À l’abri des regards, retirée loin de la route, la maison de pierre ne payait pas de mine, vue de l’extérieur, bien qu’elle soit de dimensions généreuses. Le plus proche voisin se trouvait à trois kilomètres. Pourtant, les enfants Carbo, José, quatorze ans, grand, brun de poil et athlétique et Rita, douze ans, aussi brune que son frère, halée, un sourire éclatant encadré de longs cheveux qui tombaient bien en bas des épaules, ne s’y ennuyaient pas une seconde. Rita, nue comme un ver, les jambes écartées, les pieds sur deux pierres plates qui la haussaient juste à la bonne hauteur, se faisait mettre par son frère adoré. Leurs corps luisaient de sueur sous le soleil tropical. Des gouttelettes descendaient du front de José, suivaient l’arcade sourcilière, continuaient leur périple le long des joues puis sur son menton et finalement, terminaient leurs courses sur le dos de la gamine.
Bien qu’elle fût appuyée sur la branche basse d’un arbre, Rita avait besoin du soutien de son frère pour ne pas tomber sous les puissants coups de rein qui la faisaient vaciller d’avant en arrière. José la tenait par ses petits seins qui en fait, n’étaient que deux petites bosses sur son torse. Sa queue faisait de rapides aller-
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Carmela, la mère de José et de Rita, était assise devant son pupitre, plusieurs bottins étaient ouverts à différentes pages et le téléphone chauffait. Sa mère, Maria, entra dans la pièce en portant un cabaret sur lequel deux tasses de café brûlant émettait une légère buée. Maria y avait ajouté quelques biscuits de sa fabrication. À soixante-
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Sur ces paroles, Maria se leva et reprit le cabaret qu’elle rapporta à la cuisine. Elle monta à sa chambre et s’installa devant la télé: son feuilleton préféré débuterait dans quelques instants.
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Diplomatiquement, Carmela attendit que le feuilleton prenne fin et elle monta annoncer la nouvelle à sa mère: elle pourrait disposer de quatre filles, fournies par Helena Rossa, en autant qu’elles soient payées le même cachet que les autres filles du film et que Carmela lui fournisse une copie gratuite du film. Les filles pratiquaient couramment les activités scatologiques de toute sortes. La seule contrainte était de ne pas abîmer le corps des actrices: pas de coups de fouet, de brûlures de cigarettes ou de cravache. Carmela lui répondit qu’elle ne mélangeait pas les genres. Pour le reste, c’était à Carmela de décider.
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Carmela referma la porte de la chambre de sa mère, fit un détour par les chambres de José et Rita, vérifia qu’ils dormaient bien. José, à cause de la chaleur sans doute, dormait nu et affichait une belle érection. Carmela sourit et se dit en elle-
Dans la chambre du haut, Maria ouvrit un tiroir de la table de chevet et en sortit plusieurs jouets érotiques: des pinces en plastiques pour les tétines, un tube de lubrifiant, plusieurs godes de différentes formes et couleurs et un vibrateur à clito, un petit objet oblong qui vibrait à une cadence folle et pouvait réveiller les sens les plus endormis. Elle décida d’être sage ce soir, seulement les pinces, un gode et le vibrateur. Elle lubrifia le gode et se l’enfonça profondément dans le cul. Puis, elle plaça les petites pinces pas très cruelles sur ses deux tétines qui rougirent immédiatement. Elle démarra le vibrateur et l’appliqua sur son clito tout en s’allongeant sur le dos. Elle ferma les yeux et se mit à rêvasser aux deux vedettes de son feuilleton. Elle avait de la difficulté à décider laquelle, de la vedette féminine ou masculine, l’excitait le plus. Finalement, la vedette féminine l’emporta mais seulement par une mince marge. Seulement, la jouissance ne venait pas: Maria avait besoin de sa drogue personnelle pour y parvenir. Elle enleva les deux pinces de ses tétines et les jeta dans le tiroir. Elle se désola un peu en regardant ses seins pendants, signe que bien du temps avait passé depuis sa jeunesse. Elle écarta les jambes et maintint ses fesses écartées avec les mains et debout, au milieu de la pièce, elle se mit à chier. Un premier étron bien dur fit son apparition et tomba sur le sol avec un “floc” sonore. Elle reprit son souffle pendant quelques secondes et recommença à pousser. Un long filet de merde plus molle et plus pâle suivit qui tomba silencieusement sur le premier étron. Vidée, Maria s’allongea à même le sol et utilisa la merde de la deuxième vague pour s’en enduire les seins et le visage. Parfois, sa main descendait jusqu’à son clito et maintenant, elle sut que l’orgasme serait au rendez-
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Elle se dirigea vers la salle de bain attenante à sa chambre et fit couler l’eau afin de prendre une douche bien nécessaire. Auparavant, debout dans la baignoire, elle s’enfonça deux doigts merdeux dans la gorge pour se faire vomir et régurgiter la merde avalée précédemment. Quand ce fût fait, elle utilisa la savonnette pour se laver et se rinça longuement.
