À l’abri des regards, retirée loin de la route, la maison de pierre ne payait pas de mine, vue de l’extérieur, bien qu’elle soit de dimensions généreuses. Le plus proche voisin se trouvait à trois kilomètres. Pourtant, les enfants Carbo, José, quatorze ans, grand, brun de poil et athlétique et Rita, douze ans, aussi brune que son frère, halée, un sourire éclatant encadré de longs cheveux qui tombaient bien en bas des épaules, ne s’y ennuyaient pas une seconde. Rita, nue comme un ver, les jambes écartées, les pieds sur deux pierres plates qui la haussaient juste à la bonne hauteur, se faisait mettre par son frère adoré. Leurs corps luisaient de sueur sous le soleil tropical. Des gouttelettes descendaient du front de José, suivaient l’arcade sourcilière, continuaient leur périple le long des joues puis sur son menton et finalement, terminaient leurs courses sur le dos de la gamine.


Bien qu’elle fût appuyée sur la branche basse d’un arbre, Rita avait besoin du soutien de son frère pour ne pas tomber sous les puissants coups de rein qui la faisaient vaciller d’avant en arrière. José la tenait par ses petits seins qui en fait, n’étaient que deux petites bosses sur son torse. Sa queue faisait de rapides aller-retour dans la petite fente juteuse de sa soeurette. Il sentait le corps de la gamine frémir de plaisir. Il savait qu’il ne tiendrait pas longtemps à ce rythme aussi décida-t-il de ralentir un peu, question de laisser le temps à Rita d’atteindre l’orgasme. Il laissa les seins et la prit par ses hanches osseuses. Rita arqua encore plus son petit derrière et José reconnût les premiers signes de l’orgasme. Avec un doigt, il lui chatouilla l’anus sans le pénétrer. Cette caresse perverse suffit à déclencher la jouissance de la gamine qui connût un orgasme tout en douceur mais qui dura un bon moment. Maintenant qu’elle était satisfaite, José augmenta la cadence et la profondeur de sa pénétration et après quelques secondes, lui aussi explosa dans la fente de Rita. Le sperme dégoulina le long de la jambe droite de la fille. Elle tourna la tête pour regarder son frère qui ne la voyait pas, fermant les yeux pendant ce moment béni des dieux: la petite mort.



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Carmela, la mère de José et de Rita, était assise devant son pupitre, plusieurs bottins étaient ouverts à différentes pages et le téléphone chauffait. Sa mère, Maria, entra dans la pièce en portant un cabaret sur lequel deux tasses de café brûlant émettait une légère buée. Maria y avait ajouté quelques biscuits de sa fabrication. À soixante-huit ans, Maria était non seulement une excellente cuisinière mais avait aussi conservé son goût pour les choses du sexe. Son corps mince ne montrait que très peu de signes du flétrissure de l’âge, si ce n’était de ses mains et de la peau de son cou qui se ridait. Elle n’avait pas pris un kilo depuis la vingtaine et si ses seins pendaient un peu, la fermeté de ses muscles le faisait oublier. Elle posa le plateau sur le coin du pupitre de Carmela. Elle prit une des tasses de café et deux biscuits et les posa devant sa fille qui raccrocha le téléphone.


- Merci maman.


- De rien. Qu’est-ce que tu fais ?


- J’essaie de rassembler une équipe pour le tournage qui doit avoir lieu dans trois jours et je n’y parviens pas. Les filles disponibles ont déjà joué dans plusieurs de mes films et c’est difficile d’en trouver de nouvelles figures, surtout pour ce genre-là.


- Quel genre ?


- J’ai une commande pour des films de scat, tu sais, du pipi-caca-vomi. Le distributeurs veut des filles jeunes et mes filles ne sont pas du printemps dernier. La plus jeune va fêter ses trente ans le mois prochain. Je viens de faire une vingtaine de coups de fil avec pour seul résultats une fille de vingt-deux ans. Les autres ne veulent pas ou ne peuvent pas parce qu’elles ont déjà d’autres tournages ou parce qu’elles ne veulent pas jouer dans le dos de producteurs qui les embauchent régulièrement. Je ne sais plus quoi faire.


- Mmmmm ! Laisse-moi réfléchir ! Du pipi-caca hein ?


- Et du dégueulasse, très dégueulasse, la compétition est dure en ce moment et on doit toujours en faire plus pour réussir à vendre. Il faut que ce soit très crade sinon, adieu mes contrats.


- Tu connais Helena Rossa ?


- Non, qui c’est ?


- Elle tient un bordel à Quito et spécialise dans ce genre de choses. Si tu lui demandes de te fournir des filles et que tu lui offres un pourcentage sur les salaires, tu devrais pouvoir la convaincre de faire affaire avec toi.


- Ça va me coûter cher.


- Tu baisses le salaire des filles du montant de la commission versée à la maquerelle, c’est tout.


- Tu crois ?


- Tu peux toujours essayer, ça ne te coûtera qu’un coup de fil.


- Merci maman, je ne sais pas ce que je ferais sans toi.


- Tu te débrouillerais autrement ! Mais je suis contente si je t’ai sauvé du temps.



Sur ces paroles, Maria se leva et reprit le cabaret qu’elle rapporta à la cuisine. Elle monta à sa chambre et s’installa devant la télé: son feuilleton préféré débuterait dans quelques instants.



