Juan s’ennuyait ferme. À quinze heures, le soleil tapait dur et générait une humidité suffocante dans ce petit pays tropical d’Amérique Latine. Même les moustiques se tenaient bien peinard à l’ombrage des feuilles. Il se demanda si, par hasard, il ne pourrait pas piquer une tête dans la piscine de la voisine. Il se leva du porche sous lequel il était assis et se dirigea vers la haie mitoyenne entre les deux maisons. Il se dit qu’il avait bien peu de chances de pouvoir se rafraîchir car il crut apercevoir le reflet du soleil sur le chrome de la voiture de la voisine, signe qu’elle n’avait pas quitté la maison. Comme la haie faisait deux mètres de haut, il écarta plutôt les branches et avança la tête le plus en avant possible. La position du soleil par rapport à la maison créait une zone d’ombre de deux mètres à l’arrière. Il y vit la voisine, Dolorès, quarante-six ans, une belle femme un peu forte mais pas grasse, qui se prélassait sur une chaise longue. A sa grande surprise, si elle portait la culotte de son bikini, elle avait enlevé le haut qui gisait sur la pelouse près de la chaise. Elle semblait dormir car elle ne bougeait pas un cil. Juan se rendit compte qu’il bandait. Oh, il avait déjà vu les seins de sa mère une ou deux fois, même ceux de sa soeur cadette, Carla, onze ans et déjà en voie de devenir une femme; ce n’est pas comme s’il n’en n’avait jamais vu mais c’était la première fois qu’il en voyait d’aussi beaux. Ceux de sa mère pendaient lamentablement sur son ventre et se rendaient presque jusqu’à la ceinture alors que ceux de Dolorès tenaient haut et ferme même s’ils étaient gros. Elle avait eu trois enfants, tout comme sa mère, et maintenant, ils étaient partis chacun de leur côté. Elle restait seule presque toute l’année, son mari faisant des affaires aux USA et y demeurant plusieurs mois à la suite.


Dolorès se leva subitement et lui tournant le dos, elle entra dans sa maison par la porte arrière. Juan resta dans la haie pendant cinq minutes encore à l’attendre mais elle ne revint pas. Il quitta son poste d’observation, replaça les branches pour ne pas laisser de traces de son passage et retourna chez lui. Il monta à sa chambre, se déshabilla totalement, ce qui ne fût pas long car il ne portait qu’un short par une pareille température. Il s’allongea sur le lit et entreprit une délicieuse masturbation. Il fermait les yeux et revoyait les gros seins de Dolorès. Il s’imaginait près d’elle, la prenant dans ses bras, lui caressant ses gros seins bronzés, il s’imaginait caresser sa peau mate qui devait être douce comme de la soie. Il rêvait de lui caresser ses belles fesses bulbeuses et de passer sa main entres les cuisses brunies par le soleil et de découvrir les trésors que cachait la petite culotte. A cette pensée, il sentit l’orgasme approcher et il ne se retint pas: il se tourna simplement sur le côté gauche et laissa le sperme fuser plusieurs fois. La majorité des jets atteignirent le mur auquel le lit était adossé. Les derniers, moins puissants, finirent sur la descente de lit chamoisée, ce qui ne laisserait aucune trace. Ouf ! C’était si bon ! Il ne débandait pas mais maintenant, il n’y avait plus urgence. Il se leva, passa dans la salle de bain attenante et en revint avec du papier cul. Il essuya le mur et fit disparaître le tout dans la toilette. Maintenant, il pourrait prendre son temps.


Il enfila son short et sortit de la maison pour vérifier si Dolorès n’avait pas repris son poste. Il fût déçu en apercevant la chaise aussi vide que la piscine. Étant donné l’heure, il se dit qu’elle devait entreprendre la cuisson du repas du soir. Bof ! Ce serait pour une autre fois ! Il retourna chez lui et entra de nouveau dans la maison. Il monta à l’étage malgré la chaleur infernale et pénétra dans la chambre de sa mère. Sur le lit, une brassière et une culotte blanche propre que sa mère se proposait sans doute de porter à son retour du boulot dans deux heures. Il se demanda comment il pourrait bien voir sa mère, Juanita, toute nue. S’il ne pouvait voir Dolorès, il fallait bien se rabattre ailleurs. Alors qu’il pensait à cela, un oiseau se mit à piailler à l’extérieur. Il tourna son regard et chercha l’oiseau dans l’arbre de la cour. Mais oui ! L’arbre !


Il descendit les marches en courant, sortit à l’arrière et grimpa dans l’arbre, ce qui était facile car il y avait des branches basses. Il y avait longtemps que cet arbre ne représentait plus un défi pour lui. Mais il allait faire un sacré bon poste d’observation, surtout que les larges feuilles le cacheraient efficacement. Il y aurait bien les moustiques mais comme on n’a rien pour rien, ce serait un mince prix à payer pour se régaler les yeux. De plus, en changeant de branche, il dégageait une vue imprenable sur la cour arrière de Dolorès. Deux pierres d’un coup ! L’été promettait ! Il bandait de nouveau !


Il devrait toutefois remettre son projet au lendemain car comme il arrive souvent dans ces pays, les nuages envahirent le ciel et une heure plus tard, la pluie se mit de la partie. Il tomba des cordes toute la soirée et une partie de la nuit.


Le lendemain, toujours pas de chance. Dolorès ne se fit pas bronzer. Vers dix-sept heures, il entendit la bicyclette de Carla qui grinçait et sut que l’heure du repas approchait. Sa mère rentra quelques minutes plus tard. Le repas fût expédié rapidement car la chaleur et l’humidité, après l’orage de la veille, coupait l’appétit. Il sortit dans le jardin et grimpa à son poste d’observation. Il fût un peu déçu car l’arbre, assez éloigné de la maison, le laissait avec une vue un peu floue. Il descendit, gagna le sous-sol et ouvrit la vieille malle qui avait appartenue à son grand-père. Il y trouva la paire de jumelles de ce dernier. Il regagna son poste d’observation et fût ravi de constater qu’après avoir ajuster les lentilles, il obtenait une vue parfaite sur la chambre maternelle. Il dut attendre une bonne trentaine de minutes avant de voir Juanita entrer dans la chambre et refermer la porte.


Elle retira son chemisier et sa brassière. Juan fût étonné de constater à quel point il voyait clairement tout l’intérieur de la chambre. Par contre, il n’entendait rien: de l’image mais pas de son. Puis, Juanita lui tourna le dos et enleva sa jupe qu’elle balança sur le lit. Son sexe lui faisait mal tellement il bandait. Bien caché dans l’arbre et certain que personne ne pouvait le voir, il le sortit du short et le caressa doucement. Pas question de jouir immédiatement. Il reporta son attention sur l’action dans la chambre.


Juanita portait une petite culotte trop étroite pour contenir ses fesses. Ces dernières débordaient de chaque côté et accentuaient ainsi les rondeurs du postérieur. Il demeura bouche bée lorsqu’il vit la porte de la chambre s’ouvrir et sa soeur entrer tout en parlant à sa mère. Au lieu de se couvrir, Juanita, tout en répondant à sa fille, crocheta l’élastique de la petite culotte avec ses pouces et l’enleva. La mâchoire inférieure de Juan descendirent de plusieurs centimètres. Puis, il se reprit ! Bof ! Entre filles, c’est normal. Lui aussi, à l’école, il se déshabillait devant les autres garçons pour prendre une douche après un match de foot et ça ne portait pas à conséquences. Il n’allait pas tarder à changer d’opinion.


Sa mère prit place sur le bord du pied du lit: elle lui faisait ainsi face. À son étonnement, sa mère n’avait aucun poil autour du sexe. Aussi lisse qu’un bébé. Il avait déjà vu des seins mais c’était la première fois qu’il voyait une chatte.


