Ce matin-là, ce fut la pluie qui réveilla Geneviève. Une pluie abondante poussée par des vents violents qui venaient de mettre au rancart les projets de bronzette de cette dernière. Une journée monotone en perspective ! Elle éveilla les enfants, descendit à la cuisine préparer le petit déjeuner et un grand bol de café pour elle-même.


- Grouillez-vous, vous allez être en retard.


Seule Louise descendit les marches vêtue de son pyjama, les deux autres vêtus de leur uniforme scolaire obligatoire. Le repas fut expédié tandis que Geneviève passait un jeans et une blouse. Tout le monde s’engouffra dans la voiture et en avant pour l’école. Le trajet habituel amenait Robert à son école en premier. Il embrassa sa mère rapidement, descendit de la voiture et partit en courant vers la porte. Geneviève sortit de la rue et au moment de faire l’arrêt obligatoire, elle vit dans le rétroviseur le visage de Denise.


- Qu’est-ce qu’il y a ? Ça ne te tente pas d’aller à l’école aujourd’hui ?


- Bof !


- Qu’est-ce que tu dirais de revenir à la maison et de passer la journée à la maison avec moi ? Je pourrais téléphoner à ton école et leur dire que tu es malade.


- C’est vrai ? Tu ferais ça ?


- Oui mais c’est exceptionnel. Juste pour cette fois.


Denise comprenait très bien ce que voulait dire “passer la journée avec maman”. Elle enjamba le dossier du siège avant, dévoilant sa petite culotte blanche et prit la position que Robert venait de quitter laissant Louise seule sur la banquette arrière. Geneviève posa la main sur la cuisse gauche de Denise et celle-ci, pour montrer sa compréhension et son approbation, releva le bas de sa petite robe jusqu’à la taille, exposant sa petite culotte blanche immaculée. Pointant l’arrière de la voiture avec son pouce, Denise demanda:


- Qu’est-ce qu’on fait avec elle ?


- Je vais lui mettre une cassette et ça va l’occuper pendant un bon bout de temps.


Geneviève conduisit prudemment car la pluie continuait de fouetter le pare-brise de la voiture, diminuant la visibilité. De retour à la maison, d’un geste machinal, elle vérifia la couche de Louise qui demeurait sèche. Elle inséra une des nombreuses cassettes de dessins animés dans le magnétoscope et Louise, souriant, prit place dans un fauteuil. Puis, la main dans la main, Denise et elle se dirigèrent vers la chambre des maîtres. Geneviève retira les couvertures et, ouvrant un tiroir de la commode, prit une alèse qu’elle posa sur le lit. Dans un autre tiroir, elle souleva une pile de vêtements et sortit trois cassettes qu’elle offrit à Denise. De toute évidence, les cassettes affichaient des performances amateurs hard. Sur la première boite, la photocopie d’une photo montrait une femme dans la trentaine avancée, assise, avec deux fillettes assises sur ses genoux, nues toutes les trois. Les deux gamines semblaient avoir l’âge de Denise. Sur la deuxième boite, on voyait une femme nue, allongée par terre. Une gamine d’une dizaine d’années lui pissait sur le visage. Sur la troisième boite, une femme agenouillée sur le sol se faisait chier dans la bouche par une personne de sexe féminin dont on ne voyait que les fesses sans pouvoir déterminer son âge. Ce fut cette dernière que Denise choisit.


Geneviève prit place au pied du lit et Denise vint s’asseoir sur ses genoux, les jambes de chaque côté de celles de sa mère. La neige du début du ruban céda la place à une image foncée, défaut courant dans les films amateurs où l’éclairage est souvent déficient. Il n’y avait pas de scénario ni d’histoire. Une femme d’une trentaine d’années fit son apparition de derrière la camera qui demeura fixe. On la devinait montée sur un trépied. L’œil indifférent de la camera fixait un très grand lit de tellement près qu’on ne voyait ni la tête ni le pied du lit. La femme, qui devait faire un mètre soixante cinq, coupait ses cheveux châtains court. Sa poitrine un peu forte pendait légèrement sur son torse et offrait un contraste étonnant avec ses jambes fines et ses hanches minces. Son sexe rasé présentait un bronzage aussi prononcé que le reste de son corps. Elle ne devait jamais porter de maillot. Peut-être vivait-elle dans un camp de naturistes. Elle s’allongea sur le dos, face à la camera et écarta les jambes tout en croisant les mains derrière la tête. Sans effort apparent, elle releva les jambes à la verticale et se mit à pisser. Un puissant jet vertical apparut comme par enchantement s’élevait à un bon mètre dans les airs avant de retomber sur sa poitrine et son visage.


Denise gigota sur les cuisses de Geneviève. Cette dernière se pencha et embrassa sa fille dans le cou. Elle déboutonna les quatre boutons supérieurs de la robe de la gamine et, enfilant sa main dans l’ouverture, elle caressa la poitrine plate de l’enfant tout en laissant ses doigts tournoyer autour des mamelons infantiles. Denise rejeta sa tête vers l’arrière et l’appuya sur l’épaule maternelle tout en la pivotant légèrement. Geneviève en profita pour déposer un gros baiser humide sur les lèvres de Denise. Cette dernière aurait bien voulu continuer ce baiser mais l’action changeait sur l’écran de télé.


