Hélène ouvrit peu à peu les yeux sur une scène surréaliste. Les rayons du soleil illuminaient la chambre, dévoilant à la jeune femme le ridicule de la situation. Elle reposait nue en travers du lit. Les draps et couverture avaient été jetés aux pieds du lit. Elle était couverte de caca de la tête aux pieds. Ses cheveux, son visage, ses seins… La merde avait séché, formant des cloques.


            Hélène chercha au fond de sa mémoire. Le souvenir de la nuit dernière devenait flou. Comment avait-elle pu se retrouver dans cet état ? Elle se sentait misérable, une petite fille honteuse. Et puis, surtout, quand la mémoire lui revint distinctement, le fumer agressa ses narines. Elle sentit refluer au fond de son palet un goût étranger. Sa bouche était sèche et pâteuse. Tout dans la pièce suintait la pourriture. Elle appréciait beaucoup au petit matin être réveillée par une forte odeur d’urine. Souvent même, avant de se lever, elle écartait les jambes et se laissait aller à mouiller son lit de nouveau. Mais, là c’était trop.


            Elle descendit tout doucement au bas du lit. Elle ne tenait pas sur ses jambes. Elle s’agrippa à la table de nuit. Ses gestes étaient mal assurés. Elle cherchait à gagner la salle de bain, contiguë à sa chambre. Mais, dès qu’elle ouvrit la porte menant au couloir, un vent frais et sain vint la rappeler à la réalité. Son ventre se tendit dans un soubresaut. Elle se précipita comme une somnambule dans la salle de bain, et là elle s’agenouilla près de la cuvette des WC pour rendre son dernier repas.


            Elle dégueula pendant près de dix minutes. Puis, les contractions se calmèrent et elle se fit couler un bain. Elle se débarbouilla tant bien que mal, et dut changer trois fois l’eau. Sa toilette s’éternisait. Elle voulait à tout prix se débarrasser de l’odeur de merde qui persistait.


            Enfin, satisfaite, elle se sécha et s’habilla promptement. Elle regarda sa montre. Les aiguilles indiquaient à peine six heures cinquante cinq. Il était tant d’aller réveiller les petites. Claire et Béatrice avaient cours à huit heures.


            Hélène ouvrit tout doucement la porte de la chambre de sa fille aînée. Une forte odeur d’urine agressa ses narines. Claire avait rejeté au bas du lit, les draps et dormait toute nue. Le drap housse était marqué d’une auréole jaunie qui épousait les contours du corps de la jeune fille. Hélène constatait avec satisfaction que sa fille avait mis à exécution le plan décidé l’autre soir. Elle avait fait pipi au lit sans aucune honte. Hélène tira les rideaux et ouvrit les volets pour faire pénétrer un peu d’air frais dans la pièce. Claire émergea doucement de son sommeil lourd.


« Aller marmotte, il est l’heure de te lever et de prendre ta douche ! Tu pues la pisse, ma cochonne, s’écria Hélène le sourire aux lèvres ».


            Claire se frotta les yeux et bailla de concert. Puis, contre toute attente, en constatant les dégâts, elle se mit à sangloter.


« Je suis désolée, maman, je n’aurais pas du… ».


            Hélène s’approcha du lit, et prit sa fille dans ses bras. Elle la consola, puis elle dit d’une douce voix :

« Faut pas pleurer ! C’est ce qu’on voulait hier, n’est-ce pas. Je t’ai autorisée à pisser au lit. Moi aussi je l’ai fait cette nuit. J’ai même fait plus que ça. Tu verrais ma chambre, ça pue encore la merde. Alors,  ce que tu as fait, ce n’est pas grave. Ce qui importe avant tout, c’est le plaisir que tu te procures. Si tu as pris ton pied, alors rien à redire… ».


            Claire avait séché ses larmes, et observait sa mère, d’un regard mêlé d’incrédulité.


