Linda de Zouza et sa gamine Luisa continuent leur périple au Camping de la Merde. Jolies, bandantes, atteintes d'hirsutisme et d'hypertrophie sexuelle. Le corps couvert d'une fourrure noire excitante. Les lèvres génitales en escalopes, pendantes jusqu'aux genoux pour la mère, plus bas que la mi-cuisses pour la fille. Le clitoris bandé jusqu'au nombril, sur un ventre moussu de poils. Le trou du cul béant, offert et sali de merde, de pisse et de sperme. Gluant de la salive des obsédés qui lèchent cet orifice avec délices… Les deux femelles sont excitées par la morve, la jute, la cyprine, l'urine, les excréments. Sales et vicieuses.


        Elles quittent deux papas incestueux, pédophiles et scatophiles, qui viennent d'enconner puis de sodomiser leurs gamines en bas âge (qu'ils se sont échangées et dont ils ont bu l'urine et mangé la merde), afin de leur donner leurs indispensables vitamines : de longues giclées de bonne jute grasse et tiède dans le rectum et la bouche, comme devraient en recevoir plusieurs fois par jour toutes les petites filles et tous les petits garçons du monde.


        Linda et Luisa de Zouza, le clitoris en érection, n'ont pas fini de jouir. La maman a déjà, ce matin,  enculé profondément sa fillette, et leur plaisir fut intense. Le membre sexuel de Linda, long de vingt centimètres, dégouline des excréments puants et tièdes de sa gosse, dont la flèche d'amour atteint dix centimètres et continue de résumer le plaisir et le vice à mesure qu'elle marche.


        Elles avisent une autre tente. Le spectacle qui s'offre à elles est, une fois encore, ignoble et superbe. Une jeune mère de famille de vingt et un ans, nue, hyperpoilue, elle aussi sexuellement très anormale, s'offre à son fils de dix, adorable et excitant bambin pourvu d'une bite énorme. Un enfant qu'elle a eu de son propre père, quand elle n'avait elle-même que onze ans ; fécondée à dix...


        La maman est petite, jolie, grassouillette et très brune. Elle possède le ventre rond des bonnes chieuses, un cul large et des fesses hypercambrées et relevées, comme chez les Négresses. Elle s'expose, les jambes écartées, devant son enfant qu'elle appelle Paul. Le gosse est brun comme sa mère, le visage magnifique, le nez fin, les lèvres pulpeuses, les yeux noirs garnis de cils immenses. Le corps fin et délicat, la peau douce, la poitrine adorable, avec deux seins aux bouts très gros, érigés, très sensibles... Les cuisses et les jambes, bien tournées, sont portées par un petit cul délicieux, aux fesses blanches, douces, rondes, rebondies, très profondément fendues, entre lesquelles dépasse un anus bizarre, brun-rouge, énorme, éclaté, défoncé, avec des peaux déchiquetées et pendantes. Le gamin a visiblement été sodomisé par les plus gros membres sexuels depuis sa prime enfance. A commencer par la bite colossale de celui qui est à la fois son papa et son papy...


Sur le pubis du garçonnet de dix ans, une petite touffe noire de poils précoces surmonte un système sexuel monstrueux. Les couilles, gonflées mais encore glabres, grosses comme des pommes, roulent sur les cuissettes, et sont dominées par un phallus colossal ; une flèche de poulain en rut. La pine de l'enfant, en quasi constante érection, est noueuse, rouge, veinée de bleu, dotée d'un très long collet sale et d'un gland cramoisi, aux ailes larges, en forme de coeur de veau. Elle atteint vingt-cinq centimètres de longueur sur six de diamètre, s'arque joliment sur l'abdomen et monte bien plus haut que l'estomac ; jusqu'au sternum.


        " Maman, dit l'enfant : je t'aime ! Tu me fais bander... Tu es tellement poilue, tellement sale... Tu vas faire boire ton gros pipi chaud et manger ton gros caca sale à ton bébé chéri... Regarde comme je m'astique la queue pour toi, maman... Je vais toucher ta fente et ta grosse queue de fille... Je vais lécher ton trou du cul, boire ton jus et ta pisse chaude, et manger ta grosse merde !


