Le camps de nudistes SunnySide, dans le nord de la Floride, était un des plus vieux établissements de la sorte en Amérique. Alors que dans les débuts, il accueillait en majorité des vacanciers, au fil des ans, de plus en plus de couples et de familles s’y installèrent en permanence. Construisant des petites maisons retirées de la plage, des familles y vivaient maintenant à l’année longue.


 Les moeurs aussi avaient évolué: de plus en plus de personnes se retiraient derrière des gros rochers pour baiser. Maintenant, c’était à peine s’ils se cachaient derrière un maigre buisson. Il y avait beaucoup plus.


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 Lorsque Jimmy, treize ans, s’éveilla, il constata qu’il était seul dans la maison; son père, Harvey, quarante-cinq ans, sa mère Constance, quarante-six ans et sa soeur Cheryl, dix-huit ans, avaient déjà quitté les lieux. Il prit quelques gorgées de lait froid à même le contenant et partit pour la plage. Il y trouva les trois membres de sa famille, nus, allongés l’un près de l’autre; son père lisait le journal, sa mère écoutait la musique provenant d’une radio portative et sa soeur semblait dormir. Il les salua et continua sa marche jusqu’à l’océan dans lequel il marcha jusqu’à ce que l’eau atteigne sa taille. Il plongea alors et se mit à nager parallèlement à la plage. Il n’était pas un très bon nageur et n’osait pas s’éloigner du bord. Il fit ainsi une centaine de mètres et revint sur ses pas. Lorsqu’il sortit de l’eau, son père et sa soeur avaient disparu. Il prit la place de sa soeur et s’allongea près de sa mère, maintenant allongée sur le ventre, question d’équilibrer son bronzage. Il avait une vue nette sur la fente et le cul de sa mère. Une érection naissante le gêna et il se tourna lui aussi le ventre pour cacher son état.


 - Il te plaît mon cul ?


 Éberlué, Jimmy ne comprit pas immédiatement que sa mère venait de s’adresser à lui.


 - Tu n’aimes pas les grosses fesses de maman. Pourtant, ta queue dit le contraire.


 Sa mère qui n’employait jamais de tels mots, en tout cas, pas devant lui, venait d’en utiliser deux en deux phrases.


 - Euh... oui ... non... je veux dire...


 - Tu sais mon chéri, si tu le désires, maman peut te soulager.


 - Me soulager ?


 - La seule chose qui soulageait Jimmy dans ces cas là, était une douche froide. Et en ce moment, il ne désirait pas une douche froide. Comprenant son hésitation, Constance le prit par la main et le força à se lever, exhibant son sexe rigide érigé à la verticale. Elle le traîna vers les hautes herbes qui bordaient la plage dans lesquelles, heureusement il n’y avait personne en ce moment. Jimmy, une fois par terre, vit sa mère s’agenouiller près de lui et lui prendre la queue avec sa main. Elle se mit à lui faire une branlette. Ne sachant que faire au début, Jimmy résolut de profiter du moment et se laissa docilement masturber par la main experte de sa mère. Évidemment, après quelques minutes de ce traitement, Jimmy murmura:


 - Maman... je... je vais...


 Constance se pencha rapidement et engloutit la queue de son gamin dans sa bouche gourmande. Quand l’orgasme explosa, Jimmy projeta plusieurs jets de sperme dans la gorge de sa mère qui avala le tout, sans s’étouffer, comme une professionnelle. Quand les jets cessèrent, Constance releva la tête et regarda son fils dans les yeux:


 - Qu’est-ce que je t’aime, mon chéri !


 - Moi aussi, maman !


 Constance passa un genou au dessus des cuisses du gamin et le chevaucha. Elle utilisa le reste d’érection de Jimmy pour s’introduire la queue du gamin dans sa chatte en chaleur. Instinctivement, Jimmy leva les mains et caressa les seins maternels. Constatant qu’il ne faiblissait pas, Constance se mit à bouger les hanches sur la queue de son gamin. Elle utilisait le sexe de son fils pour se faire jouir. Elle se pencha en avant jusqu’à ce que son visage ne soit qu’à quelques centimètres de celui de Jimmy, ses seins écrasant le torse du gamin qui dut lâcher prise. Il les plaça plutôt sur les fesses de Constance qui apprécia le geste.


