Synopsis : Fg, BDSM, inceste mère-
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Interloquée, la grosse femme de trente ans aux cheveux brun clair ne sut quoi répondre. Bégayant un peu, elle ne put que demander:
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Se résignant, Sandrine tira une chaise, y posa son gros postérieur, ce qui eut comme conséquence de faire entièrement disparaître le siège sous ses énormes fesses. Son ventre reposant sur ses cuisses qu’il cachait en partie, elle prit Mégane sous les bras et l’assit sur ses genoux. A peine six ans, Mégane se trouva confortablement installée sur la grosse cuisse moelleuse de sa mère qui entreprit de lui expliquer les choses de la vie. Elle dut remonter un peu sa robe afin de faire de la place pour les jambes de la petite.
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La main de Sandrine descendit le dos de Mégane et, atteignant le haut de ses fesses, elle se mit à la caresser doucement. Une idée germait dans son esprit. Peut-
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Pendant ce temps, Sandrine continuait à caresser les fesses de sa fille. Cette dernière trouvait ce geste étrange mais elle aimait bien. Elle se positionna légèrement en arrière pour que sa mère ait un meilleur accès à son petit derrière. Elle faillit basculer mais Sandrine posa sa main dodue sur les cuisses de sa fille afin de la stabiliser. Elle devait prendre son temps afin d’atteindre son nouvel objectif. Elle continua de caresser les fesses de Mégane tout en gardant la main sur le devant des cuisses de la petite.
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Sandrine ne put s’empêcher de sourire : on y arrivait !
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Se faisant, sa main droite quitta les fesses de la petite et elle défit les trois boutons supérieurs de sa robe. Elle prit son sein gauche et le sortit. Elle ne portait pas de brassière. L’énorme téton affichait une vingtaine de petits points sombres, cicatrices causées par les entrées d’aiguilles et qui disparaîtraient lorsque les petites galles tomberaient. Le gros tétin commençait déjà à durcir.
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Les deux petites mains tentèrent de faire le tour du gros sein mais ce fut impossible. Elle se résigna à le prendre en sandwich, la main droite à l’extérieur et la gauche à l’intérieur. Puis, elle pressa doucement. Pour lui faire comprendre qu’elle appréciait, Sandrine accentua sa caresse des fesses de Mégane.
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Mégane y mit toute la force de ses six ans mais ce fut bien insuffisant pour Sandrine. Elle décida de changer de tactique.
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Mégane dut utiliser trois doigts pour se faire. Elle tordit violemment le tétin, générant une onde de plaisir dans tout le corps de sa mère. Pendant ce temps, elle insérait son gros index dans la fente des fesses de Mégane, par dessus sa petite robe. La petite leva une fesse pour faciliter la tâche de sa mère. Elle aimait bien cette sensation nouvelle.
Tu aimes ça, Mégane ?
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Mégane entoura le cou de Sandrine et lui fit un gros bécot sur la joue.
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Pour obéir, Mégane dut se soulever un peu et Sandrine en profita pour agripper les deux fesses qu’elle tritura amoureusement. La langue de Mégane se fraya un chemin entre les lèvres de sa mère et titilla la grosse langue. Pressant Mégane contre son gros ventre, Sandrine retourna la faveur, explorant chaque recoin de la bouche de sa fille.
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Le lendemain matin, l’époux de Sandrine quittait la maison pour le boulot à sept heures trente. Mégane dormait encore. Sandrine en profita pour faire la vaisselle du petit déjeuner, passer un coup de balai et prendre les poussières tout en se demandant comment se passerait la journée. Un peu nerveuse à l’idée d’initier sa propre fille à ces jeux pervers, elle se questionnait sur la possibilité qu’une aussi jeune gamine puisse garder un secret. Par contre, si on ne prend jamais de risques, on peut manquer de belles opportunités. Elle passa dans la chambre à coucher, enfila un grand caleçon qui avait déjà été blanc mais maintenant passait pour écru, et une robe mince car la chaleur se levait.
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Toute à ses cogitations, Sandrine n’avait pas vu Mégane entrer dans la cuisine.