Juan s’assura que les feuilles le cachaient correctement car il était directement dans la ligne de vision de sa mère. Carla vint se placer devant cette dernière. Déçu, Juan ne voyait plus que le dos de sa petite soeur. Cela changea lorsque Juanita passa la main autour de la taille de sa fille et la fit asseoir sur sa cuisse gauche. Le lit étant haut, les pieds de Carla ne touchaient plus terre. De sa main droite, Juanita se mit à défaire les boutons de la robe de sa fille, lentement, en commençant par le haut. Bon Dieu ! Qu’est-ce qui se passe dans cette chambre ? Juanita dit quelques mots à Carla qui ferma le poing et porta son pouce à sa bouche qu’elle semait à sucer comme un bébé. Juanita eût un grand sourire et caressa de la main gauche, les cheveux de Carla.


Juanita continuât de défaire les boutons de la robe de sa fille. Quand elle fût rendue à la taille, elle écarta le haut de la robe, faisant apparaître les petits tétons pointus de Carla. Elle pencha la tête et entrouvrant les lèvres, elle se mit à sucer le téton gauche. Ce fût trop pour Juan qui, sans se toucher, atteignit l’orgasme. Plusieurs jets de foutre firent un arc et atteignirent le pied de l’arbre. Merde ! Mais à cet âge, on a de la ressource. Juan ne débandait pas ! Il reprit les jumelles et se concentra de nouveau sur l’action dans la chambre.


Sa mère continuait de sucer mais elle avait changé de téton. Elle suçait maintenant celui de droite et elle devait se tordre le cou pour y arriver. Il vit Carla caresser le gros sein droit de sa mère que sa petite menotte ne parvenait pas à contenir. Après plusieurs suçons, Juanita reprit le déshabillage de sa fille. Quand tous les boutons furent sortis de leur boutonnières respectives, Juanita retira la robe de Carla. Cette dernière reprit position sur les cuisses de sa mère. Elle portait une petite culotte blanche très sage qui lui couvrait entièrement les fesses et tout l’entrejambe.


Juanita passât la main sur le petit on, par-dessus la culotte, plusieurs fois tout en bécotant le cou de sa fille. Puis, Juan la vit lever la tête et chuchoter quelque chose à l’oreille de Carla. Cette dernière répondit par l’affirmative en souriant et en remettant son pouce dans sa bouche. Tout en demeurant sur la cuisse gauche de sa mère, Juan vit Carla écarter les jambes et bientôt, il aperçu distinctement le fond de la culotte de sa soeur devenir plus foncé et des gouttes qui tombaient sur le plancher. Sa soeur pissait sur sa mère ! Heureusement que des ligaments retenaient la mâchoire inférieure de Juan sans cela, il aurait dû descendre pour la ramasser par terre tellement elle fit une chute !


Au lieu de se fâcher, Juanita sourit et cette fois, elle embrassa Carla à pleine bouche tout en lui caressant la culotte souillée d’urine. Le baiser durât longtemps et quand il prit fin, Juan vit sa mère porter sa main à sa bouche et sucer ses doigts dégoulinants de la pisse de sa soeur.


Juanita se laissa tomber sur le dos sur le lit et Juan vit Carla enjamber le corps de sa mère et se laisser doucement choir le cul sur le visage de Juanita tout en gardant sa culotte mouillée de pisse. Il ne voyait pas ce que sa mère faisait mais par contre, il voyait très bien son on rasé de près. Carla passait sa main sur le haut du on maternel tout en prenant appui sur l’autre main. Puis, après quelques minutes de ce manège, elle forma un fuseau de ses doigts et entreprit de pénétrer la grande ouverture du on de Juanita. Elle y parvint sans difficultés apparentes et se mit à pistonner ce on qui ne demandait que cela. Juanita leva les jambes et attrapa ses chevilles avec les mains tout en les écartant au maximum. De ce fait, son on se trouva à pivoter vers le haut et Juan voyait maintenant distinctement la main de Carla qui pistonnait le on maternel.


Sa mère ne devait pas chômer car de temps en temps, Carla fermait les yeux et semblait apprécier les manoeuvres de sa mère sur sa chatte ou sur sa culotte, Juan ne pouvait dire. Juanita tira encore plus fort sur ses chevilles et cela redressa tellement son bassin que maintenant, Carla se retrouvait complètement assise sur le visage de sa mère. Elle accéléra le mouvement de sa main et après quelques minutes, Juan vit le corps de sa mère se cabrer. Elle jouissait sous les coups de mains de sa fille. Sa jouissance dura plusieurs secondes. Carla se contentait maintenant de laisser sa main profondément enfouie dans le vagin de sa mère. Puis, doucement, lentement afin de ne pas la blesser, elle retirât sa main, maintenant couverte d’un glaire blanchâtre. Avec étonnement, Juan vit sa mère prendre la main de Carla et se mettre à la nettoyer avec sa langue. Carla se releva debout dans le lit et enleva sa culotte souillée que par jeu, elle laissa tomber sur le visage de sa mère. Nullement fâchée, cette dernière ramassa la culotte en boule et la fourra totalement dans sa bouche. Carla se tenait debout au-dessus du visage de sa mère. Elle fléchit les genoux et se laissa descendre jusqu’à ce que sa petite fente soit au-dessus de la bouche de sa mère. Dans cette position, elle tournait le dos à Juan qui ne pouvait plus voir que les maigres fesses de sa soeur. Quand elle fût bien ajustée, Juanita retira la culotte de sa bouche et attira sa fille par les hanches pour que son petit sexe entre en contact avec sa bouche gourmande. Malheureusement, pendant plusieurs minutes, Juan ne put que deviner l’action plutôt que de la voir. À un moment donné, il vit Carla se cabrer et ses fesses vibrer: elle venait de jouir à son tour sous la langue habile de sa mère. Elle se laissa glisser le long su corps de Juanita et posa sa tête sur le sein pendouillard. Juan se demandait si elles remettraient cela.


Après une dizaine de minutes, Juanita donna une petite tape sur les fesses de sa fille. Cette dernière se leva et prenant position sur le côté du lit, face à sa mère qui prenait position de l’autre côté, il vit sa mère se mettre à pisser sur le lit dont les couvertures avaient été retirées et sur lequel il ne restait que le drap. Bientôt, Carla, tout en rigolant, rejoignit le mouvement et son petit jet de pisse accompagna celui beaucoup plus conséquent de sa mère. Quand ce fût terminé, Juanita enleva le drap sous lequel il y avait une alaise et fourra le drap en boule dans la chute à linge. Elles installèrent un drap propre et effacèrent ainsi toutes les traces de leurs activités précédentes. Comme on était mercredi, jour de lessive, le drap souillé serait de nouveau propre dans quelques minutes.


Vêtu de son unique short et bandant sec, Juan ne pouvait descendre de l’arbre dans cet état. Il se résigna à se masturber et à jouir dans cette position devenue inconfortable. Il descendit ensuite de son perchoir et se faufila par le terrain vague arrière vers la rue voisine. Il attendit un bon moment avant de faire semblant de revenir à la maison. Fraîchement douchée, sa mère lisait une revue au salon alors que sa soeur écoutait la télé. Sa mère lui offrit un jus de fruit et s’installa avec lui à la table de la cuisine. Ils parlèrent de choses et d’autres et bientôt, Carla vint les rejoindre car l’émission à la télé semblait soporifique. Juan devait faire des efforts pour ne pas fixer la grosse poitrine tombante de sa mère qu’aucune brassière ne soutenait. Juanita avait boutonné le haut du pyjama jusqu’au dernier bouton, ne laissant aucune opportunité à Juan d’apercevoir le moindre bout de peau de la poitrine maternelle. Quand la chaleur et l’humidité de la journée cédèrent le pas à la fraîcheur de la soirée, les trois se retirèrent dans leurs chambres respectives. Juan posa l’oreille sur la porte de sa chambre afin de détecter d’éventuels mouvements suspects. Il dut se résigner car bientôt, il entendit sa mère ronfler doucement. C’était fini pour aujourd’hui. Il s’allongea sur le lit et recommença une deuxième masturbation qui quelques minutes plus tard, fit une tache conséquente sur le mur. Il ne l’essuya pas !


