Au centre de la petite pièce, une gamine de douze ans, blonde comme les blés, les cheveux mi-longs, un torse mince sous la peau duquel on voyait les côtes, des petits seins à peine naissants, jouait, assise par terre. Elle était presque nue, ne portant qu’une petite culotte blanche. Cependant, il fallait le savoir, que la culotte avait déjà été blanche car elle ne l’était plus du tout. Elle avait chié dans sa culotte volontairement. Elle avait fait des efforts inouïs pour vider ses intestins de leur contenu. La merde avait commencé par faire une bosse dans le fond de la culotte puis, par la suite devenant plus liquide, elle avait fui par les côtés de l’élastique un peu lâche de la cuisse, avait remonté le long des fesses maigres pour jaillir par la ceinture un peu trop grande aussi. La fillette, à l’aide de sa main, avait ensuite fait remonter le contenu sur le devant de la culotte jusqu’à ce que sa chatte et son bas-ventre impubère en soit couverts. Elle avait ramassé ce qui était tombé par terre et l’avait étendu sur son ventre et ses seins. Comme elle manquait de matière, elle avait plongé la main dans sa culotte pour en ressortit avec une grosse poignée de merde molle qu’elle avait ensuite étendu sur tout son visage, évitant seulement les yeux. Puis, elle en avait pris une autre poignée et avait réitéré l’opération sur chacune des jambes si bien que maintenant, on ne voyait presque plus sa peau. Il n’y avait que le dos, entre les omoplates, qui affichait encore la peau rosée de la pré-adolescente. Elle trouva la solution: elle enleva sa culotte, la posa à même le sol et, tel un animal joueur, s’étendit sur le dos sur la culotte souillée et se tortilla pour bien couvrir le peu de peau qui demeurait vierge de souillure. Quand elle eût terminé, elle se redressa, sourit puis se mit à lécher ses doigts, un par un. Quand tous les doigts furent bien propres, elle ramassa sa culotte et la posa sur sa tête de telle façon que le fond de la culotte vint couvrir son visage. Elle s’allongea de nouveau sur le dos et entreprit une lente masturbation à deux mains, deux doigts de la main gauche dans sa petite fente et un doigt de la main droite sur le clitoris minuscule. Elle continua ainsi pendant quelques minutes puis, elle releva le bas de la culotte pour libérer sa bouche qu’elle ouvrit bien grand: c’était le signal.


Sur un divan adossé au mur de la pièce, un homme et une femme, totalement nus, se masturbant lentement, observaient le spectacle. Au signal, la femme, qui était aussi la mère biologique de la gamine, se leva et vint se placer au-dessus du minois enfantin et, pliant légèrement les genoux et utilisant le mains pour écarter ses fesses, se mit à chier d’abondance sur le visage et dans la bouche de la gamine. C’était d’autant plus facile qu’elle se retenait déjà depuis un moment. Le laxatif faisait son effet et si au début, la merde semblait consistante, elle se fit ensuite de plus en plus molle. Étouffant sous cet orage merdique, les pieds de la gamine battaient l’air mais pour rien au monde elle n’aurait songé à échapper à ce si doux supplice. Ses doigts reprirent leurs activités et eurent bientôt le succès espéré: la gamine, tout en mâchant l’infect repas, se mit à jouir. Son corps fit un arc gracieux lorsqu’elle prit appui sur ses pieds et ses épaules, miaulant son bonheur. Puis, elle retomba sur le dos, alanguie. La femme la souleva par les épaules et la fit mettre à quatre pattes. Elle se plaça elle-même à quatre pattes devant la gamine puis, lui empoignant l’arrière de la tête, la tira vers sa chatte, lui intimant l’ordre de sucer et de lécher tout en gardant la culotte merdique sur la tête.


