La matinée s’avance. Martine Ascona achève ses courses au supermarché. Son chariot est empli de haricots, lentilles, petits-pois, pois-chiches, fèves, pain au son, etc., bref de monceaux de féculents dont on sait qu’ils emplissent et encombrent les boyaux de matières fécales surabondantes, puantes et excitantes. S’y joignent des bouteilles de bons bordeaux, de bourgognes et de vins de Loire qui pimentent le mélange, accroissent la production de gaz digestifs et donnent aux excréments une saveur douce-amère incomparable…
Martine Ascona est une excellente épouse et une mère de famille sans reproche. Elle s’occupe avec compétence et attention du régime alimentaire de son mari, Claude, et de ses deux enfants, Régine et Fabien. Les féculents font le régal de tous, sous leur aspect cuisiné d’abord, ensuite sous leur forme digérée et restituée par des intestins suractifs. Les quatre personnages sont unis par les liens familiaux de l’amour et de la perversité extrêmes. Ils sont jouisseurs, suceurs, baiseurs, enculeurs, dégustateurs de morves et de crachats, lécheurs de règles, friands de jus femelle, de pertes blanches, de sperme, par-dessus tout buveurs d’urines tièdes et dévorateurs obsédés d’excréments bien puants.
Martine Ascona a trente ans, son mari Claude trente-deux, leur fille Régine douze, leur fils Fabien dix. Martine entasse les provisions dans le coffre de sa voiture. Elle a le clitoris, les lèvres vulvaires, le vagin et l’anus hypertrophiés. On voit la bosse de son clitoris sous sa minijupe : son énorme organe érectile est en état d’excitation permanente. Ses lèvres vulvaires, très pendantes, et son vaste trou du cul, la démangent et l’énervent. Elle voudrait jouir là, tout de suite : une bite dans le vagin et aune autre dans le rectum, des urines et des merdes sur la vulve et dans la bouche… L’idée la fait pisser : elle ne porte jamais de culotte. Elle écarte les jambes et urine sous elle, sur le parking.
Un jeune garçon de dix ans la regarde, fasciné par le jet large et jaune, et par la mare qui grandit sur le macadam. La mère de famille ouvre encore davantage les jambes en souriant. Elle excite le gamin. Elle se dit (in petto et en pétant) qu’elle ferait volontiers des saletés avec ce jeune-là, avant de rentrer chez elle en commettre d’autres en famille.
« Tu me regardes pisser ? demande-t-elle au gamin. Mais c’est sale, ça… Et tu vois tous mes poils… Tu as remarqué comme je suis poilue ? Admire mes bras et mes jambes : ils sont noirs de fourrure… Je ne m’épile plus nulle part. Quand j’étais petite, mon papa m’a beaucoup rasée au rasoir, pour me faire pousser des poils très épais, très longs… Maintenant, je les laisse venir partout : ça excite beaucoup les mâles. Tu es un mâle, hein, petit salaud ?… Oh ! bien sûr : tu es déjà raide comme un porc ! Je vois quelque chose qui gonfle dans ta culotte ! Regarde mes cuisses, je remonte ma robe, je te montre tout : on dirait que j’ai un collant de laine, tellement je suis velue, hein ? Une vraie ourse… Je ne mets jamais de culotte. Tu vois ce qui pend entre mes cuisses ? Là… Je les touche et je les étire… Ces deux escalopes rouges qui me descendent plus bas que mi-cuisses ? Ce sont mes lèvres honteuses. Tu as déjà vu les lèvres sexuelles de ta maman ? Bien sûr que oui, petit vicieux… Mes lèvres d’en bas à moi sont anormales. Bien trop grosses et trop longues. On appelle ça un tablier d’Hottentote, je te le dis parce que les adultes doivent toujours enseigner les choses utiles aux enfants… Chez moi, c’est monstrueux. Tu aimerais que je te montre ma grosse chatte de près ? Tu voudrais me lécher, tu aimerais me traire ? Viens, mon chéri… Suis-moi dans les chiottes du supermarché. J’ai envie de faire des saloperies avec toi. Comment t’appelles-tu ?
- Olivier, madame, répond le jeunot tout ému.
- « Madame » !… Il est mignon… Appelle-moi Martine, comme tout le monde, et viens vite, regarde comme je bande…
- Tu me montreras ton trou à caca ? demande le jeune excité… Ma maman aussi est couverte de poils noirs ; et elle a partout, entre les cuisses, sur le cul, sur les jambes… Elle a des grosses escalopes rouges qu’elle me fait tripoter ou traire. Elle a aussi une grosse bite de fille devant ; elle dit que c’est sa clitopine et elle me la fait téter plusieurs fois par jour. Après, elle me dit de lécher son cabinet sale et elle m'y fait enfiler ma quiquette. J’adore quand j’ai la quiquette dans son caca qui pue… C’est chaud, c’est doux, j’aime bien enculer ma maman dans sa merde !