        - Toi aussi, mon petit Paul adoré, tu vas me donner toutes tes bonnes choses à boire et à manger. Je suis ta maman qui t'aime et qui trique pour ton anus et pour ta grosse queue. Viens ici, que je te langote la bite et le trou à caca... Toutes les mamans du monde devraient sucer la queue et la rondelle de leurs gosses plusieurs fois par jour : il n'y aurait plus de problèmes d'éducation ! "


        Le fils s'approche de sa mère incestueuse et pédophile. Il lui présente sa tige lourde, raide, rouge. La maman regarde le membre de l'enfant avec de l'amour dans les yeux : cette bite l'a tellement fait jouir, depuis tant d'années ! Elle attrape le gourdin en érection dans ses adorables mains poilues, et commence doucement à le caresser, le patrouiller, le branler, l'exciter. Elle adore l'hypertrophie sexuelle de son gosse, directement héritée de celle de son papounet. Elle caresse les fesses douces et blanches du gamin, insinue sa main velue dans la raie glabre, trouve le large troufignon sale qui palpite, excite les peaux de l'anus déchiré, les étire, les ouvre et introduit deux, puis trois, puis quatre doigts dans le rectum. Le muscle éclaté, abîmé, dilaté, se laisse faire, se donne, s'offre en béant. L'enfant lâche un train de pets puants que la mère inhale en fermant les yeux de plaisir. L'enfant pousse en contractant son ventre lisse. Les projections brenneuses brunes qui accompagnent ses flatulences crépissent le visage de sa mère, qui lèche ces paquets de merde molle en gémissant.


        " On va se couvrir de caca ! dit la salope qui bisouille, lèche, mordille et tète le trou du cul, puis le sexe énorme et rouge de son gamin.


        - On va se chier dessus, maman chérie, oui, comme avec papa ! ", dit le gosse qui branle les nichons velus et les aisselles garnies de poils de sa mère, puis palpe et caresse passionnément le ventre, les cuisses, le cul maternel où moutonne une incroyable toison noire.


        Les partenaires vicieux se mettent en 69, la mère au-dessus. Maman moustachue attrape la queue de son gosse dans sa bouche aux grosses lèvres gourmandes. Elle adore l'épaisseur et la longueur du membre filial, son gland violet bien fendu, ses veines saillantes, son collet constamment sali de sperme, d'urine et d'excréments. Elle bisouille et suce goulûment la tige raide amoureuse du poulain, qui adore cette fellation pédophile.


        Le garçon jouit du paysage sexuel ahurissant de sa mère. Il lape la flèche en érection du clitoris, qui mérite le nom de " clitopine " et arbore un gland rouge bien formé. Il saisit à pleines mains les lèvres génitales et les tripote, les étire, les lèche, les mordille. Les nymphes de la femelle sont énormes, en forme d'oreilles de cochon, roses, épaisses, trempées de jus. Elles pendent incroyablement. Lorsque le garçon les étale, elles couvrent toute la moitié supérieure des cuisses velues. L'enfant langote et mordille ces drapeaux sexuels et le clitoris qui les tend. En retour, maman lui tète la pine et les couilles, puis redescend lui explorer l'anus. La langue du gosse s'enfile dans le vagin de l'adulte, dont le trou à pisse se met à cracher des jets d'urine jaune, tiède et ammoniaquée, que le petit boit comme un drogué.


        " Pisse ! Oui, pisse, maman adorée ! gémit petit Paul, qui déglutit et s'emplit d'urine âcre.


        - Tiens, mon amour, grogne la salope : bois la pisse de ta maman obsédée. Régale-toi de mes saletés, c'est si bon. Et pisse aussi, mon amour !

"


        L'enfant contracte son ventre. Sa queue, quoique bandée, réussit à pisser. L'urine jaillit en jet puissant, jaune sombre, et vient emplir la bouche de la femelle qui boit, boit, cette bière de vessie tiède et délicieuse.


        " Maman, dit le petit Paul, mets-toi à quatre pattes comme une truie : je veux t'enfiler et t'enculer...


        - Oh !... Salaud ! gémit la mère, les yeux pleins d'amour, en s'installant comme une bête, le cul levé, impatient, tendu vers le gamin : tu veux baiser et sodomiser ta maman... Tu sais que c'est sale et très mal, ça !... En plus, je suis pleine de jus, de pisse et de merde... Tu vas t'en mettre plein sur la queue et les couilles... Et ton papa, qui est aussi le mien, m'a

déjà enculée tout à l'heure : il a giclé comme un fou...


