C’est l’histoire à peine vraisemblable d’une famille, une famille si différente des autres familles et pourtant pas si différente de celles vivant dans le comté. C’est l’histoire de la famille Hollinger qui vit dans l’Ontario au Canada.

 

               Tout commença avec la fille la plus âgée, Jessica qui avait 14 ans. Un jour du mois de juin, l’année dernière, Jessica se promenait dans la forêt adjacente à sa maison. Il était environ 14 heures, et Jessica flânait dans les bois avec sa sœur Amy, âgée de 12 ans. Au bout d’un moment, Jessica découvrit qu’elle avait réellement envie de pisser. Elle s’arrêta de marcher, et après avoir confié à sa sœur son envie pressante, scruta les alentours pour voir et entendre si aucune personne ne viendrait la déranger. Malheureusement, elle perçut le bruit de quelques garçons jouant à quelques centaines de mètres, ainsi que des gémissements de petites filles à sa gauche.

 

               Son inquiétude grandissait, d’autant plus qu’elle éprouvait de plus en plus de mal à se retenir, et qu’elle pensait qu’elle n’aurait pas le temps de courir vers la maison. Elle ne pouvait pas non plus prendre le risque de baisser son pantalon à quelques mètres des garçons qui pouvaient la trouver dans une position non équivoque. Elle était face à un problème épineux : elle ne savait quelle décision prendre. Amy fit alors une proposition.

 « Pourquoi tu ne fais pas dans ton jean, demanda-t-elle ? »

 « Ca va pas ! fut la réaction immédiate de Jessica”

 

               Mais, peut-être qu’elle avait raison, pensa Jessica. Je pourrais pisser dans mon pantalon, me glisser dans la maison et changer mes affaires mouillées avant d’être surprise par maman. Puis, l’impact de ce qu’elle venait d’élaborer la fit rougir de honte. Mince alors, pensa-t-elle, je ne suis plus une petite fille. Mais, dans le même temps, elle réalisa qu’elle n’avait pas d’autre choix. C’était certainement mieux que d’être surprise en train de faire pipi le cul à l’air. Elle se retourna vers Amy, puis dit :

« Euh, Amy, euh, ça peut t’étonner mais je pense que tu as raison. Je n’ai vraiment pas d’autre choix. Donc, je vais pisser dans mon pantalon et je me glisserai dans ma chambre avant que maman me surprenne ».    

« Oh ! Tu vas réellement le faire ? souffla Amy, excitée »

 « Ouais, répondit Jessica embarrassée ».

 « Et bien, je vais le faire aussi. Comme ça tu seras pas gênée, répliqua Amy au grand étonnement de Jessica ».

 « Ok, comme ça, acquiesça Jessica ».

 

               Puis, côte à côte, elles commencèrent à mouiller leurs affaires. Jessica sentit la rougeur lui monter aux joues pendant que l’urine s’écoulait le long des jambes de son pantalon et créait une mare à ses pieds. Elle observa sa sœur et vit une tache mouillée sur le devant de  son jean. Le liquide en s’écoulant avait aussi fait une mare à ses pieds.

 « Et ben, c’était pas si difficile, conclut Amy ».

 « Euh, non, acquiesça Jessica ».

 

               En pensant à ce qu’elles avaient fait, Jessica en vint à considérer que la sensation de mouillé n’était pas si désagréable. Elle réalisa  soudain, qu’elle avait aimé pisser dans son pantalon, et à son grand étonnement, elle désirait recommencer.

 « Tu sais, dit brusquement Amy, ça ne me gênerait pas de le refaire. C’était super ».

 Jessica en tomba presque par terre. Amy s’était faite l’écho de ses propres sentiments. Puis, le silence de la forêt fut brusquement interrompu  par les voix bruyantes de jeunes garçons qui s’approchaient trop près de leur position.