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Le lendemain, Juan retourna à son poste dans l’arbre. Il y vit Dolorès qui se faisait bronzer mais cette fois, elle n’avait pas enlevé son bikini. Dommage ! Mais il fût vraiment déçu quand il constatât que rien ne se passait dans la chambre maternelle. Juanita avait changé de vêtements comme prévu mais elle était aussitôt ressorti. Juan entendit la voiture démarrer. Il descendit de l’arbre et entrant dans la maison, il trouva un mot sur la table de cuisine. La mère et la fille étaient parties faire du shopping et ne reviendraient que dans trois heures. Pas de chance !


Le lendemain, il pleuvait encore des cordes. Pas question de grimper à l’arbre. Il tonnait et sa mère leur interdisait formellement de sortir de la maison quand le tonnerre sévissait. Quand sa mère revint du boulot, la pluie avait trempé sa blouse et sa jupe mais elle ne se changea pas immédiatement. Elle fit le repas ainsi accoutrée. De toute façon, si son chemisier devenait légèrement translucide sous l’effet de l’eau, la brassière préservait l’intimité de Juanita. Après le repas, elle monta se changer et Carla demeura sagement au salon avec Juan. Pas encore ce soir.


Finalement, Juan dut patienter jusqu’au mercredi suivant avant d’avoir droit à une nouvelle séance érotique diront certains, pornographique, diront d’autres. Fidèle à son poste d’observation, après avoir simulé un départ pour jouer au foot avec les copains, Juan, équipé des jumelles, eût droit à une variante de la semaine précédente. Il crût rêver lorsqu'il vit sa soeur entrer dans la chambre de sa mère vêtue comme un bébé. Elle portait un bonnet blanc sur la tête, une grosse couche recouvrait le bas de son ventre et ses fesses. le tout était complété par des bas blancs courts et des petits souliers blancs, exactement comme sont vêtus les bébés sur des photos familiales.


Sa mère se tenait dans l’angle de la pièce, hors de sa vue mais il devina facilement ce qui se passait quand il vit des éclairs lumineux illuminer la pièces. Carla prenait des poses, le pouce dans le bouche. Puis, elle se coucha sur le lit et Juanita défit les agrafes de la couche pour exposer la petite connasse de sa fille. elle prit encore plusieurs photos avec l’appareil numérique. Il vit clairement Carla pisser dans la couche et elle dut se retenir car le jet ne dura pas longtemps, assez toutefois pour que Juanita prenne plusieurs photos. Puis, il vit sa mère se dévêtir totalement et tendre l’appareil à Carla. Elle se posta au pied de sa fille et se mit à lui pisser sur le ventre, l’entrejambe et le torse pendant que Carla la mitraillait avec l’appareil. Quand les batteries s’épuisèrent, Carla déposa l’appareil sur la table de nuit et Juanita s’allongea sur le lit. Elle dit quelque chose à sa fille et cette dernière se positionna à genoux contre sa mère. Juanita écarta les jambes et Carla entreprit de fister brutalement sa mère. Juan vit clairement Juanita lever les jambes en prenant appui sur les pieds et inciter sa fille à y aller carrément, ce que Carla ne se fit pas dire deux fois. Juanita manipulait ses grosses tétines et atteint rapidement l’orgasme. Elle ouvrit la bouche pour crier mais n’émit aucun son. Quand la jouissance perdit de la force, elle retomba sur le lit, dans sa pisse. Carla retira sa main doucement. Elle s’allongea sur sa mère et au mouvement de leurs têtes, Juan comprit qu’elles s’embrassaient. Les mains de Juanita caressaient les petites fesses de sa fille et bientôt, un doigt fureteur fit son chemin dans le petit anus de Carla. Cette dernière semblait apprécier le geste car ses baisers redoublèrent de force et maintenant, elle dévorait carrément la bouche de sa mère. Juanita retira son doigt du petit cul et tendit la main vers le tiroir de la table de nuit.


Juan la vit retirer un tube et en répandre une partie du contenu sur son doigt. Puis, elle pressa le tube sur l’anus de la fillette et, toujours avec ses jumelles, Juan vit qu’elle en mettait un peu sur l’œillet rose de sa petite soeur. Elle déposa le tube et reprit la pénétration avec son doigt maintenant lubrifié. Elle vrillait le doigt pour le faire pénétrer de plus en plus profondément. Quand elle fût rendue à la dernière jointure, elle laissât son doigt immobile pendant quelques secondes. Puis, lentement, elle entreprit de pomper le doigt. D’abord lentement, elle accéléra ensuite le mouvement. Carla n’embrassait plus sa mère. Sa tête, rejetée vers le haut montrait qu’elle appréciait hautement la manoeuvre de sa mère. Après quelques minutes, Juan la vit se cabrer avec des mouvements désordonnés. Elle jouissait ! Juanita retira lentement son doigt. Carla voulût bouger mais sa mère la retint sur elle avec le bras gauche. Juan comprit pourquoi Carla voulait s’enlever de là: elle chiait sur l’entrejambe de sa mère. Quand la petite merde eût finit sa course, alors seulement Juanita la relâcha. Carla roula sur le côté. Juan vit sa mère prendre le petit étron avec sa main gauche maintenant libérée et le porter à son nez. Carla ne disait mot et tout en se frottant le clito, elle observait sa mère. Cette dernière sortit la langue et léchât la merde brunâtre de sa fille. Cette dernière luit dit quelque chose que Juan n’entendit évidemment pas. Juanita ouvrit la bouche et, toujours étendue sur le dos, fit pénétrer la majeure partie de l’étron dans sa bouche tout en se frottant le clitoris avec son doigt graissé à la fois du contenu du tube et d’un peu de la merde de Carla.


C’était trop pour Juan; il n’eût pas le temps de sortir sa queue et il jouit dans son pantalon. Honteux, il se demanda comment il pourrait bien rentrer à la maison maintenant qu’une grande tache ornait le devant de sa culotte. On verrait cela plus tard. Il ajusta de nouveau les jumelles juste à temps pour voir sa mère mâchouiller l’étron et jouir juste au moment de l’avaler. Il faillit jouir à nouveau mais il dut se résigner à se frotter la queue pour repartir à nouveau et agrandir la tache sur la culotte courte. Quelles salopes tout de même !


Il trouva la solution en marchant dans le terrain vague: il était supposé jouer au foot. Eh bien au foot, parfois, on se salit ! Il trouva une flaque d’eau et se laissât choir dedans puis il s’y roulât jusqu’à ce que la boue dissimule parfaitement la tache importune. Il courut jusqu’à la maison pour être en sueur comme le serait n’importe quel joueur après une partie. Il prit un air piteux quand sa mère le vit. A sa surprise, elle ne le gronda pas mais lui dit simplement de se changer et de mettre sa culotte dans la chute à linge car elle allait débuter la lessive bientôt.


