Mise en garde


Cette histoire n’est pas une suite à proprement parler de l’histoire Futur Gène Éthique mais elle en utilise certains personnages et se situe à la même époque, soit environ cinq cents années dans le futur, alors que la génétique est devenue une science exacte. Alors, si vous n’avez pas lu l’autre histoire, peut-être devriez-vous le faire, question de se mettre dans le bain. Maintenant, passons à l’histoire.



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L’enfant ne devait pas avoir sept ans encore. Ses cheveux blonds, coupés court, dégageaient son front lisse et haut. Ses yeux bleus clairs et son teint rose complétaient le tableau. Il se tenait debout, totalement nu, sur un tabouret. Seule particularité, ses poignets, attachés par des cordes reliées au plafond, le forçaient à écarter les bras et l’empêchaient de basculer vers l’avant. L’homme qui se tenait derrière lui ne faisait pas ses trente-cinq années. La peau brune, le poil noir tout comme ses yeux, offraient un contraste étonnant avec le gamin. Il bandait sec et enculait le gamin gentiment. Malgré la dimension imposante de l’engin qui le taraudait, l’enfant semblait apprécier le traitement qu’on lui faisait subir: la tête légèrement penchée de côté, il souriait. Plus que tout, c’était son érection infantile qui révélait son plaisir total à se faire défoncer l’anus.


L’homme lui pinça les seins et le gamin émit un gémissement de plaisir. Son érection devint encore plus dure et son petit sexe pointait maintenant carrément à la verticale. En ouvrant les yeux, il vit sa mère, debout dans le cadre de la porte de chambre qui le regardait. Il lui sourit. Elle lui rendit son sourire du haut de son mètre soixante-dix. Sa peau mate et ses cheveux noirs rendaient son sourire encore plus éclatant. Elle portait une petite robe d’été blanche constellée de fleurs roses. Ses talons hauts blancs rehaussaient le galbe de ses jambes parfaites. Tandis qu’elle lui rendait son sourire, le gamin vit sa soeur aînée de quatorze ans la rejoindre. Aussi blonde que lui, ses longs cheveux encadraient une frimousse boudeuse aux lèvres trop maquillées pour une fillette de cet âge. Il devina plus qu’il ne vit qu’elle caressait les fesses de sa mère tout en appréciant le spectacle qu’il leur offrait. La main de la fillette remontait sous la robe de sa mère et ne rencontrant aucune petite culotte gênante, se mit à les triturer, à les écarter et à les pincer. La femme souleva sa robe pour lui faciliter la tâche.


Les coups de reins de l’homme redoublaient d’amplitude et de force. Il tourna la tête de l’enfant vers l’arrière et se mit à l’embrasser farouchement. Sa langue pénétra la petite bouche et se mit à tournoyer, recherchant le combat avec celle du gamin. Quand il se retira, il murmura à l’oreille de l’enfant:


- Tu es prêt ?


L’enfant fit oui de la tête sans prononcer une parole.


- Maintenant !


Tandis que l’homme commençait à émettre de longs jets de sperme crémeux dans le cul de l’enfant, ce dernier se mit à pisser d’abondance. Le jet de pisse décrivait des arabesques désordonnées. Il pissa longuement tandis que l’homme finissait de se vider dans le petit cul serré de l’enfant.


La femme regarda sa fille et lui chuchota:


- Tu viens ? Ils m’ont donné envie.


- Moi aussi, maman.



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Tout en faisant attention de ne pas glisser sur le parquet trempé de l’urine de l’enfant, l’homme le détacha et tous deux s’allongèrent nus dans le grand lit. Le petit Daniel se lova dans les bras de l’homme. La main droite de Pierre caressait distraitement les petites fesses maigres de l’enfant pendant que la main de ce dernier flattait timidement la queue au repos de l’homme. Ils sommeillèrent même un moment mais comme il était encore trop tôt pour entamer une nuit de sommeil, ils y renoncèrent lorsque Pierre constata qu’il bandait à nouveau tandis que le petit Daniel lui suçait un téton.



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- Dis maman ?


- Quoi ?


- Tu veux que j’enlève mon maquillage avant de commencer ?


- Non ! Surtout pas ! Tu es tellement jolie comme cela. Tiens, viens ici.



Assise devant son miroir à maquillage, Darla tira sa fille Luisa sur ses genoux. Elle entreprit de la maquiller encore plus. Elle accentua le fond de teint, appliqua une généreuse couche de rouge sur les pommettes puis força la dose sur le rouge à lèvres. Luisa fut étonnée du résultat: elle ressemblait à ces fillettes des films pornos illicites qui circulaient sous le manteau. Cela la fit mouiller. Darla, dont l’odorat était raffiné, ne manqua pas de noter ce fait.


- Maman, je ressemble à ces putes de porno.


Darla nota mentalement qu’elle devrait mieux cacher sa collection. Luisa devait avoir trouvé la cachette.


- Pas encore. Il faut encore faire ceci.


