Quelques mois juste après une visite de Chantale qui m'informait qu'elle devait rendre visite à sa mère qui était malade et était seule car veuve..
je lui demandais quel était son problème de santé et celle-ci m'informa que elle était « bouchée » et qu'elle redoutait une occlusion intestinale.
C'est pourquoi (compte tenu de notre passé) elle a pensé à mon aide, je lui ai conseillé de faire appel également à Françoise qui était « spécialiste en la matière ».
Cette femme à l'automne de sa vie vivait dans un superbe pavillon dans le bourg en campagne.
Ainsi nous débarquâmes tous les trois chez Odette le lendemain matin où tombait une pluie abondante. Après avoir sonné, celle-ci vint nous ouvrir.
Elle parut gênée de ma présence. Je remarquais une femme BCBG, bien conservée et habillée avec élégance...
Après être passé au salon pour le thé et le café et avoir échangé quelques banalités Chantale aborda le sujet. Odette nous avoua avec gène et en portant ses deux mains à son ventre, être très constipée et avoir très mal au ventre depuis plusieurs jours car elle n 'était pas aller à la selle depuis une vingtaine de jours. Elle tenait ses deux jambes serrées comme pour mieux refouler la pénétration de la canule
Effectivement malgré sa taille mince, nous pouvions observer un ventre bombé.
Elle nous avoua également n'avoir jamais reçu de lavements. Françoise, s'empressa de la rassurer
en lui disant que ce n’était pas douloureux et apportait un grand soulagement après l'exonération.
Françoise lui expliqua qu'il faudrait plusieurs lavements pour bien la vider en profondeur. Odette fit une grimace mais était contrainte d'accepter au vu de sa douleur abdominale.
Françoise lui demanda si elle avait un pièce tranquille autre que la chambre à coucher pour éviter d’éventuelles salissures. Elle nous répondit qu'il y avait la chambre d'amis au derniers étage sous les combles... Une fois rentré dans celle-ci nous pouvions entendre l'eau tomber et ruisseler sur le toit...
Françoise avait emmené dans sa valise du matériel plus que de nécessaire (au cas où …)
Nous lui avons expliqué qu'il fallait prendre le temps de tout installer. Heureusement, à coté de cette chambre il y avait une petite salle de bain aménagée en même temps que la chambre d'amis et ces deux pièces n'avaient pas servie depuis son veuvage il y a quelques années.
Après le déballage d'une partie de son matériel, Françoise mit une grande alèse a même le matelas et sur un double oreiller de ce grand lit...
A la vue du bock plastique de deux litres, Odette se souvint alors du grand bock en émail chez sa grand-mère les dimanche matin. Celui-ci séchait dans la salle de bain...
Le bassin émail avait rejoint le dessus du lit. A sa vue, Odette nous dit « Vous allez m'obliger à le rendre là-dedans ». Françoise lui rétorqua qu’une fois pleine, elle n'aurait pas le temps de courir jusqu’au WC a côté sans dégâts...
Après avoir allumé le radiateur électrique et un peu gênée, elle alla chercher des serviettes éponge qu'elle installa sur les bords et en bout de lit avant de commencer à se déshabiller... ses sous-vêtements étaient raffinés et elle sentait bon...
Sous prétexte de confort, sa fille et Françoise en fit de même gardant slip et soutient gorge, Je commençais à bander a l’idée de ces trois femelles qui allaient passer une après-midi de lavements. Mais pour l'instant (et pour ne pas l'effrayer), je restais en tee-Shirt et jean. La bosse sur mon pantalon ne pouvait masquer mon excitation...
Une fois nue, Odette s’allongeait sur le lit, la tête surélevée par les deux coussins et je contemplais cette belle femme d’âge mure, avec ses seins qui tombaient un peu et quelques poils brun sur sa vulve distendue d’où s’épanchait un mince filet, la coquine était excitée a l'idée de nous offrir le spectacle.
