Voba fût déçue: les excès de Bhuti l’avait épuisé. Elle sombra dans un profond sommeil dès que sa tête toucha l’oreiller. La pauvre gamine, frustrée, mit du temps à trouver le sommeil. Elle se réveilla tôt et sa mère dormait encore, ronflant discrètement. Voba sortit du lit et quitta la chambre. Passant devant la chambre de son frère, elle vit qu’il était éveillé. Elle entra et, s’approchant du lit, elle souleva sa robe de nuit au-
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Tuan repoussa la couverture et lui exhiba son sexe qui durcissait seulement à la vue du petit con de sa soeur. Voba grimpa sur le lit et s’allongea sur son frère. Tuan, saisissant les fesses maigres Voba, l’attira vers sa bouche et il entreprit de l’embrasser, sa langue forçant le barrage des lèvres et explorant la petite bouche rose de sa soeurette. La petite langue de Voba ne resta pas inactive et elle tentât de son mieux, de répondre au baiser fraternel. En même temps, elle frottait son ventre sur la queue de Tuan, qui appréciait le geste.
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Agrippant sa soeur, Tuan la fit rouler et il se retrouva sur le dessus, écrasant Voba de tout son poids. Immédiatement, la gamine écarta les jambes au maximum. Elle guida son frère pour lui faciliter la pénétration. Tuan poussa lentement sa pinne dans le petit con serré qui se lubrifiait lentement étant donné son jeune âge. Voba ferma les yeux et étendit les bras en croix: elle savait que son frère la voulait passive et immobile. La queue s’ajustait parfaitement dans le con de sa soeur. Tuan prit appui sur la main gauche et, de la droite, caressait le mamelon de gauche de Voba. Il le pinçait et le tordait un peu: cela l’amusait de voir Voba grimacer sous l’effet de la douleur excitante. Quand elle ouvrit la bouche sous l’effet de l’excitation, Tuan plongea et plaqua sa bouche contre celle de sa soeur tout en continuant à pistonner le vagin étroit. Ses fesses se contractaient et se relâchaient à un rythme rapide: il sentit la jouissance monter et ne tentât pas de se retenir. Son dos s’arqua et se fesses se contractèrent quand il propulsa des jets de sperme dans le trou de sa soeur. Quand il se retira, sa queue reluisait d’un mélande des sécrétions de Voba et de son jus. Il chevaucha la petite fille et lui présenta sa pinne à lécher. Voba ouvrit la bouche, sortit la langue et nettoya son frère. Ils s’habillèrent, mangèrent un peu et quittèrent pour aller jouer.
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Trannie se leva avant sa mère et enfila un peignoir. Il prit son repas du matin et comme Bhuti ne se réveillait pas, il décida de faire du shopping. Quand Trannie revint deux heures plus tard, Bhuti finissait de prendre les poussières dans l’appartement. Elle portait un vieux t-
Tout à son oeuvre, Bhuti grogna quand Tuan la força. Le plaisir de pomper son fils aîné et de se faire enculer par le puiné firent mouiller Bhuti d’abondance. De temps en temps, elle levait les yeux pour regarder Trannie lécher la fente de Voba. Cette dernière connaissait les goûts de Trannie. Elle lui projeta un jet de pisse dans la bouche qui fit durcir la queue de Trannie encore plus qu’auparavant. Tuan se pencha en avant et pinça les tétines de sa mère. Il les fit rouler entre ses doigts pour les faire ériger. Il pût tenir le coup plus longtemps que d’habitude, ayant baisé sa soeur plus tôt. Le fait d’enculer sa mère l’excitait beaucoup plus que de prendre sa soeur. Bhuti le comprenait très bien: elle serra les fesses et Tuan ne pût se retenir: il se déversa à longs jets dans le cul maternel tandis que sa mère ne cessait de pomper Trannie. Voba fût ravie de voir son frère partir le premier. Elle récompensa sa mère en se tournant légèrement et en lui projetant un copieux jet de pisse sur la tête et dans les cheveux. Tandis que la pisse rigolait dans le cou et le visage de Bhuti, Trannie utilisa un doigt pour enculer sa petite soeur. Ce fût trop pour la gamine et elle fût la seconde à jouir tandis que Bhuti ne perdait pas le rythme et continuait sa prestation sur la queue durcie de Trannie.