Elle ouvrit la blouse de sa fille et la lui retira. Puis, elle défit la brassière, bien inutile, de la gamine et lui appliqua une couche de rouge sur les aréoles. Elle tira ensuite sur le pantalon de la gamine qui dût soulever les pieds pour le retirer. Sa fente imberbe apparût. Darla lui fit écarter les jambes et prenant un tube de rouge moins prononcé, lui en appliqua une couche sur les grandes lèvres. Quand elle fût satisfaite du résultat, elle fit lever sa fille et l’amena devant le grand miroir de la chambre. Elle prit la pose: écartant légèrement les jambes, les mains sur les hanches, elle s’admira dans la glace tandis que Darla, qui la dépassait d’une bonne trentaine de centimètres, se plaçait derrière elle. Elle se détailla de la tête aux pieds. Le rouge à lèvres agressif définissait sa bouche boudeuse. Ses seins en formation, petites poires bien juteuses, dont les aréoles biens définies par le maquillage attiraient le regard. Enfin, le maquillage des grandes lèvres soulignait encore plus le fait que sa fente remontait sur le devant du pubis. La gamine souriait:


- Maintenant, j’ai vraiment l’air d’une pute !


- Non, tu as l’air de MA pute !


Darla avait accentué le “MA” et Luisa en fût ravie.


- Oui, je veux être ta pute, maman. Je ferai tout ce que tu voudras, absolument tout. Utilise-moi comme une pute, maman.


Darla lui souriait par l’intermédiaire de la glace. Elle fit pivoter sa fille pour qu’elle lui fasse face.


- Embrasse-moi, ma petite pute !


La gamine passa ses bras autour du cou de sa mère et lança ses lèvres sur celles de sa génitrice. Sa petite langue pointue força le barrage des lèvres maternelles et entama un ballet tournoyant dans la grande bouche dont elle fouilla les moindres méandres. Darla passa ses mains sous les petites fesses rondes de sa fille et la souleva du sol. Les jambes de Luisa se refermèrent autour des hanches de sa mère, sans interrompre le baiser. La femme la transporta ainsi jusqu’au lit. Elle se laissa choir assise sur le bord du matelas synthétique. Libérées de la tâche de se soutenir, les mains de la fillette entamèrent l’exploration de la généreuse poitrine maternelle. Elle faufila sa menotte à l’intérieur de la robe sous laquelle aucune brassière ne vint gêner sa progression. Elle attrapa le gros seins, le soupesa, en fit le tour et s’attaqua enfin au mamelon qui durcissait à grande vitesse. Quand elle fût satisfaite du résultat, elle changea de main et réitéra l’opération avec l’autre sein.


- Enlève-moi ma robe !


La gamine dût se lever et la femme fit de même. Elle défit l’attache dorsale et tira la robe vers le bas, dénudant progressivement le corps splendide et bronzé de la femme. Quand son visage fût à la hauteur du pubis rasé, elle ne pût s’empêcher d’y déposer un baiser. La femme sourit et se laissa tomber dans le lit. Luisa prit un oreiller et le posa sous la tête de Darla. Elle enjamba ensuite sa mère et, dans la position du soixante-neuf, entreprit de lécher, sucer et mordiller le clitoris maternel qui émergeait au somment des grandes lèvres.


- Sois gourmande !


Ce fût le seul ordre que Darla donna à sa fille. Un ordre bien inutile car cette dernière était bien décidée à faire crier sa mère de bonheur. Darla demeura inactive, se contentant de regarder la petite fente de sa fille s’humidifier au fur et à mesure de la progression de sa propre jouissance. La langue de la petite s’activait de plus en plus rapidement sur le clito maternel et Darla constata que cela excitait la gamine, bientôt, elle vit le petit con qui suintait et de la mouille dégoulina sur le sein maternel. Ce fût suffisant pour la faire exploser. Elle souleva les hanches violemment et Luisa dût s’accrocher fermement pour ne pas être désarçonnée. Quand la tempête se calma, Luisa nettoya consciencieusement le con maternel de toute sa mouille. Elle roula ensuite sur le côté et n’attendant rien d’elle, entreprit une furieuse masturbation. Pendant plusieurs minutes, sous le regard ironique de Darla, elle tenta vainement d’atteindre elle aussi un orgasme libérateur. À la fin, elle dût se résigner à demander l’aide de sa mère.


- Maman, s’il vous plaît ! J’en ai besoin !


- Bon, comme tu le demandes poliment ...


Darla se leva debout dans le lit, passa une jambe au-dessus de sa fille et lui tournant le dos, elle fléchit les genoux et, écartant les fesses avec les mains, elle se mit à pousser pour chier sur sa fille. Ses efforts ne furent pas vains et bientôt, Luisa vit l’oeillet maternel se distendre et un bel étron brun bien ferme montrer son nez pointu. Quand une vingtaine de centimètres furent sortis, il se brisa sous son poids et ratant la figure de Luisa, il vint s’écraser sur son cou et le haut des seins. Luisa utilisa sa main gauche pour le répandre sur ses deux mignons petits tétons. Darla continuait de pousser et de la merde plus molle fit son chemin et tomba en cascade au même endroit et sur le dos de la main de la fillette. Ce fût suffisant et Luisa explosa à son tour, la bouche grande ouverte dans un hurlement silencieux. Elle retomba sur le lit, épuisée. Darla la poussa hors du lit et lui intima l’ordre d’aller se nettoyer puis de regagner sa chambre pour une bonne nuit de sommeil.