En entendant l’eau couler à l’étage, Carmela ouvrit un oeil et réalisa que le bruit provenait de la chambre de sa mère. Elle fût un peu vexée que sa mère ne lui ait pas offert de participer à son petit jeu. Dans un éclair de conscience, elle réalisa que Maria avait besoin de plus qu’elle pour obtenir ses trop rares satisfactions. Il faudrait remédier à cela. Puis, le sommeil reprit le dessus et Carmela retomba dans les bras de Morphée.
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Le ronronnement de deux moteurs de voiture tira Carmela de sa rêverie. Elles vit les deux guimbardes, plus très en forme, avancer vers la maisons. Les filles de Mme Rossa arrivaient avec à peine cinq minutes de retard, ce qui dans ce pays équivalait à être deux heures en avance. Lorsqu’elle les fit entrer dans la maison, elle fût soulagée de constater que trois des filles étaient particulièrement jolies alors que la troisième, un peu grasse bien que ne dépassant pas vingt ans, ne dégageait pas particulièrement une aura d’intelligence.
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Celle qui semblait la plus âgée, Manuella, et qui devait avoir vingt-
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Carmela la contempla d’un autre oeil. Mmm ! Intéressant ça ! Une vraie soumise. Bon ! Ce n’était pas le moment de penser à la rigolade, les affaires en premier.
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Carmela sortit de la pièce et après une minute, les filles entendirent un ronronnement qui provenait de l’arrière de la maison. Carmela revint immédiatement. La plus jeune, Cassandra, une très jolie et mince gamine qui ne devait avoir ses dix-
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Pendant que la procession des cinq femmes descendaient au sous-
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Elle baissait les yeux et semblait en admiration devant le plancher.
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Une des deux filles qui n’avaient pas encore parlé, Juanita, une jolie brune aux gros seins et au sourire éclatant, déclara.
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L’autre fille silencieuse rosit. De toute évidence, elle était la copine de celle qui venait de parler. Carmela saisit la balle au bond.
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La chaleur torride de la matinée calma les ardeurs de José et Rita: au lieu de courir vers le ruisseau, ils marchèrent lentement. Arrivés près d’une petite esplanade rocailleuse, ils enlevèrent leurs vêtements et sautèrent à l’eau. Pas assez profond pour y nager, le ruisseau ne charriait qu’une quarantaine de centimètres d’eau, il procurait tout de même une rare fraîcheur dans ce coin de pays brûlé par le soleil. Débarrassés de leur sueur, les enfants sortirent de l’eau et José affichait une belle érection. Il regarda sa soeur.