Françoise et Chantale placée de chaque côté du lit ont remonté les deux jambes d'Odette en l'air faisant apparaître son œillet brun. Visiblement, celui-ci était encore sauvage permettant juste de laisser passer quelques scybales …
Françoise lui expliqua, quelle devait bien « la graisser » pour éviter la douleur lors de l'intromission de la canule et elle n’hésitait pas à enfoncer plusieurs doigts avec l'onguent et finit par sentir au bout de ses doigts une partie des scybales.
Odette avait les yeux fermés et gémissait de douleur (ou de plaisir). Françoise décidait de sortir une à une ses scybales noire qu'elle déposait dans le bassin.
Entre deux gémissements Odette s’écria « Oh là là, qu'est que vous me faites ».
J’attendais avec le bock plein d'eau tiède et passais la canule blanche en plastique à Françoise qui la planta directement dans l’œillet bien gras d’Odette, celle-ci bien que surprise semblait se détendre après l'ouverture du robinet et tout en fermant les yeux goûtait cette marée montante avec plaisir, son con perlait, avant qu'une crampe lui fasse dire « j'ai envie ,laisser moi aller ».
Après que les deux femmes lui ai relâché les jambes, sa fille lui dit « maman tu dois tout prendre, sinon ce sera inefficace ».
Mais celle-ci tout en se contorsionnant prit le bassin d'autorité posa ses fesse dessus avec la canule toujours plantée dans son cul et maintenue par Françoise.
A peine un litre passé, elle commençait à se vider amenant des scybales plus profondes.
L'eau était relativement claire mais avait arrosé partout et des scybales traînaient ça et la éparses jusque sur le soutient gorge et le slip de Françoise qui tenait toujours la canule.
Celle-ci entreprit de se déshabiller complètement, pendant que Odette maintenait la canule.. dans son trou comme pour se faire pardonner d'avoir tout lâché.
J'entrepris d'en faire autant libérant mon sexe en érection suivit par Chantale qui avait aussi été arrosé par les effluves de sa mère.
Il régnait maintenant une bonne odeur de merde. Françoise me dit alors de re remplir le bock et je contemplais Odette, les yeux fermés, gémissante et de retour d’un orgasme... J'avais envie de cette femme...
A nouveau le bouillon se rua dans les intestins d’Odette celle-ci les jambes écartées ne semblait plus du tout gênée par la situation et semblait avoir lâché prise. L'eau tiède lui réchauffait le ventre et elle put assez facilement prendre les deux litres. Remise sur le bassin, elle décidait de ne pas attendre et de tout relâcher en se branlant le clito et cette fois ci l'eau était plus marron et elles se vidait de ce « chocolat au lait » agrémenté de quelque petits morceaux de matières. L'odeur de la pièce était plus acre .
En rouvrant les yeux, celle-ci, en contemplant mon dard, m’invita à me coucher sur elle dans la même position, peut être le fruit de l’abstinence et de la masturbation.
Nullement rebuté par la situation ,Je m’allongeais sur elle en la pénétrant doucement.
Mon sexe commençait à limer ce con accueillant chaud et humide et je sentais derrière mon sexe cette salope qui continuait à « chier » avec de gros pets je sentais à travers mon sexe ses matières descendre pour sortir dans le bassin. Effectivement l'évacuation était copieuse. Chantale me regardait limer sa mère en se branlant et Françoise n’était pas mieux. Je sentais un sperme brûlant monter sournoisement et j’arrosais le fond de son con en puissantes saccades pendant qu'elle finissait de s’égoutter de son trou baveux et dégoulinant...
Les deux gouines se seraient presque battues pour savoir qui allait prendre la suite.
Chantale qui n'avait pas été « chier » le matin et connaissant le scenario de la journée  dit à sa mère je vais te montrer un grand lavement...
Odette sortit du lit couverte d’éclaboussures et après un nettoyage sommaire et Chantale prit la place sur le lit à quatre pattes.
