Collette entra dans l’appartement de sa soeur sans frapper, comme elle le faisait régulièrement trois ou quatre fois par semaine depuis une dizaine d’années. Lucie, attablée devant son café matinal, regarda sa soeur déposer le journal sur la table et la salua.
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Collette, quarante-
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Lucie se leva et sa robe de chambre s’ouvrit, laissant voir qu’elle ne portait rien dessous. C’est à peine si Collette nota la chose. Elles avaient partagé la même chambre durant leur jeunesse chez leurs parents et leur intimité avait été réduite au minimum. Lucie ajusta sa ceinture et referma la robe de chambre sur son petit corps à peine potelé de châtaine. Contrairement à sa soeur, elle affichait des formes généreuses et un visage naïf au milieu duquel trônait des lèvres pleines et sensuelles.
Elle prit un bol et le déposa devant Collette sans lui offrir sucre et lait, sachant bien qu’elle les refuserait.
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Bertrand était le deuxième enfant de Lucie. Un accident à la naissance avait endommagé le cerveau, le privant d’oxygène et Bertrand était demeuré handicapé pour la vie. Lucie et Jean-
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La fille aînée de Lucie avait épousé, à dix-
Les deux femmes continuèrent de causer pendant un moment et finalement, Collette se leva et prit congé de sa soeur.
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Le ton enjoué de Collette désamorça la situation. Lucie retourna chercher Bertrand dans sa chambre.
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Lucie fit couler le bain, vérifia la température de l’eau et retourna chercher Bertrand dans sa chambre. Il avait enlevé son pyjama, comme d’habitude et attendait, debout, les bras le long du corps, nu.
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Bertrand bandait. Sa queue, mince mais longue pour un gamin de son âge, faisait un angle de quarante-
Elle le prit par la main et l’amena dans la salle de bain et le fit asseoir dans la baignoire. Elle le savonna rapidement et le rinça. Elle tira le bouchon et la baignoire se vida. Debout, Bertrand laissa docilement sa mère l’essuyer avec la serviette éponge. Son érection ne diminuait pas. Bof ! se dit Lucie, c’est normal. Je viens de le frictionner. Dans cinq minutes, ça va partir. Elle ramena Bertrand dans sa chambre et lui enfila se vêtements. Son fils reprit son livre d’images et oublia la présence de sa mère.
Lucie retourna dans sa chambre et enfila des shorts et un t-
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Aie ! Lucie n’avait jamais eu ce genre de conversation avec sa fille, non pas qu’elle fut gênée d’en parler, seulement l’occasion ne s’était jamais présentée. Et là, sa fille mariée depuis plus d’un an, venait lui poser ce genre de questions.
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Avant de quitter sa mère, Josiane voulût faire une pause pipi. De la porte de la toilette, elle appela sa mère.
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Bertrand se tenait debout devant la cuvette et tentait de résoudre un problème insoluble: comment pisser dans la cuvette quand on a une érection. Sa queue sortie par la braguette pointait vers le plafond. Quand il la poussait vers le bas, le jet ne voulait pas sortir et s’il la pointait vers le haut, il ferait un dégât et sa mère le gronderait.
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Josiane prit les épaules de Bertrand et le tourna vers la baignoire.
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Incertain d’une telle affirmation, Bertrand tourna la tête et chercha du regard l’approbation maternelle. Lucie lui donna la permission. Bertrand ne se fit pas prier et immédiatement, un puissant jet fusa de sa longue queue pour frapper le mur de l’autre côté de la baignoire. Il pissa un très long moment car c’était la première fois depuis le matin qu’il pouvait se soulager. Quand il eût terminé, Josiane décrocha la douche téléphone et rinça le mur et le bain.
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Lucie prit la main de Bertrand et retraita dans la chambre du gamin. Josiane ne ferma pas la porte de la salle de bain et les deux autres entendirent très bien la miction de la fille aînée.
Le soir venu, Lucie enfila le pyjama à Bertrand. Son érection ne faiblissait pas. Lucie prit une grande décision.
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Elle tenta de se justifier en se disant qu’elle faisait cela pour la santé de Bertrand. Prenant place au pied du lit, elle attira le gamin à elle et lui appuya le dos sur son torse. Elle posa son menton sur l’épaule de Bertrand et avec sa main droite, elle sortit la verge du pyjama et entama une masturbation du gamin. Bertrand semblait aimer cela car bientôt, il ferma les yeux et il émit plusieurs jets de foutre qui s’écrasèrent sur le plancher de la chambre. Lucie alla quérir la serpillière et revint nettoyer. Elle rinça la serpillière et revint pour border Bertrand. Il se tenait toujours debout au pied du lit et... il bandait toujours. Il regarda sa mère.