 « Viens, on se tire maintenant ! murmura brutalement Jessica »

 

               Les deux gamines s’éloignèrent en courant. Pendant qu’elles courraient, Jessica put sentir le jean mouillé de son urine se frotter contre  sa peau, et elle fut étonnée de l’extraordinaire sensation produite. Elles courraient aussi vite que possible, écartant arbustes et branches d’arbre  au passage. Elles arrivèrent en vue de la maison. Jessica arrêta abruptement sa course, et Amy qui la suivait de trop près, la tamponna par derrière. L’impact les envoya directement sur le gazon. Quand elles se remirent de leur chute, Amy chevauchait Jessica et elles se regardaient avec insistance. Quelque chose de profond se passait entre elles, une chose qui ne devrait jamais se passer entre deux sœurs, quelque chose qui ressemblait à de l’amour. Puis, elles s’esclaffèrent presque nerveusement, et se levèrent chacune à son tour. Elles scrutèrent la distance qui leur restait à parcourir jusqu’à la maison. Aussi loin, qu’elles purent voir, la voie était libre. Il leur restait à parcourir une dizaine de mètres pour atteindre  la porte à l’arrière de la maison. Une fois à l’intérieur, elles n’auraient plus qu’à monter furtivement dans leur chambre et se changer, sans que leur  mère ne sache quoi que ce soit.

 « Qu’est-ce que t’en penses, demanda Amy ? Ca vaut le coup d’essayer ! »

 « Tu parles, répliqua Jessica ».


Elles adoptèrent la position des sprinters lors des jeux olympiques, attendant le starter.

« Maintenant !! s’écria Jessica »

Elles se précipitèrent sur l’allée, elles atteignirent la porte en quelques secondes. Jessica l’ouvrit sans bruit et elle jeta un coup d’œil à l’intérieur. Pas  de maman. Elle marcha au pas le long du couloir et commença à gravir les escaliers sur la pointe des pieds. Amy la suivait de près. Dès que Jessica  mit le pied sur la première marche, une voix se fit entendre juste derrière elle.

 « Eh, les filles. Que veulent dire ces simagrées ? »

 Maman !

 « Euh, salut maman, parvint à prononcer Jessica toute tremblante ».

 « Pourquoi, vous ne vous retournez pas pour me faire face, demanda leur mère toute surprise ? »

 « J’ai envie d’aller aux toilettes, répondit brusquement Jessica, en commençant à gravir les marches ».   

 « Une minute, jeunes filles. Je veux savoir ce que vous me cachez. Allez, retournez-vous, maintenant ! »

 

               Les deux soeurs rougirent en se retournant pour faire face à leur mère. Quand leur mère put voir leur jean mouillé, ses yeux s’écarquillèrent de surprise.

« Bon sang ! jura-t-elle. Vous avez fait pipi dans vos pantalons ».

 Les deux gamines baragouinèrent quelques mots, bafouillant des excuses et explications.

« Fermez-la ! dit leur mère avec autorité. Quand elles se turent, elle recommença à parler ».

 « Et bien, je parie que vous croyez les filles que je suis en colère après vous pour avoir fait pipi dans vos pantalons. Et bien non. Je sais, je sais, vous êtes réellement surprises. Vous n’allez pas le croire, les filles, mais moi aussi quand j’étais une enfant d’à peu près votre âge, j’aimais faire pipi dans mon pantalon. Non, c’est vrai. Je fais même encore pipi quelques fois dans mon pantalon. Donc, je veux que vous sachiez, les filles, à chaque fois que vous voulez vous libérer la vessie dans votre pantalon, je ne dirais rien. Je ne serais pas enragée après vous. Maintenant, continuez ce que vous étiez en train de faire. Je vais préparer le dîner ».

Sur ces mots, elle tourna les talons et se dirigea vers la cuisine.

 

               Les fillettes furent abasourdies. Elles montèrent lentement les escaliers en traînant les pieds, la bouche ouverte d’étonnement. Quand elles pénétrèrent dans leur chambre et qu’elles fermèrent la porte derrière elles, elles se tinrent debout sans rien faire pendant un moment.

« Et ben, merde, dit finalement Jessica ! »

« Tu l’as dit, répliqua Amy ! »

« Et bien, continua Jessica, puisque ça ne gêne pas maman, à chaque fois que j’aurais envie de faire pipi, je le ferai dans mon pantalon. C’est bien plus marrant ».

 « Ouais, acquiesça Amy ».

 

               Ce fut à ce moment que la chose la plus inavouable se produisit. Les deux sœurs devisaient côte à côte près du lit de Jessica. Sans prévenir, Amy se retourna et commença à embrasser Jessica sur les lèvres, passionnément. Aussitôt, elles tombèrent sur le lit tout en s’embrassant avec fougue. Puis, brusquement, elles se séparèrent, et Amy regagna rapidement son lit, en se tenant la tête embarrassée. Finalement, elle redressa la tête, pour découvrir que Jessica était allongée nue sur son lit. Elle souriait

« Jessica, commença Amy, ce que nous venons de faire n’était pas bien, tu sais ».

