Petit Pierre a dix ans.

 Il est mignon, blond comme un ange, les yeux verts, une large bouche aux lèvres épaisses, le corps mince, les cuisses et les mollets nerveux ; et le plus joli cul du monde. Il habite l’appartement 4, escalier H, de l’HLM de la Merde. Il vit avec son papa, Laurent Celica, vingt-huit ans, pervers de haut vol, bissexuel, pédophile, incestueux, sodomite, urophile, scatophile et scatophage.

 Petit Pierre partage depuis l’âge le plus tendre les folies pornographiques de celui qui l’a conçu d’une giclée de sperme royale, dans le vagin d’un(e) hermaphrodite au phallus de vingt centimètres, au clitoris de douze (deux membres sexuels ! hmmm !), au vagin coulant et aux lèvres pendantes comme des oreilles de cocker. Cette mère anormale, velue comme une guenon, occupe l’appartement voisin. Petit Pierre lui rend souvent visite et commet aussi avec elle des saletés innommables que nous raconterons un jour. Laurent Célica a éduqué son enfant dans les bonnes manières. Petit Pierre partage les goûts ignobles de son géniteur pour la sodomie, les orgies de sperme, les beuveries d’urines et les banquets de merde.

 Mercredi après-midi. Petit Pierre a invité deux copains à goûter. Son père s’apprête à en profiter pour avaler le bon goûter de merde que les chérubins apportent dans leur ventre, et qui passera par leur bel anus odorant. Les enfants sonnent et entrent. Ils s’appellent Petit Paul et Yacine. Ils ont dix ans, comme Petit Pierre.

 Petit Paul est le plus joli : un adorable bambin brun aux cheveux bouclés longs, aux grands cils noirs, aux yeux cernés par la perversité et le surcroît de jouissances. On dirait une petite fille. Il a le corps fin, les fesses rondes, le corps superbe, la peau douce, mais bizarrement couverte de longs duvets noirs tout doux.

 Yacine, la saleté faite gosse, est un petit Beur trapu, couillu, monstrueusement membré, déjà bien poilu du pubis et du cul, du reste capable d’éjaculer d’étonnantes quantités de sperme.

 Petit Pierre et ses copains savent qu’ils vont faire des saletés avec papa Celica. Ils viennent souvent. Ils sont excités. Ils babillent. Ils rient. Ils se caressent et se tripotent mutuellement le derrière, la quiquette et les couilles. Ils entrent dans le grand salon spécialement aménagé par le pervers. La pièce, au sol de carrelage blanc, est meublée d’une table ovale sur laquelle sont disposés des monceaux de gourmandises.

Laurent Célica attend en robe de chambre, le sourire aux lèvres.

 « Entrez, entrez, mes chéris, dit le mâle indigne. Vous allez prendre un excellent goûter, et moi aussi. Nous allons nous mettre à l’aise. Faites comme moi. Déshabillez-vous… Montrez-moi vos pissettes, vos petites boules et vos trous à caca. Vous êtes beaux et vous savez que ça m’excite ! »

 Ce disant, il défait le nœud de sa robe de chambre et laisse tomber l’habit à ses pieds. Il est nu. Magnifique. Grand, mince, velu, le ventre dur, les cuisses musclées, les mollets fermes, le cul rond : un Adonis au nez toutefois très long, signe de sa monstruosité phallique. Accroché à son bas-ventre, en effet, se balance un paquet sexuel digne d’un âne… Les couilles, lourdes, velues, pendantes, tombent à mi-cuisses : les testicules, massifs, gros comme des oranges, roulent dans le scrotum ridé. Le phallus est gigantesque : Laurent Celica le caresse et le flatte. Il le masse et le balance avec fierté devant les petits garçons admiratifs. C’est un cylindre de chair rose comme une bouche d’Enfant Jésus, sillonné de grosses veines bleues, déjà gonflé de sang vif, qui durcit et grossit à vue d’œil en se rapprochant de l’horizontale, puis de la verticale. L’engin, arqué, obscène, mesure à pleine excitation trente-huit centimètres de longueur et huit de diamètre. Le gland, long à lui seul de huit centimètres et large d’autant, ressemble à une aubergine violacée, luisante, maculée de sécrétions blanches et de traînées de merde.