        - Maman, tu me fais triquer, ma pute ! Moi aussi, papa m'a enculé tout à l'heure... Maintenant, il est en train de jouer à pipi caca avec la petite voisine rousse... Elle n'a que six ans, mais elle adore les grosses queues...


- Moi aussi j'ai joué avec elle... Et avec sa maman toute poilue et sale comme une truie... Toutes les deux m'ont sucée divinement et mangé la merde au cul...


- Oh ! maman, je t'aime ! Tu es tellement velue ! Je te regarde. Je bande… Les poils noirs te couvrent la peau depuis le dos jusqu'aux pieds... Tu en as plein les fesses, la raie du cul, les cuisses, le ventre : on dirait une bique... Tes dessous de bras sont envahis de poils noirs, on dirait des cheveux. Et tes nichons aussi... Nom de Dieu, je bande ! Je te caresse la chatte, maman adorée, tu coules tellement le bon jus ! Et ton trou du cul s'ouvre. Il est déjà tout merdeux...


        - Tu sais que je ne me torche jamais... Tire fort sur mes lèvres, fais-les pendre, trais-les, étale-les sur mes cuisses, oui, mon amour ! Je me masturbe pour toi ! Je m'excite le clitoris et les escalopes ! Regarde ta mère qui se branle pour toi... Et qui te donne sa chatte et son boyau sale à enfiler !


        - Maman, oh ! c'est trop bon !... Ma grosse bite d'enfant sale touche ta grande fente baveuse, tu sens comme je suis raide ? Tu es toute trempée, maman chérie... Je t'enfile, tu sens ? Je rentre ma pine dans ton ventre… Hmm... C'est chaud, c'est doux, ton vagin, mon amour...


        - C'est par là que notre papa t'a fait et que tu es passé en naissant, mon garçon ! Ouiii... Enfonce ta queue ! Baise ta mère pédophile et incestueuse, hmm ! c'est délicieux ! Va plus loin, jusqu'au fond, oui, encore, encore, remplis-moi... Tu es énorme, mon trésor, comme ton papa-papy, comme mes frères, mes oncles et tous ces autres salauds de la famille, qui m'ont baisée et enculée tant de fois...


        - Je t'enfile jusqu'aux couilles, maman chérie, balbutie l'enfant. Je t'aime très fort ! Raconte-moi : papa, il t'a fait l'amour à quel âge ?


        - Il m'a juté dans tous les trous depuis ma naissance... Un jour, quand j'avais dix ans, il a vu que je perdais un peu de sang : mes premières règles. Il m'a bien léchée. J'ai joui comme une folle. Il dit : " Ma chérie, maintenant que tu fais du sang, tu es devenue grande. Il va falloir que je te féconde… " Il m'a baisée jour et nuit. Il m'a mise enceinte et je t'ai porté neuf mois dans mon ventre... Je t'ai pondu par où tu me baises...


        - Et ce salaud de papa-papy n'arrête pas de m'enculer et de me manger la merde au cul... De me faire manger la sienne, aussi, et boire sa jute épaisse ! Hmm... Il va revenir tout à l'heure, hein ?


        - Oui, mon amour : ton papa-papy va revenir. Et tes tontons, et les autres... Mes deux frères et mes deux soeurs, tes oncles et tes tantes, sont allés aux chiottes des enfants pour se faire arroser de pisse et couvrir de merde. Ils adorent les pipis et les cacas des petits garçons et des petites filles du camping... Ils vont dégommer là-bas au moins dix fois par jour. Je les accompagne souvent... On y retrouve tous nos amis, les m'sieurs-dames pédophiles et scatophiles... Ils font venir leurs enfants, on s'amuse !


        - Oh, maman, je t'aime, ma salope... Je touche ton trou du cul, il est énorme, tout défoncé, tout ouvert, plein de caca marron et de jute de beaucoup de m'sieurs sales... Tu as le derrière si large, si velu et si dégueulasse, ma chérie... Tiens, je te fesse, tu aimes, hein ? Je te claque le popotin, sale gamine vicieuse ! Tu aimes que je te traite de fillette obsédée ?


- J'adore ! Tape-moi, oui ! Tape-moi fort : N'aie pas peur, j'aime être fessée ! Ohhh ! C'est bon...


- Tiens, cochonne ! Je te gifle aussi... Je ressors de ta chatte, maintenant je vais enfiler ma grosse bite dans ton pot de chambre...


