SAMEDI MATIN…

 

« Maman, j’ai encore fait pipi au lit… »


Un petit blondinet, tout mignon tout plein se tient dans l’embrasure de la porte de la cuisine. Il vient d’avoir neuf ans, un âge où on ne fait plus pipi au lit innocemment. Sa maman le sait.


« C’est pas grave mon ange. Surtout, ne me dis pas que c’est un accident, t’es capable de te retenir des heures, répond Sylvie, sa mère dans un grand sourire ».


« Oh, non ma petite maman chérie. J’ai aimé pisser au lit. Sur le matin, je pisse toujours des litres, et mon pipi est bien jaune et tout chaud ».            


La jeune mère de l’enfant est très jolie, malgré ses trente quatre ans. Elle a la taille fine, une tête bien faite. Ses cheveux bruns contrastent avec les cheveux chamarrés d’or de son fils. Il tient plus de son père. Elle est nue. Elle est toujours nue comme tous les membres de la famille Duval. A la maison, les habits sont prohibés. Il n’y a pas de toilettes non plus. Le premier étage forme une immense pièce où quatre petits lits ont été agencés côte à côte. Elle sert de chambre à coucher et de chiottes.


Dans la famille Duval je demande le père. Patrick est cadre dans une grande entreprise de télécommunication parisienne. Il a le front dégarni et les cheveux d’un blond cendré. Son fils est son portrait craché.  Sa femme est la plus perverse. Elle s’adonne par plaisir aux jeux scatos sans aucune honte. Enfin les deux enfants. L’aînée, Martine, jolie jeune fille de douze ans. Blonde comme son frère et son père. Le petit dernier, Cédric,  un ange. Son air candide lui donnerait le bon Dieu sans confession. En fait c’est un petit diable.


« T’as fait ton petit caca matinal, demande la jeune maman à son petit ange ? »


« Non maman je l’ai gardé pour toi. Et puis, c’est pas un petit caca. C’est une grosse merde. J’ai pas fait hier et pourtant j’avais trop envie. Même quand papa m’a enculé. Il a sorti sa queue toute merdeuse et je l’ai léchée. Mais non, j’ai pas chié hier. Je savais que tu le voulais mon caca ».


« Oh, le brave petit. Ca c’est mon ange à moi. Tiens, bois ton chocolat et puis allons au lit. J’ai pas la même envie que toi. D’ailleurs je ne peux pas me retenir plusieurs jours comme tu le fais. Mais c’est assez pour t’en barbouiller tout entier. Tu vas disparaître sous ma merde. Hein tu voudras que je t’en mette partout. Oh, vite finis ton chocolat, je n’en peux plus d’attendre ».


Le garçon se dépêche d’avaler le contenu de son bol. Son petit trou du cul s’évase sous la poussée d’un étron d’une dimension honnête. Pour un gosse de neuf ans, produire une telle quantité de merde, ça mériterait de figurer dans le livre des records. Il grimace pour ne pas tout lâcher sous lui.


« Ca y est, mam. Allez on va au lit !  s’écrie Cédric »


Sylvie prend par la main son petit garçon et l’entraîne au premier étage. Dans l’immense pièce les quatre lits sont défaits. Une forte odeur de pisse et de merde se dégage de la pièce. Les draps ne sont plus blancs depuis des lustres, jaunis par la sueur et suintant d’urine, souillés de larges traces marrons.


« On va faire ça sur ton lit, mon chéri. Il est encore tout mouillé et tu sais que j’adore le pipi sur mon corps, pour moi ça vaut tous les aphrodisiaques du monde ! »


« D’ac maman, mais vite car maintenant j’ai une putain d’envie de chier ! »


« Alors, viens mon chéri. Tu vas me faire ton gros caca dans la bouche »


Sylvie, se couche prestement sur les draps mouillés. Cédric ne se fait pas prier pour s’accroupir  au dessus de la bouche de sa jolie maman.


« Tu es prête, maman ? »


« Oh, oui mon chéri, rétorque Sylvie. Chie-moi dans la gueule. Je suis ta cuvette, tes chiottes. Et branle-toi en même temps. Je veux voir ton petit sexe durcir »


Le garçon, plein de cette confiance dont sa mère l’a investi, se met en effort de la satisfaire. Son anus s’ouvre aussitôt pour laisser place à un  gros boudin marron foncé, d’une odeur de pourriture indescriptible. Sylvie, tout en suivant la progression de la merde, se doigte le clito. Elle part dans un délire apoplectique, quand la merde touche sa bouche, investit sa gorge d’un goût étranger, reflue son trop plein le long de son cou, son menton et ses mignons petits seins. Cédric n’a pas fini son ouvrage. Un deuxième étron apparaît dont les dimensions sont plus impressionnantes que le premier. Son sexe se redresse. Il ressemble à la pine rouge d’un chien en rut. Il se branle tout en chiant. Le petit verrat décharge son trou du cul, et la merde s’écroule sur la bouche pleine. Il poursuit son chemin en s’écrasant sur le visage enchanteur  de sa génitrice.


L’odeur des étrons de Cédric passe quasiment inaperçue dans ce capharnaüm. Tous les membres de la famille Duval ont pris l’habitude de pisser et chier dans cette pièce à toute heure du jour et de la nuit. Les odeurs de porcherie s’incrustent. Les murs suintent la crasse, les humeurs refluent. Aucune personne non avertie, et quelque peu indisposée ne pourrait le supporter. Mais les enfants ont été élevés dès leur naissance dans cette puanteur.