 Laurent Célica caresse, excite, flatte, touche, branle, pignole lentement, perversement, son manche à plaisir sous les yeux fascinés des trois gamins. Il soulève son paquet de couilles, s’accroupit, écarte ses fesses et expose son vase anal : l’orifice est sale, collé d’excréments. C’est un cratère bordé de peaux pendantes, d’un diamètre de douze centimètres, ouvert en permanence sur une ampoule rectale d’une contenance énorme, prêt à vomir des étrons d’un volume et d’une puanteur étonnants.

 « Bon, dit le pervers personnage : j’ai faim. Vous savez que je mange beaucoup de caca… Je n’avale que ça quand je bande. C’est le meilleur aliment pour l’homme, et vous allez en manger aussi avec moi, petits veinards !

 - Oh ! papa : je pète, je pète, je chie déjà, dit Petit Pierre, qui montre ses deux cuisses ornées de traînées brunes.

- J’aime le caca, dit Petit Paul : c’est bon, c’est sale, ça m’excite la quiquette. Regardez !… Je me touche le trou du derrière, j’en ai plein les doigts, je les suce, ça me fait tout raide et tout bon dans la pissette : oh ! que je suis sale !

- Du caca, renchérit Yacine, j’en mange chaque jour avec mon papa, ma maman, mes trois frères et mes quatre sœurs, et aussi avec mon papy, ma mamie, mes taties, et mes tontons et mes cousins et mes cousines…

- Vous êtes merveilleux, dit Laurent Célica : on va bien s’amuser tous les quatre. Qui d’entre vous va me sucer, mes chéris ? J’aime tellement me faire téter par les petits garçons… Vous voyez comme je suis déjà raide et gros ? C’est bon, la bite des adultes pour les gosses… Y a des gens qui voudraient nous empêcher d’être pédophiles, mais c’est impossible : tout le monde est pédophile… Allez : qui me fait des gros mimis à la queue ? »

Les trois enfants se mettent nus en une seconde et se précipitent. C’est Petit Pierre qui gagne : il saisit l’énorme saucisse sexuelle de son père. Il la caresse des deux mains. Il excite le collet graissé de sperme et de merde. Il dégage très en arrière le gland violacé. Il palpe les couilles volumineuses. Il explore à trois doigts, puis quatre, puis avec la main entière, le trou du cul défoncé et merdeux. Il bécote le système génital depuis les grosses boules velues jusqu’à la tête lisse, bien fendue, gorgée de sang. Il apprécie la taille, la dureté, la chaleur, la saleté de la flèche paternelle. Il embrasse le membre velouté, qui vire au violet vif. Il lèche et suce. Il enfourne le gland turgescent, colossal. Il tète la bite comme il tète le sein, la bite ou le clitoris monstrueux de sa mère hermaphrodite. Scène de tendresse ; sauf qu’ici, le biberon est énorme, avec une puissante odeur de pisse, de matières fécales et de jute.

 « Tu bandes, fiston, dit le père indigne : viens que je te pompe la quiquette, moi aussi… Quelle superbe queue tu as !… Le vrai fils de ton père… »

 Laurent Célica s’allonge sur le dos, et son fils se place 69 sur lui. Délices pédérastiques et incestueuses ! Divinement sucé par son rejeton, le paternel lèche l’entrejambes juvénile, soupèse et pelote les bourses, engloutit et suce goulûment le membre raide de désir. Petit Pierre est hypersexué : ses couilles lourdes et pendantes attirent les baisers des mâles comme ceux des femelles ; sa pine flamboyante mesure déjà vingt centimètres de longueur sur quatre et demi de diamètre. Le paternel n’y tient plus. Il plonge sa langue dans le trou du cul filial, il explore le cratère qu’il a si souvent visité, il ouvre le tunnel à excréments, tout humide, glaireux et puant.

