Synopsis : FFggM, inceste familial, bdsm, uro, scato, vomi. 


            Il y avait, dans la grande chambre à coucher, quatre spots d’éclairage diffus, tous braqués vers le lit depuis différents angles. Tous les ombrages étaient ainsi illuminés. Sur le lit, une femme de vingt-six ans, les cheveux bruns  tirés en chignon, tenait dans ses bras une petite fille de quatorze mois. Nues toutes les deux, elles regardaient l’homme disposer les deux cameras vidéos en position latérale par rapport au lit. Nu lui aussi mais absorbé par sa tâche, son gros sexe pendouillait entre ses jambes mais cela allait changer bientôt. Dans le coin, assise sur un immense fauteuil qui la faisait paraître encore plus petite, une fillette de huit ans, toute de blanc vêtue, attendait patiemment le moment de son entrée en scène. Lorsque l’homme fut satisfait du positionnement des cameras, il ouvrit un grand sac de cuir dans lequel il prit un appareil photo trente cinq millimètres à déclenchement ultra silencieux, vérifia qu’il était chargé avec la pellicule adéquate et s’adressa à la femme :

- C’est bon, on peut y aller ! N’oublie pas que ces caméras enregistrent le son, donc tu ne dois pas me parler. Fais comme si je n’étais pas là. Par contre, ne te gêne pas pour faire des bruits de bouche ou de langue, ça met du piquant. Tu es prête, Amélie ? Annie aussi ?

 

- Oui papa !

 

L’homme se tourna vers la fillette dans le fauteuil.

 

- Toi aussi Josiane, ne fais pas de bruit, ces micros sont très sensibles.

 

- Oui grand papa !

 

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            Jean-Luc avait beaucoup cherché mais il avait finalement trouvé la perle rare : Maryse, une femme aussi perverse que lui, À vingt-huit ans de trois ans son aînée mais bien conservée. Malgré son quotient intellectuel plutôt faible, aucune activité sexuelle ne la rebutait. Vraiment aucune ! Fellation, sodomie, uro, scato, bondage et mêmes jeux sado, tout y passait.  Seulement vêtue d’une légère robe courte en imprimé, Maryse adorait quand son homme la prenait brutalement de façon impromptue. Soumise et maso, elle adorait quand Jean-Luc la sodomisait brutalement, à sec, à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. Son homme tenait ses promesses ; au début de leur relation, il lui avait expliqué qu’il avait de gros besoins sexuels et qu’il devait baiser au moins trois fois par jour, souvent quatre fois et parfois cinq, pour ne pas se sentir frustré. Maryse avait souri,  soulagée de trouver enfin chaussure à son pied. Elle avait répliqué que pour elle, la monotonie était sa pire ennemie. Elle aimait varier les jeux et ne refuserait jamais un nouveau jeu tant qu’elle ne l’aurait pas expérimenté au moins cinq fois.

 

            Durant les deux premières années de leur mariage, il y eut une seule ombre au tableau : leur situation financière précaire. Au bout de deux ans, Jean-Luc obtint une promotion qui améliora les choses. Six mois plus tard, son père et sa mère se tuèrent dans un accident de voiture causé par un chauffard ivrogne. Fils unique, il hérita de tous les biens et, à partir de ce moment, n’eut plus de soucis financiers. Ils décidèrent de mettre un enfant en route. Trois mois plus tard, Maryse annonça la bonne nouvelle à Jean-Luc ; elle était enceinte. C’est ainsi qu’Amélie vint au monde. Maryse du cesser le boulot et resta au foyer pour s’occuper du bébé.