Le jet de pisse perdait de la force et cessa bientôt. La femme se redressa et changea de position. Elle se mit à quatre pattes, tournant toujours le dos à la camera. Puis, elle posa son visage sur le drap et, ses deux mains ainsi libérées, elle les utilisa pour écarter ses fesses maigres. On voyait ainsi l’anus légèrement plus foncé que les reste de sa peau. Quelques gouttes de pisse glissaient des lèvres du vagin. Elle tira plus fort sur ses fesses et on vit l’anus commencer à s’entrebailler. Elle plaça ses doigts plus près de son trou du cul et tira encore plus fort, faisant blanchir la peau sous ses doigts. L’anus s’ouvrit à nouveau, encore plus que la dernière fois. Puis, on vit un étron poindre le nez hors de sa niche. D’un brun foncé, compact, solide; signe évident qu’il était demeuré en place plus d’une journée.


Il émergeait de l’anus à l’horizontale. Ce ne fut que lorsque qu’il dépassa les douze centimètres qu’il se brisa et tomba dans le lit. La femme reprit son souffle bruyamment puis se remit à pousser tout en maintenant la pression des doigts afin de conserver le trou du cul ouvert.


Geneviève continuait de caresser la poitrine de Denise. Cette dernière prit la main gauche de sa mère et la plaça près de l’élastique de sa petite culotte. Geneviève continua le mouvement et ses doigts s’infiltrèrent sous l’élastique et rejoignirent la petite fente déjà humide de la gamine. Cette dernière tourna la tête autant qu’elle le pût et reçut en récompense un baiser langoureux de sa mère dont la langue écarta les lèvres de la gamine pour venir fouiller les recoins de sa petite bouche. Denise prit soin d’appuyer sur le bouton “pause” de la télécommande afin de ne rien perdre de l’action du film. Quand le baiser se termina, Geneviève nota qu’une bonne partie de son rouge à lèvres barbouillait les lèvres de Denise et leur pourtour. Elle appuya de nouveau sur le bouton et le mouvement reprit sur l’écran.


La femme ne changeait pas de position et recommençait à chier. Un long filet continu de merde émergeait maintenant. Un peu plus pâle que l’étron initial, la merde sortait... sortait...continuait de sortir sans arrêt. Denise écarquillait les yeux devant une telle performance.


- Ah dis donc ! Ben ça alors !

- C’est joli, non ?

- Je ne pourrais jamais faire ça !

- On ne t’en demande pas tant. Un cas comme celui-là est rare et ça vaut la peine d’être regardé, non ?


Denise ne pût que hocher la tête tellement elle était absorbée par la vision. L’index maternel avait maintenant abandonné le petit clitoris naissant et commençait une lente pénétration de la petite fente enfantine. Le processus était facilité par la mouille qui jaillissait du petit con, révélant l’excitation de Denise.


Sur l’écran, l’éjection de la merde ralentissait et cessa bientôt. Il y avait un gros tas de merde qui devait bien peser au moins un kilo et demi. Toujours à quatre pattes, la femme fit un demi-tour complet. Elle était maintenant face à la camera et regardait alternativement la camera et le tas de merde qu’elle venait de produire. Elle reniflait ostensiblement les effluves de ses œuvres. Lorsqu’elle releva le visage vers la camera pour la troisième fois, elle souriait.


Profitant de ce court répit dans l’action, Geneviève en profita pour tirer sur la robe de la gamine et la faire passer par-dessus sa tête. Puis, elle tira la petite culotte vers le bas. Denise contribua en levant les jambes pour faciliter l’enlèvement de l’encombrant vêtement. Elle ne portait plus que des socquettes blanches assorties à ses souliers blancs.


- Tu veux que le les enlève, maman ?

- Non, tu es tellement jolie ainsi.


Denise sourit et accepta le compliment en rosissant. Mais l’action allait reprendre sur l’écran car la femme, regardant derrière la camera, venait de faire un signe approbateur de la tête. Une fillette d’une douzaine d’années, blonde comme les blés, nue, des petits tétons roses et pointus vint prendre position contre la femme et le tas de merde. Elle s’assoit près de la femme et toutes deux regardent la camera. Sans un mot, la gamine posa sa main derrière la tête de la femme et se mit à pousser lentement, très lentement, le visage de cette dernière vers le monticule infâme. Sans opposer de résistance, le visage descendait et bientôt, le nez vint toucher le point le plus élevé du monticule merdique. Puis, d’une poussée plus forte, la gamine écrasa le visage de la femme dans la merde, creusant un cratère et faisant rejaillir la merde sur les bords. Sans laisser à la femme le temps de respirer, la gamine faisait maintenant rouler le visage de la femme de gauche à droite et de droite à gauche dans le tas d’immondices. Au bout d’une minute de ce manège, elle tira doucement sur les cheveux de la femme pour lui relever la tête. La femme était méconnaissable. On ne voyait plus un centimètre carré de sa peau. La merde recouvrait totalement son visage. Il y en avait dans le front, les yeux, sur le nez et le menton. Puis, contre toute attente, on vit les dents de la femme: elle souriait.