 « Je vais te vidanger, mon chéri ! dit Laurent Célica. Pousse très fort… Donne-moi tes grosses crottes ! J’ai faim… »

 Le garçonnet grogne de plaisir. Tétant, pompant, masturbant la bite paternelle qui n’en finit pas de grossir et de durcir (incroyable pièce asinienne), il se prépare à chier. Il contracte ses muscles abdominaux. Son anus boursouflé devient énorme, béant, rouge, avec des lobes roses et des fissures où suinte un jus brun sale. L’enfant pète comme un égout. Le papa scatophile emplit ses poumons de vents foireux et obscènes. Il lèche amoureusement le trou sale, il enfonce la langue aussi loin qu’il peut, il sent la charge d’excréments dans le tunnel à caviar. C’est amer et délicieux. Il aspire pour aider les substances à venir. Petit Pierre pousse, pousse… La selle de l’enfant emplit la totalité de sa vaste poche rectale. Elle pointe, s’allonge et descend maintenant, en écarquillant l’anus. Molle, moulée, volumineuse, elle enrobe la langue gourmande du goûteur, qui recule un peu la tête pour admirer la merveille. L’étron s’extirpe du boyau comme un gros serpent de son trou, en se balançant de façon obscène entre les fesses étroites de l’enfant. C’est une merde grasse, collante, chargée de glaires et de fragments mal digérés, qui devient irrégulière et dégouline, s’allonge comme une bite excitée et prend  la fin une dimension superbe.

 Petit Pierre est un bon chieur. Laurent Célica est un gros mangeur. Il coupe avec ses dents un large morceau de l’étron encore solidaire de l’anus, il le suce, le malaxe entre langue et palais, il en exprime le jus et les parfums infects, il le réduit en purin mêlé de salive, il lui fait rendre ses nuances d’amertume et d’olive. Il le déglutit avec des râles d’amour – halluciné par le plaisir scatologique. Le voici qui taille à pleine gueule dans le paquet d’excréments que lui offre son jeune pondeur préféré… Il embouche, il engloutit la merde amère et excitante. Les déchets de l’intestin sortent en gros cylindres successifs de l’anus béant. Ils filent en dégoulinant de jus gras, s’étalent et débordent sur la figure et finissent dans la gueule avide du pervers, qui dévore, dévore comme un malade…

Papa vidange fiston. Il est ignoble – la figure, les cheveux, le cou, le poitrail maculés de matières fécales. Il se délecte de ces productions puantes, il adore les fragments mal digérés, les traînées ignobles et les inclusions putrides, les filaments, les tortillons, les coulées baveuses. Il avale. Il est affreux et beau. Il lèche la moindre parcelle de caca. Il nettoie le trou brenneux du gosse, que ce langotage fait triquer comme un verrat. Il prend le membre sexuel rouge vif du petit goret dans sa bouche. Il le fête, le tète, le suce, l’aspire.

 Petit Pierre est submergé par le plaisir. Il halète, crie, grogne :

 « Oh ! Papa chéri… C’est si bon quand tu me vides le boyau et que tu me tètes la quiquette ! Je vais juter ! Je vais juter ! Je ju…te ! Tiens ! Oh ! c’est b…on !… »

 Il jute, en effet, plusieurs jets violents, brefs et prometteurs d’un futur sperme gras et odorant. Laurent Célica se régale de la semence précoce de son fils à peine nubile, mais déjà si mâle, et qui lui pompe si bien la queue. Le papa vidangeur d’excréments nettoie consciencieusement le sexe rouge de son enfant qui finit de dégommer. Il ne résiste pas davantage à l’excitation sexuelle. Il remue le cul. Il pousse et pète pendant une minute, tout en criant que ça y est, il jute, il décharge, il envoie la purée… Sa pine monstrueuse, noueuse, sillonnée de veines bleues, terminée par ce gland énorme, et d’un si gros diamètre que l’enfant doit l’exciter à deux mains, cède à la fellation enfantine et au parfum de la merde.

Laurent Célica dégomme, jute, lâche les bondes dans le bec avide de son fiston qui le boit, lui presse les couilles, avale goulûment le sperme qui s’élance du méat avec une force prodigieuse. Le mâle gueule son orgasme pédérastique, incestueux et scatologique : son manche à bonheur envoie dans le gosier juvénile une dizaine de longs crachats de semence grasse, tiède et gouleyante, dont chacun emplirait une cuillère à soupe.


   ***


 Le père et l’enfant finissent de jouir en se faisant des langues au goût de salive, de jute et de merde. Ils se frottent avec amour, nez à nez, bouche à bouche, ventre à ventre, bite à bite, couilles à couilles.