 

            Amélie n’avait que trois semaines lorsqu’un samedi, Jean-Luc trouva sa femme dans la chambre en train d’allaiter le bébé. Nue jusqu’à la taille, Maryse fermait les yeux et semblait apprécier ce moment. L’érection de Jean-Luc fut immédiate. Se plaçant près de Maryse, il caressa le sein libre. Maryse ouvrit les yeux et lui sourit. Avec sa main libre, elle défit son pantalon, sortit sa grosse queue et entreprit une fellation d’enfer. Jean-Luc ne fut pas long à jouir dans la bouche de sa femme. Comme une experte, Maryse avala tout le jus sans en perdre une goutte. Le bébé continuait de téter goulûment.

 

            Quand Jean-Luc se retira de la bouche de sa femme, sa queue refusa de mollir. Excité par le spectacle de l’allaitement, Jean-Luc ne put que lui dire :

 

- Encore !

 

Souriante, Maryse ferma les yeux et répliqua :

 

- Baise-moi la gueule comme tu sais si bien le faire !

 

            Jean-Luc plaça sa main derrière la tête de Maryse et lui viola la bouche. Ses puissants coups de butoir frappaient le fond de la gorge de la femme dont les yeux se mirent à couler, ainsi que sa fente d’ailleurs. Quand Jean-Luc fut au bord de la jouissance, d’un mouvement brusque, Maryse retira la queue de sa bouche et la pointa vers le bébé. Les longs jets de sperme brûlant atterrirent sur le visage du poupon ainsi que sur son abdomen. Soulevant sa fille à la hauteur de son visage, Maryse entreprit de nettoyer la petite en la léchant, d’abord sur le visage puis sur le ventre, jusqu’à ce qu’il n’y plus trace du sperme paternel.  Etonné mais ravi, Jean-Luc marmonna :

 

- Dommage qu’elle porte une couche, j’aurais aimé lui arroser la chatte !

 

            Maryse regarda Jean-Luc reboutonner son pantalon et sortir de la chambre. Elle changea le bébé de sein afin de libérer son bras droit. Elle introduisit trois doigts dans sa chatte et entreprit une furieuse masturbation qui l’amena en un rien de temps au sommet de la jouissance.

 

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- Action !

 

Après ce mot, Jean-Luc démarra les deux cameras vidéos. Amélie mit la petite Annie, nue comme le jour de sa naissance, debout sur ses cuisses. Elle dut la soutenir pour qu’elle ne perde pas l’équilibre.

 

- Tu embrasses maman, ma chérie ?

 

            Amélie approcha lentement son visage de celui de sa fille. Elle ouvrit légèrement les lèvres et sortit la langue. Atteignant les lèvres de sa fille, elle se fit un passage entre les lèvres de la bambine. Instinctivement, Annie ferma les yeux. Amélie plaqua une main sur les fesses de la gamine tout en la soutenant de l’autre. Sa langue fouillait la petite bouche, échangeant leur salive comme deux salopes. Les petites dents de lait se frottèrent aux dents maternelles. Ce baiser incestueux échauffa les sens d’Amélie. Elle mit fin au baiser et déposa Annie à la tête du lit, son occiput reposant sur deux coussins superposés.

 

- Regarde maman, Annie !

 

            Sur la table de chevet, Amélie prit un plug anal d’une taille respectable, préalablement lubrifié et, tournant le dos au bébé, elle se pencha en avant tout en écartant les jambes. Elle ajusta l’extrémité du plug sur son anus visiblement expérimenté et l’enfonça en une poussée lente et régulière jusqu’à ce que le sphincter se referme sur le col du plug. Puis, s’allongeant à plat ventre sur le lit, Amélie amena son visage à la hauteur du minuscule con de sa fille. Elle prit les petites chevilles dans ses mains, écarta les jambes au maximum tout en les soulevant et son visage plongea vers la petite fente attendrissante.