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Diplomatiquement, Carmela attendit que le feuilleton prenne fin et elle monta annoncer la nouvelle à sa mère: elle pourrait disposer de quatre filles, fournies par Helena Rossa, en autant qu’elles soient payées le même cachet que les autres filles du film et que Carmela lui fournisse une copie gratuite du film. Les filles pratiquaient couramment les activités scatologiques de toute sortes. La seule contrainte était de ne pas abîmer le corps des actrices: pas de coups de fouet, de brûlures de cigarettes ou de cravache. Carmela lui répondit qu’elle ne mélangeait pas les genres. Pour le reste, c’était à Carmela de décider.


- Tu vois, tout s’arrange !


- Encore merci, maman ! Sans toi ...


- Bah ! N’en parle plus.


Carmela referma la porte de la chambre de sa mère, fit un détour par les chambres de José et Rita, vérifia qu’ils dormaient bien. José, à cause de la chaleur sans doute, dormait nu et affichait une belle érection. Carmela sourit et se dit en elle-même “Toi, un jour ...”. Elle referma la porte, descendit dans sa chambre du rez-de-chaussée. Elle déshabilla totalement elle aussi et s’effondra dans le lit. Cinq minutes plus tard, elle ronflait doucement.


Dans la chambre du haut, Maria ouvrit un tiroir de la table de chevet et en sortit plusieurs jouets érotiques: des pinces en plastiques pour les tétines, un tube de lubrifiant, plusieurs godes de différentes formes et couleurs et un vibrateur à clito, un petit objet oblong qui vibrait à une cadence folle et pouvait réveiller les sens les plus endormis. Elle décida d’être sage ce soir, seulement les pinces, un gode et le vibrateur. Elle lubrifia le gode et se l’enfonça profondément dans le cul. Puis, elle plaça les petites pinces pas très cruelles sur ses deux tétines qui rougirent immédiatement. Elle démarra le vibrateur et l’appliqua sur son clito tout en s’allongeant sur le dos. Elle ferma les yeux et se mit à rêvasser aux deux vedettes de son feuilleton. Elle avait de la difficulté à décider laquelle, de la vedette féminine ou masculine, l’excitait le plus. Finalement, la vedette féminine l’emporta mais seulement par une mince marge. Seulement, la jouissance ne venait pas: Maria avait besoin de sa drogue personnelle pour y parvenir. Elle enleva les deux pinces de ses tétines et les jeta dans le tiroir. Elle se désola un peu en regardant ses seins pendants, signe que bien du temps avait passé depuis sa jeunesse. Elle écarta les jambes et maintint ses fesses écartées avec les mains et debout, au milieu de la pièce, elle se mit à chier. Un premier étron bien dur fit son apparition et tomba sur le sol avec un “floc” sonore. Elle reprit son souffle pendant quelques secondes et recommença à pousser. Un long filet de merde plus molle et plus pâle suivit qui tomba silencieusement sur le premier étron. Vidée, Maria s’allongea à même le sol et utilisa la merde de la deuxième vague pour s’en enduire les seins et le visage. Parfois, sa main descendait jusqu’à son clito et maintenant, elle sut que l’orgasme serait au rendez-vous. Puis, elle prit le premier étron bien dur et le porta à son nez. L’odeur infecte la rapprocha encore du nirvana. Sans hésitation, elle ouvrit la bouche et y déposa l’objet sans le mordre. Elle reposa la tête sur le sol et entreprit la phase finale de sa masturbation solitaire. Trois doigts de la main gauche dans le vagin et la main droite sur son clito, elle s’excita merveilleusement et, au moment de la jouissance, elle mordit dans l’étron de sa bouche et avala une grosse bouchée. L’orgasme puissant dura une bonne quarantaine de secondes avant de diminuer en puissance. Quand ce fût fini, elle se releva et fit face à son miroir.


- Je suis une vraie salope.


Elle se dirigea vers la salle de bain attenante à sa chambre et fit couler l’eau afin de prendre une douche bien nécessaire. Auparavant, debout dans la baignoire, elle s’enfonça deux doigts merdeux dans la gorge pour se faire vomir et régurgiter la merde avalée précédemment. Quand ce fût fait, elle utilisa la savonnette pour se laver et se rinça longuement.


En entendant l’eau couler à l’étage, Carmela ouvrit un oeil et réalisa que le bruit provenait de la chambre de sa mère. Elle fût un peu vexée que sa mère ne lui ait pas offert de participer à son petit jeu. Dans un éclair de conscience, elle réalisa que Maria avait besoin de plus qu’elle pour obtenir ses trop rares satisfactions. Il faudrait remédier à cela. Puis, le sommeil reprit le dessus et Carmela retomba dans les bras de Morphée.



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Le ronronnement de deux moteurs de voiture tira Carmela de sa rêverie. Elles vit les deux guimbardes, plus très en forme, avancer vers la maisons. Les filles de Mme Rossa arrivaient avec à peine cinq minutes de retard, ce qui dans ce pays équivalait à être deux heures en avance. Lorsqu’elle les fit entrer dans la maison, elle fût soulagée de constater que trois des filles étaient particulièrement jolies alors que la troisième, un peu grasse bien que ne dépassant pas vingt ans, ne dégageait pas particulièrement une aura d’intelligence.


- Alors, les filles, vous êtes au courant de ce que l’on fait ici ?


Celle qui semblait la plus âgée, Manuella, et qui devait avoir vingt-deux ou vingt-trois ans prit la parole.


