Hélène était venue chercher sa fille Julie à l’école comme pratiquement tous les soirs. Julie en voyant la voiture se garer dans l’allée, avait prestement ouvert la portière et sauté sur le siège avant, sans songer à boucler sa ceinture.


« Dis donc t’es bien pressée de rentrer à la maison, s’écria Hélène »


« Oui, maman, j’ai beaucoup de devoirs à faire pour demain matin. Cette maîtresse c’est vraiment une chieuse répondit la petite fille avec une moue dubitative »


« Julie, je t’ai pas appris à parler comme ça, la gronda pour la forme sa mère »


« Oh, maman, je sais bien que tu penses la même chose. C’est Pinochet en personne. Cette vieille peau, n’a pas d’enfants, pas de maris, et de toute façon vue sa gueule, c’est pas étonnant, et elle fait chier tout le monde. Elle se venge sur nous ».


De telles réflexions émanant d’un si petit bout de choux, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession, firent sourire Hélène. Et, il y avait du vrai dans ce qu’elle disait. La tyrannique maîtresse prenait du plaisir à surcharger les enfants de travail, notamment à l’approche du week-end.


« Bon, aller boucle ta ceinture Julie. Tes sœurs doivent se demander ce que nous faisons ».


            Sur ce, elle démarra la voiture en trombe. Elle avait maintenant, une terrible envie de chier. Pendant le trajet, elle remarqua que Julie posait quelques regards discrets sur elle s’apprêtant à prendre la parole. Mais les mots s’évanouissaient dans sa bouche. Et, elle détournait le regard comme subitement gênée. Elle n’était pourtant pas d’un naturel timide.


« Qu’il y a-t-il, Julie ? Que veulent dire ces regards de chien battu ? »


« Oh, rien maman. Je pensais à ce matin, et…, commença-t-elle craintive »


« Oh, je vois. Et tu veux en parler, fit Hélène en arborant son plus beau sourire. Un sourire rassurant, signe qu’elle était ouverte à la discussion ».


« Je sais pas, maman. Je sais pas ce qui s’est passé et je sais pas si je veux en parler ».


            Hélène comprit toute la gravité des propos. Toute l’après midi, elle avait semblé comme absente durant son travail. Elle avait songé aux évènements du matin. Peut-être avait-elle été trop loin ? Elle s’était laissée dominer par ses pulsions, comme un animal aux instincts les plus bas. Et maintenant, si les atermoiements de sa petite fille continuaient, Julie pouvait dévoiler tout ce qui s’était passé à une personne étrangère. Et, sa mère finirait irrémédiablement en prison. En prison avec l’étiquette de pédophile, c’était l’enfer assuré ! Elle calma son appréhension pour se forcer à prendre un ton calme et détaché.


« Tu sais, tu dois au contraire en parler. C’était pas bien ce matin ? Dans ce cas là on ne le refait plus… »


« Oh, non maman, c’est pas ce que je voulais dire. C’est juste que…, elle s’interrompit, la voix en sanglots. Des larmes coulaient déjà le long de sa joue droite ».


            Quand, elle vit que sa fille était sur le point de chialer, Hélène fut prise de panique. Elle appuya sur l’accélérateur et engagea sa voiture dans le parking de la société qui l’embauchait. Le temps d’insérer sa carte de service et de garer la voiture dans un coin quasiment désert, ne lui prirent pas plus d’une minute. A 17h30, il ne restait plus grand monde au boulot et elle tenait à être tranquille. Elle prit sa fille dans ses bras. Cette dernière se laissa aller pour pleurer tout contre l’épaule protectrice.


« C’est bien, ma chérie. On va arrêter tout de suite. Je sais, je n’aurais pas du, tu étais trop jeune. Allons ne pleure pas, on oublie tout et on fait comme avant ».


            Julie s’écarta de sa mère ; elle détourna le regard pour observer la boite à gants. Elle renifla bruyamment et du revers de sa main droite, elle essuya ses larmes.


« Maman, je ne sais pas si c’est ce que je veux, commença-t-elle. Je pensais à autre chose… »


« Ah, et quoi donc, s’enquit Hélène sur un ton plus assuré. Le dernier revirement de sa fille lui permettait d’espérer qu’elle n’avait été si traumatisée que ça par l’acte de ce matin ».


« Tu sais ce matin, quand tu m’as léchée entre les fesses après que j’aie fait caca… Eh bien, continua-t-elle suite à un signe de tête positif de sa mère, je pensais que j’aurais voulu te lécher aussi, tu sais… »


            Elle arrêta net son discours. L’émotion était trop forte. Elle se remit à sangloter plus lentement.