 - Comme c’est bon, mon chéri; tu bandes comme un homme. Tu es si dur, c’est merveilleux.


 Jimmy éprouva une bouffée de fierté: sa mère venait de le traiter “d’homme”. Constance se pencha encore jusqu’à ce que ses lèvres se plaquent sur la bouche du gamin. Sa langue pénétra la bouche du garçon et se mit à tournoyer autour de la petite langue de son fils. Comme Constance gardait ses cheveux courts et coiffés vers l’arrière, ils ne vinrent pas la déranger pendant le baiser. Constance ne brisa le baiser que pour dire:


 - Je vais jouir ! Merde ! Fourre-moi un doigt dans le cul ! Vite !


 Jimmy obéit et, trouvant l’anus de Constance, il poussa son index dans l’oeillet fripé de sa mère. Constance explosa et Jimmy vit que son bas-ventre se mouillait du jus de sa mère. Quand la tension de Constance revint à la normale, elle constata que Jimmy n’avait pas joui. Elle se souleva légèrement et, utilisant une main, elle prit la queue de Jimmy et l’orienta vers son anus. Elle se laissa redescendre lentement et s’empala sur le membre encore turgescent.


 - Qu’est-ce j’aime ça, te sentir dans mon cul ! Allez, défonce-moi la rondelle ! Jouis ! Remplis mon trou à merde avec ton sperme !


 Elle resserra au maximum son sphincter anal et, pris dans un piège aussi délicieux, Jimmy eût le seul réflexe acceptable: il jouit et inonda le cul maternel de plusieurs jets de foutre. Quand il eût terminé, Constance décula et s’allongea près de son fils, les yeux fermés à cause du soleil trop brillant par cette magnifique journée.


 - Maman, je peux te demander quelque chose ?


 - Bien sûr !


 - Je ne t’avais jamais entendu dire autant de ...


 - De gros mots ?


 - Oui.


 - Quand je baise, j’aime ça, ça m’excite. Tu peux en dire aussi, si t’aimes ça. Mais seulement quand on baise, pas devant les gens, tu comprends ?


 - Ça fait partie du jeu, quoi ?


 - Voilà ! Tu as tout compris. Si on allait manger maintenant, j’ai une faim de loup, moi.


 - Moi aussi maman. Dis...


 - Quoi ?


 - On pourra recommencer ? Un autre jour je veux dire.


 - Aussi souvent que tu le voudras ou que tu le pourras, je ne me lasserai jamais de ta belle queue, mon chéri.


 Jimmy eut un grand sourire: il n’était plus à SunnySide, il était à HeavenSide.


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 Le lendemain, il fit un temps de chien: du vent, de la pluie et des éclairs. Tout le monde demeura dans leurs maisons et tous portaient des vêtements car le mercure avait reculé dans la colonne. Le soir, ils jouèrent au gin rummy: Harvey fit équipe avec sa fille contre Constance et Jimmy. Jimmy, qui ne jouait pas très bien aux cartes, causa la défaite de son équipe. Il s’en voulait encore lorsqu’il se retira pour se coucher. Il songeait encore aux coups qu’il avait ratés lorsqu’il vit un ombrage dans le couloir. Il ferma les yeux et fit mine de dormir. Entre ses cils, il vit sa soeur passer devant sa chambre, lui jeter un oeil pendant quelques secondes pour vérifier qu’il dormait bien puis continuer son chemin jusqu’à la chambre des parents. Elle repoussa la porte sans la refermer complètement. Une minute plus tard, sa soeur repassa dans la couloir, cette fois suivie par Harvey et Constance. “Mais qu’est-ce qui se passe ?”. Jimmy se leva, sortit dans le couloir juste à temps pour voir la porte qui donnait sur la cave bouger légèrement. La cave ne comportait aucune pièce: c’était juste quatre murs et un plancher en ciment. On y rangeait des vieilleries ou des machins qui ne servaient plus.


