Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.


Ma fille : ange et démon


Aujourd’hui est un jour particulier, je me rends pour la première fois chez ma fille Océane, âgée de 18 ans, qui vient de prendre un appartement dans la ville où elle va étudier.


Depuis ma séparation avec sa mère il y a de nombreuses années, je ne vois Océane qu’épisodiquement. Néanmoins, elle semblait assez impatiente de me faire découvrir son chez-elle.


Je suis très surpris lorsqu’elle m’ouvre la porte. Ma très jolie fille, au visage angélique, qui porte de très longs cheveux blonds, me jette un regard tendre de ses beaux yeux bleus, elle me sourit de sa belle bouche, elle ne porte qu’une fine nuisette blanche mettant en valeur ses formes bien dessinées. Je marque un temps d’arrêt en la découvrant dans cette tenue très sexy, campée sur ses longues jambes fines. J’entre, en lui faisant la bise, nous visitons rapidement son petit appartement, décoré avec goût. Elle me sert un verre, que nous buvons sur le canapé. Je ne peux retenir la question qui me taraude : « Ma chérie, pourquoi portes-tu une telle tenue ?


-Tu n’aimes pas ? Répond-elle avec un grand sourire.

-Si tu es très jolie, mais on ne reçoit pas son papa avec en portant de la dentelle.

-Il fait chaud, je suis à l’aise dans cette tenue et j’espérais te faire plaisir, réplique-t-elle, me souriant toujours. »


Tout en parlant elle se colle à moi. Son comportement et notre conversation me font des effets étranges, ma fille est si belle, rayonnante dans sa tenue légère et moulante. Bien malgré moi j’ai du mal à retenir une érection, je me force à penser autre chose, mais voilà qu’Océane s’assied sur mes genoux. Je suis gêné, je ne sais où poser mes mains. Elle les prend et les dépose sur ses cuisses à la peau douce et bronzée. Mon début d’érection me reprend de plus belle. Je le lui dis : « Tu sais je ne suis pas très à l’aise, tu n’es plus une petite fille, t’assoir sur moi, dans cette tenue, c’est un peu curieux.


-Ah bon, tu n’aimes pas ? D’habitude les garçons aiment bien que je sois sur eux… réplique-t-elle de sa voix douce, toujours souriante.

-Oui, justement, les garçons aiment sans doute cela, mais moi je suis ton père, réplique-je en haussant légèrement la voix. »


Elle continue son manège. Elle me déstabilise. Mon trouble augmente encore lorsqu’elle caresse mon torse au travers de ma chemise. Elle passe sa jolie main sur mon visage. Mes sentiments deviennent confus, que fait ma fille ? Malgré moi, je sens une érection poindre. Elle poursuit : « J’ai l’impression que je te fais le même effet qu’aux autres garçons, je sens que tu commences à être à l’étroit dans ton pantalon, enchaîne-t-elle, toujours souriante. »


Je ne sais que répondre, je garde le silence. Elle pousse son ascendant, en ouvrant ma braguette, divulguant la bosse qui déforme mon caleçon. Elle tire sur le tissu et faire sortir mon sexe qui commence à être bien gonflé.


« Je te laisse pas indifférent à ce que je vois. » Déclare-t-elle en me regardant de ses sublimes yeux bleus.


« Que fais-tu ? Je suis ton père, tu es ma fille, on ne doit pas faire ces choses-là ! tente-je de protester. » Mais mon sexe bandé plaide le contraire.


« Tu sais, j’ai très envie d’une relation plus intime avec mon père. Nous n’avons pas été assez proches jusqu’à présent, me confie-t-elle. »


Elle me caresse toujours le torse de sa main douce, tandis que de l’autre, elle titille ma verge qui gonfle petit à petit, sans que je ne puisse rien contrôler.


« Moi aussi j’ai envie d’une relation intime avec toi, mais pas comme ça, me défends-je.

-Ah bon, mais regarde comme ton pénis dit le contraire. » M’assène-t-elle en débutant une délicate masturbation qui accroît toujours plus mon érection.


Sans que je ne puisse – ou ne veuille – intervenir, Océane quitte mes cuisses, s’accroupit et prend en bouche mon sexe dur. Elle se met immédiatement à le pomper avec une grande vigueur, embouchant la totalité de mon membre de bonne dimension. Son comportement si provoquant me fait renoncer à mes scrupules : elle veut baiser avec son père, elle me fait bander, alors je vais lui faire ce plaisir, je suis sûr qu’il provoquera le mien.


Je laisse donc ma fille astiquer mon dard avec sa bouche douce et chaude, qu’elle fait aller et venir sur toute la longueur de ma hampe dressée. Bientôt une couche de salive fait luire ma verge et ses mouvements émettent des bruits de succion très excitants. Quel plaisir de voir une si belle jeune fille me prodiguer une telle fellation, même – surtout – s’il s’agit de ma propre fille !


Sans doute satisfaite des gémissements qu’elle me provoque, Océane quitte mon membre, elle me regarde de ses yeux magnifiques et m’adresse un sublime sourire. Elle semble heureuse.


« Ça te plait ? demande-t-elle.

-Oh que oui ma puce, dis-je en l’attirant vers moi ».


Elle plaque sa bouche sur la mienne et faufile sa langue entre mes lèvres. Notre premier baiser incestueux est fougueux et bien baveux. J’en profite pour tâter les seins de ma fille au travers de sa fine nuisette. Ses tétons pointent outrageusement, ils sont durs comme du bois. Elle me susurre : « J’ai envie que tu me prennes, je veux sentir ta belle bite en moi… »


Comment résister à un tel appel lancé par une si belle jeune fille ? Je n’y parviens – n’essaye – pas. Elle s’allonge sur le lit, tire sur sa délicate culotte qu’elle fait glisser jusqu’à ses chevilles, dévoilant son magnifique vagin à peine voilée par un fin duvet de poils blonds. Ses lèvres intimes sont légèrement écartées et laissent oindre des gouttelettes de cyprine qui ressemblent à de la rosée et trahissent son émoi.