- Mme Rossa nous a expliqué et nous sommes volontaires. Sauf la grosse Darla ( elle pointait la grassette ) qui fait ce qu’on lui dit de faire. Hein Darla ?


- C’est vrai madame, moi j’aime obéir.


Carmela la contempla d’un autre oeil. Mmm ! Intéressant ça ! Une vraie soumise. Bon ! Ce n’était pas le moment de penser à la rigolade, les affaires en premier.


- Voici comment ça fonctionne: il y a un studio au sous-sol. Trois cameras dont deux sont fixes et je manipule la troisième. Il n’y a pas de texte, juste un canevas, c’est-à-dire qu’on décide à l’avance qui fait quoi et on tourne. Les cameras n’arrêtent pas. Si on fait une gaffe, on continue et moi, je coupe au montage.


- Compris.


- Attendez-moi une minute.


Carmela sortit de la pièce et après une minute, les filles entendirent un ronronnement qui provenait de l’arrière de la maison. Carmela revint immédiatement. La plus jeune, Cassandra, une très jolie et mince gamine qui ne devait avoir ses dix-huit ans que depuis très peu de temps, ne put contenir sa curiosité.


- Qu’est-ce que c’est ?


- C’est la génératrice, il n’y a pas d’électricité dans ce bled alors il faut être autonome. Il n’y a pas le téléphone non plus, j’utilise un portable. Allez, on passe en bas et je vous montre.


Pendant que la procession des cinq femmes descendaient au sous-sol, Maria en profita pour brancher les appareils rechargeables aux différentes prises de courant, notamment la batterie de sa télé portative, le portable de sa fille et les batteries de son vibrateur. Ensuite, elle descendit à son tour. Carmela expliqua aux filles qu’elle était sa mère et, qu’en réalité, la compagnie lui appartenait. Elle assistait au tournage mais ne participait pas, évidemment. Elle aida Carmela à placer les spots et les deux cameras fixes pendant que les filles se déshabillaient. Elles regardèrent le canevas ensemble. Carmela prit les devants.


- Bon, est-ce qu’il y en a parmi vous qui ne font pas une ou plusieurs de ces choses.


- Non, on fait tout mais se faire vomir dans la gueule par une autre, je ne garantis pas le résultat. La receveuse pourrait dégueuler à son tour, sauf la grosse Darla, elle a l’habitude, hein Darla ?


- Oui madame.


Elle baissait les yeux et semblait en admiration devant le plancher.


- Ce n’est pas un problème. Allez, qui seront les deux premières ?


Une des deux filles qui n’avaient pas encore parlé, Juanita, une jolie brune aux gros seins et au sourire éclatant, déclara.


- Je commencerais bien moi. Le trajet en voiture m’a donné une sérieuse envie de chier.


L’autre fille silencieuse rosit. De toute évidence, elle était la copine de celle qui venait de parler. Carmela saisit la balle au bond.


- Quel est ton nom ?


- Rosa, madame.


- Bien, alors Rosa et Juanita, allez au centre du cercle de lumière et embrassez-vous comme des amantes. Puis, tu lui dis que tu l’aimes et ... enfin... vous connaissez la suite. Vous deux, elle pointait Darla et Manuella, vous entrerez plus tard et vous participerez. Allez, ça tourne.



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La chaleur torride de la matinée calma les ardeurs de José et Rita: au lieu de courir vers le ruisseau, ils marchèrent lentement. Arrivés près d’une petite esplanade rocailleuse, ils enlevèrent leurs vêtements et sautèrent à l’eau. Pas assez profond pour y nager, le ruisseau ne charriait qu’une quarantaine de centimètres d’eau, il procurait tout de même une rare fraîcheur dans ce coin de pays brûlé par le soleil. Débarrassés de leur sueur, les enfants sortirent de l’eau et José affichait une belle érection. Il regarda sa soeur.


- J’ai quelque chose pour toi !


Sans dire un mot de plus, il mit les mains sur les hanches, pivota légèrement et se mit à pisser. Son jet fit une gracieuse courbe ascendante et l’urine retomba en aval de leur emplacement. Il savait que Rita adorait le regarder pisser et qu’elle serait toute chose après ce court intermède. Étant donné qu’il n’avait pas soulagé sa vessie depuis la veille au soir, il urina longuement. Rita s’approcha de lui et malicieusement, poussa sa queue vers le bas avec un doigt. Aussitôt, le jet se mit à bouger et Rita continua à le diriger pour dessiner des arabesques évanescentes. Quand il termina, Rita lui proposa:


- Tu aimerais que je te suce ? Allonge-toi par terre !


