Geneviève s’étira et ouvrit les yeux. La noirceur n’avait pas encore cédé le pas à la lumière du jour. Elle entendit l’eau de la douche qui coulait. La forte envie de pisser la fit se glisser dans la salle de bain malgré le fait que Charles prenait sa douche matinale. Elle releva le couvercle et, soulevant sa jaquette de nuit, elle s’assit et se mit à pisser abondamment. Charles ferma le robinet et, sortant de la douche avec une belle érection matinale, se retrouva face à Geneviève. Celle-ci lui sourit et prenant le membre à pleine main, le tira vers elle. Elle embrassa le bout turgescent à quelques reprises puis le fit glisser lentement dans sa bouche tout en recouvrant ses dents avec ses lèvres. Elle agrippa les fesses de Charles pour le tirer vers elle et ainsi faire pénétrer le membre bien au fond de sa gorge. Quand son nez buta sur le ventre poilu, le gland avait dépassé depuis un bon moment la luette et s’enfonçait dans le gosier si généreusement offert. Charles connaissait les goûts de sa femme et il ne se fit pas prier pour les satisfaire. Il passa sa main droite derrière la nuque de Geneviève et, après l’avoir laissé se retirer presque complètement, il tira la tête de sa femme à la rencontre de son mouvement avant. Il buta brutalement son gland au fond de la gorge offerte, écrasant son ventre sur le nez pointu de Geneviève. Parfois, il se demandait comment elle pouvait faire cela sans subir de nausées. Mais ces questions ne le préoccupaient pas très longtemps et il entreprit un brutal va-et-vient dans la bouche offerte. Pilonnant le gosier à gauche, puis à droite, il prenait une courte pause, question de laisser le temps à sa femme de respirer un peu. Il baissa son bras gauche et, passant sa main dans l’encolure de la jaquette de nuit, il attrapa le sein droit et se mit à le malaxer gentiment, triturant la tétine en la faisant tournoyer entre ses doigts. Malheureusement, le temps passait et Charles ne voulait pas rater son rendez-vous avec son plus gros client. Pour amener la jouissance, il fit comme d’habitude: il ferma les yeux et s’imagina que c’était sa mère qui le suçait ainsi, comme elle l’avait fait depuis l’âge de douze ans . Le souvenir fonctionna à merveille, comme d’habitude. Après quelques poussées plus fortes, il se mit à jouir à grands jets blanchâtres dans l’oesophage de Geneviève. Cinq, six et sept jets plus tard, l’éjaculation perdit de sa force et les dernières gouttes tombèrent sur la langue de Geneviève pendant que l’érection de Charles perdait de sa rigidité. Elle le retint avec sa main et nettoya consciencieusement le gland avec sa langue afin qu’il ne reste aucune trace de leur activité matinale.


- C’était délicieux !


- Merci ! Allez ! Fais vite ! Tu vas être en retard pour ton rendez-vous.


- Aucun client ne passe avant ma femme.


Le délicat mensonge fit plaisir à Geneviève. Il quitta néanmoins rapidement la salle de bain pour se vêtir. Dix minutes plus tard, il fonçait à toute allure sur la route, certain de pouvoir refaire son retard si les flics n’avaient pas installé de piège radar.


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Après avoir fait déjeuner les enfants et avoir reconduit les deux ainés à l’école, Geneviève se retrouva seule avec la cadette, assise à la table de la salle à manger, sirotant son deuxième café de la journée. Elle installa Louise devant la télé, inséra une cassette de dessins animés dans le magnétoscope et mit le bidule en marche.


La journée s’annonçait monotone. Elle se dirigea vers l’ordinateur et, après avoir lancé la mise en marche, elle démarra le programme de chat comme elle le faisait de temps en temps. Pas beaucoup d’espoirs de rencontres intéressantes de ce côté mais au moins, elle passerait le temps en attendant le déjeuner. Elle entra dans une chatroom de lesbienne fétichiste et se mit à examiner les dossiers des participants. Son propre pseudo laissait peu de place à une mauvaise interprétation quant à ses intentions: coprolesbie41 ! Il y avait des pseudos anglophones et elle devina que ces participants étaient soit britanniques soit américains. Elle ne prit pas la peine d’examiner leurs dossiers.


Un pseudo retint son attention toutefois: frangines1926. Tiens tiens ! Deux soeurs ! Elle cliqua pour voir leur dossier mais avant que la page ne s’ouvre, un fenêtre de dialogue apparut dans le coin de l’écran.


Frangines1926: Salut !