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Sans dire un mot de plus, il mit les mains sur les hanches, pivota légèrement et se mit à pisser. Son jet fit une gracieuse courbe ascendante et l’urine retomba en aval de leur emplacement. Il savait que Rita adorait le regarder pisser et qu’elle serait toute chose après ce court intermède. Étant donné qu’il n’avait pas soulagé sa vessie depuis la veille au soir, il urina longuement. Rita s’approcha de lui et malicieusement, poussa sa queue vers le bas avec un doigt. Aussitôt, le jet se mit à bouger et Rita continua à le diriger pour dessiner des arabesques évanescentes. Quand il termina, Rita lui proposa:
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Devant une telle proposition, José ne pouvait qu’être d’accord. Lorsqu’il fût allongé sur la longue pierre plate qui leur servait souvent de refuge, Rita s’agenouilla près de ses hanches et baissât la tête pour rejoindre la queue qui reposait maintenant sur le ventre de son frère adoré. Sans utiliser les mains, elle enfourna une bonne partie du membre, fit tournoyer sa langue autour du méat et finalement, entreprit un pompier dont la technique pouvait se comparer à celle de bien des professionnelles. En garçon vaillant et bien élevé, José ne resta pas inactif. Sa main droite partit à la conquête des petites fesses de sa soeur qu’il caressât avec beaucoup de doigté avant que ses phalanges ne partent à la découvertes des trous qu’elles trouvèrent sur leur chemin. La gamine projetait ses hanches vers l’arrière pour bien faire comprendre à son frère aîné qu’elle désirait que l’exploration qu’il entreprenait se fasse bien à fond. Comme c’était sa première éjaculation de la journée, elle ne tarda pas. Quand il sentit ses entrailles bouillir, il enfonça un doigt dans le cul de Rita jusqu’à la troisième phalange et les jets pulsèrent dans la bouche de la gamine qui n’en perdit pas une goutte. Elle avala entièrement le cadeau de son frère et se pourlécha les lèvres comme un minet rassasié. Lorsque José sortit son doigt, il était maculé de matières fécales. Émoustillée, Rita saisit la main de José et la porta à sa bouche. Elle fit glissé le doigt de José sur sa langue et lorsqu’il ressortit de la bouche de sa soeur, il était aussi propre que lorsqu’il avait entrepris de la sodomiser manuellement. Elle lui fit un sourire et reposa sa tête sur le torse de son frère.
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Juanita avait chié dans la bouche de Rosa et pendant plusieurs minutes, les deux filles avaient partagé l’étron, se le passant d’une bouche à l’autre avant de finalement le sectionner en deux, de mâcher chacune leur partie du lot et d’avaler le tout. Elles avaient tourné la tête vers la camera de Carmela et ouvert la bouche toute grande pour bien montrer qu’il n’y avait pas de triche.
Entrant en scène à son tour, Manuella avait chié dans la bouche de Juanita, allongée par terre, sur le dos. Ensuite, elle avait utilisé son pied pour pousser entièrement la merde dans la bouche de sa “toilette”. Elle avait maintenu son pied en place, le temps pour Juanita de mâcher l’infect repas et de finalement l’avaler. A son tour, elle avait pris position derrière Rosa et la plus jeune des filles avait entrepris de chier dans la bouche de la plus expérimentée des quatre participantes. Carmela fût étonnée de constater la quantité de merde que pouvait produire une si petite personne. Un flot de merde molle avait traversé son muscle anal pour remplir la bouche de Juanita. Cette dernière dut relever la tête pour réussir à avaler la pâtée après l’avoir longuement mâchouillé. C’est pratiquement impossible d’avaler quand on est allongé sur le dos. Quand ce fût fait, Rosa repoussa gentiment Juanita dans sa position initiale, lui faisant comprendre sans une parole que ce n’était pas fini. Elle se plaça au-
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Assise par terre près de Maria, Darla émit le commentaire:
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La vieille Maria la regarda longuement. Elle se pencha et regarda Darla dans les yeux.
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Darla rougit de honte d’avoir été percée à jour si rapidement. Elle baissa les yeux. Elle ne put que balbutier:
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Même sans montre, José et Rita savaient qu’il était l’heure de rentrer pour le repas du midi. Ils revinrent lentement, sans courir, car la chaleur calmait les ardeurs les plus vaillantes. Arrivés à destination, ils ne virent que leur grand-
Maria reprit l’escalier et monta à l’étage. Ces scènes de scatologie lui rappelaient des souvenirs heureux de sa vie passée.
Quand le tournage fût fini et que les filles prirent une douche bien méritée, Carmela leur offrit de les payer. Elles refusèrent en choeur. Elle devait s’adresser à Madame Rossa pour cela. Carmela leur demanda de transmettre à Madame Rossa qu’elle devait passer à Quito le lendemain pour remettre la cassette originale à l’acheteur et qu’elle passerait chez elle pour régler la note.
Tandis que José, Rita et Maria faisaient la sieste, Carmela en profita pour faire le montage du film. Il n’y avait pas beaucoup de scènes à couper tellement les filles s’étaient bien comportées. Ensuite, quand le montage fût terminé, elle fit une copie pour Madame Rossa et une autre pour ses archives personnelles. Les copies complétées, elle laissa tourner la génératrice et démarra la climatisation pour tenter de chasser la chaleur accumulée par la journée.
Le lendemain, Carmela rencontra le distributeur et lui remit une des copies originales du nouveau film, sans mentionner la copie complémentaire. Elle trouva facilement le bordel de Madame Rossa et se fit annoncer à la patronne. Madame Rossa la reçût dans son petit bureau.
