Voba fût déçue: les excès de Bhuti l’avait épuisé. Elle sombra dans un profond sommeil dès que sa tête toucha l’oreiller. La pauvre gamine, frustrée, mit du temps à trouver le sommeil. Elle se réveilla tôt et sa mère dormait encore, ronflant discrètement. Voba sortit du lit et quitta la chambre. Passant devant la chambre de son frère, elle vit qu’il était éveillé. Elle entra et, s’approchant du lit, elle souleva sa robe de nuit au-dessus de la ceinture, dévoilant sa petite fente rose.


 - Tu veux jouer ce matin ?


 Tuan repoussa la couverture et lui exhiba son sexe qui durcissait seulement à la vue du petit con de sa soeur. Voba grimpa sur le lit et s’allongea sur son frère. Tuan, saisissant les fesses maigres Voba, l’attira vers sa bouche et il entreprit de l’embrasser, sa langue forçant le barrage des lèvres et explorant la petite bouche rose de sa soeurette. La petite langue de Voba ne resta pas inactive et elle tentât de son mieux, de répondre au baiser fraternel. En même temps, elle frottait son ventre sur la queue de Tuan, qui appréciait le geste.


 - Tu n’en as pas eu assez cette nuit ?


 - Je n’ai rien eu cette nuit ! Maman a dormi comme une souche.


 - Viens, je vais arranger ça.


 Agrippant sa soeur, Tuan la fit rouler et il se retrouva sur le dessus, écrasant Voba de tout son poids. Immédiatement, la gamine écarta les jambes au maximum. Elle guida son frère pour lui faciliter la pénétration. Tuan poussa lentement sa pinne dans le petit con serré qui se lubrifiait lentement étant donné son jeune âge. Voba ferma les yeux et étendit les bras en croix: elle savait que son frère la voulait passive et immobile. La queue s’ajustait parfaitement dans le con de sa soeur. Tuan prit appui sur la main gauche et, de la droite, caressait le mamelon de gauche de Voba. Il le pinçait et le tordait un peu: cela l’amusait de voir Voba grimacer sous l’effet de la douleur excitante. Quand elle ouvrit la bouche sous l’effet de l’excitation, Tuan plongea et plaqua sa bouche contre celle de sa soeur tout en continuant à pistonner le vagin étroit. Ses fesses se contractaient et se relâchaient à un rythme rapide: il sentit la jouissance monter et ne tentât pas de se retenir. Son dos s’arqua et se fesses se contractèrent quand il propulsa des jets de sperme dans le trou de sa soeur. Quand il se retira, sa queue reluisait d’un mélande des sécrétions de Voba et de son jus. Il chevaucha la petite fille et lui présenta sa pinne à lécher. Voba ouvrit la bouche, sortit la langue et nettoya son frère. Ils s’habillèrent, mangèrent un peu et quittèrent pour aller jouer.



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 Trannie se leva avant sa mère et enfila un peignoir. Il prit son repas du matin et comme Bhuti ne se réveillait pas, il décida de faire du shopping. Quand Trannie revint deux heures plus tard, Bhuti finissait de prendre les poussières dans l’appartement. Elle portait un vieux t-shirt usé pratiquement transparent et des shorts en jeans tellement courts que l’on voyait la moitié des fesses. Trannie prit place sur le divan en cuirette et regardait sa mère se trémousser pour atteindre les étagères du haut de la commode qui cachait la télé. Lorsqu’elle soulevait les bras, on voyait le bout des tétines qui pendaient sur son torse. La queue de Trannie gonflait à vue d’oeil. Bhuti lui jetait un coup d’oeil et reprenait sa tâche, souriante. Trannie s’arquebouta sur le dossier afin de soulever ses fesses et tira sa robe vers le haut, dévoilant son engin durci qui vint se reposer sur son ventre. Quand sa mère vit cela, elle laissa tomber l’époussètage et vint prendre place entre les jambes de Trannie, agenouilléee et de toute évidence, partante pour une autre séance de jambes en l’air. Bhuti venait à peine d’emboucher la queue de Trannie lorsque Tuan et Voba revinrent à la maison, la pluie ayant annulé leurs projets de jeux. Trannie leur fit signe de venir les rejoindre. Tandis que Voba grimpait debout sur le divan et présentait sa petite fente à Trannie, Tuan passa derrière sa mère et lui caressa le cul. Bhuti écarta les genoux. Elle défit la ceinture du short et l’enleva, soulevant les genoux un après l’autre. Tuan enleva ses souliers et son pantalon. Il dût fléchir les genoux pour rejoindre le cul de sa mère. Il pointa sa quéquette sur la rondelle de sa mère et l’encula sans autre préavis.