Coprolesbie41: Salut, comment va ?


frangines1926.: Bien et vous ?


Coprolesbie41: moi aussi


frangines1926.: votre pseudo est très intéressant


Coprolesbie41: merci. Ça vous intéresse ?


frangines1926.: oui, ma soeur et moi


Coprolesbie41: vous êtes vraiment des soeurs ? Il y a tellement de fraudeurs en ligne.


frangines1926.: vous pouvez nous voir si je démarre ma cam ?


Coprolesbie41: oui


frangines1926.: un instant


Une fenêtre additionnelle apparut et Geneviève vit une brunette d’environ vingt-huit trente ans. La caméra cadrait un peu plus large que son visage. A l’arrière plan, un lit et une toile murale représentant une femme nue allongée dans l’herbe. Geneviève démarra sa cam.


Coprolesbie41: Vous me voyez ?


frangines1926.: Oui et vous ?


Coprolesbie41: Moi aussi.


frangines1926.: L’inceste vous choque ?


Coprolesbie41: Non! Il n’y a rien qui me choque ( sourire)


frangines1926.: (sourire) Tant mieux parce que nous sommes deux salopes et ce n’est pas au goût de tous.


Coprolesbie41: Étant donné mes goûts personnels, je serais mal placée pour juger (sourire)


frangines1926.: vous parlez de vos goûts merdiques ?


Coprolesbie41: Ça et les autres (sourire)


frangines1926.: Vous êtes mariée ?


Coprolesbie41: Oui et vous deux ?


frangines1926.: non, nous demeurons chez notre mère


Coprolesbie41: ah !


L’intérêt de Geneviève diminua d’un cran; deux fantasmeuses qui venaient s’encanailler sur le net. Il y en avait des milliers comme elles mais dès que les choses sérieuses débutaient, elles disparaissaient dans l’éther.


frangines1926.: votre mari participe à vos jeux ?


Coprolesbie41: Non, ce n’est pas son truc


La brunette tourna la tête et Geneviève put la voir de profil. Elle remarqua qu’elle affichait un nez un peu longuet au dessus de ses lèvres minces. Autrement, ses traits réguliers laissaient une impression de déjà vu. Le genre de personne que l’on croise dans la rue et que deux minutes plus tard, on serait bien en peine de décrire.


frangines1926.: viens ici Dorothée


La brunette venait de s’adresser à quelqu’un hors du champ de la cam. Elle se tassa légèrement sur le côté et, à la grande surprise de Geneviève, une copie en plus jeune de la brunette vint s’installer dans le champ. Même cheveux, même yeux, mêmes lèvres, on aurait dit des soeurs jumelles nées à dix ans d’intervalle. Elles étaient vraiment soeurs, pas moyen de le nier.


frangines1926.: Dorothée, dis bonjour à ...


Coprolesbie41: Geneviève, et vous ?


frangines1926.: Pardon, je suis Pauline


Coprolesbie41: vous vous ressemblez beaucoup !


frangines1926.: et on a les mêmes goûts !


Coprolesbie41: vous jouez seules ou vous avez des copines ?


Elles se regardèrent afin de chercher l’opinion de l’autre et enfin l’ainée se décida.


frangines1926.: on aimerait bien rencontrer de nouvelles partenaires mais c’est très difficile. Quand on explique ce qu’on aime, on se fait traiter de dégueulasses et de toutes sortes d’épithètes haineuses. Maman jouait souvent avec nous mais depuis qu’elle a rencontré un homme, elle nous laisse à nous mêmes.


Très prometteur ! La mère avait dû les introduire d’abord aux jeux lesbiens puis ensuite, à des jeux de plus en plus pervers. Lassée ou en manque de queue, elle délaissait les filles au profit d’un mec quelconque. Une occasion à saisir!


Geneviève continua de papoter avec les deux filles pendant une bonne heure. Puis, les deux filles durent quitter non sans prendre rendez-vous pour le lendemain dans la même chatroom, vers la même heure. A regret, Geneviève éteignit la bécane et retourna surveiller Louise, toujours installée devant le petit écran. Elle vérifia la couche de la gamine, malheureusement vide. Décidément, la journée serait monotone.


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Le lendemain, à l’heure prévue, Geneviève démarra l’ordi et jeta un oeil sur Louise qui regardait un autre dessin animé. Un peu à sa surprise, elle vit frangines1926. dans la liste des participants. Une fenêtre s’ouvrit.


frangines1926.: bonjour


Coprolesbie41: salut les filles


frangines1926.: ça vous dirait de regarder une vidéo ?