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Madame Rossa avait entendu toutes sortes de choses dans sa vie mais c’était la première fois que l’on proposait une telle transaction.
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Madame Rossa demeura silencieuse un long moment: elle semblait peser le pour et le contre d’une telle proposition. Puis, elle sembla se décider.
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Ce fût au tour de Carmela de faire un rapide calcul mental. Dix petits clips lui prendraient trois journées de travail, montage compris.
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Carmela régla la note pour le tournage de la journée précédente. Elle reprit le chemin de la maison et arrivée, elle se garda bien de parler de son nouvel “achat”.
La semaine suivante, elle quitta pour la ville trois jours de suite et si Maria et les enfants trouvèrent cela un peut bizarre, ils n’en parlèrent pas. La quatrième fois que Carmela partit pour Quito avec sa pile de cassettes dans une boite, tous comprirent qu’elle avait produit des films pour des clients.
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Dans la voiture, Carmela donnait des instructions à Darla.
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Darla rougit jusqu’aux oreilles.
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Carmela ralentit la voiture et prit le sentier qui menait à la maison.
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Darla fit glisser sa robe en se tortillant sur le siège. Elle ne portait qu’une petite culotte qui avait connue des jours meilleurs.
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Carmela applique les freins et stoppa la voiture. Elle se tourna vers Darla.
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Carmela attrapa un sein de Darla et le manipula gentiment. Elle se lécha les lèvres en admirant le tétin qui durcissait sous la manoeuvre.
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Carmela se souleva et Darla glissa son visage sous le cul de Carmela. Comme celle-
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Aussitôt, Darla mit sa langue à l’oeuvre sur la chatte de sa nouvelle maîtresse. Elle enfonçait sa langue au plus profond du con de Carmela qui bientôt se mit à se tortiller sur le visage de la suceuse. Carmela attrapa les tétines de Darla et les tordit gentiment. Quand cette dernière se mit à gémir, elle relâcha la tension et enveloppa les tétons de ses mains et le pétrit comme de la pâte. Elle ne fût pas longue à jouir. Son jus barbouilla le visage de Darla qui tenta d’en recueillir le plus possible dans sa bouche. Carmela se souleva pour permettre à Darla de se retirer. Elle lui tendit un papier mouchoir.
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Carmela redémarra et parcourut les derniers mètres jusqu’à la remise où elle rangeait la voiture. Après être sorties de la voiture, Darla vit que Carmela fouillait dans un tiroir. Elle revint avec une laisse à chien. Elle la mit autour du cou de Darla et garda l’autre extrémité en main.
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Lorsque les deux femmes entrèrent par la porte arrière qui donnait dans la cuisine, elles tombèrent sur Rita qui finissait son repas. Elle fût légèrement surprise de voir sa mère ainsi accompagnée mais connaissant le genre de film qu’elle produisait, elle crût que sa compagne venait tourner un autre de ces films cochons, spécialité maison.
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Éberluée, Rira regardait sa mère avec de grands yeux.
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La bouche ouverte mais ne sachant que répondre, Rita ne put que regarder sa mère s’éloigner et prendre l’escalier, suivie par Darla, toujours tenue en laisse.
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Carmela poussa la porte et vit sa mère, étendue sur le lit, vêtue d’une petite robe légère, avec un livre à la main.
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Aussitôt Carmela sortie, Maria se dirigea vers la porte qu’elle referma sans engager le verrou.
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La grand-
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Quand l’alèse fut installée, les extrémités bien en place sous le matelas, Maria fit passer sa robe par dessus sa tête. Elle ne portait qu’une petite culotte qu’elle enleva aussitôt.
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Encore intriguée par l’arrivée de Darla nue comme un ver, Rita répondit:
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Carmela prit la main de Rita et la traîna jusqu’à sa chambre. Elle ne ferma pas la porte. Carmela se laissa tomber en position assise sur le bord du lit, Rita debout devant elle.