Plus qu’un sexe, sa chatte est une vraie invitation à la luxure. Pendant qu’elle s’allonge, je défais mon pantalon et présente ma queue raide à l’entrée de sa grotte trempée. J’y entre sans difficulté, je suis absorbé par la fente avide de ma fille, qui pousse un feulement délicieux de plaisir. Elle plaque ses mains sur mes hanches et m’incite à la pistonner en faisant d’amples mouvements. Je besogne son vagin si accueillant et m’en délecte. Je tire sur le haut de sa nuisette pour découvrir une splendide paire de seins bien fermes, dont les tétons dardent fiévreusement. Je les tète en malaxant ces si beaux seins. Elle gémit de plus belle, puis attrape ma bouche avec la sienne pour me donner un baiser endiablé.


Océane semble subjuguée par notre baise incestueuse. Elle crie son plaisir sous mes pénétrations profondes et rapides. Bientôt elle atteint l’orgasme, qu’elle revendique en plantant ses ongles dans mon dos et en hurlant.


A peine remise, alors que je la pénètre toujours, lentement maintenant, elle me sourit d’une manière douce et coquine et me souffle : « Je voudrais que tu me prennes par derrière. »


Je souris à mon tour et me retire de son vagin trempé. Elle se retourne, s’agenouille sur son lit, m’offrant une vue incroyable sur sa croupe parfaitement dessinée et son intimité. Je vais pour la prendre en levrette, lorsqu’elle me précise de sa voie d’ange : « Je veux ta belle bite dans mon petit trou bien serré. »


Je m’exécute. Je présente mon membre sur sa rondelle et pousse doucement. Son anus cède petit à petit et m’offre une place étroite et chaude dans son délicieux fourreau. Quelques mouvements me permettent de bien caler mon sexe dans son fondement. J’embroche le cul de ma propre fille, quel salaud de père je fais ! Mais quel plaisir elle semble y prendre. Elle m’encourage : « Oh c’est bon, j’aime sentir ta grosse bite dans mon cul. Prends-moi bien. »


Rassuré sur le fait que je ne lui fait pas mal, je pistonne ce cul si délicieux. Je fais d’amples mouvements. Je sens qu’elle se caresse la chatte, ses doigts viennent parfois toucher ma queue empalée en elle.


Nous poursuivons cette sodomie incestueuse un bon moment. Océane me glisse : « Ne jouis pas dans mon trou, je voudrais te finir dans ma bouche. »


Quelle petite garce ai-je enfanté ! Je sens ma jouissance monter par palier. Craignant de jouir de manière incontrôlée, je décide de quitter son petit trou si accueillant.


Quelle n’est pas ma surprise de découvrir ma bite maculée de merde à mesure que je la retire. Pis encore, un gros étron suit mon chibre lorsque je me suis totalement retiré, il choit au sol émettant un gros « slpoutch » spongieux.


Océane se retourne prestement, elle affiche toujours son charmant sourire, ses yeux bleus étincellent en regardant les dégâts de notre sodomie. Un peu de bave coule à la commissure de ses lèvres. Je reste sans voix devant cet incroyable spectacle, ma bite souillée de merde suite à une délicieuse sodomie offerte par ma fille !


Elle profite de mon manque de réaction pour prendre en bouche ma queue sale, sans aucune hésitation. Elle n’a même pas de haut le cœur en passant sa langue rose si mignonne sur les morceaux de sa merde qui polluent mon membre gonflé. Comme ma fille peut-elle être aussi perverse ?


Cette fois encore, je me laisse gagner sans chercher à protester, je profite de l’instant, de cette bonne pipe prodiguée par une si belle jeune fille, si délurée, quel plaisir !


En quelques minutes, ma bite est bien propre. Océane me sourit à nouveau, ses dents sont légèrement salies par de petits morceaux de merde. Malgré mon éducation et mes préjugés, je ne peux m’empêcher de jouir à cet instant précis.


Quel incroyable perversité de voir sa fille de 18 ans, si belle, si douce et aussi sale. Se faire enculer par son propre père, maculer sa bite de merde et la nettoyer ensuite de sa bouche si délicieuse ! J’envoie de grosses giclées de foutre sur son beau et tendre visage. Elle sourit toujours, rayonnante. Plusieurs lampées atteignent l’intérieur de sa bouche, d’autres son nez, ses cheveux, je la couvre de grandes traînées blanches bien gluantes.


De sa langue elle lape le sperme qu’elle parvient à atteindre. Elle plante son regard azuré dans le mien et minaude en me disant : « Je crois que je suis une petite cochonne. J’aime bien le sexe sale.


-Je vois ça, dis-je sans réfléchir.

-Je suis contente que ça te plaise aussi, ajoute-t-elle.

-Je ne sais pas trop si j’aime, lui avoue-je.

-Ah bon, mais tu as bien jouis en me regardant lécher ma merde sur ta bite, non ? m’assène-t-elle.

-Oui c’est vrai. Mais quand même c’est vraiment très sale ce que tu as fait, réplique-je.

-Tu sais j’aime vraiment être sale. Je peux être bien pire… poursuit-elle. »


Joignant le geste à la parole, elle saisit l’étron qui jonche toujours le sol et se l’applique sur la poitrine. En un instant ses jolis seins prennent une couleur brune marquée. Puis elle fait remonter la merde vers son visage, qu’elle badigeonne de la même manière. Elle n’hésite pas à lécher l’étron avant de se tartiner de la merde dans ses magnifiques longs cheveux blonds. Une odeur difficilement soutenable envahit la pièce. Ma fille est vraiment folle et je sens qu’elle m’entraîne dans sa folie.


Je ne l’aurai jamais imaginé, mais voir une jeune fille si angélique il y a encore quelques minutes se vautrer ainsi dans l’ordure m’excite incroyablement. Je rebande très vite et me permets de fourrer mon dard dans la bouche de ma fille sans qu’elle ne m’y invite. Elle ne s’en plaint pas et m’offre une pipe merdeuse d’anthologie, en crachant et en bavant sur ma hampe dure qu’elle fait glisser tout au fond de sa gorge chaude et sale.