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Pierre Martinez bandait à nouveau franchement. Il demanda à Daniel de bien le sucer et de mouiller abondamment sa queue. Quand ce fût fait, il poussa le gamin sur le ventre. Daniel comprit au quart de tour et écarta ses fesses avec ses mains. Pierre guida sa queue à l’entrée du petit anus et força l’entrée. Quand le gland eût franchi le muscle circulaire, il prit appui sur les deux mains et viola le gamin d’une puissante poussée jusqu’à ce que son ventre vint frapper les fesses du gamin. Rageusement, il pilonna le petit cul. Il ne pouvait pas voir la petite verge qui bandait sous le gamin et qui frottait le drap sous la force des coups de reins virils. Pierre se laissa tomber sur le garçon et se moquait bien de l’étouffer. Le gamin se débrouilla pour respirer de temps en temps. Le supplice ne dura pas longtemps car Pierre, excité par tant de soumission, connût la jouissance rapidement. Il emplit le petit cul de sa semence pour la deuxième fois. Quand ce fût terminé, il roula sur le dos, tout près du gamin. Daniel se tortilla pour se relever et prit la queue de l’homme dans sa bouche pour la nettoyer sans le moindre dégoût. Décidément, il connaissait son boulot, ce docteur Wishes !



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Darla et Pierre, assis dans de confortables fauteuils, regardaient le docteur Wishes examiner leur dossier. Darla fût tentée de prendre la parole mais elle se retint au dernier moment. Mieux valait attendre que le docteur leur pose une question.


- Je vois ici que vos deux enfants seront périmés dans six mois. Vous désirez les remplacer, évidemment.


C’était autant une question qu’une affirmation. Les deux conjoints hochèrent la tête simultanément.


- Vous les voulez similaires ou est-ce qu’il y aurait des modifications à apporter ?


Pierre répondit le premier.


- On aimerait que le garçon soit un peu plus vieux, qu’il puisse ... enfin... hem...


- Avoir des orgasmes bien juteux ?


- Exactement ça, docteur. Je vois que vous nous comprenez.


- Alors il devra avoir treize ans. À cet âge, je peux vous en fabriquer qui pourront jouir quatre fois par jour sans usure prématurée. Imberbe et totalement soumis comme le modèle actuel ?


- Oui docteur et très pervers aussi, c’est possible ?


- Certainement ! Vous n’aurez qu’à donner les détails par écrit à ma secrétaire et je pourrai finaliser les ajustements.


- Bien docteur.


- Et vous, madame, la vôtre vous donne satisfaction ?


- Entièrement docteur. Ou presque...


- Comment cela ?


- Hem... disons que son système digestif n’est pas très productif.


- Hum... je vois. Mais si vous ne me fournissez pas de détails bien spécifiques, je ne peux deviner vos désirs. Ne soyez pas timides et mettez le moindre de vos désirs sur votre requête que vous donnerez à ma secrétaire. Cela ne change pas le prix et c’est beaucoup plus probable que vous obtiendrez satisfaction si je sais exactement à quoi m’en tenir.


- D’accord docteur.


- Et puis, votre requête sera détruite au moment où on vous remet le modèle et il n’en subsiste aucune trace.


- Nous vous faisons confiance docteur.


Comme ils ne faisaient pas mine de partir, Wishes releva la tête et demanda:


- Il y a autre chose ?


- Oui docteur. Mais c’est assez délicat...


- Parlez toujours, on verra.


- Nous voudrions faire un cadeau...


- Un cadeau ?


- Oui, une petite d’une dizaine d’années, totalement perverse et soumise. Ce serait possible ?


- À une condition: que celui ou celle qui la recevra ignore sa provenance.


- Nous comprenons docteur, vous pouvez être assuré de notre totale discrétion.


- Bien ! Je vous contacte quand ce sera prêt.


Ils se levèrent simultanément et quittèrent le bureau. La secrétaire du docteur entra à son tour.


- À quelle heure le prochain rendez-vous ?


- C’est fini pour aujourd’hui.


- Déjà ?


- Oui, le rendez-vous de quatorze heures a été annulé.


- Alors, on peut déjeuner à la maison, maman ?


- Je quitte mon sarrau et je suis prête.


De retour au domicile et le repas expédié, Wishes, Grant de son prénom, et sa mère Mabel discutaient sur un large divan tout en sirotant un cognac.


- Qu’est-ce qu’ils ont tous à désirer des enfants ? Je veux dire qu’au début, je pensais que tu ne fabriquerais que des stars de cinéma ou des miss univers mais je dois admettre que je me suis fourvoyée dans les grandes largeurs.


- Je suis généticien et mon seul cours de psychologie remonte pas mal loin mais je supposerais que cela a à voir avec les interdits ancestraux. La pédophilie a longtemps été considérée comme un crime et bien qu’elle soit légale de nos jours, il y a toujours ce plaisir de défier les tabous.


- Et l’inceste ?


- Même chose, bien que ce ne soit pas un crime entre adultes.


- Tant mieux !


Pour le moment, ce furent les dernières paroles de sa mère qui se laissa couler sur le divan tout en défaisant la braguette de son fils. Elle en sortit un magnifique engin déjà à demi érigé et entreprit de le ramener totalement à la vie avec ses lèvres et sa bouche. Grant remonta la robe de sa mère pour lui dénuder les fesses. Il les caressa brièvement puis, il lui vrilla un doigt dans le trou du cul, prélude à ce qui allait suivre.