« Ah, ça, bafouilla Hélène. Tu voudrais me lécher le cul après que j’aie chié, comme je te l’ai fait ce matin ? C’est ça tu voudrais goûter ma merde… Mais, je ne sais pas si tu aimeras, et puis t’es trop petite, tu comprends, oh je ne sais pas quoi te dire… »


            Julie fixa brusquement sa mère. Son joli petit visage était baigné de larmes d’or, de l’innocente parure qu’un enfant arbore sans en avoir conscience.


« Oh, maman, oui c’est ce que je voulais ce matin, que tu me fasses caca dans la bouche, que je lèche tout, je sais pas pourquoi mais j’ai pensé à ça quand tu m’as léché les fesses ».


            Hélène était abasourdie. La révélation de sa petite fille la cingla au plus profond de son être. Son petit ange, sa raison d’être, était prête à se laisser emporter dans une pulsion scato, pulsion que peuvent éprouver tous les petits enfants à un moment de leur jeunesse. La scène de la baignoire avait réveillé ce désire. Elle ne fut nullement dégoûtée, elle aurait souhaité au contraire que les choses aillent plus loin dans le crade. Et Hélène avait arrêté justement pour ne pas l’effrayer. Si elle su…


« Et c’est pour ça que tu pleures… Mais, maman ce matin n’avait pas envie de faire caca. Tu sais je l’ai fait hier soir, dans mon lit. Oui, dans mon lit. Et toi aussi tu pourras le faire quand tu le voudras, tu pourras pisser et chier dans ta petite culotte, dans ton jean, dans ta chambre en ma présence ou celle de tes sœurs. Tu sais hier je les ai autorisées à le faire. Plus aucune barrière ne viendra nous empêcher de faire ce que nous voulons. Nous serons une famille unie et libérée, débita-t-elle avec enthousiasme »


« Quoi, mais c’est dégoûtant et c’est ce que tu veux qu’on fasse, s’écria Julie. Mais son visage illuminé trahissait des sentiments contraires ».


« Non, vous ferez ce que vous voulez. Je ne vous force à rien. Tu ne veux pas le faire, ne le fais pas. Mais pour te dire moi ce que je voudrais, oui je voudrais te chier dans la bouche, que tu manges toute ma merde, et je te ferais pareille si tu veux. Oh, putain ma chérie, j’ai maintenant envie de chier et je suis toute mouillée. Et regarde, je pisse dans mon jean, comme une goret que je suis ! »


            Hélène écarta les cuisses, et tout en se relâchant, elle émit de plaintifs couinements. Une large auréole marqua l’avant du jean. Un liquide jaunâtre s’échappa. Il dégringola le long du siège, formant une petite mare à ses pieds. Julie contemplait la scène avec ravissement. Elle se mit plus à l’aise sur son siège, respira fortement, puis elle relâcha sa vessie, à son tour. Elle pissait comme sa mère, et les deux femmes, la mère et la fille se fixèrent avec envie. Hélène approcha sa main de son jean poisseux, son rythme s’accéléra.


« Oh, putain, ma chérie je vais jouir. Oh, que c’est bon. Oh, ouiii ! »


            Hélène se raidit. Son visage marqua un rictus bref, puis elle s’affala sur le siège dans un flop.


« Oh, putain, que c’était bon !!! Tu ne peux pas encore savoir ce que j’ai ressenti, mais tu verras quand tu seras plus grande, c’est tellement irréel… »


            Julie suivait les moindres mouvements de sa mère. Elle était comme en admiration, ou plutôt en transe. Et la mère et la fille s’observèrent pendant un long moment, confinées dans cette voiture, le pantalon imprégné de leur pisse, dans un parking désert… Puis, elle éclatèrent de rire comme pour dédramatiser la situation, rendre ce qui allait suivre plus acceptable. Hélène savait qu’elle avait désormais franchi une frontière. Les évènements de ce matin n’étaient rien en comparaison. Hélène allait franchir le plus improbable tabou. Encore un instant de réticence, juste le moment où la morale revient à la charge. Mais sa fille attendait avec une certaine impatience le prélude d’une nouvelle relation.


« Et puis merde, on s’en fout, s’écria Hélène ! Et puis, pour se rendre à sa nouvelle résolution, elle approcha son visage tout près de sa fille. Elle effleura les lèvres de cette dernière. Elle embrassa alors cette petite fille qui consentante, lui rendait la pareil. Bien que trop jeune, elle entrouvrit la bouche pour laisser se faufiler la langue reptilienne de sa mère. Elle explora longuement le palais de Julie. Une bave coulait le long des joues de sa fille. Hélène se redressa enfin pour mettre fin au baiser ».


« Tu sais ce que j’attends de toi. Tu veux toujours le faire, hein ? Il ne sera plus possible de reculer ».