L’homme, le père biologique, se leva à son tour et vint s’agenouiller derrière la gamine. Il bandait sec, sa grosse queue faisant un élégant et discret arc vers le haut. Il écarta les fesses de la gamine d’une main et de l’autre, pointa son engin menaçant sur l’œillet maculé de la fillette. D’une violente poussée, il l’enfonça dans le cul de la gamine qui, sous l’effet d’une telle force, enfonça son visage dans le cul de la femme devant elle. Une fois entré bien à fond, il s’immobilisa quelques secondes, le temps de positionner les genoux, puis il entreprit une puissante enculade sous les gémissements de l’enfants et de la mère qui bénéficiait indirectement de l’action de son époux. A chacun des coups de butoir, le ventre de l’homme se tachait de la merde de la gamine. Il poussait la tête de cette dernière profondément dans les fesses de sa femme. Bientôt, cette dernière ne pût se retenir et explosa de jouissance. L’homme accéléra les coups de reins et en fit autant dans l’intestin de la petite blonde. La femme se releva et, pas ingrate pour deux sous, se retourna pour faire face à la gamine. Elle écarta les jambes et se mit à lui pisser abondamment sur le visage, le torse et la tête. Le jet jaune, abondant, eût pour effet de diluer légèrement la merde qui commençait à sécher sur la tête de la gamine. Quand elle eût terminé, ce fût au tour de l’homme qui fit signe à sa compagne de prendre sa queue encore à demi-érigée et de continuer la besogne avec sa pisse. Vicieusement, la femme dirigea le jet vers les yeux de la fillette. Puis, elle visa le dessus de la tête et enfin, la petite fente. L’homme tenait une sérieuse envie et la pisse coulât pendant quarante-cinq secondes. Quand le flot cessa enfin, l’homme embrassa tendrement la femme et ils se dirigèrent vers l’escalier qui menait au rez-de-chaussée, laissant la gamine derrière eux. Cette dernière se pencha vers le sol et se mit à laper la pisse qu’elle avait laisser tomber précédemment. Elle ramassa les petits morceaux de merde en un petits tas près de la marre d’urine et entreprit de dîner. Un morceau de merde, une lapée de pisse, un morceau de merde, une lapée de pisse, etc. Quand elle eût nettoyé de son mieux le plancher de plastique, elle s’étendit sur le côté, enfonça trois doigts de sa main gauche dans son anus déjà bien ouvert, se masturbant furieusement de l’autre main. Elle connût deux orgasmes extraordinaires avant de sombrer dans le sommeil pour quelques heures. Elle se réveilla vers deux heures du matin et dût se masturber une nouvelle fois pour enfin retrouver le sommeil réparateur bien nécessaire après de tels excès.



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Le lendemain matin, l’homme et la femme prenait le petit déjeuner, assis un en face de l’autre dans la pièce servant de cuisine. Ce fût l’homme qui parla en premier:


- Ben dis donc ! Il a fait du bon boulot , le doc.


La femme, les cheveux en broussaille, vêtue d’un peignoir trop court, dévoilant le bas de ses fesses, lui répondit:


- Oui ! Ça, on ne peut pas dire le contraire, Il connaît son affaire, ce généticien. C’est une amie qui me l’avait chaudement recommandé. Il a été banni de la profession pour manquement à la déontologie mais ça n’enlève rien à ses qualités professionnelles.


- En plus, il peut nous faire un enfant de douze ans en quatre mois, c’est ça que je trouve intéressant. Pas besoin d’attendre, on passe la commande et hop ! livraison à domicile. En plus, on peut avoir presque toutes les options que l’on désire. Il faut y mettre le prix mais ça vaut la peine. Il ne peut vraiment pas améliorer l’intelligence ?


- Non, il parait que pour l’intelligence, il faut y mettre le temps. Le cerveau possède sa vitesse intrinsèque de développement et on ne peut tricher de ce côté. On peut demander les principales caractéristiques physiques et les principaux traits de caractère, comme le masochisme ou, dans notre cas, la scatophilie mais en ce qui concerne l’intelligence, pas de triche.


- Et ta copine, tu sais ce qu’elle aime commander ?


- Ouais ! Elle aime les jeunes bandeurs, pas plus de treize ans qui peuvent jouir au moins huit fois par jour. Elle les prend toujours deux par deux. Elle aime se faire remplir de foutre tous les jours.


- Tu lui as dit pour notre fille ?


- Oui, mais les filles, ce n’est pas son truc, elle est strictement hétéro.


- Il n’y a pas à dire, la génétique a fait bien des progrès depuis trois cents ans. Combien reste-t-il d’espérance de vie à la nôtre ?


- Bof ! Environ un an. Dans huit mois, j’irai donner un autre ovule et on se fera refaire une autre fille, si tu veux.


- Comment ça, “si je veux” ? C’est toi, ma gouine de sœur, qui désire toujours des filles.


La femme leva la tête de son assiette et eût un sourire carnassier.


- Ne viens pas me dire que ça te déplaît ?


L’homme lui rendit son sourire:


- Non ! Bien sûr que non !


- Fais moi penser: à notre prochaine visite, je veux faire augmenter mes seins. C’est une retouche génétique mineure et ça ne coûte pas tellement cher.


- Bof ! Le fric, c’est pas un problème, sœurette. Moi, je fais grossir ma queue, si tu veux.


- Meuh non ! Elle est parfaite, ta queue ! Pas trop petite, pas trop grosse. Elle put tirer quatre coups par jours, c’est suffisant pour une gouine comme moi.


- Finalement, t’es pas si gouine que ça !


- Allez, va nourrir la gamine, si tu ne veux pas qu’elle crève de faim avant la date de péremption. Tiens, voilà deux tranches de pain.


- C’est tout ?


- Tu ne veux quand même pas en faire une grosse vache ?


L’homme descendit l’escalier du sous-sol jusqu’à la sixième marche et lança les deux tranches de pain à la fillette allongée sur le sol. Il se dit qu’il faudrait bien la nettoyer avant que la merde de la veille ne durcisse vraiment et qu’elle devienne difficile à enlever. Quand il se retourna pour remonter l’escalier, sa sœur, debout sur le palier, le peignoir entrouvert sur ses seins déjà énormes et sa chatte sans poil, cadeau du généticien pour les remercier de leur dernier achat chez lui, lui fit oublier cette fugace pensée. Il se mit à bander. Il grimpa les marches deux par deux et arrivé devant sa sœur, lui passa la main sur la chatte. Elle ouvrit la bouche et il en profita pour l’embrasser sauvagement.