 

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            Le lendemain, Maryse prépara le bébé pour sa tétée du milieu de l’avant-midi. Elle enleva la couche d’Amélie, se déshabilla jusqu’à la taille et prenant la petite dans son bras gauche, amena la tête de la petite À hauteur du mamelon. Amélie comprit rapidement et entreprit une vorace tétée. Dix minutes plus tard, lorsque Jean-Luc entra dans la cuisine, le spectacle lui plut immédiatement. Souriante, Maryse orienta le corps du bébé vers Jean-Luc sans interrompre la tétée. Elle écarta de façon obscène les jambes molles du poupon pour dévoiler sa nudité. L’érection de Jean-Luc fut instantanée. Cette fois, il se débarrassa de son pantalon et de son caleçon. Nu à partir de la taille, il s’approcha du couple. Sa femme voulut le prendre dans sa bouche mais il lui fit signe que non.

 

- Tu me prendras pour le deuxième coup, Maryse.

 

            Le membre dur et violacé de Jean-Luc pointait vers le plafond. Il entreprit une masturbation lente avec précaution. Il ne voulait pas jouir trop vite. Malgré cela, au bout de deux ou trois minutes, il sentit qu’il ne pouvait plus se retenir. Il pointa sa queue en direction de la gamine et de puissants jets de foutre, signes de sa grande excitation, vinrent barioler le visage, le sternum et l’entrejambe du bébé. Jean-Luc dut se retenir pour ne pas crier tellement la satisfaction fut profonde. Comme la veille, son membre ne mollit pas mais il prit tout de même quelques minutes de repos, observant Maryse qui nettoyait le bébé avec sa langue, en commençant par le visage, descendant sur le ventre et s’attardant beaucoup plus que nécessaire sur la petite fente du bébé. Ce spectacle l’excita de nouveau. Il se mit debout près du visage de Maryse, agrippa son chignon et poussa son sexe directement au fond de la gorge de sa femme. Maryse débuta une fellation toute en puissance, plongeant le visage vers le ventre de Jean-Luc jusqu’à ce que le membre butte au fond de sa gorge. Malgré sa prestation précédente, Jean-Luc ne put tenir le coup plus de six minutes. A ce moment, Amélie lâcha une puissante giclée de pisse qui fit un arc gracieux et vint terminer sa course sur les cuisses de Jean-Luc et l’épaule de sa mère. Cela déclencha son orgasme et après quelques coups plus rapides que les autres, il jouit violemment au fond de la gorge de Maryse.

 

- Petite salope ! Elle m’a pissé dessus !

 

- Tu ne vas pas le punir, tout de même ?

 

- Bien sur que non ! C’est toi qui vas écoper à sa place. Ce soir, quand la petite sera couchée, tu vas y passer.

 

La journée va bien se terminer, songea Maryse. J’espère qu’il sera toujours aussi fâché. Sa dernière punition remontait déjà à six mois et cela lui manquait. Au sourire qu’elle affichait, Jean-Luc se dit qu’il était temps de reprendre les rennes et de continuer le dressage de Maryse.

 

            Après que le bébé se fut endormi, ils passèrent dans la chambre. Maryse fut attachée pieds et poings aux quatre coins du lit. Jean-Luc prit dans le tiroir de la table de chevet une boîte en plastique. Il l’ouvrit devant les yeux de Maryse: elle contenait cinquante aiguilles hypodermiques neuves. Maryse devina immédiatement la répartition qui serait faite de ces aiguilles: vingt dans chaque seins et dix sur la chatte. Elle commença, à sa grande honte, à mouiller immédiatement.

 

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            La langue agile d’Amélie fouillât la petite connasse de sa fille. Annie gloussait de plaisir sous les efforts de sa mère. Dans son coin, Josiane avait posé les jambes sur les appui-bras du fauteuil et entreprit elle aussi, une masturbation solitaire, exhibant ainsi sa petite fente totalement imberbe. Jean-Luc prenait photo sur photo. Il venait d’entamer son troisième rouleau de trente-six poses. Il faisait bien attention de ne pas passer devant les cameras qui filmaient l’action en continu. De temps en temps, il se tournait vers Josiane et la mitraillait, bien que l’éclairage ne fût pas aussi bon dans le coin de la pièce. En mode automatique, l’appareil ajustait les paramètres  presque instantanément et Jean-Luc fut certain que ces photos seraient aussi bonnes que les autres prises devant les spots.