« C’est vrai, tu as fait pipi au lit et même… Oh, alors… »


« Mais, oui bêtasse ! Depuis le temps que je te le dis. Tu peux le crier haut et fort. J’ai fait pipi et caca au lit, comme une grosse truie. Toi, tu t’es contentée d’un petit pipi. C’est innocent. Tu peux faire plus : chier au lit, te faire dessus, t’en mettre partout. Il n’y a rien de plus jouissif ! »


« Oh, caca, ça non, rougit la jeune fille. Je crois que je n’aimerais pas l’odeur. Mais, j’ai aimé faire… »


Claire s’interrompit. Son visage s’empourpra de tant d’émotions.


« Tu as aimé faire pipi au lit, faire sauter le dernier verrou de civilisation, continua Hélène ».


« Oui, répondit Claire ».


« Et tu as joui comme jamais »


« Plus, que ça »


« Et bien, faut pas avoir honte ! Tu pourras le faire tout le temps que tu voudras, le jour, la nuit, dans ton jean. Vraiment, je ne vois rien de mal à ça ».


            Hélène se leva du lit. Claire, elle s’était recroquevillée en position de fœtus au bas du lit.


« Allons, maintenant il est l’heure ! Va te laver et prendre ton petit déjeuner ! »


            Elle s’apprêtait à quitter la chambre, quand Claire l’interpella.


« Maman, je ne sais si je pourrais le refaire ».


« Ah, ça ! Elle observa de nouveau sa fille, qui ne put soutenir le regard ».


« Mais, si tu le referas, pipi au lit, ce soir, cette nuit. Je sais que tu le referas, parce que tu en as trop envie. Et mieux, tu goûteras aussi à la joie d’un bon caca au lit. »


« Ca jamais, s’écria Claire ! »


« Oh, si parce que tu es une petite vicieuse qui cache bien son jeu. Mais ça ne prend pas avec moi ».


            Hélène quitta la chambre, pour ouvrir celle contiguë. La chambre de Béatrice. Et là, à sa plus grande joie, l’air y était irrespirable. Béatrice, elle aussi toute nue était couverte de la tête aux pieds d’une gangue brune. Les draps et même les  murs étaient maculés d’une crasse noire. Elle ouvrit les volets.


« Allons, il est sept heures et tu as peu de temps pour te débarbouiller ! »


« Oh, maman, laisse moi dormir encore un peu ! bailla Béatrice »


            Hélène évitait de s’approcher du lit pour ne pas se salir.


« Allons, je vois que tu as chié comme une goret. Ca t’as plu au moins »


« Oh, maman, c’était irréel, répondit Béatrice en s’étirant »


« Tant mieux. Tu pourras recommencer autant de fois que tu veux ».


« Oh, merci maman ! Tu aurais vu le gros caca que j’ai sorti de mon trou du cul. Je n’ai pas pu résister. Je m’en suis mise plein, partout ».


            Hélène comprenait qu’entre les deux sœurs, c’était le jour et la nuit. La cadette qui assumait son vice et le portait haut et fort, et l’aînée qui elle se refusait de dépasser certaines limites, par pudeur peut-être, par timidité sans doute. Et pourtant, pensa Hélène, Claire a plus de vices que Béatrice. Il faudrait un rien pour que le démon qui sommeille en elle achève de la consumer.


            Vers sept heures quarante cinq, les deux gamines avaient libéré la salle de bain et prenaient leur petit déjeuner dans la cuisine. A cette heure, Hélène devait réveiller la petite dernière. La chambre de Julie était rangée en bon ordre. Aucune odeur désagréable ne se dégageait. La petite reposait dans son lit, emmitouflée de couvertures. Hélène contempla un moment, Julie, dans une tranquillité toute apparente. Seuls les flots harmonieux du sommeil faisaient gonfler sa poitrine. Mais, dans ces moments, sa maman était assaillie d’idées lubriques. Elle aurait tant souhaité contempler aune auréole maculer les draps, un étron déformer le bas de son pyjama, son visage d’ange peinturluré d’une glaire foireuse. Je suis folle, se raisonna-t-elle. Elle n’a que sept ans et ce serait une folie de la faire participer à de pareilles dépravations.


