Ho: 51 ans

Shuan: 54 ans, épouse et sœur aînée de Ho

Désirée: 33 ans, fille aînée de Ho et Shuan,

Jade: 31 ans, sœur de Désirée

May: 14 ans, sœur cadette de Désirée et Jade, enceinte

Ki: 17 ans, fils aîné de Désirée

Lune: 13 ans, fille de Désirée

Abeille: 12 ans, fille aînée de Jade

Alysée: 9 ans, fille de Jade


Lorsque trois coups discrets furent frappés à la porte, Jade posa son fer à repasser et se dirigea vers la porte pour ouvrir, croyant que Lune avait encore oublié sa clef. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit sa mère, Shuan, élégamment vêtue d’une robe fourreau noire, de talons hauts et d’une petite veste du même noir.


- Ben ça alors bonjour maman ! Qu’est-ce que tu fais ici ?


- Bonjour Jade ! Je viens rendre visite à ma fille, si elle veut bien me recevoir.


- Bien sûr ! Entre maman, ne reste pas sur le palier.


- Merci.


Jade s’effaça pour laisser entrer sa mère et avança le visage pour l’embrasser sur les joues.


- Oh ! C’est comme cela que tu me reçois après toutes ces années ?


Jade rosit légèrement. Les deux femmes s’enlacèrent et approchant leurs lèvres, s’embrassèrent dans une étreinte qui n’avait rien de filiale. Leurs langues tourbillonnèrent dans leurs bouches respectives dans un baiser qui dura bien une bonne minute.


- Ah ! C’est mieux ! Je croyais que tu ne m’aimais plus.


- Si tu savais comme je regrette maman.


- Viens, on va s’asseoir et causer un peu.


Les deux femmes passèrent à la cuisine où régnait un désordre que Shuan ne put que réprouver. Jade dut enlever des vêtements d’une chaise pour faire une place à sa mère.


- Alors tu regrettes de nous avoir quitter pour ce bon à rien de joueur ?


- Oh oui maman, si tu savais comme je le regrette. Il nous a abandonné et je suis seule depuis six mois. Je ne sais même pas s’il est encore vivant ou s’il est mort. Il n’a pas laissé un mot et il n’a pris aucune de ses affaires en partant.


- Tu as averti la police ?


- Non, je sais bien que ça ne se fait pas, ils posent beaucoup trop de questions.


- Bon ! Je vois que tu n’as pas perdu tout bon sens.


Jade baissât les yeux et encaissât le reproche à peine dissimulé de sa mère. Elle remarqua que cette dernière avait croisé les jambes et qu’elle dévoilait ainsi une cuisse encore ferme malgré son âge. Des cuisses qui cernaient un sexe si doux, un sexe que Jade avait caressé, embrassé et dévoré si souvent qu’en faire le compte des fois serait impossible. Shuan nota le regard de sa fille et volontairement, elle décroisa lentement les jambes pour les croiser de l’autre côté.


- Et je vois aussi que tu t’ennuies de moi !


Cette fois, Jade vira au cramoisi. Sa mère devinait toujours ses états d’âme, elle ne pouvait rien lui cacher.


- Si je suis ici, c’est pour te faire une proposition.


Jade dut déglutir avant de prononcer:


- Laquelle ?


- Ton père et moi pensons que tu devrais revenir à la maison avec tes filles.


- Mais... mais je croyais papa fâché contre moi ?


- Il l’a été sur le coup, quand tu es partie an coup de vent mais c’est surtout de la déception qu’il a éprouvé. Il connaissait déjà ton vaurien de mari et il savait bien que ton mariage finirait de cette façon. Il a été étonné qu’il reste avec toi tout ce temps, il pensait bien qu’il te quitterait bien avant. C’est lui qui m’envoie te faire cette offre.


Éberluée, Jade ne savait que répondre. Son père, d’habitude si sévère, si strict, qui faisait les premiers pas d’une réconciliation, Jade n’en revenait pas. Il devait y avoir un piège là-dessous.


- Ce serait à quelles conditions ?


