Ce matin là en entrant doucement dans la chambre de sa petite fille, Marie Odile était très émue et passablement excitée elle savait en effet pertinemment ce qu' elle s’apprêtait à découvrir.


La veille au soir, avant d'aller tardivement se coucher, elle était passée par la salle de bain pour se rafraichir le visage et s'était alors aperçue que la culotte dont elle s'était dévêtue une heure auparavant ne se trouvait plus dans le panier à linge où elle l'avait laissée avec divers vêtements portés et destinés à la machine à laver.


Julie était passée par là, et ce n'était pas la première fois  !


Marie Odile décida de ne pas intervenir trop vite et d'attendre le matin pour que Julie en profite pleinement durant la nuit, elle eut elle même ce soir là un bel orgasme dans l'intimité de sa couche en imaginant sa petite fille de 13 ans s'endormant le nez dans sa propre culotte humide et sans doute très odorante  !


Julie ne s'étant pas réveillée, sans bruit, pieds nus et en chemise de nuit vaporeuse, Marie Odile vint alors s'asseoir sur  le bord du petit lit et là son cœur se mit à battre la chamade  :  tenant encore le tissus de la culotte dans la main, près du visage, sa petite fille dormait paisiblement


 Marie Odile resta ainsi contemplative et songeuse de longues minutes, de tendres souvenirs lui revenaient en mémoire..


Lentement Julie ouvrit les yeux et se mit à sourire découvrant la présence de sa grand mère, quand soudain, réalisant ce qu'elle tenait encore en main, elle paniqua et fit promptement disparaître l'objet sous la couette  :


-   Oh mamy..... qu'est-ce que tu fais là... tu m'as fait peur  !


-  Doucement, calme-toi ma chérie, je ne suis pas choquée par ce que je viens de voir  !


-  Ooooh mamy, tu as vu  !


-  Oui, et je ne suis pas du tout fâchée, je ne vais pas te gronder.... au contraire  !


-  Mais...je


- Écoute moi... mais tout d'abord, fais moi une place près de toi, le lit n'est pas large, pousse toi un petit peu  !


S'étant glissée sous la couette, assise dans le lit, Marie Odile attira Julie de la main et la fit se blottir contre sa hanche.


-  Tu te souviens peut-être que lorsque tu étais plus petite, tu venais déjà faire des petits séjours à la maison quand tes parents étaient en déplacement.


-   Oui Oui ...


-   Je m'occupais alors de toi durant quelques jours... tu avais quatre ou cinq ans. Le soir tu dormais dans ma chambre dans un petit lit près du mien.Je te couchais toujours vers le début de soirée et je te montais souvent un petit biberon d'eau avant de t'endormir. Tu avais alors une suce qui était en fait un grand mouchoir blanc qu'il s'agissait de ne jamais oublier  ! Un soir après m'être déshabillée car je souhaitais me coucher tôt, je voulus te mettre au lit, mais... plus de suce  ! Je me mis à la chercher partout dans la chambre, et après avoir regardé sous ton lit, je m  'aperçu en me redressant que tu l'avais retrouvée toute seule car près de la chaise où j'avais déposé mes propres vêtements, tu l'avais entre les mains et  tu la suçait consciencieusement  ! Je pense que c'est ton appétit inhabituel pour ce bout de tissus qui m'a alertée  : en fait tu tenais entre tes mains la culotte que je portais encore quelques minutes auparavant et dont je m'étais dévêtue en me déshabillant laissant mes vêtements sur la chaise comme chaque soirs. Je fus saisie d'une émotion dont je me souviens encore  ! Une forte bouffée de chaleur inonda mon ventre, je voulais te crier d’arrêter, de reposer cela immédiatement, mais je restais muette, comme paralysée, fascinée par ta méprise. En m'approchant de toi je vis que tu avais en bouche le fond de la culotte que je savais ce soir là particulièrement souillée, tachée et fortement imprégnée de mes odeurs intimes … un peu comme celle que tu dissimules sous la couette en ce moment, et tu avais l'air de beaucoup aimer cela  ! Je ne t'ai rien dit et je t'ai mise au lit avec ta nouvelle suce dans la bouche. J'étais profondément troublée, j'aurais dû me sentir coupable de t'avoir laissée faire, mais au lieu de cela, je réalisais que j'étais heureuse et aussi très excitée en imaginant les goûts et les odeurs que tu emportais ainsi dans ton sommeil. J’eus beaucoup de mal à m'endormir ce soir là  ! C'est ainsi que chaque soir lors de tes séjours chez moi, je veillais à renouveler ta suce par une autre de mes culottes portée dans la journée, souillée bien-sûr mais toujours de couleur blanche, c'est vrai qu'ainsi on y discernait mieux certaines taches...Bon, tu comprends maintenant ma chérie que je ne peux surement pas t'en vouloir après ce que je viens de découvrir. Au contraire je suis très émue de voir que tu aimes encore cela...