- Tu as quelque chose pour ta petite sœur ?


- Ouais ! Quelque chose de solide comme de la merde, qui pue comme de la merde et qui goûte la merde.


La femme enleva son peignoir en route vers la salle d’eau. Elle se mit à genoux dans la baignoire et son frère vint se placer devant elle, lui tournant le dos. Elle colla la bouche à son anus et attendit l’offrande tant espérée depuis son réveil. Quand le gros étron brun eût franchi le seuil de quelques centimètres, la femme le coupa sec d’un coup de dents. Elle le mâcha rapidement et avala goulûment. Elle se replaça sur l’anus et cueillit le reste de l’étron et cette fois, prit son temps pour le mâcher. Elle en avala la plus grande partie mais en conserva un peu entre les joues et les dents. Elle se releva et, posant les mains sur le rebord de la baignoire, fit offrande de son généreux cul à son frère. Celui-ci ne se fit pas prier et encula sa sœur puissamment jusqu’à la garde. Ses coups de reins secouèrent sa sœur pendant quelques minutes, puis, sentant que le rythme du frère augmentait, elle sût que sa jouissance arrivait. Les volumineux jets de foutre inondèrent son gros colon. Quand se fût terminé, il lui claqua une fesse gentiment:


- Bon ! C’est pas tout, ça ! Faut que j’aille au boulot, moi.


La femme s’allongea dans la baignoire qui se remplissait d’eau chaude à la température exacte désirée. Elle se masturba jusqu’à l’orgasme. Dans le sous-sol, la gamine dévora les deux tranches de pain mais comme on ne lui avait rien donné à boire, elle s’allongea sur le dos, projeta ses genoux vers ses épaules et appuyant les deux mains au creux des reins pour se soutenir ainsi dans la position , dans un geste qui démontrait une expérience indéniable de la chose, elle se mit à pisser un jet qui fit un arc gracieux d’une trentaine de centimètres dans les airs avant de retomber directement dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte.


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- Bonjour, ici la clinique du docteur Wishes !


- Bonjour, est-ce que je pourrais avoir un rendez-vous rapidement, s.v.p. ?


- Est-ce que vous avez déjà un dossier avec nous ?


- Oui, mon nom est Estella Baron, je suis la sœur de l’industriel Baron.


Le nom ne sembla pas impressionner la téléphoniste de la clinique alors que d’habitude, la mention du nom de son frère accélérait le traitement holographique. Estella ne reconnut pas la réceptionniste du docteur Wishes. La dernière fois, c’était une femme d’une trentaine d’années qui lui avait répondu et celle-ci devait friser la soixantaine, à vue de nez. Ce fût l’image du docteur qui apparût à l’holo.


- Bonjour Mme Baron, que puis-je pour vous ?


- Ah ! Bonjour Docteur ! Désolée de vous déranger, je voulais simplement un rendez-vous pour une augmentation mammaire, ça ne valait pas la peine de vous déplacer.


- Votre mari et vous, vous ne me dérangez jamais, mais dans ce cas-ci, je passais devant l’holo et j’ai vu que vous attendiez patiemment, alors j’ai pris la ligne. Si vous pouviez passer à mon cabinet vers seize heures, j’ai une patiente qui a décommandé son rendez-vous, alors j’ai la dernière case de mon horaire qui est libre.


- Merci docteur, ça ira très bien. Vous êtes très gentil.


- Tout le plaisir est pour moi, Mme Baron. Je vous inscrit pour seize heures. A tout à l’heure !


- Au revoir docteur.


Le docteur coupa la communication juste comme la réceptionniste revenait de le chercher.


- Ça va maman. J’ai pris la communication. Tu mettras le nom de Mme Baron à la place de celui de Mme Bourget qui a dû annulé plus tôt ce matin.


- D’accord !



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Estella chargea un plateau de victuailles et le descendit au sous-sol. Tous les aliments étaient pauvres en calories et pratiquement sans gras mais ils rempliraient le ventre de la gamine et lui donnerait l’énergie nécessaire à de nouveaux débordements. Estella regarda la gamine s’empiffrer pendant quelques minutes puis, elle lui fit comprendre de prendre son temps et qu’elle reviendrait chercher le plateau quand elle aurait terminé. Elle augmenta un peu le chauffage pour que la fillette ne prenne pas froid car elle vivait toujours intégralement nue. Quand elle revint chercher le plateau quarante-cinq minutes plus tard, elle transportait un oreiller et deux couvertures qu’elle déposa devant la gamine. Elle lui fit signe de s’allonger sur le divan, posa l’oreiller sous sa tête et les couvertures sur le corps maigrichon. Cinq minutes plus tard, la fillette dormait à poings fermés. Son frère négligeait ces jetables, comme on les appelait, mais Estella s’attachait toujours un peu à toutes ces gamines qui avaient, un jour ou l’autre, été l’objet de leurs plaisirs.