- Aucune ! Vous vous amenez à notre maison et la vie reprend comme si rien ne s’était passé. Désirée, Ki et Lune habitent encore avec nous et comme nous avons agrandi la maison il y a cinq ans, il y aura largement assez de place pour vous trois et vos affaires.


- Et papa...


- Oh ! Il a vieilli, comme nous tous. Il n’est plus aussi performant, si j’ose dire, qu’autrefois mais il peut encore satisfaire une femme ou une fillette. Il a acquis beaucoup de la patience qui lui manquait autrefois mais si tu acceptes notre offre, tu pourras constater qu’il s’est beaucoup ennuyé de toi, presqu’autant que moi je me suis ennuyé de toi.


Un sourire timide apparût sur les lèvres de Jade. Elle aussi, la cellule familiale lui manquait. L’homme qu’elle avait aimé l’avait trahi et le seul endroit et les seules personnes qui pourraient lui procurer réconfort lui semblaient inaccessibles. Et voilà que ces personnes venaient à sa rescousse sans qu’elle n’ait à s’abaisser pour le demander, lui sauvant la face. Ses yeux s’humectèrent devant tant de générosité. Elle se leva de sa chaise et vint serrer sa mère dans ses bras.


- Quand serait-ce possible de partir d’ici ?


- Quand tu voudras. On te laisse le temps de boucler tes valises et tu nous donnes un coup de fil. On viendra te chercher avec la camionnette. Apporte tout ce dont tu as besoin, il y a beaucoup de place.


- D’accord, c’est entendu.


- A quelle heure tes filles rentrent-elles de l’école ?


- Vers seize heures.


- Ça nous laisse trois heures à les attendre. Tu as une idée comment on pourrait passer le temps ?


- On pourrait passer dans ma chambre et reprendre une partie du temps perdu, non ?


- Ça te tenterait encore avec une vieille peau comme moi ?


Pour toute réponse, Jade embrassa sa mère, forçant le passage des lèvres tout en lui pinçant un sein par dessus la robe.


- J’adore les vieilles peaux, surtout quand elles sont bien salope.


Dans la chambre, Shuan enleva sa robe sous laquelle elle ne portait rien. Elle lança ses souliers dans le coin de la pièce et s’étendit sur le lit. Jade mit plus de temps à enlever son jeans et son chemisier. Allongée sur le dos, sa mère la regardait se déshabiller et constata que sa fille avait maigri depuis leur dernière nuit de folie, plusieurs années auparavant. Elle écarta les jambes pour bien exhiber sa chatte rasée de près. Elle n’affichait plus un poil en bas des cils. Elle passa sa main droite sur sa chatte déjà mouillée par anticipation.


- Tu aimes toujours la même chose, maman ?


- Oui et plus que jamais ! Viens me pisser sur la gueule que je me régale de ton jus.


Jade grimpa sur le lit et positionna ses pieds de chaque côté du torse de Shuan. Elle aussi affichait une chatte totalement imberbe. Elle tira sur son clito pour lui faire prendre l’air et ajuster le flot qui ne tarderait pas à jaillir. Les premières gouttes tombèrent à la verticale sur l’estomac maternel. Puis, le flot gagna en puissance et décrivant une arc, vint frapper le visage de Shuan. Elle ouvrit la bouche et tenta d’en avaler le plus possible. Elle gardait les yeux bien ouverts malgré le picotement causé par le liquide salé. Quand le flux jaunâtre commence à perdre de la puissance, elle cessa d’avaler et laissa sa bouche se remplir. Quand ce fût terminé, Jade s’accroupit et embrassa sa mère à pleine bouche, lui soutirant le plus de pisse possible afin de satisfaire sa soif.


Puis, prenant appui sur les mains et les pieds, elle se tourna rapidement, présentant à sa mère, sa paire de fesses maigres. Étendant les mains, cette dernière agrippa le petit derrière et l’attira vers sa bouche. Sa langue entama une danse compliquée dont les partenaires comptaient les grandes lèvres foncées, les petites lèvres plus pâles et le clitoris tout rose. Les hanches de Jade emboîtèrent le pas et leur mouvement lancinant accompagna magnifiquement le rythme de la langue maternelle.