- Il est vraiment mignon !... sourit Martine. J’aimerais la rencontrer, ta salope de mère : on ferait des exploits ensemble… Mais tu vas goûter ma bite femelle à moi : un manche ! Putain, que je trique ! Je suis excitée. »
Martine entre dans les WC du supermarché avec l’enfant. Elle adore être vue. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête et s’expose. Elle est nue, mais on a l’impression qu'elle est habillée d’un épais collant noir. C’est sa fourrure naturelle. Elle est atteinte d’une forme extrême d’hirsutisme. Elle est poilue comme une guenon… Sa toison sombre, ondulée, prodigieusement épaisse et excitante, enveloppe la quasi-totalité de son corps.
La femelle s’exhibe devant le gosse, les cuisses bien écartées. C’est une fausse maigre au gros cul rebondi. Les bras, des mains jusqu’aux épaules, sont hérissés de poils longs et drus, qui forment aux aisselles deux touffes incroyables, deux chevelures noires, frisées et odorantes. Martine Ascona les donne à flairer au jeune Olivier, qui y enfouit sa figure et renifle en gémissant de désir comme un goret. La salope pétrit ses seins, petits mais couverts eux aussi de duvet noir et doux, et munis de suçoirs de huit centimètres de longueur, érigés sur d’énormes aréoles de dix centimètres de diamètre. La face ventrale de la femelle en chaleur, depuis le sternum jusqu’aux cuisses, est tapissée d’une fourrure monstrueusement fournie, parfumée, ininterrompue. Les poils mesurent vingt-cinq centimètres sur le bas-ventre, plus de trente à l’entrejambes et sur les aines. Ils remontent en crinière le long de l’épine dorsale, obscurcissent les reins et des fesses, puis descendent, toujours aussi exubérants, sur les cuisses, les mollets et les pieds.
« Maintenant, regarde bien mes organes, dit la salope au gamin qui se déshabille, lui aussi. Regarde, lèche, suce, baise, encule, fais ce qui te plaît, mon chéri… »
Olivier est fasciné par le paysage uro-génito-anal de la mère de famille obscène. Martine se penche en avant, ouvre les cuisses comme une nonne son missel du dimanche, écarte ses fesses à deux mains et sourit au petit bouc enchanté de l’aubaine. La vulve est superbement disproportionnée. Hors de la jungle des poils noirs, saillent un clitoris gigantesque et des nymphes hypertrophiées, pendantes comme des oreilles de cocker. Le membre femelle, une vraie clitopine, atteint quinze centimètres de longueur pour un diamètre de quatre : c’est un bâton de chair rouge, boudiné, raide et gluant, qu’achève un gland grumeleux, violacé et effilé comme celui d’un chien. L’extrémité de l’organe est munie d’un orifice fendu : la salope éjacule comme un hermaphrodite. Ce clitoris royal domine comme un totem indien une vulve de jument. Les grosses lèvres, hypervelues, boudinées, grasses, définissent une longue fente sans cesse dégoulinante de jus, qu’encadrent les deux nymphes rouges et ballottantes, en tablier d’Hottentote. Ces hallucinantes pièces de chair ressemblent à des tranches de foie de génisse, épaisses de deux centimètres et larges de vingt. Elles cascadent en ondulant plus bas que la mi-cuisses. Sur vingt-cinq centimètres… Le vagin s’ouvre entre ces drapeaux d’amour, tel un gouffre compliqué d’où coule en permanence un jus féminin épais, translucide, hyalin, gras et tiède comme du sperme.
Sous la vulve anormale, on voit la raie du cul encombrée d’un incroyable fouillis de poils noirs longs de vingt centimètres, entre lesquels bée le cratère anal. La femelle se fait enculer et prend la main dans le rectum depuis sa plus tendre enfance. Deux mains, depuis l’adolescence… Elle est dilatée à l’extrême. Son trou à merde ressemble à une cuvette de chiottes sur lequel elle trônerait à vie. D’un diamètre de douze centimètres, il comporte des parois qui saillent de plus de dix, comme un cratère volcanique. De profondes fissures, des peaux pendantes, des lobes, des dentelles et des festons de chair y forment un relief complexe d’où sourd en permanence un jus brun-jaune, puant, excitant. Martine Ascona est incontinente. La merde lui descend du boyau sans même qu’elle s’en aperçoive. Elle en a, en permanence, des coulées épaisses sur les poils du cul et des cuisses, en général jusqu’aux genoux. Le long des mollets et jusque sur les pieds quand elle est en période de diarrhée.