Coprolesbie41: oui, certainement


frangines1926.: un instant, ça ne sera pas long


Une fenêtre vidéo s’ouvrit dans le coin supérieur gauche de l’écran. Noire au début, une image apparut. La qualité était médiocre et l’éclairage un peu faible mais Geneviève reconnut Pauline en soutien-gorge et petite culotte. Elle se masturbait lentement par-dessus la culotte. Elle avança un peu vers la camera de telle façon qu’on ne voyait plus son visage. Elle enleva sa brassière et pinça ses mamelons, les étira et les tordit. Puis, elle pivota lentement et tourna le dos à la cam. Elle se pencha et mit les mains sur les genoux. Pendant un instant, il ne se passa rien puis, Geneviève vit une bosse se former dans la petite culotte. Pauline chiait. La bosse grossit rapidement et bientôt la merde se mit à sortir par le bas et menaçait de tomber par terre. Elle vit alors Dorothée s’avancer à genoux et s’appuyant des deux mains sur les cuisses de sa soeur ainée, cueillir la merde avec sa bouche et se mettre à mâcher puis à avaler. Elle répéta l’opération sur l’autre cuisse. Quand Pauline eut fini de chier, elle passa sa main sur la culotte afin de bien répandre la merde partout sur son cul. Dorothée souriait en regardant faire sa soeur. Puis, agrippant l’élastique de la culotte, Pauline la fit glisser vers ses genoux, dévoilant son cul barbouillé. Dorothée plongea son visage dans la raie culière et se mit à lécher le résultats des efforts de Pauline.


Après quelques minutes, Pauline se redressa, le derrière presque propre suite aux efforts de sa cadette, et saisissant Dorothée par les cheveux, elle lui fit faire face à la camera. Son visage était maculé de merde. Il y en avait sur le front, les joues, le menton et même sur le bout de son nez. Pauline murmura quelques mots à l’oreille de Dorothée qui sourit et sortit la langue, exhibant ses dents brunâtres et sa langue jaunâtre. Elle avait pratiquement tout avalé !


Elle la fit se mettre debout et tourner le dos à la camera. Pauline prit une assiette en carton et la soutint sous les fesses de Dorothée. Geneviève vit bientôt un étron apparaître du cul de la cadette et venir se déposer dans l’assiette. Il devait bien faire trente centimètres. Pauline dut faire tournoyer lentement l’assiette afin que l’étron se dépose en un rondin uniforme qui ne dépassait pas les bords. Puis, elle monta lentement l’assiette vers le visage de Dorothée.


Pauline écrasa doucement l’assiette pleine de merde sur le visage de sa soeur et la fit tourner afin de bien répandre le contenu infect sur le visage offert sans résistance. Quand elle retira l’assiette, il était impossible de reconnaître Dorothée, tellement la merde la recouvrait de la racine des cheveux jusqu’au bas du menton. Elle vit cette dernière mâchouiller et avaler. Puis elle tira la langue. Pauline cueillit de la merde avec deux doigts sur le visage de Dorothée et la déposa sur sa langue. Dorothée mâcha et avala. Pauline répéta l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que le visage fut nettoyé des immondices. Il ne restait plus qu’une mince couche semi transparente qui ne pouvait être enlevée qu’avec un bon lavage. Geneviève eut le temps de voir Dorothée pâlir et l’image coupa.


Coprolesbie41: Fantastique les filles ! Fantastique !


frangines1926.: merci


Coprolesbie41: je dois avouer que je vous prenais pour des frimeuses mais là, je suis bouche bée. Je peux vous poser une question ?


frangines1926.: certainement


Coprolesbie41: pourquoi l’image coupe si brusquement ?


frangines1926.: Dorothée a vomi par la suite et ce n’est pas tout le monde qui aime regarder cela.


Coprolesbie41: dommage ! Moi, j’aime bien


frangines1926.: en fait, ce n’est qu’un avant-goût ce petit clip, afin de prouver que nous sommes bien réelles.



Coprolesbie41: comment vous faites pour diffuser ce clip ?


