- Tu sais la salope qui baisait mon patron ?


C’était Claudine, la femme d’Hubert qui venait de parler, interrompant la lecture de ce dernier.


- Ouais, la grosse blonde, tu m’en as déjà parlé.


- Ils l’ont foutu à la porte !


- Pourquoi ?


- J’ai fait courir la rumeur qu’elle avait une maladie vénérienne et comme par hasard, ils ont aboli son poste et ne l’ont pas remplacé.


- T’as fait ça ?


- Quand on veut quelque chose, on prend les moyens pour l’avoir !



*****************************************


Trois mois plus tard, Hubert et Claudine buvait leur tasse de café matinale lorsque leur fille de treize ans, Bernadette, surnommée Bernie par tout le monde sauf ses parents, apparût dans la porte de la cuisine. Le vert de sa chemise de nuit amplifiait la pâleur de son teint. Quand sa mère lui offrit de lui faire un plat, Bernie verdit et, tournant les talons, se précipita dans la salle de bain d’où le bruit caractéristique d’une personne qui vomit alerta les deux parents. Ils se précipitèrent à sa suite et la trouvèrent agenouillée devant la cuvette, le corps secoué de spasmes douloureux de nausées sèches.


- Pauvre petite ! Ça ne va pas ?


- Idiot ! Tu vois bien que ça ne va pas. Laisse nous, je vais la soutenir.


Vexé que sa femme lui parle ainsi devant sa fille, Hubert retraita vers la cuisine.


- Un jour... un jour...



*******************************


Quatre mois plus tard.



- Hubert, viens dans la chambre, il faut que je te parle.


- Hé hé !! Je suis tout à ton écoute, mon amour.


- C’est sérieux, Hubert. Il faut vraiment qu’on cause. Ferme la porte.


- Voilà ! Qu’est-ce qu’il y a ?


- As-tu remarqué quelque chose de différent à propos de Bernadette ?


- À part le fait qu’elle a pris un peu de poids, je n’ai rien remarqué. Ça ne lui fera pas de tort de mettre un peu de chair sur ses os, elle est si maigre.


- Justement... ce poids, elle va en perdre une grosse partie bientôt.


- Elle est malade ? Qu’est-ce qu’elle a ? Dis-le moi vite.


- Hum... Bernadette... est un peu... enceinte. Voilà ce qu’il y a.


- QUOI ? ENCEINTE ? À SON ÂGE ?


- Ne crie pas, ça ne changera rien.


- Je crierai si je veux ! Merde ! Qu’est-ce qu’on va faire ?


- D’abord, il faut la retirer de l’école, ça commence à se voir.


- On ne peut pas la faire avorter ?


- Non, c’est trop tard.


- Pourquoi tu ne m’en n’as pas parler avant maintenant, j’aurais pu...


- Parce que je l’ai appris ce matin ! On va devoir décider si on garde le bébé ou si on le donne en adoption.


- Merde !



**************************


- Bernadette, viens ici.


Il y avait maintenant deux jours que Bernie n’allait plus à l’école. Elle se tenait devant son père avec un air penaud, la tête basse.


- Dis donc, c’est vrai que tu fais de la brioche. Montre-moi ton ventre.


Bernie souleva son t-shirt et Hubert lui caressa le ventre. Il remonta un peu trop haut et lui frôla un sein. Bernie ne réagit pas et Hubert récidiva de façon plus franche.


- Ça te fait mal ?


- Non papa.


- Dans combien de mois le docteur a-t-il dit que...


- Dans quatre mois si tout va bien.


- Montre-moi tes nénés.


Sans protester, Bernie souleva son t-shirt jusque sous son cou.


- Ouh la ! Ils prennent du volume. Ils sont sensibles ?


- Un peu.


Hubert y alla franchement et lui caressa un sein, insistant sur le tétin rose qui semblait durcir sous la caresse.


- Tu aimes ça quand je te caresse, hein ?


Bernie rougit en répondant:


- Oui !


Cette fois, Hubert utilisa ses deux mains pour manipuler les deux bouts roses et il vit Bernie qui fermait les yeux en gémissant, bien qu’il n’ait pas été brutal.


- Ça te fait de l’effet, hein ?


- Papa, c’est terrible.


- Comment ça, “terrible” ?


- Je ne pense qu’à ça !


Hubert continuait à manipuler les deux petits globes laiteux.


- À quoi ? Au bébé ?


- Non, au sexe.


- Tu as aimé ça ?


- Oui !


La rougeur ne quittait plus le visage de la gamine. Hubert laissa les deux seins et défit le bouton du jeans de sa fille et d’un mouvement habile, le lui baissa jusqu’au genoux.


- Qu’est-ce que tu fais ?


- Je vérifie si tu dis la vérité.


Il lui baissa sa petite culotte dont l’élastique de la taille était soumis à rude épreuve. Puis, il lui écarta un peu les cuisses et lui passa un doigt sur sa petite fente. Le doigt revint tout humide.


- Je vois ! Tu en as envie, hein, de te faire mettre par une grosse queue.


Hubert leva la tête et regarda par-dessus l’épaule de sa fille.


- Tu vois ! Je te l’avais bien dit: elle ne pense qu’à ça !


Bernie regarda derrière elle et, à son horreur, elle vit sa mère qui la regardait d’un air moqueur.


- Je me demande bien qui elle pourrait intéresser, maigre comme elle est, avec son gros bide ?


