Par cette nuit sans lune, la voiture roulait trop vite. La petite route de montagne faisait défiler les courbes de plus en plus serrées. Quand les pneus usés lâchèrent prise, la petite estacade de pierre ne fût pas de taille pour contenir l’assaut du monstre de deux tonnes qui la franchit presque sans ralentir et plongea vers l’abÓme. Lorsqu’elle toucha le sol, le toit en premier, les occupants n’eurent aucune chance. Leurs hurlements généraient encore de l’écho qu’ils étaient déjà devant leur créateur.



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 - Écoutez, mes chéries, vous allez faire une valise et emporter les vêtements que vous aimez le plus. Nous reviendrons chercher le reste plus tard.


 - Maman et Claude ne reviendront pas, dis Mamie ?


 C’était la plus âgée des deux fillettes qui venait de parler. Du haut de ses onze ans, Viviane tentait de protéger sa soeur cadette Amélie, en la serrant contre elle.


 - J’ai bien peur que non. Ils ont eu un accident de voiture et ...


 - On peut aller à l’hÙpital pour les voir ?


 Mamie regarda son mari d’un air désemparé. Ce fût Amélie qui comprit la première. Son visage se déforma en une grimace et elle se mit à pleurer en gémissant.


 - Ils sont morts, dis Mamie ?


 - On ne vous abandonnera pas, vous allez demeurer avec Papi et moi. On vous aime tellement.



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 Deux mois plus tard, une fois le testament ouvert, Viviane et Amélie héritaient chacune de la moitié des avoirs de leurs parents, même si Claude n’était pas leur père mais le deuxième mari de Guylaine.


 - Je pense qu’on va devoir vendre la maison et placer l’argent ainsi que celui des assurances jusqu’à leur majorité ou pour leur payer des études.


 - Oui, c’est ce qui serait le mieux.


 - On va amener les filles demain et trier ce qu’on gardera de ce qu’on jettera.


 Le lendemain, la petite troupe se rendit au village voisin et Papi utilisa la clé qu’il possédait pour ouvrir la porte. Papi s’occupa du rez-de-chaussée alors que Mamie monta à l’étage, suivie des deux filles. Tandis que Papi recensait les meubles du living, du bureau de Claude et de la cuisine, Mamie aida les filles à emballer les vêtements qu’elles n’avaient emportés auparavant. Les vêtements remplirent cinq cartons et les jouets, trois cartons de plus.


 - Bon, vous avez tout pris ?


 - Oui Mamie.


 - Dis Viviane, on apporte les photos aussi, demanda Amélie.


 - C’est vrai, je n’y pensais plus.


 - Quelles photos ?


 - Celles qui sont dans la boîte dans la commode de leur chambre, répondit Viviane en pointant la chambre de leurs parents.


 Mamie ouvrit la commode et il y avait une boîte qui avait dû contenir des chaussures. Elle prit la boîte et l’ouvrit.


 - Gaston, monte un peu voir !


 Une fois dans la chambre, elle ouvrit la boîte devant son mari.


 - Eh ben ! On ne s’ennuyait pas ici !


 Toutes les photos montraient les participants nus, Guylaine comme son mari et les deux gamines. Sur certaines photos, elles se faisaient baiser par Claude, sur d’autres, leur mère leur suçait le clito ou la chatte. Sur d’autres photos, les deux fillettes urinaient dans la baignoire. Il y avait beaucoup trop de photos pour les examiner exhaustivement. Les deux fillettes regardaient leur grands-parents et craignirent leur réaction.


 - Il y en a d’autres ?


 - Des photos, non, mais il y a les cassettes.


 - Quelles cassettes ?


 Viviane montra le placard de la chambre: sur le sol, caché derrière une pile de vêtements, deux cartons qui devaient bien contenir une cinquantaine de cassettes. Mamie s’adressa à Viviane:


 - C’est du même genre ?


 Viviane hocha la tête sans dire un mot. Mamie lui sourit et sortit les cartons. Soulagées de voir que leur grand-mère ne semblait offusquée de trouver de telles choses, les fillettes lui sourirent à leur tour. Mamie décida d’inspecter à fond la chambre; s’ils avaient caché ces choses compromettantes, il y en avait peut-être d’autres dont les fillettes ne connaissaient pas l’existence. Finalement, après une heure de recherches intensives, Mamie déclara que la chambre était propre.