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Pour ne pas irriter la peau du pénis de Bertrand, Lucie utilisa du lubrifiant. Elle dût le manipuler un peu plus longuement mais lorsqu’il se mit à éjaculer, le flot fût aussi abondant que la première fois. Il regarda sa mère dans les yeux.
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Bertrand hocha la tête.
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Lucie remit un peu de lubrifiant dans sa main et le masturba pour une troisième fois. Cette fois, ce fût nettement plus long et lorsqu’enfin, après avoir joui, l’érection de Bertrand cessa, Lucie fût soulagée. Elle amena le gamin devant la cuvette et il pût faire son pipi du soir normalement. Lucie le regarda pisser longuement et, pour la première fois, elle ne voyait plus le gamin de la même façon.
Elle le mit au lit et, le temps d’éteindre les lumières, lorsqu’elle repassa devant sa chambre cinq minutes plus tard, le gamin dormait. Ce fût Lucie qui eût de la difficulté à s’endormir. Elle n’y parvint qu’après une masturbation qui la laissa honteuse de fantasmer sur son propre fils !
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Collette pénétra dans l’appartement et déposa le journal sur le comptoir. Elle savait bien que Lucie limitait au maximum les sorties et cela la peinait, alors elle en profitait pour lui apporter des petites choses comme des croissants frais, le journal ou du lait pour Bertrand.
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Continuant sur la blague de la veille, Collette lui demanda:
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Alors que Lucie tournait le dos au couloir, Collette y faisait face. Elle parvint à cacher sa surprise lorsqu’elle vit Bertrand, vêtu de sa seule culotte de pyjama, le sexe en érection sorti par la braguette, sortir de sa chambre et se diriger vers la salle de bain.
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Lucie se leva d’un bond et se dirigea vers la salle de bain, suivie de Collette. Quand elles arrivèrent vis-
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Les deux soeurs éclatèrent de rire ensemble. Intrigué, Bertrand vint voir ce qu’il y avait de si drôle dans la cuisine. Son engin toujours sorti, pointant devant lui, il vint s’appuyer sur l’épaule maternelle. Ce fût Collette qui parla.
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Lucie vit que Collette rougissait et qu’elle avait dû faire un énorme effort pour lui demander cela. Elle hésita quelques secondes. Collette rougissait de plus en plus. Elle craignait vraiment d’être allée trop loin cette fois.
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Lucie alla chercher le lubrifiant dans sa chambre et lorsqu’elle revint, elle en mit dans sa main droite.
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Elle plaça Bertrand entre ses cuisses pour qu’il lui tourne le dos et lui lubrifia le pénis. Puis, elle entreprit de le masturber lentement. Bertrand réagit aussitôt instinctivement et se mit à accompagner les gestes de Lucie avec des mouvements des hanches. Collette, la bouche ouverte, fixait la main qui, langoureusement, amenait le gamin vers la félicité. Sans prévenir, Bertrand explosa et le sperme vint choir sur le plancher trois bons mètres plus loin. Sans ouvrir les yeux, il murmura:
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Lucie se tourna vers Collette:
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Cette fois, elle vira au cramoisi. Elle rougissait comme une gamine prise en défaut.
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Elle guida Bertrand vers sa tante et le plaça. Elle tendit le tube à Collette. Cette dernière lubrifia sa main gauche, car elle était gauchère, et elle commença à caresser Bertrand sur le gland, pour ensuite descendre vers la base du pénis et ensuite entreprendre un mouvement de va-
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Lucie regarda sa soeur qui recommençais à rougir.
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De retour chez elle, Collette sortit son petit copain du tiroir et vérifia que les piles étaient chargées. Elle s’étendit dans son lit, enleva sa culotte et se fourra le vibromasseur dans la chatte d’une seule poussée. Elle mit le contact et le machin se mit à vibrer. Son autre main fût utilisée pour triturer ses petits nichons qui commençaient à pendouiller, la gravité faisant son oeuvre avec l’âge. Elle se défonça la chatte pendant un bon cinq minutes avant d’exploser à son tour. Elle lécha le vibro pour le nettoyer, le rangea dans le tiroir et pût enfin retourner à son boulot.
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Le lendemain, dès neuf heures, Collette pénétrait dans l’appartement. Lucie, assise en robe de chambre devant un bol de café bien chaud, accueillit sa soeur.
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Tu sais quoi ? Il dort très bien depuis deux jours, lui qui se réveillait toujours à l’aurore maintenant, il fait la grasse matinée. Je pense que...
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Comme de fait, Bertrand apparût dans le couloir et vint prendre place à la table de cuisine, les cheveux ébouriffés et une grosse bosse dans le pantalon du pyjama. Lucie nota que sa soeur ne pouvait détacher son regard de cette bosse prometteuse. Elle se dit: “Bon ! Elle aime les jeunots et justement, Bertrand a besoin de se détendre, si je peux utiliser cette expression, alors aussi bien en profiter.”