Quand il fût bien raide, Mabel se redressa, lui prit la main et l’entraîna vers la chambre.


- Viens ! Fais-moi crier.


- Hé hé ! Ça ne sera pas bien difficile, tu finis toujours par crier.


Elle se laissa tomber sur le lit en souriant. Vraiment, pour une femme de son âge, soixante-neuf ans, elle avait un appétit sexuel vorace. Elle roula sur le ventre et utilisant ses mains, elle écarta les fesses, dévoilant son oeillet abîmé, ceint de minuscules bourrelets, preuves d’usages abondants et dévastateurs. Grant se positionna et encula sa mère brutalement, jusqu’au fond d’un seul coup, exactement comme elle aimait l’être. Il dût la pistonner pendant une bonne quinzaine de minutes avant qu’elle ne jouisse. Quand ce fût fait, il se retira et lui donnant une bourrade, il la retourna sur le dos. Il s’agenouilla au-dessus de son torse. Elle comprit au quart de tour. Elle emprisonna sa queue entre ses seins et il recommença à la fourrer de cette manière, son engin venant buter contre la bouche maternelle qui en profitait pour donner des petits baisers lorsque le contact se faisait. Quand il fût sur le point de jouir, Mabel le termina à la main. Le premier jet de foutre la frappa sur le nez mais tous les autres trouvèrent le chemin de sa bouche grande ouverte. Elle garda le jus le plus longtemps possible, savourant le goût de son fils. Puis, elle avala.


Grant se reposa un peu puis, prenant la liste des exigences des Martinez, il descendit à son laboratoire pour mettre en route la dernière commande.



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- Tu es certaine que nous avons bien fait de commander une fille ? Il préfère peut-être les garçons ?


- Non, crois-moi, la dernière fois qu’il est venu, tu te souviens pour t’apporter des documents à traiter durant le week-end, Luisa jouait dehors. À un certain moment, elle a échappé quelque chose et quand elle s’est penchée pour le ramasser, on voyait sa petite culotte. Le président est devenu tout rouge, son rythme cardiaque a presque doublé sur le coup et j’ai vu de minuscules gouttes de sueur perler au-dessus de sa lèvre supérieure. Avec ce cadeau, surtout maintenant qu’il est veuf et n’a plus de compte à rendre à personne, ton avancement dans la compagnie est pratiquement assuré.


- Je suis d’accord avec toi pour le raisonnement mais je vais grimper d’un échelon. Est-ce que ça en vaut vraiment la peine ?


- Tu vas grimper d’un échelon cette fois-ci mais que va-t-il se passer quand la clone va péricliter ? Il va être intoxiqué, tout comme nous. À ce moment là...


- On refait le coup et je grimpe encore d’un échelon. J’ai compris ! Ma femme, tu es diabolique !


- Non, seulement perverse. Tu me prêtes ton gamin cet après-midi ? Je te passe ma fille.


- D’accord.


Darla passa à la cuisine où le petit Daniel, le pot de biscuit devant lui, collationnait. Il ne portait qu’un petit t-shirt trop court et sa petite queue, toute molle reposait sur ses cuisses. Darla s’amena derrière lui et se penchant, reposa son menton sur l’épaule du gamin, lui offrant, lorsqu’il se tourna, une vue plongeante sur ses seins et même son nombril. Le gamin avait la bouche pleine. Darla lui pinça gentiment ses petites tétines rose par-dessus le t-shirt. Elle lui murmura à l’oreille:


- Ça te dirait d’aller faire des grosses cochonneries avec maman dans sa chambre ?


La petite queue de Daniel redressa la tête immédiatement et lorsqu’il se tourna, il hocha la tête, incapable d’émettre le moindre son avec son biscuit dans la bouche. Darla plaqua ses lèvres sur celles du gamin et força le passage des lèvres enfantines avec sa puissante langue. Elle viola la bouche de l’enfant pendant une longue minute et quand elle la retira, à son étonnement, Daniel constata qu’il ne lui restait plus rien du biscuit et c’est Darla qui avala la pâte pré-mâchée en souriant. Elle ouvrit une armoire de la cuisine, prit deux petites bouteilles qui contenait chacune cent millilitres d’un produit translucide. Elle en tendit une à Daniel.


- Bois !


Daniel reconnût immédiatement le produit. Dans quinze minutes, il aurait une envie de chier irrépressible et maman serait heureuse de cela. Il fût ravi quand il vit qu’elle buvait tout le contenu de l’autre bouteille. Il fit cul sec !



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Luisa, totalement nue, était assise sur les genoux de Pierre, nu lui aussi, et appuyait son dos sur le torse de l’homme. La queue de ce dernier remontait entre les jambes de la gamine. Il tripotait distraitement ses tétons tout en regardant l’écran géant fixé au mur de la chambre. Sur l’écran, un film hyper crade laissait défiler les images d’un groupe de lesbiennes utilisant des petites filles aux fins les plus perverses. Deux des lesbiennes avaient déjà pissé dans la bouche de la plus âgée des fillettes tandis que la troisième lesbienne embrassait passionnément la deuxième fillette. Les mains de Pierre descendirent vers la petite fente de Luisa et il constata qu’elle ne mouillait pas encore. Il retourna vers les tétons.


