Une femme qui prenait plaisir à baiser son gamin,

Usant du con du cul de la main,

Décida un jour de quitter la pauvreté

Épousant un grand dadais mais riche fermier


Elle l’envoûtât si bien qu’il ne vit pas

Qu’avec un autre elle partageait ses appâts.

Il l’aimait du tel amour naïf

Que son destin en fut hâtif.


Le matin, dès qu’il partait pour le champ,

La femme sautait dans le lit de son enfant,

L’embrassant le caressant jusqu’à l’érection

A quatre pattes lui ouvrant son fion.


Le gamin grandissait, son membre aussi

Enculant sa mère jusqu’au nombril.

Bientôt elle en eut assez de l’encombrant

Lui enjoignant d’écrire son testament


Un jour qu’il nettoyait la fosse à purin

Traîtreusement et sous le regard du gamin

Elle poussa son mari vers son destin

Qui quitta ce monde sans tintouin


Excitée par le vue du dadais qui se noyait

Elle releva sa robe exposant sa raie

Exigeant d’être prise par le cul

Pendant qu’elle jouissait de la vue


Quand le crime fut accompli et l’inceste fini

Et qu’on ne vit plus le mari

Le fils embrassa la femme

Et la poussa à son tour dans l’infâme


S’il y a une morale à cette histoire

Il faut être aveugle pour ne pas la voir

Quand on pousse dans la merde un amour

On risque fort d’y atterrir à son tour.




FABLE MERDIQUE

PAR LE MATOU