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Carmela attira sa fille et l’enlaçant, elle appliqua ses lèvres sur celles de Rita, tout doucement. Quand le contact fût fait, la langue de Carmela força le passage dans la bouche de Rita et leurs langues entamèrent un ballet endiablé. Lentement, les mains de Carmela descendirent sur les fesses de sa fille et les pétrirent gentiment. Pendant ce temps, les mains de Rita saisirent les seins de sa mère et elle se mit à les caresser. Carmela lâcha prise de la main gauche et, saisissant la main de Rita, elle la guida à l’intérieur de son corsage. La petite menotte se dirigea instinctivement vers le tétin qu’elle se mit à faire rouler entre les doigts. Elle s’y prenait trop doucement au goût de Carmela qui ne décolla ses lèvres de celles de sa fille que le temps de lui murmurer:
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Carmela replongea dans la bouche de sa fille pendant que cette dernière lui tordait les bouts. Carmela sentait sa culotte se mouiller. Elle ne resta pas inactive et ses pouces crochetèrent le short et la petite culotte de sa fille qu’elle descendit jusqu’aux chevilles. Sans cesser d’embrasser sa mère, Rita leva les pieds un après l’autre pour se défaire des vêtements encombrants. Elle écarta les jambes pour que sa mère ait un accès plus facile à sa petite fente, endroit que la main de Carmela ne tarda pas à visiter.
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Carmela en profita pour se lever et elle fit glisser sa robe par terre qu’elle projeta plus loin d’un élégant coup de pied. Puis, elle laissa Rita lui enlever sa petite culotte. Carmela prit appui sur l’épaule de sa fille pour soulever les pieds. Quand Rita se redressa, Carmela se pencha et enlaça sa fille de nouveau. Rita mit les bras autour du cou de sa mère pour reprendre le baiser là où il avait été interrompu. La prenant par les fesses, Carmela souleva sa fille qui en profita pour ceindre les hanches de sa mère avec ses jambes. Doucement, Carmela relâcha les fesses de sa fille et ses mains se trouvèrent libres. Le poids léger de sa fille ne la fit pas sourciller. Elle fit glisser son index droit dans la raie de sa fille et vint faire une pause sur le petit anus tout rose et serré. Puis, elle se mit à le caresser. Rita redoubla d’ardeur dans le baiser et Carmela comprit que sa fille aimait se faire titiller le trou du cul. Elle fit mine de forcer le passage et Rita enfonça encore plus profondément sa langue dans la bouche maternelle. On ne pouvait rêver d’un signal plus clair. Carmela poussa la première phalange à l’intérieur du petit anus qu’elle sentit se détendre. Rita forçait pour ouvrir son petit cul à l’invasion du doigt fureteur. Lentement, en le faisant tourner, Carmela poursuivit l’intrusion jusqu’à ce que son doigt disparaisse complètement dans le cul de sa fille. Rita eût un rejet de la tête vers l’arrière.
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Carmela ne faisait bouger la première phalange de son doigt, grattant doucement la paroi du gros colon de sa fille qui eût un orgasme fulgurant. Elle devint toute molle et Carmela dut la soutenir de l’autre main pour qu’elle ne s’effondre pas par terre.
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Maria et Darla avaient adopté la position du soixante-
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Devinant qu’un autre larcin se préparait, Darla lui sourit et obtempéra. Les deux bouches se retrouvèrent à nouveau et bientôt, un flot de salive merdeuse coulât sur les deux mentons. Maria ramassa le reste de la merde et en enduisit le corps de Darla. Puis, quand cette opération fût complète, elle se lécha les doigts tout en regardant Darla dans les yeux.
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Maria s’allongea sur le dos et Darla s’accroupit au-
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Darla plongea son visage sur la chatte merdeuse de sa compagne tout en descendant la main droite sur sa propre chatte. La manoeuvre n’échappa pas à Maria qui lui ordonna:
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Agilement, la langue et les lèvres de Darla titillèrent si bien le clito de Maria que quelques minutes plus tard, les deux femmes gémirent simultanément. Puis, Maria fit allonger Darla près d’elle et l’enlaça. Maria fût la première à sombrer dans un sommeil réparateur, le visage et le corps barbouillés de merde. Darla résista un peu plus longtemps et juste avant de s’abandonner à son tour à la sieste, elle songea qu’elle allait bien se plaire dans sa nouvelle demeure.
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Quand José revint de sa promenade à bicyclette, il retrouva sa soeur et sa mère endormies, nues, dans le même lit. Il monta à l’étage pour en parler à sa grand-
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Il regagna sa chambre, malheureux d’avoir raté l’action.
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LA MAISON DE FILMS OU LA PRODUCTRICE
PAR LE MATOU