Denise était de plus en plus excitée. A deux mains, elle saisit la main maternelle et poussa sur cette dernière afin d’accentuer la pénétration de l’index maternel qui mimait une pénétration. La gamine voulait se faire masturber plus profondément. Geneviève fut trop heureuse d’obtempérer. Après quelques secondes, Denise entama un lascif mouvement des hanches avant-arrière, se masturbant sur le doigt de Geneviève tout en gémissant doucement.


Sur l’écran, la fillette regardait la femme en souriant elle aussi. Avec sa main gauche, elle ramassa une grosse poignée de merde qu’elle vint placer sous les lèvres de la femme. Cette dernière ouvrit la bouche et accepta l’offrande immonde. Elle mâchouilla un peu et faisant un effort, elle avala. La gamine en remit encore une autre poignée et la femme réitéra son manège. Elle avala ainsi quatre poignées de sa propre merde, les yeux toujours encombrés d’immondices qui la rendaient aveugle. Puis, la gamine se leva et se tenant légèrement de côté par rapport à la camera, elle prononça à voix basse quelques mots. La femme ouvrit immédiatement la bouche. La gamine écarta un peu les jambes et après quelques secondes, elle se mit à pisser abondamment dans la bouche de la femme. De temps en temps, elle dirigeait le jet vers les yeux lorsque la femme fermait la bouche pour avaler. Elle parvint ainsi à nettoyer les deux yeux de la femme avant que le jet ne perde de sa force et cesse lamentablement avant que la femme ne soit repue. La fillette vint se rasseoir près de la femme et passant son avant-bras derrière la tête de cette dernière, elle avança son visage vers celui de la femme et se mit à l’embrasser langoureusement, la langue sortie à la rencontre de l’autre langue brunâtre. Elles s’embrassèrent ainsi à qui mieux-mieux pendant une bonne minute avant de reprendre leur souffle. La gamine avait maintenant le visage barbouillé. Geneviève saisit la télécommande et subito, pressa le bouton “stop”.


- Pourquoi t’as fait ça ?

- Je pense que la suite ne te plaira pas.

- Pourquoi ?

- Parce qu’elle vont être malade toutes les deux.

- Ohhh !


Posant la télécommande sur la télé, Geneviève retira son t-shirt et enleva ses jeans. Passant les mains dans le dos, elle défit sa brassière qu’elle lança sur une chaise près du lit. Denise regardait faire sa mère. Elle vint se placer près d’elle et elle retira elle-même la petite culotte maternelle, dévoilant un sexe bien gras, rasé de près. Elle ne put s’empêcher de le caresser de sa petite menotte. Geneviève se pencha et saisit Denise sous les bras. Elle la souleva etla gamine mit ses bras autour du cou de sa mère. Geneviève en profita pour changer la position de ses mains, les plaçant sous les fesses de la gamine pour la soutenir tout près d’elle. Denise écarta les jambes et ceintura les hanches de sa mère. Elle appuya ses lèvres sur celles de sa mère qui en profita pour darder sa langue à l’intérieur de la bouche de sa fille. Elles échangèrent un long et passionné baiser. Geneviève profita de l’occasion pour faire pénétrer son index dans le petit œillet de la fillette. Excitée par la pénétration maternelle, le baiser de Denise redoubla de vigueur. Sa petite langue tournait et retournait autour de la grosse langue de sa mère et fouillait tous les recoins de la bouche de cette dernière.


Geneviève retira son doigt en même temps que le baiser prenait fin. Elle porta son doigt sous son nez et huma l’odeur de sa fille. Puis, elle ouvrit la bouche et y inséra le doigt légèrement maculé et le suça tout en regardant sa fille dans les yeux. Cette dernière sourit. Quand le doigt fut bien gras et bien humidifié, elle le replaça dans le petit cul de sa fille et le fit tournoyer.


- Oh maman ! C’est si bon ! Mais tu vas me donner envie de chier.

- Je sais ma chérie, c’est pour ça que je le fais.


- Ne l’enlève pas tout suite ! Encore !


Geneviève sourit et recommença à embrasser la gamine. Le doigt enfoncé jusqu’à la troisième jointure fouillait le gros intestin de la gamine et y fit une rencontre prometteuse. Elle en fut ravie.


- Vas-y ! Chie dans ma main.


Trop heureuse de se laisser aller et de satisfaire sa mère, Denise n’eut même pas besoin de pousser. Elle appuya sa tête sur l’épaule de sa mère et laissa la nature opérer. Un petit étron brun foncé émergea de l’oeillet rose et fila dans la main de Geneviève, précédé d’un petit pet charmant. Quand le muscle anal se referma, un étron d’une dizaine de centimètres reposait dans sa main. Elle le porta à sa bouche, en suça le bout et le fit pénétrer entièrement, sans même éprouver d’inconfort. Elle prit soin de ne pas le mâchouiller, juste pour faire durer le plaisir. Denise releva la tête et recommença à embrasser sa mère à pleine bouche, tentant même de lui subtiliser son trésor immonde. Elles suçotèrent ainsi la merde pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que, n’y tenant plus, Geneviève l’avale en trois déglutissements. Elle posa Denise par terre car elle devenait lourde à la longue et se dirigea vers le lit.