 « Tu pisses, tu chies et tu jutes de mieux en mieux, mon Pierrot chéri, dit Laurent Célica : putain que c’est bon de faire l’amour son enfant !

 - Papa…, répond le gosse : je t’adore ! Tu me fais tellement jouir quand tu me suces la quiquette ou quand tu me mets ta grosse queue sale dans le trou du cul… Dis-moi : quand on rebandera, tu veux que je t’encule ?

 - Tu es chou ! Evidemment… J’aime ta grosse queue d’enfant dans mon trou sale… Tu sais, je suis plein de bonne merde, moi aussi… Ta maman n’a pas tout mangé, ce matin !

 - Et voilà ! dit Petit Pierre : il m’excite avec sa merde et celle de maman, et je retrique déjà… Regarde ma queue raide, papounet ! Tu devrais avoir honte d’exciter ton petit garçon comme ça, à longueur de journée…

 - M’sieur Laurent ! M’sieur Laurent ! s’écrient les deux autres enfants : nous aussi, on veut jouer à pipi-caca avec vous ! Nous aussi on aime les grosses bites et la merde !

 - Venez vous montrer, mes chéris… Je vais organiser tout ça… Yacine, avec ta superbe pine de jeune Bougnoule, tu vas enculer Petit Paul, il aime ça, ce salopiot ! Petit Paul est très large de l’anus, depuis que je l’ai agrandi avec mon manche à merde. Il jouit beaucoup du trou du cul. Il a le rectum qui aspire fort : quand tu le sodomises, on dirait qu’il te suce la pine avec son boyau. C’est une vraie petite femme… Une jeune femelle de chiottes, comme on les aime… Petit Paul est un garçon-fille, un pédé-folle, un rectum-vagin sale : hein, mon amour ? Et toujours l’intestin garni : Yacine, tu seras bien graissé dans son cul merdeux !

 - Je bande ! dit Yacine, qui se masturbe avec vice, en crachant sur son gland et en se rentrant trois doigts dans l’anus. C’est comme quand je vais enculer mon petit frère, Samir, lorsque mon papa et ma maman me le demandent en jouant tout nus avec mes autres frères et sœurs…

 - Va-z-y : je te regarde, souffle Laurent Celica. Sodomise Petit Paul… Prends-le !... Si tous les enfants se branlaient et s’enculaient sans arrêt entre eux, et s’ils étaient sucés et enfilés à longueur de journée par des adultes libres et totalement pédophiles, le monde serait bien meilleur ! Nom de Dieu, ça y est : vous m’excitez. J’ai à nouveau la barre ! Attends, mon Yacine chéri : viens ici que je te tète… Je t’aime : tu es si énorme et si long, pour ton âge… Tu deviendras comme moi, ça te prendra aux genoux au repos et, quand tu seras raide, ça mesurera plus de trente centimètres… Hmm ! Il est délicieux, ton gland, il est gros et dur, plein de pisse et de merde… Je te lèche, il est sale, il sent fort, hmm !… Gbbl !… J’aime me mettre en bouche les petits garçons comme toi, qui peuvent déjà juter très fort… Et les autres aussi, bien sûr : les tout jeunes, et même les bébés, qui ne giclent pas du tout mais qui prennent tous tant de plaisir à la fellation…

 - Putain de salaud d’adulte pédophile qui encule les enfants et qui se fait enculer par tout le monde ! dit Yacine : j’ai besoin de dégommer ! Suce-moi, ma pute, et vous autres, regardez comme je suis bien monté et comme je trique raide ! J’adore piner le trou à merde des garçons ou des papas à grosse bite, comme m’sieur Laurent. Mon papa demande chaque matin que je lui enfonce mon engin dans le cul, pendant qu’il avale les merdes énormes de ma maman Leila, de mes frères et de mes sœurs, et qu’il m’en fait bouffer jusqu’à ce que je jute… Vous verriez ma mère Leila et mes petites sœurs, comme elles sont poilues, comme elles ont un gros clitoris en forme de bite et des lèvres qui pendent comme des escalopes ! Et comme elles chient de grosses merdes puantes !… »

