Petit Pierre a dix ans.
Il est mignon, blond comme un ange, les yeux verts, une large bouche aux lèvres épaisses, le corps mince, les cuisses et les mollets nerveux ; et le plus joli cul du monde. Il habite l’appartement 4, escalier H, de l’HLM de la Merde. Il vit avec son papa, Laurent Celica, vingt-
Petit Pierre partage depuis l’âge le plus tendre les folies pornographiques de celui qui l’a conçu d’une giclée de sperme royale, dans le vagin d’un(e) hermaphrodite au phallus de vingt centimètres, au clitoris de douze (deux membres sexuels ! hmmm !), au vagin coulant et aux lèvres pendantes comme des oreilles de cocker. Cette mère anormale, velue comme une guenon, occupe l’appartement voisin. Petit Pierre lui rend souvent visite et commet aussi avec elle des saletés innommables que nous raconterons un jour. Laurent Célica a éduqué son enfant dans les bonnes manières. Petit Pierre partage les goûts ignobles de son géniteur pour la sodomie, les orgies de sperme, les beuveries d’urines et les banquets de merde.
Mercredi après-
Petit Paul est le plus joli : un adorable bambin brun aux cheveux bouclés longs, aux grands cils noirs, aux yeux cernés par la perversité et le surcroît de jouissances. On dirait une petite fille. Il a le corps fin, les fesses rondes, le corps superbe, la peau douce, mais bizarrement couverte de longs duvets noirs tout doux.
Yacine, la saleté faite gosse, est un petit Beur trapu, couillu, monstrueusement membré, déjà bien poilu du pubis et du cul, du reste capable d’éjaculer d’étonnantes quantités de sperme.
Petit Pierre et ses copains savent qu’ils vont faire des saletés avec papa Celica. Ils viennent souvent. Ils sont excités. Ils babillent. Ils rient. Ils se caressent et se tripotent mutuellement le derrière, la quiquette et les couilles. Ils entrent dans le grand salon spécialement aménagé par le pervers. La pièce, au sol de carrelage blanc, est meublée d’une table ovale sur laquelle sont disposés des monceaux de gourmandises.
Laurent Célica attend en robe de chambre, le sourire aux lèvres.
« Entrez, entrez, mes chéris, dit le mâle indigne. Vous allez prendre un excellent goûter, et moi aussi. Nous allons nous mettre à l’aise. Faites comme moi. Déshabillez-
Ce disant, il défait le nœud de sa robe de chambre et laisse tomber l’habit à ses pieds. Il est nu. Magnifique. Grand, mince, velu, le ventre dur, les cuisses musclées, les mollets fermes, le cul rond : un Adonis au nez toutefois très long, signe de sa monstruosité phallique. Accroché à son bas-
Laurent Célica caresse, excite, flatte, touche, branle, pignole lentement, perversement, son manche à plaisir sous les yeux fascinés des trois gamins. Il soulève son paquet de couilles, s’accroupit, écarte ses fesses et expose son vase anal : l’orifice est sale, collé d’excréments. C’est un cratère bordé de peaux pendantes, d’un diamètre de douze centimètres, ouvert en permanence sur une ampoule rectale d’une contenance énorme, prêt à vomir des étrons d’un volume et d’une puanteur étonnants.
« Bon, dit le pervers personnage : j’ai faim. Vous savez que je mange beaucoup de caca… Je n’avale que ça quand je bande. C’est le meilleur aliment pour l’homme, et vous allez en manger aussi avec moi, petits veinards !
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Les trois enfants se mettent nus en une seconde et se précipitent. C’est Petit Pierre qui gagne : il saisit l’énorme saucisse sexuelle de son père. Il la caresse des deux mains. Il excite le collet graissé de sperme et de merde. Il dégage très en arrière le gland violacé. Il palpe les couilles volumineuses. Il explore à trois doigts, puis quatre, puis avec la main entière, le trou du cul défoncé et merdeux. Il bécote le système génital depuis les grosses boules velues jusqu’à la tête lisse, bien fendue, gorgée de sang. Il apprécie la taille, la dureté, la chaleur, la saleté de la flèche paternelle. Il embrasse le membre velouté, qui vire au violet vif. Il lèche et suce. Il enfourne le gland turgescent, colossal. Il tète la bite comme il tète le sein, la bite ou le clitoris monstrueux de sa mère hermaphrodite. Scène de tendresse ; sauf qu’ici, le biberon est énorme, avec une puissante odeur de pisse, de matières fécales et de jute.