La plus âgée des lesbiennes de l’écran tourna le dos à la première gamine et lui intima l’ordre de placer ses mains sous ses fesses. Elle força un peu et se mit à chier dans les mains jointes de la fillette. Elle laissa filer une merde jaunâtre et molle. Aussitôt que le flot fût interrompu, la gamine sépara le tas de merde en deux et se frictionna la poitrine avec la première moitié. Quand elle eût bien réparti le caca partout sur sa poitrine, elle utilisa la deuxième partie pour la répandre sur son visage, de la racine des cheveux jusqu’à la base du menton. La gamine souriait, on voyait qu’elle n’en n’était pas à son coup d’essai et qu’elle y prenait plaisir.


La deuxième lesbienne fit coucher la gamine sur le dos et vint s’accroupir au-dessus de son visage. La suite était facile à deviner. La fillette ouvrit la bouche et elle attendit que la femme lui file un étron dans sa petite bouche. Ce qui ne tarda pas. La femme ne contrôlait pas son mouvement péristaltique et lui donna un étron qui frisait les trente centimètres. Comme il débordait largement de la bouche de la gamine, cette dernière le coupa avec ses dents et cueillit le reste dans sa petite menotte. Elle se mit à mâcher lentement le repas infect tout en fermant les yeux.


Luisa, comme hypnotisée par l’action sur l’écran, ne bougeait pas un cil. La fillette sur l’écran avala sa bouchée et en reprit une autre. Elle répéta l’opération jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus rien dans la main. Pierre vérifia la fente de Luisa et en retira un index tout humide. Il poussa sur le bout de sa queue pour la faire entrer dans la petite fente. Luisa entama un mouvement lascif des hanches démontrant son intérêt pour la chose tout en continuant de regarder l’écran. La plus grande des deux lesbiennes dépassait la gamine d’une trentaine de centimètres. La gamine, méconnaissable à cause du masque de merde, se tint debout devant la femme plus âgée. Elle pencha la tête par en arrière et ouvrit au maximum la bouche. La lesbienne se mit à fourrager dans sa gorge jusqu’à ce que la petite fille se mette à vomir la merde récemment avalée. Luisa perdit de l’intérêt pour le film et se concentra sur la pénétration de Pierre.


- Ce serait meilleur dans l’autre trou, non ?


- T’as raison Luisa, allons sur le lit.


- Tu me veux à quatre pattes ?


- Oui.


Pierre s’agenouilla derrière la fille et ajusta son engin.

Il poussa lentement pour faire pénétrer le gland mais à sa surprise, Luisa donna un coup de rein vers l’arrière et s’empala jusqu’à la garde sur la queue bien raide.


- Tu aimes ça, violer les petites filles ?


- Surtout la mienne !


- Alors vas-y fort, j’aime quand ça fait un peu mal.


Décidément, elle connaissait son rôle à la perfection. Pierre la ramona pendant une bonne dizaine de minutes avant de lui remplir le colon de son foutre. Sur l’écran, les cinq personnes, les trois lesbiennes et les deux fillettes reposaient sur le plancher couvert de merde et de vomi. Bof ! On regardera la suite une autre fois !



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Darla, allongée sur le lit, caressait les cheveux de Daniel qui était allongé sur le torse de sa mère. Tous deux ne portaient qu’une petite culotte. De temps en temps, Darla embrassait le gamin tout en lui caressant les fesses par dessus la culotte. Elle entendit les intestins de Daniel qui gargouillaient.


- Maman !


- Quoi ?


- Je crois que ça vient.


- Je sais mon chéri. Moi aussi, ce ne sera pas long. Le dernier qui remplit sa culotte doit nettoyer l’autre avec sa langue. D’accord ?


Daniel accepta; à peine avait-il fini de répondre qu’il se laissa aller et une grosse bosse déforma sa culotte. Darla lui sourit tout en caressant la bosse merdique. Puis, elle appuya plus fermement et écrasa l’étron entre les fesses du gamin. Elle sentit sa petite verge qui durcissait contre son ventre.


- T’aimes ça, hein mon petit salaud chéri ?


Le gamin la regarda dans les yeux et poussa encore; cette fois, la merde plus liquide se fraya un chemin facilement et inonda la culotte. Simultanément, Darla aussi se mit à chier mais sa position sur le dos ne favorisait pas l’émergence de la masse merdique. Elle se souleva légèrement pour laisser passer le premier étron. Elle savait bien que le reste de la merde serait beaucoup plus molle et se ferait un chemin plus facilement.


Les intestins de Daniel continuaient de se vider et la culotte ne pût tout contenir. La merde liquide sortit par l’élastique de la cuisse et coula entre les jambes de sa mère. Excitée, Darla poussa encore plus fort et elle sentit que sa merde aussi sortait par l’élastique de sa taille. Daniel poussa une fois encore et cette fois, le résultat fût une pet sonore et foireux.


- On dirait bien que j’ai fini !


- Oui, je crois que tu gagnes le pari.


Pour bien lui montrer qu’elle ne trichait pas, Darla fit rouler Daniel à son côté, puis, elle se mit à quatre pattes et poussa encore plus fort. Il sortit encore un bon litre de merde liquide qui lui dégoulina le long des cuisses pour former une flaque dans le creux du matelas formé par ses genoux.


- On dirait bien que je vais devoir te nettoyer avec ma langue.