Elle allongea la gamine sur le dos, lui écarta les jambes et plongea sa tête entre les jambes graciles, dardant sa langue le plus profondément possible dans la petite fente. Denise ferma les yeux et laissa la jouissance monter. Le goût âcre de la merde ralentissait l’arrivée de cette dernière et Geneviève dut utiliser tout son savoir-faire pour parvenir à faire cabrer sa fille en un orgasme salvateur. Denise en pleura de joie et retomba toute molle. Geneviève s’allongea près d’elle et l’admira tout en la caressant. La gamine avait du potentiel.


Au bout de quelques minutes, Denise ouvrit les yeux.


- Tu n’as rien eu, toi !

- Moi aussi, j’ai envie.

- Allez maman, chie pour moi ... et pour toi aussi !

- Comme la dame de la télé ?

- Oui oui ! Comme elle ! Et moi, je vais regarder.


Geneviève changea de position et, appuyant sa tête sur l’oreiller, à quatre pattes, elle écarta les jambes. Prenant appui sur les épaules, elle utilisa ses mains pour écarter ses fesses, dévoilant un œillet malmené par des années de dépravations. Comme il y avait déjà un bon moment qu’elle se retenait, elle n’eut pas à forcer pour chier, elle laissa simplement son colon se contracter pour éjecter le contenu infect. La corolle s’ouvrit lentement jusqu’à environ six centimètres de diamètre et un gros serpent presque noirâtre pointa le nez. Il sortait lentement, comme craintif de quitter un nid si accueillant. Puis, le mouvement s’accéléra et le diamètre rapetissa. Il tomba finalement sur le lit, un bel engin d’une douzaine de centimètres de long. Fascinée, la gamine regardait l’anus maternel qui se refermait lentement après une telle performance. Puis, elle ramassa l’étron dans sa main mais elle ne parvenait pas à la refermer sans écraser un peu la circonférence de l’objet. Geneviève se tourna sur le dos et allongeant le bras, saisit un tube qui trônait sur la table de nuit adjacente.


- Donne-le moi et toi, prends ce tube et enduis ta main et ton avant-bras de ce produit.


Quand ce fut fait, Geneviève écrasa la motte de merde mais elle ne fut pas satisfaite. Elle plaça ses mains sous son con et pissa un peu afin de diluer la merde jusqu’à la consistance recherchée. Elle ramena ensuite ses pieds près des fesses.


- Maintenant, fait entrer ta main dans mon cul. N’aie pas peur, ça ne me fait de mal et j’aime bien cela. Ensuite, en faisant tournoyer ton bras et en serrant ton poing, continue de pousser et essaie de te rendre le plus profond que tu peux. Tu comprends ?



Denise acquiesça et se penchant, elle plaça ses doigts en forme de cône sur l’anus maternel. Elle poussa un peu et, comme par magie, l’antre s’ouvrit pour laisser le passage à la menotte de la gamine. Pendant ce temps, Geneviève sépara la mixture en deux parties et commença à masser ses seins et son ventre avec le mélange odorant. Il régnait une odeur infecte dans la chambre. Sans en tenir compte, la gamine continuait bravement la pénétration et bientôt, la moitié de son avant-bras disparaissait dans le gros colon maternel. Sa mère continuait de masser ses seins avec le mélange de merde et de pisse. Denise entama un mouvement de retrait lent et régulier. Elle savait d’instinct que même si sa mère aimait cela, il fallait procéder délicatement, tout au moins au début. Quand, après quelques minutes, elle vit sa mère porter sa main à sa bouche et prendre une grosse bouchée de merde, elle sut qu’elle pouvait accélérer le mouvement. Geneviève mâchouillait lentement et elle finit par avaler. Elle en prit une deuxième bouchée qu’elle mâchât moins longtemps que la première et elle l’avala tout-de-go. Elle répéta l’opération encore deux fois et il ne restait plus qu’une petite bouchée dans sa main. Maintenant, ses hanches accompagnaient le fistage de la fillette. L’extase approchait ! Quand Geneviève prit la dernière bouchée, tout en continuant de fister le cul maternel, Denise se précipita en avant et se mit à embrasse sa mère furieusement, le jus merdique mêlé de salive dégoulinait sur les deux mentons et bientôt, Geneviève ne pût se retenir et la jouissance explosa en même temps que sa langue ravageait l’intérieur de la bouche de la gamine. Elle resta un bon moment au sommet avant d’entreprendre une lente descente vers la normalité.


Denise souriait, fière d’avoir réussi à faire exploser sa mère. C’était aussi bon de donner que de recevoir. La gamine avait beaucoup de potentiel !


Après le déjeuner, Geneviève vit Denise, allongée sur le canapé, entamer une sieste. Elle en profita pour démarrer l’ordinateur et se brancha sur le chat. A peine eut-elle le temps de regarder la liste des participants qu’une fenêtre s’ouvrit.


frangines1926.: Salut !


Coprolesbie41: Bonjour, comment ça va ?


frangines1926.: très bien et toi ?


Coprolesbie41: moi aussi, je suis heureuse de vous trouver, j’ai quelque chose à vous demander.


frangines1926.: tiens, moi aussi.


Coprolesbie41: je parle à Pauline ou à Dorothée ?


frangines1926.: Désolée, c’est Pauline mais Dorothée n’est pas loin, si tu veux lui parler.