 Papi transporta les cartons de cassettes et la boîte de photos dans leur chambre à coucher pendant que les fillettes rangeaient leurs vêtements dans le placard. Amélie demanda à sa soeur aînée:


 - Tu crois qu’ils sont fâchés ?


 - Non, ils nous auraient déjà grondé sinon.


 Mamie entra dans la chambre des filles.


 - Allez, c’est le temps de dormir, on finira de tout ranger demain.


 Mamie embrassa les gamines et les borda. Viviane fit remarquer à Amélie:


 - Tu vois qu’ils ne sont pas en colère.


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 Papi pressa le bouton “Play” sur la manette et l’écran de télé s’illumina. Mamie se déshabillait et jetait un oeil à l’écran. Une femme d’une quarantaine d’années, nue, fit son entrée dans une chambre quelconque accompagnée de deux gamins qui devaient avoir quatorze et seize ans, nus eux aussi. Le plus jeune bandait et l’autre était à demi érigé. La caméra ne bougeait pas d’un iota, signe qu’elle était montée sur un trépied. La femme prit le plus jeune dans ses bras et commença à l’embrasser à pleine bouche pendant que l’autre garçon s’agenouillait derrière la femme et, lui séparant les fesses, lui léchait le cul. Puis, ils inversèrent les positions. Après deux minutes de ces préliminaires, le plus âgé des garçons s’allongea sur le lit et la femme le chevaucha, s’empalant sur sa tige maintenant tout ‡ fait rigide. Lorsqu’elle se pencha pour embrasser sa monture, l’autre garçon vint derrière elle et utilisa le trou inoccupé sans autre préambule.


 Mamie s’allongea près de Papi qui venait lui aussi de quitter ses vêtements. Elle prit un gode de taille respectable dans le tiroir de la table de chevet et se l’enfonça dans la chatte. Papi lui se masturbait lentement pour faire durer le plaisir. Sur l’écran, le gamin enculait sa mère, car il y avait de toute évidence un air de famille entre les acteurs. Il jouit assez rapidement et décula, le sexe barbouillé de foutre et de merde. Il vint se placer au-dessus de son frère et braqua sa queue dans la bouche de sa mère qui le nettoya et le fit durcir à nouveau. Quand il fût bien rigide, il retourna à son occupation première: l’enculage de sa mère. Le film continuait de la sorte, les gamins s'échangeant les trous de leur mère.


 Mamie ne pouvait plus se retenir et après quelques bons coups de gode dans sa chatte mouillée, elle arqua le dos en jouissant. Papi fit de même en pointant sa queue vers sa femme qu’il arrosa de plusieurs jets d’un foutre crémeux sur ses seins et son visage. Le synchronisme s’avéra parfait car l’écran de la télé se remplit de neige, signe que la cassette était terminée. Papi se leva et retira la cassette du magnétoscope pour la remettre dans la boîte.


 - J’en remet une autre ?


 - Si tu penses pouvoir tenir le coup, vieux cochon.


 Parmi les cassettes, Papi en remarqua quelques unes sur lesquelles une croix avait été tracée sur l’étiquette. Il en inséra une dans le magnétoscope et mit en route.


 Quand la première image apparût sur l’écran, ils virent un couple nue avec une fille d’environ quinze ou seize ans, nue elle aussi. Sans préambule, l’homme, le sexe mou, s’allongea sur le lit. La femme aida la fille à se poster en position de soixante-neuf sur l’homme mais elle ne toucha pas à son sexe. Elle se balança vers l’arrière jusqu’à ce que sa chatte vienne rencontrer la bouche de l’homme qui entama un cunnilingus. La femme disparut de l’image et la caméra devint mobile. Elle fit un zoom sur le derrière de la fille et on vit alors qu’elle pissait dans la bouche de l’homme qui avalait sans en perdre, le pipi jaune émergeant de la chatte imberbe ou rasée. La caméra fit un travelling sur l’homme et on vit sa queue maintenant dure qui pointait vers le visage de la fille.