Daniel sourit et baissa sa culotte. On ne voyait presque plus son petit sexe dont juste le petit bout rose émergeait de la merde. Darla se lécha les lèvres et plongea dans l’entrejambe du gamin qui bandait sec. Malheureusement, il était encore trop jeune pour connaître un orgasme productif. Il dût se contenter de jouir à sec.


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SIX MOIS PLUS TARD



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Darla rentra chez elle après avoir fait quelques courses. Luisa regardait un film porno dans sa chambre et se masturbait allègrement, barbouillée de merde des pieds à la tête. Elle continua de plus belle lorsqu’elle aperçût sa mère qui la regardait depuis la porte. Darla mouilla presqu’instantanément en la regardant faire.


- Tu veux un peu d’aide ?


- Oh maman ! Dis ? Tu veux bien ?


En trois mouvements, Darla fût nue et s’allongea sur sa fille, frottant son torse sur celui de Darla pour s’approprier une partie des excréments de la gamine. Puis, elle pivota pour amener son visage à la hauteur de la fente de la gamine dans la position classique du soixante-neuf. Elle se mit à lécher frénétiquement le petit clitoris merdeux tout en fouillant la petite fente avec son nez. Luisa, lui écarta les fesses et appliqua sa bouche sur l’oeillet de Darla. Elle lécha quelques moments puis, appliquant ses lèvres autour de l’anus, elle entama un mouvement de succion. Darla fit un effort et une merde molle dégoulina dans la bouche de la gamine. Elle tenta d’en avaler le plus possible mais la merde sortait trop vite et bientôt, l’excédent se répandit sur son visage. La gamine eût un premier orgasme tandis que Darla continuait à lui sucer le clitoris.


Darla se redressa et ramassant la merde qui avait coulé le long du cou de Luisa, elle en fit une boulette qu’elle écrasa sur le visage de la gamine. Puis, elle lui enfourna dans la bouche. Luisa avalait le repas infect tout en continuant de se masturber. Elle eût un deuxième orgasme presqu’immédiatement. Quand elle reprit ses esprits, sa mère la fit mettre à genou dans le lit et elle s’allongea tout près. Elle ordonna à Luisa de se faire vomir sur elle. Luisa enfonça deux doigts dans sa gorge pendant que Darla se masturbait à toute vitesse. La gamine eût une première nausée qui ne généra qu’un mince filet de bave. La deuxième fois fût la bonne: un généreux jet de vomi brunâtre émergea de sa bouche grande ouverte et atterrit sur le ventre et la poitrine de sa mère. Luisa reprit son souffle mais son estomac n’avait pas terminé. Un deuxième jet fût propulsé sans que Luisa n’eusse à le solliciter. Darla bougea un peu et le reçût dans la figure. Elle explosa à son tour, trois doigts enfoncés profondément dans la chatte.


Cependant, le réflexe nauséeux ne diminua pas et bien que Darla fût satisfaite, Luisa continuait à vomir. Darla se redressa et regarda sa fille. Quand elle eût fini de vomir, Darla l’embrassa goulûment, fouillant les moindres coins de la bouche de Luisa et goûtant le mélange acide et merdique de sa bouche. Elles se retirèrent toutes deux dans la douche pour une toilette bien nécessaire. Luisa vomit encore une fois sous le jet de la douche et Darla lui pissa dessus pour la récompenser.



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Pierre consulta ses messages en rentrant du bureau: il y avait un seul message. Grant Wishes avait laissé un court message leur demandant de passer au bureau le lundi suivant car la commande serait prête. Le regard de Pierre rencontra celui de sa femme et ils se comprirent: il faudrait disposer des gamins durant le week-end. C’était la partie du contrat que Pierre détestait le plus. Wishes leur avait expliqué que les petits clones ne devaient jamais se croiser. Darla le rassura.


- Je vais le faire, tu n’as pas à t’en occuper.


- Merci. Je ne sais pas comment tu fais mais moi, je ne me résous jamais à les éliminer.


- Qu’est-ce que tu dirais si je le faisais ce soir ? Ça nous laisserait le week-end en tête-à-tête ?


- Comme tu veux. Mais j’aimerais autant ne pas voir cela.


- Sors pour la soirée. Quand tu reviendras, ce sera fait.



Pierre ne se le fit pas dire deux fois. Il prit la voiture et ne revint que cinq heures plus tard, complètement éméché. Lorsqu’il quitta la maison, Darla prit une corde et un long couteau de cuisine qu’elle déposa sur le rebord de la baignoire. Elle passa dans sa chambre et enleva ses vêtements. Elle revint dans le couloir et regarda dans la chambre de Luisa. Cette dernière, les écouteurs sur la tête, écoutait de la musique à plein volume. Elle y passerait en deuxième. Daniel, lui, toujours à moitié nu, regardait les images d’une bande dessinée holographique. Darla mit un pied sur le bord du lit, dans un geste obscène d’exhibition.


- Tu viens avec moi dans la salle de bain ?


Le sexe du gamin se mit à durcir. Darla lui sourit et se masturba lentement devant lui. C’était le moment qu’elle préférait, contrairement à son mari. Quand l’érection de Daniel atteint son paroxysme, elle l’amena dans la baignoire et lui banda les mains dans le dos. C’est alors seulement que le gamin vit le couteau. C’est d’ailleurs la dernière chose qu’il vit de sa courte vie.