Je sens ensuite un jet chaud toucher mes jambes. Ma fille s’est mise à pisser, elle fait gicler son urine sur moi. Tout en poursuivant sa fellation, elle trempe ses mains dans le liquide doré, et les plaque sur son corps déjà souillé.


Voyant que je bande toujours bien dur, elle racle la merde qui macule son corps et en tartine consciencieusement ma verge. Lorsqu’elle est bien sale, elle me demande de sa voix douce : « Prends-moi à nouveau papa, baises ma chatte avec ta belle queue bien crade. ». Elle s’allonge sur le dos et écarte outrageusement les cuisses en disant cela. Comment résister à un tel appel ?


Je plante ma pine sale dans son con. Elle feule de plaisir en sentant que je la souille de l’intérieur. Je la besogne durant de longues minutes et lui fait atteindre un nouvel orgasme. Je sors ensuite de son antre toujours brûlante de désir et sa bouche remplace son vagin autour de ma virilité. Une nouvelle fois elle s’emploie à nettoyer mon sexe de ses excréments en bavant.


Elle lâche ma tige avant que je ne jouisse et porte sa langue sur mes couilles, puis se dirige doucement vers mon anus. Je suis à nouveau très surpris lorsqu’elle me demande : « Dis, tu n’aurais pas une petite envie par hasard ? J’aimerai bien goûter à ta merde. » Quelle truie fait-elle ! Non contente d’avaler sa propre merde sur ma bite, elle voudrait que je chie pour elle !


Cette fois encore je perds la raison. Je me mets à pousser en contractant mes muscles abdominaux. Mon trou s’ouvre légèrement et Océane y glisse un doigt, qu’elle a lubrifié de sa salive. Cette sensation m’excite très fort et cela ne rend pas très facile la poussée de ma merde.


Néanmoins, en forçant un peu et avec l’aide des doigts de ma fille je sens que ça vient, je vais chier pour elle, et même chier sur elle !


En effet, elle assise sous moi, à même le sol couvert de sa pisse et sa merde, juste sous mon anus. Je sens enfin mon cul se dilater et un étron se faufiler. Gourmande, Océane le prend directement et entièrement dans sa bouche si jolie. Dès que j’ai terminé de lui livrer mon présent, elle se relève et se présente face à moi, la bouche encombrée d’une énorme merde puante. Elle la recrache en partie et mâche le reste. Elle l’avale en me regardant droit dans les yeux, de son regard bleuté coquin. Elle est sublime, j’ai encore envie de la baiser. Elle le sait, elle le sent.


Elle empoigne ma bite de sa main chargée de ma merde, englue mon membre de cette matière collante et puante et me demande une nouvelle fois de la fourrer. Pendant que je la pénètre intensément, elle lèche ses doigts sales, mâchouille nos cacas et déglutit, avalant ainsi nos infâmes excréments.


Alors qu’elle a avalé la plupart des morceaux de merde que nous avons chié, elle me fait quitter sa chatte et prend ma verge dans sa bouche. Elle s’empale totalement sur mon engin encore sale. Je suis tout au fond de sa gorge, elle s’enfonce au maximum sans que je n’ai à l’inciter à me prodiguer une telle pénétration buccale.


D’un coup, elle pousse un râle presque inhumain et projette un flot impressionnant de vomi semi liquide et merdeux. Elle me couvre la queue et les jambes de cette matière ignoble. La pression ralentit et la fin du flux s’étale sur sa poitrine et les lambeaux de la nuisette qu’elle porte toujours. De grands fils mêlant la bave à la bile se tissent de son menton jusqu’à ses nichons.


Je crains un instant que nous ne soyons allé trop loin, mais je m’aperçois vite qu’elle maîtrise parfaitement la situation. Elle me lance un regard provocateur, malgré les larmes qui encombrent ses yeux suite à son gros vomissement. Elle me lance : « J’adore me faire gerber de la merde en enfonçant une grosse bite dans ma gorge… Merci papa. »


Je suis toujours plus estomaqué par le vice de ma fille. Comment peut-elle se comporter ainsi, avec son père ? Mais elle m’excite terriblement, j’ai encore envie de jouir et présente mon chibre couvert de vomi devant sa bouche : « Je vois que tu aimes la saleté, tu ne voudrais pas ajouter un peu de foutre ? ». Elle me regarde, visiblement excitée et prend mon sexe en bouche. Elle lape son propre vomi sur mon dard dur jusqu’à me faire éjaculer une nouvelle fois sur elle.


Nous passons ensuite beaucoup de temps à nettoyer nos corps, notamment ses longs cheveux imprégnés de merde, puis son appartement (heureusement elle avait protégé le lit et le sol est en carrelage).


Nous décidons de sortir dîner. En très peu de temps elle est redevenue aussi pimpante que d’habitude, avec ses longs cheveux blonds soyeux, sa peau bronzée et lisse, ses yeux au bleu si intense, son corps aux formes fermes et bien proportionnées. Elle porte une petite robe d’été qui lui sied à merveille. Quel plaisir de voir une si jolie jeune fille. Il serait bien difficile en la voyant ainsi d’imaginer le vice qu’elle cache.


Nous nous séparons en fin de soirée. Elle me fait promettre de revenir samedi prochain. Elle me glisse également quelques consignes : « Pas la peine de te laver cette semaine, il va faire chaud et j’adore l’odeur d’un corps qui a bien transpiré. Laisse également tes parties intimes bien négligées et fait quelques réserves dans tes intestins et ta vessie. Aujourd’hui tu as eu droit au hors d’œuvre, mais la semaine prochaine je te ferai découvrir le plat de résistance. » Elle affiche toujours son sourire enjôleur en prononçant ses paroles sordides. Elle me gratifie d’un baiser sur la bouche en guise de salut.