 

            Du coin de l’oeil, il remarqua qu’Amélie se relevait debout dans le lit. Il changea de position et se prépara en mettant l’appareil en mode rafale. L’appareil prendrait une photo par seconde après l’ajustement. Il lui restait trente poses. Parfait !

 

            Amélie écarta les jambes et posa les pieds de chaque côté d’Annie. Avec ses deux mains, elle écarta ses grandes lèvres et laissa échapper un premier jet de pisse qui manqua presque sa cible. Elle dut se reculer un peu. Un nouveau jet de pisse chaude atteignit Annie en plein visage et dégoulina sur sa poitrine, son ventre et sa petite vulve. Puis, ouvrant les vannes, Amélie inonda Annie sous un puissant jet de pisse jaunâtre. La gamine ferma les yeux mais ne bougea pas. Ses cheveux mouillés par la pisse maternelle collaient au front d’Annie. Elle en avala un peu par inadvertance et fit une grimace. Les bébés n’aiment pas tellement le salé, ils préfèrent le sucré, Évidemment. Quand le jet fut terminé, Amélie replongea sur sa fille et entreprit un nettoyage complet avec sa langue. Ecartant au maximum les jambes du bébé, elle réussit à faire pénétrer sa langue pointue dans la fente de sa gamine. Puis, elle descendit plus bas et accomplit le même manège avec l’anus d’Annie. Elle espérait qu’Annie comprenne le message mais ne se faisait pas trop d’illusions. En effet, Annie, passivement, regardait sa mère s’esquinter à lui ouvrir l’anus. Ses tentatives furent stériles car rien ne sortit du cul de la gamine. Amélie devrait se contenter de Josiane pour cette partie du film. Jetant un œil en biais, elle vit que son père affichait maintenant une érection solide qui amenait son gros membre à la verticale. Elle fut rassurée, cela signifiait qu’elle faisait du bon boulot.

 

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            Vers l’âge de quatre ans, Amélie avait l’habitude de voir ses parents forniquer À tout moment et n’importe où. La seule activité qu’on lui cachait : les punitions de sa mère. Par contre, lorsque Jean-Luc s’absenter pour le boulot, il n’était pas rare que Maryse utilise sexuellement la petite Amélie. Elle aimait beaucoup se faire pisser sur la gueule par la gamine et ensuite la lécher tout en se masturbant. Amélie ne demandait pas mieux que de participer à ces jeux. Doucement, Maryse lui montra ensuite comment lécher une femme tout en lui malaxant les seins ou en enfonçant plusieurs de ses petits doigts, sinon toute la main, dans le cul maternel. Elle en ressortait souvent souillée des matières fécales maternelles. Maryse prenait sa petite menotte et l’essuyait sur ses gros seins. La gamine riait aux éclats de voir sa mère se maculer ainsi.

 

            Quand Jean-Luc rentrait pour le dîner, Amélie lui contait les péripéties de la journée. Elle avait remarqué depuis un certain temps que ces récits provoquaient une généreuse érection chez papa et qu’ensuite, il se précipitait sur sa femme qu’il prenait par n’importe quel trou. Amélie adorait les regarder faire. Souvent, Maryse tournait la tête du côté d’Amélie et lui envoyait des baisers silencieux pour la remercier de cette gentille initiative.  De son côté, Amélie relevait sa robe jusqu’au cou et exhibait ainsi sa fente juvénile pour sa mère Elle savait que maman adorait la regarder toute nue. Elle passait un doigt sur sa petite vulve, imitant le geste d’une adulte qui se masturbe. Bien qu’elle fût trop jeune pour connaître l’orgasme, elle avait suffisamment vu sa mère jouir pour être capable d’en imiter les spasmes.