Tuan changea de place et vint s’asseoir près de Trannie pour avoir une bonne vue de la pipe que sa mère pratiquait sur la queue de Trannie. Cette dernière tendit la main et prit la petite queue ramollie de Tuan entre ses doigts. Elle espérait la faire raidir le plus rapidement possible. Trannie réussit sans trop de peine car le gamin avait de la ressource, ce qui est fréquent à cet âge. Quand le petit organe atteignit une consistance acceptable, Trannie lui dit de se lever et elle l’attira vers elle. Elle emboucha la petite quéquette et savoura le goût de merde de sa mère. Rejetant le petit dard, Trannie se mouilla un doigt et l’enfouit dans le petit cul plissé de son frère tout en reprenant le dard dans sa bouche. Trannie pompait le petit cul avec science, caressant la prostate de son frère. Pour une deuxième fois, Tuan dût s’avouer vaincu et il éjecta sa lave chaude dans la bouche de sa soeur.
Voba regardait l’action tout en s’échauffant sous les doigts habile de Trannie. Cette dernière lui demanda de se tenir debout sur le divan tout en lui tournant le dos. Voba se pencha et appuya ses mains sur le dos de sa mère. Trannie lui léchait la rondelle pendant que Bhuti continuait sa pipe ardente. La bouche chaude et la langue agile de sa mère vinrent à bout de sa résistance et finalement, Trannie capitula et inonda la bouche de Bhuti de son jus. Repus et rassassiés, ils firent une sieste.
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Trannie avait visité cinq bars dans la soirée, toujours à la recherche de Roseline ou de son mari. Toujours pas de chance ! Elle prenait un Perrier, reluquait discrètement les consommateurs, se levait et sortait. Une urgente envie de pisser la fit prendre une ruelle où, soulevant sa robe, elle laissa la nature accomplir son oeuvre.
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Dans la pénombre, elle n’avait pas vu l’homme qui fumait une cigarette. Il fixait la queue à demi-
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Trannie cessa de pisser et regarda franchement l’homme. Le début de la trentaine, de stature moyenne, ses cheveux blonds tombant sur les épaules, il ne cessait de regarder l’engin de Trannie. Il s’approcha:
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Nerveusement, Trannie jeta un oeil dans la ruelle mais il n’y avait pas un chat.
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L’homme s’agenouilla devant Trannie et emboucha l’engin. Il caressait gentiment les fesses dures de Trannie. La queue de Trannie gagnait en volume et en fermeté. Quand elle fût bien dure, l’homme agrippa les fesses de Trannie et l’attira vers lui, enfonçant la pine jusqu’à ce qu’elle bute le fond de sa gorge. Il prit les poignets de Trannie et amena les mains de la petite transsexuelle derrière sa tête.
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Excitée par la proposition et la situation, Trannie se mit à baiser la bouche chaude et accueillante. L’homme utilisa ses mains maintenant libérées pour, de la gauche, caresser les couilles de Trannie et, de la droite, enfoncer son majeur dans le cul de sa partenaire. Cette triple caresse amena Trannie rapidement au point de non retour et elle éjacula abondamment dans la bouche de l’homme. Il avala le tout sans rechigner. Quand les dernières gouttes du jus de Trannie eurent trouvé le chemin de son estomac, l’homme retira doucement son doigt du cul de Trannie et le porta à sa bouche. Il le nettoya soigneusement avec sa langue jusqu’à ce que toutes traces de souillure disparaissent.
Trannie laissa retomber sa robe et la défroissa d’un mouvement rapide. L’homme avait goûté son doigt avec un évident plaisir. Elle en déduisit qu’il devait aimer d’autres jeux bien plus crades. Elle décida de s’en assurer.
