AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.
SOMMAIRE
PRÉAMBULE
CHAPITRE 1
CHAPITRE 2
CHAPITRE 3
CHAPITRE 4
CHAPITRE 5
CHAPITRE 6
CHAPITRE 7
CHAPITRE 8
CHAPITRE 9
CHAPITRE 10
ÉPILOGUE
Rendez-
Une vie de débauchée
PRÉAMBULE
Le début de cette histoire s’est déroulé il y a longtemps. Je venais tout juste de fêter mes 18 ans et j’étais éprise de liberté. J’avais passé une adolescence classique dans une ville de province, je terminais le lycée par l’obtention d’un Baccalauréat professionnel en vente. Il ne me semble pas que mon enfance ait été troublée par le fait que j’ai été adoptée par une famille française lorsque j’étais bébé. Certes j’ai conservé les traits de mes parents chinois, mais je me sentais totalement intégrée à ma famille.
Côté relations amoureuses, tout se passait au mieux. Mon physique, par son côté « exotique », attirait le regard de nombreux garçons. Je ne faisais d’ailleurs rien pour les détourner. Même si je ne me maquillais que très légèrement, je m’habillais de manière sexy, mais pas provocante, et jouais de mes longs cheveux sombres très lisses. J’entendais généralement avec plaisir les commentaires flatteurs de la gente masculine.
Assez jeune je fus attirée par les joies du plaisir physique. Après quelques séances d’auto-
J’ai rencontré Alexis quelques jours après mes 18 ans et j’ai rapidement été séduite par ce beau garçon blond de 2 ans mon aîné. Mon attirance pour le sexe m’a poussé à coucher avec lui très vite. Il était le candidat idéal à une première relation sérieuse. Dès nos premiers ébats, j’ai compris qu’il me désirait très fortement. Mon visage asiatique à la peau lisse, mon ventre plat, mes petits seins fermes bien dessinés aux tétons érectiles et mes jambes souples semblaient l’exciter. Je crois que mon prénom chinois, Hua, contribuait également à son désir. Je compris qu’il avait davantage d’expérience sexuelle que mes précédents partenaires, il savait faire monter mon plaisir et me maintenir ensuite longtemps dans un état proche de la jouissance, mais sans me la faire atteindre. Cette attente et cette frustration décuplaient ensuite la puissance de mon orgasme. La sodomie me questionnait beaucoup, la plupart des copines avec lesqu
elles j’en parlais trouvaient cela répugnant, mais ne l’avaient jamais expérimenté. Je décidai de juger par moi-
CHAPITRE 1
J’avais rendez-
J’entrai par le jardin qui donnait sur sa chambre. Je toquai discrètement à la porte-
Je bredouillais quelques excuses et la jeune fille s’éclipsa, nous laissant enfin seuls. Alexis m’expliqua qu’il était proche de sa sœur et qu’il arrivait qu’ils se côtoient dans la maison en petite tenue. Après tout ils étaient frère et sœur, il n’y avait aucun mal. Etant fille unique, je ne savais pas vraiment quel comportement pouvait être d’usage entre frère et sœur, je me dis que cette situation devait être tout à fait normale.
Après cet incident, nous nous caressâmes par-
J’eus alors la surprise de voir apparaître Stéphanie au travers de la porte-
Alexis changea de position. Alors qu’il m’embrassait amoureusement dans le cou je ne pus m’empêcher de souffler à mon amant que sa sœur nous observait. Je fus surprise de sa réponse : « Tu voudrais qu’elle nous rejoigne ? »
Que répondre ? Mon copain me proposait une partie à trois avec sa sœur ! Je fus gagnée par ma perversion naturelle, que je découvrais à peine. Je répondis un timide : « Pourquoi pas ».
Je regrettais déjà mes mots lorsque Stéphanie – à qui Alexis avait dû faire un signe – entra et s’installa à côté de nous, finissant de se déshabiller sans précipitation, le plus naturellement du monde, pendant qu’Alexis investissait à nouveau ma chatte ! Elle portait de longs cheveux roux qui tranchaient singulièrement sur sa peau très claire, parsemée de quelques taches de rousseur. Ses yeux bleus lui conféraient une innocence à l’opposé de son comportement vicieux ! Ses seins étaient plus généreux que les miens, ses hanches nettement plus larges que aussi.
Elle continuait à se faire du bien en triturant son bouton du plaisir, sans aucune gêne apparente. Puis elle approcha sa bouche de mon visage et plaqua ses lèvres contre les miennes. J’ouvris naturellement ma bouche et sa langue s’y enfourna. Ce fut mon premier baiser lesbien, alors qu’Alexis continuait ses vas-
Stéphanie agaçait mes seins avec ses doigts, sa langue. Elle jouait avec le piercing que je portais au nombril depuis peu. Elle me proposa ensuite de quitter la belle bite qui me donnait du plaisir pour qu’elle la remplace de sa langue habile. Intriguée par cette nouvelle expérience qui m’était proposée, j’accédai à sa demande. Que c’était bon d’être léchée par cette langue adroite et légèrement râpeuse après avoir été baisée par un beau dard ! Je ne tardais pas à jouir, libérant de gros flots de mouille qui ne semblaient absolument pas rebuter Stéphanie.
Après cet orgasme, elle délaissa ma chatte, pour se tourner vers la bite raide de son frère. Lui jetant un regard complice, elle emboucha son gland et se mit à pomper le beau chibre de mon mec ! J’étais un peu interdite devant ce spectacle, mais j’étais surtout fascinée. Quelle perversité se dégageait du spectacle que m’offraient mon petit-
Alexis s’allongea sur le lit, sa sœur devant lui, agenouillée parterre et aspirant profondément son membre dans sa gorge. Il m’invita à me mettre à califourchon sur son visage pour me prodiguer un nouveau cunnilingus, j’en éprouvais à nouveau un plaisir intense.
Il cessa son jeu de langue avant que je ne jouisse à nouveau et me demanda de m’agenouiller sur le lit, ce que je fis volontiers. Il présenta alors sa queue raide et collante de la salive de sa sœur dans la raie de mes fesses et appuya sur mon anus. Cette pénétration pris un peu de temps. Stéphanie facilita les choses en caressant ma chatte et en humidifiant mon trou avec sa salive. Alexis fut suffisamment délicat pour que son intromission se fasse sans réelle douleur. Je me laissais aller et profitais de ces instants. Quel bonheur de se sentir bien prise… Je ne sais pas pourquoi les filles se disent tellement rebutées par le sexe anal. Personnellement cette pénétration me procurait un plaisir intense, différent des rapports vaginaux, mais tout aussi apte à me faire jouir.
Dès qu’Alexis eut trouvé son rythme dans mon cul, Stéphanie s’allongea devant moi en écartant ses cuisses, elle voulait clairement que je lui retourne son cunnilingus. Malgré mon inexpérience et les pénétrations régulières dans mon fondement, je me mis à lécher – sans doute un peu maladroitement – son sexe orné d’une fine toison entretenue. Après plusieurs minutes de sodomie, Alexis accéléra le rythme et je jouis une seconde fois !
Lui, en revanche n’avait pas encore éjaculé. Alors que je m’effondrais après l’orgasme dévastateur, il planta sa bite trempée de mon jus dans la chatte de Stéphanie que je venais de préparer. Je matais mon mec en train de baiser sa propre sœur, quel spectacle immoral et délicieux ! Même si je ne participais pas directement, la vue d’une telle scène me faisait mouiller. Mes doigts glissaient naturellement dans ma fente d’amour.
Il la pénétrait très fort et elle ne fut pas longue à venir, en poussant des cris de folle. Alexis sorti de son sexe trempé et d’instinct je m’approchais de sa verge pour la prendre en bouche. Excité comme un fou, il juta sur mon visage. Je n’étais pas encore bien habituée à recueillir du sperme avec ma bouche, mais cela ne me rebutait pas du tout. Stéphanie non plus ne semblait pas dégoûtée par le foutre, elle vint me rouler une pelle bien collante… Alexis nous félicita et nous dit qu’il recommencerait dès qu’on voudrait… J’échangeai un regard complice et lubrique avec Stéphanie, pour lui signifier que ce moment était bien proche…
Après cet après-
Après une soirée occupée à préparer l’entretien qui avait lieu le lendemain matin, j’allais me coucher. Je commençais seulement à réaliser l’immoralité de la scène à laquelle j’avais participé. Le premier partenaire de ma vie avec lequel j’envisageais une relation sérieuse niquait sa sœur sans aucune gêne et me demandait de participer ! Une partie de moi me disait de le plaquer sans délai. Mais j’avais accepté de coucher avec eux, personne ne m’avait forcé. Et puis, quel plaisir j’avais ressenti lorsqu’il me prenait pendant que je prodiguais mon premier cunnilingus. Que la sensation de la langue de Stéphanie sur ma chatte avait été forte ! J’avais beau tenter de me raisonner, je savais déjà qu’Alexis avait mis au jour mon instinct profond, celui d’une salope perverse. Dès que j’arrivais à cette conclusion, je me sentis mieux, je devais assumer ma nature et profiter de l’opportunité que m’offrait mon petit-
ès belle sœur. Je me dis que j’avais une chance incroyable d’avoir rencontré un garçon et une fille aussi attirants et qui pourraient me permettre d’explorer le côté pervers de ma sexualité naissante.
Je repensais à la scène et naturellement ma main glissait dans ma culotte déjà trempée. Je me donnais du plaisir avant de m’endormir.
CHAPITRE 2
Le lendemain de cette première aventure, après avoir consacré la matinée à mon entretien, je retournai chez Alexis, espérant connaître de nouveaux plaisirs. Comme la veille je passai par le jardin, mais j’y trouvai porte close. Je sonnai donc à la porte principale et j’eus la surprise de voir ouvrir une femme blonde aux cheveux coupés au carré, âgée d’une petite quarantaine, portant une robe ajustée et largement décolletée, avec des chaussures à talons hauts. Elle m’invita à entrer avec un grand sourire et me fit la bise, en se présentant : « Je suis Annie, la mère d’Alexis et de Stéphanie. Tu dois être Hua. Sois la bienvenue à la maison ».
Je vis qu’elle me détaillait. Elle appela Alexis, qui arriva rapidement. Après quelques banalités échangées, nous filâmes dans sa chambre.
Je n’aperçus pas Stéphanie, je le regrettai. Dans ma tête j’avais déjà échafaudé un nouveau plan à trois et j’étais un peu déçue. Au risque de passer pour une dévergondée, je demandais à Alexis : « Stéphanie n’est pas là cet après-
En tenant ces propos, je tentais d’afficher un rictus coquin pour chauffer mon amant. Il me répondit : « Non, elle est prise aujourd’hui, on ne la verra pas. T’es déçue ?
-
Je savais que ce comportement provocateur me faisait passer pour une fille très chaude, mais j’étais certaine que cela excitait Alexis, et ces mots qui sortaient de ma bouche déclenchèrent un frisson en moi.
Alexis vint se coller à moi, palpa mon corps au travers de ma légère robe estivale. Excités par la situation mes tétons dardèrent immédiatement à m’en faire mal. Je sentais ma chatte s’humidifier et mon jus couler dans ma culotte.
Alexis passa une main sous ma robe et pu constater mon excitation. Ses doigts frottèrent mon entre-
Ce jeu dura longtemps. Je montais plusieurs fois au bord de la jouissance, sans l’atteindre. Alors que j’étais excitée comme une folle, Alexis libéra son sexe de son pantalon et j’entrepris de le masturber. Ma bouche rejoint rapidement ma main. Je suçais la belle bite du mieux que je pouvais, en regrettant de ne pas parvenir à en prendre plus en bouche, comme Stéphanie savait le faire. J’étais un peu frustrée, mais tentais de compenser mon manque d’habileté par une intense salivation et quelques propos salaces destinés à exciter Alexis : « Elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! J’ai hâte que tu la fourres dans ma chatte trempée et mon petit cul serré ! »
Ma stratégie fonctionnait. Le membre était dur comme du fer et il ne tarda pas à m’allonger sur le lit, jambes écartées pour pénétrer mon vagin ruisselant. Il me pistonna un bon moment en titillant mes seins et en me roulant des pelles baveuses où nous langues s’emmêlaient.
Cette fois encore il ne me laissa pas atteindre le plaisir…Alors que j’étais au bord de la jouissance, il se retira d’un coup et me fit mettre à genoux sur le lit. Il plaça son engin à l’entrée de mon anus et m’encula. Sa bite entra d’un mouvement lent mais continu dans mon cul, elle resta au fond quelques instants, puis il entreprit de lents mouvements pour habituer mon trou à son intromission et petit à petit il accéléra la cadence pour me défoncer le fion.
