Les enfants, Robert, treize ans et Rachel, onze ans, avaient terminé le dîner depuis un bon moment lorsque leur mère, Caroline, rentra du boulot.


 - Bonjour vous deux ! Vous avez mangé ?


 - Oui maman et la vaisselle est lavée et rangée.


 - Bien bien !


 - Toi, tu as mangé ?


 - Oui, j’ai pris un sandwich au bistrot et je l’ai grignoté en chemin. Écoutez, je dois vous parler de quelque chose de très sérieux.


 - Tu es au chômage ?


 - Non non ! Au contraire, si tout se passe bien, notre situation financière va s’améliorer au maximum.


 - T’as gagné le loto ?


 - Presque ! Les enfants, je vais me marier !


 - Quoi ? Avec qui ?


 - Avec mon patron ! Vous le connaissez, c’est M. Gérard Dupont.


 - Le grand chauve ? Mais maman, il a le double de ton âge!


 - D’abord, il perd ses cheveux mais il n’est pas chauve, du moins pas encore. Deuxièmement, il n’a que vingt-cinq ans de plus que moi et non pas le double. Et surtout...


 - Quoi ?


 - Il a de sous, beaucoup de sous, énormément de sous.


 - Ohhhhh !


 Pendant qu’ils parlaient, Caroline était passée dans sa chambre et les enfants l’avaient suivi. Elle enleva la veste de son tailleur, déboutonna sa blouse qu’elle déposa avec précaution sur un cintre. Elle fit glisser sa jupe et la déposa sur le dossier de la chaise près du lit. En brassière et petite culotte, elle prit place sur le lit tout en continuant de parler.


 - On va quitter cette bicoque et s’installer dans une belle grande maison. Vous aurez des tas de jouets, de beaux vêtements, chacun votre chambre. Tout quoi !


 Robert, qui était le plus dégourdi, ne put s’empêcher de remarquer:


 - C’est quoi, l’os ?


 - Ben... il va bien falloir que je couche avec lui et que nous trois, nous soyons très discrets, si vous me comprenez ?


 - Ouais, je me doutais bien....


 - Comme tu dis, il est vieux et je ne crois pas qu’il va me tenir bien occupée, hem hem...


 En disant cela, Caroline se leva du lit et approcha de Rachel en lui tournant le dos.


 - Dégrafe-moi, veux-tu ?


 Habilement, même pour une gamine qui n’en n’avait jamais porté, Rachel défit l’attache de la brassière. Elle en profita pour saisir à pleines mains les gros seins un peu mou de sa mère. Cette dernière laissa sa fille les lui malaxer pendant un moment et Robert en profita pour se dénuder totalement. Sa queue de jeune adolescent affichait déjà une rigidité impressionnante. Il adorait regarder sa soeur tripoter sa mère. Bientôt, un des mains de Rachel descendit vers la culotte qui parvenait mal à contenir le derrière maternel proéminent. Elle se faufila sous l’élastique et partit explorer le con qui s’humidifiait déjà. Sentant que le terrain était déjà humide, elle se tourna vers son frère et lui fit un clin d’oeil. Robert s’approcha à son tour et fit descendre la culotte de sa mère jusqu’aux genoux. Il aimait bien la voir ainsi, réduite presqu’à l’immobilité, les fesses à l’air et sa soeur qui lui caressait les lèvres et introduisait deux puis trois doigts dans le trou humide.


 Caroline aimait bien quand ses enfants prenaient l’initiative ainsi. Elle adorait se soumettre à leurs désirs les plus pervers. Alors qu’il avait un comportement normal hors des séances de sexe, Robert l’insultait toujours pendant qu’il la baisait. Cela la faisait mouiller. Quant à Rachel, malgré son jeune âge, ses goûts déviants penchaient du côté de l’urolagnie. Elle aimait bien que Robert lui pisse dessus mais encore plus, elle adorait pisser sur sa mère, principalement dans sa bouche. Rachel poussa gentiment sa mère sur le lit et Caroline se laissa tomber sur le dos. Aussitôt, la gamine enjamba sa mère, portant sa petite fente à la hauteur du visage de Caroline. Elle se laissa descendre jusqu’à ce que le contact fût établi entre les deux paires de lèvres.