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Je passe une curieuse semaine, sous l’emprise des souvenirs de nos actes et des paroles de ma fille, à la fois excité à l’idée de prendre du plaisir en me débauchant avec elle dans les jours qui viennent, mais également stupéfait et un peu inquiet de la tournure que pourraient prendre les évènements.


L’application des consignes d’Océane m’imposent également quelques adaptations, je fais attention à ne pas me trouver trop près de personnes qui pourraient remarquer mon odeur et je porte d’épais sous-vêtements qui isolent bien mes parties intimes de mes vêtements, pour ne pas les tâcher. Chaque fois que je vais aux toilettes je constate que l’état de mon hygiène intime se dégrade, je me projette alors au moment où je retrouverai Océane et cela m’excite, je dois me concentrer pour limiter mon érection.


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Le samedi arrive enfin. Je ne suis pas allé à la selle depuis trois jours et me retiens d’uriner depuis la veille au soir. Encombré, mon caleçon collant à mon pantalon, un peu ému, je sonne à la porte de ma fille. Elle apparaît dans l’embrasure de la porte, rayonnante, un grand sourire aux lèvres, ses longs cheveux blonds détachés formant une cascade sur ses épaules, vêtue d’une robe d’été légère, courte et décolletée, de couleur blanc-cassé, elle est perchée sur une paire d’escarpins blancs, qui terminent ses longues jambes gainées de bas blancs. Elle dégage un charme fou, un vrai ange.


Son aspect angélique est immédiatement contredit par son comportement, elle plaque sa bouche sur la mienne et me roule une pelle gourmande. Elle attrape un sac et sort. Je pensais que nous resterions chez elle, mais elle me dit que nous avons un peu de route pour nous rendre à un rendez-vous.


Océane insiste pour que nous roulions fenêtres fermées, sans la climatisation. La chaleur augmente très vite dans la voiture et avec elle nos odeurs corporelles emplissent l’habitacle. Nous transpirons abondamment, Océane me dit : « J’aime quand il fait chaud et que l’on sue, ça dégage une odeur si excitante. » Elle croise les jambes, me laissant apercevoir le haut de son bas et l’attache de son porte-jarretelle, vision très érotique…


« Jusque-là je n’avais jamais trop recherché ce genre de situation, mais c’est vrai que ça a un côté excitant, confirme-je.

-Oui, et puis j’ai l’impression de briser une convention sociale et cela m’excite encore davantage. Le fait de ne pas se laver pendant plusieurs jours, de porter une culotte souillée et de conserver de la merde dans la raie de son cul est tellement inconvenant que ça me fait mouiller dès que j’y pense, déclare-t-elle en se trémoussant sur son siège. »


Cette conversation et la vue de ma superbe fille me fait bander, je dois me concentrer pour conduire correctement.


Elle en rajoute encore en produisant un pet sonore et odorant, qui a sans doute laissé de nouvelles traces dans sa culotte, tout en continuant à me sourire. Je n’ose l’imiter de peur de vider le contenu de mes intestins.


Nous arrivons dans une belle villa. Océane me guide sans hésiter à l’intérieur d’un grand salon meublé de plusieurs canapés et tables. Deux autres couples sont présents, sans que je ne sache s’ils habitent cette maison.


Ma fille fait les présentations : « Papa, voici Natacha et Vincent ». Elle me désigne une petite jolie jeune femme d’une trentaine d’années, de taille moyenne, portant de longs cheveux châtains, au regard noisette qui lui confère une grande douceur, tandis que ses lunettes et ses chaussures à hauts talons hauts lui donnent un côté sérieux ; et son homme, un grand garçon brun.


Elle poursuit : « Et voici Vanessa et Albin. » Ce dernier est un homme d’environ 35 ans blond et mince ; et sa compagne qui doit avoir 25 ans. C’est une superbe grande rousse aux yeux verts, à la peau laiteuse avec quelques tâches de rousseurs, sa poitrine semble généreuse, ses formes sont bien mises en valeur par ses hauts talons.


Je serre la main des deux garçons et fait la bise aux filles. Je sens qu’elles s’attardent un peu, Vanessa me met même une main aux fesses, ça commence très bien. Imaginer baiser avec les trois jeunes filles qui m’entourent est terriblement excitant, je fais de gros efforts pour contenir mon érection. Océane m’a immédiatement présenté comme son père, je constate qu’elle n’a pas caché le caractère incestueux de notre relation.


« Bon, nous sommes là pour nous amuser. » Déclare Océane en entrant dans l’espace cuisine, d’où elle ressort avec une bouteille de Champagne et un plateau de petit-four. Vincent et Natacha vont également chercher quelques plateaux de nourriture, qu’ils disposent sur la plus grande table. Un vrai festin est dressé devant nous. Je sers le Champagne et Océane déclare d’un air faussement embêté : « Mince, on n’a pas de couvert, ils sont tous au lave-vaisselle.


-Il va falloir manger avec nos doigts, poursuit Natacha sur le même ton ironique.

-C’est pas grave j’aime bien toucher ce que je mange, ajoute Vanessa. »


Je suis un peu étonné, mais je comprends très vite le manège des filles. Elles saisissent de la nourriture à pleine main et la portent à leur bouche de manière très cochonne, en salissant leurs vêtements et le pourtour de leur bouche. Vanessa attrape une tranche de saumon fumé qu’elle enfile dans la bouche de Natacha. Cette dernière mâche bruyamment avant d’avaler. Océane se penche sur la table chargée de mets et laisse – sans doute volontairement – tremper ses longs cheveux dans la nourriture. De la sauce tomate colle à sa chevelure, Natacha lui lance : « Tu as de la bouffe dans les cheveux, je vais te nettoyer. » Affichant un grand sourire très coquin, elle aspire la chevelure sale de ma fille, en faisant des bruits de succion obscènes.


Chaque gorgée de Champagne avalée est ponctuée d’un rot bruyant qui réjouit les convives, les filles sont les plus douées à ce petit jeu.


