Chantale m’a souvent confié qu’elle était souvent constipée, les maintes discussions que j’ai eu avec elle tournant presque’ a la limite du scato.

C’est pourquoi, au printemps avec l’aide de Françoise, j’ai décidé de l’emmener faire une «ballade» dans la nature et lui donner un grand lavement de deux litres.

Connaissant les penchants lesbiens de Chantale, nous ne devrions pas avoir de problème pour passer un après midi scato.

Alors que nous étions sur un chemin bordé de prairies, à l'entrée d'un bois Chantale nous dit qu'elle n'avait pas pu aller aux toilettes le matin, et qu'elle se sentait lourde et bouchée. Elle nous demanda de s’arrêter pour aller «chier».

Avec Françoise, nous nous assîmes sur un tronc couché en l'attendant.

Nous pouvions la voir un peu plus loin et comme il faisait beau, elle a décidé de se déshabiller complètement pour être plus à l'aise . De loin je pouvais contempler ses seins lourds et plantureux.

Nous pouvions l'entendre pousser ; au bout d'un moment, Françoise a décidé d’aller la voir, elle était allongée, nue dans l’herbe et se frottait le ventre.

Françoise lui à proposé de lui faire un lavement, elle avait emmené du matériel car elle désirait se laver l'intestin une fois arrivée au chalet.

Celle-ci me conviait à l'aider, je m’ approchais donc, et après un moment de gêne Chantale me dit que je devais bien savoir ce que c’était.

Je les soupçonnais depuis très longtemps de se gouiner...

Françoise a sorti le matériel de son sac à dos, un grand bock plastique de deux litres avec une grosse canule noir, une alèse plastique, du lubrifiant ect...

Pour être plus à l'aise, Françoise décida de se déshabiller aussi complètement, je ne me faisais pas prier pour en faire de même avec déjà une début d érection.

Chantale gloussait déjà...

Françoise lui a dit que pour économiser l’eau, elle allait prendre un lavement à l'urine, elle mit donc le bock à l'entrée de son sexe et pissa copieusement, remplissant plus que de moitié le bock, je finissais de le remplir au dessus de la marque des 2 litres , ce qui amusa Chantale.

Allongée sur l’alèse, elle écartait les cuisses pour que Françoise lui enfonce la sonde dans le cul après l'avoir lubrifiée.

Chantale ouvrit elle même le robinet tandis que Françoise tenait le bock debout et nue, elle gouttait cette ondée chaude en fermant les yeux et nous pouvions voir le niveau du bock descendre.

Son ventre gonflait et nous imaginions ce qui se passait dans son intestin.

Avec le glou-glou des dernières gouttes, elle nous annonça qu’elle avait envie «de chier».

Françoise lui mit donc sous les fesses un ancien bassin en émail qu'elle avait apporté pour l'occasion de son nettoyage personnel.

Chantale a attendu un bon moment avant de commencer à se libérer, comme pour mieux goûter cette vague chaude, elle jouissait déjà...

Françoise s'accroupit près d'elle et lui dit: «vas y , chie ma belle» et encouragée après quelques giclées marron son anus 's'est ouvert pour laisser passer des scybales et entre deux giclées un gros étron suivi de matières plus molles, elle se vidait avec soulagement, avec les bruits que tout le monde connaît dans ces moments la, les yeux toujours fermés elle entonnait des bruits de retenue et de force avec sa bouche. Je pense quelle était contente d'exhiber son travail.

C'est à ce moment la, que Françoise s'est penchée sur elle pour l'embrasser laissant s’égarer sa main sur le sexe de son amie qui continuait de se vider dans le bassin.

C'est alors que Françoise s'est tournée pour saisir un gros gode phallique dans son sac à dos et après avoir déclenché les vibrations le posa sur le clito de Chantale.

Celle ci avait commencé à se caresser et ses doigts aveugles avaient quelque peu trempé dans la «colline» de matières du bassin, elle en avait embousé sa chatte.

Françoise y plongea toute sa main et le gode pour venir le planter dans la chatte profonde de Chantale qui gloussait de plaisir.

Heureusement on était en plaine nature, car la scène commençait à devenir « boueuse »

J'y plongeais moi même mes deux mains et me délectais de cette matière visqueuse et collante pour caresser ces deux femelles. J'en enduisais leur corps et leurs seins pendant qu'elles se caressaient.

Maintenant , les deux femmes étaient pleine de merde et s'embrassaient à pleines bouches en jouissant bruyamment, le gode merdeux toujours enfoncé dans le con de Chantale en un langoureux va et vient puis Françoise décida de changer de trou pour le présenter devant l' oeuillet merdeux de celle-ci. Celui-ci n'eut aucun mal à pénétrer profondément dans l'intestin de Chantale accélérant, une fois de plus sa vidange intestinale.