Devant une telle proposition, José ne pouvait qu’être d’accord. Lorsqu’il fût allongé sur la longue pierre plate qui leur servait souvent de refuge, Rita s’agenouilla près de ses hanches et baissât la tête pour rejoindre la queue qui reposait maintenant sur le ventre de son frère adoré. Sans utiliser les mains, elle enfourna une bonne partie du membre, fit tournoyer sa langue autour du méat et finalement, entreprit un pompier dont la technique pouvait se comparer à celle de bien des professionnelles. En garçon vaillant et bien élevé, José ne resta pas inactif. Sa main droite partit à la conquête des petites fesses de sa soeur qu’il caressât avec beaucoup de doigté avant que ses phalanges ne partent à la découvertes des trous qu’elles trouvèrent sur leur chemin. La gamine projetait ses hanches vers l’arrière pour bien faire comprendre à son frère aîné qu’elle désirait que l’exploration qu’il entreprenait se fasse bien à fond. Comme c’était sa première éjaculation de la journée, elle ne tarda pas. Quand il sentit ses entrailles bouillir, il enfonça un doigt dans le cul de Rita jusqu’à la troisième phalange et les jets pulsèrent dans la bouche de la gamine qui n’en perdit pas une goutte. Elle avala entièrement le cadeau de son frère et se pourlécha les lèvres comme un minet rassasié. Lorsque José sortit son doigt, il était maculé de matières fécales. Émoustillée, Rita saisit la main de José et la porta à sa bouche. Elle fit glissé le doigt de José sur sa langue et lorsqu’il ressortit de la bouche de sa soeur, il était aussi propre que lorsqu’il avait entrepris de la sodomiser manuellement. Elle lui fit un sourire et reposa sa tête sur le torse de son frère.



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Juanita avait chié dans la bouche de Rosa et pendant plusieurs minutes, les deux filles avaient partagé l’étron, se le passant d’une bouche à l’autre avant de finalement le sectionner en deux, de mâcher chacune leur partie du lot et d’avaler le tout. Elles avaient tourné la tête vers la camera de Carmela et ouvert la bouche toute grande pour bien montrer qu’il n’y avait pas de triche.


Entrant en scène à son tour, Manuella avait chié dans la bouche de Juanita, allongée par terre, sur le dos. Ensuite, elle avait utilisé son pied pour pousser entièrement la merde dans la bouche de sa “toilette”. Elle avait maintenu son pied en place, le temps pour Juanita de mâcher l’infect repas et de finalement l’avaler. A son tour, elle avait pris position derrière Rosa et la plus jeune des filles avait entrepris de chier dans la bouche de la plus expérimentée des quatre participantes. Carmela fût étonnée de constater la quantité de merde que pouvait produire une si petite personne. Un flot de merde molle avait traversé son muscle anal pour remplir la bouche de Juanita. Cette dernière dut relever la tête pour réussir à avaler la pâtée après l’avoir longuement mâchouillé. C’est pratiquement impossible d’avaler quand on est allongé sur le dos. Quand ce fût fait, Rosa repoussa gentiment Juanita dans sa position initiale, lui faisant comprendre sans une parole que ce n’était pas fini. Elle se plaça au-dessus du visage de sa compagne et recommença à pousser. Un autre flot de merde un peu plus pâle que la première, reprit le chemin de la bouche de Juanita. Cette dernière ne se fit pas prié et repartit pour un deuxième service. Elle dut cependant faire un effort pour avaler cette deuxième portion. Gentiment, Rosa lui pissa un coup dans la gueule pour l’aider à se rincer la dalle.


- On arrête cinq minutes !


- J’ai fait quelque chose qu’il ne fallait pas ?


- Non Rosa. La cassette est pleine. Je dois recharger les caméras.


- Oh ! Ça fait si longtemps qu’on tourne ?


- Ce sont des cassettes professionnelles qui ne durent qu’une heure.


Assise par terre près de Maria, Darla émit le commentaire:


- Je crois que ça va être à moi maintenant.


- Ah bon ! Pourquoi tu dis cela ?


- Ben maintenant, elles vont se vider l’estomac sur moi et dans ma bouche.


La vieille Maria la regarda longuement. Elle se pencha et regarda Darla dans les yeux.


- On dirait presque que tu as hâte ?


Darla rougit de honte d’avoir été percée à jour si rapidement. Elle baissa les yeux. Elle ne put que balbutier:


- Je fais ce qu’on me dit de faire.


- C’est pas ce que je t’ai demandé !


- Oui madame, j’aime ça. C’est tellement humiliant... d’être une chiotte, ça me fait mouiller.


- Moi aussi, je l’ai fait et j’aimais beaucoup cela.


- C’est vrai madame ? Vous aimiez cela ? Pourquoi vous ne faites plus ?


- Parce que je n’ai plus personne pour le faire et que toute seule ... ce n’est pas la même chose.


- La pause est finie ! On reprend ! En piste les filles !



*****************************


Même sans montre, José et Rita savaient qu’il était l’heure de rentrer pour le repas du midi. Ils revinrent lentement, sans courir, car la chaleur calmait les ardeurs les plus vaillantes. Arrivés à destination, ils ne virent que leur grand-mère Maria dans la cuisine. Elle leur expliqua que leur mère tournait un film au sous-sol et qu’elle mangerait plus tard. Ils profitèrent du fait que la génératrice fonctionnait pour aller manger leur repas devant la télé du living. Maria, après avoir rincé les plats, redescendit au sous-sol. Une scène grotesque l’attendait. Darla n’était plus reconnaissable. Presque la totalité de son corps était enduit de merde et de vomi. Elle était allongée dans une flaque au contenu indéfinissable, mélange de fluides corporels et stomacaux. Deux des filles, Manuella et Juanita, lui pétrissaient le corps avec leur pieds pour étendre la mixture dans les moindres replis de peau. Cassandra était pâle comme un drap. Pour faire face à la caméra, elle tassa les deux filles et se pencha au-dessus de Darla et, sans utiliser les mains, elle se mit à vomir sur la pauvre fille, arrosant son visage et sa poitrine. Darla se masturbait doucement tout en recevant l’immonde offrande de sa jeune consoeur.


