Marco regardait son pote vêtu de son plus bel ensemble.
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Marco enfourcha sa bicyclette et prit le chemin du retour, vexé de voir ses projets du samedi partir en volutes dans le ciel azuré. Il se consola en pensant aux beignets que sa mère avait laissé sur la table, dans un gigantesque bol et dont il avait été privé parce qu’il s’était présenté en retard pour le repas.
Marco rangea sa bicyclette sans faire de bruit et jeta un oeil par la fenêtre de la cuisine. Pas un chat ! Il ouvrit la porte tout doucement et la laissa entrebâillée, question de faciliter une retraite éventuelle. Le plus difficile restait à faire: traverser la porte de la cuisine qui demeurait toujours ouverte. Elle donnait sur un couloir et ce couloir se terminait au living. Ses parents, Olivier et Berthe, devaient s’y trouver ainsi que sa soeur aînée de vingt-
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Merde ! La voix de sa soeur et elle était tout près, sans doute dans sa chambre. Mais qu’est-
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Ça, c’était la voix de sa mère.
Mais qu’est-
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Son père déposa l’appareil sur la table de chevet et prit place sur le seul fauteuil de la chambre. Alizée le regarda en souriant et vint se placer devant lui en lui tournant le dos. Elle se laissa descendre sur la queue de son père qui la pénétra jusqu’à la garde d’un seul coup. Sa mère continuait de râler, Zorro prenant appui sur son dos avec ses pattes avant et lui labourant la chatte avec une dextérité qui révélait une grand habitude de la chose.
Son père maniait fermement les seins de sa fille et cette dernière ne fût pas longue à jouir, suivie quelques instants plus tard de son père. Elle se leva, la chatte dégoulinante du sperme paternel et vint se placer devant sa mère, toujours à quatre pattes sur la moquette. Elle écarta les jambes et se mit à pisser sur le visage de Berthe. Cette dernière non seulement ne protesta pas mais elle semblait aimer. Quand le jet de pisse d’Alizée cessa, ce fût au tour d’Olivier d’arroser le visage de sa femme tout en l’insultant. Puis, le chien se cabra et Marco comprit que les deux derniers partenaires venaient d’atteindre l’orgasme, eux aussi.
Marco savait très bien ce qu’était un orgasme: il se masturbait depuis deux mois en regardant des photos cochonnes qu’il avait trouvé dans le grenier de la maison.
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Il jeta un dernier coup d’oeil et vit sa mère embrasser le chien sur la gueule, lui léchant la langue et le chien ne se faisait pas prier pour faire la réciproque. Marco jugea plus prudent de retraiter avant qu’on ne le découvre. Il repassa par la cuisine, prit un beignet en passant, sortit et referma la porte aussi silencieusement qu’il l’avait ouverte. Il enfourcha sa bicyclette et partit faire une promenade.
Il jugea mal le passage du temps et arriva encore tellement en retard pour le dîner que les autres étaient déjà passés au living. Berthe lui faisait des remontrances et le menaçait de le priver encore de dessert lorsque Marco nota que Zorro entrait dans la cuisine. Le chien vers lui. Marco se pencha, saisit le chien par le collier et colla son nez sur la truffe du chien.
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Lorsque le rouge écarlate du visage de sa mère commença à diminuer, elle lui promit une double ration de beignets en échange de son silence. Marco mima la fermeture éclair de sa bouche, son cadenassage et la projection au loin la clé. Berthe le prit par la main, l’amena dans la salle de bain et ferma la porte à double tour. Elle lui baissa son pantalon, prit sa queue maintenant bandée dans sa bouche et lui fit une merveilleuse pipe. Elle avala tout le foutre sans en perdre une goutte.
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L’été ne faisait que commencer et les grandes vacances aussi. Avec son père et sa soeur qui travaillaient toute la journée, Marco sut que les grandes vacances seraient fantastiques. Berthe remarqua sa queue qui ne débandait pas.
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ZORRO
PAR LE MATOU