Estella mit une robe appropriée à l’heure du rendez-vous et grimpa dans sa voiture. Elle informa le cerveau de sa destination et le laissa conduire la voiture, tâche qu’il accomplirait dix fois mieux que n’importe quel humain. Elle arriva à la clinique avec cinq minutes d’avance. La réceptionniste lui dit de passer immédiatement car le rendez-vous précédent était fini. À son entrée dans le cabinet, le docteur se leva et lui désigna une chaise. Il attaqua immédiatement le sujet du rendez-vous.


- Alors, vous désirez une augmentation mammaire !?


- Oui docteur !


- Vous faites du combien maintenant ? Excusez-moi de vous poser la question mais ma mère, la nouvelle réceptionniste, a omis de m’apporter votre dossier alors je dois fonctionner de mémoire.


- Je fais du quatre-vingt-quinze et je voudrais du cent-cinq si c’est possible et même du cent-dix. Votre prix sera le mien !


- Écoutez, Mme Baron, ce n’est pas une question de prix. Pour moi, remplacer le gène A par le gène B ou par le gène C, ce n’est pas plus difficile. Seulement, plus la poitrine grossit, plus la contrainte sur la colonne vertébrale augmente. Si vous désirez vraiment du cent-dix, je ne saurais trop vous recommander d’augmenter aussi le gabarit de votre ossature sans cela, vous risquez de développer de vilaines douleurs lombaires. En fait, je vous recommanderais d’augmenter votre ossature AVANT l’augmentation mammaire. De plus, ce serait compris dans le prix.


- Est-ce que ça verrait beaucoup, docteur ?


Pour toute réponse, le docteur ouvrit la porte du cabinet et fit signe à la femme d’entrer. Il referma la porte derrière elle.


- Enlève ton sarrau, maman !


Un peu surprise, car Estelle ne savait pas que la femme était la mère du docteur, elle vit cette dernière défaire la fermeture éclair du sarrau qui fut enlevé en un rien de temps. Totalement nue, la femme se tenait devant Estelle, affichant un corps bronzé et légèrement musclé, sans une once de graisse excessive. Une rouquine à la peau constellée de milliers de taches de rousseur que le bronzage ne parvenait pas à dissimuler totalement. Elle n’avait plus un poil en bas des cils.


- Telle que vous la voyez, ma mère fait du cent exactement. Maintenant, tourne toi, maman.


Le docteur la fit pivoter de cent-quatre-vingt degrés et maintenant Estella ne pouvait s’empêcher de regarder le derrière de la femme. Il ne devait faire que quelques centimètres de moins que la poitrine. Il semblait ferme et Estella fût tentée de le toucher pour s’en assurer. Le docteur attira son regard plus bas.


- Regardez les chevilles. Je les ai fait croître de cinq pour-cent comme tous les autres os. Regardez les vertèbres et les poignets ! Vous voyez ? Tout demeure proportionnel et à moins d’un examen très attentif, on ne peut déceler le changement.


- C’est d’accord, docteur ! Je crois que vous avez raison, comme d’habitude. Quand pourrais-je revenir pour la première injection ?


- Demain à la même heure, ça vous va ?


- Ce serait parfait !


- Et dans deux semaines, pour la deuxième injection, celle des seins.


- Merci pour tout, docteur. Je vous devrez combien ?


Le docteur fit un rapide calcul mental: la facture normale pour ce type de transformation génétique était de quatre-vingt-mille yuans ( le dollar américain n’était plus utilisé depuis cent ans et l’euro depuis cinquante ans ! ) mais pas question de lui charger le plein prix, les Baron étaient de trop bon clients.


- Cinquante mille, ça vous va ?


Estella remarqua que la femme âgée avait tiqué à la mention du prix, signe que le docteur avait fait un effort louable pour rendre le prix abordable.


- D’accord pour soixante-quinze mille, docteur.


Ce dernier prit un air découragé, sa ruse avait échoué. Estella sortit du cabinet sans un regard en arrière. La mère du docteur le prit dans ses bras.


- Viens mon petit, je vais te consoler comme seule maman sait le faire.


Elle défit le sarrau du docteur et quand ce dernier fut nu, elle s’allongea sur le divan et son fils vint s’allonger près d’elle. Il prit une des grosses tétines dans sa bouche et se mit à sucer avidement. Quand sa mère posa la main sur son sexe, il bandait comme un âne. Ça tombait bien, parce que elle, elle mouillait comme une truie. Elle caressa doucement le sexe rigide pendant plusieurs minutes tandis que fiston suçait goulûment la grosse tétine maternelle. La mère se glissa sous l’homme et guida son sexe jusqu’au sien. Quand il fût bien aligné, elle retira sa main. Sans lâcher son suçon, l’homme donna un formidable coup de rein et pénétra la femme jusqu’à ce que leur pelvis respectifs entrent en collision. La femme râla de plaisir. Elle adorait les pénétrations violentes et sauvages. Il réitéra ses coups de reins encore et encore. Au bout de quelques minutes, il fût incapable de se retenir et se mit à jouir, emplissant le con maternel de son jus incestueux. Quand il eût terminé, il prit appui sur les mains, se souleva et lui murmura:


- Tourne-toi sur le ventre. Je vais m’occuper de ton cul !