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Dix minutes plus tard, Lucie quittait pour faire les courses. Bertrand, habitué de voir sa tante, ne parût pas traumatisé. Collette attendit que Bertrand termine son petit déjeuner et lui demanda:
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Collette le prit par la main et l’amena à la salle de bain. Elle lui sortit la queue et Bertrand se plaça face au mur, près de la baignoire. Immédiatement, un jet de pisse jaune fusa et vint éclabousser la céramique du mur au dessus de la baignoire. Collette le regardait, à la fois fascinée et excitée. “ Merde ! Je deviens perverse”. Quand le jet diminua de puissance et cessa enfin, Collette posa ses fesses sur le rebord de la baignoire et remonta sa robe tout en écartant les cuisses. Elle attira Bertrand près d’elle.
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Collette empoigna la queue mince et, sortant la langue, vint lécher la dernière petite goutte de pisse qui suintait du méat. Puis, ouvrant la bouche, Collette fit entrer la queue de Bertrand bien au fond et entreprit de lui faire une pipe. Bertrand adora tout de suite la nouvelle expérience. La bouche de Collette était chaude et douce. Instinctivement, Bertrand entama une suite de va-
Quand Bertrand sortit sa queue de la bouche de sa tante, elle demeura bien dure et continuait à pointer fièrement à la verticale. Mais Collette, trop excitée, se releva et, baissant sa petite culotte, reposa ses fesses sur le rebord de la baignoire. Elle releva sa robe jusqu’à la taille. Lentement, elle ramena Bertrand à se rapprocher et le reprit dans sa bouche. Toutefois, sa main gauche descendit vers son clitoris et tout en faisant une autre pipe à son neveu, elle se masturba lentement. La queue de Bertrand entrait complètement dans la bouche de sa tante. Cette dernière venait faire buter son nez sur le ventre du gamin. Elle salivait et la queue de Bertrand devenait luisante.
Elle voulait synchroniser les orgasmes. Elle y parvint presque. Elle décolla quelques secondes avant Bertrand qui s’épancha dans la bouche de sa tante pour un doublé. Quand Lucie revint, les bras chargés de paquets, Collette sirotait innocemment un café à la table alors que Bertrand regardait la télé.
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Lucie nota des changements chez Bertrand: il souriait plus souvent, il semblait moins nerveux et surtout, il appréciait la présence de Collette. Quelques jours plus tard, Collette offrit à sa soeur de s’occuper de Bertrand pour la journée. Elle passerait le prendre vers neuf heures et le ramènerait après dîner. Lucie sauta sur l’occasion.
Collette passa prendre Bertrand à l’heure dite et le ramena chez elle en voiture, même si elle ne demeurait qu’à quelques pâtés de maisons. Bertrand ne semblait pas bander. Déçue, Collette décida de remédier à la situation. Elle traîna le gamin dans sa chambre et enleva sa robe. Aucune réaction ! Elle se mit totalement nue. La bosse tant attendue apparût dans le pantalon. Elle le mit debout et lui enleva son pantalon et son caleçon. Même à genoux, Collette dût se pencher pour le prendre dans sa bouche. Utilisant sa langue et ses lèvres, elle commença une pipe en règle. Collette faisait tournoyer sa langue autour du gland rose et utilisait ses lèvres pour faire friction sur le corps de la queue bien raide. Elle fût récompensée, au bout de quelques minutes, par d’abondants jets de foutre au fond de la gorge. Bertrand ne faiblissait pas, même après ce premier orgasme. Collette décida de faire avancer les choses: elle attira Bertrand près du lit et l’allongea sur le dos puis, elle prit place à ses côtés. Elle l’attira sur elle et, écartant les jambes, elle le guida en elle. D’instinct, Bertrand poussa sa queue dans l’antre de sa tante et y resta un moment.
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Pour toute réponse, Bertrand fit “oui” de la tête et obtempéra. Il fit la manoeuvre désirée mais arrêta ensuite.
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Collette agrippa ses fesses et le guida de cette façon. Bertrand saisit rapidement l’intérêt de la chose et se mit à pistonner gentiment sa tante. Les hanches de sa tante venaient à la rencontre des siennes. Quand Collette approcha de l’orgasme, ses mouvements devinrent désordonnés et elle émit des petits râles de satisfaction qui étonnèrent Bertrand. Il cessa de bouger.