Enfin il me pistonnait à fond et je pus prendre le plaisir dont j’avais besoin. Outre sa bite vigoureuse, mes doigts parachevèrent mon orgasme. Il changea de trou pour éjaculer dans mon sexe trempé. Je sentis les flots de sperme m’inonder, c’était chaud et délicieux !
Je m’écroulai sur le lit, Alexis allongé sur mon dos. Il resta longtemps fiché en moi. Me prodiguant de douces caresses et me donnant de petits baisers. Il se retira enfin et me dit qu’il devait satisfaire un besoin naturel. Je restais donc seule dans la chambre, un peu perdue dans mes pensées.
Quelques instants après son départ la porte de la chambre se rouvrit, je pensais voir mon amant revenir, mais j’eus la surprise de découvrir sa mère dans l’entrebâillement de la porte ! Elle entra et referma derrière elle. Je me cachai comme je pus sous la couette. Elle me lança : « Mon fils m’a dit qu’il avait déposé quelque chose pour moi dans sa chambre. »
Elle me toisait, perchée sur ses chaussures à talons hauts, dans sa robe moulante.
Je balbutiai : « Je ne sais pas, je ne suis pas au courant.
-
Elle s’approcha du lit et tira d’un coup sec la couette, découvrant mon corps nu, que je tentais maladroitement de dissimuler avec mes bras.
Sa voix se fit soudain plus langoureuse. Elle murmura en approchant sa main de ma chatte que je tentais toujours de masquer : « Mais si, je suis sûre qu’Alexis a laissé du sperme bien chaud pour sa maman. Il doit être juste là… »
Ses paroles me firent un curieux effet. Je sentais que l’intrusion de la mère d’Alexis était un plan – diabolique – pour que je me vautre encore un peu dans le vice, avec cette belle femme mûre… Cette idée m’intimida un peu, mais fit naître une vraie excitation en moi. Annie porta sa main jusque sur mon pubis que je découvrais à présent. Elle glissa un doigt dans ma fente et ce qu’elle sentit sembla lui plaire : « C’est tout humide par ici, bien chaud. C’est là qu’Alexis a dû laisser son foutre pour moi. Il sait que j’en raffole ! »
Toujours un peu intimidée par ma belle-
Alors qu’elle enfonçait sa langue de plus en plus profondément en moi, elle déclara : « Voilà, il est là le bon foutre de mon fils ! Il y en a plein, tu l’as bien fais juter, cochonne ! Petite salope tu voulais tout garder pour toi ! »
Elle replongea dans mon intimité, en me procurant de divines sensations. Je ne pus me retenir de plaquer mes mains sur sa tête pour qu’elle lèche encore plus avidement ma chatte. Que c’était bon !
En rencontrant Alexis je ne me doutais pas que j’étais tombée sur une telle famille de pervers, quel bonheur ! Ils m’aidaient à explorer mes côtés les plus vicieux, qui surgissaient et mettaient à mal ma raison.
Je n’entendis pas Alexis revenir dans la pièce, toute au plaisir que sa mère de donnait. Il était nu, la bite au garde-
Obéissant à sa maman, Alexis l’enfila sans préliminaire, tandis qu’Annie reprenait son traitement sur mon con. Comme son fils, elle savait faire monter mon plaisir sans me faire atteindre l’orgasme, me laisser en haleine, retomber légèrement, avant de reprendre ses mouvements, toujours plus excitants. D’une main ferme je maintenais la tête d’Annie contre ma chatte, tandis que de l’autre je triturais vigoureusement mes petits seins, en pinçant mes tétons durs et douloureux.
Elle finit par libérer ma jouissance, après de longues minutes, pendant lesquelles elle était elle-
Après avoir fait jouir Annie, Alexis se retira. Sa mère se tourna face à son sexe, le prit en bouche avidement, avalant sans difficulté la totalité du membre. Ses mains empoignèrent les hanches d’Alexis et elle activa sa tête à un rythme très soutenu en gobant toute la longueur du membre vigoureux. Puis, elle me fit signe d’approcher pour que j’embouche à mon tour la pine dure. Malheureusement, je ne parvins pas à avaler plus du tiers de la tige de chaire qui déformait déjà ma bouche.
Annie prit alors un ton d’enseignante patiente pour m’expliquer comment ingurgiter une grosse bite : « Il faut que tu fasses passer le membre sur ta langue, tires-
Je manquai de m’étouffer aux premières tentatives, mais petit à petit je parvins à faire coulisser une longueur toujours plus importante du chibre dans ma gorge. Alexis était très patient avec moi. Il souhaitait que j’apprenne à lui tailler de bonnes pipes en gorge profonde à l’avenir.
Au bout de cinq ou six tentatives je suis parvins à prendre la totalité du braquemart dans ma gorge. J’avais du mal à respirer, mais j’étais très fière de moi. Je sentais que je devenais une bonne salope, prête à tout pour satisfaire son amant et cela humidifiait ma chatte d’excitation.
L’image que je renvoyais à Alexis, celle d’une petite asiatique menue dont la gorge était encombrée par son gros membre, dû l’exciter au plus haut point, car il déversa en moi de longues rasades de foutre. J’en avalais une partie, puis je fus prise d’une quinte de toux que j’eue du mal à maîtriser. Du sperme jaillit alors de ma bouche et inonda le bas-
Le spectacle de sa copine et sa mère se gouinant en partageant son sperme redonna une vigoureuse érection à Alexis. Il me lança : « J’ai envie de te prendre par le cul ! Pendant ce temps tu vas donner du plaisir à ma salope de mère. »
Même s’il baisait sa mère sans vergogne je fus choquée du ton et des mots crus qu’il osait employer pour parler d’elle, en sa présence. Mais elle souriait, les insultes faisaient partie du jeu et de l’excitation.
Je m’agenouillai et écartai mes fesses de mes mains pour faciliter sa pénétration. Il intégra cette fois-
Alexis ne mollissait pas dans mon derrière, il nous incitait à nous gouiner : « Oui c’est bon les filles ! Hua, bouffes la chatte de maman, fais la jouir, elle ne vit que pour ça cette grosse salope ! »
Elle jouit avant moi et sa chatte libéra encore plus de cyprine, mon visage était trempé, elle exhalait de divines odeurs de femelle en chaleur. Sa jouissance provoqua la mienne. Mon anus se contracta autour de la queue d’Alexis qui s’immobilisa en moi quelques secondes. Je criai mon plaisir : « Putain que c’est bon ! Une bonne grosse bite dans le cul et une chatte trempée sous ma langue, c’est tout ce que j’aime ! »
Alexis bandait encore comme un âne. Dès que mes sphincters se relâchèrent un peu, il sortit de mon fondement et il nous fit intervertir nos positions. Je m’allongeai sur le dos, jambes écartées, pendant que sa mère s’agenouillait prête à recevoir la bite de son fils au plus profond de son cul de mère incestueuse ! Il prit encore moins de précaution qu’avec moi et fourra immédiatement son chibre au tréfonds du cul maternel. Annie entreprit immédiatement un divin cunnilingus de sa langue experte, malgré les secousses provoquées par les mouvements violents de son fils.
Annie me tenait au bord de l’orgasme sans me le faire atteindre. Elle finit par me libérer lorsqu’elle-
Alexis se retira et me tendit sa bite pour que je la prenne en bouche comme je venais de l’apprendre. Je m’appliquai et pris du plaisir à introduire profondément dans ma gorge son membre tout juste sorti du cul de sa mère ! Cette dernière me rejoint pour sucer son fils, qui éjacula à nouveau. Nous reprîmes notre jeu de langue autour de son sperme gluant, l’avalant à petites gorgées après qu’il soit passé plusieurs fois dans chacune de nos bouches.
Quelle salope je faisais ! Je me laissai aller au plaisir, consciente du côté répugnant de mes actes, mais totalement soumise à mes vices et mes plaisirs, que me faisaient découvrir Alexis et sa salope de mère.
L’après-
Après avoir finalisé l’organisation de mon déplacement, je me couchai et mon esprit fut immédiatement tourné vers ce que j’avais fait cet après-
CHAPITRE 3
Mon entretien fut bref et je ne me fis pas d’illusion quant aux chances d’être embauchée. Prendre ce travail m’aurait éloigné d’Alexis et de sa famille, ce que je ne souhaitais alors absolument pas. Mon moral restait donc très bon, j’avais hâte de rentrer.
En revenant chez moi, j’avais un message de Stéphanie que ma mère avait pris (à l’époque les téléphones portables n’étaient pas aussi répandus et mes communications passaient forcément par le téléphone fixe de mes parents). Stéphanie s’était présentée comme une copine d’école qui me donnait rendez-
Ma nuit fut très agitée, troublée par l’excitation de la nouvelle rencontre que j’allais avoir avec Stéphanie. J’expédiais le déjeuner avec mes parents et sortis dès 13h en disant que j’avais un rendez-
Je retrouvais Stéphanie au lieu du rendez-
La salle se vida enfin et lorsqu’elle eut rangé le plus gros, elle vint s’assoir à côté de moi. Elle m’adressa un grand sourire et déposa un doux baiser sur mes lèvres, qui suffit à m’exciter. Elle me dit qu’elle pensait que sa patronne cherchait peut-
Un peu déçue, je sortis avec Stéphanie. Sur le trottoir en face du restaurant, un grand garçon attendait. Il nous adressa un sourire et s’approcha. Stéphanie alla à sa rencontre et ils s’embrassèrent longuement, d’un baiser passionné. Elle fit ensuite les présentations : « Valentin, voici Hua, la petite amie de mon frère. Hua, voici Valentin, mon amoureux. »
Il me fit la bise. Valentin était un beau garçon auquel j’aurai donné 25 ans. Grand, plutôt mince, à la peau noire foncée. L’espace d’un instant que je me serais bien vu en sa compagnie pour une séance de plaisir… Je n’avais jamais couché avec un noir et la vue de ce bel homme, m’émoustilla. Stéphanie reprit la parole et me sortit de mes pensées : « Valentin doit reprendre le boulot, il était juste passé me faire un coucou. Je rentre chez moi, si ça te dit tu peux venir, mais je ne sais pas si Alexis sera là. »
Je décidais d’accompagner Stéphanie.
A notre arrivée dans le jardin, Stéphanie me prit la main et m’attira près d’elle. Je sentais le doux parfum de ses cheveux. Sa main libre caressa mon bras et elle approcha ses lèvres des miennes. Nos langues se cherchèrent et jouèrent ensemble longuement dans nos bouches. Ce baiser m’excitait, je sentais mon sexe s’humidifier et mes tétons durcirent et pointer fièrement directement sous ma fine robe d’été puisque je ne portais pas de soutien-
Ses baisers quittèrent ma bouche pour venir titiller mon cou. Ses mains empoignèrent mes seins, jouant avec mes tétons. Un instant je me demandais si elle allait me déshabiller là, dans le jardin sous les fenêtres de ses voisins. Bien que cela me paraissait complètement fou, je suis sûre que je n’aurais pas protesté, elle aurait pu me baiser devant tout le quartier, que je l’aurais laissé faire ! D’ailleurs, j’acceptais qu’elle glisse une main sous ma robe, saisisse ma culotte et la fasse glisser jusqu’à mes genoux. A ce moment-
Je la suivis vers la porte-
Lorsque nous entrâmes dans la maison, nous fûmes accueillies par de grands soupirs et des cris de femme dont l’origine ne laissait planer aucun doute : un couple était en pleine action ! Déjà surprise par ces bruits, je le fus encore bien davantage lorsque je vis Alexis debout, face à nous devant la table de la salle à manger, nu, en train de baiser sa mère allongée, qui clamait son plaisir. Encore plus fort, sous elle un autre homme était également allongé sur le dos et semblait lui aussi besogner Annie ! La mère et le fils nous regardèrent, débraillées et excitées par nos préliminaires, surprises de les voir en pleine fornication. Ils cessèrent un instant, ce qui fit tendre le cou à l’homme couché sous Annie. Je mis quelques instants à comprendre qu’il s’agissait du père d’Alexis et de Stéphanie, le mari d’Annie. Cette salope était en train de baiser avec son mari et son fils en même temps !
Déjà excitée par mon désir pour Stéphanie, ma chatte coula à grands flots lorsque je compris l’incroyable perversité de la situation. Annie se faisait baiser la chatte par son fils et en même temps enculer par son mari, tandis que sa fille se gouinait avec la copine de son fils ! Quelle folie ! Même si j’avais conscience de la perversité de ce moment, je ne songeais pas un instant à quitter les lieux. Stéphanie nous jeta à tous un regard de braise, démontrant combien cette scène totalement folle l’excitait.