 Prudemment, Jimmy descendit quelques marches et se pencha pour jeter un oeil. Il vit son père brancher un magnétoscope sur une vieille télé qui fonctionnait encore mais dont la qualité de l’image laissait à désirer. Sa mère et sa soeur tirèrent un vieux sofa taché devant la télé pendant qu’Harvey introduisait une cassette. Il mit le machin en marche et vint s’asseoir avec les deux femmes.


 - C’est arrivé ce matin.


 - Ça dure longtemps, demanda Cheryl.


 - Je ne sais pas je ne l’ai pas visionné encore.


 L’écran s’illumina et une femme et deux enfants apparurent totalement nus. La femme devait avoir le début quarantaine alors que les deux gamin devaient avoir quinze et treize ans. Jimmy nota que la femme était moins belle que sa mère. Elle était mince, avec de petits seins un peu mous, presque pas de hanches et des fesses maigres. La femme se mit à parler:


 - Salut Harvey, Constance et Cheryl. C’est notre tour de vous envoyer un film, j’espère que vous allez aimer.


 La caméra fit un soubresaut et devint fixe. Un homme d’âge mur, nu, apparut et les salua de la main. La femme prit place sur le bord d’un lit et prit la queue de l’homme qu’elle commença à sucer. On voyait les deux garçons qui bandaient, observer leur mère faire une pipe à leur père. L’homme posa la main derrière la tête de sa femme et commença à lui baiser la gueule profondément. La femme ne protesta pas, elle utilisa sa main pour se masturber. Le plus jeune des gamins retira la main de sa mère et se plaça à genoux devant elle pour lui sucer la chatte pendant que son père continuait à utiliser sa bouche comme un vagin.


 Jimmy ne reconnut pas les participants, ils ne demeuraient probablement pas à SunnySide, sinon pourquoi auraient-ils utilisé la poste pour leur faire parvenir la cassette.


 Lorsque l’homme jouit, il se retira de la bouche de sa femme et lui gicla son foutre dans le visage. Le plus vieux des garçons poussa alors sa mère sur le lit et lui fit prendre la position de la chienne. Il se mit à genoux derrière elle et introduisit sa queue dans sa mère qu’il bourrait maintenant à grands coups. La caméra redevint mobile après un autre soubresaut et Jimmy devina que le père, satisfait, retournait à son occupation première: cameraman. Jimmy remonta les marches avec précaution, repoussa la porte de la cave à sa position originale et retourna dans sa chambre après avoir pris un papier mouchoir dans la salle de bain. Il enroula le papier mouchoir autour de sa queue et se masturba ainsi. Il inonda le papier mouchoir qu’il jeta ensuite dans la corbeille près de son lit. Ainsi, il pourrait patienter jusqu’au lendemain. Il avait la ferme intention d’enculer sa mère jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Il dormit comme un loir. Sur le divan du sous-sol, deux chattes mouillées et queue bien raide n’attendaient que le moment de passer à l’action. Heureusement, le film ne durait qu’une heure.


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 Encore une fois, Jimmy fût le dernier à quitter le confort de son lit. Il descendit sur la plage mais ne vit aucun membre de sa famille. Ils ne devaient pas être bien loin car la voiture était stationnée contre la maison. Il se mit à marcher le long de la plage en regardant de tous côtés. Il marcha cinq cents mètres avant de virer de bord. Au lieu de revenir par la plage, il avança dans ces grandes herbes qui marquaient la fin de la plage connues sous le nom de “baisodrôme”. Il suffisait de se retirer dans ces herbes pour disparaître de la vue des plagistes et là, on pouvait s’adonner à toutes les activités sexuelles sans être dérangés. C’est dans une petite baissière qu’il retrouva Harvey et Cheryl. Assis sur une pierre, ils regardaient une femme se faire prendre par trois hommes simultanément. Son père bandait et Cheryl le masturbait lentement. Il y avait aussi trois autres couples qui observaient silencieusement. Un de ces couples habitaient la troisième maison sur leur gauche. La femme suçait son mari à pleine bouche tout en se masturbant. Mais sa mère n’était pas là. Il continua son chemin en contournant la scène pour ne pas déranger le spectacle. Son érection le dérangeait un peu pour marcher et il faisait attention aux branches qui auraient pu entrer en contact avec sa queue. Il revint finalement sur la plage et décida de rentrer à la maison. Il fut étonné de trouver sa mère assise à la table de cuisine, une tasse de café bouillant à la main.