 Petit Pierre bande à nouveau, rouge et dur, bien arqué : son gland lui monte très au-dessus de l’estomac. Les gosses hyper-membrés sont excitants ; ceux dont l’asperge rose est encore minuscule ne le sont pas moins… Petit Pierre regarde la pine monstrueuse de son père qui se lève vers lui, écarlate et couverte d’une épaisse couche de merde rapportée de plusieurs culs différents. La bite lourde et longue du jeune Yacine quitte la bouche gourmande de Laurent Celica. Le jeune Beur s’avance vers Petit Paul, qui se met à genoux, la tête par terre, et lève le cul en écartant les cuisses et en offrant les fesses. La trique du jeune Arabe vient faire mimi à la raie du cul, puis au ventre du bel androgyne, et trois jets de sperme incontrôlés fusent du méat pour atterrir sur le doux dos lisse, où papa Celica les cueille avec sa langue. Le gland violet du jeune Beur fait un gros poutou vicieux à la pinette arquée et aux couillettes de l’enfant qui offre son cul.

 Yacine est un superbe jeune Arabe. De longs cheveux bouclés noirs, un corps musclé, des jambes aux cuisses nerveuses et aux fesses rondes. A dix ans, il possède déjà une touffe de poils couleur charbon sur le pubis, et de longs tétons sensibles, qu’il tripote sans cesse. Ses couilles bien pendantes, rondes, fermes et velues, chacune de la taille d’une mandarine, sont surmontées d’un phallus superbe. La pine, à la peau brune, est circoncise et sillonnée de grosses veines bleues où bat un sang vif. Elle mesure vingt-deux centimètres de longueur sur cinq de diamètre. Yacine s’en sert dix fois par jour au minimum. Quand il baise et encule sa mère, ses sœurs ou sa grand-mère, excitantes guenons hyper-poilues ; quand il sodomise son père, membré comme un âne, son grand-père ou ses frères, également bités très gros ; ou avec toutes sortes d’autres personnes des deux sexes et de tous les âges. Il bande presque sans interruption. Pour l’heure, il va fêter le trou merdeux de Petit Paul, qui attend la monte, prosterné comme une petite femelle en chaleur.

 Yacine tourne vers lui la tête de l’enfant et l’embrasse : les langues se mêlent, les salives coulent, ils se crachent l’un l’autre dans la bouche. Le jeune Beur explore et caresse le délicieux corps de l’enfant brun aux longs cils de fille. Il insiste sur les seins, ultrasensibles, avec des bouts très longs, et qui commencent à pommer. Petit Paul aura bientôt une poitrine de fille. L’Arabe palpe le ventre offert, ombré de duvet noir, dense et long, mais très doux. Il touche les organes sexuels : les couilles de l’enfant sont pubescentes, minuscules et rondes comme des noisettes. La pine est une jolie tige dure, quoique de dimensions réduites. Rouge et très arquée, avec un beau gland fin décalotté, elle s’apparente davantage à un clitoris. Elle mesure cinq centimètres de longueur et à peine un centimètre de diamètre. Yacine adore téter ce pistil d’amour, du reste bien moins gros que l’énorme clitoris de sa sœur aînée, ou la quasi-pine que lui font si souvent sucer sa mère et sa grand-mère, avant de lui demander de leur étirer les nymphes, de les baiser puis de les enculer.

 Petit Paul remue les fesses avec impatience : il a besoin d’être couvert. Monté. « Fécondé »… Il aime être pris par un mâle, et plus la queue élargit son anus enfantin, plus il aime. Il le dit. Il le réclame… « Mets-la moi ! Oui… Vite, j’ai besoin d’une queue dans mon cul… Prends-moi comme une petite fille en chaleur… » Yacine s’occupe d’abord d’exciter son trou sale. Il prépare le mutuel plaisir de la sodomie. La langue gourmande du jeune Beur se pose puis s’agite sur le cul du gamin. Elle explore l’entrefesses tapissé de duvet précoce, elle le trempe de salive et trouve l’ouverture du bonheur, déjà très élargie. Elle langote les boursouflures, les peaux pendantes et les fissures du sphincter, devenu béant à force d’être visité par les doigts, les bites de toutes tailles ou les clitoris hors normes. Le jeune Beur lèche en profondeur la fente anale de Petit Paul. L’anus suinte, pète en vibrant et vomit plusieurs jets épais d’excréments amers et chiasseux, d’un jaune verdâtre excitant. Yacine en a la bouche remplie, le bas du visage mâchuré, les joues et la poitrine crépies. Il se pourlèche. Il aime.