Coprolesbie41: qu’est-ce que tu voulais me demander ?


frangines1926.: on a montré ton clip à notre mère et elle voudrait bien te rencontrer le week-end prochain quand tu viendras nous voir. Son copain ne sera pas présent et n’est pas au courant, juste nous trois.



Avant d’avoir eu le temps de répondre, une autre fenêtre s’ouvrit et demandait si Geneviève acceptait de recevoir un petit fichier zip.



frangines1926.: voici quelques photos de notre mère, Evelyne !


Coprolesbie41: merci ! Donnez-moi une minute pour les charger et les décompresser.


frangines1926.: bien sûr !


La première des cinq photos à basse résolution montrait une femme d’une quarantaine d’années, vêtue sobrement d’un tailleur foncé, chaussée de talons hauts noirs et les cheveux tirés vers l’arrière, la mine un peu sévère. Sur la deuxième photo, elle occupait exactement la même position dans la pièce mais elle était totalement nue et cette fois, elle souriait à pleines dents. Bronzée intégralement, les jambes écartées légèrement, elle offrait une belle paire de seins un peu tombant et une chatte intégralement rasée ou épilée, impossible de préciser avec une telle résolution. Dans la troisième photo, elle était toujours totalement nue mais encadrée de ses deux filles, nues elles aussi. Pauline semblait avoir vingt ans alors que Dorothée ne devait pas avoir plus de dix ou onze ans. Il fallait que Pauline soit sérieusement accrochée ou totalement inconsciente pour envoyer des photos aussi compromettantes. Sur la quatrième photo, prise de face mais cadrée un peu plus bas, on voyait la mère pisser sur le plancher, tout simplement. Sur la dernière, tournant le dos à la camera, penchée par en avant, elle chiait un bel étron.


frangines1926.: comme tu peux le constater, ces photos datent d’une dizaine d’années. Elle a vieilli, et nous aussi, depuis ce temps.


Coprolesbie41: moi aussi, hélas ! Mais je suis impatiente de la rencontrer, tout comme je suis impatiente de vous rencontrer toutes les deux.


frangines1926.: elle va être très heureuse. Ça fait un moment qu’elle n’a pas rencontrer de femme aussi jolie que toi.


Coprolesbie41: arrête ça, tu vas me faire rougir.


frangines1926.: j’en doute ! Et toi, qu’est-ce que tu voulais me demander ?


Coprolesbie41: justement, je me demandais si je pouvais amener un membre de ma famille.


frangines1926.: qui ?


Coprolesbie41: ma fille, elle a neuf ans et pourrait déjà utiliser mon pseudo !


frangines1926.: fantastique, on aime bien les jeunettes et on ne sera pas trop dures avec elle.


Coprolesbie41: parfait ! Nous serons là vers treize ou quatorze heures, dépendamment de la circulation.


frangines1926.: on vous attend.


Coprolesbie41: a +


frangines1926.: a +


La fenêtre de chat se referma et Geneviève détruisit les photos. Il ne faudrait pas que Charles trouve ces horreurs sur le disque dur. Elle mit l’ordinateur en mode veille, s’étira et regardant Denise qui roupillait toujours, trouva que l’idée de faire une sieste méritait son approbation. Elle se rendit dans la chambre après avoir vérifier la couche de Louise et insérer une nouvelle cassette de dessins animés. Elle s’endormit rapidement.


Pour une fois, Charles rentra du boulot à une heure raisonnable. Après le dîner, Louise fut la première au lit. Denise la suivit une heure plus tard et Robert, encore une heure plus tard. Charles lisait le journal mais comme la politique ne l’intéressait pas, il tournait les pages rapidement. Quand il le rangea, Geneviève lui souriait. Charles saisit l’allusion et faisant le tour des pièces, il éteignit les lumières. Quand il parvint dans la chambre, Geneviève était déjà à moitié nue. Quand elle le fut totalement, elle s’allongea à plat ventre dans le lit. Charles la rejoignit rapidement et s’allongea sur elle. Même si elle ne jouissait plus depuis longtemps avec lui, elle ne voulait pas le priver de plaisir. D’ailleurs, aucun homme ne pourrait plus la faire jouir, elle aimait trop les femmes et les fillettes. Elle se sentait un peu coupable envers lui et se promettait bien de n’en rien laisser paraître.


Charles bandait déjà. Sa queue reposait dans le sillon fessier de Geneviève. Il guida sa queue dans le con invitant et après une lente pénétration, il entama une va-et-vient qui l’amena à la jouissance en cinq minutes.


- J’ai une mauvaise nouvelle: je pars en voyage d’affaire dès vendredi et je ne reviendrai pas avant six jours.


- Dans quel pays ?


- En Malaisie pour trois jours et en Indonésie pour les trois autres jours.


- Un gros contrat ?


- Deux gros contrats et deux commissions bien juteuses si je les fait signer.


- Pourquoi est-ce une mauvaise nouvelle ?


- Je vais te laisser seule tout le week-end et une bonne partie de la semaine.


- Ne t’en fais pas avec cela. Je trouverai bien le moyen d’amuser les enfants et puis, tu leur rapporteras des souvenirs de là-bas, ça leur fera plaisir.


- T’es un ange !


- Le mot de Cambronne pour les contrats !


