Mme Geneviève Dupont, femme de M. Charles Dupont, premier vice-
Assis sur la banquette arrière, Robert fouille sous la robe de Denise qu’il a relevée jusqu’en haut des cuisses. Cette dernière n’y voit aucune objection et s’est même légèrement glissée sur la banquette, tout en écartant les jambes, pour faciliter la manoeuvre de Robert. De temps en temps, la mère jette un oeil dans le rétroviseur pour suivre les progrès de son fils aîné tout en lui souriant lorsque leurs regards se rencontrent mais elle doit concentrer son attention sur la conduite car la noirceur est déjà tombée. Malheureusement, il n’aura pas le temps d’en faire beaucoup plus car la voiture s’engage dans la petite route qui mène à la résidence de campagne des Dupont. La voiture tourne dans une allée et Mme Dupont pèse sur un bouton caché dans le tableau de bord afin d’ouvrir la grille qui les protège des intrus. La voiture avance lentement et la grille se referme automatiquement derrière eux. Mme Dupont stoppe la voiture devant la porte du garage et coupe le moteur. Toute la famille descend et Denise doit remonter sa petite culotte afin de pouvoir marcher normalement.
Alors que Denise grimpe l’escalier qui mène à l’étage, la mère retient son fils par le bras tandis que Louise, les bras ballants, attend, le regard vide. Elle serre son fils qui lui tourne le dos, contre elle. Sa main droite descend vers l’entrejambe de Robert qui bande depuis un bon moment.
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Sans se libérer de l’étreinte maternelle, Robert fait demi-
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Robert grimpe l’escalier à son tour. Denise l’attend déjà dans sa chambre, assise sur le bord du lit. La mère prend la main de Louise et l’entraîne dans une petite pièce du rez de chaussée.
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Denise sourit. Elle a souvent entendu Robert parler ainsi à sa mère. Elle sait bien que ces paroles n’ont rien de menaçant. Elle relève les jambes et enlève ses souliers et ses bas puis, elle se lève et, tournant le dos à son frère, elle passe sa robe par-
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Suivant les conseils de leur mère, Robert utilise un gel lubrifiant et, après en avoir enduit sa queue étroite, en applique aussi sur l’oeillet de sœurette. Il fait ensuite agenouiller Denise sur le bord du lit, les genoux tout à fait au bord du matelas. Il doit utiliser sa main pour amener sa pinne à l’entrée du cul de sa sœur, elle pointe vers le haut, presqu’à la verticale et cela ne facilite pas la pénétration. Il pousse d’abord doucement puis de plus en plus fermement. Aidée par la lubrification, la petite queue bien raide se fraie un chemin dans le petit trou du cul de sa cadette. Il pousse de façon constante et Denise, la bouche ouverte, ne bouge plus. Enfin, son ventre vient se coller contre les fesses maigres et il fait un moment de pause. Il sait qu’il doit laisser le temps au sphincter de s’habituer à la dilatation. Après quelques secondes de répit, il commence un lent va-
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A l’étage en dessous, Louise est allongée sur une table à langer. Malgré ses six ans, elle tient facilement sur la table. Geneviève relève la robe de la fillette pour mettre à jour une couche culotte. Elle tire la couche vers le bas et fait passer les pieds de la gamine hors de la culotte. Une odeur de pisse émane de la couche mais il n’y a rien d’autre. La mère essuie l’entrejambe de la fillette avec une serviette humide, lui applique un nuage de talc et lui enfile une couche propre. Elle la prend ensuite sous les bras et la dépose sur le sol. Elles se dirigent vers le living, la mère tenant la main de la fillette. Geneviève insère une cassette de dessins animés dans le magnétoscope et pousse le bouton ”play”. Puis, elle prend place dans un fauteuil et fouille dans une pile de magazines. Elle en prend un et se met à lire. Ravie, Louise s’installe à plat ventre à même le sol, le menton appuyé sur les mains et regarde pour la centième fois son film préféré.
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Robert pistonne l’oeillet de Denise tellement fort qu’on entend le “clac clac” de son ventre contre les fesses de la fillette. Il sent que la jouissance approche, bientôt il sera incapable de se retenir. Il accentue maintenant ses poussées qui deviennent presque brutales. La fillette, les yeux fermés, profite du moment. Les muscles de Robert se tétanise au moment de la jouissance: de grands jets de foutre brûlant inondent les entrailles de Denise. Quatre puis cinq et enfin six puissants jets frappent le gros colon et vont se mêler aux étrons qui y sommeillent, pour le moment. Robert affiche un large sourire de satisfaction au moment où il se retire de l’anus malmené. Mais fort de son expérience, il sait bien que sa sœur n’a pas joui même si elle a bien apprécié la performance enculatoire de son aîné. Il la guide gentiment sur le lit, la fait allonger sur le dos et s’installe entre ses cuisses. Il entreprend un cunilingus d’une rare expertise pour un gamin de son âge. Tout y passe: succion du clito, pénétration de la langue, léchage du pourtour du minuscule vagin. Il y met toute sa science et bientôt Denise, arquée sur ses jambes, émet les gémissements de la jouissance. Épuisée, elle retombe sur le matelas et Robert en profite pour se hisser à sa hauteur. Bien qu’il rebande déjà, il n’y a plus urgence. Il préfère se reposer, tout comme sa sœur. Puis la lassitude les gagne et ils s’endorment.