Maria reprit l’escalier et monta à l’étage. Ces scènes de scatologie lui rappelaient des souvenirs heureux de sa vie passée.


Quand le tournage fût fini et que les filles prirent une douche bien méritée, Carmela leur offrit de les payer. Elles refusèrent en choeur. Elle devait s’adresser à Madame Rossa pour cela. Carmela leur demanda de transmettre à Madame Rossa qu’elle devait passer à Quito le lendemain pour remettre la cassette originale à l’acheteur et qu’elle passerait chez elle pour régler la note.


Tandis que José, Rita et Maria faisaient la sieste, Carmela en profita pour faire le montage du film. Il n’y avait pas beaucoup de scènes à couper tellement les filles s’étaient bien comportées. Ensuite, quand le montage fût terminé, elle fit une copie pour Madame Rossa et une autre pour ses archives personnelles. Les copies complétées, elle laissa tourner la génératrice et démarra la climatisation pour tenter de chasser la chaleur accumulée par la journée.


Le lendemain, Carmela rencontra le distributeur et lui remit une des copies originales du nouveau film, sans mentionner la copie complémentaire. Elle trouva facilement le bordel de Madame Rossa et se fit annoncer à la patronne. Madame Rossa la reçût dans son petit bureau.


- J’espère que mes filles vous ont donné satisfaction ?


- Tout à fait madame.


- Pas de madame, moi, c’est Helena !


- Et moi, Carmela. Mais je voulais vous parler de Darla.


- Qu’est-ce qu’elle a encore fait, cette grosse conne ?


- Rien, je vous assure. J’aimerais vous l’acheter.


- Pardon ! Me l’acheter ?


Madame Rossa avait entendu toutes sortes de choses dans sa vie mais c’était la première fois que l’on proposait une telle transaction.


- Écoutez, je ne suis pas nouvelle dans le métier, je tourne des films depuis plus d’années que j’aime l’admettre et je connais les personnages. Darla n’est pas une fille comme les autres: c’est une esclave et je me doute bien qu’elle est votre propriété. Je ne vous critique pas, je constate. Comme vous ne semblez pas la tenir en haute estime, je vous offre de vous en débarrasser. Moi, j’aurais l’usage pour cette fille. Alors, je vous propose un marché.


Madame Rossa demeura silencieuse un long moment: elle semblait peser le pour et le contre d’une telle proposition. Puis, elle sembla se décider.


- Moi aussi, je vous propose un marché. Je vous cède Darla mais pas contre du fric.


- Contre quoi alors ?


- Contre vos services ! Vous ferez un court métrage de la spécialité de chacune des filles qui travaillent pour moi, un petit film de cinq minutes, dix au maximum, que je pourrais montrer à mes clients afin qu’ils choisissent la fille qui correspond le mieux à leurs perversités respectives.


- Vous avez combien de filles qui travaillent pour vous ?


- Sept à temps plein et trois femmes mariées qui viennent faire la pute de temps en temps.


Ce fût au tour de Carmela de faire un rapide calcul mental. Dix petits clips lui prendraient trois journées de travail, montage compris.


- Marché conclus !


Carmela régla la note pour le tournage de la journée précédente. Elle reprit le chemin de la maison et arrivée, elle se garda bien de parler de son nouvel “achat”.


La semaine suivante, elle quitta pour la ville trois jours de suite et si Maria et les enfants trouvèrent cela un peut bizarre, ils n’en parlèrent pas. La quatrième fois que Carmela partit pour Quito avec sa pile de cassettes dans une boite, tous comprirent qu’elle avait produit des films pour des clients.



*************************


Dans la voiture, Carmela donnait des instructions à Darla.


- Maintenant, tu vas demeurer avec nous.


- Oui madame.


- Est-ce que Madame Rossa t’as mis au courant ?


- Non madame, elle m’a seulement dit qu’elle ne voulait plus de moi et de partir avec vous.


- En résumé, c’est ça: à partir de maintenant, tu vas vivre chez moi, avec Maria, ma mère et mes deux enfants, José et Rita.


- Oui madame.


- Et tu vas faire tout ce qu’on te dit de faire. Tu sais cuisiner ?


- Oui madame, j’ai appris de ma mère.


- C’est tout ce que tu sais faire ?


- Je peux tenir une maison, madame. Faire le ménage, la cuisine, le lavage et le repassage des vêtements.


- C’est tout ?


- Euh ... je suis aussi bien dressée pour le sexe aussi.


- C’est aussi ta mère qui t’as enseigné ça ?


- Euh... oui madame. Elle était très exigeante dans cela aussi.


- Comment ça, “était” ?


- Elle est morte, madame, quand j’avais seize ans et comme je ne connaissais pas mon père, c’est Madame Rossa qui m’a recueillie.


- Parle-moi de ta relation avec ta mère.


- Elle avait un emploi de fonctionnaire, alors je devais m’occuper de la maison. Je n’ai jamais été à l’école. Je faisais le ménage et les repas, je lavais ses vêtements et les repassais. Puis, le soir, je devais être nue et si tout ne lui convenait pas, elle me punissait.


- Qu’est-ce que c’était comme punition ? Elle te fessait ?


- Oh non, madame ! J’étais privée de sexe. J’aime beaucoup le sexe et lorsqu’elle voulait me punir, elle m’envoyait au lit seule dans ma chambre. Je n’avais pas le droit de me toucher de toute la nuit.


- Je parie que tu trichais !