« Je suis bizarre, hein ? demande-t-elle en riant au gamin. Viens ici, mon amour de petit salopiot : montre-moi ta belle tige… Oh ! mais tu es énorme ! Quelles jolies couilles rondes !... Et cette bite : tu mesures combien ? Dix-huit centimètres sur quatre ! A dix ans à peine !... Veinard… Une vraie bite à bonheur qui te monte plus haut que l’estomac !... M’étonne pas que tu regardes pisser les femmes sur les parkings des supermarchés ! Donne-moi cette trique, que je la suce… Mmmm ! C'est raide et doux, ça pue délicieusement… J’aime ta pine, putain de merde de petit mâle excitant… Tu me fais pisser la jute ! »
La femelle ignoble tète le gamin membré comme un ânon. Elle adore le goût de fromage, de sperme et de caca qui imprègne le pubis, la bite et les boules. Elle devine que cette queue-là, fût-elle infantile, a navigué dans maints vulves et rectums surchargés. Elle se délecte de la raideur et du parfum puissant de ce sexe. Elle insinue la main dans l’entrefesses du salopiot. Elle trouve le trou à caca. Elle le force aussitôt avec l’index et remue. Elle y ajoute le majeur et l’annulaire… Le jeune garçon gémit de bonheur. Elle touille dans le rectum, qu’elle explore le plus loin possible. Très vite, elle sent la masse de merde entreposée. Elle caresse la surface molle et grasse des excréments, elle masturbe l’étron dans le boyau comme elle branle la pine de l’enfant dans sa bouche. Le gamin ne résiste pas. Il se met à pisser dans le gosier de la salope, qui tète comme un veau et jouit comme une Messaline. L’enfant urine pendant deux minutes, sans arrêt. Il pousse, il pète. Il a mangé beaucoup de grands bols de céréales depuis trois jours, sans se vidanger. A présent, il a besoin. Un énorme besoin…
« Oh ! dit Martine : je sens un énorme besoin là ; oui, énorme !... Il faut me le donner entier. Je vais te le faire pondre. J’en ai besoin, de ton gros besoin sale !
- Je sens que ça sort ! dit l’enfant. Je ne peux pas me retenir : ça pousse, ça pousse… »
La salope réagit au quart de tour : elle s’allonge par terre, sur les étrons ignobles qui constellent les chiottes, les cheveux dans le trou d’évacuation qu’obstruent d’énormes paquets de matières fécales jaunes, brunes, noires ou vertes, et de toutes les consistances depuis le crottin dur jusqu’à la bouse chiasseuse, en passant par le boudin mollasse, les tortillons de pucelles, les chapelets de crottes, les virgules et les cylindres disproportionnés des grands mâles scatophiles et des femelles reproductrices hyper-velues… Martine Ascona amène le cul du gamin à la verticale de sa bouche. Elle pignole avec passion la bite qui trique, rouge et raide. Elle caresse les couilles. Elle ouvre le trou à merde avec ses doigts et sa langue, en geignant :
« Vas-y, chéri : pousse !... Pousse fort… Donne ta merde à ta maman qui t’aime…
- Hgnn ! Hgnn !... Je chie !... », gémit l’enfant couillu et membru, dont le sphincter anal dévaginé, rouge vif, élargi de six centimètres, expulse une charge coprologique monumentale. L’étron naît du rectum à la façon d’un gros serpent obscène. Il est brun clair, énorme, bosselé et s’allonge sur vingt, trente centimètres avant de s’effiler puis de se briser au niveau de l’anus crotté. Une pièce de merde superbe, luisante et glaireuse, ponctuée de fragments mal digérés, zébrée de portions putréfiées à l’odeur intenable…
La salope reçoit le paquet sur la figure, elle le hume, le lèche, commence de le dévorer. Elle en taille un gros morceau, qu’elle écrase sur sa langue et ses dents. Elle mâche, elle se délecte, elle exprime le jus ignoble qui la fait bander, elle avale avec des soupirs de sainte en extase. Elle mord à nouveau dans la masse excrémentielle. Elle dévore avec frénésie. Elle a besoin d’ingérer des masses de matières honteuses. Elle est folle de la merde. Elle en consomme chaque jour des volumes étonnants, qu’elle restitue, redigérés, encore plus ignobles et plus puants, à l’intention de son mari et de ses enfants chéris, qui lui en rendent autant.