« Et merde, maman ! Je t’ai dit que j’étais d’accord. J’en ai trop envie »


« Bon, fit Hélène toute ravie et le cœur battant. Enlève ton jean et ta petite culotte… Oh, et puis non, enlève tout ! Mets toi complètement nue dans ma voiture ! »


            Julie ne sourcilla même pas devant la demande incongrue. Elle défit rapidement les lacets de ses baskets et les fit glisser au bas du siège, dans la mare à pisse. Avec prestance, elle retira son pantalon et sa culotte. Enfin, elle jeta sur le siège arrière son pull over. Elle était maintenant nue. Ses petits tétés pointaient fièrement leur nez. A sept ans, sa morphologie de femme n’était pas encore développée, mais Hélène éprouva une joie indicible et paradoxale. Tous les matins, elle voyait sa fille nue, mais ce soir c’était différent. Elle apparaissait sous un angle plus érotique.


« Retourne-toi et présente moi maintenant ton cul, ma petite cochonne. C’est au tour de maman de te faire du bien ».


            Julie obéit sans plus tarder. Elle tourna le dos à sa mère, pour fixer la vitre de la portière. Le parking était toujours aussi désert. Il n’y avait pas le moindre bruit. Elle se mit à genoux sur le siège trempé. Hélène ne tenait plus devant ce spectacle. Les petites fesses de Julie frétillaient à une portée de son visage.


« Oh, vite écarte les fesses, s’écria-t-elle d’une voix saccadée. Fais-moi sentir ton trou du cul mon petit ange ».


            Julie écarta à deux mains les fesses. Son petit œillet s’entrebâilla. Sa mère agrippa les fesses tant désirées. Elle plongea son visage et son nez vint buter contre le trou du cul. Une petite odeur de merde se fit sentir aussitôt.  Comme tous les enfants de son âge, elle s’essuyait mal les fesses et des traces d’excréments étaient visibles. Hélène devint comme folle. Elle lapa avec fougue l’entre fesses. Puis, sa langue pénétra dans l’antre. Là le goût se fit plus fort. Une forte odeur de pourriture se dégageait aussi.


« Oh, putain chérie, je vais encore jouir. Ton trou du cul sent la merde. Il en a le goût aussi. Je me gave. Pète-moi dans la figure, c’est tout ce dont j’ai besoin pour jouir. Aller, vas-y pète !!! »


            Julie se concentra. Son visage se marqua de rides. Un premier pet fusa, discret mais odoriférant. Le fumer emplit la voiture.


« Encore ma chérie. La voiture pue pas assez la merde. Je veux que ça empeste. Tes pets doivent sentir la merde ! »


            La petite fille fit tout pour exaucer les vœux de sa mère. Plusieurs pets retentirent. Deux ou trois plus bruyants, mais si peu odorants. Les deux derniers amenèrent au septième ciel la jolie maman. Ils suintèrent longuement du trou du cul, comme un ballon qui se dégonfle, mais le parfum était indescriptible. L’odeur de merde envahit le véhicule. Hélène inhala avec délectation.


« Oh putain, ça y est ça vient ! Pète, pète encore. Je viens… Chie-moi dans la bouche ma petite colombe, chie je te dis ».


            Julie força sur ses sphincters. Elle désirait tant offrir ce petit cadeau à sa maman. Une petite crotte glissa de son trou dans la bouche de Hélène. Cette dernière agrippa entre ses dents le colombin. Puis, elle mâcha longuement. Pendant ce temps, la petite fille forçait toujours. Son visage était devenu rouge. Mais, elle avait déféqué ce matin aux toilettes, et elle ne put donner davantage. Un pet plus fort se fit entendre.


« Désolée maman, mais je n’ai pas envie de chier… s’excusa-t-elle toute confuse et la voix aux bords des larmes. Quelques gouttes coulaient déjà le long de son visage de poupon ».


« Oh, c’est pas grave ma chérie. On verra ça demain, hein. Mais au lieu de faire ça dans une vulgaire cuvette d’émaille, c’est ma bouche qui te servira de chiottes ».


« Oh, chic maman, s’écria Julie rassurée ».


            Julie se retourna pour faire face à sa mère. Hélène avait avalé la petite crotte et elle exhibait fièrement sa langue brunie.


« Embrasse-moi, petite cochonne. C’est ce que tu veux, goûter  ma merde. Commence par manger la tienne ! »


Une petite odeur poivrée montait aux narines de la gamine. Elle se devait de combattre une mince réticence que l’on ressent toujours la première fois. Elle pencha son visage craintivement à quelques centimètres de celui de sa mère. Cette dernière ouvrit la bouche en grand. Une salive merdeuse baignait sa cavité buccale, et déjà elle s’écoulait à la commissure des lèvres, le long de son menton. Julie n’hésita plus. Elle embrassa goulûment sa salope de mère. La salive étrangère imprégna sa bouche aussitôt. Elle faillit déglutir. Elle se dégagea peu à peu de l’étreinte, et avala le crachat, avec difficulté.