 - Suce bien !


 Robert prit position entre les jambes de sa mère qu’il releva jusqu’à ce que Rachel puisse les attraper et les ramener de chaque côté de la tête de Caroline, dévoilant ainsi la chatte rasée et le cul maternel. Sans prendre de précaution, Robert pointa sa queue sur l’anus de sa mère et poussa un grand coup, enculant sa mère jusqu’au fond, d’un seul élan. Caroline ne gémit même pas, habituée qu’elle était à subir un tel traitement. Par contre, sa langue redoubla de vigueur sur le petit clito de sa fille.


 Dans cette position, Robert avait les mains libres et il en profita pour triturer les seins de Caroline, qu’il massait comme de la pâte à pain et ce, quand il ne lui tordait pas les bouts. Puis, détournant son attention des seins, il en profita pour enfoncer sa main dans le con maintenant gluant de sa mère. Il n’y avait plus maintenant qu’un mince paroi qui séparait sa main de sa queue.


 - Merde Rachel ! Tu devrais cesser de lui fister le cul, elle est tellement ouverte que je ne sens presque plus rien.


 Caroline fit un effort pour resserrer son anus et Robert apprécia.


 - C’est mieux comme ça !


 Caroline utilisa ses doigts des deux mains pour triturer et tordre les petits tétins roses de sa fille. Sous cette double caresse, Rachel ne prit pas beaucoup de temps pour exploser dans la bouche de sa mère qui se fit un devoir d’avaler tout le jus sucré émis par sa fille. En voyant cela, Robert ne put se retenir plus longtemps et il explosa à son tour dans le cul de Caroline qui, sentant son fils lui remplir le colon de sa semence, décolla elle aussi pour le ciel.


 Fatiguée, Rachel descendit du lit et, ramassant ses vêtements, elle se retira de la chambre maternelle et regagna la sienne. Robert s’étendit dans le lit pendant que sa mère gagnait la salle de bain. Il entendit l’eau couler puis le bruit cessa. Sa mère prenait toujours un bain après s’être fait copieusement baisée comme ce soir. Il se souvenait très bien que la première fois qu’il avait vu sa mère nue, c’était justement dans le bain. Elle lui avait demandé de lui frotter le dos car elle ne trouvait pas la brosse pour cette opération. Brosse qu’elle avait soigneusement caché quelques minutes auparavant. Pour la première fois, Robert avait vu les seins de sa mère et aussitôt, une bosse à l’avant de son pantalon avait trahi ses états d’âme. Quand il avait complété le savonnage et le rinçage du dos de sa mère, elle était sortie du bain devant lui sans chercher le moindre du monde à cacher sa nudité. Silencieusement, sans se sécher, elle s’était agenouillée devant lui, lui avait baissé son pantalon et son caleçon et avait entrepris une fellation à laquelle Robert n’avait résisté que quelques secondes avant d’inonder le gosier maternel de plusieurs giclées de son sperme adolescent. À ces seuls souvenirs, Robert constata qu’il bandait à nouveau. Il quitta le lit et entra dans la salle de bain. Il s’approcha de Caroline qui, voyant l’érection de Robert, se leva dans le bain et pliant les genoux, invita son fils à l’enculer. Elle se servit de ses mains pour écarter les fesses et Robert la viola pour la deuxième fois de la soirée. Quand il l’eût enculé pendant deux ou trois minutes, qui compte dans ces moments-là ?, Caroline se redressa et la queue de Robert sortit de son cul, barbouillée de matières fécales. Caroline sortit du bain et prenant siège sur le rebord de la baignoire, elle laissa Robert lui planter sa queue dans la bouche. Elle nettoya avidement le pénis juvénile des matières qui le souillaient avant de laisser fiston utiliser sa bouche comme un vagin. Elle incita Robert à lui agripper les oreilles avec ses mains et à la baiser sans retenue. Le ventre de Robert venait percuter le nez de la femme à chaque coup de rein. Quand il fut sur le point de jouir à nouveau, Robert ne dit qu’un mot:


 - Maintenant !