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Bertrand reprit son rythme et au bout de deux minutes, Collette explosa. Bertrand la suivit une minute plus tard. Il s’affaissa sur Collette et reposa sa tête sur son torse. Collette lui caressait les cheveux. Elle sentit qu’il mollissait. Cher Bertrand ! Son premier amant depuis plus d’une décennie. Elle fit rouler Bertrand à ses côtés. Les yeux fermés, il semblait dormir mais Collette voyait bien que ce n’était pas le cas. Sa respiration rapide le trahissait. Ils restèrent ainsi, nus, immobiles, pensifs, pendant plusieurs minutes. Bertrand, tout à sa découverte et Collette, tout à son orgasme libérateur. Ce fût Bertrand qui brisa le silence.
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Collette amena Bertrand jusqu’à la cuvette et prit place sur le rebord de la baignoire, à quelques centimètres de la queue maintenant ramollie. Elle fit signe à son neveu d’y aller et un gros jet de pisse presque translucide gicla dans l’eau de la cuvette. Quand le jet cessa, Collette prit la queue dans sa main et la tira vers sa bouche. Elle lécha la dernière goutte qui pendouillait au bout du méat. La caresse fit rebander Bertrand, comme Collette l’avait espéré.
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Bertrand se fendit d’un grand sourire.
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Cette fois, ils y allèrent plus lentement. Collette lui montra comment caresser se seins, comment les lécher et faire durcir les bouts. Elle guida sa main vers sa chatte et lui montra comment préparer le terrain. Bertrand bandait sec à nouveau. Il s’allongea sur sa tante et cette fois, elle n’eût pas besoin de lui dire quoi faire. Il la pénétra entreprit de la baiser comme elle aimait. Il lui donnait de vigoureux coups de rein, faisant entrer sa pinne bien à fond avant de la ressortir jusqu’au bord et de foncer de nouveau dans la caverne chaude et humide. Collette eût le temps de jouir deux fois avant que Bertrand ne le fasse. Il se laissa ensuite tomber à ses côtés et cinq minutes plus tard, sombrait dans un sommeil réparateur. Collette, au contraire, se sentait plus en forme que jamais. Elle enfila une sortie de bain et se rendit à la cuisine pour se faire une bouffe. Tout en préparant un sandwich, elle chantonnait un air de sa jeunesse. Depuis quand n’avait-
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Cela faisait bien trois jours que Collette n’avait pas rendu visite à sa soeur. Un très lucratif contrat de dernière minute la retenait à la maison. Bertrand se réveilla avec une érection douloureuse. Tante Collette n’étant pas là, il rejoignit sa mère dans le lit. Lucie ne dormait pas mais en profitait pour rêvasser. Elle souleva la couverture et fit une place à Bertrand. Celui-
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Il lui pinça le bout et le fit tourner entre ses doigts. Puis, il retira sa main et la fit descendre sur les fesses de Lucie qu’il caressa tendrement. Puis, passant la main entre les fesses de sa mère, il rejoignit la chatte qui commençait à mouiller. Il sortit sa queue du pyjama et tenta de la prendre par l’arrière, à la paresseuse. Lucie l’aida à s’ajuster et lorsqu’il fût en position, elle donna un coup de rein vers l’arrière pour le faire pénétrer bien à fond. La main de Bertrand repartit vers le sein qu’il malaxa tout en baisant sa mère. Comme c’était bon ! Il donnait de petits coups de reins et Lucie venait à sa rencontre. Privé de sexe depuis trois jours, Bertrand explosa bien avant que Lucie ne jouisse. Il lui remplit la chatte de son jus et s’immobilisa. Mais, il ne débandait pas. Lucie lui laissa le temps de reprendre son souffle puis, avec de subtils mouvements des hanches, l’incita à recommencer son pistonnage. Soulagé de l’urgence, Bertrand prit son temps et ne jouit qu’après Lucie. Cette dernière se cabra et le resserrement des muscles vaginaux fit exploser Bertrand pour une deuxième fois. Lucie en fût quitte pour une douche, le sperme lui coulant sur les cuisses et les jambes. Bertrand affichait encore une demi érection mais Lucie décida de le laisser souffler un peu. Elle lui prépara son petit déjeuner et malgré l’heure matinale, appela sa soeur au téléphone.
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Lucie raccrocha et mit de l’ordre dans la cuisine. Bertrand, dans sa chambre, regardait une bande dessinée. Lucie, dans sa chambre, enleva sa sortie de bain et complètement nue, rejoignit Bertrand.
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Bertrand tourna la tête vers sa mère et lorsqu’il constata qu’elle était nue, sa réaction fût immédiate: la bosse dans son pantalon de pyjama prit de l’ampleur. Lucie sourit.
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Bertrand enleva son pantalon qui, comprimant sa queue, devenait gênant. Lucie mit la main sur l’épaule du gamin pour se diriger vers sa chambre. Bertrand lui passa la main sur les fesses. L’avenir semblait tout à coup plus prometteur.
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BERTRAND
PAR LE MATOU