        - Je suis constipée depuis trois jours, mon chéri... Hmmm... Je suis pleine. Je déborde de fumier et de sperme, mon petit Paul ! Je te sens sur ma rondelle défoncée... Enfile !... Oui, pousse, enfonce grosse saucisse dans mon intestin !... Fais-moi jouir du cul, oui, vas-y, pousse !... Putain que c'est bon, une queue dans l'intestin, je vais gicler... "


        A l'entrée de la tente où l'enfant hypermembré commence son va et vient. Il encule sa maman adorée. Linda et Luisa de Zouza regardent la scène en se masturbant mutuellement le clitoris, les lèvres de la vulve et l'anus. La fillette de quatre ans, hirsute comme une petite ourse, et sa mère velue comme une guenon, se font des langues baveuses et se sucent la morve en guise d'apéritif.


        La belle enfant Luisa n'est jamais à court d'idée. Elle sourit et s'approche de Petit Paul qui sodomise sa mère en geignant de plaisir. La gamine obsédée pose ses petites mains sur les couilles et la grosse queue du gosse de dix ans, qui va et vient dans le rectum maternel. La tige amoureuse ressort couverte d'une couche de plus en plus épaisse d'excréments brun sombre, presque noirs, collants et affreusement puants. La fillette attrape la queue merdeuse, la caresse avec ses jolis doigts d'enfant, tout en bisouillant la bouche et en suçant la langue du petit garçon surmembré. La vicieuse sait ce qu'elle veut : elle l'a déjà fait à sa mère. Du reste, Linda de Zouza l'annonce en souriant à la salope sodomisée qui gémit et râle de plaisir :


        " Toi, la pute femelle qui se fait enculer par son fils, tu vas la sentir passer !


        - Ohhh ! oui... Injurie-moi, traite-moi de maman pédophile et incestueuse... C'est ce qui me fait le plus bander, la merde, les enfants et les injures !


        - Vieille pouffiasse qui chie sur son garçon et qui mange sa chiasse ! Tu sais ce qu'elle va te faire, ma petite fille poilue ?


        - Non, je ne sais pas, salope que tu es ! Viens me chier dans la bouche, toi aussi ! Et ta gamine, qu'elle me les fasse, ses saletés ! Vite, je bande comme une femelle à bite que je suis... "


        Linda de Zouza vient se poster devant la mère sodomisée, et ouvre largement les cuisses. Elle offre son entrejambes hirsute et anormal. La maman, enculée par son petit Paul adoré, couine d'excitation, plonge la figure dans la masse incroyable de poils noirs, souillés de pisse, de merde et de cyprine. Elle attrape le clitoris phallique de Linda dans sa bouche, le tète goulûment, le lèche en soupirant de plaisir, le nettoie de ses excréments. Elle descend vers les lèvres vulvaires hypertrophiées, les lape, les gougnote, les étire tels d'énormes drapeaux violacés et sales. Sa langue enfile le vagin qui dégorge une cyprine épaisse.


L'enculée descend encore et trouve, dans la jungle du cul velu de Linda, l'anus dilaté, énorme, défoncé, déchiré, tapissé de matières fécales et de sperme. Linda de Zouza ne résiste jamais à une langue au cul, qu'elle soit femelle, mâle ou (surtout) enfantine. Elle se met à jouir. Elle éjacule de gros crachats de cyprine par le vagin, tandis que son clitopénis s'arque et vibre de spasmes. La salope urine de puissants jets jaunes, que la maman gouineuse et enculée avale avec délices. Et Linda de Zouza se met à caquer... Elle expulse à grands bruits un paquet fécal énorme. Les excréments, mous et brun sombre, puants à souhait, giclent de son vase anal en gros trouillons et forment, sur le tapis de sol de la tente, un prodigieux amas ignoble, luisant, garni de glaires et de filaments, que la maman velue se met à renifler, à lécher, à sucer, puis à dévorer, à gober à pleine bouche. Les lèvres moustachues, le menton, la langue

avide de la femelle pédophile et scatophile se couvrent de merde. La bouche gourmande s'emplit de caca, la salope gémit de plaisir en dégustant.


        Linda de Zouza lui ordonne : " Mange tout, salope ! " Elle vient organiser le reste de la scène avec les enfants. Elle se penche, lèche l'anus de sa fillette, laquelle pète de plaisir et lui lâche un paquet de merde molle dans la bouche. Linda avale (rien ne doit jamais se perdre) et se met à sucer le trou du cul du garçon, qui bée et pète longuement de bonheur.