 Travelling inverse vers le cul de la fille. On entendait sa respiration qui devenait haletante. Papi et Mamie comprirent pourquoi dans les images suivantes. On voyait clairement l’oeillet de la fille qui béait et bientôt, un joli étron brun fit son chemin à travers le muscle anal. L’homme se précipita à la rencontre de l’offrande et la prit dans sa bouche. Quand la fille eût fini de chier, l’homme se mit à mâcher et à avaler toute la merde. Nouveau travelling vers le bas et cette fois, on vit le sperme de l’homme gicler, sans que la fille ne lui touche. Une bonne partie de la giclé finit sur le visage et la poitrine de la fille.


 Le film coupa quelques instants et reprit. La scène avait changé, c’était maintenant la femme qui était sur le lit avec la fille au-dessus d’elle. Elle réitéra son action précédente et chia sur le visage de la femme qui avala avec gourmandise. L’homme la remplaça sur le visage de celle qui devait être sa femme et, à son tour, chia sur le visage et dans la bouche gourmande mais barbouillée de merde. Il y en avait beaucoup plus que l’offrande de la fille et la femme dut s’y prendre à plusieurs reprises pour tout avaler mais finalement, elle y parvint. L’homme qui bandait tira la femme par les chevilles au pied du lit et l’encula en lui relevant les jambes sur ses épaules. Il labourait vigoureusement le cul de la femme qui semblait habituée à un tel traitement.


 Quelques minutes plus tard, elle tourna la tête de côté et fut prise de nausées. Elle se mit à régurgiter sur la couverture de longs jets de vomi qui roulèrent sous elle. La fille, qui n’était plus à l’image, s’avança vers la femme et, dérangée soit par l’image ou l’odeur, se mit aussi à vomir sur le ventre de la femme. Cette dernière lui saisit les joues et orienta le visage de la fille vers le sien. Quand la deuxième vague de nausée frappa, elle dégueula sur le visage de la femme. On vit l’homme se raidir. Il venait de jouir dans le cul de la femme. L’image coupa pour de bon, cette fois. Papi, qui bandait de nouveau, se masturba comme un déchaîné. Quand il fût sur le point de gicler, Mamie se précipita sur sa queue et avala tout le foutre qui pouvait rester dans les couilles de l’homme mature.


 Viviane, qui espionnait par le trou de la serrure derrière la porte de la chambre, se redressa. Ayant observé toute la scène, elle retourna dans sa chambre. Amélie lui demanda:


 - Alors ?


 - Alors... ce sera comme avant !


 Amélie eut un grand sourire.


 - C’est vrai ?


 - Oui, ils se sont envoyés en l’air chacun de leur côté. Tu aurais du voir ce que Papi lui a mis.


 - La prochaine fois, c’est moi qui regardera.


 - Promis mais il ne faut pas faire de bruit. On se fait un câlin ?


 Pour toute réponse, Amélie retroussa sa chemise de nuit et Viviane enleva la sienne. Nue, elle enjamba sa soeur et lui présenta son derrière pendant qu’elle se penchait pour lui lécher la chatte dans un soixante-neuf des plus classiques. Pendant que la petite langue rose de Viviane attaquait la fente de sa soeur cadette et que son index s’enfonçait dans le petit trou du cul d’Amélie, cette dernière lui rendait la pareille tout en lui triturant ses petites tétines roses qui garnissaient des tétons encore absents. Les langues agiles firent des merveilles et les gamines eurent des orgasmes presque simultanés, Amélie étant encore plus rapide que sa soeur à atteindre le sommet du bonheur. La bouche couverte des glaires de sa soeur, Viviane l’embrassa sur la bouche pour lui souhaiter une bonne nuit. Dans l’autre chambre, deux ronflements légers émergeaient des protagonistes adultes déjà dans les bras de Morphée.


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 - Pourquoi Papi et Mamie veulent pas jouer avec nous ?


 La question d’Amélie s’adressait à sa soeur qui finissait de ranger les vêtements dans le tiroir.