L’incinérateur domestique ronronna une partie de la nuit.



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Le rendez-vous des Martinez avec le docteur Wishes fût de courte durée. Ils prirent livraison et payèrent comptant, en espèce. Pas question de paiement électronique qui laisse des traces. Wishes déposa la somme dans son coffre-fort personnel. Pour transférer le fric hors du pays, il ferait simplement un colis qu’il posterait à une banque dans un paradis fiscal avec instruction de déposer le colis dans son coffret personnel. Il passa la tête dans l’encadrement de la porte et s’adressa à sa mère:


- Il y a d’autres rendez-vous aujourd’hui ?


- Oui, il y a une augmentation mammaire dans deux heures. J’ai essayé de reporter le rendez-vous mais c’était impossible. Il va falloir patienter. Mais si tu veux, je crois que j’ai un moyen de faire passer le temps.


En disant cela, Mabel sortit un petit cube qui contenait un film holographique. Au sourire sur sa figure, Grant devina que ce n’était pas un film quelconque.


- Il vaut la peine ?


- Une mémé qui se fait prendre par son fils, ses deux petits-fils et deux arrière petits-fils. C’est pas courant, non ?


À la simple mention de cet inceste, Grant sentit sa queue se réveiller. Il sourit à son tour.


- Pars le film, je barre la porte.


Quand il revint dans son bureau, Mabel, nue comme un ver, lui désigna la place à ses côtés. Il se déshabilla lentement et prit place à son tour devant la projection. Au bout de dix minutes, une femme d’une centaine d’années, à peine potable, coiffée en toque, les seins mous pendant, se faisait prendre par tous les trous par trois générations différentes d’hommes. La femme, à quatre pattes dans un lit quelconque, suçait un homme d’une quarantaine d’années, dont le membre bien raide lui percutait le fond de la gorge à chaque fois que le jeunot derrière elle, lui enfonçait sa pine dans le cul. Quand celui qu’elle suçait jouit dans sa bouche, le jeunot qui l’enculait prit sa place. Le cul de la vieille, laissé vacant, laissa filer une merde molle et jaune, ce qui ne semla pas déranger du tout celui qui prit sa place. Il en beurra même sa queue avant de l’enfoncer violemment dans l’anus béant. L’autre, la queue bandante mais souillée de la merde de la vieille, vint se poster devant celle-ci et lui enfonça sa queue dans la bouche. Puis, changeant d’idée, il retira sa queue et entra deux doigts dans la bouche de la vieille. Il les ressortit avec les dentiers de cette dernière qu’il jeta au loin. La vieille ne protesta pas. Il lui donna une petite gifle pour qu’elle ouvre la bouche de nouveau et y réinséra sa queue. La manoeuvre continua. Celui qui l’enculait jouit avant celui qui était sucé. Quand il eût fini de s’épancher dans le cul de l’intéressée, il se retira rapidement, provocant un autre écoulement de merde. Le suivant ramassa la merde et la répandit sur le dos et dans les cheveux blancs de la vieille. Elle quitta la queue qu’elle suçait, tourna la tête vers le nouvel enculeur et lui fit un sourire de sa bouche édentée.


Grant bandait comme un âne lorsque Mabel s’allongea près de lui pour le sucer. En lui caressant le cul, Grant se rendit compte que sa mère s’était fichée un très gros buttplug dans l’anus. Il lui donna une gentille tape sur une fesse.


- Maman, t’es une salope !


Pour toute réponse, Mabel, qui avait la bouche pleine, amena ses mains dans le creux de ses reins en une imitation de bondage, pour bien signifier sa soumission.


- Je devrais tourner un film avec toi comme vedette et le diffuser sur l’ensemble de la planète sur les canaux sexuels.


Mabel accéléra simplement sa pipe en signe d’approbation.



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Pierre invita le président à sa résidence le vendredi suivant. Comme de toute façon, il devait passer près de de la résidence des Martinez pour se rendre à son domicile, le risque qu’il refuse n’était pas bien grand. Le vendredi soir, vers vingt heures, le carillon de la porte retentit.


Le président fût surpris par un tel cadeau. Ce fût Darla qui, avec des gants blancs, lui donna comme raison qu’étant donné son veuvage, il ne pouvait continuer à vivre dans la solitude, qu’on a souvent besoin de quelqu’un à qui parler, etc. Le président repartit une demi-heure plus tard en tenant la main de la gamine.


- Ça, ça va me coûter cher !



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Le lundi, vers treize heures, Pierre demanda à rencontrer le président. Lorsque son assistante lui demanda le motif d’une telle rencontre, Pierre lui répondit que c’était pour des motifs personnels. Comme il était tout de même un échelon trois, la femme lui accorda une entrevue de cinq minutes le lendemain. Le mardi, lorsque Pierre pénétra dans le bureau du président, celui-ci lui lança un regard sombre. Le président savait très bien ce qui l’attendait. Ou du moins, il croyait le savoir.


- Alors, M. Martinez, on vient chercher les dividendes ?


- Si vous permettez, M. le Président, justement, je préférerais qu’il n’y en ait pas, de dividendes ?


Le président fronça les sourcils.


- Comment cela ?