Darla rougit jusqu’aux oreilles.


- Cela m’arrivait, madame.


- Et quand tu n’étais pas punie ?


- J’avais le droit de coucher avec elle dans son grand lit.


- Tu as commencé à quel âge à coucher avec elle ?


- Je ne sais plus, madame. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours couché avec elle. L’autre chambre, c’était juste pour les punitions.


Carmela ralentit la voiture et prit le sentier qui menait à la maison.


- Enlève tes vêtements, à partir de maintenant, tu vas vivre nue chez moi.


- Oui madame.


Darla fit glisser sa robe en se tortillant sur le siège. Elle ne portait qu’une petite culotte qui avait connue des jours meilleurs.


- Jette ta culotte par la fenêtre.


- Oui madame. Je garde mes souliers ?


- Non, je vais te donner des talons hauts.


Carmela applique les freins et stoppa la voiture. Elle se tourna vers Darla.


- Tu vois, la cuisine, le ménage et tout ça, c’est secondaire. Ta tâche principale va être de tenir compagnie à ma mère. Tu te souviens d’elle ?


- Oui madame, elle semble très gentille.


- En effet ! Elle n’est pas une sadique, si c’est ce que tu veux dire, mais elle s’ennuie. Moi aussi, je couche avec ma mère mais je ne lui suffit plus depuis longtemps. Malgré son âge, elle a de gros besoins sexuels. Tu vas m’aider à combler ces besoins. Elle est très perverse aussi, en plein dans ta spécialité.


- Oui madame, je sais. Elle m’en a parlé un peu pendant que vous tourniez la première partie du film l’autre jour.


- Bon, je vois que tu comprends le topo. Moi, je suis trop occupée durant la journée et José et Rita sont encore trop jeunes pour toutes ces activités.


- Je vais faire de mon mieux, madame.


- De plus, ça va faire du bien à José de baiser quelqu’un d’autre que sa soeur: j’ai peur qu’il ne devienne trop exclusif.


- Je ferai tout ce que Monsieur José voudra, madame.


- Bien, bien ! T’es une bonne fille.


Carmela attrapa un sein de Darla et le manipula gentiment. Elle se lécha les lèvres en admirant le tétin qui durcissait sous la manoeuvre.


- Peut-être que Madame a besoin de mes services ?


- Oui ! Allonge-toi sur la banquette.


Carmela se souleva et Darla glissa son visage sous le cul de Carmela. Comme celle-ci ne portait pas de culotte, elle n’eût qu’à soulever sa robe et elle se laissa retomber sur la bouche de Darla.


- Suce-moi bien. J’ai envie de jouir. Ta soumission m’excite.


Aussitôt, Darla mit sa langue à l’oeuvre sur la chatte de sa nouvelle maîtresse. Elle enfonçait sa langue au plus profond du con de Carmela qui bientôt se mit à se tortiller sur le visage de la suceuse. Carmela attrapa les tétines de Darla et les tordit gentiment. Quand cette dernière se mit à gémir, elle relâcha la tension et enveloppa les tétons de ses mains et le pétrit comme de la pâte. Elle ne fût pas longue à jouir. Son jus barbouilla le visage de Darla qui tenta d’en recueillir le plus possible dans sa bouche. Carmela se souleva pour permettre à Darla de se retirer. Elle lui tendit un papier mouchoir.


- Essuie ton visage.


Carmela redémarra et parcourut les derniers mètres jusqu’à la remise où elle rangeait la voiture. Après être sorties de la voiture, Darla vit que Carmela fouillait dans un tiroir. Elle revint avec une laisse à chien. Elle la mit autour du cou de Darla et garda l’autre extrémité en main.


- Viens, on va dans la maison.


Lorsque les deux femmes entrèrent par la porte arrière qui donnait dans la cuisine, elles tombèrent sur Rita qui finissait son repas. Elle fût légèrement surprise de voir sa mère ainsi accompagnée mais connaissant le genre de film qu’elle produisait, elle crût que sa compagne venait tourner un autre de ces films cochons, spécialité maison.


- Rita, je te présente Darla. Elle va vivre avec nous à partir de maintenant. Elle va appartenir à ta grand-mère.


- Appartenir ?


- Oui, ce sera son esclave personnelle. C’est un cadeau que je lui fait. N’est-ce pas, Darla ?


- Oui madame.


Éberluée, Rira regardait sa mère avec de grands yeux.


- C’est une blague ?


- Pas du tout. Ta grand-mère s’ennuie et comme elle ne rajeunit pas et qu’elle aime encore beaucoup le sexe, presqu’autant que toi, ton frère et moi, Darla va lui procurer les satisfactions dont elle a besoin pour être heureuse. Attends-moi ici, je reviens.


La bouche ouverte mais ne sachant que répondre, Rita ne put que regarder sa mère s’éloigner et prendre l’escalier, suivie par Darla, toujours tenue en laisse.


- Maman, tu es là ?


- Oui, entre !


Carmela poussa la porte et vit sa mère, étendue sur le lit, vêtue d’une petite robe légère, avec un livre à la main.


- Maman, tu connais Darla.


- Oui, bien sûr, elle a tourné dans ton dernier film.


- Comment tu la trouves ?


- Elle est très appétissante.


- Eh bien, elle est à toi !


- ???