 Tout à son oeuvre, Bhuti grogna quand Tuan la força. Le plaisir de pomper son fils aîné et de se faire enculer par le puiné firent mouiller Bhuti d’abondance. De temps en temps, elle levait les yeux pour regarder Trannie lécher la fente de Voba. Cette dernière connaissait les goûts de Trannie. Elle lui projeta un jet de pisse dans la bouche qui fit durcir la queue de Trannie encore plus qu’auparavant. Tuan se pencha en avant et pinça les tétines de sa mère. Il les fit rouler entre ses doigts pour les faire ériger. Il pût tenir le coup plus longtemps que d’habitude, ayant baisé sa soeur plus tôt. Le fait d’enculer sa mère l’excitait beaucoup plus que de prendre sa soeur. Bhuti le comprenait très bien: elle serra les fesses et Tuan ne pût se retenir: il se déversa à longs jets dans le cul maternel tandis que sa mère ne cessait de pomper Trannie. Voba fût ravie de voir son frère partir le premier. Elle récompensa sa mère en se tournant légèrement et en lui projetant un copieux jet de pisse sur la tête et dans les cheveux. Tandis que la pisse rigolait dans le cou et le visage de Bhuti, Trannie utilisa un doigt pour enculer sa petite soeur. Ce fût trop pour la gamine et elle fût la seconde à jouir tandis que Bhuti ne perdait pas le rythme et continuait sa prestation sur la queue durcie de Trannie.


 Tuan changea de place et vint s’asseoir près de Trannie pour avoir une bonne vue de la pipe que sa mère pratiquait sur la queue de Trannie. Cette dernière tendit la main et prit la petite queue ramollie de Tuan entre ses doigts. Elle espérait la faire raidir le plus rapidement possible. Trannie réussit sans trop de peine car le gamin avait de la ressource, ce qui est fréquent à cet âge. Quand le petit organe atteignit une consistance acceptable, Trannie lui dit de se lever et elle l’attira vers elle. Elle emboucha la petite quéquette et savoura le goût de merde de sa mère. Rejetant le petit dard, Trannie se mouilla un doigt et l’enfouit dans le petit cul plissé de son frère tout en reprenant le dard dans sa bouche. Trannie pompait le petit cul avec science, caressant la prostate de son frère. Pour une deuxième fois, Tuan dût s’avouer vaincu et il éjecta sa lave chaude dans la bouche de sa soeur.


 Voba regardait l’action tout en s’échauffant sous les doigts habile de Trannie. Cette dernière lui demanda de se tenir debout sur le divan tout en lui tournant le dos. Voba se pencha et appuya ses mains sur le dos de sa mère. Trannie lui léchait la rondelle pendant que Bhuti continuait sa pipe ardente. La bouche chaude et la langue agile de sa mère vinrent à bout de sa résistance et finalement, Trannie capitula et inonda la bouche de Bhuti de son jus. Repus et rassassiés, ils firent une sieste.