Son père et son frère reprirent leur labeur dans les orifices d’Annie qui gémit à nouveau. Le père, nous regarda et déclara : « Venez, Alexis et moi on va s’occuper de vous comme vous le méritez, petites salopes ! »
Comment un père pouvait-
Stéphanie délaissa assez vite les nichons de sa mère, qui criait son plaisir sous les coups de boutoirs conjugués des deux queues, pour m’attirer vers le canapé situé à proximité de la table de la salle à manger. Presque comme si nous étions seules dans la pièce, nous reprîmes nos jeux sensuels, en nous embrassant et en caressant nos parties intimes, tout cela sous le regard du trio infernal qui baisait à quelques mètres de nous ! Nous nous dévêtîmes rapidement pour mieux profiter de nos corps respectifs. Stéphanie était vraiment belle, une taille fine, de beaux gros seins, des fesses rebondies, elle m’excitait follement.
Nous nous installâmes en 69, moi allongée sur le dos levant ma nuque pour lécher vivement la chatte aux courts poils roux et humides qui me surplombait ; elle me rendant la pareille en s’activant dans mon entrecuisse. J’oubliai presque que je couchais avec la sœur de mon copain, à quelques mètres de ce dernier en train de fourrer le vagin de sa mère qui se faisait en même temps enculer par son mari ! Toutefois, les cris du trio me rappelaient régulièrement leur présence. Que c’était bon et excitant de baiser avec une belle minette tout en étant mâtée par un groupe de baiseurs endiablé !
Je m’appliquai à donner du plaisir à Stéphanie, qui me le rendait bien. Je fourrais ma langue aussi loin que je pouvais dans sa chatte trempée de plaisir, léchant l’intérieur de ses lèvres intimes jusque sur son clitoris gonflé. Ne maîtrisant pas encore totalement la jouissance de ma partenaire, je ne sus contrôler son plaisir et elle partit d’un orgasme dévastateur sous mes coups de langue. Je la suivis de près dans le plaisir.
Sans que je ne m’en rende bien compte, Annie avait dû jouir également. Toujours doublement pénétrée, elle semblait presque inerte, allongée sur son mari. Les deux hommes quittèrent ses orifices distendus, sans qu’ils n’aient joui. Le trio se désassembla, je pus pour la première fois voir entièrement le père d’Alexis, un homme sans doute proche de la cinquantaine, très brun, grand, musclé et doté d’une superbe verge en érection ! Ce n’est pas commun de faire la connaissance de son beau-
Je vis passer une lueur d’excitation et de fierté dans le regard de mon beau-
Sur ces propos il m’embrassa sur la bouche, sa langue força le passage de mes lèvres, il me roula une pelle endiablée ! La surprise passée je me fis fort de lui rendre son baiser fougueux, toute émoustillée à l’idée d’être embrassée par un homme de son âge.
Les deux mâles regardaient leurs femelles, nues, en chaleur, la chatte humide, prêtes à baiser avec eux… Stéphanie s’approcha de son frère et pris sa queue en main pour la masturber. Rapidement son père s’approcha d’elle. Elle s’agenouilla entre les deux hommes et les suça à tour de rôle, enfonçant profondément les bites dans sa gorge accueillante.
A peine remise de sa double pénétration, Annie vint se coller à moi. Elle m’embrassa et pelota mes seins et mes fesses exposés. Je lui rendis ses caresses et ses baisers. Nous nous affalâmes sur le canapé alors que nos mains fourrageaient nos chattes trempées. Je perdis un peu de vue le nouveau trio qui baisait près de nous. Toutefois, je pus constater que comme sa mère avant elle, Stéphanie goûta à une double pénétration énergique, il me sembla que son père enfilait sa chatte tandis que son frère l’enculait !
Annie léchait ma cramouille en experte, faisant monter mon plaisir sans me faire atteindre la jouissance dont j’avais besoin. Je voulais qu’elle me libère, je plaquais mes mains sur sa tête la forçant à bouffer mon minou, je me permis même d’insulter ma belle-
Mais elle parvenait à retenir ses coups de langue, me maintenant au bord de l’extase, sans me faire franchir le cap.
Ce jeu dura un temps, puis elle inversa nos positions pour que je lèche sa chatte qui venait d’être défoncée par la queue de son fils. Je me retrouvai coincée entre ses cuisses chaudes, la bouche collée à son sexe dégoulinant que je lapais, provoquant ses gémissements. Je ne voyais pas Stéphanie se faire baiser, mais j’entendais les râles de plaisir poussés par le trio de baiseurs en pleine action à quelques centimètres de moi.
Malgré les grands coups de bite qui avaient ravagé ses trous quelques minutes plutôt, ma langue encore novice parvint à procurer un orgasme à Annie qui se contracta d’un coup, plaqua ma tête contre son sexe et gueula sa jouissance en libérant des flots de cyprine que je m’efforçai d’avaler. Je me mis ensuite face à elle pour lui rouler une pelle rendue gluante par ses jus. Cette relation saphique me procurait de délicieuses sensations.
Alors que Stéphanie prenait un plaisir visible à la double pénétration incestueuse qu’elle recevait, elle jouit en poussant de grands cris, qui aidèrent sans doute ses amants à jouir également. Ils donnèrent encore quelques coups de queue saccadés dans ses trous et vidèrent leurs couilles en feu dans ses entrailles. Ils se retirèrent et s’approchèrent d’Annie et moi. Alexis tendit sa bite encore dure à sa maman qui la prit immédiatement en bouche, tandis que Reynald me présenta la sienne. Je me mis à sucer –comme Annie me l’avait appris – le gros sexe de mon beau-
Puis il poursuivit à l’attente de sa femme et de ses enfants : « Regardez comme elle prend bien ma bite tout au fond cette garce ! »
Lâchant une seconde le gros sexe, je répondis : « C’est grâce à votre femme qui m’a montré comment faire sur la bite de votre fils. »
Il enfourna à nouveau son dard dans ma bouche et félicita sa femme, qui suçait toujours leur fils.
Après quelques minutes de ces jeux buccaux, Stéphanie vint se coller à sa mère agenouillée devant Alexis. Elle se penchait et frottait l’entrecuisse maternel. A ce moment Reynald quitta ma gorge et proposa à son fils : « Bon, maintenant que les bouches nous ont redonné de la vigueur, on va pouvoir niquer à nouveau. »
Il fit signe à Alexis qui s’allongea sur la table de la salle à manger et Reynald m’invita à m’allonger sur mon copain, de dos, mes fesses plaquées contre sa grosse queue bien dure. Il prit un peu de lubrifiant et frotta mon entrecuisse, insistant particulièrement sur mon anus. Je compris qu’il voulait qu’Alexis me sodomise pendant qu’il baiserait ma chatte. J’allais être doublement pénétrée à mon tour par mon copain et son père ! J’eus une petite crainte, mais les ayant vus faire avec Annie et Stéphanie j’étais surtout très excitée d’autant que la vue de ces deux belles bites qui ne m’avaient pas encore prise rendait ma chatte moite d’excitation.
Alexis s’enfonça prudemment dans mon cul. Lorsqu’il fut bien fiché en moi, son père approcha sa bite à l’entrée de mon vagin et poussa régulièrement, rejoignant son fils en moi. Quel délicieux plaisir d’être ainsi fourrée par les deux trous en même temps ! Je me sentais remplie comme jamais, embrochée par deux beaux dards virils et puissants qui se mirent en mouvement pour me porter au septième ciel en quelques minutes. Après cet orgasme, je me détendis et profitai des coups de boutoirs portés en rythme coordonné en moi. J’entendis Annie et Stéphanie gémirent, elles devaient se gouiner sur le canapé, je suis sûre que la mère tentait de récupérer le sperme de son mari et de son fils, enfoui dans les trous de sa fille !
Les hommes poursuivirent longuement leur travail en moi. Jusqu’à ce qu’ils m’offrent une nouvelle jouissance. Peu après ils éjaculèrent dans mes trous.
Annie vint un peu après laper le foutre qui occupait mes orifices. Elle était vraiment gourmande de sperme !
Nous étions tous repus de sexe et Reynald nous invita à prendre un apéritif. Nous restâmes nus dans le salon en bavardant un peu comme une famille normale. C’était assez étrange.
Ce fut encore plus bizarre quand Valentin, le copain de Stéphanie passa la tête par la porte-
Après l’apéritif, nous profitâmes de la venue de Valentin pour reprendre notre partie de baise. Décidément les mecs étaient très endurants. Quant à moi, si je croyais être repue quelques minutes plus tôt, je sentis rapidement l’excitation reprendre le dessus lorsque je découvris la belle bite de Valentin. Je n’avais encore jamais eu l’occasion de voir une queue noire, la sienne était très appétissante. Pas forcément plus grosse que celle d’Alexis ou de son père, mais bien veinée et très douce. J’eus l’occasion de la sucer, puis de me faire prendre par tous les trous par ce beau chibre qui me provoqua plus d’un orgasme.
Nous continuâmes à baiser tous les six pendant longtemps et je ne quittai cette maison des vices que tard dans la soirée. J’aurai aimé rester cette nuit-
CHAPITRE 4
Pendant les semaines suivantes je passais beaucoup de temps avec Alexis et sa famille et de moins en moins à essayer de trouver un emploi. Je sortais souvent de chez mes parents en prétextant que j’avais une piste de boulot, alors que je me rendais chez Alexis.
Je participais à de multiples orgies, je baisais sans me poser de questions sur la moralité de mes actes, je jouissais comme une folle sans me préoccuper du lendemain. J’arrivais généralement en début d’après-
Une fois, je dus partir pour trois jours de chez moi pour des entretiens situés dans des villes éloignées. J’étais à la fois contente de voir que mes recherches d’emploi avaient quelques résultats, mais je me sentais un peu déprimée à l’idée de passer trois jours sans pouvoir baiser. La veille de mon départ, je décidai de me rendre plus tôt chez Alexis.
Comme d’habitude, je toquai à la porte-
En passant à proximité de la salle de bain notre attention fut détournée par des bruits suspects. Emoustillés par la pipe que je venais de prodiguer, nous nous approchâmes discrètement de la pièce d’eau, nous attendant à voir les parents d’Alexis en train de baiser, ou peut-
Effectivement Annie et Reynald occupaient la pièce en se donnant du plaisir, mais d’une manière bien spéciale. Annie était allongée par terre et Reynald accroupi au-
Nous regardions cette scène, assez médusés de voir les parents d’Alexis jouer avec leur merde. Je savais que ces gens étaient pervers et baisaient en famille, mais je n’avais pas imaginé qu’ils pouvaient faire des trucs aussi dégueulasses. Apparemment Alexis ignorait également leurs penchants pour le scato.
Nous restâmes à notre place sans faire de bruit pendant plusieurs minutes à mâter Annie et Reynald. Ce dernier s’était retourné, il regardait sa femme allongée sur le dos, partiellement couverte de sa merde, qu’elle étalait sur ses nichons, son ventre et petit à petit sa chatte, puis son visage, elle poussait des gémissements de plaisir. Reynald bandait comme un âne à regarder son épouse se vautrer ainsi dans les immondices. Lorsqu’elle fut largement couverte d’excréments, Reynald vint se coller à Annie. Il s’allongea et l’embrassa à pleine bouche, sur ses lèvres couvertes de caca ! Leur baiser était passionné, on voyait qu’ils aimaient sentir la merde dans leur bouche ! Puis il orienta sa queue partiellement bandée vers son épouse et se mit à lui pisser sur le corps ! Il l’aspergea des jambes au visage. Lorsque la source se tarit, il lui donna un nouveau baiser passionné.
L’odeur qui envahissait la salle de bain devint difficilement supportable, nous décidâmes de quitter discrètement la pièce et de regagner la chambre d’Alexis, après être passés aux toilettes.
Nous n’avons pas reparlé de ce que nous venions de voir. Nous avons fait l’amour, j’ai pris beaucoup de plaisir, mais j’étais troublée par le souvenir des pratiques immondes auxquelles nous venions d’assister.
Plus tard nous avons retrouvé les parents d’Alexis, ainsi que Stéphanie. Nous nous sommes à peine salué et avons commencé à baiser tous ensemble, sans faire allusion aux pratiques sales que nous avions surprises le matin même. Valentin nous a rejoints en début de soirée pour une nouvelle partie à six des plus délurée.
Comme à mon habitude, je regagnai le domicile de mes parents dans la soirée, heureuse du plaisir pris pendant cet après-
ueur jusqu’à l’orgasme.
Comme prévu je partis pour passer mes entretiens. Là encore les résultats ne furent pas fameux. Inconsciemment je manquais probablement de motivation pour décrocher un emploi qui m’aurait éloigné d’Alexis et de sa famille.