- C’est mon cadeau. Je l’ai acheté à Madame Rossa. Maintenant, elle est ton esclave, car Darla est une esclave consentante. Elle aussi te trouvait de son goût et comme vous partagez les mêmes affinités, si je peux dire, j’ai pensé qu’elle pourrait te tenir compagnie. J’ai bien fait ?


- Tu es sérieuse ?


- Oui.


- Toi, Darla, tu es ici de ton plein gré ?


- Oui madame.


- Pour une surprise, c’en est toute une ! Merci Carmela. Je crois que je vais m’amuser tout de suite.


- Ça me fait plaisir maman. Bon, je vous laisse. Amusez-vous bien, moi je retourne en bas.


Aussitôt Carmela sortie, Maria se dirigea vers la porte qu’elle referma sans engager le verrou.


- Enlève cette laisse, je crois que tu n’en n’auras pas besoin.


- Bien Madame !


- Pas de Madame avec moi. Appelle-moi Maria.


- Oui Ma...ria


La grand-mère ouvrit le tiroir du bas de sa commode et en sortit une alèse en caoutchouc.


- Aide-moi à la mettre sur le lit.


Quand l’alèse fut installée, les extrémités bien en place sous le matelas, Maria fit passer sa robe par dessus sa tête. Elle ne portait qu’une petite culotte qu’elle enleva aussitôt.


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- Où est José ?


Encore intriguée par l’arrivée de Darla nue comme un ver, Rita répondit:


- Il est parti avec sa bicyclette. Tu l’as probablement rencontré en venant ici.


- Non. Ça ne fait rien. Tu as fini de déjeuner ?


- Oui, je lave les assiettes immédiatement.


- Laisse ça et viens avec moi.


Carmela prit la main de Rita et la traîna jusqu’à sa chambre. Elle ne ferma pas la porte. Carmela se laissa tomber en position assise sur le bord du lit, Rita debout devant elle.


- Tu aimes bien baiser ton frère, hein ?


- Maman... je...


- N’essaie pas de mentir, je suis au courant depuis des mois.


- Je... je...


- Je ne suis pas en colère... je suis un peu déçue.


- Oui maman... mais je...


- Oui ! Déçue ! J’avais espérée que je t’intéresserais aussi. Tu es tellement jolie, moi aussi j’ai envie de te baiser.


- C’est vrai maman ? Je suis jolie ? Tu trouves ?


- Certainement, tu es beaucoup plus jolie que moi. Tu es si mince, tu n’as pas de graisse ni de rides, ton joli petit cul fait tourner les têtes.


- Maman ! Tu te moques de moi !


- Oh non ! Tiens, je ne sais pas ce qui me retient de ne pas t’embrasser. Tu aimerais ça, que je t’embrasse ?


- Oh oui maman ! José, il m’embrasse mais ce n’est pas la même chose. Il fait ça vite, juste pour pouvoir me ...


Carmela attira sa fille et l’enlaçant, elle appliqua ses lèvres sur celles de Rita, tout doucement. Quand le contact fût fait, la langue de Carmela força le passage dans la bouche de Rita et leurs langues entamèrent un ballet endiablé. Lentement, les mains de Carmela descendirent sur les fesses de sa fille et les pétrirent gentiment. Pendant ce temps, les mains de Rita saisirent les seins de sa mère et elle se mit à les caresser. Carmela lâcha prise de la main gauche et, saisissant la main de Rita, elle la guida à l’intérieur de son corsage. La petite menotte se dirigea instinctivement vers le tétin qu’elle se mit à faire rouler entre les doigts. Elle s’y prenait trop doucement au goût de Carmela qui ne décolla ses lèvres de celles de sa fille que le temps de lui murmurer:


- Vas-y plus fort, j’aime ça !


Carmela replongea dans la bouche de sa fille pendant que cette dernière lui tordait les bouts. Carmela sentait sa culotte se mouiller. Elle ne resta pas inactive et ses pouces crochetèrent le short et la petite culotte de sa fille qu’elle descendit jusqu’aux chevilles. Sans cesser d’embrasser sa mère, Rita leva les pieds un après l’autre pour se défaire des vêtements encombrants. Elle écarta les jambes pour que sa mère ait un accès plus facile à sa petite fente, endroit que la main de Carmela ne tarda pas à visiter.


- Tu mouilles, petite salope !


- Oh maman ! Pourquoi tu m’appelles comme ça ?


- Parce que j’aime bien les gros mots quand je baise.


- C’est vrai ?


- Oui ! Tu peux m’en dire aussi, ça me fait très plaisir, tu sais.


- Comme quoi ?


- Tout ce qui te passera par la tête, comme vieille salope, grosse truie, des trucs comme ça, quoi !


Carmela en profita pour se lever et elle fit glisser sa robe par terre qu’elle projeta plus loin d’un élégant coup de pied. Puis, elle laissa Rita lui enlever sa petite culotte. Carmela prit appui sur l’épaule de sa fille pour soulever les pieds. Quand Rita se redressa, Carmela se pencha et enlaça sa fille de nouveau. Rita mit les bras autour du cou de sa mère pour reprendre le baiser là où il avait été interrompu. La prenant par les fesses, Carmela souleva sa fille qui en profita pour ceindre les hanches de sa mère avec ses jambes. Doucement, Carmela relâcha les fesses de sa fille et ses mains se trouvèrent libres. Le poids léger de sa fille ne la fit pas sourciller. Elle fit glisser son index droit dans la raie de sa fille et vint faire une pause sur le petit anus tout rose et serré. Puis, elle se mit à le caresser. Rita redoubla d’ardeur dans le baiser et Carmela comprit que sa fille aimait se faire titiller le trou du cul. Elle fit mine de forcer le passage et Rita enfonça encore plus profondément sa langue dans la bouche maternelle. On ne pouvait rêver d’un signal plus clair. Carmela poussa la première phalange à l’intérieur du petit anus qu’elle sentit se détendre. Rita forçait pour ouvrir son petit cul à l’invasion du doigt fureteur. Lentement, en le faisant tourner, Carmela poursuivit l’intrusion jusqu’à ce que son doigt disparaisse complètement dans le cul de sa fille. Rita eût un rejet de la tête vers l’arrière.