Jade ne demeurait pas inactive: la tête plongée entre les cuisses fuselées de sa mère, elle entreprit de sucer le clitoris de Shuan. Cette dernière écartait les jambes au maximum pour faciliter la tâche à sa fille. Après plusieurs minutes de ce traitement, Jade passa les bras sous les jambes de Shuan et lui remonta les cuisses sur le torse. Ceci eut pour effet de relever le derrière de Shuan et dévoilait ainsi une nouvelle cible: un anus bleuâtre au pourtour gonflé, signe évident de l’usage avancé de l’organe. Jade le lécha avidement avant de le pénétrer goulûment de la langue. La caresse dura quelques minutes puis Shuan ne put résister: elle explosa dans un orgasme délirant qui la fit soulever Jade et cette dernière dut faire preuve de toute son expérience pour ne pas démonter. La vie reprenait là où elle l’avait laissée dix ans auparavant.


Lorsque les filles revinrent de l’école, Jade leur annonça la nouvelle. Abeille fut ravie mais Alysée ne sauta pas de joie. Sa réaction fut meilleure lorsque Jade leur dit que maintenant, elles n’auraient plus besoin de fréquenter l’école. Jade en profita pour leur raconter sa famille et les mettre au courant de leurs moeurs particulières. Ce récit enflamma les sens d’Abeille et lorsqu’il fut l’heure de se mettre au lit, cette dernière fit un clin d’oeil à sa sœurette. Après que Jade eut éteint les lumières, Alysée attendit une quinzaine de minutes puis, elle se releva et passa dans la chambre d’Abeille.


Totalement nue, assise sur le bord de son lit, Abeille sourit lorsqu’Alysée fit son entrée, ne portant que le haut de son pyjama, dévoilant sa petite fente imberbe et ses petites fesses musclées pour son âge. Abeille lui chuchota:


- Viens me faire un câlin, mon amour.


- Seulement un câlin ?


Pour toute réponse, Abeille enlaça sa petite sœur et plaqua ses lèvres sur celles déjà entrouvertes de la jeunette. Puis, ces mains se posèrent sur les cuisses de sa sœur et en firent le tour pour aboutir sur les fesses d’Alysée. Cette dernière poussa du cul pour montrer qu’elle appréciait la caresse et qu’elle ne cherchait pas à se dérober, bien au contraire. Les mains d’Abeille tirèrent sur les fesses pour les séparer et un doigt inquisiteur fit son chemin jusqu’au petit œillet rose serré. La langue d’Alysée redoubla d’ardeur dans la bouche d’Abeille et en fouillait les moindres recoins. Lorsque le doigt d’Abeille força le sphincter, Alysée ne put contenir un sursaut mais ne chercha pas à échapper à l’intrusion. Elle poussa son cul à la rencontre du doigt, le faisant pénétrer plus profondément. L’autre main d’Abeille caressa la petite fente imberbe et elle sentit la mouille de sa sœur se répandre sur ses doigts. Elle la pénétra avec deux doigts et se mit à faire des aller-retour qui amenèrent bientôt la gamine à l’extase. Son orgasme dura plusieurs secondes et finalement, elle se ramollit dans les bras d’Abeille. Cette dernière sourit à sa cadette et se reposa sur les coudes et écartant les jambes de façon obscène, elle intima l’ordre à Alysée:


- Maintenant, à ton tour ! Je veux ta langue dans ma chatte et deux doigts dans mon cul. Tu peux y aller vigoureusement, j’en ai envie.


Alysée se positionna entre les jambes de sa sœur et plongea vers la chatte offerte, langue sortie et sa main droite, deux doigts tendus, prête à l’attaque. Abeille retomba sur le dos et se mit à sucer son doigt qui sortait du cul de sa sœur. La petite Alysée, langue sortie, s’attaqua à l’ouvrage et lécha les lèvres et le petit clito de sa sœur jusqu’à ce que l’orgasme vint libérer cette dernière de la tension qui s’accumulait.


********************



Lorsque Jade et ses deux filles arrivèrent à la maison paternelle, elle constata qu’il y avait eu en effet des transformations majeures: une aile avait été ajoutée, le jardin refait, une piscine trônait maintenant dans un coin et un grand cabanon de jardin la jouxtait.