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 Trannie avait visité cinq bars dans la soirée, toujours à la recherche de Roseline ou de son mari. Toujours pas de chance ! Elle prenait un Perrier, reluquait discrètement les consommateurs, se levait et sortait. Une urgente envie de pisser la fit prendre une ruelle où, soulevant sa robe, elle laissa la nature accomplir son oeuvre.


 - Hou ! Qu’est-ce qu’elle est jolie !


 Dans la pénombre, elle n’avait pas vu l’homme qui fumait une cigarette. Il fixait la queue à demi-érigée de Trannie qui propulsait un copieux jet de pisse à deux mètres. L’homme en rajouta:


 - C’est dommage de gaspiller un si précieux liquide.


 - Ça vous plait vraiment ?


 - J’en ai jamais vu une aussi jolie.



 Trannie cessa de pisser et regarda franchement l’homme. Le début de la trentaine, de stature moyenne, ses cheveux blonds tombant sur les épaules, il ne cessait de regarder l’engin de Trannie. Il s’approcha:


 - Vous permettez que je la nettoie ? Avec ma langue, bien sûr !


 Nerveusement, Trannie jeta un oeil dans la ruelle mais il n’y avait pas un chat.


 - Servez vous !


 L’homme s’agenouilla devant Trannie et emboucha l’engin. Il caressait gentiment les fesses dures de Trannie. La queue de Trannie gagnait en volume et en fermeté. Quand elle fût bien dure, l’homme agrippa les fesses de Trannie et l’attira vers lui, enfonçant la pine jusqu’à ce qu’elle bute le fond de sa gorge. Il prit les poignets de Trannie et amena les mains de la petite transsexuelle derrière sa tête.


 - Pompe-moi la gueule comme si j’étais une pute.


 Excitée par la proposition et la situation, Trannie se mit à baiser la bouche chaude et accueillante. L’homme utilisa ses mains maintenant libérées pour, de la gauche, caresser les couilles de Trannie et, de la droite, enfoncer son majeur dans le cul de sa partenaire. Cette triple caresse amena Trannie rapidement au point de non retour et elle éjacula abondamment dans la bouche de l’homme. Il avala le tout sans rechigner. Quand les dernières gouttes du jus de Trannie eurent trouvé le chemin de son estomac, l’homme retira doucement son doigt du cul de Trannie et le porta à sa bouche. Il le nettoya soigneusement avec sa langue jusqu’à ce que toutes traces de souillure disparaissent.


 Trannie laissa retomber sa robe et la défroissa d’un mouvement rapide. L’homme avait goûté son doigt avec un évident plaisir. Elle en déduisit qu’il devait aimer d’autres jeux bien plus crades. Elle décida de s’en assurer.


 - Vous êtes un expert ! C’était fabuleux ! Mais vous, vous n’avez rien eu.


 - Heu... je prend mon pied autrement...


 - Ah oui ? Comment, si je peux me permettre ?


 - Avec des jeux plus...


 - Consistants ?


 - On peut dire ça comme cela, oui.


 - Tiens... moi aussi j’aime bien.


 - Vraiment ?


 - Seulement d’en parler...



 Trannie souleva sa robe de nouveau et, malgré le peu de lumière dans la ruelle, on voyait son zizi qui reprenait de la consistance tout en relevant la tête. L’homme salivait en regardant la bête relever la tête.


 - Si on allait chez moi ?


 - C’est loin ?


 - Cinq minutes en voiture.



 Trannie savait bien que c’était dangereux mais elle acceptât tout de même. L’homme habitait une belle maison luxueuse dans le quartier. Il gara sa voiture dans une cour intérieur. Quand il ouvrit la porte, l’homme pesa sur un interrupteur qui éclairat la maison a giorno. Il prit Trannie par la main et se dirigea vers un immense escalier. Trannie le retint.


 - Je peux savoir ton nom ?


 - Paul, mon prénom est Paul. Et toi ?


 - Trannie. Tu vis seul ici ?


 - Non, ma mère vit avec moi.


 - Elle est ici en ce moment ?