La femme sourit, se tourna et avec les mains, écarta d’elle-même ses fesses afin d’offrir la cible de son œillet rouge brique. Il ajusta sa queue gluante des deux jus combinés sur le centre et encula sa mère sauvagement. Il passa ses mains sous le torse de sa mère et agrippa les deux grosses mamelles. Il se mit à en pincer les bouts et à les tordre gentiment. La femme sût qu’elle allait jouir rapidement. Le petit était si habile à déceler ses moindres désirs. Elle jouit juste avant lui et sa mouille se répandit sur le tissu du divan qui en avait vu bien d’autres. Quand fiston se répandit dans le cul maternel, il se laissa retomber sur la femme qu’il écrasa de tout son poids. Ses couilles se contractèrent plusieurs fois, émettant une quantité appréciable de sperme incestueux dans le gros colon maternel. Elle en serait quitte pour aller chier un lavement du jus filial. Seulement à cette idée, il faillit ne pas débander.


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Le portable de Roberto Baron grésilla. Il l’ouvrit et un minuscule hologramme du torse du docteur Wishes apparût.


- Bonjour docteur.


- Bonjour M, Baron. Vous m’aviez dit de vous prévenir si madame votre épouse venait ici sans vous.


Le docteur lui résuma la situation. Baron le remercia puis ferma la communication.


Il ne pût s’empêcher de murmurer pour lui-même:


- Sacrée petite sœur ! Tout pour plaire à son frangin !



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Estella sommeillait, étendue sur le divan du living-room lorsque la douce sonnerie de l’holo se fit entendre. Elle appuya sur le bouton pour établir la communication.


- Salut sœurette !


- Salut Roberto ! Tu t’en viens ?


- Non, justement ! Je dois partir pour Tokyo pour quelques jours. Une de nos usines a des problèmes et personne ne semble comprendre ce qui se passe alors je vais aller constater de visu. Tu pourrais me faire une valise pour trois jours disons ? Je vais envoyer un taxi la prendre.


- D’accord. Tu me contactes rendu là-bas ?


- Il y a neuf heures de décalage avec Tokyo. Je verrai.


- Bon voyage !


- Merci !


La communication coupée, au lieu de se diriger vers la chambre, Estelle partit pour la cuisine et mit un tas de victuailles diverses sur un plateau qu’elle descendit à la gamine. Ensuite seulement, elle se dirigea vers la chambre et mit des vêtements de Roberto dans la valise qu’il utilisait fréquemment pour ses déplacements professionnels. À l’heure dite, un taxi vint prendre la valise.


Elle retourna à la cuisine et se prépara un souper copieux. Elle mangea tout ce qui était préparé et noya le tout dans un demi litre de yaourt nature. Puis, elle ferma complètement la maison, passa dans la chambre enlever ses vêtements, ramasser un gros ceinturon en cuir sur lequel était vissé un long gode et descendit rejoindre la gamine au sous-sol. Elle n’était pas très intelligente mais elle avait quand même appris que lorsque la femme se présentait ainsi, nue et seule, que la soirée serait vraiment amusante.


Estella lança le ceinturon sur le divan et rejoignit la fillette au centre de la pièce. Elle la fit agenouiller derrière elle et lui fit signe de lui sucer la rondelle. Trop heureuse d’obéir, la gamine scella ses lèvres sur le pourtour de l’anus et joua de la langue, titillant l’œillet en attendant qu’il s’ouvre et livre passage au dessert tant attendu. Elle n’eût pas à attendre bien longtemps. Un étron brun pâle fit son chemin dans la bouche de la gamine et Estella le sectionna avant qu’il n’étouffe la fillette. Elle se redressa et la regarda mâcher la merde tout en se masturbant gentiment. Quand la gamine eût avalé, elle reprit sa position et lui pondit un autre bout d’étron. Cette fois, elle redressa la gamine et l’enlaçant, elle se mit à l’embrasser, tout en s’échangeant la merde qui passait d’une bouche à l’autre avant que la gamine se décide à l’avaler.