        " Putain de bordel de merde, que c'est bon, dit Petit Paul : j'ai envie de chier et de juter...


        - Tu vas faire les deux, mon chéri ! dit Linda de Zouza.


        - Maman, zozote la petite Luisa, ze vais lui branler la queue dans le cul de sa mère !


        - Ah ! râle la maman enculée : c'est ça que tu veux me faire, petite fille de parents pédophile ? Hmmm !... Oui, je jouis, n'ayez pas peur, faites-moi les pires saletés ! "


        Petit Paul va et vient dans le rectum de sa maman, tout en pétant dans la bouche de Linda de Zouza. Son gros membre d'enfant du plaisir entre et sort de l'anus maternel défoncé, qui bâille et s'humecte de plaisir. Le vase maternel libère des quantités d'excréments, de plus en plus puants et collants, qui forment une gaine d'amour brun sombre sur la queue infantile excitée. Le garçonnet se met à chier, lui aussi. Les excréments dégorgent en masse de son orifice postérieur abîmé : ce sont de grosses limaces grasses, brun jaunâtre, tapissées de giclées de sperme de plusieurs précédents enculages, avec des glaires luisantes et des morceaux mal digérés. Une dizaine d'étrons de dix à vingt centimètres s'échappent de l'intestin du garçonnet. Linda de Zouza les cueille dans ses mains, les renifle, les lèche, s'en emplit la bouche, les mange goulûment, puis en tartine la figure et le corps de sa fillette velue, de la mère incestueuse et du petit garçon lui-même. Elle n'omet pas d'en garnir ses seins, son clitoris bandé, ses lèvres vulvaires, son cul et ses cuisses simiesques. Elle en saisit un gros paquet, qu'elle applique sur le sexe anormal de sa gamine : le clitoris de l'enfant, crépi de merde, bande comme une bite d'adolescent vicieux. Les lèvres génitales de la petite Luisa coulent un surabondant jus d'amour.


        La fillette velue va maintenant officier. Elle est belle, dans ce rôle... Elle attrape résolument et serre dans sa menotte la pine raide du garçonnet, qui ressort bien merdeuse du trou du cul maternel. Elle accompagne la rentrée du sexe dans l'anus. Le sphincter élargi, détruit, béant, se prête docilement à cette pénétration spéciale. La bite de Petit Paul et la main de Luisa écartèlent ensemble l'orifice en séparant les peaux et les muscles brisés sur un diamètre de plus de dix centimètres. Les doigts de la gamine disparaissent dans le rectum en même temps que le gland du gamin. Puis le reste de la menotte, du poignet et de la queue s'enfoncent ensemble, avec un bruit doux et une aisance qui rappelle la fosse du même nom. La queue infantile et l'avant-bras de la fillette sont bientôt tout entiers dans le pot de chambre de la mère indigne, l'une jusqu'aux couilles, l'autre jusqu'au coude.


La maman, enculée et fistée à la fois, gémit, grogne, feule, halète puis crie, hurle de plaisir et pisse en déféquant de gros morceaux brun sale et puants, sans aucun contrôle possible.


La fillette se met à masturber (d'abord lentement, puis de plus en plus vite) la mentule du garçon à l'intérieur du rectum de la maman. Jamais branlette de gamine ne fut plus délicieuse. La mimine experte de Luisa pignole la verge du garçon, et c'est un bonheur ! La mère, remplie et stimulée par les coups de poignet excités, jouit en râlant, en gémissant, en pleurant de joie, telle une Messaline. Le garçonnet bave, couine et murmure que, ça y est, il dégomme, il crache, il jute comme un salaud dans le cul de sa maman : et, en effet, sa queue énorme et précoce lâche de longs jets de sperme qui fusent et claquent sur la paroi intestinale, et renforcent encore si c'est possible) le plaisir de l'adulte. De son côté, Linda de Zouza vient enculer sa fille tout emmerdée en lui masturbant le clitoris raide. Les deux salopes et leurs enfants basculent en jurant dans des successions d'orgasmes sublimes...


Rejointes, dans les sphères du plaisir, par tous les obsédés qui lisent ce texte et qui, ayant libéré leur pine et longuement craché dessus pour la rendre plus douce, s'astiquent comme des obsédés que ces horreurs excitent !



LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE

CHAPITRE 14 - LA MAMAN VELUE ET SON PETIT ENCULEUR