            Julie ouvrit un œil, elle se réveillait tout doucement. Hélène la prit dans ses bras et la couvrit de baisers. Puis elle saisit sa main pour l’entraîner dans la salle de bain, où elle la déshabilla. Hélène avait pris l’habitude de prendre son bain avec sa jeune fille. Et, ce matin elle ne voulait pas déroger à la règle.


            Ce matin était bien différent des autres jours. Des idées lubriques naissaient dans la tête de cette mère. Elle contempla le petit corps frêle, sans seins, imberbe et si innocent, glisser dans l’eau moussante. Les cheveux longs de Julie venaient tutoyer le bas des reins. Hélène dut prendre sur elle-même pour ne pas franchir les frontières de l’interdit.


« Tiens-toi debout, que maman puisse te frotter le dos, commanda Hélène ».


            Julie prit appui sur le rebord de la baignoire. Hélène se saisit du gel douche et fit couler le produit le long de ses reins et omoplates. A un moment, ses mains approchèrent des fesses tant désirées. Elle devait perdre toute contenance. Elle caressa avec insistance le popotin de Julie. Cette dernière émit un rire aigu.


« Hé, maman, tu me chatouilles ! »


« C’est rien ma chérie, dit-elle. Il faut bien que je frotte tes jolies petites fesses ».


            Hélène ne résista pas au désire de glisser un doigt le long de la fente de la petite fille. Tel un reptile, il s’insinua dans les moindres replis. Puis, il frôla le petit trou. Hélène retira son doigt et le porta à son nez. A sa grande satisfaction, elle inhala une forte odeur d’excréments.


« Dis donc, tu es bien négligée ce matin. Tu t’es encore mal essuyée les fesses. C’est pour ça que je trouve souvent des traces de caca au fond de tes culottes sales ».


            Julie ne trouva rien à répondre. Le rouge lui monta aux joues. Hélène continua d’une même voix monocorde.


« Tu as fait ton petit caca, ce matin ? »


« Non, maman. Je le ferai après le bain, répondit Julie sans aucune honte. Les gamines de cet âge ne connaissent pas la pudeur des adolescentes. Faire leur besoin, leur est aussi naturel que de respirer ».


« Bien, maintenant retourne toi ».


            Julie s’exécuta. Hélène effleura de ses doigts tremblants, le mignon petit sexe. Elle agrippa sa fille par les hanches. Elle approcha son visage de l’objet tant désiré. Le souffle chaud de sa mère vint chatouiller les lèvres. La respiration saccadée, elle entreprit un léchage minutieux du conin.


« Mais, qu’est-ce que tu fais maman ? s’inquiéta Julie »


Hélène ne répondit pas. Sa langue s’imprégna du goût doucereux, si différent de celui d’une fille pubère. L’extrémité des lèvres était chargée d’une petite odeur d’urine, mais cela ne la gêna pas. Au contraire. Julie se tenait cois. Elle émit quelques petits bruits sourds quand la langue titilla son petit clito. Hélène enserra avec plus de vigueur les petites fesses. Un doigt inquisiteur rampa jusqu’au petit trou. Il se faufila dans l’antre chaud. Il y fit une rencontre attendue. La petite n’avait pas menti. Elle avait bien envie de chier


« Oh, je sens ton caca sur mon doigt. Que c’est sale, s’exclama Hélène tout en reprenant sa succion ».


            Julie se tortillait maintenant en rythme avec la langue de sa mère. Oh, mon Dieu, pensa Hélène, ce que je fais c’est interdit, c’est de l’inceste, je baise ma fille. Mais, je m’en fous, j’en ai trop envie. A un moment, Julie le souffle court se mit respirer bruyamment.


« Maman, je ne sais pas ce que j’ai, ta langue…Oh, putain que c’est bon ! Mais, ça me donne envie de faire pipi… »


            Hélène continuait avec plus d’ardeur. Elle sentit monter en elle une torpeur qu’elle n’avait plus ressentie depuis un certain temps. La respiration de sa fille devenait de plus en plus saccadée. Julie se tortillait maintenant dans tous les sens.