- Moi ! Moi, elle m’intéresse.


- T’es trop bon avec elle. Tu veux un peu d’aide.


- Certainement ! Plus on est de fous...


Claudine lui fit enlever son t-shirt et ses jeans ainsi que sa petite culotte. Son père la prit par la main et l’amena dans la chambre des maîtres. Elle regarda sa mère se déshabiller totalement et s’étendre dans le lit.


- Viens me sucer la chatte, petite salope. Tu me dois bien cela pour tout le trouble que tu vas me donner.


Bernie s’installa sur le ventre entre le jambes de sa mère et pointa timidement la langue sur le clito de sa mère. Puis, elle prit de l’assurance et il alla franchement. Hubert se déshabillait en regardant la mère et la fille, surtout la fille. Elle devait avoir un petit cul bien serré et Hubert en avait souvent rêvé. Il prit un tube de gelée lubrifiante et s’en graissa la queue d’une généreuse dose. Il fit comprendre à Bernie de soulever les hanches et de se tenir à genoux, tout en continuant de lécher sa mère. Il pointa son gland sur le petit orifice tout rose et poussa gentiment. À son étonnement, il passa le sphincter facilement et pénétra complètement l’anus de la gamine.


- Ça entre comme dans du beurre. Je te parie que ce n’est pas la première fois ! Avec qui tu le fais, salope ?


Bernie quitta la chatte maternelle juste assez longtemps pour répondre:


- Avec mes doigts, papa.


Hubert continua à lui bourrer le cul à grands coups de rein. Caroline profitait des contrecoups car en avançant, la langue de Bernie progressait plus profondément dans le vagin maternel. À certains signes, Hubert vit que sa femme approchait de l’orgasme. Il accentua le rythme de sa fornication. Le mari et la femme explosèrent en choeur. Bernie les suivit dans la minute car Hubert ne décula pas immédiatement. Puis, Hubert roula sur le côté et Bernie vint se nicher entre lui et Claudine.


Hubert et Claudine allumèrent une cigarette et Bernie appuya sa tête sur le sein maternel. Claudine lui caressait les cheveux.


- Tu peux le sucer si tu veux mais il ne doit plus y avoir de lait depuis longtemps.


Hubert lui saisit un genou et souleva sa jambe: un mince filet de foutre lui coulait du trou du cul. Il en fût ravi: elle ne se refermait pas totalement. Le temps de reprendre des forces et cette fois, il ne se retiendrait pas et l’enculerait à fond. Quand il recommença à bander, il fit signe à Claudine. Elle comprit au quart de tour et fit pivoter Bernie au-dessus d’elle, dans la position du soixante-neuf. Elle eût une vue imprenable sur le deuxième enculage de sa fille... Hubert la bourrait de grands coups de queue et Claudine dût se masturber car elle suçait la chatte de sa fille. Celle-ci, trop courte, ne parvenait pas à rejoindre la chatte de sa mère. Hubert l’encula encore pendant plusieurs minutes, car ayant déjà joui, il avait beaucoup plus de self-control. Quand il se décida à jouir, Claudine pinça les tétines roses de sa fille et cette dernière hurla de bonheur, jouissant elle aussi de l’enculade.


- À partir de maintenant, on va te baiser quand ça fera notre affaire et pour que tu sois toujours disponible, tu seras toujours nue. Compris ?


- Oui maman.


Inutile de mentionner que durant les mois qui suivirent, la vie sexuelle de Bernie fût des plus débridées.


Quelques mois plus tard, Bernie donna naissance à une petite fille de trois kilos cinq cents. Une semaine plus tard, elle était de retour à la maison. L’évènement fût fêté par une joyeuse partie de cul, Bernie se faisant enculer royalement par sa mère qui portait un gode à ceinture tandis qu’elle suçait son père. Hubert déchargea copieusement dans la bouche de sa fille dont il s’était beaucoup ennuyé. Bernie avait joui du cul, sa mère étant très habile à ce jeu. Tandis que tout le monde relaxait après ces premiers ébats, Claudine dit à Bernie:


- Quand tu seras remise, tu devras lui faire un petit frère.


Pas du tout opposée à cette idée, Bernie lui demanda:


- Quand ?


- Dans six mois, pas avant. Il faut te laisser le temps de te remettre.


- Et si c’est une autre fille ?


- Alors, tu en feras un troisième.


- Qui me les fera ?


- Tu vois beaucoup d’hommes ici ?


Bernie regarda son père qui bandait à nouveau.


- Ouvre ton cul pour ton père.


- Oui maman,


Hubert s’enfonça brutalement dans l’oeillet maintenant bien élastique de sa fille. Bernie ouvrit la bouche pour crier mais Claudine l’embrassa à pleine bouche, étouffant le cri naissant.



*************************


- Dis Paulo, il te reste du GHB ?


- Ouais, une dizaine de cachets.


- Je t’en prend cinq.


Hubert paya le dealer et redémarra la voiture. Sa fille n’avait aucun souvenir de qui l’avait engrossé la première fois. Il avait bien aimé la sensation de baiser cette poupée molle et sans réflexes. Maintenant, il n’avait plus besoin de se cacher pour la baiser mais il n’avait jamais oublié cette sensation particulière. De plus, cette drogue lui avait permis d’atteindre son but. Il murmura pour lui-même:


- Quand on veut quelque chose, on prend les moyens pour l’avoir !


**********************************************************



BERNIE

PAR LE MATOU