 À ce commandement, Caroline se mit à pisser abondamment sur le carrelage, mouillant les jambes de Robert qui lui explosa dans la bouche. Caroline faillit s’étouffer devant l’abondance de sperme qui lui remplissait la cavité buccale à la vitesse grand “v”. Elle réussit cependant à tout avaler, laissant seulement un mince filet couler sur son menton. Quand son fils se retira de sa bouche, Caroline se laissa de nouveau glisser dans l’eau du bain. Robert tourna les talons et au moment de franchir la porte, il se souvint que sa mère n’avait pas eu son deuxième orgasme. Il se tourna pour lui faire face.


 - Tu peux te finir à la main, la mère !


 Caroline s’allongea dans l’eau maintenant tiède de la baignoire et sans aucune retenue et devant son fils, entreprit de se masturber. Quand Robert constata qu’elle approchait de la deuxième délivrance, il approcha de nouveau de la baignoire et saisissant sa queue maintenant molle, il orienta un copieux jet de pisse directement sur le visage de sa mère. Caroline gémit, ouvrit la bouche pour tenter de gober le précieux liquide et arqua le dos lorsque la jouissance frappa. Un peu dégoûté, Robert se retira pendant que Caroline se laissait retomber dans l’eau maintenant polluée de la baignoire. Il ne put s’empêcher de murmurer pour lui-même, une fois rendue dans le couloir:


 - Sacrée maman ! Qu’est-ce que je l’aime !



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 Quand Caroline et GÈrard revinrent de leur voyage de noce, la nouvelle famille déménagea dans leur nouvelle maison. Rachel et Robert furent heureux de constater que les vastes pièces, bien éclairées et climatisées, promettaient une vie beaucoup plus agréable que dans leur ancienne demeure. Le premier matin, à leur réveil, Caroline et Robert prirent le petit déjeuner ensemble tandis que Rachel faisait la grasse matinée.


 - Alors, ce voyage de noce ? C’était bien ?


 - Oui oui ! On a visité Rome et plusieurs musées.


 - Oui ! Et les reste ? Le vieux tient la rampe ?


 - Hum ! Ça ne te regarde pas !


 - Si ! Ça me regarde puisque je dois maintenant te partager avec lui.


 - Bon bon ! Si tu veux savoir, c’est pas le Pérou !


 - Ben... à son âge, il peut quand même pas te sauter tous les jours.


 - Tous les jours... non... je comprendrais ... mais là...


 - Quoi, mais là... ?


 - Pas une fois !


 - Tu rigoles ?


 Les yeux de Caroline s’humidifièrent et elle dut utiliser un papier mouchoir pour les essuyer.


 - J’ai peur Robert. Si je ne lui fait pas d’effet plus que cela, il pourrait demander le divorce.


 Robert regarda la pièce, le couloir et le living au bout de ce même couloir. Ah non ! Il ne fallait pas perdre tout cela à cause de sa mère.


 - Tu aurais pu te forcer... lui faire une pipe ou le laisser te tirer dans le cul... je sais pas moi !


 - Mais j’ai essayé ! J’ai tout essayé mais il ne bande pas.


 - Ben alors... pourquoi il t’a épousé ?


 - Je ne sais pas ! Pour sauver les apparences peut-être ?


 - Ouais ! Ben il va falloir trouver le pourquoi sans ça...


 - Je sais bien.



 Robert se leva et vint se poster derrière sa mère. Il écarta les pans de sa robe de chambre et glissa ses mains sur les deux grosses tétasses de sa mère.


 - Moi, je ne suis pas impuissant ! Et je me suis ennuyé de toi. Viens, on va aller dans ta chambre et on va vérifier si ton cul est plus serré après deux semaines de repos.


 Caroline se leva et, par jeu, Robert lui retira sa robe de chambre immédiatement. Caroline était nue ! Robert se dit en lui-même qu’elle devait sans doute s’attendre à une proposition de ce genre et qu’elle aurait été déçue s’il n’avait pas agi. Il lui caressa son gros derrière ( gros comparé à celui de sa fille mais pas si gros que cela en absolu ! ). Elle marcha devant lui en se dandinant le cul qu’il ne se gêna pas pour tripoter tout le long du trajet jusqu’à la chambre.