A ce moment la Françoise sortit le colonsnake de sa valise. A la vue de celui-ci Odette commença a s’inquiéter. Françoise la rassura en lui expliquant que l'intestin n 'était pas limité en longueur sur 120 centimètres mais pénétrer lentement et avec précaution…
Chantale attendait le cul en l'air, nous offrant ses larges hanches, la tête sur les oreillers. Françoise invita Odette à graisser le cul de sa fille pendant qu’elle me dit d’aller remplir le bock a ras bord ainsi qu'un pichet de deux litres. Mon érection, bien que légèrement retombée, avait repris fière allure. Odette graissa longuement l'anus de sa fille enfonçant au passage quelques doigts dedans et lui dit tu n'es pas en meilleurs état que moi ce matin... mais ta merde est plus molle.
Françoise la conviait également à visiter le trou de sa fille avec le serpent anal de 30 mm X 850mm. Odette dit à sa fille « ainsi, tu te fais jouir avec ça » oui, je joins l’utile à l'agréable car cela permet un lavement profond et complet lui rétorqua celle-ci.
Odette fit buter l'embout du serpent bien graissé contre l'anus de sa fille qui n'eut aucune peine à l'engloutir. Françoise a ouvert le robinet et Odette faisait pénétrer lentement ce gros python dans les boyaux de sa fille pendant que celle-ci se masturbait.
Après plusieurs minutes le bock était vide et le colonsnake enfoncé de moitié. Chantale, cul en l'air, commençait à gémir peut-être d'inconfort mais sûrement de plaisir car son con bavait sous le regard amusé de sa mère. Son abdomen, sous elle était déjà gonflé.
Après avoir rerempli le bock avec le pichet, Odette reprit doucement la progression
en continuant l’injection. Lentement l'eau du bock descendait et la boule du serpent butait maintenant sur l’œillet de Chantale qui semblait aussi vouloir l'avaler.
Maintenant son abdomen touchait le lit, tout déplacement à ce stade aurait été inconscient. Françoise sortit de sa valise une grande cuvette en plastique et la mit sous les fesses de Chantale pendant que celle-ci se relevait.
Odette fit sortir tout doucement ce long serpent dont les trente derniers centimètres étaient enrobés de merde et ne put se retenir de sucer celui-ci qui sortait du cul de sa fille et lui dit « cela me rappelle quand je te changeais tes couches quand tu étais petite ». A peine sorti, Chantale commençait à chier dans la cuvette aspergeant tout autour du lit. Sa merde était plus claire que celle de sa mère mais tout aussi copieuse et moins dure que celle d’Odette. Elle se branlait en émettant des pets liquides, partit les yeux fermés, dans un grand orgasme.
C'est à ce moment-là que Françoise décida de sortir le gros gode phallique de sa valise et le tendait à Odette pour farcir le con de sa fille. Celle-ci ne se fit pas prier et commençait à limer la chatte de celle-ci qui continuait de chier sur le gode et la main de sa mère.
L'odeur dans la pièce était devenue très forte et la chaleur faisait le reste mais nul ne semblait incommodé par cette débauche de merde.
Nous avons décidé de faire une pause pour aller manger un morceau avant de reprendre les séances et tous les quatre à poil et quelque peu maculé, nous nous assîmes dans la cuisine.
Odette avait un frigidaire bien garni car elle allait faire le marché tous les jours dans le bourg. Bizarrement je trouvais que Françoise se trémoussait beaucoup sur sa chaise et paraissait absente par moments. Peut-être une envie pressante... la coquine n’était pas allée à la selle non plus le matin. Chantale dit « et dire que tout cela va finir dans le bassin de lit » ce qui nous fit rire tous les quatre.
Odette s'est aperçue de l'inconfort de Françoise et dès la fin du repas nous conviait à remonter dans la chambre d'amis ou régnait encore cette odeur âcre de nos précédents épanchements, ayant décidé de ranger la cuisine plus tard.
la pluie n'avait cessé de tomber et Françoise se mit à quatre pattes sur le lit comme son amie ce qui eut pour effet de nous offrir sa corolle. Et nous pouvions voir celle-ci déplissée laissant entrevoir l’étron qui pointait son nez...