Pauline lui expliqua la procédure et Geneviève promit qu’elle leur rendrait la pareille le lendemain. Après avoir quitté les deux filles, elle éteignit l’ordi et retourna au salon, toute émoustillée par le clip. Louise, toujours à plat ventre sur la moquette, regardait la fin du dessin animé. Geneviève renifla et une odeur de caca lui titilla les narines. Chère Louise ! Elle avait fait une merde dans sa couche. Geneviève s’agenouilla derrière Louise et remonta sa petite robe jusqu’à la taille. Elle caressa les fesses de la fillette afin de bien répandre la merde sur le cul de la gamine puis elle défit les deux courroies en velcro et rabattit le pan arrière de la couche sur le sol. Sans plus de façons, elle s’allongea aussi sur le ventre, à l’arrière de la gamine, le visage à la hauteur des fesses et plongea dans le petit derrière merdique qu’elle entreprit de lécher et de nettoyer à fond tout en avalant la merde récoltée. Sa langue parcourait les moindres petits recoins, caressant les replis des fesses et de l’anus de la gamine. Elle tenta même de faire pénétrer sa langue dans le petit orifice mais il opposait trop de résistance. Elle se contenta de pousser son index à l’intérieur du minuscule vagin et bientôt les hanches de la gamine accompagnèrent le va-et-vient de l’index maternel. Geneviève utilisa son autre main pour pour pénétrer sa moule maintenant bien baveuse qu’elle tritura d’une main experte. Elle atteignit bientôt l’orgasme mais cela ne la satisfaisait pas. Elle avait besoin de plus d’émotions. Elle nettoya rapidement la gamine et passa ensuite dans la chambre conjugale pendant que Louise regardait un deuxième dessin animé.


Elle monta sa camera sur un trépied, l’installa sur la chambre de bain attenante, fit le cadrage sur la baignoire et se déshabilla. Elle démarra la cam et enjamba le rebord de la baignoire. Elle plia les genoux tout en écartant les jambes et se mit à pousser. Un jet de pisse jaune émergea de sa connasse et Geneviève continua à pousser. Un étron montra le bout de son nez et bientôt, une masse de 6 centimètres de diamètre fit son apparition. Tout en continuant de pousser, elle calcula sa position afin qu’il tombe sur le rebord de la baignoire. Finalement, l’étron se brisa en deux sous son propre poids et elle en profita pour prendre position légèrement vers la gauche afin que le deuxième morceau ne tombe pas sur le premier. Quand elle eut terminé, il y avait deux grosses merdes bien solides qui décoraient la baignoire. Geneviève se retourna et s’agenouillant dans la baignoire, elle entreprit de bouffer les deux étrons sans utiliser ses mains. Elle penchait la tête de côté et prenait une bouchée dans l’étron puis elle relevait la tête et mâchait ostensiblement, les lèvres entrouvertes tout en fixant l’oeil imperturbable de la camera. Elle avala et dut déglutir une deuxième bouchée avant d’entamer ce qui serait le dernier morceau du premier étron. Puis, elle entama le deuxième étron. Elle décida de prendre son temps et de s’amuser un peu. Elle prit une très grosse bouchée et se mit à la faire tourner dans sa bouche. Ouvrant la bouche, la camera enregistra la sortie de l’étron qui exitait le corps de Geneviève pour une deuxième fois en quelques minutes. Quand il fut presque totalement à l’extérieur de sa bouche, on vit les joues de Geneviève se creuser et l’immondice prit le chemin inverse, réintégrant l’orifice buccal sous une succion intense tout en laissant un suint de salive et de merde diluée sur les lèvres de cette dernière. L’étron reconstitué refit plusieurs fois cet aller-retour avant de disparaître dans l’oesophage pour son avant-dernier périple. La merde barbouillait le pourtour des lèvres et bientôt il y en eut presque partout sur son visage.


Quand elle eut fini la tâche révoltante, elle fit un quart de tour et prit la position assise dans la baignoire, le dos appuyé à une extrémité. Elle tendit la main pour faire pivoter la cam sur son trépied afin de bien cadrer sur son visage. Tout en souriant, elle enfonça deux doigts dans sa gorge. Presqu’immédiatement, le réflexe de régurgitation s’enclencha et elle vomit abondamment une matière brunâtre sur ses seins et son ventre. Deux fois puis trois fois, son estomac se contracta et les jets de moins en moins puissants se frayèrent un chemin et atterrirent sur son ventre et sa main enfoncée maintenant dans sa chatte. Se pistonnant frénétiquement le son, elle se cabra et atteignit enfin une jouissance immonde et très satisfaisante. Quand la tension redescendit, elle stoppa la cam et entreprit un nettoyage complet des lieux et de sa personne. Quand elle eut terminé, elle ouvrit la fenêtre afin d’évacuer les odeurs et repassa dans la chambre afin de se vêtir. Elle démonta la camera et mit la batterie sur le chargeur. Les frangines verraient demain qu’elle aussi n’était pas une frimeuse.



GENEVIEVE - CHAPITRE II

PAR LE MATOU (le_matou101@yahoo.ca)