipi.
Lentement, elle enleva son doigt du cul de Trisha et entendit un miaulement de celle-
Diane gémit de plus belle pendant qu’elle nettoyait le doigt.
« Oh, merde, Trisha, s’écria-
« Et ta pisse ressemble aux nectars divins du riesling. J’aime l’odeur qui se dégage de mes cheveux ».
Trisha ne put rien ajouter à cela, elle était encore sous le choc.
« Es-
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Diane lui rendit son sourire, heureuse de la confession de la jeune fille.
« Quand je suis arrivée avec ta mère, tu t’étais masturbée, n’est-
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Trisha évoqua l’incident de cet après-
« Donc, c’est juste en écoutant Gaby pisser et faire caca qui t’a exciter, qu’est-
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Elle attendit le coeur battant la réponse de la jeune fille. Trisha ne répondit pas, elle se contenta de sourire et d’approuver silencieusement. Diane se leva du lit, et attrapa Trisha par la main pour la conduire à la salle de bain. Quand elles entrèrent dans la pièce spacieuse mais froide, Diane pénétra dans la douche.
« Je pensais, bégaya Trisha...
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Diane s’appuya contre le mur de la douche, et baissa ses genoux avec grâce, écartant les lèvres de sa chatte. Trisha s’accroupit sur le sol de la salle de bain et défaillit devant l’exhibition de son professeur. Elle pouvait voir chaque détail anatomique de la chatte de Diane, et ses yeux s’arrêtèrent sur l’orifice à pisse de celle-
« Oh, c’est merveilleux, d’avoir une jeune fille qui m’observe, soupira Diane. Ca vient, tu le vois ? »
Elle gémit, et Trish regarda le chaud liquide jaune s’écouler de sa chatte, il gicla comme un torrent qui déborde, sur le sol de verre de la douche. Trisha approcha sa main du flot et capta la douche dorée, appréciant la sensation créée par la pisse, s’écoulant entre ses doigts et giclant sur son bras. Elle devint plus audacieuse et se pencha, laissant le liquide s’écouler sur sa poitrine, sa main inoccupée frottant la pisse contre ses petits seins. Avec hésitation et appréhension, elle approcha son visage sa langue sortie, et penchée un peu plus, sentit la pisse rouler sur sa langue. Elle goûta, elle savoura et apprécia particulièrement le goût de la pisse.
Ouvrant la bouche, elle l’approcha du liquide ; elle sentit la pisse s’écouler sur sa langue et investir sa gorge. C’était merveilleux pour elle, son rêve était devenu réalité ; elle avalait aussi vite qu’elle pouvait la pisse. Ce qu’elle ne pouvait avaler, s’échappait de sa bouche et s’écoulait le long de son cou et de sa poitrine. Ayant perdue toute inhibition, elle ferma les yeux et plongea sa tête sous le liquide chaud, sentant la giclée sur son visage et ses cheveux. Elle ne fit rien pour se dégager, elle était au septième ciel et aimait cela ! Puis le flot se réduisit en une petite source, et Trisha en profita pour se dégager, léchant les dernières gouttes, et goûtant pour la première la chatte d’une autre femme.
Elle débusqua le clitoris de Diane et promena sa langue contre l’excroissance, sentant le plaisir qu’elle procurait à son professeur. Diane agrippa à deux mains la tête de Trisha et la bloqua contre sa chatte, faisant ressortir son clito à la bouche gourmande de la jeune fille, puis une main baladeuse promena le long de son sexe, ce qui provoqua son orgasme. Trisha comprit que Diane était en train de jouir et elle rendit un hommage plus vibrant à son clito, le mélange de douleur et de plaisir était trop fort pour la jeune femme, et elle hurla son plaisir.
« Oh, Trish, ouiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiis, aaaaaaaaaaah ! »
Elle s’appuya contre Trisha pour ne pas s’écrouler sur le sol de verre de la douche. Soulagée, Diane se coucha de son long sur le sol, un sourire vicieux imprégnant son visage.