 

            Depuis quelques temps, Maryse avait de plus en plus besoin de stimulation pour atteindre l’orgasme. Elle y arrivait lorsque Jean-Luc lui tordait sévèrement les tétins ou qu’il lui pinçait cruellement le clitoris. Il dut se rendre à l’évidence : Maryse s’enfonçait de plus en plus dans son masochisme et bientôt, il ne pourrait plus compter sur elle pour la baise. Oh, bien sur, il la baiserait toujours mais ce n’est pas aussi amusant quand on ne peut faire jouir sa partenaire. Conclusion : il était temps de commencer sérieusement à faire pratiquer Amélie.

 

            Ce soir-là, après le dîner, Jean-Luc et Maryse regardaient la télé alors qu’Amélie, à plat ventre sur la moquette, feuilletait une bande dessinée pour adulte que lui avait prêté sa mère Sa courte robe dévoilait le haut de ses fesses. Elle avait plié les jambes aux genoux et faisait un ample mouvement alternatif des pieds, imitant un plongeur sous-marin.  Jean-Luc sentit son membre durcir.

 

- Amélie, tu viens t’asseoir avec nous ?

 

- Oui papa.

 

Jean-Luc et Maryse s’écartèrent pour faire une place à la gamine. Dès qu’elle fut assise entre eux, Jean-Luc ouvrit sa robe de chambre et lui exhibât son sexe maintenant tout-à-fait rigide.

 

- Tu sais ce qui ferait plaisir à papa ?

 

- Tu veux que j’enlève ma robe ?

 

- Oui, ce serait bien ! Mais il y a autre chose que papa aimerait bien.

 

            Sans attendre la suite, Amélie se remit debout et fit glisser sa robe par-dessus sa tête. Jean-Luc la lui prit et la lança sur un fauteuil inoccupé. Amélie reprit sa place entre eux.

 

- Papa aimerait bien que tu caresses sa grosse queue !

 

L’utilisation volontaire du langage cru faisait partie du jeu. La gamine devait apprendre le langage des débordements.

 

- Comment on fait ?

 

            Il fit mettre Amélie à quatre pattes perpendiculairement sur le divan. Se faisant, ses pieds reposèrent sur les cuisse de sa mère. Il lui prit la main droite et la posa sur son membre turgescent. La petite menotte ne parvenait pas à faire le tour de l’engin. Jean-Luc en fut ému.

 

- Comme cela ! Ensuite, tu fais un mouvement de va et vient, de haut en bas et de bas en haut, doucement au début et de plus en plus vite quand je te le dirai. A mon signal, tu mettras ta bouche sur le bout de zizi et tu avaleras tout ce que je te donnerai. Tu comprends ?

 

- Oui papa !

 

- Toi, tu t’occupes du cul de ta fille, lèche-le bien, je veux voir ta langue s’activer dans les moindres recoins.

 

            Maryse dut changer de position pour obéir. Elle se mit à genoux sur la moquette et en profita pour se dénuder. Elle écarta un peu les jambes d’Amélie pour faciliter l’accès et commença l’agréable tâche. Pendant ce temps, Amélie avait débuté la masturbation du sexe paternel. Elle se rappelait avoir vu quelqu’un faire cela dans un des films pornos entreposés sous la télé. Elle se révéla très bonne pour une débutante. Elle adopta une vitesse de croisière régulière tandis que son père lui caressait ses petits mamelons. Elle posa sa tête sur les cuisses de Jean-Luc qui lui repoussa les cheveux en arrière afin d’admirer son visage poupin. Après quelques minutes, il lui dit d’augmenter la cadence et de se tenir prête à utiliser sa bouche. Amélie sourit, elle se réjouit de parvenir à faire jouir son père aussi bien que sa mère aurait pu le faire. La respiration de Jean-Luc devint plus saccadée.

 

- Plus vite ! Va plus vite, ma petite pute !

 

Le bras d’AmÉlie commençait à fatiguer quand Jean-Luc lui intima l’ordre.

 

- Ta bouche ! Maintenant !