 - Mets toi à quatre pattes dans le lit que je te baise ton cul de salope !


 Caroline obéit en souriant. Comment ne pas être joyeuse quand on a sous la main un étalon qui connaît vos moindres points faibles et vos moindres désirs. Robert prit sa mère par les hanches et, sans utiliser les mains, aligna son gland sur l’oeillet de sa mère. Quand la flèche pointa sur la cible, il fonça en avant et défonça la fragile membrane.


 - Tiens ma grosse pute, prends tout !


 Caroline eût un rejet de la tête et une faible protestation:


 - Oh ! Je ne suis pas une pute !


 - Ah non ? Tu vends ton corps à un impuissant en échange d’une vie luxueuse et c’est pas de la putasserie ça ?


 Robert continuait de pilonner le trou maintenant bien ouvert. Il faisait tout son possible pour aller le plus profond possible.


 - Et les putes se laissent prendre le fion par leurs mecs seulement, c’est bien connu. Alors... t’es MA pute !


 - Oui oui... je suis ta pute. Fais-moi tout !


 Pour avoir plus de sensations, Robert prit sa mère par les cheveux et la redressa en position agenouillée, ce qui lui resserra les fesses et lui offrit l’opportunité de lui prendre ses gros seins. Il lui pistonna le cul encore pendant plusieurs secondes et finalement, il sentit la jouissance se dessiner dans ses couilles.


 - Je vais te mettre la purée, salope. Prends tout !


 Caroline serra les fesses le plus qu’elle put et elle sentit les giclées de sperme envahir son cul. Une après l’autre, son colon se remplissait et il ne semblait pas y avoir de fin à l’éjaculation de son fils. Finalement, les coups de rein cessèrent et Caroline se laissa tomber sur le ventre. Sans déculer, Robert suivit le mouvement et se retrouva allongé sur le dos de sa mère qui souriait de bonheur.


 - Ehhh ! J’ai pas fini, moi ! Tu ne crois tout de même pas que je vais débander après un seul coup ! J’ai pas soixante ans moi. C’est dommage que j’aie pissé en me levant sinon, je te remplirais le cul avec de la bonne pisse chaude. Tu aimerais ça, hein ?


 - Oui oui ! Tout ce que tu veux ! Tu me le feras plus tard dans la journée, si tu veux.


 - J’y compte bien. En attendant, serre bien les fesses que je remette le couvert, truie !


 Robert recommença à bouger dans le cul de sa mère. Caroline se tordit le cou vers l’arrière, à la rencontre du visage de son fils.


 - Embrasse-moi, mon amour !


 Leurs lèvres se soudèrent et la langue de Robert fonça dans la bouche de sa mère. Dieu qu’elle embrassait bien ! Fallait vraiment que Gérard soit un con ( ou un grand malade ) pour ne pas bander avec une femelle aussi chaude que sa mère.


 La deuxième vague de jouissance tarda un peu mais Robert y parvint tout de même avec assez de facilité. Caroline avait glissé sa main sur son clito et elle parvint adroitement à coordonner ses mouvements avec ceux de son fils et pour une rare fois, ils connurent un orgasme simultané. Robert roula sur le dos à côté de sa mère.


 - Je fumerais bien une cigarette, moi !


 Caroline le regarda avec de gros yeux.


 - C’est une blague, maman.


 La baise était finie: pour le moment, la “pute” redevenait “maman”.



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 - Robert, je voudrais te parler.


 - Entre maman et referme la porte.


 Allongé sur son lit, Robert retira les écouteurs qui inondaient ses oreilles de musique et les reposa sur sa table de chevet.


 - Tu sembles embêtée, maman.


 - C’est rien de le dire. Tu sais, au sujet de notre conversation de l’autre jour, à propos de Gérard qui ne bande pas.


 - Oui, bien sûr que je me souviens.