« Oui, je sais, répliqua Jessica, mais je me sens toute chose, pas toi ? »

« Oui, moi aussi. Mais… »

« Mais quoi, l’interrompit Jessica. Je me fous que tu sois ma soeur ou bien une fille. Je veux juste faire l’amour avec toi ».

 

               Amy rougit sensiblement. Et puis, à sa grande surprise, elle commença à se dévêtir. Elle était maintenant toute nue. Puis, elle se blottit dans les bras de sa sœur, l’embrassant passionnément. Quelques instants plus tard, elle s’occupait de la poitrine pas encore tout à fait développée de sa sœur. Les seins avaient juste la bonne taille pour les mains d’une jeune fille de douze ans. Elle commença à sucer goulûment le téton. Puis, elle fit aller sa langue plus bas, pour atteindre le vagin de sa sœur qui lui faisait face. Sans hésitation, elle plongea sa face et lapa les grandes lèvres. Puis, elles prirent la  position du soixante neuf et Amy put sentir sa sœur lui lécher le vagin. L’incroyable sensation produisit l’effet attendu, et elle eut un orgasme. A sa surprise, elle n’arrêta pas de lécher le vagin de sa sœur, et aussitôt cette dernière se pâma de plaisir. Les deux jeunes filles restèrent étendues sur le lit dans les bras l’une de l’autre, leur corps pressé dans une embrassade passionnée. Elles se fixèrent choquées par la tournure des évènements.   

« OK, commença Jessica, Je pense que ça veut dire que nous sommes deux lesbiennes ».

« Ouais, répliqua Amy, deux lesbiennes incestueuses. Putain ! Je ne peux pas croire que c’est arrivé. Je viens de faire l’amour avec ma propre soeur ! Qu’est-ce qu’on va faire, maintenant ? »

« C’est vraiment incroyable ! répliqua Jessica. La seule chose qui m’inquiète, c’est la réaction de maman. Elle va le découvrir tôt ou tard de toute façon. Il serait donc préférable de tout lui révéler. Je crains, cependant qu’elle pense que nous sommes folles, et qu’elle nous envoie en pension ou quelque chose comme ça ».

« Ouais, merde alors ! s’écria Amy, je n’avais pas pensé à ça ! Peut être qu’on devrait rien dire à maman ».

« Non, Amy, il faut qu’on lui dise. Je ne veux pas qu’elle le découvre par elle-même. De toute façon, une fois qu’elle sera au courant, nous n’aurons plus à nous cacher, à chaque fois qu’on voudra faire l’amour ».

« Ouais, je pense que tu as raison ».

 

               Les deux sœurs se séparèrent et se vêtirent pour le dîner. Elles décidèrent de remettre leur petite culotte et leur jean dans lesquels elles avaient fait pipi, juste pour le fun. Au moment où elles ouvrirent la porte de la chambre, leur mère héla.

« A table, les filles ! »

Elles furent comme pétrifiées par la voix de leur mère. Elles se regardèrent nerveusement. Elles réfléchissaient si elles devaient lui dire. Puis, Jessica ouvrit la porte avec détermination et s’engagea dans le hall. Pendant qu’elle descendait les escaliers, elle confirma à Amy sa résolution.

« Allez Amy. Nous devons lui dire. Il n ‘y a pas à hésiter ».

« OK, répliqua Amy ».

 

               Elles entrèrent dans la cuisine et prirent place pour le dîner. (Comme vous pouvez le deviner, Denise Hollinger, la mère de Jessica et Amy, est divorcée).

« Vous portez encore vos affaires mouillées ? Bien, comme je vous l’ai dit, ça vous regarde, s’enquit Denise ».

« Euh maman, heuh, on doit te parler. Euh, comment te dire, Amy et moi, nous sommes devenues cette après-midi des lesbiennes ».

 

               Au moment, où elle avoua la relation avec sa sœur, elle s’attendait à tout moment, à ce que sa mère explose de colère. Il n’en fut rien. Au lieu de ça, Denise se pencha en arrière de sa chaise et regarda ses deux filles un brin étonnée. Finalement, elle consentit à parler.

« Vous savez les filles, vous ne cesserez jamais de m’étonner. Tout d’abord, ça ne me fait rien que vous aimez faire pipi dans vos pantalons, mieux, j’en suis ravie. Maintenant, ça ne me fait rien non plus que vous couchiez ensemble. Les filles, vous serez peut être choquées, si je vous dis que votre tante Kristy et moi, nous avions des relations lesbiennes, tout comme vous. Et encore plus choquant, votre tante Kristy, a des relations sexuelles avec ses propres filles ».