Sans que je ne me l’avoue réellement, je décidai de négliger ma toilette intime pendant ce voyage, je passai donc trois jours avec la même culotte. Lorsque je revins chez mes parents, ma culotte collait à mon entrejambe qui devenait poisseux. A peine couchée, je la retirai et portai ce morceau de tissu imprégné à mon nez. Je respirai de toutes mes forces mes odeurs intimes démultipliées par la très longue durée pendant laquelle j’avais porté mon sous-
Je renfilai ma culotte sale le lendemain. J’étais très impatiente de retrouver Alexis, j’avais un peu peur de sa réaction lorsqu’il s’apercevrait que je portais une culotte sale, mais je ne pouvais pas me résoudre à la changer, son odeur était trop excitante.
Je me rendis, en début d’après-
J’étais inquiète, mais très excitée à l’idée qu’il découvre ma culotte et ma chatte sales. Je voulais qu’il lape mes jus poisseux. Je m’allongeai sur son lit en quittant ma jupe et mon chemisier et l’invitai à me faire du bien avec sa langue. Il ne se fit pas prier. Lorsqu’il posa la bouche sur ma chatte il s’exclama : « Putain, tu sens vraiment la femelle en chaleur ! Ta chatte est super bonne ! »
Il replongea dans ma fente moite pour m’offrir un cunnilingus mémorable. Que c’était bon de sentir la langue de mon amoureux fourrager ma chatte trempée et sale. Les sensations de plaisir physique s’alliaient avec le plaisir cérébral de commettre un acte immoral et dégradant pour mon amant !
La langue d’Alexis me fit jouir rapidement. Je remplis sa bouche d’abondantes sécrétions intimes, qu’il avala sans rechigner. Nous nous embrassâmes ensuite langoureusement, je goûtai ainsi à mes jus corporels et m’en délectai. C’était un peu salé, musqué, entêtant.
Après ces préliminaires brûlants, je pris en bouche la queue raide d’Alexis. Je l’enfonçai immédiatement au fond de ma gorge en la prenant entièrement, comme sa mère me l’avait enseigné. Je remarquai vite son goût particulièrement corsé, presque poivré. Tout comme moi Alexis avait dû rester sale en mon absence ! Même si la force du goût me surprit, je m’y habituai rapidement et le plaisir de transgresser les règles élémentaires de l’hygiène m’excitait follement. Je suçai avec passion ce membre chéri, souillé de plusieurs jours sans gant de toilette ! Je déclarai : « Hum, elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! » En regardant mon amoureux dans les yeux et avec un grand sourire.
Après cette bonne pipe, Alexis pénétra ma chatte trempée. Depuis trois jours j’attendais impatiente ce moment incomparable : sentir un dard tendu et veiné s’enfoncer dans mon sexe gourmand et le pilonner pour me donner du plaisir !
Je prenais vraiment mon pied, mais je faisais également attention à ce qu’Alexis ne jouisse pas trop vite. Je voulais qu’il ait l’énergie nécessaire pour m’enculer ensuite. Aussi, je rompis assez vite notre rapport et m’agenouillai sur le lit, tendant mes fesses vers sa queue dure, l’invitant dans mon cul !
Il entra sa bite dans mon anus en faisant de lentes poussées. Il accéléra progressivement le rythme et me ramona le fion avec vigueur enfonçant sa queue entièrement dans mon rectum accueillant. Contrairement aux autres séances de sodomie que j’avais déjà pratiquées, je n’avais pas pris la peine de vider mes intestins avant. Aussi, mon anus était encombré de merde bien collante. Au début Alexis ne s’aperçut de rien, mais au fur et à mesure de ses pénétrations une odeur de merde de plus en plus prononcée envahit la pièce. Je la sentis, mais ne dis rien, continuant de gémir sous les coups de boutoirs dans mon derrière. Alexis non plus ne disait rien, mais il ne pouvait pas ne pas avoir remarqué l’odeur. Aussi, je pris son silence pour une acceptation de ma saleté intime. Il me défonça le cul jusqu’à sa jouissance. Je sentis à peine ses giclées de foutre dans mon boyau graissé de merde.
Lorsqu’il se retira, sa bite était couverte de ma merde puante, une goutte de sperme perlait au bout. Excitée par la situation perverse que j’avais provoquée, je n’eus pas une hésitation, j’empalai ma bouche sur ce vît dégueulasse et nettoyai la bite couverte d’immondices. Je goûtai ainsi pour la première fois de ma vie à de la merde, celle qui sortait tout juste de mon cul. C’était tiède et très amer. Je pense que sans l’excitation de la situation j’aurais été dégoutée et aurais immédiatement recraché. Mais j’étais tellement chauffée à ce moment-
Alexis me regarda faire et ne rechigna absolument pas lorsqu’une fois son membre nettoyé de mes excréments, je vins l’embrasser à pleine bouche. Il gouta ainsi ma merde et déclara : « Tu es vraiment une grosse cochonne ! J’ai de la chance d’avoir trouvé une copine aussi chaude, aussi perverse et aussi mignonne que toi. »
Je sus que je venais de franchir un nouveau palier dans la perversion. En quelque sorte ma vie bascula en même temps que je jouai avec ma merde.
CHAPITRE 5
Après cette expérience de sexe sale je voulus provoquer rapidement l’occasion de la reproduire avec Annie et Reynald. Dès le surlendemain, j’arrivai chez eux sans avoir fait de toilette au préalable, espérant que mon manque d’hygiène intime serait prétexte à de nouvelles perversions !
Alexis n’étant pas dans sa chambre, je sonnais à la porte principale. C’est Reynald qui m’accueillit par un baiser passionné et m’invita à entrer en me disant qu’il allait appeler Alexis. Je lui dis que je devais au préalable passer par la salle de bain et m’y dirigeai directement.
Arrivée dans cette très vaste salle d’eau, j’eus la surprise de voir Annie à califourchon au-
Excitée par l’idée de surprendre ma belle-
Dès que je vins près de la baignoire je vis plusieurs étrons joncher le fond, baignant dans un liquide doré qui laissait peu de doute sur sa nature. L’odeur était très forte. Annie m’embrassa presque timidement et me dit, elle habituellement si sûre d’elle, presqu’un ton d’excuse : « Je ne sais pas ce qui m’est arrivé, je n’ai pas fait exprès…
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A ce moment elle comprit que j’étais excitée de la trouver en train de jouer avec sa merde.
Elle me sourit et me rendit un baiser plus prononcé. Nous commençâmes à nous caresser. Je titillais ses nichons, pendant qu’elle défaisait les attaches de ma robe, me laissant en string. La baignoire était très grande, elle comprenait notamment un jacuzzi. Annie m’invita à y entrer et m’aida à m’allonger, tout en restant relativement loin des crottes qu’elle venait de pondre. Elle ôta mon string, fourra son visage entre mes cuisses et entreprit de lécher ma moule, qui n’était très propre. Elle sembla s’en délecter et m’affirma : « Oui, ta chatte est bonne petite salope. »
Elle vint m’embrasser à nouveau pour que je goûte à ma moule. Notre baiser fut profond et baveux… Elle s’allongea ensuite à côté de moi et m’invita à venir goûter à son intimité.
Je portai ma langue sur sa fente, très excitée à l’idée de lécher un entrejambe souillé. Le goût était très salé, à cause des restes d’urine qui s’y trouvaient. Je goûtai pour la première fois à de la pisse et l’excitation me poussai à aimer cette saveur bien particulière. Après avoir nettoyé de ma langue sa vulve sale et donné un plaisir visible à Annie, je portai plus loin ma bouche pour atteindre son anus maculé de merde grasse.
Excitée comme une folle, je n’hésitai pas à goûter pour la première fois de ma vie à la merde d’une autre personne que moi. L’excitation me fit apprécier le goût particulièrement amer de ces fèces. Je pris en bouche tout ce qui bordait son. Je gardai cette matière dans ma bouche et approchai mon visage de celui d’Annie. Nous nous roulâmes une pelle mémorable, chargée de sa merde, de relents de pisse et de nos salives gluantes !
C’est à ce moment empli d’excitation que nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir. Nues comme des vers, dans la grande baignoire jacuzzi, au fond de laquelle reposaient les étrons d’Annie, nous séparâmes nous lèvres sales pour voir Reynald entrer en déclarant : « Ah, je me disais bien que Hua était longue pour faire un brin de toilette. Je vois qu’elle a trouvé à s’occuper. » Il ne paraissait pas surpris de me voir en train de baiser avec sa femme dans ses immondices.
Il s’approcha et nous reprîmes notre baiser sale. Sans que je ne m’en aperçoive Reynald sortit sa bite. Je reçus une grande giclée chaude sur mon corps et mon visage. Je mis une seconde à comprendre qu’il était en train de nous pisser dessus ! Annie rompit notre baiser et tenta de capter de sa bouche gourmande le jet doré qui volait. Elle parvint à en capter quelques flots et vint le partager en m’embrassant pendant que son mari nous souillait toujours de son urine brûlante !
Je savais que je franchissais une nouvelle étape dans la perversion en acceptant des pratiques totalement immorales et immondes avec mes beaux-
Lorsque la vessie de Reynald fut vide, il approcha sa queue de laquelle gouttait encore de la pisse, et il la fourra dans ma bouche. Je suçai avec avidité ce membre encore souple pour le faire durcir. Après avoir avalé directement de l’urine à l’instant, je ne trouvai pas le goût de pisse trop prononcé. Je m’appliquai à astiquer le chibre avec ardeur et il fut rapidement tout dur. Annie le prit quelques instants en bouche, puis elle le quitta et se retourna pour s’agenouiller dans la baignoire géante, présentant son derrière à son mari et faisant face aux étrons qu’elle avait chiés un peu plus tôt. Un pet gras fusa de son trou de balle !
Reynald comprit l’invitation de sa femme et présenta sa queue tendue sur l’anus qui s’offrait à lui. Une longue poussée continue ouvrit le cul de sa femme qui gémissait de plaisir. Je regardais la scène, très intéressée par cette sodomie qui promettait d’être bien crade.
En effet, dès que Reynald eut enfilé son membre dans l’intestin d’Annie, il commença à la pistonner et à chaque fois qu’il sortait sa bite était couverte merde.
La pénétration dura quelques minutes, puis Reynald sortit et Annie se retourna. Son visage et une partie de ses cheveux blonds étaient maculés de caca collant. Elle avait dû plonger sa tête dans les étrons qu’elle avait chiés ! Quelle salope elle faisait !
Sans vraiment réfléchir je portai ma bouche contre la sienne et goûtai à nouveau à ses excréments, au goût amer, infect et délicieux à la fois. Reynald semblait apprécier la vision de sa femme et de sa belle-
Sans prendre la peine de se nettoyer, il me mit à quatre pattes dans la baignoire et planta son membre dans mon anus, pour me pénétrer sauvagement. Je savais que mon intestin n’était pas très propre, il allait mélanger la merde de sa femme à la mienne, quel acte pervers et excitant !
Il ramona mon cul pendant de longues minutes. Je crois qu’il embrassait Annie en même temps, j’entendais des bruits de déglutition, entre mes gémissements de plaisir.
Lorsqu’il se retira, je me sentis me vider. Non seulement mon cul se libérait de son gros sexe, mais également de ma merde ! Un pet vint conclure ma vidange. Il fut accueilli par des exclamations de joie de mes partenaires. Presque aussitôt Annie appliqua sa bouche sur ma raie sale, pour venir laper les immondices qui s’y trouvaient. Elle me roula ensuite une pelle à la saveur de nos merdes mêlées, pendant que Reynald me bouffait le cul à son tour !
Nous nous vautrions dans l’ordure, jouissant de notre saleté et de notre vice sans limite !
C’est à ce moment qu’Alexis entra dans la pièce à l’odeur nauséabonde.
Je vis qu’il restait interloqué quelques instants me voyant avec ses parents nus dans la baignoire jacuzzi et nous vautrant dans la merde et l’urine. Même s’il avait vraisemblablement apprécié notre première expérience sale l’avant-
Une nouvelle fois Annie sembla perturbée : « Mon chéri, ce n’est pas ce que tu crois…, bredouilla-
Reynald ne disait rien, guettant la réaction de son fils.