Après une douche rapide, Juan s’allongea sur son lit et se mit à réfléchir. Sa mère prenait des photos avec un appareil numérique mais il n’y avait pas d’ordinateur à la maison. Que pouvait-elle faire de ces photos ? On peut toujours faire imprimer des photos dans des centres spécialisés mais certainement pas ce genre de photos. La question demeura irrésolue et fatigué, Juan sombrât dans le sommeil. Juanita n’eût pas le courage de le réveiller et le laissât dormir ainsi, vêtu d’un short propre.


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Juan eût de la veine car les deux mercredis suivants, la pluie lui laissât le chemin libre vers son poste d’observation. Le premier mercredi, il eût droit à une légère variante de la petite fille qui suce son pouce et fait pipi sur la cuisse de sa mère. Le second mercredi, il fit chou blanc car Juanita et sa fille disparurent dans la salle de bain attenante à la chambre maternelle. Comme il n’y avait pas de porte qui donnait sur le couloir, il n’y avait absolument aucune possibilité d’épier les activités.


Le troisième mercredi, un orage avait débuté au milieu de la journée et ne semblait pas vouloir faiblir quand sa mère revint du boulot. Déçu, Juan se retira au sous-sol après le repas, assuré que sa présence allait gâcher la soirée des deux femmes. Il fouilla dans la malle du grand-père et en sortit un vieil album de photos. Il y avait plusieurs personnes sur de vieilles photos jaunies dont il ne connaissait même pas les noms. Sur les photos plus récentes, il découvrit des photos de sa mère et de sa tante encore jeunes filles. Carla ressemblait étrangement à sa tante Esméralda. Évidemment, dans la famille aussi proche, ce doit être fréquent. Il trouva aussi que sa grand-mère était une très jolie femme du temps de sa jeunesse. les photos étaient très belles et très claires, rien de surprenant car son grand-père était photographe professionnel de son métier.


Quand il eût fini de regarder les photos, il fouilla dans la malle pour voir ce qui s’y trouvait. Tout à fait dans le fond, il trouva un coffret en bois fermé à clé. Bof ! N’importe quel gamin pouvait ouvrir ce genre de serrure avec un petit tournevis. Peut-être son grand-père y avait-il caché quelque chose de valeur ?


Le coffret fût ouvert en trente secondes tellement la serrure était rudimentaire. A son étonnement, Juan y trouva une importante quantité de photos de femmes nues. Sur le dessus, sa grand-mère, alors qu’elle ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans, posait, assise sur une chaise, les jambes écartées et dévoilant son intimité rasée de près. Sur une autre photo, toujours assise sur la même chaise, sa grand-mère suçait la queue de son grand-père qui tenait un long fil dans sa main. Évidemment, il n’y avait pas de minuteurs dans ce temps-là ! Alors, il devait utiliser un déclencheur à distance.


Juan trouva encore plusieurs photos de cet ordre. Puis, sous la dernière photo libre, il y avait une liasse de photos entourée d’un élastique. Juan enleva l’élastique et vit sa grand-mère, toujours nue, affichant une rondeur certaine du ventre qui indiquait une maternité avancée. Elle avait posé debout, assise, de profil, à quatre pattes dans le lit et sur la dernière, encore avec la queue du grand-père dans la bouche. Juan remit l’élastique et prit la liasse suivante. Sa grand-mère. toujours nue, posait entre deux fillettes nues elles aussi. Juan reconnût sa mère et sa tante Esméralda. Sur une des photos, sa grand-mère, assise sur une chaise, tenait ses deux filles assises sur ses cuisses. Les deux gamines ne devaient pas avoir plus de quatre et six ans. Sur les deux photos suivantes, la grand-mère embrassait à pleine bouche les deux gamines pendant que ces deux dernières lui caressaient les tétons qui semblaient plus pendants que sur les premières photos. Juan bandait sérieusement. Il sortit sa queue par la fermeture éclair et se masturba en regardant cette photo. Quand il fût à une fraction de seconde de l’orgasme, il lâchât sa queue et regarda le sperme jaillir du méat. Il partit comme une flèche vers le haut et allât s’écraser sur le mur distant de deux mètres. Décidément, dans cette famille, il ne semblait n’y en avoir que pour les femelles. Juan remit les photos à leur place, le coffret au fond de la malle et remontât au rez-de-chaussée après avoir refermer la malle. Il se retrouva seul.


Il regarda à l’avant de la maison et l’automobile familiale s’y trouvait toujours. S’il n’y avait personne au rez-de-chaussée, elles devaient être à l’étage. Non ! Allaient-elles tout de même faire leurs choses même s’il était dans la maison ? Il grimpa les marches en faisant bien attention de ne pas les faire grincer. Pour aller à sa chambre, il devait passer devant la chambre de sa mère qui était située en face de la chambre de Carla. Au bout du couloir, sa chambre sur la gauche était attenante à la salle de bain. Arrivé devant la porte de la chambre de sa mère, il entendit la voix de cette dernière. Il se penchât et tentât de regarder par le trou de la serrure. Comme la porte s situait à l’extrême droite de la chambre, il ne voyait que la commode dans laquelle sa mère rangeait son linge de corps. Il n’apercevait même pas le pied du lit. Déçu, il se redressa et progressa silencieusement jusqu’à la salle de bain. Il prit place dans le bain, posa son derrière sur le rebord de la baignoire et colla son oreille sur le mur. Il faillit tomber à la renverse tellement le son lui parvenait clairement. Il fût déçu quand il entendit les paroles suivantes:


- Alors, il te va bien, ton nouveau pyjama ?


- Ah oui alors ! Il est confortable et j’aime bien la couleur en plus. Encore merci maman !


- C’est normal, voyons. Tes nouveaux souliers te font encore mal aux pieds ?


- Non, non ! J’ai marché pendant deux heures et maintenant, ils sont à mon pied.


- Parfait, je suis heureuse que ça te plaise.


- Tu sais maman....


- Quoi ?


- J’aimerais bien te remercier maintenant.


- Maintenant ? Tu ne me dois rien... et puis... Juan est ici !


- Bof ! Il joue dans le sous-sol ! Et puis moi, j’aime bien quand je te dois un gros tas de mercis ! Hi hi !!


La queue de Juan prit de la consistance ! Il se leva et referma la porte de la salle de bains sans faire un bruit. Il mit le crochet de sécurité. Il retourna coller son oreille au mur.


- Tu veux jouer à quel jeu aujourd’hui ?


C’était la voix de sa mère.


- Non, c’est à toi à décider. Je veux être toute à toi ce soir. On fait tout ce que tu voudras, absolument tout !


Juan eût l’impression que c’était encore meilleur d’entendre que de voir. Il avait l’impression d’être une petite souris dans la chambre et que les deux femmes ne pouvaient le voir.


- Alors, c’est d’accord ! On fait des photos ! Des tas de photos, toutes plus salées les unes que les autres. Tu veux bien ?


- J’ai dit: tout ce que tu voudras. Tu as des piles neuves ?


- Oui, j’en ai acheté deux paquets hier. Monte sur le lit et fait moi un beau strip-tease bien langoureux. Ne bouge pas trop vite pour que les photos ne soient pas floues.


- Oui maman !


- Maintenant, appelle-moi Maîtresse !


- Hi hi ! Oui, Maîtresse !


Juan n’entendit plus que des phrases comme:” tourne à gauche un peu !” ou “plus haut le bras”, des phrases qui ne voulaient rien dire pour quelqu’un qui ne voyait pas l’action. Après plusieurs minutes, il entendit sa mère lâcher un “Merde ! “ sonore.


- Qu’est-ce qu’il y a, Maîtresse ?


- Le deuxième paquet de piles vient de rendre l’âme.


- Tu crois qu’il y en a assez ?


- Oui, ça devrait aller.