Ce fût au tour d’Estella de s’agenouiller derrière la gamine et de coller sa bouche à l’anus à la propreté douteuse. La gamine comprit ce qu’on attendait d’elle et après trente secondes d’effort, un long étron mince et mou passa dans la bouche d’Estella. La gamine avait moins de contrôle que l’autre et lorsqu’elle commençait à chier, elle n’arrêtait plus. Estella recueillit le surplus avec une main tandis qu’elle mâchait, la bouche pleine, Tellement pleine que ses lèvres s’ouvraient et qu’on pouvait voir le contenu tacher ses dents. Elle avala malgré le copieux souper qu’elle venait de prendre. Elle mit le reste de l’étron dans sa bouche et le mâcha tout en regardant la gamine dans les yeux, Cette dernière continuait de se masturber doucement. Quand elle eût tout avalé, Estella s’agenouilla à nouveau et colla ses lèvres sur le trou à pisse de la gamine. Celle-ci se mit à pisser abondamment et Estella parvint à tout avaler. Puis la gamine se dirigea vers le divan et revint avec le gode. Elle le tendit à Estella puis se mit à genoux devant cette dernière. Estella s’enfonça le gode dans la gorge: une fois, deux fois et la troisième fût la bonne ! Elle vomit une partie de la merde et une partie de son souper sur la tête et les cheveux blonds de la gamine. Une autre pénétration du gode eût le même effet: elle continua de vomir sur le crâne de la gamine un mélange verdâtre et liquide qui masqua la couleur des cheveux de la fillette. L’estomac de cette dernière eût un soubresaut et Estella comprit au quart de tour: elle se précipita sur le sol, allongée sur le dos dans son vomi et plaça son visage sous celui de la petite blonde. Son estomac se contracta une autre fois et l’orage se déclencha: un flot presque continu d’un mélange indescriptible franchit ses lèvres et tomba pile sur la cible qu’Estella lui présentait. Elle tentât d’en avaler le plus possible avant que n’arrive la seconde vague. Épuisée, la fille prit appui sur les mains et ne pût se retenir: une deuxième, une troisième et une quatrième vague de nausées la firent dégobiller sur la femme sous elle. Sans se toucher, Estella eût son premier orgasme. La gamine s’effondra sur le sol au côté d’Estella.


Après quelques minutes de repos bien méritées, Estella déclencha le jet d’eau tiède qui nettoyait le centre de la pièce. Elle sécha la gamine et se sécha ensuite. Leurs cheveux mouillés leur collaient au visage. Estella se pencha et embrassa la gamine dont l’haleine rappelait celle d’un cheval en mauvaise santé. Elles prirent place sur le divan et Estella alluma une cigarette. Une mauvaise habitude mais comme les vaccins contre les cancers étaient au point depuis une centaine d’années, bien des vices revenaient à la mode. Elle caressait gentiment la cuisse de la blonde.


Après une pause d’une vingtaine de minutes, Estella fit lever la fillette du divan et lui mit le ceinturon de cuir en passant la courroie arrière entre les petites fesses maigres. Elle serra bien le ceinturon pour qu’il demeure en place. Elle poussa gentiment la gamine à prendre place sur le divan. Le gode pointait vers le haut entre les jambes de la gamine. Estelle s’agenouilla devant cette dernière et, lui écartant les jambes, entreprit une fellation du gode. La petite blonde sourit, elle avait déjà participé à ce jeu et savait à quoi s’attendre. Elle entreprit de jouer avec ses petits tétons en attendant que l’action commence vraiment. Au début, la tête d’Estella montait et descendait lentement, les lèvres bien serrées autour du sexe factice. Puis, tranquillement, elle accéléra le rythme. Non seulement elle accéléra le mouvement mais elle l’amplifia aussi si bien que maintenant, le morceau de plastique frappait le fond de la gorge. La petite blonde posa la main sur la nuque de la suceuse et la força à amplifier encore le mouvement. L’estomac d’Estella se révulsa et elle expulsa une première salve de vomissures sur le ventre de la fillette. L’odeur de rance et d’acidité gastrique vint chatouiller les narines de la petite blonde pendant qu’Estella reprenait son souffle. Après quelques bouffées d’air, elle replongea violemment sur le gode. Cette fois, son estomac se contracta fortement et un flot de vomi vint finir sa trajectoire sur les seins de la gamine. Elle en cueillit un peu dans sa main et le porta à sa bouche. Ce fût suffisant pour déclencher chez elle une nausée qui la fit expulser le contenu nauséabond de son estomac directement dans le visage de la femme agenouillée devant elle. Estell se souleva et poussant son visage vers l’avant, elle planta ses lèvres sur celles de la gamine et reçut le second jet directement dans la bouche. Ce fût suffisant pour déclencher son deuxième orgasme.


Épuisées toutes les deux, elles se traînèrent au centre de la pièce où il y avait un égoût à même le plancher. Estella ouvrit le jet d’eau automatique et entama une toilette essentielle. Elle n’avait pas terminé de prendre sa douche lorsqu’elle sentit que son estomac se contractait à nouveau. Rien ne se produisit. Ça ne servait à rien d’attendre d’autres hypothétiques contractions. Elle enfonça quatre doigts dans sa bouche jusqu’à ce qu’ils touchent le fond du gosier. Le réflexe nauséeux prit la relève et elle pût enfin se débarasser de l’encombrement stomacal en une régurgitation finale qui lui vida complètement l’estomac de son contenu.


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Roberto rentra dans les délais prévus mais il ne tenait pas la forme pour une partie de jambes en l’air. Le décalage horaire de neuf heures deux fois en trois jours, c’est suffisant pour assommer un cheval. Il monta se coucher après avoir embrasser sa sœur et manger un morceau. Il dormit quatorze heures d’affilée. À son réveil, après une douche rapide, il entra en communication avec le docteur Wishes.


- Bonjour Madame Wishes, je peux parler avec votre fils ?