Sachant qu’Alexis pouvait également être excité par le sexe sale, je réagis plus positivement, je pris une voie sensuelle : « Mon amour, viens nous rejoindre. Tes parents et moi t’avons préparé un petit cadeau bien savoureux. Ce sera encore mieux que l’autre jour… »
Nous pûmes voir une lueur lubrique passer dans le regard d’Alexis. Une barrière venait de tomber dans son esprit vicieux. En quelque secondes, il se déshabilla et s’approcha de la baignoire. Déjà sa queue se raidissait, trahissant son excitation. Avant qu’elle ne soit trop dure, je l’invitai à être très cochon : « Libères ta vessie sur nous ! », lançai-
Il sourit et dû se concentrer un moment avant qu’un jet doré et chaud ne sorte de sa verge. Il aspergea nos corps nus. Je me penchai pour recevoir son précieux élixir directement dans ma bouche. Annie se contorsionna pour laper le trop-
Nous nous relayâmes pour faire durcir la bite d’Alexis avec nos bouches gourmandes et sales. En quelques secondes elle fut gonflée de désir. Je lui proposai alors de visiter mon anus encore sale. La pénétration était facilitée par l’intromission récente de son père et par la présence de matière bien grasse. Il m’encula d’un trait avant d’entamer des va-
En me regardant me faire prendre l’anus par son fils, Reynald était à nouveau bien excité, il bandait fort et pénétra l’anus d’Annie, qui devait être encore gras de merde. Il s’enfonça en elle, ce qui lui fit pousser des cris qui en disaient long sur le plaisir qu’elle prenait, provoqué sans doute par les stimuli physiques et le sentiment de perversion engendré par le dépassement de nombreux interdits : l’inceste et la scatophilie !
J’atteins moi-
Lorsqu’elles se retirèrent de nos anus, les bites de nos partenaires étaient à nouveau souillées d’excréments. Par vice, je me dirigeai vers la tige de Reynald pour laper la merde d’Annie, tandis qu’elle venait goûter à mon caca chaud sur le sexe de son fils.
A peine avons-
Après nous être légèrement remis de nos émotions, nous prîmes tous une douche bienfaitrice et nécessaire. Je posai alors naïvement une question : « Jouez-
Ma question troubla beaucoup Annie : « Ça ne va pas ! Tu es folle ! Comment oses-
Alexis et Reynald ne répondirent pas, j’étais sûre qu’ils avaient déjà envisagé d’inclure Stéphanie à leurs débauches sales…
Ce soir-
Comme ils me m’avaient déjà proposé à plusieurs reprises, je pris la décision de m’installer chez eux. Je dormirai dans le lit d’Alexis et pourrai ainsi vivre pleinement la vie décadente que je choisissais. Pour la première fois de ma vie je mentis à mes parents en leur disant que j’avais trouvé du travail dans une ville lointaine. J’étais honteuse de commettre un tel mensonge vis-
CHAPITRE 6
Je consacrais toute mon énergie au sexe et aux plaisirs physiques. Je sombrais dans un mode de vie totalement débauché. Je me levais souvent tard – avant Alexis toutefois – je ne prenais souvent pas la peine de m’habiller ni de me laver et déambulais dans la cuisine toute nue, fière de mon corps que je jugeais très sexy en m’observant dans les miroirs disposés dans la maison. J’imaginais que mes petits seins bien fermes, aux tétons dressés par les légers courants d’air, mon ventre plat où brillait le piercing de mon nombril, mes cheveux noirs et lisses tombant jusqu’à mes fesses pommelées, pourraient faire bander beaucoup d’hommes et mouiller bien des femmes.
Généralement Annie était également présente, guère plus vêtue que moi, exposant ses formes plus généreuses que les miennes et sa peau plus claire sans aucune pudeur. Nous nous embrassions généreusement, avant de préparer un petit-
Alexis se levait plus tard, peu avant midi. Sa mère et moi l’accueillions par une gâterie buccale qu’il appréciait. Il déposait parfois sa semence dans nos tasses à café et nous nous délections ensuite du breuvage tout en nous caressant mutuellement tous les trois.
Stéphanie se joignait à nous en début d’après-
Enfin, en début de soirée Reynald et parfois Valentin étaient de retour. Nous nous chauffions avant le dîner par des caresses, des fellations et d’autres amuse-
Il m’arrivait de ne pas passer un seul vêtement de toute une journée.
Je me posais la question de savoir si Stéphanie était adepte ou non des jeux sales ? Si elle l’était en avait-
Je souillai volontairement une culotte blanche d’une grande trace merdeuse au niveau de mon anus. Je pliai ma culotte d’une manière à mettre bien en vue sa partie sale et la déposai au sommet de la pile de linge sale. Je savais que Stéphanie allait bientôt revenir du travail et qu’elle passerait par la salle de bain pour se préparer à nos ébats de l’après-
Lorsque Stéphanie rentra du travail, Annie et moi l’accueillîmes selon nos habitudes, par de langoureux baisers et des mains baladeuses. Puis elle se rendit ensuite à la salle de bain pour se préparer. Il me sembla qu’elle y restait plus longtemps que les autres jours. Quand elle revint, rien ne paraissait changé dans son attitude, mais son esprit me sembla un peu ailleurs. Je prétextai une envie pressante pour m’éclipser et laissai la mère et la fille se donner du plaisir.
J’étais toute excitée de savoir si Stéphanie avait ou non joué avec ma culotte sale. En soulevant le couvercle du bac de linge, je ne vis pas ma culotte. Je fouillai, mais impossible de la retrouver. Je sus que Stéphanie avait joué avec. La disparition de ma culotte sale me confirmait son attirance pour la saleté sexuelle. Pour en savoir plus, je me rendis discrètement dans sa chambre et fouinai dans ses affaires. Je retrouvai mon sous-
Le lendemain, Stéphanie avait un jour de repos. Je lui proposai de faire un jogging dès le matin. Etant sortie avec des amies la veille, je n’avais pas participé à la partouze familiale habituelle, afin d’éviter d’avoir à nettoyer mes intestins. Ils seraient donc bien pleins après notre footing. Stéphanie accepta volontiers d’aller courir avec moi.
Après 45 minutes de course nous transpirions abondement toutes les deux. Elle ne fut donc pas difficile à convaincre d’aller prendre une douche. Après nous être lavées normalement, je commençai à caresser le ravissant corps de Stéphanie. Je me glissai entre ses cuisses pour lui prodiguer un cunnilingus qui lui donna un réel plaisir si j’en jugeai par ses gémissements et ses râles. Je fis cependant attention à ne pas la faire jouir, je voulais qu’elle reste excitée au maximum pour l’inciter à se plonger dans le sexe sale.
Juste au moment où elle allait connaître l’orgasme, je cessai mes mouvements de langue et l’invitai à prendre position pour un 69.
Je me mis à quatre pattes dans la baignoire et Stéphanie se plaça sous moi. Pendant qu’elle fourrait sa langue dans mon intimité j’ondulais du bassin, afin que mon anus se trouve régulièrement en contact avec ses lèvres. Stéphanie dû comprendre mon intention, elle commença à lécher de plus en plus mon petit trou plissé. Je stoppai mes mouvements et Stéphanie continuait à explorer mon anus à l’aide de sa langue pointue, qu’elle tentait d’insinuer à l’intérieur de ma grotte pas très propre. J’allais pouvoir mettre mon plan vicieux à exécution.
Je continuais à activer ma langue sur le sexe trempé de désir de mon amante pour maintenir excitation très élevée, proche de la jouissance. Je savais qu’une fille comme Stéphanie pourrait faire des folies lorsqu’elle se trouvait dans un tel état.
Alors qu’elle fourrait toujours sa langue dans mon cul, je commençai tout doucement à contracter mes muscles abdominaux. Mon action ouvrit légèrement mon anus et facilita ainsi sa pénétration par la langue de la belle rousse. Elle dut entrer en contact très vite avec les matières fécales qui se trouvaient à l’intérieur, mais elle ne dit rien, continuant à me lécher normalement.
Je poussai de plus en plus fort, sentant ma merde se déplacer à l’intérieur de mon intestin. A l’extrémité de mon anus, Stéphanie devait forcément sentir les excréments qui arrivaient doucement vers sa bouche, mais elle continuait à faire coulisser sa langue en moi, sans aucune expression de dégoût.
Augmentant encore ma poussée, je sentis ma merde se précipiter à l’extérieur de mon rectum, je ne pus la contrôler. Stéphanie en fut aspergée. Elle retira sa langue et me lança : « Ah ! Tu m’as chié en pleine face ! »
Mais au lieu de stopper nos ébats comme je le craignis un instant, elle replongea presque immédiatement sa langue dans mon anus ! J’étais agréablement surprise, car si j’étais convaincue qu’elle aimerait jouer avec de la merde, je craignais qu’elle ne fasse quelques manières et soit réticente au début. Il n’en était rien, Stéphanie était une pure perverse !
Son visage devait être couvert de mes excréments chauds et elle continuait à me lécher le cul comme si sa vie en dépendait ! J’émis quelques pets foireux, qu’elle dû respirer à plein poumons ! Décidément cette fille était bien la digne héritière de la famille de vicieux que j’avais rencontrée.
Après que j’ai évacué le contenu de mes intestins, je me retournai et découvris Stéphanie encore plus sale – et plus excitante pour moi – que je ne l’avais imaginé : son visage était maculé de merde un peu molle, qui s’était également répandue dans ses longs cheveux roux et bouclés et sur le haut de son torse. Sous ce masque immonde elle souriait franchement, indéniablement heureuse de ce qu’elle vivait, en me jetant un regard coquin de ses yeux bleus. Je ne pus résister à l’embrasser à pleine bouche, goûtant ma merde et jouant à l’étaler encore plus sur nos corps gorgés de désir.
Nous restâmes un long moment dans la baignoire, à nous vautrer dans mes immondices, nous caressant, nous embrassant. Stéphanie nous gratifia d’un long jet d’urine bien chaude, qui liquéfia un peu plus la merde répandue sur notre peau. Nous nous branlâmes mutuellement et nous partîmes ensemble dans un orgasme ravageur, où les sensations physiques étaient décuplées par les stimuli cérébraux générés par l’immoralité de nos actes pervers. L’odeur de la pièce était pestilentielle.
Après une douche aussi nécessaire que bienfaisante, nous discutâmes de ce que nous venions de faire. Je lançai à Stéphanie : « Alors comme ça tu aimes les jeux sales ?
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Souhaitant reprendre le dessus sur ma partenaire, je décidai de tout lui dévoiler dès à présent : « Et sais-
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Sur le ton de la confidence, je lui avouai que ses parents et son frère étaient également adeptes des pratiques sales et que nous avions déjà eu l’occasion de polluer l’air de la salle de bain à quelques reprises… Elle sembla très intéressée par mes propos. Comme je découvrais que Valentin avait également un penchant pour la saleté, je me dis que nous aurions l’occasion de vivre des plaisirs sales tous les six. Mon esprit se focalisait sur l’occasion à provoquer pour déclencher une telle partouze crade.
Je mis Alexis dans le secret et en parlai également à Stéphanie, elle-
Après dîner, nous étions réunis tous les six, comme très souvent. Stéphanie engagea les choses, lorsqu’elle déclara : « J’ai envie de passer un peu de bon temps dans la salle de bain. »
Elle se leva et m’invita à la suivre, accompagnées de Valentin. Nous commençâmes à nous caresser dans la salle de bain. Rapidement, Alexis et ses parents nous rejoignirent. Une véritable partouze s’enclenchait.
Assez vite, je me fis enculer par Alexis, tandis que Valentin faisait de même avec Stéphanie. Installées dans la baignoire, penchées en avant nous tendions nos croupes à nos amants qui nous besognaient avec vigueur. Les parents, Annie et Reynald, s’accouplaient plus normalement, en nous regardant faire, à quelques mètres de nous !
Après plusieurs minutes de pistonnage intense, nos amants sortirent de nos grottes chaudes et accueillantes, ce qui libéra le contenu de nos intestins, qui se rependit au fond de la baignoire, embaumant immédiatement la pièce. Je vis le regard médusé d’Annie et celui ravi de Reynald, qui baisait toujours sa femme, avec une ardeur décuplée !
Annie, assez naïve, n’imaginait pas que sa fille et son petit-
Stéphanie et moi regardions la scène d’un œil coquin et complice, nos étrons souillant le fond de la baignoire, Valentin et Alexis exhibant leur dard bandé et sale, et en arrière-
La queue de Valentin était bien grasse de matière brune, elle dégageait une odeur putride, mais terriblement excitante pour mes narines perverses ! Ma langue tâtait les résidus sales et les lapait. Je nettoyai ce beau membre en quelques minutes. Valentin était à la limite de la jouissance et il me repoussa doucement pour ne pas gâcher son foutre immédiatement. Stéphanie semblait également s’être régalée de ma merde sur le sexe d’Alexis. Nous nous embrassâmes alors langoureusement, échangeant le goût de nos excréments respectifs en salivant beaucoup. L’image de notre baiser sale eu raison d’Annie qui poussa de grands râles qui trahirent son orgasme et provoquèrent en réaction celui de Reynald qui éjacula dans la chatte de son épouse.