 - Je ne sais pas. Ils ont peut-être peur.


 - Peur de quoi ?


 - De ce qu’on va faire ou de ce qu’on va dire, je ne sais pas. Mais j’ai une idée.


 - La quelle ?


 - Ce midi ...


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 Assis dans son grand fauteuil, Papi écoutait les infos lorsque les filles vinrent le rejoindre. Viviane posa une fesse sur le bras du fauteuil, sans dire un mot pour ne pas le déranger, et Amélie s’allongea par terre, sur le ventre et ramena ses bras sous son menton. Ce faisant, sa petite robe remonta au-dessus du rond de la fesse que sa culotte, bien calée dans le sillon, ne cachait pas du tout. Du coin de l’oeil, Viviane surveillait la réaction de Papi et bientôt, elle constata que le regard de Papi se dirigeait plus souvent vers Amélie que vers la speakerine. Mamie, ayant terminé la vaisselle, vint les rejoindre et au lieu de prendre place sur le divan, s’assit tout contre Amélie, posant sa main sur le dos de la gamine.


 - Vous regardez les infos, maintenant ?


 - Il n’y a rien d’autre à cette heure.


 La main de Mamie descendit vers le bas du dos de la gamine et lui caressa une fesse gentiment. Papi ajouta:


 - Ouais ! Et elles ne sont même pas intéressantes.


 - Dites, les filles, ça vous dirait qu’on fasse autre chose ?


 - Ah oui alors ! La télé est toujours moche l’après-midi. Qu’est-ce qu’on fait ?


 - Si on faisait des photos, ça vous dirait ?


 Viviane effleura le sexe durci de Papi.


 - Oui, on aime bien ça, faire des photos, hein Amélie ?


 - Oui oui oui !


 L’enthousiasme des fillettes fit sourirent Papi et Mamie.


 Papi se leva et partit chercher son appareil numérique dans l’autre pièce. Lorsqu’il revint, la bosse qui déformait son pantalon ne pouvait plus ne pas apparaître évidente.


 - Placez-vous près de Mamie, je vais faire un test de lumière.


 Viviane se plaça derrière Mamie, toujours assise par terre près d’Amélie. Cette dernière cala ses fesses entre les jambes de Mamie. Elle releva les jambes pour bien montrer sa culotte. Papi prit trois clichés avec différentes ouvertures. Il montra le résultat à Mamie, visionnant les photos prises sur le petit écran de l’appareil. La troisième ouverture était la bonne.


 - Dites, les filles, ça vous dérange si je dévoile mes seins ? Papi aime bien les prendre en photo.


 - Oh ! Dis Mamie, nous aussi on peut montrer les nôtres ? Allez ! Dis oui, Mamie !


 - Bon, d’accord !


 Viviane tira la robe d’Amélie par dessus sa tête et fit de même pour la sienne pendant que Mamie déboutonnait la sienne jusqu’à la taille et enlevait sa brassière. Ses seins pendaient assez bas.


 - Dis Mamie, on peut les embrasser pour la photo ? Dis oui, Mamie !


 - Bon, d’accord !


 Les deux fillettes se mirent à genoux de chaque côté de la femme âgée et prirent chacune un téton dans la bouche. Le flash crépitait. Mamie posa une main sur le derrière des fillettes. Malicieusement, elle tira l’élastique des culottes vers le bas, dévoilant les fesses des gamines, ce qui fit rigoler Amélie. Viviane quitta le sein et vint poser ses lèvres sur celles de Mamie. Immédiatement, sa petite langue força le passage et vint chatouiller la langue de Mamie et sa main se posa sur l’entrejambe de la femme adulte. Amélie en profita pour enlever sa culotte et dévoila sa fente imberbe à l’objectif. Le flash crépitait puis se tut.


 - Je crois que les piles sont épuisées. Je reviens dans un instant.


 Pendant que Viviane continuait d’embrasser Mamie, cette dernière défit les derniers boutons de sa robe et Amélie l’aida à l’enlever. Sans autre détour, elle en profita pour tirer la culotte de la femme vers le bas et l’enlever complètement. Viviane se débrouilla pour faire glisser sa culotte pendant le baiser et Mamie lui empoigna solidement ses fesses maintenant nues. Mettant fin au baiser, Viviane lui murmura:


 - Dis Mamie, tu aimes lécher des petites filles ?