« Tu bandes, fiston, dit le père indigne : viens que je te pompe la quiquette, moi aussi… Quelle superbe queue tu as !… Le vrai fils de ton père… »
Laurent Célica s’allonge sur le dos, et son fils se place 69 sur lui. Délices pédérastiques et incestueuses ! Divinement sucé par son rejeton, le paternel lèche l’entrejambes juvénile, soupèse et pelote les bourses, engloutit et suce goulûment le membre raide de désir. Petit Pierre est hypersexué : ses couilles lourdes et pendantes attirent les baisers des mâles comme ceux des femelles ; sa pine flamboyante mesure déjà vingt centimètres de longueur sur quatre et demi de diamètre. Le paternel n’y tient plus. Il plonge sa langue dans le trou du cul filial, il explore le cratère qu’il a si souvent visité, il ouvre le tunnel à excréments, tout humide, glaireux et puant.
« Je vais te vidanger, mon chéri ! dit Laurent Célica. Pousse très fort… Donne-
Le garçonnet grogne de plaisir. Tétant, pompant, masturbant la bite paternelle qui n’en finit pas de grossir et de durcir (incroyable pièce asinienne), il se prépare à chier. Il contracte ses muscles abdominaux. Son anus boursouflé devient énorme, béant, rouge, avec des lobes roses et des fissures où suinte un jus brun sale. L’enfant pète comme un égout. Le papa scatophile emplit ses poumons de vents foireux et obscènes. Il lèche amoureusement le trou sale, il enfonce la langue aussi loin qu’il peut, il sent la charge d’excréments dans le tunnel à caviar. C’est amer et délicieux. Il aspire pour aider les substances à venir. Petit Pierre pousse, pousse… La selle de l’enfant emplit la totalité de sa vaste poche rectale. Elle pointe, s’allonge et descend maintenant, en écarquillant l’anus. Molle, moulée, volumineuse, elle enrobe la langue gourmande du goûteur, qui recule un peu la tête pour admirer la merveille. L’étron s’extirpe du boyau comme un gros serpent de son trou, en se balançant de façon obscène entre les fesses étroites de l’enfant. C’est une merde grasse, collante, chargée de glaires et de fragments mal digérés, qui devient irrégulière et dégouline, s’allonge comme une bite excitée et prend la fin une dimension superbe.
Petit Pierre est un bon chieur. Laurent Célica est un gros mangeur. Il coupe avec ses dents un large morceau de l’étron encore solidaire de l’anus, il le suce, le malaxe entre langue et palais, il en exprime le jus et les parfums infects, il le réduit en purin mêlé de salive, il lui fait rendre ses nuances d’amertume et d’olive. Il le déglutit avec des râles d’amour – halluciné par le plaisir scatologique. Le voici qui taille à pleine gueule dans le paquet d’excréments que lui offre son jeune pondeur préféré… Il embouche, il engloutit la merde amère et excitante. Les déchets de l’intestin sortent en gros cylindres successifs de l’anus béant. Ils filent en dégoulinant de jus gras, s’étalent et débordent sur la figure et finissent dans la gueule avide du pervers, qui dévore, dévore comme un malade…
Papa vidange fiston. Il est ignoble – la figure, les cheveux, le cou, le poitrail maculés de matières fécales. Il se délecte de ces productions puantes, il adore les fragments mal digérés, les traînées ignobles et les inclusions putrides, les filaments, les tortillons, les coulées baveuses. Il avale. Il est affreux et beau. Il lèche la moindre parcelle de caca. Il nettoie le trou brenneux du gosse, que ce langotage fait triquer comme un verrat. Il prend le membre sexuel rouge vif du petit goret dans sa bouche. Il le fête, le tète, le suce, l’aspire.
Petit Pierre est submergé par le plaisir. Il halète, crie, grogne :
« Oh ! Papa chéri… C’est si bon quand tu me vides le boyau et que tu me tètes la quiquette ! Je vais juter ! Je vais juter ! Je ju…te ! Tiens ! Oh ! c’est b…on !… »
Il jute, en effet, plusieurs jets violents, brefs et prometteurs d’un futur sperme gras et odorant. Laurent Célica se régale de la semence précoce de son fils à peine nubile, mais déjà si mâle, et qui lui pompe si bien la queue. Le papa vidangeur d’excréments nettoie consciencieusement le sexe rouge de son enfant qui finit de dégommer. Il ne résiste pas davantage à l’excitation sexuelle. Il remue le cul. Il pousse et pète pendant une minute, tout en criant que ça y est, il jute, il décharge, il envoie la purée… Sa pine monstrueuse, noueuse, sillonnée de veines bleues, terminée par ce gland énorme, et d’un si gros diamètre que l’enfant doit l’exciter à deux mains, cède à la fellation enfantine et au parfum de la merde.
Laurent Célica dégomme, jute, lâche les bondes dans le bec avide de son fiston qui le boit, lui presse les couilles, avale goulûment le sperme qui s’élance du méat avec une force prodigieuse. Le mâle gueule son orgasme pédérastique, incestueux et scatologique : son manche à bonheur envoie dans le gosier juvénile une dizaine de longs crachats de semence grasse, tiède et gouleyante, dont chacun emplirait une cuillère à soupe.