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Sandrine lui versa un grand verre de lait. Elle se demandait comment aborder le sujet de leurs jeux en regardant Mégane boire son lait. Quand le verre fut vide, Mégane se leva, vint se placer derrière Sandrine et passant la main par-
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Un peu éberluée d’une entrée en matière aussi directe, Sandrine ne put toutefois retenir un petit sourire de satisfaction. Elle se leva de la chaise de cuisine et s’allongea sur le dos à même le parquet.
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Mégane releva sa petite robe et commença à descendre sa petite culotte.
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Mégane dut tout de même relever un peu le bas de sa robe pour réussir à enjamber le gros ventre de Sandrine, au-
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C’est vrai ? Je pourrais taper sur tes lolos ?
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Mégane releva sa robe au-
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Avec souplesse, Sandrine retira sa culotte qu’elle lança un peu plus loin et projetant ses grosses jambes au-
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Ecartant ses grosses cuisses au maximum, elle poussa et un gros jet de pisse émergea de son con pour faire un arc gracieux d’un mètre de haut avant de lui retomber en pleine figure. Mégane fut éblouie par l’adresse de sa mère. Sandrine ouvrait la bouche toute grande et tentait d’avaler un maximum de pisse mais elle en manquait beaucoup et le liquide lui éclaboussait le visage, se répandait en marre sur le parquet et mouillait ainsi ses cheveux bouclés. Quand le jet faiblit, l’arc diminua et la pisse laissa une traînée sur le devant de la robe de Sandrine. Quand le jet tarit complètement, Sandrine reposa ses jambes sur le sol et se frotta les yeux pour y enlever les reliquats de pisse.
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Oui maman ! Pardon ! Oui, ma grosse cochonne de maman !
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Sandrine releva sa grosse carcasse et prit sa culotte. Mégane et elle se rendirent aux WC et Sandrine enleva sa robe. Puis, elle enfila à nouveau sa culotte. Elle enjamba le rebord de la baignoire et elle tourna le dos à Mégane. Elle écarta légèrement les jambes, fléchit les genoux et se mit à pousser. Elle ahana un peu sous l’effort.
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Sandrine poussa de plus belle et finalement, elle sentit son sphincter s’ouvrir. Ce que Mégane ne savait pas, c’était que sa mère était particulièrement évasée de ce côté. Un étron énorme se fraya un chemin et répandit une très forte odeur dans la petite pièce. Il s’appuya sur le fond de la culotte, dessinant un cercle qui devait faire un bon huit centimètres de diamètre. Sandrine continuait de pousser mais, adossé à la culotte, l’étron refusait de continuer de sortir. Mégane vint au secours de sa mère et l’agrippant à travers l’étoffe, elle poussa l’immonde résultat sur le côté gauche de la culotte. Libéré de son appui, l’étron put poursuivre sa course. La culotte de Sandrine se remplissait à vue d’oeil. Malgré l’odeur, Mégane s’amusait follement. Dans un geste réflexe, elle se mit à frotter sa petite vulve par dessus l’étoffe de sa robe. Finalement, un pet foireux vint signaler aux deux protagonistes que le puit se tarissait. Le visage rouge, résultat non de la honte mais de l’effort, Sandrine lui demanda :
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Sandrine lui présenta son gros cul et Mégane se mit à malaxer la merde à travers le tissu, prenant bien soin de couvrir entièrement les deux grosses fesses de la substance visqueuse. Se faisant, l’odeur se fit plus forte mais maintenant, Mégane était habituée et n’y prêtait pas attention. Elle s’amusa ainsi pendant quelques minutes. Quand elle en eut assez, elle demanda à sa mère :
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Sandrine se tourna, s’allongea sur le dos. La merde dans sa culotte fut écrasée et se dirigea ver les côtés et vers son con. Tandis que Mégane enlevait sa robe et sa culotte trempée, elle vint se positionner au-
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Surprise du changement de ton de sa mère, elle n’obéit pas moins et se mit à pousser. Ce ne fut pas long et Sandrine sentit s’ouvrir l’anus de sa fille et un petit pet les fit rigoler toutes les deux. Ensuite, Sandrine sentit que les choses devenaient plus sérieuses et un étron étroit et brun foncé traversa le bourgeon rosâtre. Sandrine ouvrit la bouche et aspira l’immondice avec une satisfaction non dissimulée. Il ne faisait qu’une douzaine de centimètres et elle en eut à peine assez pour remplir sa dent creuse. Tout en mâchouillant la merde, elle entreprit de se masturber en enfilant sa main droite dans sa culotte. Elle y trempa ses doigts et entreprit de se polir le capuchon tout en nettoyant le pourtour du petit anus d’une langue avide. Elle faillit jouir juste À ce moment.