« Vite le serpent, je ne peux plus tenir ». Après avoir rempli le bock et sans même nettoyer la longue sonde qui était sortie du cul de Chantale le matin, Odette la fit doucement rentrer dans le trou de Françoise mais la belle était très encombrée et tout en ouvrant le robinet, elle continua la progression dans les boyaux de Françoise jusque a la butée. Françoise gémissait de plaisir et de douleur mais Odette se relevant lui ajouta une petite rasade de pisse en plus probablement par vengeance du scénario...
Chantale l'a aidée à se retourner avant de lui mettre le bassin sous ses fesses. Odette commença par retiré le snake gras de matières tout du long la pauvre était bien encombrée. L'eau marron giclait partout et où s’échappait par moment des paquets de matières, celle-ci se pinçait les tétons en continuant a chier en fermant les yeux pendant que Chantale la limait avec le gode poisseux. Elle eut plusieurs orgasmes. Le bassin était maintenant plein et débordait répandant cette mare au milieu du lit... Après avoir envoyé encore quelques giclées de matières molles, elle s'est apaisée
Je comptais bien ne pas être en reste et comptais bien profiter du service de ces trois femelles. Odette lança « au tour du jeune homme » et après un rapide nettoyage du lit ou l’alèse et les serviettes furent changées je fus convié à m'allonger sur le lit les fesses posées sur le bassin. Chantale et Françoise me remontaient les jambes découvrant ma lune. J’avoue que le matin je n’étais pas aller à la selle non plus et Odette en me graissant l'anus s'en rendit compte et s'exclama simplement « petit salaud » pour me punir elle décidait que j'aurais droit au snake aussi encore tout gras des matières de Françoise. Odette, les mains pleines de merde commença par faire pénétrer le bout dans mon rectum pendant que Chantale ouvrait le robinet. Odette prenait plaisir à m'enculer profondément et je sentais ce serpent s'enfoncer inexorablement dans mes entrailles pendant que cette douche tiède m'inondait le ventre. Je gouttais cette marée montante avec plaisir et Odette masturbait mon membre maintenant en érection d'une main et de l'autre finissait d’insérer la sonde jusqu’ à la butée. Bizarrement je fus étonné d'avoir tout englouti et ne ressentais aucune douleur juste un ventre un peu chargé. J’étais excité d'avoir en moi ce snake qui avait pénétré profondément le ventre et les excréments de ces deux femelles en chaleurs. Sans me retirer celui-ci, Odette vint me chevaucher pour s’emmancher sur mon dard fièrement dressé. Je retrouvais la chaleur et l'humidité de sa chatte mais celle-ci comme pour rattraper le temps perdu continuait de se dandiner sur mon chibre. J’accompagnais ses mouvements avec mon bassin avec, toujours le snake enfoncé au plus profond de moi quand soudain je me souvins avoir mangé un cassoulet bien gras la veille. Ses mouvements m'ont donc déclenché des spasmes avec les gaz.  L'inexorable arrivait et sans me désarçonner la sonde sortit de mon cul libérant le trop plein d'eau mélangée à mes excréments. La douce Odette continuait de me chevaucher pendant que je continuais a « chier » les restes de mes repas antérieurs entrecoupés des pets malodorants.
Pendant que les deux autres femelles, maintenant soulagées se gouinaient en s’emmanchant des godes dans leur culs maintenant propre, Odette vint me faire une pipe merdeuse pendant que j’envoyais encore quelques giclées nauséabondes dans le bassin et aussi de longues giclées blanches sortant de mon sexe en longues saccades sur le visage de celle-ci et retombant dans l'eau marron du récipient. J’étais sale mais enfin soulagé des deux côtés.
Odette nous fit remarquer qu'elle n'avait pas eu droit au snake. Nous lui proposâmes de prendre ma place. Elle s’installait donc sur le lit à quatre pattes les fesses en l'air et tête contre l'oreiller ; Sa craquette bavait encore de mon sperme.
