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C’était Claudine, la femme d’Hubert qui venait de parler, interrompant la lecture de ce dernier.
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Trois mois plus tard, Hubert et Claudine buvait leur tasse de café matinale lorsque leur fille de treize ans, Bernadette, surnommée Bernie par tout le monde sauf ses parents, apparût dans la porte de la cuisine. Le vert de sa chemise de nuit amplifiait la pâleur de son teint. Quand sa mère lui offrit de lui faire un plat, Bernie verdit et, tournant les talons, se précipita dans la salle de bain d’où le bruit caractéristique d’une personne qui vomit alerta les deux parents. Ils se précipitèrent à sa suite et la trouvèrent agenouillée devant la cuvette, le corps secoué de spasmes douloureux de nausées sèches.
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Vexé que sa femme lui parle ainsi devant sa fille, Hubert retraita vers la cuisine.
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Quatre mois plus tard.
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Il y avait maintenant deux jours que Bernie n’allait plus à l’école. Elle se tenait devant son père avec un air penaud, la tête basse.
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Bernie souleva son t-
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Sans protester, Bernie souleva son t-
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Hubert y alla franchement et lui caressa un sein, insistant sur le tétin rose qui semblait durcir sous la caresse.
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Bernie rougit en répondant:
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Cette fois, Hubert utilisa ses deux mains pour manipuler les deux bouts roses et il vit Bernie qui fermait les yeux en gémissant, bien qu’il n’ait pas été brutal.
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Hubert continuait à manipuler les deux petits globes laiteux.
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La rougeur ne quittait plus le visage de la gamine. Hubert laissa les deux seins et défit le bouton du jeans de sa fille et d’un mouvement habile, le lui baissa jusqu’au genoux.
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Il lui baissa sa petite culotte dont l’élastique de la taille était soumis à rude épreuve. Puis, il lui écarta un peu les cuisses et lui passa un doigt sur sa petite fente. Le doigt revint tout humide.
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Hubert leva la tête et regarda par-
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Bernie regarda derrière elle et, à son horreur, elle vit sa mère qui la regardait d’un air moqueur.
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Claudine lui fit enlever son t-
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Bernie s’installa sur le ventre entre le jambes de sa mère et pointa timidement la langue sur le clito de sa mère. Puis, elle prit de l’assurance et il alla franchement. Hubert se déshabillait en regardant la mère et la fille, surtout la fille. Elle devait avoir un petit cul bien serré et Hubert en avait souvent rêvé. Il prit un tube de gelée lubrifiante et s’en graissa la queue d’une généreuse dose. Il fit comprendre à Bernie de soulever les hanches et de se tenir à genoux, tout en continuant de lécher sa mère. Il pointa son gland sur le petit orifice tout rose et poussa gentiment. À son étonnement, il passa le sphincter facilement et pénétra complètement l’anus de la gamine.
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Bernie quitta la chatte maternelle juste assez longtemps pour répondre:
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Hubert continua à lui bourrer le cul à grands coups de rein. Caroline profitait des contrecoups car en avançant, la langue de Bernie progressait plus profondément dans le vagin maternel. À certains signes, Hubert vit que sa femme approchait de l’orgasme. Il accentua le rythme de sa fornication. Le mari et la femme explosèrent en choeur. Bernie les suivit dans la minute car Hubert ne décula pas immédiatement. Puis, Hubert roula sur le côté et Bernie vint se nicher entre lui et Claudine.
Hubert et Claudine allumèrent une cigarette et Bernie appuya sa tête sur le sein maternel. Claudine lui caressait les cheveux.
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Hubert lui saisit un genou et souleva sa jambe: un mince filet de foutre lui coulait du trou du cul. Il en fût ravi: elle ne se refermait pas totalement. Le temps de reprendre des forces et cette fois, il ne se retiendrait pas et l’enculerait à fond. Quand il recommença à bander, il fit signe à Claudine. Elle comprit au quart de tour et fit pivoter Bernie au-
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Inutile de mentionner que durant les mois qui suivirent, la vie sexuelle de Bernie fût des plus débridées.
Quelques mois plus tard, Bernie donna naissance à une petite fille de trois kilos cinq cents. Une semaine plus tard, elle était de retour à la maison. L’évènement fût fêté par une joyeuse partie de cul, Bernie se faisant enculer royalement par sa mère qui portait un gode à ceinture tandis qu’elle suçait son père. Hubert déchargea copieusement dans la bouche de sa fille dont il s’était beaucoup ennuyé. Bernie avait joui du cul, sa mère étant très habile à ce jeu. Tandis que tout le monde relaxait après ces premiers ébats, Claudine dit à Bernie:
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Pas du tout opposée à cette idée, Bernie lui demanda:
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Bernie regarda son père qui bandait à nouveau.
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Hubert s’enfonça brutalement dans l’oeillet maintenant bien élastique de sa fille. Bernie ouvrit la bouche pour crier mais Claudine l’embrassa à pleine bouche, étouffant le cri naissant.
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Hubert paya le dealer et redémarra la voiture. Sa fille n’avait aucun souvenir de qui l’avait engrossé la première fois. Il avait bien aimé la sensation de baiser cette poupée molle et sans réflexes. Maintenant, il n’avait plus besoin de se cacher pour la baiser mais il n’avait jamais oublié cette sensation particulière. De plus, cette drogue lui avait permis d’atteindre son but. Il murmura pour lui-
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BERNIE
PAR LE MATOU