Passé un temps d’étonnement, j’imite les autres convives et mange avec mes doigts, sans crainte de me tâcher, bien au contraire. Je porte même des aliments dans les bouches féminines qui m’entourent.


Toujours sur un ton faux, Océane se récrie lorsque Vanessa mange un canapé au foie gras : « Petite garce, tu as pris le toast que je voulais ! » Ne voulant pas faire d’histoire, la belle rousse lui rend le petit-four qu’elle a déjà commencé à mâcher ! Océane le lui prend directement de sa bouche. En fait, elles le mangent toutes les deux, en s’embrassant de manière très cochonne !


Ce buffet totalement débridé m’échauffe de plus en plus. Voir trois superbes jeunes femmes jouer ainsi avec la nourriture, s’en mettre partout, me donne une vraie érection, bien visible. Je vois que les deux autres gars sont dans le même état que moi.


Je me permets alors de toucher les fesses de Vanessa, qui roule toujours des pelles à ma fille. Elle porte une jupe verte, assortie à ses yeux, et un chemisier blanc – qui devient de plus en plus multicolore au fur et à mesure de l’avancement de ce repas très spécial. Elle se dandine immédiatement contre ma main, me montrant qu’elle apprécie mon geste. Je fais de même avec mon autre main, sur le postérieur de Natacha, vêtue d’une légère robe bleue. Elle aussi se trémousse sur ma main.


Je sens une autre main se faufiler sous la jupe de Vanessa, c’est celle d’Albin. Je décide alors de concentrer mes caresses sur Natacha. Je vois que Vincent palpe le corps d’Océane. Un homme est en train de peloter ma fille devant moi et je ne suis pas du tout énervé, mais très excité. Je deviens un vrai pervers ! Bientôt il sort sa queue, un beau calibre, et Océane l’astique de sa main souillée de nourriture.


Je passe ma main sous la robe de Natacha, je rencontre sa culotte et sens immédiatement qu’elle est toute moite, l’arrière semble occupé par une masse souple. J’imagine déjà que son entrejambe doit être empli de matières fécales stagnant là depuis plusieurs jours ! Cette pensée ignoble me fait bander encore plus. Elle se met face à moi, me jette un regard de braise au travers de ses lunettes alors que quelques spaghetti pendent de sa bouche et salissent le haut de sa poitrine dénudée au-dessus du décolleté de sa robe. Elle les aspire d’un coup en me regardant droit dans les yeux, provocante et sublime.


Elle libère mon sexe qui allait bientôt faire craquer mon pantalon. Elle s’agenouille et me prend en bouche. Elle avale la totalité de mon membre tout de suite, sans utiliser ses mains.


Que sa bouche chaude et sale est bonne autour de ma bite ! Machinalement je fais des va-et-vient amples dans sa bouche, touchant ses amygdales avec mon gland. J’ai quelques arrières pensées quant à la saleté de mon sexe, mais Natacha me rassure bien vite : « Hum, que ta bite est bonne, tu l’as bien laissé faisander pendant plusieurs jours, elle sent la pisse rance ! apprécie-t-elle en connaisseuse. » Elle enfourne mon dard en bavant généreusement, sa salive forme de grosses bulles à la commissure de ses lèvres.


Elle quitte ma tige pour aventurer sa bouche et sa langue près de mes couilles et de mon anus. Elle semble adorer l’état déplorable dans lequel se trouve mon entrecuisse, où de la merde s’accumule depuis plusieurs jours : « C’est bon toutes les saloperies que tu as laissé traîner là, m’annonce-t-elle en léchant mes parties les plus crades. »


Le vice de cette jeune femme m’excite terriblement et me donne furieusement envie de me vautrer moi aussi dans l’ordure. Je me permets de lâcher un gros pet bien gras à quelques centimètres de son nez. Elle approuve toujours : « Oui pètes-moi à la gueule mon gros porc, m’encourage-t-elle. »


Je la saisis par les épaules et l’invite à s’allonger sur un canapé. Je trousse sa robe et découvre une culotte à l’avant jaune pipi, tandis que tout l’arrière est bombé et de couleur brune. Elle empeste les excréments, mais cela me stimule. Je lèche sa culotte, puis la peau de ses cuisses aux limites du tissu sale. Je goûte à des saveurs encore inconnues, qui réjouissent mes papilles perverses. Petit à petit j’écarte la culotte et pose directement ma langue sur ses lèvres intimes sales, le goût salé de la pisse m’irradie, que c’est bon !


Je fais glisser un doigt dans son antre cacateuse et le porte à ma bouche, tandis que je branle ma compagne de mon autre main. Le goût de la merde m’enivre encore davantage. J’ai envie de me plonger dans ses fèces. Natacha gémit, elle apprécie sans doute mon traitement.


Dans le même temps je suis tiraillé par ma vessie pleine prête à exploser. Ayant légèrement débandé, puisque ma bite n’est plus stimulée physiquement, je me désinhibe complètement et pisse sur Natacha en orientant mon jet puissant sur tout son corps encore partiellement vêtu. Elle feule de plaisir sous mon jet doré et chaud : « Oui mon salaud, pisses-moi dessus. Trempes tout mon corps de ta pisse brûlante. Je suis un bel urinoir, non ? m’encourage-t-elle.


-Oh que oui ma petite salope, c’est génial de te pisser dessus, confirme-je. »


Elle positionne sa bouche grande ouverte sous mon flot qui l’emplit très vite, elle avale et continue à se laisser asperger. Je trempe ses lunettes, ses beaux cheveux châtain, sa poitrine,…


Lorsque mon flot se tarit, elle retire sa culotte dégueulasse et me la fourre dans ma bouche. Les saveurs étranges et excitantes se mêlent, je mâchonne le tissu crade et m’en délecte. Mon excitation devient bestiale, je veux baiser la garce que j’ai sous les yeux, allongée les cuisses écartées, elle ne demande que ça. Je la pénètre d’une seule poussée profonde, elle crie son plaisir, je la pistonne un bon moment, labourant sa chatte sale de chienne en chaleur. Elle se triture très fortement les tétons, se donne de bonnes claques sur ses seins.