 

            AmÉlie souleva sa tête et engouffra du mieux qu’elle pu le bout violacé du membre. De longs et puissants jets inondèrent son palais. Inexpérimentée, elle n’avala pas et laissa le foutre s’accumuler dans sa bouche. Quand Jean-Luc eut finit de jouir, elle se redressa et malgré le goût salé du liquide, elle avala enfin, en trois ou quatre gorgées, la semence paternelle.

 

- C’est très bien, ma petite salope ! Pour une première fois, tu t’es débrouillée comme un chef. Maintenant, au lit ! On reprendra les exercices demain.

 

- Oui papa ! Bonne nuit papa.

 

- Bonne nuit et fais de beaux rêves.

 

- Je vais la border et je reviens.

 

            Maryse ramassa la robe d’Amélie qui partit en courant dans sa chambre. Elle plia la robe et la rangea dans un tiroir pendant qu’Amélie soulevait les couvertures.

 

- Je peux dormir toute nue, maman ? Il fait chaud !

 

- Bien sur !

 

- Pourquoi papa m’appelle pute et salope ?

 

- Tu vois, dans ces moments là, quand un homme bande et qu’il aime bien sa partenaire, ces mots-là ont un sens affectueux. Papa appelle toujours comme cela quand il est sur le point de gicler. C’est bon signe, ça veut dire que tu as bien fait ce qu’il te demandait.

 

- Moi, je pourrais t’appeler salope ?

 

- Juste quand nous sommes ici, pas en dehors, comme lorsque nous allons faire du shopping, par exemple. Dehors, je suis maman, mais ici, tu peux, oui. Papa va même aimer ça ! Bisou !

 

            Maryse se penchât au-dessus d’Amélie et plaqua ses lèvres sur celles de la gamine. Cette dernière ouvrit instinctivement sa bouche pour faciliter l’introduction de la langue de Maryse. Elle léchât tous les recoins de la bouche de sa fille et vu la position, un peu de sa salive coulât dans la bouche de la petite. Quand le baiser prit fin, Amélie dut avaler.

 

- Bonne nuit, maman salope !

 

- Bonne nuit, petite pute !

 

            Maryse éteignit la lumière en sortant de la chambre. Elle retourna au salon, retrouver Jean-Luc. Toujours nue, elle s’allongea sur le dos, posant sa tête sur ses cuisses. Jean-Luc songea que Maryse méritait une récompense après une si bonne soirÉe. Il posa sa main sur le sein disponible et se mit à tordre le bout gentiment. Il Était encore tôt et Maryse n’avait pas joui. Il fallait s’occuper de cela.

 

- On va descendre À la cave dans cinq minutes. Laisse-moi finir ma clope et tu auras une récompense. Que dirais-tu de cent coups de martinet, cinquante en arrière et cinquante en avant ?

 

- Pourquoi seulement cent ? Tu ne m’aimes plus ?

 

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            Amélie dut faire une pose pendant que son père changeait les cassettes des caméras. Elle fumait rarement mais en profita pour faucher une cigarette dans le paquet de Jean-Luc. Assise sur le bord du lit, elle regarda Josiane qui remettait de l’ordre dans sa tenue. Déjà à huit ans, Josiane s’y connaissait dans les choses du sexe, surtout du sexe pervers. Elle se prêtait volontiers à toutes les exigences de son grand-père, qui était aussi son père, et de sa mère, surtout s’il était question de scato. Josiane adorait les jeux de caca. Chier dans sa culotte et sentir une main répandre les immondices sur ses fesses lui procurait beaucoup de plaisir. Parfois, sa mère introduisait une main dans la culotte merdeuse et en ressortait, porteuse d’une poignée de merde dont elle bariolait les seins de la gamine ainsi que son visage. Ensuite, elle introduisait deux ou trois doigts dans la bouche de Josiane et lui faisait nettoyer. Elle ne devait pas avaler tout de suite mais les garder dans les joues, comme un écureuil conserve les noix. Amélie l’embrassait alors et lui subtilisait la merde diluée de la salive de Josiane, qu’elle avalait tout de go. Le scénario de ce soir serait légèrement différent.