 - Où étais-tu passé, Jimmy ?


 - Ben... je vous cherchais.


 - Ton père et ta soeur ?


 - Ils regardent une vioque se faire enculer par trois mecs dans les herbes.


 - C’est pas une façon de parler, ça ! Petit cochon !


 Constance repoussa sa chaise et tapota sa cuisse, incitant Jimmy à venir y poser son derrière.


 - Elle n’est pas si vieille que ça, Mme Brown.


 Avec deux doigts, Jimmy saisit un tétin de sa mère.


 - J’aime bien les vioques, moi !


 Constance baissa les yeux et à l’érection verticale de Jimmy, elle comprit qu’il ne mentait pas. Elle lui caressa la queue.


 - Tu viens, on va aller en bas, on aura la paix ?


 Ils descendirent rapidement les marches et Jimmy constata que la télé et le divan n’avaient pas bougé. Constance enlaça son fils et l’embrassa passionnément, sa langue combattant la langue de son fils dans une bataille sans vainqueur. Du bout des doigts, elle lui caressait le gland.


 - Alors, qu’est-ce qui te tente aujourd’hui ?


 - T’enculer maman ! Te défoncer la rondelle et y déverser tout mon jus. J’aime bien tes fesses.


 - Voyez-vous ça ?


 Sans protester, Constance se mit à genoux sur le bord du divan, appuya ses épaules sur le dossier et écarta ses fesses avec les mains.


 - Alors, viole-moi, sale gamin. N’écoute plus ce que je dis à partir de maintenant. Même si je te supplie d’arrêter, tu n’en fais qu’à ta tête. Compris ?


 Pour toute réponse, Jimmy appuya le bout de sa queue turgescente sur l’anus de sa mère et l’enfonça d’un seul coup jusqu’à la garde.


 - Prends ça !


 - Oui oui ! Vas-y ! Défonce ta salope de mère. Je veux être ta pute à toi ! Fais-moi tout ce que tu veux.


 Jimmy se pencha un peu et agrippa les seins maternels et se mit à les malmener. Il n’osait pas y aller trop fort au début. Constance le supplia de les tordre, de les étirer et même de les frapper, s’il le désirait. Jimmy continuait son enculage mais il y mit trop de coeur et ne put se retenir de jouir rapidement dans le cul chaude de sa mère. Ce fût trop rapide pour que Constance jouisse mais elle n’était pas fâchée. Elle connaissait les ardeurs de la jeunesse.


 À son horreur, quand Jimmy retira sa queue du cul de Constance, elle était tachée de merde. Sa mère fit demi-tour rapidement et prenant la queue du gamin entre ses doigts, elle entreprit de la nettoyer avec sa bouche. En un rien de temps, Jimmy rebandait. Constance se glissa dans le divan et releva les jambes à l’aide des mains, ramenant ses genoux vis-à-vis des oreilles. Son cul n’était pas complètement refermé et Jimmy en profita pour lancer un deuxième assaut. Dans cette position, il devait s’appuyer sur ses mains, alors il en profita pour embrasse sa mère durant toute la séance de baise. Les langues se croisaient, se chatouillaient dans un féroce corps-à-corps tandis que sa queue ravageait l’anus maternel. Le “floc-floc” de ses coups de reins sur les fesses tendues de sa mère retentissait dans la cave. Constance dégagea une de ses mains et se frotta le clitoris devant son fils qui la regardait avec des yeux énamourés. Quand il sentit le deuxième orgasme approcher, il dit:


 - Maman.. je vais...


 - Moi aussi ! Moi aussi !


 Elle accéléra la cadence de sa masturbation et réussit à jouir en même temps que son fils lui remplissait le colon pour une deuxième fois de son jus incestueux. Quand il décula, il regarda, fasciné, son jus s’échapper de l’anus qui baillait, couler le long de la raie de sa mère et aboutir sur le divan. C’est alors qu’il nota qu’il y avait des dizaines de taches semblables sur le meuble qui avait dû servir à cet usage de maintes fois auparavant.



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SUNNYSIDE

PAR LE MATOU