Sans perdre le rythme, je jette un œil au reste de la pièce. Albin se fait sucer par Vanessa, elle est toute trempée, je pense qu’il lui a également pissé dessus. Océane lèche le cul de Vincent qui est allongé sur un autre canapé. J’imagine que ma fille se délecte des cochoncetés qui ce mec doit avoir accumulé là ces derniers jours.


Encouragé par Natacha, que je ramone toujours, j’attrape ses seins et les malaxe furieusement moi-même. Elle apprécie d’être ainsi maltraitée : « Oui, plus fort, baises-moi à fond, fais-moi mal aux nichons, réclame-t-elle. »


Mon traitement la fait jouir en peu de temps. Sa chatte coule sur ma bite, un flot que j’imagine mêle cyprine et urine. Une de ses mains se crispe sur mon bras, tandis que l’autre pressure l’un de ses seins qui devient tout rouge.


Avant que je ne jouisse moi-même, je me retire de sa grotte. Je la laisse pantelante et m’approche des autres protagonistes de notre partouze sale. Océane a changé de position, elle se fait baiser par Albin, elle est nue, ne porte plus que ses hauts talons, ses bas déchirés et sales et son porte-jarretelles. Devant elle Vanessa est avachie sur un canapé, les cuisses écartées, elle suce Vincent. J’observe la scène impliquant ma fille pendant quelques minutes, tentant de faire légèrement redescendre l’excitation, ce qui n’est pas évident en voyant ma superbe Océane se faire mettre par les puissants coups de rein d’Albin et que Vanessa la magnifique rousse triture ses grosses miches blanches pendant qu’elle se fait lécher la moule.


Puis Vincent quitte la bouche de Vanessa pour rejoindre Natacha qui appelle une nouvelle bite.


J’aperçois alors le visage souillé de sang d’Océane. Je crains un instant qu’elle ne se soit fait mal, mais elle a simplement fourré son doux minois dans la chatte ensanglantée de Vanessa qui a ses règles ce jour-là ! Comme d’habitude Océane rayonne sous l’ordure. Toujours en train de se faire prendre par Albin, elle me sourit, sous son masque de jus intimes produits par Vanessa, son regard bleu pétille, elle me dit : « Papa, tu devrais venir baiser cette grosse truie de Vanessa, elle est prête. »


Océane me laisse le passage et je présente ma queue devant la chatte gluante de tous les jus de Vanessa : de la mouille, de la pisse, de la merde, de la salive et du sang de règles ! Quel délice. Je m’enfonce en une seule poussée et je la pistonne puissamment. Elle m’invite à la prendre plus fort : « Baises-moi moi bien fort, je veux être défoncée ! »


Rapidement, elle m’interpelle à nouveau : « Encules-moi, vas chercher la merde qui encombre mon cul de grosse truie ! ». Elle se retourne, se positionne en levrette et me présente sa belle croupe. Elle assène plusieurs grosses claques sur les lobes de ses fesses, elle laisse à chaque fois une grande trace de main rouge sur sa peau très claire. Elle aussi semble aimer le sexe rude. Je présente ma bite devant sa grotte à merde. Elle n’est pas tellement serrée et j’entre rapidement, sous ses cris de plaisir.


Je n’hésite pas à donner quelques claques supplémentaires sur son cul, elle aime ce traitement : « Encules-moi bien fort, vas chercher la merde tout au fond de son intestin de chienne, m’implore-t-elle. » Docile, je la pénètre le plus profondément possible. Je sens que sa merde freine ma progression, cela doit lui procurer des sensations incroyables, comme si j’avais une bite de taille démesurée.


Incité par ses cris de plaisir, je me permets de saisir Vanessa par sa belle tignasse couleur de feu et de la tirer vers moi. Elle continue de m’encourager à la baiser sauvagement : « Oui, salaud, baises-moi bien fort, embroches-moi comme une pute. » J’aperçois qu’elle bave en disant cela, elle semble vraiment très excitée. Elle va même jusqu’à se mettre elle-même des baffes sur la figure !


Ainsi stimulé, je finis par éjaculer dans son conduit merdeux. De grandes rasades de foutre qui se mêlent à sa merde grasse. Lorsque je me retire, mon membre est immédiatement suivi d’un impressionnant flot de merde puante qui s’étale au sol. Elle semble ne pas finir de se vider, l’amas de merde est impressionnant. Très vite, elle se laisse choir dans ses excréments. Sa chatte sanglante baigne dans son caca odorant, elle sourit, béate, puis saisit de la merde et se badigeonne les nichons, le visage, ses magnifiques cheveux roux. Elle goûte sa merde, la mâche, l’avale. Quel spectacle de folie !


Je fais une petite pause au buffet, pour reprendre un peu mes esprits. Océane est toujours baisée par Albin, tandis que Vincent encule Natacha.


Bientôt ces derniers se désaccouplent. Elle se place sous lui et Vincent pond une belle merde directement sur le visage de la jolie brune. L’étron masque l’un de ses verres de lunettes et se termine dans la bouche gourmande de la jeune femme.


Ma fille interrompt ma contemplation et me glisse : « Si tu as bien respecté mes consignes, tu dois avoir le cul plein de merde, ça doit même commencer à te gêner.


-Oui, en effet je suis plein et j’ai même un peu mal au ventre, confirme-je.