 - Oui mais elle ne vit qu’au rez-de-chaussée.


 - Comment ça ?


 - Elle n’a plus de jambes... un accident de voiture il y a dix ans... alors elle utilise une chaise roulante et avec les escaliers...


 - Oh ! Je vois !


 Cette fois, ce fût Trannie qui entraîna Paul. En montant les marches, Paul caressa les fesses de sa copine. Il poussa la porte qui s’ouvrit sur une chambre immense. Trannie admira le mobilier, les tentures et surtout le lit. Paul nota sa réaction.


 - Un héritage. Quand mon père nous a quitté dans l’accident de voiture, ma mère et moi avons hérité de cette maison, même s’ils étaient séparés depuis quelques mois. Mais assez parlé de tout ça !


 L’homme s’agenouilla et, prenant Trannie par les hanches, la fit pivoter. Il souleva sa robe et se mit à lui embrasser les fesses. Sa langue trouva facilement le petit trou plissé de Trannie. Il la poussa à l’intérieur.


 - J’espère que tu as quelque chose de solide pour moi ?


 Trannie lui fit un sourire qui exhiba ses dents blanches parfaitement alignées. L’homme arracha ses vêtements plus qu’il ne les enleva et se précipita dans le lit. Éberluée, Trannie constat que la queue de Paul, encore au repos, dépassait les vingt-deux centimètres. Aie ! se dit-elle, je vais la sentir passer celle-là quand elle va prendre tout son volume. Trannie fit passer sa robe par dessus sa tête et le rejoignit. Elle chevaucha la poitrine de l’homme, lui brandissant sa queue déjà rigide sous le nez.


 - Elle n’est pas aussi grosse que la tienne mais elle peut tirer plusieurs coups.


 Paul attira Trannie vers lui et prit sa queue dans sa bouche.


 - Chie moi dessus pendant que je te suce !


 Ça, c’était une proposition au goût de Trannie. Prenant appui des deux mains sur la tête de lit, elle entreprit de baiser la bouche de Paul. Son anus plissé se déploya et l’odeur indiqua à Paul que Trannie lui obéissait. Bientôt, il sentit une masse chaude se déposer sur sa poitrine. Trannie dût se soulever légèrement pour faciliter la sortie de la merde. Prévoyante, Trannie ne vida pas complètement ses instestins. Il en redemanderait probablement plus tard dans la nuit. L’homme prit un morceau de merde et en enduisit la queue de Trannie. Puis, il recommença son pompier, incitant Trannie à lui baiser la gueule de plus en plus profondément. Cette denière lui saisit les oreilles et les utilisa pour régler la profondeur de la pénétration. Les lèvres de l’homme brunissaient. Bientôt, l’engin de Trannie reprit sa couleur normale. L’homme remit de la merde pour le recouvrir et continua sa pipe. Trannie tourna la tête et vit que l’engin de l’homme se déployait maintenant dans toute sa splendeur: il devait bien faire vingt-six centimètres et il se dressait à quarante-cinq degrés par rapport à son abdomen.


 La langue et la bouche de l’homme agissait tellement bien sur le sexe de Trannie qu’il sentit qu’il allait jouir. Il en avertit son partenaire:


 - Ça vient !


 Plusieurs jets frappèrent le fond de la gorge de l’homme qui avala facilement le tout. Quand les jets cessèrent, l’homme reposa sa tête sur l’oreiller et sourit de toutes ses dents brunes.


 - Tu goûtes très bon. C’était formidable.


 - Merci, c’est gentil. Mais toi, tu n’as rien eu.


 - Ne t’occupe pas de moi. Dis donc, tu bandes encore !


 - Je suis faite comme ça.


 - Tu aimerais m’enculer ?