« Comment c’était, ma chérie, demanda-
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A ces mots, Trisha poussa un soupire de joie et regarda Diane changer de position, se tournant face au mur et exposant à sa vue son superbe cul. S’appuyant contre le mur avec ses mains, elle s’accroupit devant une Trisha fascinée par le spectacle.
« Regarde mon trou du cul, est-
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Diane commença à pousser, elle grogna tout en forçant sur ses sphincters. Une masse bien cachée dans son colon commença à glisser et elle laissa s’échapper un long et très bruyant pet. Elle fut prise de fou rire et continua à pousser sur ses boyaux.
« Ca vient, je le sens, avertit-
Les yeux de Trisha étaient rivés sur le cul de Diane, elle contempla le trou plissé s’évaser et s’agrandir sous l’effet de la poussée. Puis elle le vit, le bout de la merde de Diane se révéler à sa vue.
« Oh, Diane ! gémit-
Diane poussa avec plus d’ardeur, elle put sentir son sphincter s’évaser et livrer le passage à un formidable étron. Il descendit rapidement, la saucisse merdeuse s’étendait maintenant hors de l’anus. La main de Trisha glissa entre ses jambes et elle se manualisa tout en contemplant la merde de Diane qui s’échappait de son cul. Pour elle, c’était un rêve qui devenait réalité, peu importait si ce n’était pas Gaby, puisqu’elle était agenouillée derrière une très jolie femme, et se masturber tout en la regardant chier avait quelque chose d’irréel et magique.
Diane était aussi excitée que la jeune fille, elle aimait le sentiment de décadence quand elle faisait caca devant une autre fille, aimant tout en balayant les tabous, offrir ce qu’elle avait de plus intime. L’odeur était puissante, et ajoutée à l’atmosphère, l’odeur de la pisse, avait quelque chose d’aphrodisiaque pour elle. Elle pensait sur le moment que ses intestins allaient se déchirer, tant l’étron était énorme, mais bien sûr ça n’était qu’une illusion.
C’était un magnifique morceau, dur et épais, et illuminé par la lumière de la salle de bain, pour Trisha c’était l’étron le plus exquis qu’elle n’ait jamais vu, elle désirait se pencher et le toucher. Alors elle le fit, elle l’aiguillonna pendant qu’il continua à descendre vers le sol, laissant s’étaler une fine couche de merde sur son pouce. Se sentant prête à se conduire de façon plus cochonne, Trisha approcha le pouce de sa bouche et lécha toute l’étendue merdeuse, goûtant la merde de Diane, la saveur inconnue investissant son palet. Elle aimait le goût, mais de toute façon elle savait qu’elle apprécierait.
La saucisse merdeuse se secoua un moment du trou de Diane, puis elle s’échappa du cul et tomba sur le sol, d’où elle se lova toute fumante et puante. Diane se retourna face à Trisha et s’agenouilla près de ses cochonneries. Elle observa le visage de Trisha penché et son nez presque accolé à l’étron, qui inhalait le doux fumer.
« Aaaah, ça sent si bon ».
Elle continua de se branler, tout en regardant Diane prendre l’étron dans sa main, le couper en deux, et commençait à maquiller ses seins de brun. Maintenant l’odeur était encore plus forte pendant qu’elle frotta la merde sur sa poitrine, son ventre, au bas de ses cuisses puis elle appliqua le reliquat du premier morceau sur sa chatte. Trisha devint comme folle, essayant de retarder son orgasme, voulant que ce moment ne prenne jamais fin, comme si elle voulait arrêter la pendule et se regarder jouir.
« Regarde-
Elle remplit sa bouche de sa propre merde et puis frotta le reste le long de son visage et dans ses cheveux. Elle était maintenant couverte par ses propres excréments et elle commença à se masturber pendant qu’elle mâchait sa merde. Elles avaient atteint le point de non-
Une demi-
« Alors, demanda Diane, est-
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Trisha s’allongea sur Diane, amoureusement.
« Oh, Diane, je t’aime, cria-
L’INITIATRICE (THE TEACHER PAR DURTYLADY)
RECIT TRADUIT PAR PYBRAC