Jade, le regard baissé, n’osait regarder son père dans les yeux. Ses deux filles notèrent son malaise. Puis, Ho, tendant les bras, enlaça Jade dans une étreinte paternelle et lui fit un grand sourire.


- Bienvenue chez toi, pierre précieuse !


L’utilisation par Ho du surnom qu’il lui donnait lorsqu’elle était plus jeune fit diminuer la tension de plusieurs crans. Le dîner et la soirée se passèrent très bien, tout le monde racontant les dernières nouvelles à tout le monde. Lorsqu’ils décidèrent de se retirer pour la nuit, Ho déclara:


- Je suis désolé, Jade, mais vous ne pourrez utiliser vos chambres pour cette nuit. La peinture est encore fraîche et l’odeur persiste encore. Pour cette nuit, vous devrez utiliser la chambre d’amis et la nuit prochaine, vous pourrez emménager dans vos chambres respectives. Je vais laisser les fenêtres ouvertes toute la nuit et les odeurs de peinture diminueront notablement demain.


- D’accord papa ! Bonne nuit tout le monde.


Dans la chambre d’amis, deux petits matelas avaient été posés à même le sol sur lesquels il y avait un oreiller et une couverture. Jade et ses filles se déshabillèrent en silence. Jade s’allongea sur son lit, totalement nue.


- Vous avez sommeil, les filles ?


Les deux gamines se regardèrent en souriant.


- Non !


- Non !


En disant cela, elles se ruèrent sur le grand lit en rigolant. Abeille fonça vers la chatte maternelle, écartant au maximum les jambes de sa mère. Quant à Alysée, elle chevaucha le visage de Jade tout en tournant le dos à Abeille. Cette dernière murmura à l’intention de sa sœur:


- Regarde ! Son con de salope mouille déjà.


C’était le seul moment où Jade tolérait un tel langage de la part des fillettes. La mère agrippa les fesses de la cadette et la tira vers sa bouche pour lui éviter de répondre à l’insulte de son aînée. Alysée tourna la tête vers Abeille et lui répondit en tendant le bras, le pouce levé vers le haut, dans un signe internationalement reconnu de satisfaction. La langue de Jade pénétra le petit con d’Alysée aussi loin qu’elle le pouvait pendant qu’Abeille lui faisait la même chose. Les mains de Jade montèrent vers les petits tétins brunâtres et plats de sa fille qu’elle entreprit de faire tourner entre ses doigts tout en les pinçant légèrement. La gamine, les yeux fermés comprit le message et bientôt, quelques gouttes de pisse se frayèrent un passage entre ses lèvres pour aboutir dans la bouche de sa mère qui s’en régala. Jade tordit les tétons de sa fille plus fortement, dans un message qui signifiait qu’elle en voulait encore plus. Alysée ouvrit les vannes et un flot de pisse inonda le bouche de sa mère qui parvint à tout avaler sans en perdre une goutte. Alysée jouit la première sous les manœuvres expertes de sa mère. Telle une fille et une sœur généreuse, elle démonta de la figure maternelle et se précipita derrière sa sœur et entreprit de lui lécher les fesses et le cul tout en lui fourrant deux doigts dans le con. Jade pinça fortement ses tétins et devant le spectacle de la cadette fourrant l’aînée, elle ne put résister à l’orgasme qui pointait. Elle jouit en arquant le dos et en râlant. Abeille succomba quelques instants plus tard, excitée en partie par sa réussite et en partie par les doigts de sa sœur. Elles retombèrent toutes deux inertes sur le matelas. Alysée regagna sa couche et s’allongeant, elle tira la couverture pour couvrir ses épaules. Dix minutes plus tard, elle dormait. Jade et Abeille se regardèrent en souriant. Abeille se pencha au dessus de sa mère et se mit à l’embrasser farouchement, goûtant les relents de pisse de sa sœur dans la bouche de sa mère.


- Moi aussi, je veux être ta salope, maman.