Après avoir été témoin de cette scène des plus débridée, Annie sembla avoir changé de point de vue sur le comportement de sa fille. Elle s’approcha d’elle, s’agenouilla à son tour dans notre merdre et partagea elle-
Restés inactifs depuis quelques minutes, Valentin et Alexis, s’emparèrent des fèces qui restaient encore dans la baignoire et entreprirent de badigeonner nos corps avec cette matière grasse et collante. Valentin tartina ma poitrine tandis qu’Alexis maculait les seins de sa mère des immondices mélangées de sa sœur et de sa copine. En quelques minutes la totalité de nos corps devinrent marrons et malodorants. De la merde collait mes longs cheveux habituellement soyeux !
Le reste de la soirée ne fut que pisse, chiure, pet foireux, crachats et jouissance…
CHAPITRE 7
Pendant les mois suivants nous continuâmes ce mode de vie déluré, fait de baises quotidiennes et d’expériences sales fréquentes. Je me plaisais de plus en plus avec la famille d’Alexis. Mon esprit pervers voulait que je sois encore plus intimement liée à elle. Aussi, je décidai – sans consulter personne – de stopper la pilule. Le résultat ne se fit pas attendre, je fus enceinte quelques semaines plus tard, sans savoir de quel homme !
J’annonçai la nouvelle à toute la famille. Tous étaient réjouis de ma grossesse qui débutait, ils allaient voir mon corps se transformer et cela les excitait vraiment, mais personne ne semblait se soucier de l’avenir de l’enfant qui allait naître, ni même de savoir qui était le père.
Ma vie continua ainsi jusqu’à plus de huit mois de grossesse. Quelques nausées immiscèrent du vomi dans nos orgies sales pour la plus grande joie de tous les protagonistes !
Mon ventre habituellement plat et mes petits seins prirent du volume, pour la plus grande joie de mes partenaires. Mes hormones de femme enceinte me donnaient encore plus envie de sexe, y compris de pratiques sales.
Je me faisais baiser plusieurs fois par jour. Tous les deux ou trois jours, je me retrouvai couverte d’une gangue de merde collante des pieds à la tête, aspergée de pisse chaude dont m’abreuvaient mes partenaires. Je jouissais alors en me branlant la chatte de mes mains sales. Le contact de la merde sur mes nichons gonflés et surtout à l’intérieur de ma cramouille dilatée par ma grossesse m’excitait terriblement et mon corps était pris de spasmes violents lorsque les orgasmes m’envahissaient. Je bouffais de la merde et buvais de la pisse presque tous les jours, parfois j’ingurgitais même du vomi, le mien ou celui de mes partenaires gavés d’immondices. Je ne savais pas si cela était bon pour la santé de mon bébé, mais je m’en foutais, seul mon plaisir comptait.
Puis, un bouleversement que j’ai encore aujourd’hui du mal à expliquer – peut-
Je trouvai un subterfuge pour mendier de l’argent à mes parents et partis m’installer dans une nouvelle région. J’y accouchais d’une petite fille, que je prénommais Léa. Je ne savais toujours pas qui était son père, mais comme elle ne présentait aucun trait négroïde, j’en déduis qu’il ne pouvait s’agir que d’Alexis ou de Reynald.
Les subsides de mes parents me permirent de vivre pendant trois mois, puis de lancer une petite affaire de service à domicile : ménage, repassage,… Cela n’était pas très passionnant, mais je parvins à m’en sortir financièrement, même si les fins de mois étaient difficiles.
Très occupée à gérer mon bébé et mon activité, je mettais – pour un temps – mes besoins sexuels au second plan. Néanmoins, ils me taraudaient toujours et les quelques séances de masturbation que je m’accordais ne suffisaient pas à satisfaire mon immense appétit.
Aussi, je ne résistais pas aux avances d’un client chez lequel je faisais le ménage. Même s’il avait largement dépassé la quarantaine, je cédais bien vite à son charme et lui dévoilai les miens.
Il se prénommait Serge. D’une taille moyenne, il faisait attention à lui et son corps était plutôt attirant : des bras puissants, un torse au ventre presque plat, bien campé sur des jambes solides. Mais ce qui me fit succomber c’était son regard : des yeux d’un bleu très clair qui me fixaient et dégageaient un réel magnétisme. Il me séduit par un pouvoir d’attraction que j’ai du mal à expliquer encore aujourd’hui. Je couchai avec lui dès notre deuxième rencontre.
Même s’il avait 46 ans et ne s’était jamais marié, il demanda ma main quelques semaines après notre première rencontre. Emportée par le plaisir que nos ébats me procuraient, j’acceptais sans réfléchir. Nous nous mariâmes un mois plus tard.
Je tombais enceinte dans la foulée et accouchai d’un petit garçon, que nous prénommèrent Kévin. J’avais alors 20 ans et Serge, 47. Contrairement à sa demi-
Même si Serge ne m’offrait pas une vie sexuelle aussi débridée que celle que j’avais connue avec Alexis et sa famille, il satisfaisait mes besoins, qui étaient peut-
Toutefois, une chose me manquait : les parties de sexe sale. Je décidai d’initier mon mari à ces pratiques. Malheureusement, il ne partageait pas mon goût pour la saleté. Il me repoussa assez durement lorsque je fis apparaître de la merde lors d’une sodomie.
Après cette expérience manquée je n’eus jamais le courage de retenter d’attirer Serge vers des pratiques sales. Je pense que ce n’était pas son truc. Il ne voulut d’ailleurs plus m’enculer pendant de longs mois après cet essai malheureux, et lorsque nous reprîmes nos rapports anaux, je dus lui jurer au préalable que mon intestin était parfaitement propre.
CHAPITRE 8
J’ai aujourd’hui 37 ans et mes enfants sont grands, Léa a 18 ans et Kévin 17. Serge et moi vivons toujours une activité sexuelle intense. Il tient à ce que je sois toujours svelte, attirante et que je porte des tenues féminines. Aussi je fais très attention à mon corps. Je n’ai pris que très peu de poids depuis mes 18 ans, malgré mes grossesses et la vie de famille. Mes seins, toujours menus, tiennent bien les années et je peux me passer de soutien-
Je continue à pratiquer les jeux crades, mais en cachette. Je profite des rares occasions où ma famille est absente pour m’adonner à mon vice : me branler dans ma propre merde en m’arrosant de pisse !
Malheureusement ces années de vie tranquilles s’achèvent en ce matin de juin lorsque les services de secours m’appellent pour m’annoncer le décès de mon mari, victime d’une crise cardiaque. Passée la période très agitée des obsèques et des formalités en tout genre, ma vie s’effondre et j’ai besoin de tout l’amour de mes enfants pour surmonter mon chagrin.
Ma fille Léa est particulièrement proche de moi dans cette période douloureuse. Elle sait calmer mes crises de sanglots, le soir lorsque je me retrouve seule dans le lit conjugal qui me rappelle tant de souvenirs érotiques délicieux avec Serge. Léa passe parfois la nuit avec moi, elle me prend dans ses bras et tente de m’apaiser.
C’est lors de ces câlins maternels que je me rends vraiment compte que ma petite Léa est devenue une vraie jeune femme. Elle me ressemble sans doute beaucoup, elle a hérité de moi ses traits asiatiques. Elle porte de longs cheveux sombres et ses yeux veloutés lui un regard très doux.
Mon esprit embrumé par le deuil a sans doute plus de mal à discerner le bien du mal. Emportée par ma tristesse je me confesse à ma fille, en décrivant – avec force détail – mes rapports avec Serge. Sans doute bien intentionnée, Léa traduit mes paroles en gestes. Alors que je lui explique le plaisir que j’éprouvais lorsqu’il caressait mes seins, Léa prend en main ma poitrine à travers ma fine nuisette. Je suis un instant interloquée, mais je ne réagis pas négativement, je laisse faire et petit à petit je suis gagnée par le plaisir procuré par des sensations qui me font défaut. Léa me procure un réel plaisir.
Elle va plus loin, me fait des bisous dans le cou, sur le haut de mon torse, se rapproche de ma bouche et continue en embrassant mes lèvres. Là encore je reste passive, puis ma raison cède, j’entre dans son jeu en écartant mes lèvres. Léa en profite pour glisser sa langue dans ma bouche et me donner un délicieux baiser incestueux. Je n’ai aucune volonté de l’arrêter, les sensations qu’elles me donnent sont trop agréables pour que j’y mette fin. Ses mains glissent sous ma nuisette et caressent directement mes petits seins fermes, faisant darder mes tétons.
Léa titille ensuite ma chatte de ses doigts agiles, tout en continuant de m’embrasser. Les frissons que me transmet mon sexe me font basculer, je deviens active dans cette relation incestueuse. Je réponds à ses baisers et commence à caresser le corps de ma fille. Je n’avais pas connu de rapport avec une femme depuis que j’avais quitté la famille d’Alexis et Léa me rappelle combien j’aime coucher avec femme, qui plus est une si belle jeune fille.
Nous nous déshabillons mutuellement et je lèche la chatte de Léa. Quel goût divin a son sexe trempé de mouille ! Je le tète comme une affamée, passant ma langue sur toutes ses parties intimes, son clitoris, ses lèvres, allant même jusqu’à son anus plissé. Elle gémit, preuve qu’elle aime ce que je lui fais. Je fais attention à ne pas la faire jouir trop vite, j’ai peur que si son excitation retombe elle ne prenne conscience de l’immoralité de nos ébats et n’y mette fin.
Alors qu’elle est au bord de l’orgasme, je quitte son entrecuisse et lui demande de me donner du plaisir : « Viens chérie. Viens lécher la cramouille de maman.
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Léa vient prendre possession de ma chatte avec sa petite langue habile. Elle me donne un plaisir fou. Je suis sûre que ma foufoune n’est pas la première qu’elle lape ! Elle me provoque un orgasme en quelques minutes. Je crie comme une folle mon plaisir.
Je veux la faire jouir à mon tour. Je plaque à nouveau ma bouche sur sa fente, active ma langue et la doigte pour procurer sa jouissance ! Elle hurle de bonheur.
Après ce premier ébat incestueux, nous passons la nuit ensemble à nous câliner amoureusement. Léa me questionne : « Maman, tu crois que c’est mal ce qu’on vient de faire ? »
Je réfléchis quelques secondes, pense à ce que j’avais connu des années plus tôt avec la famille d’Alexis et lui réponds : « On s’est donné du plaisir non ?
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Léa et moi prenons l’habitude de baiser ensemble quotidiennement. Même s’il vit avec nous, nous sommes vigilantes à ce que Kévin ne sache rien de nos rapports incestueux.
Je sens que Léa est heureuse de nos rapports et ils m’aident beaucoup à atténuer mon chagrin. Elle veut que nous partagions tous nos fantasmes, elle pense qu’elle pressent que je suis nettement plus salope que ce que je lui ai montré jusque-
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« Comme ça tu baisais avec la sœur de ton copain et sa mère ! s’exclame-
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Léa est un peu estomaquée. Elle se doutait bien que sa mère n’était pas une sainte, mais elle ne s’attendait pas à ce que je fus aussi délurée. Ces confessions m’excitent au plus haut point, je sens ma chatte couler. Léa n’arrête pas son interrogatoire : « Et vous baisiez tous ensemble ?
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« Effectivement, on allait très loin. Il arrivait que l’on se déchaîne complètement, on pouvait alors se pisser dessus, on jouait même avec notre merde ! » Poursuis-
Léa me jette un regard de désir brûlant, elle doigte violemment ma cramouille et donne de grands coups de bassin dans le vide, simulant un acte sexuel endiablé. Je sais qu’elle voudrait qu’une grosse queue lui laboure le vagin à cet instant. Faute de bite, je plante mes doigts dans sa chatte humide, qui les absorbe immédiatement et elle pousse des feulements explicites quant à son désir. Je la maintiens excitée sans la faire jouir pendant de longues minutes. Nous avons chacune la main dans la chatte de l’autre, que c’est excitant,…
La sentant mûre, je lui propose : « Si on allait faire des cochonneries dans la salle de bain ? Cette conversation m’a donné envie d’être sale … » Léa me regarde avec enthousiasme de son regard de braise.
Nous gagnons la pièce d’eau. Léa s’allonge au sol, je la domine du regard, me positionne bien au-
Mon jet se tarit trop vite. Ma Léa gît au sol, détrempée de mon jus chaud et collant, la bouche pleine. Elle se relève, garde le contenu de sa bouche et m’invite à goûter à ma propre urine. Le périlleux transfert du liquide entre nos bouches fait couler un peu de pisse sur moi et je peux goûter à mon urine qui sort de la bouche de ma salope de fille ! Nous concluons nos ébats par une branlette mutuelle qui nous fait jouir et nous laisse pantelantes dans la pièce puant les chiottes sales !