Assez ? Assez pour quoi ? Pour les imprimer ? Mais où pouvait-elle les imprimer ? Juan ne comprenait pas la partie photo de ce qui se passait entre sa mère et sa soeur.


- Regarde ce que j’ai pour toi !


- Oh ! Une belle couche toute neuve ! Merci Maîtresse !


- N’oublie pas ! Du moment que tu la portes, tu as maintenant trois ans et tu te comportes comme tel.


- Oui Maîtresse ! Tu vas faire un tas de cochonneries à ta petite fille pas sage, Maîtresse ?


- Oui, tout un tas de saletés ! Elle aime bien les saletés, hein, ma petite fille ?


Juan entendit la voix de sa soeur changer et prendre le ton d’une toute jeune gamine.


- Hi hi ! Oui Maîtreche !


Elle devait avoir le pouce dans la bouche pour se mettre à chuinter ainsi.


Juan entendit les fermetures de velcro grincer. Juanita venait d’ouvrir la couche. Il n’entendit plus rien pendant plusieurs secondes jusqu’à ce que sa mère dise:


- Voilà ! C’est confortable mon bébé ?


- Voui maman !


- Maîtresse, n’oublie pas: c’est Maîtresse !


- Voui Maîtrèche !


- Gentille petite cochonne ! Viens sur Maîtresse !


Il entendit sa soeur bouger car la couche externe de la couche craquait sous les mouvements.


- Tiens regarde Maîtresse. Elle enlève sa brassière pour que sa petite cochonne puisse téter ses gros tétons pleins de lait.


- Voui voui ! Merchi Maîtrèche !


Il se passât un long moment en silence. À ce moment, Juan regrettât de ne pouvoir observer. Puis, sa mère brisa le silence.


- Mais...mais ! Ma petite cochonne a pissé dans sa couche !


- Hi hi ! Pardon Maîtrèche ! Z’avais trop envie !


Sa mère prit une voix faussement plaignante.


- Ah la la ! On n’a jamais fini avec les enfants. Tiens, reste là, je vais voir si j’ai une autre couche.


Il entendit sa mère faire grincer le lit mais elle dût pas aller bien loin car elle n’ouvrit pas la porte de la salle de bain privée de la chambre des maîtres. Il dut se passer deux bonnes minutes en silence total.


- Bon ! C’est bien ma veine ! Il ne reste plus de couches. Mais dis donc, ça pue ici ! Tu n’aurais pas fait caca dans ta couche, toi ?


- Hi hi ! Z’avais trop envie !


- Et en plus, tu t’es assise sur ton derrière ! Maintenant, il doit être plein de merde. Petite cochonne ! Et je n’ai rien sous la main pour nettoyer tout cela. Aie ! Aie ! Il va falloir que je me débrouille avec les moyens du bord. Allez ! Allonge-toi à plat ventre que je constate les dégâts.


Pour une fois, Juan devinât correctement ce qui allait suivre. Elle va, se dit-il, lui bouffer le cul et lécher sa merde ! Quelle salope tout de même ! Il prit la précaution d’enlever son short. Sa queue, raide comme un morceau de bois, pointait agressivement vers le plafond. Il remit l’oreille sur le mur.


- Oh ! Maîtrèche ! Tu as du caca sur le visage !


Sa mère ne répondit pas mais Juan entendit clairement les lapements de cette dernière qui devait être toute à son affaire. Il imagina le visage barbouillé de merde de sa mère. Deux ou trois caresses à sa verge suffirent à la faire décoller. Le foutre monta tout droit en l’air et retomba sur sa queue. Un tir parfaitement vertical. Quand ce fût terminé, sa queue mollit à peine. La phrase suivante de sa mère lui fit regagner toute sa rigidité.


- Tu en as encore ?


- Voui Maîtrèche !


- Alors fais le directement dans ma bouche, on va gagner du temps.


Il entendit les gémissements de sa soeur, signe qu’elle faisait des efforts pour satisfaire les exigences incestueuses de sa mère. Il y eût un bref silence puis...


- Bon Dieu de merde ! Je jouiiiiiiiiiiis !


Prudent, Juan nettoya le foutre avec un papier mouchoir, remit son short et quitta silencieusement les lieux. Il n’osait même pas imaginer ce qui lui arriverait si sa mère le surprenait à les espionner ainsi.



*******************



Deux jours plus tard, on était un vendredi, sa mère alla reconduire Carla chez sa tante Esméralda où elle allait passer le week-end. Le repas du soir fût bien terne en l'absence de Carla. Elle n’était pas grosse mais elle mettait de la vie. Vers vingt heures, Juan montât dans sa chambre. Il prit une de ses bandes dessinées favorites et se mit à la feuilleter, sans vraiment la lire. Il entendit sa mère monter dans sa chambre, ouvrir et fermer ses tiroirs. Elle devait faire du ménage. Au bout de quelques minutes, il entendit un Paf ! très fort. Il se leva pour regarder ce que sa mère avait échapper par terre. Quand il mit le nez dans le porte, il ne vit qu’une grosse paire de fesses nues. Sa mère lui tournait le dos et ramassait les tessons de sa gaffe.


- Alors, la vue te plaît ?


- Pardon, je ne savais pas...


- Ne t’excuse pas ! Je te demande si la vue te plaît ?


- Oui ! Euh ! Non ! Enfin... je veux dire...


- Ben ! C’est oui ou c’est non ?


- Oui oui ! Tu es très jolie maman.


Sa mère se releva et lui fit face, les mains pleine de tessons d’une poterie qui avait connu des jours meilleurs.


- Et ce côté-ci, tu aimes aussi ?


- Ah oui ! Tu... tu... tu es magnifique maman.


- Bon, je vois que tu ne mens pas !


Les yeux de Juanita descendirent lentement vers le bas et se fixèrent au niveau de la braguette de Juan. Sa queue faisait bomber le short et affichait les pensées réelles du gamin.


Elle approcha du gamin et le frôlât sans le toucher. Surpris, Juan se demandait ce qui se passait quand il la vit se diriger tout bonnement vers la poubelle et y déposer les tessons. Elle revint derrière lui et le ceintura gentiment par derrière. Elle appuya doucement ses gros seins dans le dos du gamin et flatta gentiment la bosse du short. Quand elle vit que le gamin ne bougeait pas, elle lui prit les mains et les lui fit poser sur ses grosses fesses. Elle eût ainsi le chemin libre pour crocheter son short et le faire descendre sur ses cuisses d’où ensuite, il tomba en chute libre sur ses pieds, il n’eût qu’à le soulever pour l’envoyer valdinguer à l’autre bout de la pièce. Juanita, par dessus l’épaule du gamin, admira l’érection enfantine. Elle se lécha les lèvres.


Elle quitta sa position pour passer le gamin et sans lui demander son avis, elle se mit à genoux devant lui. Il ouvrit la bouche pour poser une question. Dans un geste mondialement reconnu pour inciter au silence, elle mit l’index en travers de ses lèvres et lui sourit. Sans utiliser les mains, elle engouffra le jeune membre entre ses lèvres gourmandes et entama une fellation digne d’une professionnelle. Du premier coup, elle s’enfonça sur la jeune queue et son nez vint percuter le bas-ventre du jeunot. Elle n’eût pas à performer bien longtemps car au bout d’une minute, Juan émit un râle, signe précurseur d’un aboutissement prochain. Il voulût avertir sa mère mais Juanita lui plaqua un doigt sur les lèvres et fonça de plus belle sur la jeune verge, accélérant le mouvement au maximum de ses capacités. Instinctivement, Juan attrapa la nuque de sa mère et lui enfonça la queue jusqu’au gosier trois fois de suite. Puis, il explosa ! Un million d’étoiles passèrent devant ses yeux tandis qu’il arrosait la gorge de Juanita. Après plusieurs jets de foutre, la tension diminua et il recommença à respirer, tout comme sa mère. Quand il retira sa queue, Juanita se lécha les lèvres comme une chatte qui sort la tête de son délicieux bol de lait. Un peu à son étonnement, elle vit que Juan ne faiblissait pas. Sa queue, toujours raide, pointait à l’horizontale, au lieu de la verticale. C’était le seul signe qu’il venait de jouir. Elle gardait sa rigidité. Juanita n’avait pas d’expérience avec les gamins. Avec les hommes mûrs, oui; avec les femmes mûres aussi et les gamines, certainement. Juan était son premier fruit vert masculin, son initiation aux jeunes mâles.