Jade sourit et sans un mot, elle se mit à genoux au-dessus du visage de sa fille. Soulevant la tête, cette dernière se mit à lécher avidement le clito maternel. Agrippant le crâne de sa fille, Jade dirigea bientôt les lèvres de sa fille vers les siennes et lui fit une offrande de quelques gouttes de pisse. Abeille les recueillit avec joie et s’en régala. Puis, ouvrant la bouche toute grande, elle demeura passive. De façon experte, Jade se mit à pisser doucement dans la bouche de sa fille, cessant le flot lorsque la menace de débordement devenait flagrante et reprenant le jet lorsque qu’Abeille avait fini de déglutir. Jade vida ainsi complètement le contenu de sa vessie dans l’estomac de sa fille. Elle s’allongea ensuite contre elle et entreprit de la masturber avec ses doigts. La gamine agrippa un sein maternel et, fermant les yeux, se concentra sur sa jouissance. Plus elle serrait le sein de Jade, plus cette dernière accélérait la pénétration des doigts dans le petit con. Quand Abeille atteignit le second orgasme, comme sa mère, elle se souleva sur les pieds et ouvrit la bouche dans un long hurlement totalement silencieux. Lubriquement, Jade retira ses doigts de la petite connasse de sa fille et les lécha longuement, savourant le goût de sa progéniture, puis, à la surprise d’Abeille, elle les réinséra dans la petite chatte. Cette fois, elle passa une jambe au-dessus de sa fille, et la chevauchant, elle entreprit de la masturber une fois encore tout en lui présentant sa fente rosâtre aux lèvres foncées et son anus bordé de petits ourlets. Elle masturbait doucement sa fille car elle savait bien que la gamine, après ces excès, devait être très sensible. Après quelques minutes, elle sentit les hanches d’Abeille qui commençaient à suivre le rythme de la masturbation, signe qu’elle approchait à nouveau du paradis. Jade fût tentée de lui faire un petit étron et de le laisser tomber sur le visage de sa fille mais elle se dit aussitôt que ce n’était pas le moment encore de passer à un tel degré de perversion et elle abandonnât le projet. Elle se concentra sur son activité et bientôt, Abeille repartit pour une troisième ascension. Elle gémit pendant une bonne minute avant de quitter le plateau de la jouissance. Jade s’allongea près d’elle et cinq minutes plus tard, elles dormaient profondément.



******************


Lorsqu’Abeille s’éveilla le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel. Elle enfila un short et un t-shirt et descendit à la cuisine, pieds nus et affamée. Shuan préparait le déjeuner et elle offrit à Abeille de lui faire des rôties.


- Merci grand-mère. Où sont passés les autres ?


- Ils font de la bronzette dans le jardin.


- Tu veux que je t’aide, grand-mère ?


- Non, merci. J’ai presque terminé mais j’aimerais bien que tu fasses quelque chose pour moi.


- Tout ce que tu veux, grand-mère.


- Justement, j’aimerais bien que tu cesses de m’appeler “grand-mère”. Je me sens toute vieille quand tu me nommes ainsi. Appelle-moi plutôt “tante” ou Shuan mais pas “grand-mère” tu veux bien ?


- Oui...tante ! Pardonne-moi !


- Oh ! Je ne suis pas offensée mais quand on vieillit, surtout nous, les femmes, on n’aime pas trop se le faire rappeler constamment, tu comprends ?


Elle avait dit “nous, les femmes” ! Tante ne la considérait pas comme une fillette mais comme une femme. Abeille en fût bouleversée. Elle se leva et vint, par derrière, étreindre Shuan qui faisait face à la cuisinière, ceinturant la taille de la femme mature de ses deux bras maigres. Shuan résista à la tentation de prendre les deux main d’Abeille et de les poser sur ses deux gros seins juste un peu mous.


- C’est vrai que tu n’es pas vieille, tante. Tu es encore tellement jolie, je ne le serai jamais autant que toi.


- Mais si, mais si ! Allez, aide-moi à transporter ces plats dehors, nous déjeunons dans le jardin aujourd’hui. Il fait trop beau pour rester à l’intérieur.


