Le Nevada est un désert: quatre-vingt-dix pour-cent de sa surface ne connaît aucune irrigation, si ce n’est quelques millimètres de pluie par année. Le paradis des serpents, des scorpions et de quelques autres bêtes qu’il vaut mieux ne pas rencontrer sur son chemin. Johan, Jo pour les intimes, faisait partie de cette catégorie: il valait mieux ne pas se trouver entre elle et ses ambitions. Au mieux, elle vous passait dessus, au pire, elle vous éliminait. Elle n’avait qu’une faiblesse: ses deux enfants, issus de deux mariages. Amy, vingt ans, blonde comme son père, une fille aux formes pleines, au bronzage toujours parfait et Cody, dix ans, brun de poil et de peau, comme sa mère.
Tous trois rentraient à la maison après une courte excursion à Reno, question de signer un contrat très lucratif pour l’entreprise de Jo. La Cadillac CTS offrait un confort parfait, la route était lisse comme un billard et Jo respectait la limite de vitesse: les flics ne badinaient pas avec la sécurité routière dans ce coin de pays. Jo fit signe à Amy, qui occupait l’autre siège à l’avant de la voiture. Amy tourna la tête en arrière et vit Cody, allongé sur la banquette et leur tournant le dos, qui piquait un roupillon. Les deux femmes sourirent et Amy fit une grimace obscène à sa mère: elle sortit la langue et mima un frenchkiss. Elle se souleva de la banquette et remonta le bas de sa robe au-dessus de la taille tout en écartant les jambes, exposant ainsi sa fente parfaitement rasée. La main droite de Jo se posa sur la cuisse gauche de sa fille. Amy lui prit la main et la déposa directement sur sa bouche. Elle suça trois doigts, les enduisant d’une généreuse portion de salive puis, elle guida la main maternelle vers sa chatte déjà humide. Jo força le passage et, malgré la difficulté de l’opération, introduisit les doigts dans le con de sa fille en chaleur. Les mains d’Amy massèrent ses seins dont les pointes s’érigeaient déjà sous le tissu léger. Elles pinça ses tétines pendant que sa mère continuait de ravager le vagin de sa fille. Elle sortit ses doigts et les porta sous le nez d’Amy qui les renifla quelques bons coups avant de sortir la langues et de les sucer. Puis, elle incita sa mère à les réintroduire dans sa cavernes qui mouillait sérieusement. Jo, qui connaissait bien les goûts de sa fille, les poussa violemment dans le vagin accueillant. Elle devait opérer tout en gardant les yeux sur la route heureusement déserte à cette heure de la nuit. Amy projeta son bassin à la rencontre des doigts et n’eût besoin que de quelques poussées supplémentaires pour jouir, la bouche ouverte sur un cri silencieux. Elle retomba sur la banquette, soulagée pour un moment. Elle rajusta sa robe, sortit un papier mouchoir pour essuyer le cuir du siège qu’elle jeta ensuite par la fenêtre. Elle se pencha vers sa mère et l’embrassa sur la joue tout en lui murmurant à l’oreille:
- Merci maman ! Je t’en dois une.
- Je ne l’oublierai pas.
Le deux femmes se regardèrent en souriant. Sur le siège arrière, Cody dormait comme une souche.
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Amy dut porter son frère jusqu’à sa chambre: elle lui enleva ses souliers et sa chemise mais lui laissa ses pantalons, sachant qu’il serait vexé le lendemain de savoir que sa soeur l’avait déshabillé. Elle ne prenait aucun plaisir à déplaire à son petit frère et elle tenait à l’excellente relation qui les unissait. Elle referma la porte de la chambre du gamin et se dirigea vers la sienne. Sa mère était allongée nue sur le lit de sa fille, tenant à la main un énorme gode noir à ceinture.
- Je viens me faire rembourser.