Nos esprits à peine recouvrés, j’embrasse ma fille à pleine bouche, pendant que ma main fouille son entrecuisse. Elle me rend mon baiser et triture mes seins à travers le fin tissu trempé qui les couvre. Notre baiser est sauvage mêlant salive et pipi. Dès que nos lèvres se séparent une seconde, de grands fils gluants se tissent entre nos mentons baveux.
Je m’allonge au fond de la baignoire, toisée par Léa, qui écarte son string et m’inonde d’un flot d’urine brûlante que je tente de capter avec ma bouche. Je parviens à attraper une partie du flux impressionnant. Ma nuisette est néanmoins trempée de nos liquides dorés délicieux. Dès qu’elle a fini de pisser, elle s’allonge sur moi et m’embrasse à pleine bouche, goûtant sa pisse encore chaude !
Rapidement, elle me présente sa croupe, tandis qu’elle place son visage face à ma vulve palpitante d’excitation. Nous entreprenons un délicieux 69. Je lèche la chatte de ma fille encore imprégnée de son urine, pendant qu’elle passe sa langue délicieusement râpeuse sur ma fente trempée de pisse et de mouille. Elle me fait jouir en quelques minutes. Je tente d’éviter de lui procurer la jouissance que son corps réclame, en ralentissant par moment mes coups de langues. Je ne veux pas qu’elle atteigne l’orgasme trop vite, j’ai peur qu’elle ne souhaite plus se vautrer dans les immondices que je lui réserve si elle est moins excitée.
Mes caresses se rapprochent de son anus. J’enfile un doigt, puis deux, dans son fondement. Elle gémit de plaisir. Lorsque je retire mes doigts, ils sont un peu marron et dégagent une odeur pestilentielle, chargée des excréments de ma fille, quel délice !
Léa sait que j’ai envie de sa merde. Sans me prévenir, elle pousse et propulse un gros étron bien collant hors de son cul, il atterrit sur mon visage, alors que j’ai la bouche grande ouverte ! Une partie de la matière fécale arrive directement dans mon gosier avide !
Apparemment satisfaite de la situation, Léa se retourne et me lance un grand sourire, puis elle entreprend de badigeonner sa merde sur l’ensemble de mon visage, me collant les cheveux de sa matière puante, mais si délicieuse pour nos narines perverses ! Elle tartine ensuite mon torse, je l’aide et commence à salir sa belle peau claire, qui devient rapidement brune. Que c’est bon de se vautrer dans la merde de sa fille !
Mon boyau est également empli de matière et je souhaite en faire profiter ma petite Léa, je lui lance : « Léa, ma chérie, viens titiller le cul de ta salope de maman, j’ai une surprise pour toi. »
Elle ne se fait pas prier et, souriant toujours, elle s’allonge à son tour, prête à recevoir le cadeau maternel tant attendu. Je me lève et m’accroupis au-
Nous nous branlons dans nos cacas puants jusqu’à ce que nous atteignions un orgasme puissant et libérateur.
CHAPITRE 9
Léa et moi passons la fin de l’été à baiser quotidiennement, souvent dans la merde, en nous cachant de Kévin.
Malheureusement en septembre, Léa part s’installer dans une ville éloignée pour ses études. Je me retrouve à nouveau sans partenaires sexuel, comme à la mort de Serge.
Naturellement, je me tourne vers la seule personne vivant avec moi, mon fils Kévin, qui n’a pas encore 18 ans. Je me sens totalement abjecte d’imaginer baiser avec mon fils, mais mes besoins sexuels inassouvis me font perdre la tête, d’autant que grâce à l’héritage que m’a laissé Serge, j’ai de moins en moins besoin de m’impliquer dans mon entreprise pour gagner ma vie.
J’observe Kévin sous sa douche dès que je le peux, je vois qu’il est bien membré et sa bite me fait envie, je mouille rien qu’en pensant qu’il pourrait me la mettre.
Un soir je n’y tiens plus et je me rends dans sa chambre, en portant une légère nuisette qui ne cache pas grand-
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Je sens qu’il est troublé par ma nuisette et mon attitude. Je continue mon petit manège. Je l’interroge : « J’aime mettre de belles tenues qui te plaisent. Tu as déjà été avec des copines qui mettent ce genre de vêtements pour te séduire ? » Kévin s’empourpre un peu et avoue : « Pas vraiment. Les fois où j’ai couché avec des filles, on était un peu caché et ça s’est fait vite.
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A-
Il me rétorque : « Tu crois ? Tu es ma mère, ça ne se fait pas.
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Se laissant convaincre par mes arguments, il se détend un peu et entreprend de caresser mon sein, toujours au travers du fin tissu. Je passe ma main sous son tee-
Rompant ce baiser, j’ôte son tee-
Ne semblant absolument pas gêné, il me rétorque : « C’est ce que tu cherches, non ?
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Je retire son caleçon pour découvrir sa bite bandée. Il a une très belle queue et je ne résiste pas à la prendre en bouche. Je l’empale totalement d’un seul coup, je l’ai bien au fond de la gorge, comme j’aime. Je fais quelques mouvements qui la font encore grossir et durcir et je la quitte un instant, laissant de longs fils baveux sur le membre tendu. Je lui affirme : « Tes copines ne t’ont jamais sucé comme ça je parie.
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Je reprends son dard au fond de ma gorge. Il en profite pour me tripoter, faire glisser ma nuisette à ma taille et palper mes nichons aux bouts tout durs. Je gémis pour l’encourager.
Après quelques minutes je le questionne : « Tu as déjà lécher une chatte ?
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Folle d’excitation, j’expose ma fente à sa vue et réplique : « Viens lécher la chatte coulante de maman ! »
Il est un empressé et donne de grands coups de langue encore peu précis, mais savoir que le cunnilingus m’est prodigué par mon propre fils confère une perversité folle à la situation qui m’excite terriblement et m’offre un orgasme puissant. J’inonde la bouche de Kévin. Heureusement pour moi il n’est rebuté et lape tout le jus qu’il peut.
Maintenant qu’il a bien préparé ma chatte, je veux qu’il me la perfore de son beau chibre. Il comprend très bien mon envie et je pense que lui aussi veut baiser sa salope de mère qu’il vient déjà de faire jouir. Il place son sexe bien bandé à l’entrée du vagin qui lui a fait voir le jour il y a bien des années et il pousse pour entrer. Il est un peu maladroit et je dois le guider pour qu’il ne me fasse pas mal.
Quelle délicieuse sensation de recevoir une grosse bite dans la chatte. J’en avais vraiment besoin. Aucune queue ne m’avait fourré depuis la mort de Serge. Savoir que cette bite est celle de mon fils décuple mon plaisir.
Il pousse des râles en fourrant ma chatte à grands coups. Mais sa fougue est un peu désordonnée, je dois le calmer et le conduire pour qu’il trouve le bon rythme et que sa pénétration me donne du plaisir. Il y parvient petit à petit pour mon plus grand bonheur. Sa sève monte, il crie : « Maman ! Je vais jouir ! Je vais juter en toi !
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Il éjacule dans ma chatte ruisselante, je sens de grandes giclées qui m’emplissent.
Essoufflé, Kévin s’affale sur moi. Nous nous embrassons à pleine bouche. Une fois qu’il a un peu repris ses esprits et alors que son sexe est encore enfoui dans le mien, il me glisse : « On recommencera ?
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Cette première expérience sexuelle avec mon propre fils ne m’a pas apporté une jouissance physique extraordinaire, il manque encore de pratique, mais la perversité de nos actes incestueux m’a replongé dans mes vices les plus profonds et m’a excité terriblement. Le garçon a un vrai potentiel et je compte le cultiver en l’entraînant – s’il le souhaite – vers des actes de plus en plus vicieux.
J’échafaude un plan durant la nuit, que je compte bien mettre en œuvre dès le lendemain de notre premier accouplement.
En fin d’après-
Il ouvre la porte et pense qu’il me dérange. Mais je lui jette un regard coquin et l’invite à entrer. Il comprend vite mes intentions, s’approche et m’embrasse sur la bouche, je lui rends son baiser et nous jouons longtemps avec nos langues.
Il commence alors à me peloter à travers mon léger vêtement. Mes tétons durcissent et ma chatte s’humidifie. Je remarque également sa bite bandée qui doit lui faire mal dans son jean. J’ouvre sa braguette, baisse son pantalon et extrais sa queue raide pour la soulager en la branlant doucement. Kévin soupire, il semble vraiment bien, il prend du plaisir.
Je romps notre baiser, m’assieds sur le rebord de la baignoire pour placer ma bouche à hauteur de son gros membre dressé, que je prends avidement en bouche, faisant redoubler les soupirs de plaisir de mon fils. Je m’applique à lui offrir une bonne pipe baveuse pour l’émoustiller, en tentant toutefois de ne pas le faire jouir. Je veux qu’il soit excité comme un fou pour l’entraîner dans mes vices les plus inavouables.
Tout en continuant ma fellation gourmande, je doigte ma chatte qui dégouline sous l’effet de l’excitation. Kévin a sorti mes seins de ma nuisette et il joue avec, faisant pointer durement mes bouts.
Je quitte sa bite, regarde mon fils droit dans les yeux et lui lance : « Tu as déjà enculé une fille ?
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Sans perdre de temps, je me lève, retire mon string et me retourne montrant mon cul que je tiens grand ouvert. Je lui indique : « Tu vois mon petit trou, places ta queue dessus et pousse doucement, tu verras ça va rentrer tout seul. »
Kévin s’exécute. Sa première pression est un peu maladroite, il ne parvient pas à entrer du premier coup, mais la seconde tentative est la bonne. Il ne lui faut que quelques secondes pour prendre possession de mon rectum qui n’avait plus été pénétré par une vraie bite depuis plusieurs mois.
Il entreprend des va-
Mon excitation est encore plus forte car je sais que mon rectum est plein. Peu expérimenté Kévin ne s’en rend pas encore compte, mais je n’ai pas chié depuis la veille et je sens que sa queue touille ma merde dans mon cul. Cela m’excite au plus haut point, je sens l’orgasme monter et une simple caresse de mes doigts sur mon bouton d’amour m’envoie au septième ciel !
Je crie mon plaisir alors que Kévin me ramone encore plus fort, ravi d’être le mâle qui me fait jouir par le cul, comme une chienne.
Je sais qu’introduire des jeux scatophiles dès ma deuxième baise avec mon fils, me fait prendre le risque de le dégouter. Aussi je veux lui montrer ma merde avant qu’il ne jouisse pour qu’il soit bien excité, il y aura davantage de chances qu’il se lance avec moi dans ces jeux sales et qu’il y prenne du plaisir.
J’interromps donc la sodomie en m’avançant et l’obligeant à se retirer. Dès que sa bite quitte mon trou, je ne peux me retenir et je libère un gros étron qui tombe au sol. Kévin semble un peu affolé : « Qu’est-
Je me retourne immédiatement et découvre la queue toute sale et ma merde jonchant le sol. Je souris et jette à nouveau un regard très coquin à mon fils : « Oui mon chéri, maman chie pour toi. Tu m’as fait faire une belle grosse merde en fourrant ta bite dans mon cul. J’adore ça ! » Dis-
Il rétorque : « Mais maman, ça ne se fait pas de jouer avec la merde.
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Je porte sa bite à ma bouche et entreprends de la nettoyer méticuleusement des souillures qui la couvrent. J’aime le goût de ma merde et le déguster sur la queue de mon propre fils m’excite à nouveau très fort. De ma main libre, je branle ma chatte et je jouis en peu de temps d’un orgasme court mais très profond.
D’abord un peu rebuté par la saleté de mon comportement Kévin se laisse aller petit à petit et je sens qu’il prend du plaisir à voir sa mère sucer sa bite couverte de ses excréments. Il pousse de petits gémissements qui trahissent son excitation.
Lorsque ma bouche quitte sa bite, elle est toute propre. Je me relève et approche mon visage du sien. Je sais que mes lèvres doivent être souillées par ma merde. Je ne provoque par le baiser sale que j’attends, espérant que Kévin fasse le premier pas.
Il ne me fait pas attendre longtemps. Après une seconde d’hésitation il plaque sa bouche sur la mienne, ouvre ses lèvres et glisse sa langue dans ma bouche salie de mon caca ! Notre baiser est assez long pour qu’il goûte bien à ma merde.