Les bras chargée de plats et d’ustensiles, Abeille fut étonnée de constater que tout ce beau monde se promenait totalement nu à l’extérieur. Ho semblait discuter avec Désirée, Alysée avec May et Ki avec Jade. Lorsqu’Abeille se présenta avec les plats, Jade et Désirée se levèrent et partirent pour la cuisine pour donner un coup de mains. Le repas fut délicieux et léger, comme il se doit lorsqu’il fait trop chaud. Quatre femmes s’attelèrent à laver la vaisselle et ce fût expédié en un rien de temps. Ensuite, tous retournèrent se prélasser au soleil. Abeille, mal à l’aise d’être la seule vêtue, retourna à sa chambre enlever ses vêtements et redescendit au jardin, totalement nue aussi. Ho occupait une des couvertures avec Alysée cette fois. Allongés tous les deux sur le dos, face au soleil, la main de Ho caressait les cuisses d’Alysée et s’aventura bientôt entre les jambes maigres de la gamine qui les écarta pour lui faciliter le passage. Ho bandait et sa queue, mince mais longue, reposait sur son ventre.


Sur l’autre couverture, Jade, Désirée et sa fille May, enceinte jusqu’aux yeux, formaient un trio sympathique qui s’embrassait et se léchait à qui mieux mieux. A quatre pattes, May, dont le ventre touchait presque le sol, se faisait brouter la rondelle par sa sœur aînée et Jade, la main enfouie dans le con de Désirée, faisait œuvre de marteau-pilon, défonçant la chatte bien ouverte de cette dernière. Abeille fût tentée de les rejoindre mais elle se dit qu’à trois, le nombre était bien suffisant. Directement sur la pelouse, à quatre pattes aussi, tante Shuan se faisait embrocher par Ki. Ses gros seins pendouillaient et virevoltaient dans tous les sens sous les coups de butoir du gamin. Trouvant sans doute la grotte un peu trop vaste pour lui, il changea de trou et il défonça brutalement l’oeillet de sa grand-mère. Cette dernière réagit à peine à la brutale attaque et elle fit signe à Abeille de les rejoindre. Cette dernière s’allongea par terre, la chatte juste à la hauteur de la bouche de Shuan et cette dernière entreprit un savant cunnilingus sur la chatte imberbe de sa petite-fille.


Ho souleva Alysée et, toujours sur le dos, la fit asseoir sur son visage. Sa langue se promenait de la petite fente jusqu’à l’oeillet et n’affichait aucune préférence entre les deux orifices. Quand Alysée fut bien humidifiée, Ho l’allongea sur le dos et se positionnant au-dessus d’elle, entreprit de la baiser. Il fit pénétrer sa queue lentement pour ne pas blesser la fillette. Le petit trou s’élargit lentement et après quelques minutes, il put adopter un rythme lent de va-et-vient dans la minuscule connasse. Alysée ferma les yeux et savoura ce moment tout en étant reconnaissante envers Ho de tout son talent et de la patience qu’il avait mis dans son œuvre.


Désirée fût la première à jouir, suivie de près par May. Pas ingrates pour deux sous, elles entreprirent de faire jouir Jade. May s’attaqua à la chatte et au clitoris et Désirée se mit à sucer les seins de sa sœur. La double sensation eut un effet immédiat sur Jade et elle les rejoignit bientôt au paradis de la jouissance. Ki fût le suivant, ses coups devinrent plus rapides et profonds et il répandit son jus dans l’intestin de Shuan puis, lentement, il décula. Shuan et Abeille n’avaient pas encore atteint la jouissance, elles changèrent de position, et sous le regard admiratif des autres, firent un soixante-neuf furieux où les coups de langues et les mouvements de hanches eurent bientôt comme conséquences de leur ouvrir les portes du ciel. La tension diminua et bientôt, tout le monde fit la sieste, écrasés par la chaleur et la fatigue de ces excès.


*******************


Le soir, au dîner, on mangea légèrement car la chaleur ne diminuait pas. May, qui mangeait pour deux, demanda à se retirer car elle se fatiguait rapidement. Ki l’accompagna et ne revint pas. Tous les autres passèrent au living où il y avait la clim sauf Ho qui descendit à la cave. Quand il revint au bout de dix minutes, il fit signe à Shuan de le suivre. Désirée et Abeille les suivirent. Jade se pencha vers Alysée et lui murmura à l’oreille:


- Si tu n’aimes pas ce que tu vas voir, tu n’as qu’à te retirer discrètement sans protester. Dis-toi bien que tout ce que nous faisons, c’est parce que nous aimons cela et que personne n’est obligé de participer.


