Linda de Zouza est Portugaise.
Elle habite l’appartement 8, escalier M, de l’H.L.M. de la Merde. Elle passe ses vacances au Camping de la Merde. Elle est belle et sale. Sale et velue. Poilue comme une ourse. Crade, cradoque, cradingue. Obsédée par le sexe et la scatologie. Elle a mangé, hier au soir, des quantités déraisonnables de brandade de morue, plat dont elle raffole et qui lui donne les plus intenses plaisirs intestinaux, c’est-
La femelle se caresse. Elle a envie de chier, là, tout de suite. Elle doit faire ressortir et béer son gros anus. Pousser. Se répandre. Caquer. Elle veut jouir avec ses excréments. Elle bande. Elle mouille : or, pour elle, comme on le verra, ces verbes prennent leur pleine signification.
Elle décide d’aller à la plage en compagnie de sa fille, Luisa, mignonne enfant, encore presque bébé, âgée d’à peine quatre ans, qui dort pour l’instant, toute nue devant la tente, les cuisses grandes ouvertes, en exposant à tous ceux qui passent son étonnant corps d’enfant à la peau douce et très duveteuse, et ses organes génitaux à la conformation bizarre.
La gamine ressemble à sa mère. Comme la plupart des Portugaises, Linda de Zouza et sa fillette sont atteintes d’un sévère hirsutisme congénital, entretenu par des pratiques sexuelles perverses et délicieuses, telles que les bains de sperme et d’urine, et le badigeonnage régulier de la peau avec des onctions de pisse et d’excréments.
Linda de Zouza, la mère indigne, est plus que poilue : velue comme une guenon. Elle est fière de cet excès de laine sur sa peau brune. Elle jouit de son obscénité. Elle est de taille moyenne, la figure jolie, l’œil noir et ironique, le nez long (signe de clitoris hypertrophié) et la bouche large (signe de très vaste vulve). Elle est dotée de cuisses et d’un cul musclés. Sa poitrine est plate, mais avec deux suçoirs énormes. Elle a les cheveux aile-
Linda de Zouza sait qu’elle est bandante. Elle lâche trois pets infects, au bruit de trombone et qui semblent ne plus finir. Elle regarde, devant la tente, sa gamine nue, qui se pétrit la vulvette en gémissant dans son sommeil. « Putain qu’elle va être velue, cette jolie petite gosse ! pense la mère, qui détaille les gambettes, le cul fendu et le ventre hérissé de longs duvets noirs de la fillette. Pour le moment, ce n’est encore que du duvet, mais avant de fêter ses dix ans, elle sera couverte de poils ! J’ai été comme ça… »
Linda de Zouza sait qu’elle va faire des saletés. Elle ne peut pas s’en empêcher. Elle va en commettre avec sa fille chérie et les amateurs d’anomalies sexuelles qu’elle trouvera parmi les tentes et sur la plage. Elle a repéré, ce matin, un mâle au membre viril gigantesque, accompagné de son petit garçon monté comme un ânon. Elle veut les séduire. Elle n’aura pas de peine. Elle sait qu’ils sont bizarres, sales et pervers. L’homme était dans un monstrueux état d’érection, au supermarché du camping, où il faisait ses courses, nu parmi les hommes, les femmes et les enfants déshabillés. Sa queue colossale lui montait au sternum. Son gamin se masturbait devant une pile de Chocos BN, tandis qu’une vieille femelle velue de gris, le corps constellé de taches de sperme et dotée d’un large cul garni de poils et collant de merde, se tripotait les escalopes sexuelles en pignolant son gros clitoris. Linda de Zouza songe à ces scènes. Elle mouille comme une guenon en chaleur.
Elle vit nue, comme tout le monde, au Camping de le Merde, où chacun apprécie la noirceur bestiale de sa fourrure naturelle. Son corps entier est hirsute. Ses avant-
Linda de Zouza regarde son abdomen, son cul et ses jambes, qu’elle n’épile plus depuis ses onze ans, après que son père les lui eut rasés intensivement entre l’âge d’un an et ses premières règles pour (disait-
Linda de Zouza ne met jamais de culotte, même en ville. Elle ne supporte aucun accessoire. Elle se regarde. Elle sourit. Sur sa poitrine plate et poilue comme celle d’un mâle, ses tétons bandent comme deux bites de garçons. Sur son abdomen, les poils sont si denses et longs qu’on a l’impression qu’elle porte une jupe. Elle écarte les cuisses et regarde paraître, balançant entre les cuisses, ses deux nymphes génitales extraordinaires : deux tranches de viande rouge ; deux biftèques écarlates qui suintent ; deux escalopes sexuelles géantes qui pendent depuis la vulve, plus bas que la mi-
Linda de Zouza possède un sexe et un corps hors normes. Elle s’admire et commence à se branler. Tout l’abdomen, depuis l’entre-
On pourrait croire que cette surabondance de phanères empêche de voir le sexe et l’anus. Il n’en est rien, tant ceux-
Le clitoris de Linda n’accepte qu’un adjectif : monstrueux. Cette tige à plaisir féminine mérite le nom de « quasi-
Elle est pédophile. Elle adore donner à téter sa pine femelle, sa vulve et son anus aux gamins et aux gamines. Même aux bébés, qui ont la bouche si baveuse, si chaude et si douce…
LES RÉCITS DU CAMPING DE LA MERDE
CHAPITRE 1 -