- Bonjour M. Baron, je vous le passe immédiatement.


- Merci.


- Bonjour M. Baron, alors, ce voyage, ça c’est bien passé ?


- Oui oui, tout est arrangé. Et ici ?


- J’ai fait la première injection à votre sœur et maintenant, je dois la revoir dans deux semaines.


- Ma commande, ça avance ?


- Oui, ce sera prêt la semaine prochaine.


- Alors, vous pouvez annuler le rendez-vous de ma sœur. Ne craignez rien pour vos émoluments, ce sera comme si tout était fait.


- Merci, M. Baron


La communication fût coupée.


Ce soir-là, quand Roberto revint du bureau, il dîna longuement avec sa sœur. Ils parlèrent du voyage, bien sûr, mais aussi d’un tas de choses anodines dont on discute volontiers à table. Puis, Roberto lui annonça:


- Je t’ai rapporté un souvenir du Japon. Viens le voir.


Ils passèrent dans la chambre et, ouvrant sa valise, il en en sortit une boite de fantaisie. Il la lui tendit. Elle ouvrit la boite et à l’intérieur, il y avait une magnifique poupée du dix-neuvième siècle vêtue d’un kimono traditionnel. Émerveillée, Estella posa la poupée sur la commode de la chambre. C’était le moment que Roberto attendait. Il tira une très longue aiguille de sa manche et tandis que sa sœur, légèrement penchée en avant pour admirer l’objet d’art, offrait innocemment sa nuque, Roberto y enfonça expertement l’aiguille. Estella eut un spasme, se raidit et tomba raide morte sur le plancher, sans un cri, sans une plainte.


- C’est dommage mais tu commençais à prendre trop d’initiatives à mon goût.


Il prit le corps et le déposât dans l’incinérateur, source d’énergie non-négligeable des maisons modernes. Lorsque la quantité optimale de déchets serait atteinte, l’incinérateur s’allumerait et l’énergie produite serait accumulée dans les condensateurs de la maisons. Estella terminerait sa vie en source d’éclairage.


Il remit la poupée dans la boite et défit ses valises. Il se déshabilla au complet et descendit au sous-sol, son érection pointant déjà devant lui. La gamine allait se faire enculer salement ce soir et pour la semaine à venir. Mais quelle importance, ces petites recompositions génétiques n’avaient qu’une espérance de vie d’un an, tout au plus dix-huit mois, si on était chanceux. Les recompositions plus complexes, comme sa “sœur”, pouvaient nécessiter deux ou trois ans mais leur espérance de vie pouvait facilement dépasser les cinq années. Wishes l’avait construite à partir d’un échantillon de l’ADN de Roberto. Elle n’avait jamais existé officiellement, n’était jamais née, n’avait aucun dossier à l’état civil. Elle n’était qu’un fantôme. Tout comme la gamine dans le sous-sol.


Il fit mettre la fillette blonde à genoux sur le divan et entreprit de l’enculer puissamment. Elle était “programmée” pour accepter un tel traitement et s’y soumit de bon cœur, même qu’elle y prenait du plaisir. Pas assez pour jouir mais cela, Roberto s’en balançait comme de sa première paire de culottes courtes. Il jouit deux fois dans le cul de la petite copie de sa sœur et prenant place sur le divan, il lui donna l’ordre de sucer sa queue barbouillée de merde. La gamine sourit, trop heureuse d’obéir à un ordre si clair.


Roberto l’utilisa toute la semaine de toutes les façons possibles. Puis, le dernier soir avant son rendez-vous chez Wishes, la petite blonde connût le même sort qu’Estella. L’aiguille lui retira la vie avant qu’elle ne puisse dire ouf ! Roberto n’était pas un sadique, il n’aimait pas tellement faire souffrir inutilement. L’incinérateur dût digérer un deuxième corps en une semaine.



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Roberto admirait l’oeuvre de Wishes.


- Vous avez fait un travail fantastique, c’est exactement ça ! Vous frisez le génie, mon cher !


Le docteur rougit sous le compliment. Il y avait mis beaucoup de soins et il était content du résultat mais de toute évidence, le client était plus que satisfait. Il regarda Baron sortir de son bureau avec sa nouvelle compagne et déjà, ils discutaient comme de vieilles connaissances. Quand on lui donnait le temps, les résultats étaient toujours positifs. M. Baron n’attendait pas à la dernière minute pour passer ses commandes, il prévoyait longtemps d’avance. Sa mère lui changea les idées en entrant dans le cabinet.


- Il y a encore des clients ?


- Non, M. Baron était le dernier.


Wishes sourit et prit place dans sa chaise à coussin d’air. Il tapota ses cuisses pour inviter sa mère a y prendre place. Il baissa la fermeture éclair du sarrau et en sortit un sein énorme. La femme le souleva d’une main et le porta à la bouche de son fils. Elle était sa vraie mère. Elle avait commencé à coucher avec son fils dès qu’elle avait constaté ses premières érections. Elle n’avait subi que trois transformations génétiques: son ossature, ses seins et son derrière. Tout le reste était naturel et venait avec le contenant d’origine.