- Oui maman !


La cave, plus fraîche, affichait des murs de ciment nu. Au centre, une piscine pour enfants gonflable de deux mètres trônait et deux vidéo cameras, montées sur des trépieds, encadraient la scène. Tandis que Shuan s’allongeait toute nue dans la piscine, Ho mit les cameras en marche et vint se placer près de la tête de sa femme. Il sortit une queue à demi érigée et se mit à uriner sur le torse et le visage de Shuan. Quand il eût terminé, Désirée le remplaça et vida sa vessie en visant uniquement le visage de sa mère qui, bouche ouverte, tentait d’avaler le plus de pisse possible. Alysée trouvait le spectacle très intéressant et sans s’en rendre compte, elle caressait sa petite fente, émoustillée par ces nouvelles activités. Jade prit la place de Désirée et vicieusement, visait les yeux de sa mère qui devait se tortiller pour tenter de mettre sa bouche devant le flot jaunâtre. Il arrivait que l’urine fasse son chemin dans les narines de Shuan qui devait alors expulser de l’air pour les nettoyer, ce qui la privait d’avaler. Quand Jade eût terminé, Abeille regarda oncle Ho et chercha son approbation. Celui-ci répondit par un hochement de tête et Abeille se leva à son tour. Tout en restant hors de la piscine, elle écarta les jambes pour bien montrer sa petite fente imberbe, retroussa ses lèvres à l’aide de deux doigts et laissa jaillir un puissant jet de pisse translucide directement dans la bouche de Shuan qui se révéla incapable de tout avaler tellement la quantité était importante.


Pendant ce temps, Ho prit place sur une chaise près d’Alysée et lui murmura à l’oreille:


- Pour aujourd’hui, tu ne fais que regarder. Si ça te dit. la prochaine fois tu pourras participer.


Un peu déçue, la fillette ne répondit que par un “ Oui, oncle “ lui aussi murmuré. Mais déjà, Abeille qui avait fini, se retirait du cadre de l’image et reprenait sa place sur une chaise près de sa tante Désirée qui l’embrassa goulûment, fouillant la bouche de la gamine dans tous les recoins tout en lui caressant le haut des cuisses et la petite fente.


Jade se leva et revint prendre place dans le cadrage. Elle plaça ses pieds de chaque côté de la tête de Shaun et s’accroupit tout en écartant les fesses des deux mains. Alysée vit clairement l’anus de sa mère s’ouvrir et la un étron pointer le nez. Jade continua de pousser et l’étron franchit le seuil du sphincter et prit la direction de la bouche de Shuan qui se hâta d’ajuster sa position afin que l’immonde offrande ne rate pas sa cible. Lorsque quelques centimètres eurent pénétré dans sa bouche, Shuan mordit l’étron et le coupa net. Jade cessa immédiatement de pousser. Shuan se mit à mâcher et après une minute de ce manège, on la vit nettement déglutir. Fascinée par le spectacle, émoustillée par la main de sa tante qui lui caressait le clito naissant, Alysée eût son premier orgasme de la soirée.


Shaun donna une petite tape sur la cuisse de Jade pour lui signifier qu’elle était prête à en recevoir encore. Jade recommença sa tâche interrompue et il sortit encore quelques centimètres qui tombèrent sur le visage de Shuan cette fois. Utilisant les deux mains, elle sépara le morceau de merde en deux partie égales et se mit à les frotter sur ses joues, tel un maquillage démentiel, couvrant non seulement les joues mais aussi le front jusqu’à la lisière des cheveux et ensuite le menton. Elle était méconnaissable, déguisée par un masque de merde. Délaissant Alysée, Désirée vint prendre la place de Jade qui vint prendre place près d’Abeille. Elle prit la main de cette dernière et la plaça sur sa fente, exigeant une masturbation de sa progéniture. Abeille se leva de sa chaise et, tournant le dos à l’action, vint s’accroupir devant sa mère et entreprit de la pénétrer de trois doigts pour ensuite faire entrer la main au complet dans la fente élargie de sa mère. Cette dernière écarta les jambes, fermant les yeux, elle se laissa aller sur le chemin de la jouissance.