Juanita s’allongea sur le lit, Juan à ses côtés. Tout en discutant, elle manipulait distraitement la jeune verge encore dure.


- C’était bon, n’est-ce pas ?


- Ça oui alors ! Tu aimes cela toi aussi maman ?


- Oui ! Tu goûtes très bon ! Mais j’aime aussi beaucoup d’autres choses aussi.


Juan ne put s’empêcher de penser: Eh comment ! Il eût la sagesse de se la fermer cependant. Juanita continuait de manipuler la jeune queue qui avait maintenant retrouver toute sa vigueur; quand elle la laissait choir, la queue de Juan touchait son ventre et rebondissait à un angle de trente degrés par rapport à l’horizontale. Juanita se lécha involontairement les lèvres.


- Comme quoi ? demanda Juan


- Bah, je peux bien te le dire: j’adorerais me faire enculer par ton merveilleux membre viril.


Le compliment fit rougir Juan.


- Tout ce que tu veux, maman.


Juanita ouvrit le tiroir de la table de nuit et prit le tube que Juan avait déjà aperçu. Elle en appliqua une bonne dose sur le bout et le premier tiers de la queue complètement rigide. Puis, elle se tourna sur le ventre et en appliqua un peu sur son oeillet qui tirait sur le brun. Elle déposa le tube sur la table de nuit, appuya sa tête sur l’oreiller, écarta ses plantureuses fesses avec les mains.


- Viens sur moi et plante-moi ta belle pinne dans le cul. Ne prend pas de précautions ! Vas-y d’un seul coup jusqu’au fond ! Viole-moi comme si j’étais une pute !


Juan n’ayant aucune expérience avec les putes, il s’en tint aux indications précédentes. Il écarta les jambes maternelles avec les genoux et aligna sa queue avec le petit trou en utilisant sa main gauche. Quand il fût satisfait, un mouvement du bassin fit entrer la queue de deux ou trois centimètres. À ce moment, Juanita donna un coup de reins vers l’arrière et finit de s’empaler sur la verge filiale. Merveilleux ! C’était chaud, moelleux et serré tout à la fois.


- Vas-y mon homme ! Bourre-moi comme une salope ! Défonce-moi ! N’aie pas peur de me faire mal, je suis ouverte de ce côté. J’ai l’habitude et j’aime ça !


Juan ne se le fit pas dire deux fois. Il se mit à enculer sa mère à grands coups de reins vicieux. Il ne prenait pas appui sur les avant-bras et laissait son poids reposer sur sa mère. Quel doux fardeau ! Constatant cela, Juanita se souleva et invita Juan à attraper ses grosses mamelles molles, ce qu’il fit avec bonheur. Il martelait les fesses de Juanita de plus en plus fort et produisait ainsi un “clac-clac” des plus stimulant. Elle eût juste le temps de jouir avant que fiston ne relâche sa deuxième série de jets de foutre dans le colon maternel. Il retomba, épuisé, sur le dos de Juanita. Cette fois, elle sentit sa queue qui débandait. Quand elle sortit du cul de Juanita, on entendit clairement un petit “plop” juteux. Juan roulât sur le côté afin de délivrer sa mère de son poids. Elle leva la tête et lui donna un baiser.


- T’es le meilleur ! T’es mon homme maintenant !


Juan rougit de plaisir mais la fatigue et surtout la descente d’émotions, eurent raison de sa résistance. Il sommeillât pendant une trentaine de minutes, la joue appuyée sur le gros seins droit maternel. Quand il ouvrit les yeux, sa mère aussi sommeillait. Il sourit et se leva: la soif le tiraillait.


- Tu veux un verre d’eau maman ?


- Non, merci ! Je n’ai pas soif.


Il se leva pour aller boire au robinet de la salle de bain des maîtres. Il but un grand verre d’eau, il en profita aussi pour replacer ses cheveux que la chevauchée précédente avait envoyé valser de tous les côtés. Pendant qu’il faisait cela, Juanita entra dans la petite salle et prit place sur le siège de la cuvette, sans autres formalités. Immédiatement, il entendit le puissant jet d’urine qui frappait la porcelaine. Illico presto, sa queue redressa la tête, au grand plaisir de sa mère. Gêné, il constata que sa pénétration anale précédente avait laissé des traces de matières fécales évidentes lorsque la peau quittait le gland. Juanita agrippa la queue qui refaisait surface et l’engouffra dans sa bouche. Juan voulût protester mais Juanita lui fit signe de se taire. Elle lécha amoureusement l’organe souillé afin de le nettoyer. Ce faisant, il regagna son volume optimal et Juanita entreprit une deuxième fellation. Cette fois, elle dut opérer plus longtemps. Elle fit signe au gamin de prendre l’arrière de sa tête avec les mains et de coordonner la cadence qui lui plaisait. Au lieu de faire bouger la tête de sa mère, il la maintint en position et se mit à lui baiser la gueule. Il mit du temps, beaucoup de temps mais enfin, il parvint à jouir dans sa bouche. Juanita lui fit un grand sourire, toute heureuse d’avoir réussi un triplé. Elle recueillit les dernières gouttes du sperme incestueux sur sa langue et le goûta longtemps avant de se résigner à avaler. Juan quitta la salle de bains et s’effondra sur le lit. Sa mère tardait à le rejoindre et il comprit pourquoi lorsqu’il entendit un “plouf” caractéristique: elle chiait. Il regarda sa queue qui bandait à nouveau seulement à imaginer ce qui se passait de l’autre côté de la porte. Prudemment, il se tourna sur le ventre pour cacher cette nouvelle érection et il sombra dans un profond sommeil dans le lit maternel.



*****************


Le soleil était déjà haut lorsqu’il se réveilla le lendemain. Il entendit Juanita qui brassait des casseroles au rez-de-chaussée. Il trouva son short dans un coin de la pièce, l’enfila et descendit pour découvrir la raison de ce vacarme. Quand il vit l’heure, onze heures trente, il comprit que sa mère préparait le déjeuner. Il avait dormi presque douze heures. Mais maintenant, il tenait la forme. Quand Juanita se pencha pour mettre un plat au four, il sentit sa queue durcir seulement à regarder le plantureux cul maternel. Sentant son regard, Juanita lui sourit et lui proposa:


- On attend après le repas, si tu veux bien ?


- Comme tu veux maman.


Durant la journée et la soirée du samedi, il baisât sa mère trois fois avec sa queue et une fois, avec sa main. Les poches sous les yeux de Juanita grandissaient à vue d’oeil. Le lendemain, un dimanche, Juanita ne prit même pas la peine de passer des vêtements. Elle cuisinât le petit déjeuner nue tellement il faisait chaud. Juan la remercia en l’enculant sur le coin de la table. Après le déjeuner, ils firent route pour aller chercher Carla chez sa tante. Ils dînèrent chez Esméralda et les deux soeurs papotèrent pendant un bon moment avant que Juanita décide qu’il était temps de prendre le chemin du retour. Sans rechigner, Carla prit place sur le siège arrière de la voiture et s’endormit après une dizaine de kilomètres.