Sylvie étale la merde de son fils sur le visage. Le petit garçon s’est retourné pour lui faire face. Il se masturbe. Son petit sexe prend de l’ampleur. Il n’a cependant pas encore l’élasticité d’un sexe d’homme. La jeune maman, peint ses seins, son corps. Elle approche le boudin de son con. Elle roule les morceaux d’étron sur son petit bouton. Elle repart dans un orgasme foudroyant. Le petit Cédric pousse des ahanements sourds. Il ne va pas tarder à jouir. Sa mère sait qu’il prend du plaisir. Ca se lit sur son visage qui se décompose dans un rictus, avant que ses jambes ne le tiennent plus et qu’il s’écroule sur le lit. Mais aucun liquide ne s’échappe de son sexe. Il est encore trop tôt.


« Vas-y, mon chéri. Jouis, fais le pour maman. Prend ton pied. Hein, ça te plaît de me chier sur la gueule. Tiens, regarde, je mange ta merde ! »


Elle mâche l’étron qui obstrue sa gorge et fait passer le contenu d’une joue à l’autre avec des bruits d’une petite chatte paresseuse qui s’étire. Nos deux complices n’ont pas entendu, Martine rentrer dans la pièce, toute nue, fraîche comme la rosée du matin et les cheveux mouillés.


« Et, ben, je vois qu’on s’ennuie pas ici. Vous aviez donc l’intention de faire vos cochonneries sans moi »


« Désolée, Martine, je croyais que t’étais partie voir tes copines, répond sa mère sur un ton mielleux. Mais je vois que t’as pris ton bain ».


A la vue de sa grande sœur, Cédric fait une moue dégoûtée.


« Pouah, un bain ! Décidément maman, je vais finir par croire qu’elle n’est pas de toi. Elle se lave presque tous les jours. N’est-ce pas une drôle d’idée de jouer  à pipi-caca avec quelqu’un qui sent la rose ».


« Oh, tu peux faire ton dégoûté, ced ! Mais pa, m’a chié dessus cette nuit. Et il m’en a mis partout. Je suppose que vous devez l’avoir vu faire. C’est juste après qu’il t’a enculé. Bref, ce matin, je pouvais quand même pas me présenter comme ça devant mes amies. Et Hélène qui est ma meilleure amie, elle se lave tous les jours, voire deux fois par jour et ça nous empêche pas de jouer à la scato. Mais là quand je vois le tableau, j’ai vraiment envie de t’enculer, ced. Et j’ai pas encore fait mon caca ».


Martine monte sur le lit, elle écarte les jambes et à la grande surprise de nos deux protagonistes merdeux, fait pipi sur les draps. Cédric qui ne veut rien manquer de cette douche matinale, prend position entre les jambes de sa sœur.


« Oh, oui c’est bon. J’avais trop envie, je te lave la gueule avec ma pisse. Vue que le pipi est un désinfectant ça te permettra d’enlever la crasse entre tes dents jaunies ».


Le jet s’interrompt et Martine s’écroule sur les draps dans un grand plof. Puis, elle se redresse pour chercher sous le matelas un gode tenu par une attelle.


« Allez frérot en position. Je vais t’enculer à sec. Ca va pas te faire grand mal, vue que ton trou du cul est tout barbouillé de ta merde »


Elle saisit son frère par les hanches et elle enfonce le gode sans ménagement. Cédric est habitué depuis l’âge de six ans à pareil traitement. Sa sœur le prend comme un animal qui copule. Leur mère assiste à ce spectacle sublime. Elle se branle, tout en finissant de beurrer la merde sur son corps souillé.


« Ca va, mon chéri ? Martine te fait pas trop mal, hein, demande-t-elle ? »


« Oh, si tu savais, maman. Martine est en train de me casser le cul, je crois que je vais jouir là maintenant ».


Les yeux de Martine tirent sur le blanc. Elle va jouir aussi. Mais elle veut plus. Au bord de l’orgasme, elle s’écrie :


« Maman, maman, viens me lécher le cul. Je vais chier, je vais te chier sur la gueule. Viens vite ! »


Martine ne se fait pas prier. Elle saisit les fesses de sa fille pendant que cette dernière encule son frère. A peine sa langue touche le trou boueux, qu’un pet foireux vient lui éclater au visage. Des morceaux d’excréments s’échappent du trou béant, suivis par une irruption de merde semi liquide, dont l’odeur soufrée se répand dans la pièce. Les merdes liquides ont une odeur particulière, désagréable et nauséabonde. La merde éclabousse le visage de Sylvie. Ses cheveux sont maculés par une boue verdâtre.


Le petit Cédric, a senti à l’odeur ce que sa sœur venait de faire. S’en est trop pour lui. Son sexe émet un chuintement. Mais rien ne sort. Et ce soubresaut le laisse pantelant. Il s’écroule sur le lit, tout en murmurant des mots incompréhensibles.


Martine sort son sexe du trou du cul de son frère pour le présenter à sa mère tout souillé. Cette dernière lèche le faux sexe. Puis elles se roulent l’une contre l’autre sur le lit, en s’étalant la merde. Elles se lèchent le visage, partagent les morceaux d’étron dans un festin royal. Avant que les deux corps ne retombent inanimés. Elles s’endorment bientôt du sommeil du juste.




UNE FAMILLE SCATO

PAR PYBRAC