 L’homme ramena ses genoux sur ses épaules et présenta à Trannie un trou du cul abimé qui avait dû servir maintes fois et être abusé de diffèrentes et perverses façons. Trannie se lécha les lèvres. Elle ajusta son sexe vis-à-vis le trou de l’homme et poussa. Le gland pénétra facilement, confirmant les soupçons de la jolie transsexuelle. Paul prit le reste de la merde et se l’appliqua sur le visage pendant que Trannie l’enculait férocement. Elle remarqua que sa queue ressortait du trou de l’homme aussi propre qu’elle y entrait: il n’y avait pas de merde dans son colon. Dommage ! Trannie le baisa encore pendant une vingtaine de minutes et propulsa sa semence dans le cul de l’homme qui bandait toujours sans jouir. Épuisée, elle se laissa glisser dans le grand lit, fermant les yeux, le temps de récupérer un peu et de reprendre son souffle. La queue de l’homme mollissait et Trannie en fût désolée. Elle se leva, remit ses vêtements silencieusement et quitta la maison de l’homme discrètement pendant qu’il semblait sommeiller.


 Paul ouvrit les yeux une bonne trentaine de minutes plus tard et il fût déçu de constater que Trannie avait quitté. Il prit une douche rapide, se brossa vigoureusement les dents et utilisa un rince-bouche pour chasser le goût de la merde. Maintenant, il allait prendre son pied. Il descendit l’escalier, toujours nu, et vit de la lumière sous la porte de la chambre de sa mère. Souriant, il poussa la porte doucement: nue elle aussi sur son lit, sa mère se caressait la chatte qu’elle rasait tous les deux jours. L’engin de Paul reprit toute sa rigidité et remonta rapidement jusqu’à son nombril qu’il dépassait de plusieurs centimètres. Sa mère le regarda en continuant la caresse.


 - Alors... on vient border sa vieille maman ?


 - La border, la baiser et l’enculer !


 La femme remontat ses bras au-dessus de la tête, les reposant sur l’oreiller, dans un geste d’abandon total. Ses deux moignons, qui ne devaient pas dépasser les dix centimètres, s’écartèrent dans un geste totalement obscène. Il s’allongea sur sa mère et mordilla ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent et que les tétines soient bien érigées. Elle lui caressait les cheveux pendant ce temps. Il descendit sa main et caressat les deux moignons puis faufilat sa main entre les deux protubérences et enfonçat deux doigts dans la chatte baveuse. Elle était prête ! Il changea légèrement de position et, ajustant son gland avec une main, il enfonça violemment sa queue dans le con maternel, jusqu’au fond. La femme eût un rejet de la tête, ouvrit la bouche mais ne cria pas. Il la baisa dans cette position pendant cinq minutes puis sortit sa queue et se souleva. La femme en profita pour se tourner sur le ventre. Paul ajusta le bout de son gland sur le petit trou de la femme et l’encula sans merci. Il reposait tout son poids sur le dos de sa mère. Étouffant, en sueur, toute à son plaisir, la femme sentit la jouissance monter dans ses reins. Elle explosa en criant et en hurlant son bonheur. Sa fils la suivit sur ce chemin dans la minute, éjectant une quantité impressionnante de jus dans le cul de la femme. Il sortit lentement sa queue du cul de sa mère pour laisser le temps au muscle anal de se contracter et il roula sur le dos, déposant négligemment une main sur les fesses de la femme. Il alluma deux cigarettes et en tendit une à sa mère qui accepta volontiers.


 Ils causèrent de choses et d’autres pendant une vingtaine de minutes puis, elle lui dit:


 - Je ne peux plus le garder, ça va sortir.


 Toujours sur le ventre, la femme vit son fils bouger et se placer derrière elle, il colla ses lèvres sur l’anus de la femme et recueillit ainsi son propre jus mêlé à la merde de la femme. Lorsqu’il se redressa, il bandait à nouveau. Tournant la tête, sa mère vit la nouvelle érection dont elle serait encore la victime.


 - Cher fils !



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TRANNIE

CHAPITRE II