 Le jeune Arabe se relève à quatre pattes et se prépare à la monte. Il présente son membre d’amour à l’orifice immonde de la petite pute ambiguë. Le gourdin sexuel du jeune étalon, circoncis, rouge-violet et empli de sang vif, gonfle encore de désir. Yacine pose son gland sur l’anus de Petit Paul qui tend les fesses et réclame le mâle, telle une gamine en chaleur à quatre pattes devant son papa. La tête phallique touche la fente à merde, repousse vers l’intérieur les paquets de peaux et de muscles lacérés, et force le passage. Le sphincter s’épanouit au passage de la bite. La queue du Beur s’enfonce avec détermination dans le trou de Sodome du bel enfant brun, qui gémit comme la fillette qu’encule un papy ou un tonton pédophiles. Dix centimètres, vingt centimètres disparaissent dans le gros intestin. L’enculage est aisé, tant l’orifice est bien ouvert. C’est tellement bon, un jeune rectum qui aime et en redemande…

 Yacine enfonce jusqu’aux couilles sa grosse bite d’enfant précoce dans l’ampoule intestinale remplie de merde chaude et chiasseuse de Petit Paul Puis il commence de se retirer. La tige sexuelle sort du boyau en étirant loin en arrière les peaux brisées. Elle est couverte d’une purée de chiottes jaune verdâtre, puante, pestilentielle à souhait, mêlée de traînées de sperme épaisses et glaireuses, qui témoignent à quel point le gamin s’est déjà fait arroser l’intérieur du boyau avant de venir au rendez-vous de Petit Pierre et de son papa.

 « Qui t’a déjà enculé, ce matin ? » demande le jeune Beur, qui renfonce en grognant la totalité de sa queue dans le fondement de Petit Paul.

 « Ben… Mon papa et mes cinq tontons, comme tous les jours ; ma maman, ma mamie et mes cinq taties, qui ont toutes une grosse pine de fille ; et aussi mon voisin Gérard qui a cinq enfants toujours tout nus et pleins de jute et de caca, avec lesquels il joue et il nous fait jouer à longueur de journée…

 - Hmm ! dit Laurent Celica, je les connais, ceux-là !... On fait beaucoup de saloperies sexuelles, tous ensemble, adultes et gosses réunis… Nom de Dieu de saloperie de trou du cul pour pédophile : je trique à nouveau, et j’ai besoin d’un WC humain pour y planter ma queue… Yacine, je vais te monter pendant que tu montes Petit Paul. Petit Pierre va sucer Petit Paul, et ça m’étonnerait qu’on ne jouisse pas divinement, tous ensemble, pourvu qu’on ait tous beaucoup de caca sur la bite, sur le cul, et surtout dans la bouche ! »

  Yacine encule à fond le joli Petit Paul : sa grosse queue de jeune Arabe hypersexué s’enfonce jusqu’aux couilles dans le rectum merdeux du mignon garçonnet aux longs cils de fille. L’adulte indigne vient se poster derrière le Beur. Celui-ci s’arrête un moment de culeter : il attend que l’adulte le couvre en faisant beau cul, comme une jeune pouliche offerte à l’étalon. Papa Celica, le membre raide, monstrueusement long et épais, gonflé et dur comme un gourdin, poste son énorme gland violet et couvert d’excréments sur le fion saccagé et brenneux du jeune Arabe, et commence de pousser. La tête phallique écarte les chairs déchirées du sphincter. Elle les repousse vers l’intérieur, elle ouvre le canal tiède et infect. Le membre de l’adulte s’enfonce comme un boa dans le trou du gamin. La queue colossale disparaît au tiers, puis à moitié, finalement en entier dans le rectum du garçonnet de dix ans. L’anus du jeune Beur est dilaté au maximum, au point que les parois du sphincter sont devenues toutes fines, prêtes à céder. Mais l’orifice serre divinement le membre du pédophile et semble le téter comme une bouche de fatma.