- Si je peux me permettre, M. le Président, tout ça, c’était une idée de ma femme. Mais je ne veux pas lui mettre le blâme sur le dos, au début j’étais d’accord avec elle. Mais maintenant, je trouve que ce n’est plus une bonne idée, j’aimerais mieux grimper les échelons de la compagnie à cause de mes performances que des cadeaux de ma femme. Tout ce que j’aimerais, M. le Président, ce serait de conserver mon emploi et d’avoir une opportunité de vous prouver, à vous et à mon supérieur, ma vraie valeur.



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La rencontre entre le président et Martinez jeta une nouvelle lumière sur la réputation de ce dernier. Son assistante savait que le président avait fait une visite chez les Martinez même si elle n’en connaissait pas le motif. Puis Martinez avait demandé et obtenu une rencontre avec le président durant les heures de travail pour des motifs personnels. Les ragots de l’assistante parvinrent aux oreilles du supérieur de Martinez qui jugea plus prudent de bien noter ce collaborateur qui paraissait proche du président ou du moins, avoir son oreille. La carrière de Martinez progressa à un rythme satisfaisant et il n’eût jamais à regretter sa décision de ne pas faire chanter le grand patron. Darla, qui ignorait tout de cette décision, n’en constata pas moins les effets supposés.


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DEUX ANS PLUS TARD



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La dernière cliente du docteur Wishes venait de sortir du bureau et Mabel se préparait à fermer boutique lorsque son fils l’appela. Elle eût juste le temps de fermer la porte et de mettre le système d’alarme en fonction et entra dans le bureau.


- Tu veux me voir ?


Elle fût étonnée de trouver une jeune fille qui devait avoir quatorze ou quinze ans, assise sur le divan de son fils. La fille était superbe: de longs cheveux blonds encadraient des yeux d’un bleu intense, un petit nez retroussé au-dessus de lèvres déjà pulpeuses. Puis, lorsque le regard descendait plus bas, une belle poitrine proportionnée au corps gracile, une taille mince et des jambes élancées complétaient le portrait. Elle portait une petite robe décolletée qui laissait entrevoir le sillon mammaire et qui arrêtait bien au-dessus du genou. Le tissu très mince était approprié à la saison puisque nous étions en été.


La fille ne portait pas attention aux deux adultes et semblait absorbée par l’action qui se déroulait sur l’écran de la petite télé de poche qu’elle tenait entre ses mains.



- Comment tu la trouves ?


- Elle est magnifique. C’est pour qui, il n’y a plus de rendez-vous aujourd’hui !


- Elle est pour toi, maman ! C’est un cadeau. Ivana, dis bonjour à ta nouvelle maman !


- Bonzour nouvelle maman !


- Bonjour toi.


Mabel prit son fils en aparté:


- Houla ! On dirait que ce n’est pas les grandes orgues au plafond.


- En effet, je te garantis un Q.I. maximum de quatre-vingt-cinq. Comme tu les aimes. Et ce n’est pas tout.


- Comment cela ?


Pour toute réponse, Grant fit lever la fille et lui intima l’ordre de les rejoindre.


- J’ai maximisé son quotient sexuel. Il est vraiment élevé. Même que je dirais que c’est impossible qu’il soit plus haut encore.


- Ça veut dire que ...


- Oui, ça veut dire qu’elle aime tout et que tu peux tout lui faire ou lui faire faire. Absolument tout !


Mabel se lécha les lèvres. Elle caressa les seins de la fille qui, au lieu de se retirer légèrement, bomba le torse vers l’avant pour rendre la caresse plus forte encore.


- Tu permets que je goûte ?


- Mais elle est à toi, tu en fais ce que tu veux.


Mabel se pencha et embrassa la fille à pleine bouche. Ses mains partirent à la découverte des petites fesses rondes et remontèrent ensuite vers les deux seins fermes dont les tétins durcissaient à vue d’oeil. Tandis que la langue de la vieille femme explorait la bouche de la fille et que ses mains trituraient les deux seins, Mabel sentit quelque chose contre sa cuisse. Elle mit fin au baiser et se recula: une bosse ornait le bas de la robe. Intriguée, Mabel, sans autres manières, souleva le bas de la robe et dévoila le bas-ventre de la fille. Une belle grosse queue, libérée de la protection de la robe, pointait maintenant vers Mabel.


- Mais... mais... c’est un garçon !


- Non, non maman ! C’est bien une fille mais c’est aussi un garçon, et tout-à-fait fonctionnel, comme tu peux le constater.


Mabel caressa la queue et en descendant sous la base, découvrit une ouverture: il y avait un vagin, sous la verge et il mouillait.


- Une hermaphrodite ! Fantastique ! Comment tu as fait ?


- Oh maman ! Tu douterais de mes capacités de généticien ?


- Non non ! Mais ça ne doit pas être facile ?


- Ah ça, je ne te le fais pas dire. Mais pour ma petite maman, qu’est-ce que je ne ferais pas ?



- Dis, si on allait à la maison, on pourrait l’essayer, non ?


Grant sourit: les prochaines semaines promettaient de ne pas être monotones.



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QUINZE ANS PLUS TARD


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Un homme entra dans le couloir qui menait au bureau du président. Il croisa l’assistante qui contrôlait l’accès au saint des saints. Il la salua en premier.


- Bonjour !


- Bonjour, M. le Président Martinez !




FIN



LE JAUNE ET LE BRUN

PAR LE MATOU