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Décidément, les enfants d’aujourd’hui .... ne put s’empêcher de penser Sandrine. Elle avala la merde de Mégane et retira précautionneusement sa culotte. On y voyait encore la forme de la tête de l’étron. Elle ouvrit sa bouche toute grande et tentât d’enfourner la bête. Ce fut peine perdue et malgré la poussée énergique de Sandrine, un peu de la merde vint se perdre sur sa lèvre supérieure et sur le menton. Elle mastiqua en prenant bien soin d’ouvrir la bouche afin que Mégane puisse constater que ce n’était pas du chiqué. Elle avala et prit une seconde bouchée qu’elle se mit aussitôt à mâcher. Elle continua ainsi jusqu’à ce qu’il soit impossible d’y ramasser quoi que ce soit. Puis, elle mit à cueillir celle qui restait prise dans son gros cul. Elle recueillit ainsi encore deux grosses poignées d’une merde jaunâtre qu’elle avala goulûment. S’allongeant sur le dos, elle se masturba furieusement jusqu’à l’orgasme. Mégane n’en perdit pas une miette et il lui fut facile de comprendre que sa mère venait de jouir. Prenant appui sur ses coudes, elle se redressa dans le bain et prit une position assise plus confortable pour son dos.
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Nue, Mégane approcha de la baignoire et Sandrine lui tendit la main. Il restait encore de merde sur ses doigts. Mégane ouvrit la bouche et sortit sa langue autant que possible. Sandrine y frotta un doigt et y déposa un dé à coudre de merde. Mégane referma la bouche mais lorsque le goût âcre atteignit ses papilles gustatives sur l’arrière de la langue, elle fut prise d’une violente nausée et vomit non seulement la merde mais son verre de lait suivi le même chemin. Sandrine savait bien ce qui se préparait et elle se plaça volontairement sur le chemin de la nauséabonde immondice. Le vomi l’atteignit sur les tétons et déclencha chez elle la nausée salvatrice. Assise dans le bain, se tenant les chevilles avec les mains, elle se mit aussi à vomir non seulement la merde mais aussi son petit déjeuner. Il y eut cinq jets puissants qui traversèrent la baignoire et qui allèrent éclabousser le mur opposé. Quand les spasmes de son estomac se calmèrent, elle constata que Mégane la regardait, la bouche ouverte d’une surprise non dissimulée.
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Mégane prit le verre sur le lavabo et le remplit au robinet. Elle le tendit à sa mère qui le vida d’un seul trait. Puis, Sandrine changea de position, se mit à quatre pattes dans les reliquats de merde et de vomi puis elle s’enfonça un doigt dans la gorge. Les spasmes la reprirent et elle vomit tout le verre d’eau. Il y avait encore quelques traces de merde, mais vraiment peu. Quand elle eut rendu tout le verre, elle tourna la tête et lui dit :
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Encore humides, Sandrine amena Mégane dans son lit :
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Obéissante, Mégane obtempéra.
Sandrine s’allongea sur le ventre, la bouche sur la vulve de Mégane qu’elle se mit à sucer frénétiquement. Déjà excitée par leurs jeux pervers, Mégane ne fut pas longue à connaître le plaisir suprême. Son dos s’arc-
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La fin du jeu marqua le retour de maman et la fin de la grosse cochonne.
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Deux jours plus tard, Mégane, en se levant, constata que son père avait déjà quitté pour le boulot. Elle trouva sa mère dans la cuisine, vêtue seulement de sa culotte. Ses gros seins pendant sur le haut de son ventre et affichaient une multitude petits points rougeâtres, reliefs des jeux de la veille. Mégane avait tout vu et se doutait bien que les seins de sa mère étaient encore sensibles. Elle approchât par en arrière et prenant les grosses tétasses de sa mères à pleines mains, elle les serrât aussi fort qu’elle le put. Elle prit aussi le risque de lui dire :
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Sandrine eut un rejet de la tête vers l’arrière, jouissant de la mince douleur causée par les mains de la gamine.