 - J’adore !


 Mamie se laissa glisser sur le dos et Viviane lui chevaucha le visage, laissant descendre sa fente sur la bouche de Mamie qui, sortant sa langue, l’inséra dans l’ouverture déjà humide. Amélie se plaça entre les jambes de Mamie et lui léchait le clito qui quittait son abri. Quand Papi revint dans la pièce avec des piles neuves, il comprit que le temps des photos était révolu. Il enleva ses fringues et vint se placer au-dessus de sa femme, derrière Viviane. Il poussa gentiment sur les épaules de Viviane qui, se penchant en avant, prit appui sur les mains. De cette façon, elle présentait son petit cul à Papi. Même s’il avait envie de l’enculer, Papi décida qu’il serait plus sage d’entamer cette nouvelle relation par un enconnage plus traditionnel. Il pointa sa queue bien raide vers la fente humide et la fit pénétrer lentement. Sage précaution car la fente de la gamine n’ayant pas servi depuis plusieurs semaines, s’était refermée.


 Il la baisait doucement, juste au-dessus du visage de Mamie. Cette dernière subissait toujours les assauts de la langue d’Amélie qui semblait infatigable à ce jeu. Mamie en profitait pour caresser les couilles de son homme. Sous l’effet double de la caresse de sa femme et de la nouveauté de sa partenaire, Papi ne put résister bien longtemps et, au bout de quelques minutes, propulsa son jus dans la fente de la gamine. Son petit con débordait mais le sperme ne fût pas perdu pour autant. Mamie ajusta sa bouche grande ouverte sous le con de la gamine et recueillit l’excédent et l’avala goulûment. Quand il se retira de la fente de Viviane, Mamie attira cette dernière à reprendre sa place sur sa bouche et nettoya le petit conduit de toutes traces de souillure. Ce faisant, elle amena Viviane au bord de l’orgasme. Elle lui chatouilla l’anus avec un doigt et ce fût suffisant pour faire exploser la gamine qui adorait jouir du cul et du con simultanément. Mamie recueillit le jus de la fillette et il prit le même chemin que celui de Papi: direction l’estomac.


 Elle caressa les cheveux d’Amélie et lui fit signe de venir prendre la place de sa soeur sur sa bouche. Papi incita Viviane à faire entrer sa main dans la chatte de la femme âgée. Elle ne se fit pas prier et commença à pistonner la chatte humide de la femme pendant que cette dernière faisait reluire la fillette. Amélie connût l’orgasme en premier et Mamie la suivit de près.



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 Le soir même, Papi et Mamie se déshabillèrent pour se mettre au lit, nus comme d’habitude lorsqu’il faisait chaud. Étendus sur la couverture, Mamie repassait les événements de la journée dans sa tête lorsqu’elle remarqua qu’elle ne devait pas être la seule à le faire puisque Papi bandait à nouveau.


 - Tu as bien fait de ne pas l’enculer. Il faudra la préparer, elle ne doit pas être ouverte de ce côté.


 - Oui, je sais bien. N’empêche ...


 - Il va falloir te contenter d’un pis aller.


 Mamie se tourna sur le côté, présentant son derrière à l’homme de sa vie. Papi ajusta sa queue sur le petit trou de la femme et l’encula jusqu’au fond d’un seul coup.


 - Ce n’est pas un pis aller ! C’est le meilleur trou que j’ai jamais connu.


 Il attrapa un sein de sa femme et se mit à l’enculer sauvagement, comme Mamie aimait. Il la défonçait de toutes ses forces et Mamie connût un autre orgasme avant que Papi ne déverse ce qui lui restait de sperme dans ses entrailles. Mamie lui en fût très reconnaissante car elle dormait toujours mieux après une bonne enculade vespérale. Dans l’autre chambre, les deux soeurs dormirent dans le même lit, nues et enlacées. L’avenir s’annonçait moins moche qu’elles ne l’avaient prévu.



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PAPI

PAR LE MATOU