-Alors vides-toi sur moi. Donnes-moi ta merde bien puante, m’invite-t-elle en affichant son grand sourire angélique. »


Comment résister à un tel appel ? Elle s’allonge directement au sol et m’incite à m’accroupir au-dessus d’elle. Sans difficulté je vide mon intestin rempli sur son visage si mignon ! De gros étrons un peu mous s’étalent sur elle, la recouvrent du haut de sa poitrine jusqu’à ses longs cheveux blonds disposés en étoile autour de sa tête. Je conclus ma vidange par de gros pets gras. Océane parcourt mon périnée sale de sa langue boueuse pour récupérer les derniers morceaux de matière fécale. Je me relève et contemple un spectacle incroyable : ma chienne de fille allongée au sol, le visage complètement couvert de ma merde. Elle a la bouche ouverte et je distingue clairement son grand sourire sous cette gangue infâme ! Océane est une incroyable salope. Qui a bien pu la pousser à un tel vice ?


Comme pour répondre à mon interrogation. J’ai l’immense surprise de voir surgir dans la pièce une femme d’une quarantaine d’années, blonde, souriante, les cheveux coupé en carré, vêtue uniquement d’un porte-jarretelles, de bas et de chaussures à haut talons.


Je suis estomaqué de voir débarquer au milieu de cette folle partouze crade mon ex-femme, la mère d’Océane, Adeline. Je l’ai quitté alors qu’Océane n’avait que deux ans, notamment parce que je m’ennuyais avec elle au lit, nos rapports étaient rares et des plus basiques. Comment l’imaginer ici ?


Elle me dévisage de ses yeux bleus et m’apostrophe : « Alors-là, il a fallu que je le vois pour le croire. Océane avait raison, tu t’es enfin dévergondé. Moi qui te pensais coincé du cul et de partout, tu viens de chier sur ta fille ! Je revois un peu ma piètre opinion de toi.


-Mais que fais-tu ici ? lui demande-je

-Je suis chez moi mon cher, répond-elle, un peu hautaine. »


Océane s’est relevée, elle est debout à côté de sa mère. Ma merde gluante glisse sur son corps doucement, la recouvrant petit à petit.


En les regardant toutes les deux, je réalise que cette villa est le lieu où vit ma fille et qu’elle a pu être dévergondée par sa mère. Cette dernière était-elle déjà salope comme ça lorsque nous vivions ensemble ? Est-ce moi qui n’ai pas su la satisfaire ?


Je sors de mes questionnements lorsque je vois Adeline dans sa tenue sexy, rouler une pelle merdique à notre fille. Elle prélève de la merde avec sa langue agile sur le visage d’Océane, la porte à sa bouche et s’en délecte. « En plus ta merde à bon goût, me dit-elle »


Elle récupère de la merde qui jonche le sol, s’en enduit les mains et branle ma verge vigoureusement. « Voilà tu es bien crade comme j’aime maintenant. Baises-moi, rattrapes-toi enfin. Fais-moi toutes les cochonneries que tu m’as refusées quand nous étions mariés, m’ordonne-t-elle. »


Elle s’allonge dos sur un canapé, remonte et écarte ses cuisses et présente sa chatte trempée et offerte à ma queue dégueulasse. Sans réfléchir je me plante en elle, elle m’invective à nouveau : « Ah putain si tu avais pu me baiser comme ça quand on était ensemble ! Niques-moi bien fort, baises-moi sauvagement ! demande-t-elle » en se donnant de grosses claques sur les seins et tirant sur ses bouts jusqu’à les allonger de manière impressionnante.


Je la baise vigoureusement sous le regard de notre fille, pendant que les deux autres couples copulent dans la merde à quelques centimètres ! Sous les injonctions d’Adeline je vais même jusqu’à lui asséner des gifles qui font rougir ses joues, mais semblent combler cette chienne que je ne soupçonnais pas.


Océane interrompt notre accouplement bestial, elle sort ma bite de la chatte qui l’a fait naître et prend ma verge encore merdeuse dans sa bouche sale et me dit : « Tu devrais enculer maman maintenant, elle adore ça et je suis sûre que son cul est plein de bonne merde bien puante.


-Oui défonces ma boîte à caca gros salaud ! confirme mon ex-femme. »


Je change donc de trou, j’entre sans difficulté dans cet anus que j’ai souvent vu, mais jamais pénétré. Elle doit se faire prendre régulièrement par là, car l’accès est vraiment facile. Elle feule très vite sous mes coups de reins violents. Je sens que son conduit est gras, elle doit être emplie de merde et sentir ma pénétration sur une longueur incroyable.


Je la baise sauvagement en lui claquant les seins et le visage, je l’insulte : « Grosse pute, tu aimes ça ma bite sale ! » Elle confirme mes propos orduriers : « Oui gros porc, niques moi, fourre ta tige merdeuse dans mon trou à merde. »


Je la fais jouir par le cul et retire ma bite de son antre sale. Un flot puissant de merde s’écoule alors de son orifice distendu. Océane observe la scène, fascinée et excitée. Elle est toujours largement couverte de ma merde, mais elle se précipite pour récupérer celle que sa mère vient d’évacuer. Elle se place au niveau de son cul qui libère de gros pets sonores, gras et puants, dont Océane inspire les effluves ignobles !


Ma fille se délecte de merde, elle en avale de grandes quantités. Cette scène m’excite fortement, j’ai à nouveau envie de jouir et je voudrais le faire dans sa petite bouche sale et gourmande. Elle prend ma bite dès que je la lui présente et s’applique à me donner une délicieuse pipe en gorge profonde. Elle bave abondamment sur ma tige, de sa salive brune souillée, elle m’astique avec application. Cette belle petite salope sale me fait jouir, je lui envoie de bonnes giclées de foutre au fond de sa gorge.


Cumulé avec la merde, mon sperme lui donne des haut-le-cœur. Un instant après elle pousse un cri guttural et vomit le contenu infâme de son estomac. Le flot de gerbe est tellement important, qu’une partie sort par son nez. Ce vomi brun s’écoule sur tout le corps d’Océane, il se mêle à la merde qui jonchait déjà sa peau.


Adeline approche, je pense un instant qu’elle va m’engueuler, mais elle est toute excitée, elle lèche le corps couvert d’immondices de sa fille. Elle s’en délecte avidement. Décidément, j’avais bien mal jugé ma femme durant toutes ces années.