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Robert sursaute lorsque la voix de sa mère, sortant de l’interphone, le tire de sa sieste.
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Robert étire le bras et rejoint le bouton.
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L’appel n’a pas réveillé Denise et Robert, toujours totalement nu, sort de la chambre et descend l’escalier. Il perçoit un mouvement dans la salle à langer. Étendue à plat ventre sur la petite table, totalement nue, Louise gît de façon inerte. Sa mère, nue aussi, est penchée vers sa fille et lui tourne le dos. Lorsqu’elle tourne la tête pour regarder Robert, elle exhibe un visage barbouillé de merde, surtout autour des lèvres. C’est alors que Robert comprend que sa cadette a chié dans sa couche et que sa mère n’a pu résister à la tentation de se payer une petite collation merdique. La pinne de Robert redresse la tête à la vitesse grand “V”. Voyant cela, sa mère lui sourit, exhibant ses dents brunâtres, recouvertes de merde. Elle se penche vers l’avant dans le but évident de reprendre une autre bouchée et simultanément, écarte ses fesses dodues à l’aide de ses mains. Se méprenant sur le geste qu’il prend pour une invite, Robert s’avance dans l’intention évidente d’enculer sa mère.
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Geneviève redresse la tête, mâchouille quelques instants avant d’avaler et recommence sa phrase.
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Robert bande encore plus, si c’est possible. Il adore voir sa mère chier. Elle fait toujours de longs étrons d’un diamètre surprenant pour une femme. Il s’approche et, joignant les mains afin de former un réceptacle digne de l’offrande volumineuse, fixe son regard sur l’anus maternel. Bientôt, celui-
Il entreprend de répandre le contenu visqueux de sa main gauche sur les seins de sa mère tandis que de la droite, il peinture le dos de cette dernière d’un brun foncé. L’odeur infecte remplit la petite pièce. Il pousse l’audace plus loin et passe ses mains dans le visage de Geneviève, maculant les joues et le front maternels. Geneviève a les lèvres collées sur le petit anus de sa fille, fouillant d’une langue agile l’intérieur du pourtour, espérant soutirer un peu plus de matière fécale. Sa quête se révélera fructueuse. Titillée par une langue aussi agile, Louise pousse et un dernier petit étron se fraie un passage jusque dans la bouche maternelle.
Pendant que la mère mâchouille lentement le contenu infect de l’intestin de sa progéniture, Robert, mettant de côté son égoïsme, décide de varier ses actions pour la suite. Au lieu de se positionner derrière sa mère et de l’enculer, comme il en avait d’abord envie, il utilise l’huile de bébé pour enduire sa main droite et en verse un peu sur le cul maculé de sa mère. Puis, plaçant ses doigts en cône, il commence une lente rotation de gauche à droite et de droite à gauche tout en forçant l’anus maternel. Celui-
Au bout de quelques minutes d’un tel traitement, Geneviève sent le début de la jouissance monter en elle. Elle ne peut plus se retenir malgré toute sa volonté et se met à râler, la bouche ouverte et un peu de bave merdeuse lui dégouline sur le menton. Elle se retient de crier pour ne pas effrayer la petite Louise qui n’est pas encore tellement habituée à ce genre de jeux. Quand les vagues de la jouissance perdent de leur puissance, Geneviève se précipite à genoux devant Robert et, prenant sa petite queue dans sa bouche merdeuse, elle entreprend de le sucer. Puis, appliquant ses mains sur les fesses du gamin, elle l’encourage à lui baiser la gueule. Le ventre du gamin vient percuter le nez de sa mère à chaque coup tellement il la pénètre profondément. Habituée à des fellations plus féroces, Geneviève accepte facilement la pénétration. Elle encourage Robert en le tirant vers elle par les fesses. Excité, le gamin ne peut résister bien longtemps à un tel traitement et bientôt, il lâche de longs jets d’un foutre clair dans le gosier maternel.
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Geneviève, après avoir torché le cul et les fesses de Louise, a ramené cette dernière dans sa chambre et la met au lit. Quant à elle, elle se dirige vers la salle d’eau et fait couler la douche: un sérieux dégommage s’impose. Elle commence par se laver les cheveux, puis le visage et continue ainsi vers le bas jusqu’aux pieds. Quand elle a terminé, elle projette un abondant flot de pisse dans la baignoire et se rince la chatte avant de fermer le robinet. Après s’être séchée, elle passe une sage robe de nuit et monte à l’étage. Les gamins dorment tels des anges, dans leurs lits respectifs. Elle pénètre dans sa chambre et, s’allongeant dans le lit, elle prend un roman déjà entamé et ouvrant le livre au signet, elle reprend la lecture là où elle l’avait laissée. Au bout d’une dizaine de minutes et s’allonge après avoir éteint la lampe de chevet. Elle dort depuis longtemps lorsque M. Dupont revient du bureau.
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GENEVIEVE -
PAR LE MATOU (le_matou101@yahoo.ca)