Le bruit de la pluie continuait à nous exciter pour ces grands nettoyages intestinaux. C'est Chantale qui fut chargée de laver le cul de sa mère, pendant que le snake progressait dans ses boyaux en même temps que l'eau l'inondait. Au bout de trente centimètre Odette nous dit d’arrêter car elle le sentait loin dans son ventre. La belle n’était pas habituée à la sodomie. Françoise s'empressa de la rassurer en lui disant qu'elle ne risquait rien et après une pose de quelques minutes, reprit la progression. Odette reculait ses fesses comme pour mieux goûter cette profonde pénétration et fut surprise de l'avoir tout « avalé » pendant que le glouglou caractéristique nous annonçait que le bock était vide.
Cette injection profonde n'avait pas déclenché le réflexe d’exonération. Sans rien dire sa fille se mit à pisser dans le bock bientôt suivi par Françoise. Je finissais par remplir celui-ci ras bord.
Sa fille lui dit « les lavements à l'urine sont très sains et on était très employés dans l'histoire ». Odette lui rétorqua simplement « salope ».
Alors qu'elle gémissait d'inconfort et le second bock presque fini d'écouler, la belle n’était plus étanche et commençait à avoir des fuites. Son ventre s’était rapproché du matelas et elle jouissait maintenant bruyamment remplie analement sous les va et vient de sa fille par cette longue et grosse canule flexible. Françoise lui a glissé la cuvette sous ses fesses pendant qu'elle se relevait et que sa fille lui sortait le snake du cul. Aussitôt un torrent qui n'en finissait plus gicla dans la cuvette ; Elle savourait ce soulagement les yeux fermés. Dans la cuvette, cette eau marron foncé attestait encore de sa sévère constipation profonde car il y avait encore des morceaux très durs.
Elle poussait inexorablement et se mit à pisser abondamment en un jet dru voulant extérioriser tous les liquides qui encombraient son corps. Le lit était maintenant une baignoire marronnasse et je craignais pour le matelas.
Ce n'est pas grave, je vais l'aménager maintenant comme pièce de lavements. Après s’être vidée complètement, les femmes décidèrent de ranger sommairement l’alèse et les serviettes pour installer une vieille et grande couverture sèche pour nos ébats et pendant que Chantale godait sa mère dans les deux trous, ayant repris de la vigueur, je besognais Françoise qui s’était rentré le snake très profond dans son cul maintenant bien humide...
Et, à force d’aller-retour, je sentais monter en moi cette éruption spermatique. Je m’arrêtais un instant bien au fond de sa vulve chaude pour épancher les saccades de ma semence pendant que je sentais qu'elle continuait à agiter le snake dans son intestin en long va et vient.
Après une bonne douche dans les deux salles de bain, Odette et sa fille au premier, Francoise et moi au dernier étage, nous nous miment tous les quatre à nettoyer le local. La pluie s’était arrêtée de tomber et Odette ouvrit le velux pour aérer la chambre, ce qui n’était pas du luxe. Nous descendîmes également au RDC pour ranger et nettoyer la cuisine tout en faisant une machine à laver de serviettes et sous-vêtements des femmes souillés par les déjections...
Cette journée nous avait ouvert l’appétit et après un bon repas nous décidâmes de prendre congés avec mille remerciements d'Odette...
Depuis ce jour, Chantale passe voir régulièrement sa mère pour la « soigner » et peut être aussi se faire « soigner ». Elle m'avoua récemment que sa mère avait fait l' acquisition par internet d’un grand matelas avec les bords gonflables spécial pour les jeux scato et uro et avait acquis beaucoup de matériel de lavement parmi de gros colonsnake percés de différente forme et longueur, un fauteur gynécologique de façon à ne plus être importunée par une constipation opiniâtre, ce qui correspond également aux goûts de Chantale...
Elle me dit que régulièrement, ses amies veuves comme elle et célibataires passe la voir pour « le café » elles peuvent éventuellement « visiter » la chambre d'amis mais ce sera pour une autre histoire...


LES LAVEMENTS D’ODETTE

Par Clystero (FFF/M, bisex, enema, heavy scat)