- On dirait bien qu’elle a son compte.


- Oui, ma soeur est très exigeante.


- Ohhh! Je comprend.


Ils gardèrent le silence jusqu’à la maison. Juanita prit Carla dans ses bras et la transporta à l’intérieur, sans la réveiller. Elle grimpa l’escalier et la déposa dans son lit. Elle lui enleva ses souliers et la laissa dormir. Elle quitta la chambre de la gamine en refermant la porte derrière elle.


Dans la cuisine, Juan se versa un verre de jus d’orange. Juanita en prit un aussi. Ils prirent position de chaque côté de la table.


- Dis maman, je peux te dire quelque chose ?


- Quoi ?


- En fouillant dans la malle de grand-père, j’ai trouvé des photos et ...


- Oui oui, je sais. Ce sont des vieilles photos de famille.


- Non, pas ces photos-là, celles dans le coffret.


- Oh ! Ces photos ! Ben hum... c’est ton grand-père qui les a prises.


- Je m’en doutais bien. Elles sont jolies !


- Et payantes aussi !


- Comment cela, payantes ?


- Les photos avec des petites filles nues se vendent très cher. Ton grand-père en vendaient pour arrondir les fins de mois, cela mettait du beurre sur les épinards.


- Ça ne te dérangeait pas ?


- J’étais trop jeune pour comprendre et quand j’ai été assez vieille pour comprendre, il m’a expliqué que ces photos étaient vendues aux USA et en Europe, alors ce n’était pas bien grave. Personne d’ici ne pouvait les voir.


- Quel prix valaient-elles ?


- Je crois qu’elles se vendaient vingt mille pesos pour un paquet de cent photos. Maintenant, elles se vendent cinquante mille pesos.


Juan releva l’allusion.


- Tu en vends beaucoup ?


- Un paquet de cent tous les mois.


- Ben dis donc ! Ça fait beaucoup de fric.


- Qu’est-ce que tu crois ? Que nous pouvions avoir notre train de vie avec mon minable salaire de secrétaire ? Je dépense la moitié de l’argent et je met l’autre moitié de côté au cas où il y aurait des jours moins fortunés.


- Je comprend maintenant ! Tu te fais une réserve pour plus tard. Carla le sait que tu vends les photos ?


- Elle s’en doute mais dans le fond, elle s’en fout. Elle aime bien poser pour moi.


- Comment tu fais pour les imprimer ?


- Je ne les imprime pas: je les charge sur mon ordinateur au bureau et je les envoie par email à mon client qui, en retour, me poste un mandat. Ensuite, je les efface de la carte mémoire et du disque dur de l’ordinateur. Ni vu ni connu !


Juan approuva la combine de sa mère. Juanita lui demanda:


- On va se coucher ?


- Mais je ne suis pas fatigué, moi !


Elle eût un grand sourire.


- Moi non plus !!!



**************************


Le lendemain matin, Juanita quitta tôt pour le boulot, bien avant que les enfants ne s’éveillent. Juan fût le premier debout et il se concocta un petit déjeuner. Pendant qu’il mangeait, Carla descendit l’escalier, les cheveux ébouriffés. Elle prit un bol de céréales et sans un mot, prit place devant Juan. Quand ils eurent terminé, Carla remonta dans sa chambre et Juan sortit prendre l’air à l’arrière de la maison, s’étendre dans la zone d’ombragée. Il sommeilla car quand il ouvrit les yeux, l’ombre s’était déplacée. Il entendit la porte grincer et sa soeur le rejoignit. Elle passa devant lui, les deux mains sur les hanches.


- Comment tu trouves mon nouveau bikini ?


Juan resta bouche bée. Comment pouvait-on appeler bikini deux bouts de ficelles dont celle du haut parvenait difficilement à cacher deux minuscules tétines brunâtres et celle du bas était si mince qu’elle entrait dans la fente du petit on et laissait totalement à découvert les lèvres. En arrière, elle ne parvenait pas à dissimuler le petit oeillet. Carla mit ses mains derrière la tête et fit très lentement un tour complet sur elle-même pour faire admirer le résultat à un Juan qui bandait déjà. Elle qui, encore la semaine dernière, portait un maillot très sage, d’une seule pièce et qui ne découvrait que les bras et les cuisses, devenait une invitation au viol. La partie de la peau anciennement recouverte par le maillot était beaucoup plus pâle que le reste. On aurait dit une fille beige sur laquelle on avait transplanté des membres bronzés. Juan n’eût qu’un mot.


- Fantastique !!


- Merci !


Carla tira une chaise longue au soleil. Elle déplia la chaise et s’y étendit. Juan endura son érection pendant un long moment avant qu’elle ne faiblisse. Vers treize heures, les deux enfants entendirent la portière d’une auto se refermer. Juan fit le tour de la maison par l’extérieur et vit sa mère refermer le coffre de la voiture.


- Salut maman ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Il y a un problème ?


- Salut toi ! Non non tout va bien mais au boulot, il y a une panne électrique alors le temps que le technicien répare, la journée sera foutue, alors j’ai fait un détour par les magasins et me voilà. Qu’est-ce que vous étiez en train de faire ?


- Bof ! On lézardait au soleil. Carla portait son bikini tout neuf.


- Tu le trouves joli ?


- Oui et... ce qu’il y a dessous aussi !


Galant, Juan débarrassa sa mère des paquets et ils passèrent la porte de la maison.


- Tu as mangé, maman ?


- Oui, j’ai pris une bouchée en chemin. Regarde ce que j’ai trouvé dans un magasin de prêts sur gages !


Juanita sortit une boite contenant une camera MiniDV presque neuve.


- Wow ! Comment ça fonctionne ?


- Le vendeur m’a dit que c’était facile, il y a une fonction automatique et on n’a pas besoin de régler quoi que ce soit, tout se fait automatiquement; on pèse sur le bouton de mise en marche et ça filme.


- Hem... c’est pour ce que je pense.


- Ouais ! Une cassette d’une heure rapporte cent mille pesos si tu acceptes de baiser ta soeur devant la camera. Va la chercher, SVP.


Juan sortit de la maison par la porte arrière et approcha de Carla. Cette dernière, allongée sur le ventre semblait dormir. La petite ficelle entre ses fesses ne cachait rien et Juan se dit qu’il la baiserait bien, camera ou pas. Alors, si chaque cassette rapportait cent mille pesos, tant qu’à lui, ils seraient millionnaires à la fin de la semaine. Il lui toucha l’épaule.


- Réveille-toi, maman est de retour.


Carla cligna des yeux et suivit son frère dans la maison. Elle n’avait pas replacé le haut de son bikini et on voyait ses deux tétines foncées. Juanita lui expliqua son projet et Carla fut enthousiasmée.


- Attendez-moi dehors à l’arrière. J’ai remarqué que la voiture de la voisine n’est pas dans l’entrée alors on pourra s’amuser dans le jardin. Juanita monta à l’étage pendant que les enfants sortaient mettre un peu d’ordre dans les meubles de jardin. Juanita revint vêtue d’un bikini guère plus grand que celui de sa fille et que Juan n’avait jamais vu.


- Voilà comment on va procéder: comme la camera enregistre le son, je ne pourrai pas vous donner des instructions quand elle tournera. Alors, on va faire une répétition pendant laquelle je ne prendrai que des photos et ensuite, quand vous saurez exactement quoi faire, on tournera le film. On va se mettre au soleil, les images seront meilleures. Carla, tu vas tenir le boyau d’arrosage et faire semblant d’arroser les fleurs. Toi Juan, tu arrives par derrière elle et tu lui prends les seins pendant que tu lui donnes des baisers dans le cou. Ensuite, tu lui passes la main sur la chatte et toi, Carla, tu fermes les yeux comme si tu aimais cela. Compris ?