 Bien enculé par Papa Célica, Yacine enfonce à nouveau sa grosse queue d’enfant pervers dans le rectum de Petit Paul : la double sodomie excite tout le monde. Les culs se lèvent, plongent, se lèvent, plongent, se lèvent, plongent… Papa Célica donne le rythme. Lorsque les pines se dégagent aux trois quarts des anus qu’elles fêtent, elles en extraient des paquets de merde tiède et fumante ; puis elles s’engouffrent à nouveau dans la caverne. Les va-et-vient s’accélèrent, les excréments puants couvrent les phallus et les couilles, giclent et viennent tapisser les cuisses et les ventres, où des mains impatientes les recueillent et les portent vers les bouches avides.

 Petit Pierre contemple la scène. Il bande comme un bouc, bave et se masturbe en regardant son papa qui encule Yacine, lequel sodomise Petit Paul. Il attrape, à mesure qu’ils sortent, les paquets de merde chiasseuse qui enrobent la queue du jeune Beur, et les épaisseurs de fumier brun sombre qui collent à la bite chevaline de son papa. Il en barbouille la figure et la poitrine des trois sodomites. Il s’en tartine le visage, les seins, le ventre, la queue, les couilles, le cul. Il en ramasse des morceaux tièdes et puants, et les enfile dans enter les lèvres avides de son géniteur pédophile et de ses deux copains. Il en mâche et en avale lui-même de grosses bouchées amères et gluantes, en râlant que c’est bon, la merde, la pisse, les couilles, la bite, le trou du cul, la jute…

 Petit Pierre se couche sur le dos, la tête sous le ventre de Petit Paul. Tandis que son père lui attrape la bite et la lui secoue en lui fêtant aussi l’anus avec quatre doigts, l’enfant s’empare de la jolie queue raide de Petit Paul. Il bisouille le membre sensible et l’engloutit tout entier dans sa bouche tiède, trempée de salive et d’excréments. La merde sort de l’anus de Petit Paul, que défonce la bite de Yacine. Elle descend en cascades brun verdâtre sur les couillettes et la pinette du beau garçonnet. Celui-ci bande dur. Sa virgule de viande rouge arquée, couverte de caca, est délicieuse. Petit Pierre tète goulûment cette flèche souillée et excitée. La fellation experte fait son effet : divinement sodomisé et sucé, Petit Paul se met à pousser de longs gémissements de bonheur, qui se transforment en grognements de plus en plus extatiques, mêlés de bouts de phrases excitants : « Baisez-moi, sucez-moi, bande de porcs… Faites-moi boire de la pisse et bouffer de la merde… Je vais jouir, c’est bon, c’est bon, ahhh !… Je jouis, je jouis, c’est trop booooon… »

 Au contraire de Petit Pierre et de Yacine, déjà capables d’éjaculer de belles quantités de sperme à dix ans, Petit Paul a encore les orgasmes secs. Mais les huit ou dix longs spasmes de sa quiquette, que Petit Pierre sent entre langue et palais, trahissent l’intensité et la durée de son plaisir sexuel. Le gamin culète dans la bouche de son copain, frissonne et délire. Il est secoué, abasourdi, submergé par la jouissance génitale et anale. Il s’affale sur le sol, vaincu par la volupté, tremblant de bonheur et tout juste capable de longues plaintes lascives qui ressemblent à celles qu’il poussait, bébé, quand son papy lui fêtait le zizi et le trou du cul pendant des après-midi entières, sous prétexte de lui changer ses couches et de lui apprendre à être propre.

 Toujours enculé à fond par le membre sexuel chevalin de Laurent Célica, Yacine retire du rectum de Petit Paul son phallus de vingt-deux centimètres sur cinq. La queue du jeune Beur, prête à juter, enduite de matières fécales épaisses, verdâtres et puantes, claque sur son ventre. Petit Pierre se jette dessus : il attrape la colonne merdeuse à deux mains, il la pétrit et la masturbe. Il palpe les couilles souillées d’excréments et pose les lèvres sur le gland tapissé de chiasse. Il bisouille la tige en érection. Il ouvre la bouche et engloutit résolument la tête phallique immonde, puis tout le cylindre sexuel qu’il se met à téter en déglutissant le jus de merde amer et divinement bandant.

