Marco regardait son pote vêtu de son plus bel ensemble.


 - Ben non ! Je peux pas y aller, mes parents m’amènent avec eux chez mémé. Désolé vieux !


 - On se reprend samedi ?


 - Neuf heures pile !


 - D’ac ! Salut


 - Salut.



 Marco enfourcha sa bicyclette et prit le chemin du retour, vexé de voir ses projets du samedi partir en volutes dans le ciel azuré. Il se consola en pensant aux beignets que sa mère avait laissé sur la table, dans un gigantesque bol et dont il avait été privé parce qu’il s’était présenté en retard pour le repas.


 Marco rangea sa bicyclette sans faire de bruit et jeta un oeil par la fenêtre de la cuisine. Pas un chat ! Il ouvrit la porte tout doucement et la laissa entrebâillée, question de faciliter une retraite éventuelle. Le plus difficile restait à faire: traverser la porte de la cuisine qui demeurait toujours ouverte. Elle donnait sur un couloir et ce couloir se terminait au living. Ses parents, Olivier et Berthe, devaient s’y trouver ainsi que sa soeur aînée de vingt-trois ans, Alizée. Il risqua prudemment un oeil: personne en vue. Il y avait tellement de beignets dans le plat que personne ne remarquerait si un ou deux venaient à disparaître. Il ne restait qu’à vérifier où se trouvait Zorro, le gros labrador d’un noir jais qui lui avait valu son nom. Pas de Zorro en vue non plus. Sa main touchait le beignet du dessus lorsqu’il entendit une voix toute proche.


 - Viens mon gros, mets ta queue dans sa grosse connasse de cochonne.


 Merde ! La voix de sa soeur et elle était tout près, sans doute dans sa chambre. Mais qu’est-ce qu’elle disait ? Ce n’était pas des mots qu’elle employait d’habitude, ni ses parents d’ailleurs.


 - Oui mon chéri, viens baiser ta maîtresse chérie, viens me faire jouir avec ta belle queue.


 Ça, c’était la voix de sa mère.


 Mais qu’est-ce qui se passe ici ? À pas de loup, Marco longea le mur du couloir et constata que les voix provenaient de la chambre de ses parents. Avec prudence, il risqua un oeil à l’intérieur. Nue, à quatre pattes sur la moquette, sa mère, à quatre pattes sur la moquette, se faisait baiser par Zorro alors que son père et sa soeur, nus aussi, l’encourageaient. Alizée caressait le membre bandé de son père qui, lui, tenait un appareil photographique. Il y eût plusieurs éclairs de flash. Sa mère délirait et disait des paroles tellement obscènes qu’il eût de la difficulté à concevoir qu’elle pouvait connaître ces mots.


 - Vas-y mon gros ! Défonce-moi ! Je suis ta pute aujourd’hui. Remplis-moi avec ton foutre. Baise ta chienne.


 Son père déposa l’appareil sur la table de chevet et prit place sur le seul fauteuil de la chambre. Alizée le regarda en souriant et vint se placer devant lui en lui tournant le dos. Elle se laissa descendre sur la queue de son père qui la pénétra jusqu’à la garde d’un seul coup. Sa mère continuait de râler, Zorro prenant appui sur son dos avec ses pattes avant et lui labourant la chatte avec une dextérité qui révélait une grand habitude de la chose.


 Son père maniait fermement les seins de sa fille et cette dernière ne fût pas longue à jouir, suivie quelques instants plus tard de son père. Elle se leva, la chatte dégoulinante du sperme paternel et vint se placer devant sa mère, toujours à quatre pattes sur la moquette. Elle écarta les jambes et se mit à pisser sur le visage de Berthe. Cette dernière non seulement ne protesta pas mais elle semblait aimer. Quand le jet de pisse d’Alizée cessa, ce fût au tour d’Olivier d’arroser le visage de sa femme tout en l’insultant. Puis, le chien se cabra et Marco comprit que les deux derniers partenaires venaient d’atteindre l’orgasme, eux aussi.


 Marco savait très bien ce qu’était un orgasme: il se masturbait depuis deux mois en regardant des photos cochonnes qu’il avait trouvé dans le grenier de la maison.


 - Merci mon amour !


 Il jeta un dernier coup d’oeil et vit sa mère embrasser le chien sur la gueule, lui léchant la langue et le chien ne se faisait pas prier pour faire la réciproque. Marco jugea plus prudent de retraiter avant qu’on ne le découvre. Il repassa par la cuisine, prit un beignet en passant, sortit et referma la porte aussi silencieusement qu’il l’avait ouverte. Il enfourcha sa bicyclette et partit faire une promenade.


 Il jugea mal le passage du temps et arriva encore tellement en retard pour le dîner que les autres étaient déjà passés au living. Berthe lui faisait des remontrances et le menaçait de le priver encore de dessert lorsque Marco nota que Zorro entrait dans la cuisine. Le chien vers lui. Marco se pencha, saisit le chien par le collier et colla son nez sur la truffe du chien.


 - Comment ça va, mon amour.


 Lorsque le rouge écarlate du visage de sa mère commença à diminuer, elle lui promit une double ration de beignets en échange de son silence. Marco mima la fermeture éclair de sa bouche, son cadenassage et la projection au loin la clé. Berthe le prit par la main, l’amena dans la salle de bain et ferma la porte à double tour. Elle lui baissa son pantalon, prit sa queue maintenant bandée dans sa bouche et lui fit une merveilleuse pipe. Elle avala tout le foutre sans en perdre une goutte.


 - Aussi souvent que tu voudras !


 - C’est un deal, maman !


 - Quand je suce, c’est pas “maman”, c’est “grosse pute” ou “salope”!


 L’été ne faisait que commencer et les grandes vacances aussi. Avec son père et sa soeur qui travaillaient toute la journée, Marco sut que les grandes vacances seraient fantastiques. Berthe remarqua sa queue qui ne débandait pas.


 - Tu veux que je remette ça ?


 - Oui mais enlève ta robe ! Je veux voir ton cul pendant que tu me suces. Berthe fit glisser sa robe par-dessus sa tête: elle ne portait de petite culotte et Marco avait une vue imprenable sur sa chatte rasée. Elle conserva son soutien-gorge. Agenouillée, elle lui fit une deuxième pipe d’enfer et Marco dégorgea dans le gosier maternel. Quand ce fût terminé, il lui donna une petite tape sur les fesses.


 - On va bien s’amuser, cet été !


 - Oui mon amour !



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ZORRO

PAR LE MATOU