 

- Tu es prête ?

 

- Oui maman, j’ai vraiment envie. Et toi ?

 

- Moi aussi. J’ai de la difficulté à me retenir tellement j’ai des crampes. Il va y en avoir un énorme paquet !

 

- J’ai peur qu’elle soit un peu molle.

 

- Ca ne fait rien ! Ca fera du changement. Essaie de te vider d’un seul coup !

 

- Oui maman !

 

            Amélie éteignit sa cigarette et quitta la chambre pour mettre Annie au lit. Lorsque Jean-Luc revint dans la chambre avec deux cassettes vierges, il trouva Josiane seule.

 

- Où est ta mère ?

 

- Elle couche Annie et revient de suite.

 

            Jean-Luc en profita pour recharger les caméras et l’appareil photo, son sexe à demi rigide pointant droit devant lui. Quand Amélie revint dans la chambre, il lui tendit une culotte pleine grandeur qui couvrait les fesses entièrement.  Elle l’enfila puis s’allongea sur le dos dans la position idéale par rapport aux deux caméras. Elle ramena ses pieds près des cuisses et écarta les jambes. Jean-Luc activa les caméras. Josiane comprit qu’elle devait faire son entrée. Elle s’approcha du lit et y grimpa silencieusement. Elle se tint debout au-dessus du visage d’Amélie puis s’accroupit. Elle releva sa robe blanche et son cul se retrouva directement au-dessus de la bouche de sa mère. En penchant la tête, elle vit que sa mère Était prête car elle ouvrait la bouche. Elle se mit à pousser. Amélie aussi poussait, Selon le scénario de Jean-Luc, elles devaient chier simultanément, Josiane dans la bouche et le visage d’Amélie et Amélie, dans sa culotte. Lorsque l’étron brun pâle fit son apparition hors de l’anus de la gamine, Amélie accentuât sa poussée afin d’expulser au même moment. Tandis que l’étron enfantin descendait lentement vers la bouche d’Amélie, on pouvait voir la culotte de cette dernière se déformer. Une protubérance indiquait que le plan était suivi à la lettre. Quand la merde de Josiane atteignit le fond de la gorge de sa mère, cette dernière referma les dents afin de couper l’étron. Elle referma les lèvres en débutant la mastication. Elle ferma aussi les yeux et laissa le reste de l’étron s’étaler sur le visage, le nez et son front.

 