Elle se gave de substances fécales. Elle ne laisse rien perdre de la ponte obscène du garçonnet qu’elle vidange. Elle jouit comme une démente. Ses lèvres sexuelles monstrueuses, violemment étirées et frottées par le gamin vicieux, dégoulinent de jus comme des torchons qu’on essore. Sa clitopine, d’une dureté incroyable, avec ce gland de chien qui excite mâles et femelles, claque sur son ventre poilu. Elle se met à juter, à la fois comme une vache en chaleur, à grands jets vaginaux qui finissent en rigoles onctueuses sur ses cuisses velues ; et comme un mâle, par la fente de son gros membre actif : elle dégomme, elle décharge, elle arrose.
Le garçon crie de bonheur : elle lui tripote la pine et le tète avec passion. Le jeune porc suce le clitoris et la vulve écarlate, qui gicle de plaisir. Il n’y tient plus : il jute à son tour. Il se répand dans la bouche gourmande. Il l’emplit de huit jets successifs d’un sperme gras, tiède et abondant, qu’on s’attendrait à voir expulser par une bite adulte davantage que par celle d’un enfant innocent du cours moyen deuxième année. Les amants de la merde sont heureux. Ils jouissent encore un moment de la puanteur des chiottes publics et de leurs saletés. Ils sont ignobles, glaireux, pisseux, merdeux, le corps constellé d’excréments immondes ; en un mot, magnifiques.
« Oh ! dit Olivier : tu es pleine de caca partout. Et tiens : ça me fait rebander ! J’ai envie de manger ta merde, moi aussi ! J’adore les gros cacas puants des petites filles ou des dames poilues… Dis : tu m’emmènes chez toi ? Tu feras ton gros pot sur moi ? J’aime quand ça me tombe dans la bouche, sur la quiquette et sur les couilles. Je vais chercher ma maman, si tu veux : cette salope sera contente de chier ses énormes merdes et d’en manger avec nous…
- Oui, mon chéri, dit la guenon velue : je t’emmène chez moi. Et tu pourras aussi te faire enculer par mon mari : tu verras sa bite ! Elle ressemble à une aubergine ou à un concombre tellement elle est grosse… Il fait plus de trente centimètres, tu sais, et il adore sodomiser les enfants… Putain, c’est bon… Je peux à peine me retenir, tellement j’ai besoin de caquer gros. Attends, on se nettoie le plus gros et on se rhabille comme on peut. On passe prendre ta putain de mère qui t’aime ; et on va à la maison. Mon mari, Claude, est aussi le plus gros mangeur de merde du quartier, et quand il a la bouche pleine de chiasse, il bande pendant des heures. Ma fille, Régine, est encore plus poilue que moi : elle a la clitobite qui lui monte au nombril et les lèvres d’en bas qui lui arrivent presque aux genoux. Elle est monstrueuse. Quant à mon fils Fabien, c’est un hermaphrodite : il a une pine, deux couilles pendantes, un clitoris presque aussi gros que sa bite, et un vagin dans lequel son trou à merde débouche directement. Il est tellement anormal… Je l’adore : d’ailleurs, tout le monde s’excite à le regarder, à le tripoter, à le sucer, à le baiser, à l’enculer !... »
Ayant promis, la femelle ne peut plus se retenir. Elle pète comme un soudard : l’odeur des vents qui retentissent pendant plus d’une minute est affreuse et durcit encore l’érection réflexe de l’enfant. La femelle chie sur elle, sans se retenir, en soupirant, le sourire aux lèvres. Elle pond un gros trouillon de merde jaune, puante et collante comme une selle de truie, glaireuse comme un monstrueux crachat, qu’elle cueille dans sa main et elle plaque successivement sur sa vulve et son cul, puis sur le ventre, la bite et les couilles du garçonnet tige-en-l’air.
« Oh ! dit le jeune goret, vite ! Ma maman va aimer ces saletés, et moi j’ai tellement besoin de manger ton gros caca sale !
- Le bonheur sur la Terre, dit Martine Ascona, consiste à juter dix fois par jour en bouffant de la merde de tous sexes et de tous âges. C’est écrit dans les Livres saints, et c’est la base de la philosophie. Viens, mon chéri ! Le Paradis est un cloaque de vulves et de trous du cul. Etrons luisants, chiasses immondes ou crottes durcies. Bites et vagins qui jutent. Sexes anormaux et femelles velues comme des animaux… Putain de nom de Dieu de bordel de saloperie de merde universelle, je jouis rien que d’y penser ! »
(NB. En aucun cas, les scènes rapportées dans ce récit ne se sont produites. L’abus sexuel à l’encontre des mineurs est sévèrement réprimé par la loi. Ce texte relève du fantasme, à n’échanger qu’entre adultes. Il appartient à la littérature.)