Brigitte tournait les oeufs dans la poêle lorsque sa fille Zoé, dix-
Toutes deux avaient fait la grasse matinée et le soleil était déjà haut lorsque Zoé avait entendu sa mère préparer le repas. Même si elle n’avait pas faim, elle se leva, attirée par l’arôme de café frais moulu.
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Grégory était le beau-
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À cette perspective, Zoé sourit, écarta les jambes tout en regardant sa mère dans les yeux et mima une masturbation.
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Agilement, Zoé se laissa glisser en bas de sa chaise et prit position entre les cuisses musclées et bronzées de sa mère. Elle admira un court instant la chatte rasée puis fonça, langue sortie, afin de mettre sa mère en condition. Brigitte se hâta d’avaler les oeufs et se concentra sur l’activité de sa fille. À quarante-
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Brigitte se concentra et se mit à pisser dans la bouche de Zoé. Cette dernière colla ses lèvres au vagin maternel dans le but évident de ne pas en perdre une goutte, ce qu’elle réussit très bien. Puis, elle reprit son cunnilingus, insérant sa langue le plus au fond possible. Elle continua ce manège jusqu’à ce que sa mère atteigne un premier orgasme libérateur. Brigitte repoussa brutalement sa chaise et se leva.
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C’était autant une question qu’une proposition ferme. Zoé s’étendit sur le carrelage entre les jambes de Brigitte qui demeura debout. Brigitte écarta ses fesses rebondies à l’aide des mains et se mit à chier sur sa fille. Un, deux puis trois étrons de merde molle tombèrent sur le visage et les seins de Zoé qui se dépêcha de mastiquer celui tombé près de sa bouche. Brigitte enleva son déshabillé et le posa sur le dossier de la chaise puis elle s’agenouilla près de sa fille. Avec sa main gauche, elle répandit sa merde sur les seins et le visage de Zoé pendant que trois doigts de sa main droite violaient le con encore serré de Zoé. Quand cette dernière avala la dernière bouchée de merde, Brigitte lui gratta les seins afin d’en recueillir d’autres morceaux et les fourra dans la bouche entrouverte. Puis, elle plaqua sa main sur la bouche et le nez de Zoé, provoquant une asphyxie temporaire. Le manque d’oxygène fit se cabrer la fille et elle connût la jouissance à son tour. Elle retomba sur le sol, à bout de souffle et presque satisfaite. Brigitte lui donna la main et l’aida à se relever. Elles se dirigèrent vers la salle de bain.
L’eau chaude coulait sur le dos de Brigitte qui se savonna rapidement puis se rinça. Sans sortir de la baignoire, elle prit place sur le rebord et regarda Zoé qui se lavait. Elle se masturbait lentement, attendant le moment propice pour accélérer le mouvement et atteindre son deuxième orgasme. Tout à coup, Zoé pâlit et Brigitte sut que le moment arrivait. Sans se pencher, restant bien droite et ouvrant le bouche, Zoé se mit à vomir lentement la merde qu’elle venait d’avaler quelques minutes auparavant. Brigitte accéléra sa masturbation, admirant le filet brun dégouliner du menton de sa fille. Elle explosa lorsque Zoé fût prise de nausées pour la troisième fois. Finalement, Zoé se plaça sous le jet d’eau et en utilisa un peu pour se rincer la bouche. Les deux femmes s’essuyèrent et se dirigèrent vers le grand lit de la fille. Sur la couverture, il y avait un énorme gode à ceinture qui trônait de façon obscène au milieu du lit.
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Enfoncé jusqu’à la garde dans le cul de sa vieille mère de soixante-
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Grégory enfonça violemment les douze centimètres de sa queue dans le cul de sa mère qui le sentit à peine.
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ZOE
PAR LE MATOU