            Sa culotte se remplissait rapidement et bientôt, la place fut insuffisante pour tout contenir. Une partie de la merde se mit à couler hors de la culotte pour retomber sur le lit. Josiane changea de place et vint s’allonger à plat ventre entre les jambes de sa mère. Elle appuya sur le fond afin de bien répandre la merde et la faire adhérer à la peau. Amélie arqua le dos et Josiane, comprenant le signal, agrippa la ceinture de la culotte et la tira vers le haut. Un infâme magma fut révélé par ce procédé. Elle amena la culotte jusqu’aux genoux et, prenant une grande respiration, elle plongea son visage vers le con souillé de sa mère qu’elle nettoya à grands coups de langues. Elle dut en avaler une bonne quantité avant de s’attaquer au clitoris maternel. Amélie continuait de manger les déjections de sa fille tout en se maculant le visage, les seins et même en essuyant ses mains dans les cheveux de Josiane. Au bout de quelques minutes, Amélie sentant la jouissance poindre, arqua une fois de plus le dos et ne put s’empêcher de crier son bonheur. Elle retomba alanguie sur le matelas. Josiane cessât sa prestation et malgré les directives de Jean-Luc, elle regarda la caméra de droite et fit un grand sourire. Ses lèvres cernées de brun firent un joli contraste avec ses dents blanches et juvéniles. Jean-Luc cadra les deux caméras légèrement vers le bas afin qu’on ne voit pas son visage. Il remit Josiane à quatre pattes sur le bord du matelas et vint se placer derrière elle. Son gros membre préalablement lubrifié pointait vers le haut. Il dut le prendre entre ses doigts pour le rabaisser et ajuster le trou du cul de Josiane. Sentant le gland se pointer à l’entrée, Josiane poussa, pour distendre son anus et faciliter la pénétration. Une petite merde en sortit, à son étonnement. Jean-Luc s’en barbouilla le gland et poussa ensuite le gland dans l’ouverture de l’anus. Il poussa d’une façon constante jusqu’à ce que son ventre butte sur les fesses de Josiane. La gamine eut un rejet de tête vers le haut, exhibant son visage merdique. Jean-Luc  ramonant le colon de Josiane, lui pinçait simultanément les aréoles. La gamine, la bouche ouverte, appréciait chaque seconde de ce traitement. Ca devait être ça, le paradis : de la merde plein la gueule et une grosse queue dans le cul. Quand Jean-Luc fut sur le point de jouir, il accéléra le mouvement et l’amplitude des coups de butoir. Quand enfin il se libéra dans le cul de la gamine, il lui tira cruellement les cheveux afin de la plaquer contre son ventre et jouir le plus profondément possible dans les entrailles de la fillette. Quand ce fut terminé, il retira sa queue avec un joli plop et, Josiane pivotant a cent quatre vingts degrés, il présenta devant le visage de la fillette sa queue badigeonnée d’un mélange de merde et de foutre. La gamine ouvrit la bouche et à coups de langue la nettoya jusqu’à ce qu’elle retrouve son aspect original.

 

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            Jean-Luc prit les cassettes des caméras et commença à transférer leur contenu sur l’ordinateur. Ce processus étant assez long, il remonta à l’étage. La porte de la salle de bain n’étant pas fermée, il entendit le bruissement de l’eau : Amélie et Josiane prenaient leur douche ensemble. Sans chercher à les observer, Jean-Luc s’appuya sur l’encadrement de la porte et attendit. Pas plus de deux minutes.

 

- Maman !

 

- Oui !

 

- Je crois que je vais vomir.

 

- Déjà ?

 

Pour toute réponse, Josiane se penchât vers l’avant et un premier jet de l’immonde contenu brunâtre de son estomac vint éclabousser le fond de la baignoire.

 

- Je t’accompagne.

 

            Amélie se penchât aussi vers l’avant et fourra deux doigts au fond de sa gorge. Elle n’eut pas le temps de les retirer que son estomac se convulsa et expulsa une partie de la merde diluée qu’il contenait. L’odeur putride souleva de nouveau l’estomac de Josiane et la mère et la fille entamèrent ainsi un duo de régurgitation pour le plus grand plaisir des sens auditifs de Jean-Luc. Il recommença à bander. Quand les filles eurent terminé, il tira le rideau de la douche, prit Josiane sous les aisselles et l’installa sur le rebord de la baignoire. Il la fit tourner pour qu’elle lui présente son dos, lui fit plier les genoux et lui fourra son gros engin redevenu turgescent dans sa fente infantile. Il avait déjà eu son cul, il voulait maintenant la chatte. Sous les violents coups de rein de Jean-Luc, Josiane sentit son estomac se révulser une fois de plus. Un long filet glaireux s’échappa de la bouche de l’enfant, ce qui fit jouir son père dans un spasme. Il déposa Josiane dans la baignoire, s’essuya brièvement et retourna à la pénible tâche d’édition des quatre cassettes. Heureusement, il ne devrait s’occuper de Maryse que demain.

 

- Ah la la !! C’est jamais fini, le boulot d’un chef de famille.

 

Un petit sourire en coin accompagna cette remarque murmurée pour lui seulement.



PERVERSIONS FAMILIALES

PAR LE MATOU