Geneviève se leva et passa à la salle d’eau pour faire un brin de toilette. Quand elle revint, Charles dormait.


****************************


Le vendredi, Geneviève reconduisit Charles à l’aéroport et profita du reste de la journée pour faire du shopping. Le samedi matin, elle annonça à Robert qu’il devrait garder sa sœur cadette pendant qu’elle et Denise seraient parties. Un peu à sa surprise, Robert ne protesta pas. Il y avait un match à la télé et il comptait bien ne pas le rater.


Dans la voiture, Denise dormit une bonne partie du trajet. Geneviève trouva la maison après avoir chercher dans la petite ville pour se faire dire par un pompiste que l’adresse qu’elle cherchait se trouvait un peu en dehors de la ville, dans la campagne avoisinante. Elle trouva enfin la place; une belle maison trônait à une cinquantaine de mètres de la route. Il y avait aussi des bâtiments de ferme à l’arrière et le jardin semblait impeccablement tenu. Elles montèrent les marches qui menaient à la porte centrale avant mais Geneviève n’eut pas le temps d’utiliser le carillon que déjà la porte s’ouvrait. Pauline leur souhaitât la bienvenue et toutes trois passèrent au salon où Evelyne et Dorothée les attendaient. Geneviève prit place dans un fauteuil individuel alors que Denise dut se faire une place entre Dorothée et sa mère. Denise examinait sans vergogne la mère des deux femmes. Elle la trouvait jolie bien qu’elle fut plus âgée que sa propre mère. Son bronzage prononcé faisait ressortir les cheveux gris qui parsemaient sa toison. Lorsqu’elle se sentit observée, Evelyne regarda Denise et lui sourit.


- Vous êtes très jolie, madame.


- Eh bien merci ! Toi aussi, tu es très mignonne. Dites, les filles, pourquoi vous ne faites pas visiter la ferme à madame pendant que je fais les honneurs de la maison à Denise ?


Evelyne se leva et prit la main de Denise tandis que les trois autres se dirigeaient vers l’arrière de la maison pour sortir par la porte arrière. Evelyne lui fit signe de prendre l’escalier et elle la suivit, lorgnant sous la robe courte de Denise et y découvrant des trésors qu’elle avait déjà hâte d’explorer. Pendant ce temps, Pauline et Dorothée prirent chacune une main d’Evelyne et se dirigèrent vers l’arrière du plus éloigné des bâtiments.


- On vous a préparé une surprise, j’espère que vous allez aimer. Nous élevons quelques animaux de ferme, pour le plaisir d’avoir des aliments frais. Mais aussi, pour le plaisir tout court.


Quand elles débouchèrent derrière le plus gros des bâtiments, Evelyne y vit d’abord un gros tas de foin puis un mât horizontal qui émergeait du mur de la grange. Au bout du mât, un treuil manuel. Mais ce qui la frappa surtout, ce fut l’odeur de fumier frais. Sous le treuil, il semblait y avoir une plaque de fumier liquide. Pauline lui expliqua.


- On a creusé ce trou d’un mètre de profond la semaine dernière et nous l’avons utilisé comme toilette depuis ce temps. Ensuite, nous avons rajouté du fumier bien frais de la ferme et dilué le tout avec de l’eau. Regardez la consistance.


Sans autre préambule, Pauline se baissât et y plongea la main jusqu’au poignet. Lorsqu’elle la ressortit, une liquide brunâtre compact s’écoula lentement de sa main. Elle lécha le creux de sa main et ne recrachât pas la pitance. Geneviève était éblouie: une piscine de merde. De la merde bien fraîche et en abondance. Elle sentit qu’elle mouillait déjà.


- C’est fantastique !


Les deux sœurs se regardèrent, soulagées de ne pas avoir offensé leur invitée.


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Allongées côte à côte, Evelyne et Denise feuilletaient un gros album de photos. Evelyne tournait lentement les pages pour laisser le temps à Denise de bien voir toutes les photos.


- Celle-là a été prise la journée de mon mariage, ici c’est mon défunt mari.


- Ça fait longtemps qu’il est mort ?


- Oui, plus de dix ans maintenant. Celle-là, j’étais enceinte de Pauline.


- Ça ne parait presque pas !


- Tu vas voir sur les prochaines que ça parait beaucoup plus.


Evelyne tourna la page et les photos suivantes la montrait totalement nue.


- Ici, j’étais enceinte de sept mois, sur celle-là de huit mois et demi.


A la page suivante, Evelyne donnait le sein à un bébé vêtu de rose.


- C’est Pauline.


Les pages suivantes montraient Pauline, toujours nue, à divers âges. Certaines photos la montrait seule, sur d’autres, il y avait Evelyne, nue aussi et quelques unes montait le père et Pauline, nus tous les deux.


- Pourquoi on ne vous voit jamais tous les trois ?


- Il fallait bien que quelqu’un prenne la photo, nous n’avions pas d’appareil à retardement.


Les photos continuaient de défiler: toujours des nus. Evelyne avait du retirer les photos ordinaires pour ne laisser que les images provocantes. Pauline avec sa mère, Pauline tenant le sexe rigide de son père, Pauline assise sur le visage de sa mère, caressant ses seins. Pauline, vers l’âge de cinq ans, nue, debout sur une table, pissant par terre.