« Oh, ça, tu as goûté maintenant ta merde, hein. Si tu veux on peut arrêter là, il est déjà tard. Tu as déjà été trop loin, répliqua Hélène ».


            Julie en décida autrement. Elle plongea de nouveau ses lèvres contre celles de sa mère. Le goût n’était plus aussi puissant, ou peut être s’y était elle habituée. Elle se redressa pour observer sa mère aux anges.


« Oh, maman, fais moi goûter ta merde. Je ne peux plus m’arrêter. Je veux manger ton caca. Je sais que tu as envie de chier. Oh, s’il te plaît, implora Julie ».


            Hélène fut surprise de cette réaction. Mais, encore une fois, elle avait sous estimé sa petite fille au visage d’ange. Il n’en fallait pas plus pour la convaincre d’aller plus loin. Elle le désirait par-dessus tout.


« J’ai une sacrée envie de chier, si tu savais. Et c’est ce que tu veux, bouffer ma merde, hein. Oh, putain, tu me rends la plus heureuse des mères !!! »


            Hélène défit les boutons de son jean, et elle le fit glisser à ses pieds, baignant dans une mare d’urine. Elle baissa sa culotte. Sa chatte toute poilue, imprégnée d’urine, et toute humide apparut. Une forte odeur aux relents âcres se dégagea dans la voiture.


« Oh, putain, lèche-moi la chatte avant. J’ai encore envie de jouir. Oh, ça y est comme tu le fais bien. Là, ouvre bien la bouche, Julie, J’ai un cadeau pour toi ».


Julie léchait avec application le sexe tant désiré. Les fesses de sa mère frétillaient sur le siège en cuir tout mouillé. La jeune mère émit un soupire rauque, tout en écartant les lèvres pour permettre un meilleur accès aux lèvres de sa fille. Elle se pâma sous la sensation. Puis, la pisse coula avec force. Julie essayait d’avaler la mixture. Mais le liquide s’écoulait plus souvent, le long de son menton, et ses petits seins. Ce fut une petite pisse, car Hélène arrêta aussitôt le mouvement. Elle se retourna. Ses fesses vinrent buter avec violence contre le visage de sa petite fille.


« Maintenant, je vais chier, petite cochonne. C’est un gros caca. C’est ce que tu veux, hein. Regarde comme j’écarte bien mon trou du cul. Il est tout sale, hein. Il pue la merde. Un trou du cul doit puer. Je n’y met jamais de savon, il doit sentir ce qu’il doit sentir. Renifle-moi, lèche-le ! Oh, putain, comme tu le fais bien ! Je pète, oui, oh ça pue ! Je chie, je chie, putain, ta langue, ta langue !!! »


            Le trou du cul de Hélène s’ouvrit sans coup férir sous la poussée. Hélène aurait voulu de prime abord faire sortir une petite crotte pour que sa fille puisse la croquer. Mais, elle avait trop envie d’aller plus loin, de voir Julie manger sa merde. Elle ne se retenait plus. La merde débonda. Julie approcha son visage pour prendre en bouche l’immonde cadeau avec un désire irrépressible. L’énorme étron investit sa cavité buccale, il déborda. Le reste de la merde s’échappa pour suivre les contours de son petit corps. Les excréments s’écrasèrent contre la petite poitrine, ils s’effilèrent jusqu’à la chatte imberbe, et tombèrent avec un bruit sourd au bas du siège. Hélène se retourna pour voir son œuvre. Et ce qu’elle vit acheva de la faire jouir. Julie mâchait bruyamment la merde, tout en se triturant le petit sexe.   Hélène s’assit sur son siège, puis elle saisit au sol l’étron. Sa main, avait du mal à contenir toute la quantité. Elle écrasa la merde sur sa poitrine, et elle traîna sa main merdeuse le long de sa chatte. Enfin, elle glissa tout son poids le long du petit corps de sa fille, et elle frotta avec force son sexe contre les petits pieds. Julie avait fini l’immonde repas, et elle exhibait elle aussi une langue toute merdeuse.


« Oh, putain, Julie, je jouis. Oui, je jouis, je jouiiiis ».


Et elle retomba sur le petit corps. Julie poussa un petit cri bref, tout comme prise de spasmes.


« Oh, ma chérie, tu viens de jouir pour la première fois de ta vie, oui c’est ça l’orgasme. Et tu as mangé ma merde. Tu as aimé ? »


«  Maman, ta merde est délicieuse pour moi. Dis-moi que j’en mangerai plus la prochaine fois. Que je mangerais tout ton gros caca »


Julie avait prononcé ces paroles comme extasiée. Hélène était aux anges. Je crois qu’on va bien s’amuser pensa-t-elle.



TELLE MERE TELLES FILLES

CHAPITRE II - RETOUR D’ECOLE