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Le père et l’enfant finissent de jouir en se faisant des langues au goût de salive, de jute et de merde. Ils se frottent avec amour, nez à nez, bouche à bouche, ventre à ventre, bite à bite, couilles à couilles.
« Tu pisses, tu chies et tu jutes de mieux en mieux, mon Pierrot chéri, dit Laurent Célica : putain que c’est bon de faire l’amour son enfant !
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Petit Pierre bande à nouveau, rouge et dur, bien arqué : son gland lui monte très au-
Yacine est un superbe jeune Arabe. De longs cheveux bouclés noirs, un corps musclé, des jambes aux cuisses nerveuses et aux fesses rondes. A dix ans, il possède déjà une touffe de poils couleur charbon sur le pubis, et de longs tétons sensibles, qu’il tripote sans cesse. Ses couilles bien pendantes, rondes, fermes et velues, chacune de la taille d’une mandarine, sont surmontées d’un phallus superbe. La pine, à la peau brune, est circoncise et sillonnée de grosses veines bleues où bat un sang vif. Elle mesure vingt-
Yacine tourne vers lui la tête de l’enfant et l’embrasse : les langues se mêlent, les salives coulent, ils se crachent l’un l’autre dans la bouche. Le jeune Beur explore et caresse le délicieux corps de l’enfant brun aux longs cils de fille. Il insiste sur les seins, ultrasensibles, avec des bouts très longs, et qui commencent à pommer. Petit Paul aura bientôt une poitrine de fille. L’Arabe palpe le ventre offert, ombré de duvet noir, dense et long, mais très doux. Il touche les organes sexuels : les couilles de l’enfant sont pubescentes, minuscules et rondes comme des noisettes. La pine est une jolie tige dure, quoique de dimensions réduites. Rouge et très arquée, avec un beau gland fin décalotté, elle s’apparente davantage à un clitoris. Elle mesure cinq centimètres de longueur et à peine un centimètre de diamètre. Yacine adore téter ce pistil d’amour, du reste bien moins gros que l’énorme clitoris de sa sœur aînée, ou la quasi-
Petit Paul remue les fesses avec impatience : il a besoin d’être couvert. Monté. « Fécondé »… Il aime être pris par un mâle, et plus la queue élargit son anus enfantin, plus il aime. Il le dit. Il le réclame… « Mets-
Le jeune Arabe se relève à quatre pattes et se prépare à la monte. Il présente son membre d’amour à l’orifice immonde de la petite pute ambiguë. Le gourdin sexuel du jeune étalon, circoncis, rouge-
Yacine enfonce jusqu’aux couilles sa grosse bite d’enfant précoce dans l’ampoule intestinale remplie de merde chaude et chiasseuse de Petit Paul Puis il commence de se retirer. La tige sexuelle sort du boyau en étirant loin en arrière les peaux brisées. Elle est couverte d’une purée de chiottes jaune verdâtre, puante, pestilentielle à souhait, mêlée de traînées de sperme épaisses et glaireuses, qui témoignent à quel point le gamin s’est déjà fait arroser l’intérieur du boyau avant de venir au rendez-
« Qui t’a déjà enculé, ce matin ? » demande le jeune Beur, qui renfonce en grognant la totalité de sa queue dans le fondement de Petit Paul.