- Tiens mon bébé, tu peux sucer tout ton soûl. Tu peux même mordre un peu, tu sais bien que j’aime ça.


Pour le vérifier encore une fois, il passa sa main entre les cuisses de la femme et la posta à l’entrée de la grotte maintenant ouverte. Il mordit doucement dans la chair tendre.


- Plus fort, sale gamin ! Plus fort !


Il obéit et immédiatement, il sentit la mouille couler sur sa main. Elle aimait vraiment cela.


La femme sentait la bosse durcir sous sa cuisse.


- Et maintenant, je suppose que tu vas violer ta vieille mère sans défense, sale môme !


- Mmmmmphphhph !


- Alors tant qu’à y être fais ça comme il faut ! Mords encore plus fort !!! Si tu ne m’obéis pas, je te pisse dessus.


Immédiatement, il relâcha la pression de ses mâchoires.


- Ah ! C’est comme ça !


Après quelques secondes, il sentit sa main fureteuse qui se détrempait sous le jet d’urine maternelle. Son pantalon absorbait l’urine au niveau des cuisses. La femme se releva de sa position et faisant face à son fils, laissa un puissant jet de pisse fuser sur l’estomac et l’entrejambe du docteur qu’elle guidait en utilisant les doigts qui écartaient ses grandes lèvres. Cette fois, il n’en pouvait plus de se retenir. Il se leva à son tour et il poussa sa mère à s’agenouiller sur le fauteuil. Il laissa tomber son pantalon mais garda son caleçon trempé de l’urine maternelle. Il sortit sa queue par l’ouverture et l’ajusta sur le petit orifice plissé. Il encula royalement la femme, labourant le colon habitué à de tels excès. La femme ayant posées les mains sur le dossier du fauteuil, il eût le chemin libre pour passer ses mains sous les bras de cette dernière et agripper les deux mamelles qui ballotaient sous les coups de butoir du docteur. Il reprit les manoeuvres entreprises avec ses dents un peu plus tôt. Il malmena les tétins de plus en plus fort alors qu’il approchait de la jouissance. Sa mère explosa juste avant lui. Quand ce fût son tour, il poussa sa queue tellement fort que sa mère en eût un sursaut. Plusieurs jets copieux arrosèrent l’intestin malmené et calmèrent un peu l’irritation qu’une telle pénétration avait causé. Quand les contractions se calmèrent, il resta fiché dans le cul de sa mère et reposa sa tête sur le dos de celle-ci. Il débanda un peu, suffisamment pour se mettre à lui pisser dans le cul. Il avait déjà envie avant de commencer le batifolage, alors maintenant, il devait bien en avoir pour un bon demi litre. La femme accueillit l’offrande en râlant de bonheur.


- Oh ! Salaud ! Je suis ta pissotière maintenant.


Il décula prudemment et lentement, laissant au méat le temps de se refermer. Elle ne perdit pas une goutte. Elle voulut se diriger vers la salle de toilette attenante au cabinet mais il la retint par le bras. Il l’enlaça et se mit à l’embrasser langoureusement, question de retarder le plus possible le moment de l’expulsion. Elle gigotait dans ses bras mais ne voulait pas vraiment se libérer. Finalement, quand il la relâcha, elle marcha vers la toilette en tortillant du cul. Il la suivit. Elle prit place sur le siège de toilette et bientôt, le bruit caractéristique d’une expulsion liquide emplit la pièce. Il la regardait chier sa pisse. Elle vit que sa queue encore à demi érigée, reprenait vie et qu’elle pointait maintenant vers le plafond. Plusieurs petits morceaux brunâtres la parsemaient. Qu’à cela ne tienne, elle prit par la queue et l’attira vers elle. Elle sortit la langue et entreprit de le nettoyer complètement. Elle lécha tous les recoins tout en continuant d’expulser le contenu intestinal. Quand tout fût évacué, elle se mit à chier de la bonne merde solide en même temps qu’elle mettait la queue offerte dans sa bouche. Il lui baisait la gueule de plus en plus fortement. Il n’y avait pas de danger car il y avait belle lurette qu’elle avait appris à combattre le réflexe nauséeux. Après plusieurs minutes de ce traitement, il jouit pour la deuxième fois. Elle n’eut même pas à se forcer pour avaler tellement les jets avaient atterri profondément dans sa gorge.



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Assis côte à côte dans le VTA ( véhicule de transport automatisé ), Roberto et sa nouvelle compagne se taisaient. Roberto conduisait manuellement, ayant déconnecté le cerveau de conduite. Quand ils arrivèrent sur l’autoroute, il enclencha la conduite automatique et se tourna vers sa compagne sur la cuisse de laquelle il avait posé sa main. Elle posa sa main par-dessus la sienne et la tira légèrement vers le haut, de plus en plus près de la grotte au trésor. Ce fût Roberto qui parla le premier:


- Qu’est-ce que tu fais de bon ces temps-ci, maman ?


FIN

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FUTUR GENE ETHIQUE

PAR LE MATOU