« Oh, maman ! J’ai trop envie. Je ne peux plus me retenir. S’il te plaît laisse-moi aller aux toilettes… »


            Hélène dégagea sa tête du sexe imberbe. Un sourire vicieux barra son joli visage. Elle comprit l’opportunité d’exécuter quelques dégueulasseries, dont elle ne se lassait jamais.


« Quoi, vraiment, tu as envie de faire pipi, là maintenant ! »


« Oh, oui maman. C’est ta faute, c’est ta langue… »


« Alors, pisse-moi dans la bouche, petite cochonne, s’écria Hélène au bord de l’orgasme »


« Quoi ? »


« T’as bien compris petite cochonne. Ce que je veux c’est que tu me pisses dans la bouche. Et, moi je te promets de boire toute ta pisse. Allez, vas-y, fais-le ! »


            Julie resta bouche bée devant une telle révélation. Ce n’est pas que cela la choquait, les enfants de cet âge ne se choquent pas si facilement. Mais, elle compris dans son petit cerveau, que c’est ce qu’elle voulait. Elle avait envie de faire pipi, et elle allait le faire dans la bouche de sa propre mère. Elle se détendit. Déjà, Hélène avait approché son visage du sexe de sa fille. L’urine gicla aussitôt. Le pipi matinal éclaboussa son visage. Sa bouche se remplit du nectar divin. Quand elle la refermait pour avaler la mixture, la pisse coula le long de ses cheveux, son front et ses seins.


            Le flot perdait en intensité. Le ruisseau se tarit, au point de ne devenir qu’un petit cours d’eau. Enfin, Julie acheva son ouvrage. Hélène montrait toujours la même passion. Elle adorait de sa langue le petit robinet qui venait de la baptiser. Puis, abandonnant sa posture, elle se redressa pour embrasser la petite à pleine bouche. Cette dernière ne chercha même pas à sa dégager de l’étreinte. Quand le baiser prit fin, Julie eut du mal à reprendre son souffle.


« Alors, tu as aimé le goût de ta pisse, demanda Hélène ? »


« Je ne sais pas trop, c’était salé ».


« Eh, oui, je sais, ria sa jeune mère. Maintenant, tu vas me rendre ce que je t’ai fait. Allez, en position. Tiens, tu va me lécher entre les fesses ».


            Hélène se mit debout et se retourna. Elle se pencha un peu, son buste prenant appui sur le rebord de la baignoire. De cette façon, elle put plus aisément écarter les fesses. L’œillet brun bailla sous l’effet. Julie hésita un moment.


« Allons, Julie ! Lèche-moi le trou du cul, comme je t’ai fait. Il n’y a rien qui est dégueulasse en amour. Je t’en prie, fais-le ! »


« Julie agrippa les fesses. Elle approcha un visage craintif, vers un coin qu’elle connaissait pour sa puanteur. Son nez se plaqua sur le petit trou. Un fumer désagréable s’en dégagea ».


« Ah, maman, ton derrière sent le caca ! Toi aussi, tu t’es pas bien essuyée les fesses ».


« Mais, un cul ça doit sentir la merde ! Et d’abord, tu as de la chance que j’ai déjà prise un bain, tôt ce matin. Tu aurais du voir cette nuit. Je me suis surpassée. J’ai fais au lit, comme si j’avais deux ans. Allons, maintenant, assez parlé. Lèche ! »


            Malgré ses réticences, Julie exécuta les ordres. Elle embrassa le pourtour, puis elle sortit sa langue. Le cul de sa mère n’était pas sale. Son premier bain, l’avait débarbouillé de sa gangue brune.


« Oh, Julie que c’est bon ta langue dans mon troufignon. Oh, putain que c’est bon ! Maintenant, j’ai besoin d’autre chose. Tu vas me lécher mon petit conin ».