Amy eût un grand sourire qui afficha deux rangées de dents parfaites. Elle fit passer sa robe par-dessus sa tête et projeta ses souliers dans un coin de la pièce. Nue elle aussi, elle prit le gode et le fixa autour de sa taille. Le ceinturon de cuir assurait un ajustement parfait. Elle offrait une image parfaitement obscène d’une jeune femme en érection. Jo se mit à quatre pattes sur le bord du lit et Amy lui enfonça le gode dans la bouche tout en la tenant par le cheveux. Elle laissa le gode enfoncé jusqu’à ce que sa mère affiche un début d’asphyxie puis, elle le retira pour la laisser reprendre son souffle quelques instants avant de le propulser de nouveau vers l’avant jusqu’à ce qu’il percute le gosier de sa mère. Les deux femmes n’en n’étaient pas à leurs premiers ébats et Amy savaient s’y prendre pour faire jouir sa mère pendant toute la nuit, s’il le fallait. Jo aimait se faire prendre brutalement, se faire défoncer tous ses trous et Amy le savait parfaitement: elle baisait sa mère depuis une dizaine d’années. Jo était enceinte de Cody lorsqu’elles avaient débuté leurs jeux. Elles ne s’étaient jamais interrompues depuis, sauf quelques après la naissance du garçon.
Amy fit signe à sa mère de faire un cent quatre-vingt degrés et de lui présenter sa chatte. Elle enfonça le gode dans le vagin déjà dégoulinant de mouille et percuta la paroi supérieure. Elle cessa de bouger pendant quelques instant jusqu’à ce que Jo se mette à remuer les hanches. Elle entama alors un mouvement de va-et-vient, les mains agrippant les hanches maternelles. La tête de Jo dodelinait, le cerveau inondé de plaisir et incapable de se contrôler. Elle avait l’impression que le gode allait lui perforer l’utérus. Amy laissa les hanches et attrapa les seins de sa mère qu’elle se mit à pétrir, à masser et à tordre dans tous les sens. La jouissance de Jo fût totale: Amy constata qu’un liquide blanc et épais enduisait maintenant le gode: la mouille de Jo dégoulinait sur le drap. Amy retira le gode très lentement et sa mère s’effondra sur le matelas, la respiration courte et le corps couvert d’une mince couche de sueur malgré la climatisation.
Dans un sursaut d’énergie, elle défit le gode à ceinture de la taille de sa fille et plaqua sa bouche sur la chatte d’Amy. Elle enfonça sa langue dans la chatte de sa fille et mima une pénétration tout en caressant le clitoris d’Amy avec son nez. Déjà excitée, Amy se mit à mouiller abondamment et son jus se répandit sur le visage de sa mère. Quand la jouissance fût proche, elle souleva les hanches et Jo en profita pour lui insérer deux doigts dans le cul. Amy explosa ! Quand Jo retira son visage d’entre les jambes de sa fille, cette dernière l’attira vers elle et l’embrassa afin de goûter sa mouille. Les deux femmes s’allongèrent, enlacées et le sommeil les surprit ainsi.
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Cody s’éveilla tôt, comme à l’habitude. Il avait soif. Il se versa un grand verre de jus d’orange. Il rinça le verre à l’évier et jeta un oeil dans la chambre de sa mère par la porte entrebâillée: vide. Il vit que le lit n’avait pas été défait. Il se rendit à la chambre de sa soeur et ouvrit silencieusement la porte: les deux femmes, nues, dormaient à poings fermés. Il poussa la porte et entra. Ce matin, il avait le choix: sa soeur dormait sur le dos et sa mère, sur le ventre. Il choisit sa mère. Il descendit son short sur les genoux et prit sa queue déjà bien raide dans sa main. Il se masturba en admirant le cul et les fesses bien rondes de sa mère. Elle était vraiment jolie pour une vieille. Silencieusement, il accéléra ses gestes et quand il sentit la jouissance toute proche, il pointa sa queue en direction des fesses maternelles. Il propulsa plusieurs jets d’un liquide semi translucide sur le derrière de Jo. Le liquide trouva le chemin de la raie culière, descendit sur l’anus, passa tout droit, longea les grandes lèvres et finit sa course sur le drap. Demain, il honorerait sa soeur. En attendant, il décida de passer aux choses sérieuses: il y avait des tas d’insectes à découvrir sous les pierres du jardin. Des insectes qui se protégeaient du chaud soleil du Nevada.
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