- Maman... je... vais...


- Déjà ?


- Ouiiiiiiiiiiiiiii !


Carmela ne faisait bouger la première phalange de son doigt, grattant doucement la paroi du gros colon de sa fille qui eût un orgasme fulgurant. Elle devint toute molle et Carmela dut la soutenir de l’autre main pour qu’elle ne s’effondre pas par terre.



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Maria et Darla avaient adopté la position du soixante-neuf, Maria prenant la position du dessus. Darla avait le visage enfoncé dans la raie culière de la vieille Maria et activait farouchement sa langue sur le clito de cette dernière depuis un bon moment. Elle sentit plus qu’elle vit, le vagin de sa nouvelle maîtresse qui s’humidifiait sérieusement. De son côté, Maria ne demeurait pas inactive et elle triturait gentiment le clito de sa compagne avec les dents. C’était bien toutes ces gentillesses mais il était temps de passer aux choses sérieuses. Maria souleva légèrement les hanches et se mit à pousser pour chier. Son anus se détendit et un long filon de merde brunâtre vint se tortiller sur le matelas, juste sous le nez de Darla. Maria constata avec plaisir que la chatte de Darla s’humidifiait sérieusement depuis qu’elle avait le nez dans le caca. Avec sa main droite, sans vraiment voir ce qu’elle faisait, Maria poussa la tête de Darla vers le bas et, coup de chance, lui plongea le visage directement dans le tas de merde. Même si la main de Maria avait quitté sa nuque depuis un moment, Darla resta dans cette position le plus longtemps possible sans s’étouffer. Excitée, Maria quitta sa position et vint faire face à Darla. Elle lui tira le visage vers le haut par les cheveux et planta ses lèvres sur celle de sa compagne. La langue de Maria fouillait la bouche de Darla et bientôt, elle trouva ce qu’elle cherchait: un morceau de merde, caché entre les dents et la joue de cette dernière. Habilement, Maria lui soutira le fruit de ce larcin et le rapatria dans sa propre bouche. Déçue, Darla replongea le visage dans le tas de merde et en goba une pleine bouchée. Quand elle releva la tête, Maria plaça ses mains derrière le cou de Darla et lui murmura:


- Embrasse-moi encore !


Devinant qu’un autre larcin se préparait, Darla lui sourit et obtempéra. Les deux bouches se retrouvèrent à nouveau et bientôt, un flot de salive merdeuse coulât sur les deux mentons. Maria ramassa le reste de la merde et en enduisit le corps de Darla. Puis, quand cette opération fût complète, elle se lécha les doigts tout en regardant Darla dans les yeux.


- C’est excitant, hein ?


- Oui madame, je crois que je vais jouir bientôt.


- Alors, c’est à ton tour de me chier dessus. Ne discute pas, j’en veux.


Maria s’allongea sur le dos et Darla s’accroupit au-dessus de la poitrine de Maria. Cette dernière avait une vision privilégiée sur l’anus de Darla qu’elle vit se détendre et un gros étron pointer son nez. Puis, quand les premiers centimètres eurent fait leur chemin, le reste de la merde sortit en un flot continu. Darla, à cause de ses efforts, laissa même perler quelques gouttes de pipi qui vinrent se déposer sur le tas qui reposait entre les seins de Maria. Cette dernière en prit une pleine poignée qu’elle répandit sur son entrejambe puis, la deuxième poignée, elle la répandit sur son visage.


- Suce-moi maintenant !


Darla plongea son visage sur la chatte merdeuse de sa compagne tout en descendant la main droite sur sa propre chatte. La manoeuvre n’échappa pas à Maria qui lui ordonna:


- Arrange-toi pour qu’on jouisse ensemble.


Agilement, la langue et les lèvres de Darla titillèrent si bien le clito de Maria que quelques minutes plus tard, les deux femmes gémirent simultanément. Puis, Maria fit allonger Darla près d’elle et l’enlaça. Maria fût la première à sombrer dans un sommeil réparateur, le visage et le corps barbouillés de merde. Darla résista un peu plus longtemps et juste avant de s’abandonner à son tour à la sieste, elle songea qu’elle allait bien se plaire dans sa nouvelle demeure.


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Quand José revint de sa promenade à bicyclette, il retrouva sa soeur et sa mère endormies, nues, dans le même lit. Il monta à l’étage pour en parler à sa grand-mère et en ouvrant la porte de la chambre, il vit les deux femmes, entièrement couvertes de merde, faire elles aussi une sieste.


- Ben dis donc ! Il s’en passe des choses quand je ne suis pas là !


Il regagna sa chambre, malheureux d’avoir raté l’action.



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LA MAISON DE FILMS OU LA PRODUCTRICE

PAR LE MATOU