Elle s’arrêta de parler un moment pour étudier la réaction de ses filles devant de telles révélations. Elle fut amusée en contemplant leur visage marqué par l’étonnement. Puis, elle dit :

« Vous savez quoi, après le dîner, pourquoi ne monteriez vous pas dans ma chambre, et nous ferions l’amour ensemble, OK ? »

Pendant quelques instants, les deux gamines étaient si choquées, qu’elles ne purent dire un mot. Finalement, ce fut Jessica qui rompit le silence.

« OK, dac maman. Ce serait super ».

 

               Après le dîner, pendant qu’elles faisaient la vaisselle, elles firent pipi toutes les trois dans leur jean, sans se préoccuper de la mare d’urine qui s’était formée sur le sol. A un moment, Amy s’arrêta d’essuyer les assiettes et se pencha un peu contre l’évier. Son visage se marqua de rides comme pour imprégner l’effort.

« Amy, s’inquiéta Denise, qu’est-ce que tu fais, chérie ? »

« Je fais caca dans ma culotte, maman, répondit Amy, comme si c’était la chose la plus naturelle ».

« Oh, répliqua Denise. Comme je te l’ai dit, tu peux faire ce que tu veux. Je ne vais pas t’en empêcher, ma chérie ».

« Merci, maman, répondit Amy ».

Dans le même temps, elle finissait de faire caca et une bosse était visible à l’arrière de son jean, où le caca s’était amoncelé.

« C’est fait, annonça Amy, tout en gigotant un peu. C’est tout chaud et mou. C’est super comme sensation ».

Denise et Jessica gloussèrent.

« Et bien, quand j’aurais envie de faire, je pense que j’essaierai aussi, répliqua Jessica ».

 

               Elles terminèrent la vaisselle et gravirent les escaliers pour ce qui promettait d’être la plus formidable partie de jambes en l’air jamais connue. Au moment où elles atteignirent le premier étage, Amy se dirigea vers les toilettes.

« Je vais me nettoyer d’abord ».

« Oh, ne t’inquiète pas pour ça, dit Denise, c’est moi qui te laverai ».

« Ah, bon, dit Amy surprise ».

Elles entrèrent dans la chambre de Denise.

« OK, les filles, déshabillez-vous et montez sur le lit. Amy, garde ta petite culotte sur toi, s’il te plaît. A chaque fois que vous aurez envie de faire pipi, vous pourrez le faire sur le lit. Vous découvrirez que les draps sont déjà mouillés. Je fais pipi au lit toutes les nuits ».

Ce fut une nouvelle révélation choquante. Qu’allaient elles apprendre encore ?

« Oh, une chose encore, Amy, ajouta Denise. Pourrais-tu t’allonger sur le ventre, s’il te plaît ? »

« Oui, bien sûr, maman ».

 

               Elles se dévêtirent toutes les trois, Amy ne conservant que sa petite culotte merdeuse. Elles montèrent sur le lit, Amy se coucha sur le ventre, comme prévu. Jessica commença à lécher la poitrine de sa mère, concentrant ses assiduités sur ses tétés. Denise en retour écarta les cuisses de Jessica, et commença à caresser le vagin de sa fille. Jessica gémit sous les doigts de sa génitrice. Denise se retourna et dit à Amy :

« Chérie, couche-toi de tout ton long sur mon ventre, s’il te plaît ».

 

               Amy glissa sur le ventre de sa mère. Elle plotta ses seins en procédant. Denise guida la jeune fille jusqu’à ce son magnifique petit cul touche sa poitrine, avec sa culotte pleine de son caca. Elle en profita pour baisser la culotte se sa jeune fille, dévoilant les dégâts. Elle retira alors la culotte. Avec sa main droite, Denise collecta presque tout l’étron et l’enfourna dans sa bouche. Elle l’avala, tout en léchant ses doigts barbouillés. Elle demanda ensuite à Amy de s’asseoir sur son visage. Dans le même temps, Jessica n’était pas restée inactive. Elle s’était glissée au bas du lit et léchait avec avidité le vagin qui l’avait vue naître. Amy s’accroupit sur le visage de sa mère, de façon à ce que son sexe glabre épouse les contours de sa bouche et de son nez. Denise ne s’en laissa pas compter ; elle commença immédiatement à lécher le vagin et l’anus de sa fille, se régalant des résidus merdeux collés contre la paroi anale. Denise léchait et sucer vigoureusement le vagin d’Amy, et en peu de temps cette dernière fut foudroyée par un orgasme. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Denise de se pâmer sous les coups de langue de sa fille aînée. Amy était encore accroupie sur le visage de sa mère, quand elle demanda :

« Maman, j’ai envie de faire pipi ».   