Pendant de temps, Désirée, accroupie au-dessus du visage de Shuan fit un effort et un flot de merde presque liquide jaillit d’un coup sur le visage souillé. Shuan avait beau taper la cuisse de Désirée pour la faire cesser, cette dernière n’en tenait pas compte et continuait de chier sur Shuan. La merde couvrit entièrement le visage et débordait sur le côté, dans la piscine. Quand elle eût terminé, elle se tourna et prit la merde tombée hors cible et la plaqua dans les cheveux de sa mère puis vint reprendre sa place sur la chaise près d’Alysée. Cette dernière saisit la main souillée de sa tante et, à la grande surprise de cette dernière, la porta sous son nez, reniflant l’odeur de la merde familiale. Elle sortit la langue et doucement, la passa sur un des doigts de Désirée qui faillit jouir en regardant sa nièce si jeune faire un acte aussi dépravé. Elle retira sa main et embrassa la gamine, ce qui lui permit de goûter à sa propre merde.


Abeille regarda oncle Ho et lui fit signe que non, elle ne pouvait pas chier car elle n’avait vraiment pas envie. Ce dernier lui répondit par signe qu’elle n’était pas obligée de le faire. Il fit signe à Shuan qu’il n’y aurait personne d’autre. Ceux qui allait acheter ce film n’appréciait pas qu’il y ait des hommes trop souvent dans le cadrage. Shuan se mit alors à quatre pattes et sans utiliser les mains, dévora toute la merde qui était tombée dans le fond de la piscine. Cela lui prit quelques minutes. Ensuite, elle tenta d’aspirer de son mieux le peu de pisse stagnant dans le fond de la piscine.


Elle changea encore de position, s’assoyant, les jambes allongées et en prenant appui sur les mains posées à l’arrière, ce qui donnait à son torse une légère inclinaison vers l’arrière. Elle ouvrit la bouche et regarda directement dans la camera. Diplomatiquement, Désirée se pencha sur Abeille et se mit à l’embrasser à pleine bouche, lui cachant le spectacle de sa grand-mère qui se mit à vomir tripes et boyaux sur ses seins et son estomac. La merde ressortait d’un corps pour la deuxième fois en quelques minutes. Les borborygmes renseignèrent tout de même Alysée sur ce qui se passait et qu'elle ne pouvait voir. Elle en fût reconnaissante à tante et lui rendit son baiser. Shuan continuait de dégobiller, les nausées succédaient aux nausées et son ventre et sa fente furent couverts d’un liquide nauséabond. Quand les haut-le-cœur cessèrent, elle s’allongea de nouveau dans la piscine et entreprit une furieuse masturbation qui l’amena bientôt à une jouissance extraordinaire. Faisant un arc entre les épaules et les pieds, sa jouissance fût marquée par un puissant jet de pisse qui fit un arc et retomba en-dehors du champs des cameras et aussi en dehors de la piscine. Ce fût la seule souillure qui atteignit le plancher.


Ho passa derrière les cameras et poussa les commutateurs pour les arrêter de filmer. Les autres se levèrent et se dirigèrent vers l’escalier pour remonter au rez-de-chaussée pendant que Shuan se dirigeait vers un boyau fixé au mur pour une toilette nécessaire et urgente.


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- Dis maman, oncle a dit que je pourrais participer la prochaine fois qu’il fera un film. Tu veux bien, dis ?


- Seulement si tu en as envie.


- Ben tu sais, j’avais envie moi ce soir !


- Tu aimerais ça, chier dans la bouche de tante ?


- Oh oui alors !


- Et dans la mienne, tu le ferais aussi ?


Alysée eût un sourire timide.


- Ce serait encore meilleur. Tu le recracherais ensuite ?


- Pourquoi ? C’est si bon de la merde de petite fille. Viens dans ma chambre, la soirée est jeune, on va s’amuser toutes les deux. La gamine sentit sa fente s’humidifier.



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CHINOISERIES

PAR LE MATOU