Il m’avoue dès qu’il quitte ma bouche : « Le goût est bizarre, mais c’est vraiment excitant de faire des trucs interdits avec toi maman. »
Je lui souris et lui retourne son baiser. Je bave abondamment dans sa bouche et lui donne de petits morceaux de merde à sucer !
Sentant qu’il est prêt à aller plus loin et à prendre du plaisir. Je me saisis d’un peu de merde déposée au sol et m’en badigeonne les seins. D’un ton toujours provoquant, j’interroge mon fils : « Tu aimes mes nichons bien sales et bien gras comme ça ?
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Excitée comme une folle de voir mon fils prendre son pied en jouant avec de la merde, j’enduis sa queue de mon caca et lui intime l’ordre de me baiser sur le champ avec son gros dard bien gras.
Il fourre alors ma chatte en faisant y entrer ma merde à grands coups de bite. Quelle sensation délicieuse ! Je ne tarde pas à jouir une nouvelle fois, alors que lui n’a pas encore juté, il fait preuve d’une belle endurance.
Voulant profiter à fond de notre séance de baise sale, je m’allonge sur le sol de la salle de bain, directement dans les restes de ma merde, souillant mes cheveux. Je lance à mon fils : « Mon chéri, viens chier sur ta maman. Pousse ta crotte toute chaude dans ma bouche, je vais m’en régaler !
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Il s’agenouille, surplombant mon visage de son cul et pousse. Un bel étron pointe et se faufile pour venir s’écraser dans ma bouche grande ouverte. Je goûte pour la première fois les fèces de mon fils et je suis terriblement excitée. Il libère une grande quantité de caca brun, assez souple, qui embaume la pièce d’une odeur très forte, qui me rend dingue. Tout mon visage est recouvert, j’ai du mal à voir.
Kévin se retourne et dégage mes yeux avec ses mains, il badigeonne mon corps et je fais de même avec le sien. Nous nous vautrons dans nos merdes et y prenons un plaisir rare.
Mon fils me baise une nouvelle fois la chatte avec sa queue souillée de nos excréments. Nous jouissons ensemble profondément, nos corps sales et puants se collant l’un à l’autre dans des bruits de sucions d’une obscénité qui repousserait la plupart des libertins, mais qui décuplent nos orgasmes incestueux et pervers.
Cette première expérience scatophile avec mon fils n’est pas la dernière. Nous baisons quasi quotidiennement dans notre merde pendant plusieurs mois.
CHAPITRE 10
Courant décembre, je n’ai plus mes règles et un test m’apprend que Kevin m’a fécondé. Depuis le décès de Serge, j’ai fait moins attention à ma contraception. J’aurai sans doute dû être plus prudente lorsque je me suis mise à coucher avec mon fils, mais je pense que – comme 19 ans auparavant – l’idée de tomber enceinte m’excitait, surtout le fait que ce soit mon propre fils qui m’engrosse. Je suis toute émoustillée à l’idée d’avoir un enfant de mon fils !
J’apprends la nouvelle à Kévin qui montre immédiatement son enthousiasme : « C’est génial maman, je vais pouvoir te baiser pendant que tu seras grosse, tu vas avoir de super gros nichons ! »
Suite à cette révélation, nous baisons une fois de plus. Je me fais prendre par tous mes trous et la merde ne tarde pas à jaillir de nos culs, nous la répandons généreusement sur nos corps excités.
Un peu avant les fêtes de fin d’année, Léa m’informe qu’elle compte venir passer quelques jours à la maison. Je suis ravie de l’apprendre, je m’imagine déjà en train de baiser dans la merde avec mes deux enfants en même temps, ce serait tellement excitant. Toutefois, mon ardeur est freinée lorsqu’elle me demande de venir avec son copain, qu’elle a rencontré dans la nouvelle ville où elle habite. J’accepte, à contrecœur craignant de perdre l’occasion de faire des cochonneries avec mes enfants. Néanmoins, en réfléchissant à la situation je me dis que ma perverse de fille a dû rencontrer un chaud lapin et qu’il n’est pas impossible que nous nous adonnions tout de même à des actes pervers.
Je suis littéralement estomaquée lorsque Léa entre dans la maison suivie d’un homme, nettement plus âgé qu’elle, je reconnais immédiatement Alexis. Celui qui m’a fait découvrir mon vice il y a bien des années, avec lequel j’ai découvert les joies du sexe sale et de l’inceste avec sa sœur et ses parents.
Il semble aussi surpris que moi. Léa ne comprend pas : « Vous vous connaissez ? nous interroge-
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Sachant combien ma fille est une salope, je ne suis pas si étonnée qu’elle ait rencontré un pervers comme Alexis. Mais soudain une idée me traverse l’esprit : je n’ai jamais su qui était le père de Léa, il s’agit soit de Reynald, le père d’Alexis, soit d’Alexis lui-
Alexis a dû comprendre au même moment que moi. Nous décidons d’informer immédiatement Léa de la situation. Elle prend la chose avec le sourire : « Putain, c’est vrai que ça fait bizarre de me dire que tu es mon demi-
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Je me détends un peu, Alexis semble faire de même.
Quant à Kévin il semble heureux de retrouver sa sœur. Il l’a embrassée sur la joue, mais je vois qu’il la serre de très près. Je lui ai dit que je baisais avec elle avant son départ, je suis sûre qu’il a envie de se la faire pendant les vacances. La présence d’Alexis ne semble pas le perturber plus que ça.
Après quelques minutes de retrouvailles, c’est lui qui annonce la nouvelle de ma grossesse à Léa et Alexis. Tous les deux nous félicitent. Il ajoute fièrement qu’il est le père de l’enfant qui va naître. Léa me lance un regard évoquant un peu de reproche, mais surtout l’excitation, de savoir que sa mère s’est faite engrosser par son frère.
Léa en profite pour nous annoncer qu’elle aussi est enceinte, d’Alexis. Cela ne fait que quelques semaines. Elle va avoir un enfant de son frère ou de son père ! Quelle famille de déjantés nous formons ! Cette situation est le résultat d’une vie de débauche et de plaisirs.
Ces révélations nous ont excité tous les quatre. Kévin dévore sa sœur des yeux. Sentant qu’il a vraiment envie d’elle, je glisse discrètement à l’oreille de ma fille que son frère Kévin est devenu un vrai bon coup. Elle me jette un regard coquin et s’approche de son frère, pour un nouveau câlin, qui dépasse rapidement les tendresses habituellement échangées entre frère et sœur. Elle porte sa main sur l’avant du jean de Kévin, elle tâte son chibre à travers le pantalon. Voyant le comportement provoquant de Léa, Kévin lui tripote les fesses au travers de sa robe. Je vois mes enfants se peloter devant moi ! Alexis observe également la scène, l’air détendu, regardant sa jeune copine enceinte en train de batifoler avec son frère sous son regard et celui de leur mère !
Cette situation m’excite évidemment très fortement. Je regarde Alexis en lui faisant les yeux doux. Il y a tellement longtemps que je n’ai pas baisé avec lui. De délicieux souvenirs me reviennent en mémoire.
Je lui demande : « Comment me trouves-
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Alors que mes enfants commencent à s’embrasser langoureusement sur la bouche, je me colle à mon ancien amant et plaque mes lèvres sur les siennes, nos langues et nos salives se mêlent, cela me suffit à tremper ma culotte. Alexis libère sa bite, elle est toujours aussi attirante après toutes ces années, et j’entame une fellation en gorge profonde, en espérant qu’il appréciera la progression de ma technique depuis notre dernière rencontre. Ses gémissements me laissent croire que tel est bien le cas.
Après quelques minutes, je me relève et l’embrasse de ma bouche baveuse. Il retire mes vêtements et découvre mon corps, que j’espère assez attirant pour lui qui a l’habitude de baiser ma fille de 18 ans. Il m’allonge sur la table, écarte mes cuisses et fourre sa bite dans ma chatte dégoulinante. Je gémis très fort, que c’est bon de retrouver une telle queue après tout ce temps !
Du coin de l’œil je vois que mes enfants ne sont pas en reste, Kévin prend Léa qui est couchée dos sur le canapé. Aux mouvements amples et rapides des fesses de mon fils, je constate qu’il baise sa sœur sans aucun ménagement. Elle pousse des râles qui démontrent son plaisir de coucher avec son frère !
Cette situation m’excite au plus haut point et je veux absolument profiter de l’atmosphère de débauche qui règne chez moi ce soir pour provoquer une grosse orgie scatophile. Sans même savoir que Léa sortait avec Alexis, j’avais anticipé et m’étais abstenue d’aller à la selle pour être prête.
Profitant d’un instant où Alexis interrompt le pilonnage de mon con, je m’approche de Léa et de Kévin et les invite à me suivre à la salle de bain. Je fais un clin d’œil à Alexis et lui déclare : « Ça te rappelle quelque chose les partouzes dans la salle bain ? »
Il me jette un regard de feu, m’empoigne par ma chatte humide et me pousse dans la pièce d’eau.
Nous savons tous pourquoi nous sommes là. J’ai l’impression que tous les protagonistes attendent la même chose que moi. J’invite Alexis à me pénétrer le cul de sa grosse bite, en levrette. Kévin plante également son dard dans le cul de sa sœur.
Mon intestin est tellement rempli qu’en quelques poussées seulement, je sens l’odeur caractéristique de la merde envahir la pièce. A chaque pénétration mes excréments débordent de mon cul et graissent mon entrecuisse et le sexe d’Alexis.
Je surveille mes enfants. Léa gémit sous les coups de boutoir de son frère. Rapidement celui-
Elle l’encourage : « Putain tu me fais du bien, j’allais exploser tellement j’ai de merde dans le cul. Je vais chier partout ! »
L’odeur et la vue de la merde m’excitent tellement que je romps la pénétration. Mon intestin se vide en grande partie, notamment sur la bite d’Alexis. Cela me soulage et renforce encore mon envie de baise sale. Je me retourne et, sans hésitation, je plonge littéralement mon visage dans l’amas merdique formé sur le sol.
Le visage totalement maculé de ma merde, je m’approche de ma fille – dont le cul est toujours embroché par le pieu de son frère – et l’embrasse à pleine bouche. Elle goûte avec délectation ma merde. Kévin retire alors sa bite et libère un flot impressionnant de matière fécale du cul de sa sœur, elle chie pendant plusieurs secondes en continu. Cette situation incroyable lui procure un orgasme dévastateur.
Son frère prend une partie de cette merde en main et vient me tartiner le torse, mes cheveux, mes fesses et mon sexe avide.
Alexis prend une partie de ma merde et badigeonne Léa, toujours pantelante après avoir jouit. Il insiste particulièrement sur sa chatte, macule ses longs cheveux et termine en déposant de petits morceaux d’étrons dans sa bouche. Je vois ma fille les mâcher et les avaler, avant d’afficher un sourire franc, dévoilant ses dents blanches au milieu de son visage couvert de merde brune !
Sans nous laisser de répit, Kévin invite Léa à s’allonger sur le sol. Il s’accroupit au-
Cette scène est pour moi irrésistible, je me branle dans la merde et jouis furieusement en regardant mes enfants se vautrer dans l’ordure !
Enfin Alexis me fait signe que lui aussi a le cul bien plein. Je me positionne sur le sol et attends son offrande avec impatience. Quelle belle merde me donne-
Kévin m’arrose ensuite de sa pisse brulante, que je lape de mon mieux. Pendant qu’Alexis inonde le visage de Léa.
De nouvelles pénétrations et fellations redonnent de la vigueur aux membres de nos amants. Kévin jouit dans la bouche de sa sœur. Habitué à être sucé par ma bouche très expérimentée il enfonce très loin son pieu dans la cavité buccale de Léa. Elle est prise de hauts le cœur et bientôt elle vomit le contenu putride de son estomac. Elle régurgite un amas de merde mêlée de pisse et de sperme. Ces résidus viennent souiller encore davantage sa poitrine et son corps. Chauffée à blanc par la vision de ma fille gerbant des immondices en suçant son frère, je m’approche pour laper ces jus ignobles. Quelle truie je fais ! Mais que c’est bon de se vautrer ainsi dans l’ordure et l’inceste sans aucune retenue.
Peut-
Nous poursuivons ces jeux scatophiles pendant toute la soirée. Nous aurons le plus grand mal à nous nettoyer réellement de toutes les ordures dont nous nous sommes couverts pour notre plus grand plaisir.
ÉPILOGUE
Enceinte, tout comme ma fille, bientôt grand-
Mes choix de vie sont extrêmes, leurs conséquences me font parfois peur, mais j’assume mon esprit déluré et ne regrette rien.
FIN
Rappel des personnages :
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UNE VIE DE DEBAUCHEE
PAR FED