- Compris !


- Compris !


- Carla, prend le boyau, on commence. Toi, Juan, met toi nu !


La pression n’était pas très forte et l’eau sortait à peine du boyau. Juan, nu comme un ver, marcha lentement vers Carla. Il bandait sec et son sexe venait frapper sur son ventre lorsqu’il faisait un pas. Il ne regardait pas vers la camera mais visait l’arrière de la tête de sa soeur. Clic ! ... Clic ! .... Clic ! Quand il fût suffisamment proche, il passât ses mains devant le petits seins naissants de sa soeur et les couvrit de ses paumes. Lentement, Carla tourna la tête et lui sourit . Clic ! ... Clic ! ... Juanita mitraillait les deux enfants tout en leur donnant des conseils pour ne cacher aucune partie de leur visage. Elle fit même quelques gros plans du sexe de Juan.


- On arrête tout !


- Pourquoi ?


- Viens ici, Juan.


- Quoi ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal ?


- Rien, tout est presque parfait. Viens avec moi dans la maison. Tu as trop de poils autour de la queue, je vais les raser. Carla, attends-nous. On revient dans cinq minutes.


- Oui maman.


Juanita fit disparaître les poils disgracieux et lorsqu’ils revinrent, Carla ne put s’empêcher de sourire à Juan.


- Mon grand frère est devenu mon petit frère. Ha ha !!


- Attends que je te la mette dans le cul, tu vas voir si je suis si petit que ça !!


Le sourire de Carla fondit comme neige au soleil. Juanita effaça les photos déjà prises et on recommença. Puis, on passa à la deuxième scène. Juanita donna ses instructions:


- Avant de baiser, Carla, tu vas pisser en tenant le string de côté et ensuite, tu te penches en avant et tu laisses ton frère te la mettre bien au fond.


- Je pisse aussi maman ?


- Tu es capable de pisser quand tu bandes ?


- Oui, pas de problème.


- Alors dans le film seulement, pas pour les photos, compris ?


- Oui !


- Oui !


La séance de photos fut rapidement expédiée et on passa à la séance filmée. Juan fit son entrée derrière Carla et lui saisit ses petites tétines et les malaxa doucement tout en lui bécotant le cou. Puis, quand il voulût la pencher en avant pour la lui mettre par derrière, Carla lui demanda un moment. Elle projeta son bassin en avant et, tassant la cordelette qui obstruait son méat urinaire avec le doigt, elle se mit à pisser. Juan vint à ses côtés et, les mains sur les hanches, il l’imita. Comme il bandait ferme, le jet de pisse fit un arc vers le haut avant de retomber deux mètres plus loin. Les deux enfants se regardaient en souriant. Quand ils eurent terminé, Juan se plaça de nouveau derrière sa soeur. Elle écarta les jambes et Juan dut fléchir les genoux pour ajuster la hauteur. Quand il fût bien aligné, il poussa les hanches vers l’avant et pénétra la petite fente d’un seul coup jusqu’au fond. Carla eût un rejet de la tête et se lécha les lèvres. Juan la besogna rapidement et en moins d’une minute, il jouit dans la petite connasse. Il eût la présence d’esprit de se retirer pour bien montrer les jets de foutre. Il termina en aspergeant les petites fesses maigres de sa soeur. Comme il ne débandait pas, il rentra de nouveau son membre dans le fourreau et entama une deuxième séance qui dura un peu plus longtemps. Quand il fût sur le point de jouir une deuxième fois, il se retira, tourna sa soeur et sans se toucher, se mit à lui expédier de puissants jets de sperme sur les seins et le visage. Carla ouvrit la bouche et essaya d’en attraper un peu avec sa langue. Alors seulement, la queue de Juan perdit un peu de vigueur. Juanita arrêta la camera.


- C’était parfait les enfants ! On ne gagnera pas un oscar mais cette cassette va nous rapporter un beau tas de fric. Bon ! C’est pas tout, ça ! Juan, repose-toi ! Et toi, ma petite salope, viens avec moi dans le lit, tu m’as donné le goût de jouir moi aussi.


Juan regarda les deux femelles rentrer dans la maison. Il prit la chaise longue et y reposa sa jeune carcasse maintenant imberbe.


En montant l’escalier, Juanita demanda à Carla:


- J’espère que tu as aussi envie de chier ?


- Pour toi, j’ai toujours envie, ma petite maman.


- Alors sers-toi de ma bouche comme toilette pendant que tu me défonceras la chatte avec ta main. Et n’y vas pas de main morte, je suis toute échauffée déjà.


-Dis, tu m,en garderas un morceau ? J’ai envie de goûter mon caca !


- Seulement après que tu m’auras fait jouir.


Carla suivait sa mère dans l’escalier et elle remarqua que la culotte du bikini maternel se gonflait déjà.


- Eh maman ! Tu chies déjà ?


- Oui et tu me feras bouffer celle-là aussi.


Juanita s’agenouilla près du lit. Tirant sur l’élastique de la culotte, Carla y plongea la main et la ressortit avec un gros morceau de merde qu’elle fourra dans la bouche de sa mère.


- Bouffe ta merde, grosse salope ! Avale tout et ne laisse rien.


Pendant que Juanita mâchait ses excréments, Carla replongea la main dans la culotte merdeuse et en ressortit un autre morceau qu’elle utilisa pour barbouiller le visage de Juanita. Elle décida de baisser la culotte de bikini de sa mère jusqu’au sol. C’est alors qu’elle vit poindre un autre étron, aplati car Juanita ne pouvait écarter les jambes. Elle eût juste le temps de mettre sa main et de ramasser l’offrande. Elle la ramenât devant le visage de Juanita et le lui passa sous le nez.


- Tiens, encore un étron puant pour la grosse truie !


Juanita déglutit et ouvrit la bouche de nouveau. Carla y fourra le dernier étron et le poussa pour qu’il entre complètement et maintint sa main sur la bouche de sa mère pour qu’elle ne le recrache pas. Pendant qu’elle se masturbait frénétiquement, Juanita parvint à tout avaler. Quand ce fût fait, elle prit place dans le lit et Carla vint s’asseoir sur son visage, Elle semait à pousser et un petit étron tout mignon fit son chemin dans la bouche de sa mère. Pendant qu’elle le mâchait, Carla se pencha en avant et fourra sa menotte dans le gros on déjà lubrifié de sa mère et entreprit de la fister. Ce ne fût pas long que Juanita atteignit une jouissance terrible qui la fit crier de bonheur. En tournant la tête, Carla vit Juan qui se tenait sur le seuil de la porte de la chambre. Elle lui sourit.


- Qu’est-ce que tu veux que je te dise: elle aime ça, jouer à la cuvette !


Juan devait aimer regarder car il bandait à nouveau. Juanita poussa Carla de côté et se précipita dans la salle de bain attenante. Elle se mit à genoux devant la cuvette et se mit à dégueuler la merde avalée précédemment. Carla s’étendit dans le lit et se masturba jusqu’à l’orgasme pendant que Juan suivait sa mère et se masturbait lui aussi pendant qu’elle vomissait tripes et boyaux. Il jouit abondamment sur son dos et dans ses cheveux.


- On va se faire des tas de fric, soeurette !


Il s’allongea près de sa soeur, indifférent à la merde qui l’entourait. Il se demanda combien de fois il pourrait jouir en une seule journée. Ce serait la prochaine expérience.



FIN




JUAN

PAR LE MATOU