- J’espère que ça ne te dérange pas de regarder ces photos ?


- Oh non ! Chez moi, maman possède des cassettes entières de ce genre et des bien meilleures.


- Ah oui ! Comment ça ?


- On a regardé une cassette cette semaine d’une madame et de sa fille: la madame chiait dans le lit et ensuite elle mangeait son caca. Ensuite, sa fille et elle vomissaient mais ça , je ne l’ai pas vu, maman a stoppé la cassette avant cette scène.


- C’est peut-être mieux comme cela.


- Moi, j’aurais bien aimé tout voir.


- J’en ai quelques unes si tu veux voir, mais il ne faudra pas le dire à ta maman, promis ?


- Promis !!!


Evelyne se leva et serra l’album de photos. Elle ouvrit le placard de la chambre et tira une grosse boite pleine de cassettes vidéo. Elle fouilla un moment puis en tira une cassette, visiblement une copie pirate, qu’elle inséra dans le magnétoscope sous la télé. Elle mit l’engin en marche et tira le fauteuil à une distance raisonnable, enleva sa robe sous laquelle elle était nue et invita Denise à s’asseoir sur ses genoux. Le générique affichait une image composée de deux femmes adulte d’une trentaine d’années et deux fillettes de dix ou onze ans. Le titre en caractère chinois, illisibles pour elles, était heureusement traduit en anglais: “Dinner for four”.


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- A quoi sert le treuil ?


- Quand Dorothée fait une bêtise, on l’attache par les chevilles et on la fait mijoter tête première dans la mixture. Elle adore cela et souvent, elle fait des bêtises pour qu’on la punisse, si on peut appeler cela punir, de faire à quelqu’un des choses qu’elle aime.


Pauline regardait Dorothée qui était accroupie tout près de la bordure du trou et qui remuait le mélange avec un doigt. Sans avertissement, Pauline enleva sa chaussure droite et, posant son pied nu dans le dos de sa cadette, la poussa tête première, toute vêtue dans la piscine monstrueuse. Elle disparut dans un plouf et quelques éclaboussures aspergèrent les jambes de Pauline et de Geneviève. Cette dernière sourit, récolta avec ses doigts la merde répandue sur ses jambes et porta les doigts à sa bouche qu’elle suça avidement. Dorothée émergea totalement méconnaissable. On ne distinguait aucun de ses traits, tellement la croûte qui la recouvrait était épaisse. Elle essuya du mieux qu’elle put ses yeux recouverts de merde. Quand elle réussit à les ouvrir, on vit aussi ses dents, découvertes par un large sourire. Geneviève regarda Pauline.


- On y va aussi ?


- Je vous conseille d’enlever vos chaussures, les talons vont se prendre dans le fond.


Geneviève projeta ses souliers un peu plus et se plaça sur le bord du trou. Pauline la rejoignit, l’enlaça et se mit à l’embrasser à pleine bouche. Sans se quitter, les deux femmes se laissèrent tomber de côté dans le mélange odieux. Dorothée se laissa tomber par-dessus elles et les trois formes disparurent sous la surface. La piscine débordait un peu et la merde se répandait sur le périmètre.


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Les deux fillettes avaient chié dans l’assiette des femmes et ces dernières avaient tout dévoré. A leur tour, elles avaient chié dans les assiettes des gamines et ces dernières tentaient, tant bien que mal, de les imiter. Il ne restait plus que quelques bouchées dans l’assiette de la plus petite des deux lorsque son estomac entama une série de spasmes précurseurs d’une révolte.


- Attention, ça s’en vient !


Evelyne titilla plus vigoureusement le minuscule clitoris de la gamine assise sur ses cuisses.


- Tu ne changes pas d’avis ?


Denise ne put qu’hocher la tête de droite à gauche, tellement elle était prise par l’action. Une des femmes se plaça derrière la gamine et orienta la tête de cette dernière au-dessus de l’assiette presque vide. Un gros jet de vomi accompagna le dernier spasme et atterrit dans l’assiette. Le bruit immonde ce cet acte et probablement l’odeur, déclencha le même réflexe chez la deuxième gamine. De son autre main, la même femme guida la tête de l’autre gamine et elle aussi, vomit dans son assiette. Le bruit horrible fit mouiller Evelyne. Elle se pencha en avant et embrassa Denise à pleine bouche. Cette dernière tint bon et parvint à ne pas retourner son petit-déjeuner.


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Quand les trois femmes émergèrent de sous la surface, aucune n’était reconnaissable. Les vêtements collaient à la peau, leurs cheveux ressemblaient à des perruques monstrueuses, on ne pouvait même pas distinguer la couleur de leur peau. Geneviève se tourna vers Dorothée et se mit à l’embrasser à pleine bouche malgré que la mixture infecte se frayait un chemin dans leurs bouches. Elles se massaient les fesses à pleine main et bientôt Pauline se colla au dos de Geneviève et glissant sa main sous la robe de cette dernière, se mit à lui caresser le con et à y faire pénétrer deux doigts. Elle tourna la tête au maximum et Pauline penchant la sienne vers l’avant, parvint à l’embrasser à son tour. Geneviève utilisa sa main gauche pour caresser le con de Pauline. Dorothée se laissa tomber à genoux et, prenant une profonde respiration, se laissa glisser sous la surface. Elle releva le bas de la robe de Geneviève et se mit à lui sucer la chatte. Malgré qu’elle dut avaler la mixture trois fois, elle continua son œuvre jusqu’à ce que ses poumons soient sur le bord d’exploser. Elles sortit alors la tête et prit plusieurs grandes respirations avant de replonger.