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Trannie souleva sa robe de nouveau et, malgré le peu de lumière dans la ruelle, on voyait son zizi qui reprenait de la consistance tout en relevant la tête. L’homme salivait en regardant la bête relever la tête.
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Trannie savait bien que c’était dangereux mais elle acceptât tout de même. L’homme habitait une belle maison luxueuse dans le quartier. Il gara sa voiture dans une cour intérieur. Quand il ouvrit la porte, l’homme pesa sur un interrupteur qui éclairat la maison a giorno. Il prit Trannie par la main et se dirigea vers un immense escalier. Trannie le retint.
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Cette fois, ce fût Trannie qui entraîna Paul. En montant les marches, Paul caressa les fesses de sa copine. Il poussa la porte qui s’ouvrit sur une chambre immense. Trannie admira le mobilier, les tentures et surtout le lit. Paul nota sa réaction.
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L’homme s’agenouilla et, prenant Trannie par les hanches, la fit pivoter. Il souleva sa robe et se mit à lui embrasser les fesses. Sa langue trouva facilement le petit trou plissé de Trannie. Il la poussa à l’intérieur.
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Trannie lui fit un sourire qui exhiba ses dents blanches parfaitement alignées. L’homme arracha ses vêtements plus qu’il ne les enleva et se précipita dans le lit. Éberluée, Trannie constat que la queue de Paul, encore au repos, dépassait les vingt-
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Paul attira Trannie vers lui et prit sa queue dans sa bouche.
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Ça, c’était une proposition au goût de Trannie. Prenant appui des deux mains sur la tête de lit, elle entreprit de baiser la bouche de Paul. Son anus plissé se déploya et l’odeur indiqua à Paul que Trannie lui obéissait. Bientôt, il sentit une masse chaude se déposer sur sa poitrine. Trannie dût se soulever légèrement pour faciliter la sortie de la merde. Prévoyante, Trannie ne vida pas complètement ses instestins. Il en redemanderait probablement plus tard dans la nuit. L’homme prit un morceau de merde et en enduisit la queue de Trannie. Puis, il recommença son pompier, incitant Trannie à lui baiser la gueule de plus en plus profondément. Cette denière lui saisit les oreilles et les utilisa pour régler la profondeur de la pénétration. Les lèvres de l’homme brunissaient. Bientôt, l’engin de Trannie reprit sa couleur normale. L’homme remit de la merde pour le recouvrir et continua sa pipe. Trannie tourna la tête et vit que l’engin de l’homme se déployait maintenant dans toute sa splendeur: il devait bien faire vingt-
La langue et la bouche de l’homme agissait tellement bien sur le sexe de Trannie qu’il sentit qu’il allait jouir. Il en avertit son partenaire:
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Plusieurs jets frappèrent le fond de la gorge de l’homme qui avala facilement le tout. Quand les jets cessèrent, l’homme reposa sa tête sur l’oreiller et sourit de toutes ses dents brunes.
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L’homme ramena ses genoux sur ses épaules et présenta à Trannie un trou du cul abimé qui avait dû servir maintes fois et être abusé de diffèrentes et perverses façons. Trannie se lécha les lèvres. Elle ajusta son sexe vis-
Paul ouvrit les yeux une bonne trentaine de minutes plus tard et il fût déçu de constater que Trannie avait quitté. Il prit une douche rapide, se brossa vigoureusement les dents et utilisa un rince-
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La femme remontat ses bras au-
Ils causèrent de choses et d’autres pendant une vingtaine de minutes puis, elle lui dit:
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Toujours sur le ventre, la femme vit son fils bouger et se placer derrière elle, il colla ses lèvres sur l’anus de la femme et recueillit ainsi son propre jus mêlé à la merde de la femme. Lorsqu’il se redressa, il bandait à nouveau. Tournant la tête, sa mère vit la nouvelle érection dont elle serait encore la victime.
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TRANNIE
CHAPITRE II