-  Oh oui mamy  !! et pas que tes culottes, j'aime aussi sentir les odeurs de tes chemisiers, sous les bras ou le fond de tes soutiens gorges  !


-  Je le sais, ma petite chérie je le soupçonnais déjà  !   Maintenant, montre moi ma culotte, celle que j'ai portée hier et qui était très sale, tu as dormi le nez dedans  ?


-  Oui mamy, ça sentait fort  !  Tien la voilà...


-  ah, mais je vois que tu as dû aussi la sucer, elle est encore humide de ta salive  !


-  D abord j'aime sentir et après il faut que je goûte c'est tellement bon  ! Ça me donne des sensations dans le minou..


-  mais ma chérie tu te rends compte que là , par exemple, la grande tache jaune, ce sont les restes de mon pipi  ? Et là, cette autre tache se trouvait au niveau de mon trou à caca  ?


-  Oui, je sais...


-  Et tu as aimé  ? Ça ne te dégoute pas de sucer la culotte souillée de ta grand mère  ?


-  Oh non mamy chérie, je voudrais le faire tous les soirs  !!  est ce que tu m'autoriseras à en garder d'autres  ?


-  Oui ma Julie, ce sera notre secret et ce soir si tu le veux bien, tu pourras le faire dans mon lit, près de moi  !


-  Dans ton lit  !  Je pourrai venir dans ton lit  ?


-  Oui et tu pourras y rester toute la nuit et les autres nuits aussi si cela te plait  !


-  Oh oui mamy, oui  !! j'en rêvais depuis longtemps, je veux dormir près de toi  !   Ce soir!   c'est vrai  ?


- Dès ce soir ma chérie.... on ira se coucher tôt et je garderai ma culotte sur moi, comme cela tu n'auras pas à aller la chercher dans la salle de bain, et je vais faire en sorte de bien la parfumer durant la journée pour le plaisir de ma Julie  !


-  Oh mamy c'est merveilleux, je voudrais tout le temps rester près de toi  !!


Julie se retourna alors vers sa grand mère et l'enlaça en la serrant très fort, dans le mouvement, la chemise de nuit de Marie Odile entrouverte laissa entrevoir son sein droit juste sous les yeux de Julie qui porta sa main sur la peau blanche


-  oh mamy  ! Comme il est beau  !


Marie Odile se laissa faire mais réalisant que la situation pouvait trop vite dégénérer , elle interrompit le geste de Julie en réajustant doucement le haut de sa chemise de nuit et néanmoins très troublée  :


-  Pas trop vite ma Julie, prenons le temps d'apprendre à mieux nous connaître, on va le faire doucement, par étapes, je ne veux pas heurter ta sensibilité, comme toi, j'ai aussi des désirs très particuliers et il est encore trop tôt pour en parler,j'aimerais être sûre que cela te    plaise  ! Bon, maintenant on va se lever, une belle journée s'annonce dans l'attente de notre nuit prochaine  !!



LES VACANCES DE JULIE

CHAPITRE 1 - LE REVEIL