« Ben… Mon papa et mes cinq tontons, comme tous les jours ; ma maman, ma mamie et mes cinq taties, qui ont toutes une grosse pine de fille ; et aussi mon voisin Gérard qui a cinq enfants toujours tout nus et pleins de jute et de caca, avec lesquels il joue et il nous fait jouer à longueur de journée…
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Yacine encule à fond le joli Petit Paul : sa grosse queue de jeune Arabe hypersexué s’enfonce jusqu’aux couilles dans le rectum merdeux du mignon garçonnet aux longs cils de fille. L’adulte indigne vient se poster derrière le Beur. Celui-
Bien enculé par Papa Célica, Yacine enfonce à nouveau sa grosse queue d’enfant pervers dans le rectum de Petit Paul : la double sodomie excite tout le monde. Les culs se lèvent, plongent, se lèvent, plongent, se lèvent, plongent… Papa Célica donne le rythme. Lorsque les pines se dégagent aux trois quarts des anus qu’elles fêtent, elles en extraient des paquets de merde tiède et fumante ; puis elles s’engouffrent à nouveau dans la caverne. Les va-
Petit Pierre contemple la scène. Il bande comme un bouc, bave et se masturbe en regardant son papa qui encule Yacine, lequel sodomise Petit Paul. Il attrape, à mesure qu’ils sortent, les paquets de merde chiasseuse qui enrobent la queue du jeune Beur, et les épaisseurs de fumier brun sombre qui collent à la bite chevaline de son papa. Il en barbouille la figure et la poitrine des trois sodomites. Il s’en tartine le visage, les seins, le ventre, la queue, les couilles, le cul. Il en ramasse des morceaux tièdes et puants, et les enfile dans enter les lèvres avides de son géniteur pédophile et de ses deux copains. Il en mâche et en avale lui-
Petit Pierre se couche sur le dos, la tête sous le ventre de Petit Paul. Tandis que son père lui attrape la bite et la lui secoue en lui fêtant aussi l’anus avec quatre doigts, l’enfant s’empare de la jolie queue raide de Petit Paul. Il bisouille le membre sensible et l’engloutit tout entier dans sa bouche tiède, trempée de salive et d’excréments. La merde sort de l’anus de Petit Paul, que défonce la bite de Yacine. Elle descend en cascades brun verdâtre sur les couillettes et la pinette du beau garçonnet. Celui-
Au contraire de Petit Pierre et de Yacine, déjà capables d’éjaculer de belles quantités de sperme à dix ans, Petit Paul a encore les orgasmes secs. Mais les huit ou dix longs spasmes de sa quiquette, que Petit Pierre sent entre langue et palais, trahissent l’intensité et la durée de son plaisir sexuel. Le gamin culète dans la bouche de son copain, frissonne et délire. Il est secoué, abasourdi, submergé par la jouissance génitale et anale. Il s’affale sur le sol, vaincu par la volupté, tremblant de bonheur et tout juste capable de longues plaintes lascives qui ressemblent à celles qu’il poussait, bébé, quand son papy lui fêtait le zizi et le trou du cul pendant des après-
Toujours enculé à fond par le membre sexuel chevalin de Laurent Célica, Yacine retire du rectum de Petit Paul son phallus de vingt-
Les enfants bien éduqués savent sucer. La langue experte et les lèvres de Petit Pierre comblent Yacine, dont les fesses et le ventre se contractent, et qui se lance à son tour dans de longs gémissements de plaisir, accompagnés de jurons et de grognements. La bite du jeune Arabe de dix ans, saisie de spasmes, crache, crache, crache dans le gosier de Petit Pierre une douzaines de longs jets de foutre gras et laiteux, que le téteur avale tant qu’il peut, mais qui abondent à tel point qu’une partie ressort au coin des lèvres et dégouline sur le menton, le cou et la poitrine.
Petit Pierre se régale du sperme juvénile de Yacine, mêlé d’excréments de Petit Paul. Sa pine, à lui, se dresse sur son ventre, la tête au ciel, décalotté, raide à mort. Elle demande à jouir d’urgence. On se souvient qu’à dix ans, Petit Pierre possède déjà un membre génital de vingt centimètres de longueur sur quatre et demi de diamètre. Héritage de l’hypertrophie sexuelle de son père, et résultat de pratiques pornographiques enfantines intensives et quasi permanentes…
« Viens m’enculer, mon chéri ! dit papa Célica. Viens me prendre… Je vais jouir dans le boyau de Yacine. Tu juteras dans mon trou sale, j’adore ça, tu le sais…
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Les couinements et les grognements de plaisir de papa Laurent sont une réponse positive. « Ohhhh !... Continue de m’injurier, mon fils : oui, vas-
Petit Pierre se dispose derrière le derrière de son papa qui encule Yacine jusqu’aux couilles. La queue du fiston touche les peaux pendantes et les fissures puantes et merdeuses de l’anus paternel saccagé, qui ressemble à une énorme vulve, ouverte sur plus de douze centimètres. La bite du gamin, quoique de taille remarquable, s’enfonce sans aucune résistance dans le rectum gorgé d’excréments tièdes et puants. Petit Pierre attrape les deux tétons de son père, les tire et les tord. Laurent Célica gémit et bave de plaisir. Petit Pierre commence de culeter de toute la force de son petit corps de dix ans : sa queue s’enfonce et ressort dans l’intestin paternel, au même rythme que celle du père infâme, qui va et vient dans le trou de l’Arabe. La puanteur de la merde, le goût des excréments, l’intensité de l’enculage dans la « terre jaune », tout porte les deux acteurs au summum du plaisir.
Ils halètent, ils crient, ils gémissent, ils poussent les pires jurons, ils s’exclament qu’ils jutent, oui, ils jutent, ils déflaquent, ils déchargent, ils dégomment, ils giclent, ils arrosent, ils éjaculent… Les deux queues lancent en même temps de longs jets de sperme tiède et gras, qui concluent la séance de pédérastie scatologique et incestueuse, et semblent écrire sur la paroi du rectum qu’elles crépissent le mot « plaisir ».
LES RECITS DE L’ HLM DE LA MERDE
CHAPITRE I -