La gravité faisant son œuvre, le visage de Pauline apparaissait de plus en plus nettement car la merde glissait vers le bas sur sa peau. Geneviève en prit plusieurs poignées qu’elle déversa sur le haut du front de Pauline afin que son visage fut toujours recouvert de la mixture. Pauline penchait la tête vers l’arrière et ouvrait la bouche afin d’en avaler le plus possible. La langue agile de Dorothée continuait de faire des merveilles et Geneviève sentit qu’elle exploserait bientôt. Dorothée sortit pour prendre quelques respirations salvatrices et Geneviève lui pesa légèrement sur le dessus de la tête pour lui faire comprendre qu’elle désirait qu’elle continue sa lèche.


Geneviève embrassait encore Pauline à pleine bouche et lorsque cette dernière constata que Geneviève frôlait le moment ultime, elle délaissa la bouche de Geneviève et s’enfonça la main dans la gorge. Elle eut d’abord un premier spasme à sec et elle réitéra la procédure. Cette fois, ce fut un succès et elle se mit à régurgiter lentement toute la merde précédemment avalée. Cela coulait lentement de sa bouche, comme une bouteille trop pleine qui déborde et non en jets. Elle regardait Geneviève dans les yeux avec une expression qui signifiait; “ Vas-y, je le fais pour toi !”. Geneviève explosa dans un râle sourd.


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Evelyne finit d’enlever ses vêtements et, totalement nue, elle mit Denise nue. Elle s’allongea sur le dos et attira la gamine sur elle, la priant de s’asseoir sur son visage.


- Viens que je te lèche !


La langue habile d’Evelyne se mit à l’ouvrage et passait du petit con à l’oeillet rose, insistant beaucoup pour le perforer et y faire entrer sa langue. Enculée de la sorte, excitée par les mains de la vieille qui lui trituraient ses petits tétins, Denise sentit une envie de chier poindre. Elle savait bien que c’était ce que l’autre voulait et elle ne se retint pas de pousser. Evelyne sentit plus qu’elle ne vit, le petit orifice commencer à s’ouvrir. Elle devint plus passive et se contenta d’ouvrir la bouche pour accueillir l’offrande. Un charmant petit boudin fit son chemin hors du petit cul et progressa dans la bouche d’Evelyne. Il ne faisait pas plus d’un centimètre et demi. Il vint s’appuyer dans le fond de la gorge offerte puis s’enroula sur la langue de la vieille. Quand la petite rosette se referma, Evelyne referma la bouche et se mit à mâcher le petit étron qui se déforma en une masse informe dans sa bouche. Les yeux fermés, trois doigts enfoncés dans son con brûlant, elle remarqua à peine que Denise bougeait. Cette dernière se mit à genoux à côté d’Evelyne et elle la regardait manger son étron. Evelyne dut s’y prendre à plusieurs fois pour avaler et lorsqu’elle fut rendue à la dernière fois, Denise se pencha et embrassa la femme à pleine bouche, sa petite langue cherchant les dernières traces de l’immonde repas. Evelyne explosa à son tour mais son cri fut assourdi par la petite bouche qui ne lâchait pas prise.


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Les trois femmes étaient allongées sur le dos dans la piscine merdique et flottaient aisément, étant donné la densité du contenu. Dorothée se masturbait sans vergogne tout en lâchant des jets de pisse tandis que Geneviève masturbait Pauline, lui enfonçant deux doigts dans son con brûlant. Quand elle sentit que la libération approchait, elle se redressa et enjamba Pauline, plaçant ses somptueuses fesses au-dessus du visage barbouillé d’immomdices. Tout en continuant de masturber l’aînée, elle poussa et se mit à lui chier dans le visage. Un énorme étron se fraya un passage et fut légèrement aplati par les deux fesses. Il se dirigea directement vers la bouche de Pauline. Elle l’ouvrit le plus possible et juste comme la merde atteignait le fond de sa gorge, elle explosa en un orgasme comme elle ne se souvenait pas d’en avoir eu récemment. Son cri étouffé et son râle déclenchèrent l’orgasme de Dorothée qui se cabra et de ce fait, s’enfonça dans le purin tout en jouissant.


Heureusement, il y avait un boyau sur le côté du bâtiment et les trois femmes purent se nettoyer avant d’entrer de nouveau dans la maison. Lorsqu’elle fut presque propre, Dorothée courut vers la maison chercher des savonnettes nécessaires pour enlever l’odeur persistante. Elles s’allongèrent dans la pelouse pour se sécher les cheveux. Evelyne et Denise les y rejoignirent, nues aussi.


Il faisait soleil, il faisait chaud et la quiétude de la campagne n’était dérangée que par le gazouillis des oiseaux.


FIN



GENEVIEVE - CHAPITRE III

PAR LE MATOU (le_matou101@yahoo.ca)