 - Hier soir, quand nous nous sommes couchés, j’ai trouvé le courage d’aborder le sujet.


 - Et alors ?


 - Alors... comment dire... il ne bande pas et il ne bandera pas, plus jamais.


 - Aie ! Aie ! Il veut divorcer ?


 - Non non ! Ne t’en fais pas pour ça, je sais ce qui le fait jouir maintenant.


 - Il ne bande pas mais il peut quand même jouir ?


 - Oui mais...


 - Mais quoi ?


 - Il faut que je lui chie sur la queue et alors, même si elle demeure molle, il jouit comme ça, sans que je le touche.


 - Tu te fous de moi ?!?


 - Non ! Je te jure ! D’ailleurs, on l’a fait et ça a marché. Il était tout heureux.


 - Pauvre maman !


 - En plus, il m’a donné la permission de prendre un amant mais à la condition d’être discrète.


 - Qu’est-ce que tu as répondu ?


 - J’ai dit que je verrais. Je suis restée évasive, je ne voulais pas avoir l’air de sauter sur sa proposition.


 - Tu as bien fait maman.


 - Tu crois ?


 - Je suis certain.


 La porte de la chambre s’ouvrit et Rachel passa la tête par l'ouverture.


 - Oh ! Excusez-moi ! Je vous croyais en train de faire une partie de jambes en l’air.


 - On t’attendait !


 Rachel ouvrit la porte, entra et la referma.


 - Comme c’est gentil.


 Sans aucune pudeur, Robert se leva et commença à se déshabiller en même temps que sa soeur. Caroline, assise sur le coin du lit les regardait faire. Quand ils furent nus, Robert s’adressa à sa mère:


 - Allez la grosse ! À poil ! On va te faire oublier tes soucis. Pour faire changement, je vais te baiser dans le con pendant que Rachel te fistera le cul. Tu vas jouir des deux côtés, salope de maman.


 Quand Caroline retira sa culotte, Robert remarqua une tache humide dans le fond. Il continua de l’insulter tout le long de la séance de baise, jusqu’à ce que la jouissance la délivre de la tension accumulée. Elle resta allongée dans le lit de Robert avec ses deux enfants qui l’encadraient.


 Plus tard dans la journée, Robert expliqua la situation à Rachel. Ils convinrent de faciliter la vie à leur mère, le temps que les choses se tassent: pas de demandes intempestives, pas de dépenses exagérées, de la prudence dans leurs rapports sexuels, tout pour ne pas ajouter de stress à leur mère qui en avait bien assez comme cela.



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 Gérard continua de faire plein de fric et à travailler de longues heures au bureau. Pendant encore deux ans, il fût heureux de constater que sa femme n’avait pas d’amant. Il ne pouvait deviner que Rachel et Robert comblaient tous les besoins sexuels de leur mère et même plus.


 Encore un an plus tard, un lundi matin, il ne se réveilla pas. Il gisait dans son lit, mort, avec un sourire aux lèvres. Il fût inhumé un jeudi. En revenant du cimetière, le trio sortit de la voiture que conduisait maintenant Robert qui venait tout juste de fêter ses dix-sept ans. La porte refermée, Robert saisit une fesse maternelle et lui murmura:


 - Tu sais maman, tu es très sexy en noir.


 Laissant sa main errer sur l’entrejambe de son fils, elle constata qu’il ne mentait pas: il y avait une grosse bosse sous son pantalon.


 - Allez la vioque ! Dans ton lit mais tu ne te déloques pas, je vais te baiser habillée.


 Robert lui remonta sa robe sur le bas du dos et lui viola le cul, comme elle l’aimait. Sur ces faits, Rachel entra dans la chambre:


 - Vous auriez pu m’attendre, au moins.


 Elle prit place devant sa mère, remonta sa jupe et lui présenta sa chatte juvénile qu’elle commençait déjà à raser. Tandis que Caroline lui faisait un cunnilingus d’experte, Rachel la récompensa en lui pissant un grand coup dans la gueule.


 - Y a pas à dire maman: tu as fait un bon mariage !



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UN BON MARIAGE

PAR LE MATOU