Après avoir avalé une partie des résidus de merde et de vomi sur le corps de sa fille, Adeline me jette un regard d’une lubricité évidente et déclare : « Je veux me faire éclater le cul ! »


Elle enduit sa main de vomi et de merde, tartine cette matière sur ma bite, me fait allonger sur un canapé, elle vient face à moi et conduit mon dard dans son anus avide. Je commence à peine à la baiser, lorsqu’elle crie : « Il me faut une autre bite dans le cul, je veux être écartelée ! »


Répondant à son appel, Vincent quitte Natacha et se positionne au-dessus d’Adeline. Je stoppe mes mouvements en elle, il force le passage, sa bite compresse la mienne et petit à petit sa verge coulisse dans le cul distendu de mon ex-femme qui hurle de douleur et de plaisir. Elle me crache dessus et m’insulte : « Putain que c’est bon de se prendre deux bites dans le cul ! Niques-moi plus fort ! Tu ne m’as pas assez fait jouir quand nous étions mariés, rattrapes-toi ! »


Vincent et moi la fourrons comme des fous pendant de longues minutes. Je ne me gêne pas pour lui donner quelques baffes, qui semblent la stimuler. « Putain vas-y plus fort ! Baises-moi, je suis une chienne en chaleur ! J’aime recevoir de bonnes bites dans le cul ! » Elle finit par jouir en débitant des insanités.


Lorsque nous nous retirons, son anus reste béant de longues secondes. La dimension de ce cratère est impressionnante, elle doit s’être faite sodomiser de nombreuses fois pour avoir un trou aussi béant. Les abords de son orifice sont gluants de merde, de vomi et de mouille qui suinte de sa chatte. Ce spectacle semble réjouir Océane, qui – toujours maculée d’immondices – vient lécher le pourtour de l’anus distendu de sa mère de sa belle langue rose. Quelle vision érotique…


Discrètement, je vois Natacha s’approcher, elle est partiellement couverte de merde, portant toujours ses lunettes maculées de traces infâmes, elle se branle doucement la chatte, tandis qu’elle fourre les doigts de son autre main dans sa bouche. Absorbée par l’analingus qu’elle prodigue à sa mère, Océane est toute surprise lorsqu’elle reçoit le flot de gerbe déversé par Natacha sur elle. Elle se retrouve couverte d’une épaisse matière liquide brune, à l’odeur nauséabonde. Ce vomi chaud s’accumule sur la chevelure et le corps souillés d’Océane, qui déclame son plaisir d’être ainsi salie : « Oh oui, que c’est bon de recevoir une bonne gerbe merdeuse et puante ! » Natacha se penche vers elle et donne un baiser gluant à ma fille, qui l’accepte avec un plaisir visible. Elles mêlent les miasmes ignobles qui encombrent leurs bouches ! Cette vision infecte m’apparaît d’un érotisme fou, je bande dur à nouveau.


Souhaitant pousser la perversité toujours plus loin, je passe mon membre dans les cheveux dégoulinants de gerbe et de merde d’Océane et lorsqu’il est bien souillé, j’allonge ma fille, lui fais écarter les cuisses et la pénètre frénétiquement par la chatte. Elle crie sous les coups de boutoir de mon dard tartiné de vomi merdeux. Moi, son père, je la souille au plus profond de son intimité. La perversité de notre rapport ignoble la fait jouir très rapidement. Mon sperme rejoint les déchets organiques qui polluent déjà son con.


Malgré nos orgasmes, Océane veut continuer à être baisée, elle me susurre : « Restes en moi papa. Continues à me labourer la chatte de ton chibre gluant. » Puis elle enchaîne, en élevant la voix : « Je veux aussi une autre bite qui me prenne par le cul. » Son appel est entendu par Albin. Sans quitter son antre chaude, j’enserre Océane, nous retourne, me positionnant sur le dos et elle avachie sur moi, pour qu’elle présente sa croupe à Albin.


Le grand brun, place sa queue sur la rondelle, je sens qu’il force, petit à petit l’orifice cède et sa queue pousse la mienne. Dès que nous sommes en place, nous entamons des allers retours dans les trous de ma fille, qui nous encourage : « Ouiiii, c’est bon de sentir vos grosses queues sales en moi. Baisez-moi bien fort. » Elle ponctue ses encouragements verbaux par un gros crachat qu’elle m’envoie au visage.


Malgré ma concentration pour synchroniser mon pilonnage avec celui d’Albin, je pense à pincer un téton d’Océane, qui approuve mon initiative : « Oh oui pinces-moi bien fort ! » Me lance-t-elle en m’envoyant un nouveau crachat à la face, puis une baffe. Ne voulant pas lui laisser l’initiative de la brutalité dans notre rapport, je lui rends sa gifle, faisant rougir sa joue sous le masque d’immondices.


Son sourire franc sous la gangue d’ordures, me confirme son goût pour le sexe sale et bestial ! Pour corser encore la situation, Adeline se place au-dessus d’Océane et de moi et urine sur nos visages. Son flot doré bien chaud et parfumé s’écoule sur nous, nous en buvons plusieurs lampées. Océane jouit rapidement. Son orgasme déclenche un hoquet qui se transforme en crise de rots qu’elle m’envoie directement sous le nez. Ses entrailles puent vraiment la merde, le vomi et la pisse, cela m’excite et me fait jouir en elle.


Belle comme un ange ma fille est un vrai démon dès qu’elle est excitée.


Nous poursuivons notre incroyable partouze à sept pendant une grande partie de la nuit, nous vautrant dans la merde, la pisse, la nourriture, le vomi. Jouissant sans cesse comme des bêtes incontrôlables.


Ces retrouvailles improbables avec mon ex-femme et ma nouvelle relation avec notre fille, m’ouvrent de nouvelles perspectives de vie. Je ne sais pas où cela nous mènera, mais je pense que je vais vraiment prendre du plaisir.




MA FILLE : ANGE ET DEMON

PAR FED