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Quel monstre je viens de créer ! Sandrine se tourna et prenant Mégane dans ses bras, elle amena son visage contre le sien. Comprenant au quart de tour, Mégane posa ses lèvres contre celles de sa mère et entreprit un langoureux baiser qui amena sa petite langue à explorer tous les recoins de la bouche maternelle, tout comme cette dernière l’avait fait, deux jours auparavant. Tout en continuant de l’embrasser, Mégane pétrissait le gros sein gauche de sa mère avec sa main droite. A bout de souffle, Sandrine déposa Mégane par terre. C’est alors seulement qu’elle vit que sa mère était couverte d’hématomes sur les seins, le ventre et le hauts des cuisses. Sandrine vit la question silencieuse dans les yeux de sa fille.
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Tout en écoutant Sandrine raconter les horreurs de la dernière nuit, Mégane triturait le gros téton pendant de sa mère.
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Sandrine se précipitât dans la chambre de sa fille et en revint quelques secondes plus tard en portant une paire de souliers noirs à semelles dures et à talons de deux centimètres. Elle enleva sa culotte, exposant sa grosse chatte rasée, puis s’allongea sur le dos.
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Mégane fit ce que Sandrine lui demandait.
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Ce fut assez rapide car Mégane ne portait que sa robe, sa culotte et une paire de bas. Elle enfilât les souliers sans les bas, au grand plaisir de Sandrine. Elle voulut prendre position au-
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Sans réaliser la douleur qu’elle causerait ainsi, Mégane mit d’abord un pied sur le ventre de sa mère et ensuite, se donnant un petit élan, elle grimpa sur le ventre mou et maternel.
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Tâche difficile à accomplir car la graisse du ventre n’offrait pas un appui stable et MÉgane perdait l’Équilibre chaque fois qu’elle levait un pied pour frapper. Enfin, elle comprit qu’elle devait prendre appui sur le sternum avec son pied gauche et elle put ensuite commencer à frapper. Son principal objectif était le sein maternel gauche. Il rebondissait sous chaque coup, frappant le bas de l’épaule puis retombait, pendant, sur le flanc.
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Mégane peinait sous l’effort conjugué des coups et du maintien de l’équilibre. Elle fit de son mieux pour infliger un maximum de douleur et elle réussit au delà de tout espoir, envoyant sa mère dans le nirvana des masochistes. Sous l’effort conjugué des coups de sa fille et de la masturbation effrénée de sa main droite, Sandrine connut une bruyante jouissance. D’instinct, Mégane sut qu’il fallait arrêter de frapper. Elle descendit de sa mère et la regarda s’amollir après un copieux orgasme.
Se remettant debout, Sandrine prit Mégane dans ses bras et la posa sur le bord de la table de cuisine. Elle s’agenouilla devant sa fille et entreprit un savant cunnilingus qui amena les mêmes résultats chez elle.
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La bouche de Mégane s’ouvrit sur un long cri muet.
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Les activités perverses de la mère et de la fille continuèrent ainsi pendant plusieurs années sans que le père se doute de la moindre chose, sinon que certains soirs, leur fille se couchait bien tôt. Sept années plus tard, les confrères de son père le trouvèrent sans connaissance derrière son bureau. Malgré un transport rapide à la clinique la plus proche, on ne put le sauver. Le coeur avait lâché.
Le retour à la maison, après l’inhumation, fut silencieux. Sandrine conduisait lentement, y étant peu habituée. Elle fut reconnaissante à Mégane de ne pas essayer d’entamer une conversation alors qu’elle devait se concentrer sur la conduite.
Quand elles pénétrèrent dans la maison, un silence total régnait. Mégane accrocha son manteau à la patère. Quand Sandrine eut fait de même, elle se tourna pour se diriger vers la cuisine, au fond de la maison. Elle n’eut pas le temps de faire un pas qu’un fulgurant coup de poing à l’estomac la stoppa net.
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Pliée en deux sous l’effet de la douleur, Sandrine tomba à genoux.
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En disant cela, Mégane passa derrière sa mère et lui flanqua un retentissant coup de pied au cul.
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Sandrine ne put s’empêcher de remarquer que sa grosse chatte mouillait déjà.
Mais ça, c’est une autre histoire.
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MEGANE
PAR LE MATOU