« Vas-y, ma chérie, répliqua Denise ».

Denise plaça immédiatement sa bouche contre le vagin de sa fille, et elle but toute l’urine qu’Amy pissait.

« Mettons-nous en triangle, proposa Denise. Je lécherai le vagin de Jessica, Jessica tu lèches le vagin d’Amy, et Amy tu lèches mon vagin ».

Elles s’exécutèrent comme il était dit, chacune léchant le vagin de sa compagne. Elles restèrent dans cette position pendant à peu près une demi-heure. Quand elles furent lessivées par de multiples orgasmes, elles se couchèrent côte à côte, en se serrant l’une contre l’autre, et en déchargeant leur vessie, les draps baignant dans leur urine. Elles gigotaient et se roulaient sur le lit mouillé.

« Maman, dit Jessica, je veux que nous vivions pour toujours toutes les trois ensemble, et bien sûr que nous couchions dans le même lit ».

« Bien sûr, ma chérie, répliqua Amy. Nous ferons toujours l’amour ensemble. Evidemment, si quand vous serez à l’université vous vous amourachez d’une copine, je comprendrai ».

« Pas question, maman, s’exclama Amy. Les seules personnes avec qui je ferai l’amour, c’est ma mère et ma sœur ».

« OK, ma chérie, gloussa Denise. Comme tu veux ».

« Maman, commença Jessica. Je me demande. Qu’est-ce que je vais faire quand j’aurais envie de faire à l’école dans mon pantalon ? »

« C’est simple, répondit Denise. Tu n’as qu’à porter une couche ».

« Ah, ouais, approuva Jessica. Ce serait super de porter une couche comme un petit bébé ».

 

               Le lendemain matin, Denise et les filles marchaient dans la forêt. Elles portaient toutes les trois les jeans mouillés de la veille, des t-shirts, des tennis, chaussettes et bien sûr soutien gorge et petites culottes. Après avoir marché pendant une demi-heure, Denise annonça qu’elle aimerait s’arrêter et faire une pause. A ce moment, leur route était barrée par une large mare boueuse qui devait faire à vue de nez six mètres de diamètre et une profondeur au milieu d’à peu près un mètre cinquante. Denise s’assit sur l’herbe entre les branches d’un arbre et pissa aussitôt dans son pantalon. Les deux sœurs scrutaient le pourtour de la mare. Denise les observa avec un sourire sur les lèvres, et un désire latent.

« Hé, les filles, vous pouvez prendre un bain de boue, si vous voulez. Ca ne me gêne pas ».

« Oh, gémit Jessica excitée. Merci maman ! »

Amy rentra aussitôt dans la boue, sans même enlever ses chaussures. Très vite, elle eut de la boue jusqu’à la taille. Elle se retourna quand elle s’aperçut que Jessica ne l’avait pas suivie. Elle comprit pourquoi. Jessica faisait caca dans son pantalon. Quand Amy fixa les yeux sur elle, Jessica venait de finir son ouvrage et elle s’engagea audacieusement dans la mare boueuse. Quand ça atteignit ses genoux, elle s’amusa à éclabousser de boue Amy. Amy en fit de même. Leur mère les observait de sa position, en souriant. Puis, elle se leva et vint les rejoindre dans la boue. Elles s’amusèrent à s’éclabousser.

 

               Après un moment, elles se lassèrent, elles sortirent de la mare et continuèrent leur chemin. Elles étaient bien sûr couvertes complètement de boue. Il y avait même de la boue dans leur culotte et sous leur t-shirt. Après une quinzaine de minutes de marche, elles arrivèrent près d’un lac, qui était souvent utilisé pour nager. Comme il n’y avait personne aux alentours, elles plongèrent toutes habillées dans l’eau. Quand elles se furent nettoyées de toute la boue, elles sortirent de l’eau entièrement trempées. Une fois, à la maison, leurs affaires n’avaient pas séché. Mais, elles les gardèrent sur elles, pour le plaisir de sentir le tissu mouillé contre leur peau.



LA FAMILLE HOLLINGER

RECIT TRADUIT PAR PYBRAC