 Les enfants bien éduqués savent sucer. La langue experte et les lèvres de Petit Pierre comblent Yacine, dont les fesses et le ventre se contractent, et qui se lance à son tour dans de longs gémissements de plaisir, accompagnés de jurons et de grognements. La bite du jeune Arabe de dix ans, saisie de spasmes, crache, crache, crache dans le gosier de Petit Pierre une douzaines de longs jets de foutre gras et laiteux, que le téteur avale tant qu’il peut, mais qui abondent à tel point qu’une partie ressort au coin des lèvres et dégouline sur le menton, le cou et la poitrine.

 Petit Pierre se régale du sperme juvénile de Yacine, mêlé d’excréments de Petit Paul. Sa pine, à lui, se dresse sur son ventre, la tête au ciel, décalotté, raide à mort. Elle demande à jouir d’urgence. On se souvient qu’à dix ans, Petit Pierre possède déjà un membre génital de vingt centimètres de longueur sur quatre et demi de diamètre. Héritage de l’hypertrophie sexuelle de son père, et résultat de pratiques pornographiques enfantines intensives et quasi permanentes…

 « Viens m’enculer, mon chéri ! dit papa Célica. Viens me prendre… Je vais jouir dans le boyau de Yacine. Tu juteras dans mon trou sale, j’adore ça, tu le sais…

 - Bien sûr, papounet adoré… Fais beau cul pour moi… Cambre-toi… J’écarte tes fesses poilues et merdeuses… Tu t’es chié dessus, mon salaud ! Et tu chies encore, sale porc que tu es… Tu me fais un gros étron puant, je te l’étale sur les fesses et sur le dos, j’en mange… C’est amer. J’aime ton caca… Tu es ignoble. Tu ne penses qu’au sexe et à la merde… Donne ta grosse chatte de pédale à ton enfant qui t’adore : oui, pousse, pousse fort, ouvre-toi large, encore plus large… Putain, que tu es sale ! Tu chies sans arrêt. La merde sort de ton trou de chiottes sans même que tu t’en aperçoives… Et tu as toujours le boyau plein, hein, salope… Tu aimes que ton petit Pierrot chéri t’appelle « ma salope », « vieille truie », « vache à merde », « chèvre qui va au bouc », et ainsi de suite ? Tu aimes, dis-le ! »

 Les couinements et les grognements de plaisir de papa Laurent sont une réponse positive. « Ohhhh !... Continue de m’injurier, mon fils : oui, vas-y ! Traite-moi… Je vais juter ! Mets-moi ta queue dans le cul ! Prends-moi, prends-moi vite, encule ta petite pute à grosse bite, monte-moi, couvre-moi, féconde-moi, je suis une femelle à merde qui aime les enfants et qui est prête à gicler… »

 Petit Pierre se dispose derrière le derrière de son papa qui encule Yacine jusqu’aux couilles. La queue du fiston touche les peaux pendantes et les fissures puantes et merdeuses de l’anus paternel saccagé, qui ressemble à une énorme vulve, ouverte sur plus de douze centimètres. La bite du gamin, quoique de taille remarquable, s’enfonce sans aucune résistance dans le rectum gorgé d’excréments tièdes et puants. Petit Pierre attrape les deux tétons de son père, les tire et les tord. Laurent Célica gémit et bave de plaisir. Petit Pierre commence de culeter de toute la force de son petit corps de dix ans : sa queue s’enfonce et ressort dans l’intestin paternel, au même rythme que celle du père infâme, qui va et vient dans le trou de l’Arabe. La puanteur de la merde, le goût des excréments, l’intensité de l’enculage dans la « terre jaune », tout porte les deux acteurs au summum du plaisir.

 Ils halètent, ils crient, ils gémissent, ils poussent les pires jurons, ils s’exclament qu’ils jutent, oui, ils jutent, ils déflaquent, ils déchargent, ils dégomment, ils giclent, ils arrosent, ils éjaculent… Les deux queues lancent en même temps de longs jets de sperme tiède et gras, qui concluent la séance de pédérastie scatologique et incestueuse, et semblent écrire sur la paroi du rectum qu’elles crépissent le mot « plaisir ».





LES RECITS DE L’ HLM DE LA MERDE  

CHAPITRE I - PETIT PIERRE, PAPA,  PETITS AMIS, GROS CACAS