À soixante-
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Sa soeur Dorothée, mère de Jocelyne, douze ans et de Gabrielle, dix ans, téléphonait effectivement à sa belle-
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Gabrielle affichait faussement une mimique dégoûtée, elle savait que cela plaisait à sa soeur d’avoir l’impression de la violer alors que dans les faits, elle aurait volontiers passer sa journée à lécher le con et le cul de sa soeur chérie. La scène émoustilla Dorothée qui se hâta de terminer la communication pour rejoindre ses filles. Elle monta sur le divan, mit un pied sur le dossier et offrit sa chatte à Jocelyne qui s’empressa de rendre la réciproque de ce qu’elle subissait à sa génitrice. La petite langue parcourait les moindres replis des grandes et petites lèvres de sa mère avant de se fixer sur le bouton déclencheur d’orgasmes. Jocelyne y mit toute son ardeur et, à ce combat aussi, elle fût victorieuse. Dorothée jouit la première, inondant le visage de sa fille de sa mouille de mère incestueuse. Quand la jouissance cessa, elle s’allongea sur le dos entre les jambes de Gabrielle, agenouillée sur le sol et, la tirant par les hanches, l’amena à s’asseoir sur son visage pendant qu’elle continuait de sucer sa soeur. Sa fille mouillait déjà et Dorothée entreprit d’enfoncer sa langue dans la petite fente rose de la cadette. De plus, elle utilisait un de ses doigts pour titiller l’anus de Gabrielle qui explosa à son tour, un orgasme de petite fille qui, bien que discret, la fit trembler de tout son corps. Jocelyne avait remporté ce combat aussi. Dorothée poussa Gabrielle pour prendre sa place et continua la tâche qu’elle avait entamé. Son habileté vint à bout de la résistance de Jocelyne qui jouit à son tour en arquant le dos et en soulevant les hanches. Dorothée, le visage barbouillé de la mouille de ses deux filles se dirigea vers la porte dans l’intention d’exciter son frère. Cependant, quand elle ouvrit la porte donnant sur le jardin, elle constata que sa mère et son frère dormait paisiblement, allongés un contre l’autre. Elle décida de les laisser se reposer en paix. Elle retourna rejoindre ses filles qui entamaient un nouveau combat sur la console de jeux.
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Ce fût Gabrielle qui fût la plus rapide à répondre.
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Jocelyne, qui comprenait plus vite que sa soeur, lui donna un petit coup de coude.
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Les deux filles déposèrent les manettes simultanément et éteignirent la console. À quatre pattes, Dorothée proposa à ses filles:
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Gabrielle prit place sur le dos de sa mère près des épaules et agrippa ses cheveux. Jocelyne prit place derrière sa soeur et, levant les pieds du sol, elle donna une claque sur le postérieur de sa mère.
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Dorothée ne bougea pas.
Gabrielle remarqua:
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Jocelyne renouvela la claque avec beaucoup plus de vigueur. Cette fois, la monture s’ébranla et prit la direction de la salle d’eau au milieu de laquelle trônait une immense baignoire. En chemin, elles rencontrèrent Caroline qui venait justement se soulager.
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Les deux gamines regardèrent leur mère s’allonger dans la baignoire et leur grand-
Caroline rejoignit Roger :
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Caroline prit le tube de crème solaire et lubrifia la queue raidissante de son fils. Puis, elle s’allongea sur le ventre, la serviette lui servant de matelas. Roger vint sur sa mère et enfonça lentement sa queue dans le cul maternel. Il se laissa descendre et porta tout son poids sur Caroline. Il l’encula longuement car il avait déjà rendu ce service à sa soeur en s’éveillant. Caroline glissa sa main sous son ventre et tritura son clito, elle parvint à synchroniser leurs deux orgasmes. Quand Roger retira son sexe de l’anus maternel, Caroline le prit dans sa bouche pour le nettoyer. Quand elle eût terminé, elle lui demanda:
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MATINEE GRASSE
PAR LE MATOU