            Hélène se retourna. Elle écarta les grandes lèvres de son sexe. Une mouille abondante coulait le long de son pubis. Julie ne réfléchit pas un instant. Elle lécha avec autant d’application la chatte de sa mère. Le goût était fort, âcre. Une odeur marine, qui loin de la dégoûter, l’excita plus que de raison. Hélène gémissait. Elle n’allait pas tarder à jouir, elle le savait.


« Oh, putain, lèche mon cœur ! Vas-y, je crois que ça vient. Oh, oui je le sens… »


            La jeune mère se tendit comme un arc, et au sommet de l’orgasme, elle émit un cri rauque. Elle dut se rattraper au rebord pour ne pas s’affaler au fond du bassin ».


« Qu’est-ce que t’as maman, demanda avec inquiétude Julie ? »


« Oh, rien ma chérie. C’est juste que ta langue m’a fait du bien. Maintenant, j’ai moi aussi envie de pisser. Et tu sais quoi … »


            A la grande surprise de sa mère, Julie en bonne intelligence, comprit le message. Elle redressa son visage d’ange et fixa sa mère de ses yeux bleus.


« Tu veux me faire pipi dans la bouche ? »


« Oh, oui. Tu veux bien. Dis, tu me rendrais bien heureuse »


Julie fit un signe de tête positif, et pour montrer son consentement, elle plaque sa tête contre le sexe d’Hélène.


« Tu peux faire pipi, ma petite maman chérie. Je boirai tout, c’est promis »


Décidément, sa petite fille ne cessait de l’étonner. Elle avait appris le vice. Mieux, elle anticipait les actions de sa mère. Hélène s’accroupit au dessus de son visage, et la figure ravie de sa gamine, elle lâcha les vannes. La pisse fusa de tout côté. Julie avait du mal à tout avaler. Pendant près de deux minutes, elle déchargea sa vessie dans la bouche de sa fille. Quand elle eut fini, elles se précipitèrent l’une sur l’autre, se roulèrent au fond du bassin. Elle échangèrent un langoureux baiser. Puis, elles terminèrent leur toilette, et sortirent du bain pour se sécher.


            Julie frotta la serviette le long de son petit corps. La posture était érotique. Hélène la contempla avec envie. C’est là qu’elle vit un sourire malicieux se dessiner sur son visage.


« Tu sais, maman, j’ai encore envie de faire caca ».


« Ah, j’allais oublier, répliqua-t-elle au bout d’un moment. J’aimerais tant te voir chier. Accroupie toi au dessus de la cuvette que je te vois faire. Et surtout écarte les fesses ».


            Encore une fois, en fille obéissante, Julie opéra comme il était dit. Hélène s’assit toute nue près des WC et porta sa main droite à son sexe. Elle n’eut pas longtemps à attendre. L’anus de la petite s’évasa sous la poussée. Un petit bout d’étron apparut. Sa mère s’astiqua avec plus de force. La merde glissa hors du trou et tomba dans la cuvette, avec une éclaboussure qui mouilla les mollets de la petite.


« Voilà, maman c’est fait, annonça-t-elle ».


 Elle fit mine de dérouler du papier toilette. Hélène l’arrêta aussitôt.


« Non ! Laisse, je vais t’essuyer moi-même. Ecarte bien les fesses ! »


            Julie écarta les fesses. Son petit trou souillé fit son apparition. Le cœur d’Hélène battait la chamade. Elle plongea son visage contre le trou brun et lécha les résidus merdeux. La merde avait un goût poivré. Elle se délecta, et à la fin le petit trou était propre comme un sou neuf.


            Elle accompagna peu de temps après sa fille à l’école avant de se rendre au bureau. Toute la journée, elle repensa à l’épisode du matin. Elle n’avait pas réfléchi aux conséquences de ses actes. Maintenant, elle avait peur. Elle était allée trop loin. Et pourtant ce n’était pas la première qu’elle éprouvait une passion pour les petites filles.






TTELLE MERE TELLES FILLES

CHAPITRE I - LE REVEIL