Les deux salopes baignaient maintenant vraiment dans la merde et Françoise se releva pour enjamber sa compagne et penchée en avant lui tournant le dos.

Je la voyais commencer à pousser, Chantale lui triturait l'anus avec ses doigts.

Mais à part des gaz, rien ne venait. Et au bout d'un moment, elle laissa échapper un long jet de pisse, Chantale s'en barbouillait maintenant les seins mélangée avec sa propre merde.

Je ne pouvais plus durer et décidait de pénétrer Chantale encore allongée sur le bassin. Mes va et vient l'incitaient à finir de se vider et elle m’arrosa plusieurs fois les couilles de ses pets foireux pendant que la bouche gluante de Françoise venait à la rencontre de la mienne.

Nous étions maintenant couvert de merde tous les trois.

Et comme je n'avais pas déféquer le matin, je prenais donc la place de Chantale après que celle-ci soit aller vider le bassin souillé un peu plus loin....

Les filles se décidaient à me donner un lavement avec les réserves d'eau de nos sac à dos, le bock rempli à nouveau à ras bord, Chantale le tenait debout, sa magnifique poitrine maculée et souillée, je pouvais voir les coulures marron qui partaient de ses fesses le long de ses magnifiques jambes.

Après m'avoir glissé la canule dans l'anus, elle ouvrit le robinet. Je sentais ce torrent s’écouler en moi et cette sensation d’être envahi car il s’écoulait plus lentement en raison du rectum qui était déjà encombré. Quand les deux litres furent enfin coulés et que j’étais déjà bien plein, Chantale s'écria « et une petite rasade de plus» tout en écartant les jambes, s’accroupir à moitié et pisser dans le bock qu'elle remplit encore de plus d'un litre. Je ne savais pas si j'allais pouvoir retenir toute cette quantité puis elle me fit lécher sa chatte pendant que Françoise tenait le bock.

Et bientôt je m aperçus que les trois litres un quart étaient passés.

Elles étaient toutes les deux assises de chaque coté de moi et attendaient curieusement ma vidange qui était inéluctable et comme celle-ci n'arrivait pas assez vite à leur goût elle entreprirent de m'appuyer sur le ventre et m'enfoncer les doigts dans mon trou. Je résistais encore malgré l'envie pressante , c' est alors que Chantale entreprit de me goder le trou. Je vis donc disparaître ce gode tout entier entre mes fesses et à force de va et vient incessants, libérant une cascade arrosant tout autour, les femmes prirent de pleines giclées d'eau et de matières. Cela ne les dérangeaient pas beaucoup car elle étaient déjà souillées.

L’alèse était ravagée et des morceaux de matière étaient éparpillés partout de mes épanchements. Quelle jouissance !!!

Après cet intermède, nous décidâmes d’aller se laver dans la rivière qui coulait juste a coté en se frottant mutuellement pour nettoyer toutes ces traces de souillures et c'est ainsi que le ventre plus léger nous reprimes la route jusqu’au chalet ...mais, il restait encore la toilette intime de Françoise...nous l'avons donc informer que cela serait pour le soir... Arrivés au chalet à la tombée de la nuit, Françoise nous a aidé à préparer tout le matériel pour son lavement. Aidée de chantale, elle a installé une grande alèse sur le lit deux places avec quelque serviettes autour.

Apres avoir allumé un bon feu de cheminée, les deux femelles se sont entièrement déshabillées et Françoise, après avoir nettoyé le bassin en émail finit de sortir de son sac à dos le reste du matériel.

Je pouvais contempler son ventre gonflé par son manque de libération. Elle s'en aperçut et nous dit « ça fait huit jours ! Quand j'ai vu chantale se libérer sur le bassin cet après-midi, j’étais impatiente d'arriver à ce soir et je pense à tout ce qui va sortir car j'ai très mal au ventre ».

Elle sortit le gode maculé qui avait servi à limer le con et l'anus de Chantale. A notre grande surprise, elle sortit également un « colonsnake », serpent anal en silicone blanc translucide de 3 cm de diamètre et 80 cm de long… Chantale lui dit « tu va tout le rentrer ». Elle rétorqua « oui, j'ai l’habitude pour mes lavements profonds, mais il faut d'abord faire un lavement de dégagement pour me désencombrer ».

Elle sentait encore les effluves de l’après midi... après l'avoir allongée sur le bassin où ses grosses fesses recouvraient entièrement l' arrière du bassin, Chantale et moi lui tenions les jambes relevées et après lui avoir graissé généreusement l'anus, je la pénétrais de mon index. Rapidement je sentis une résistance dure, littéralement des cailloux. Françoise avait fermé les yeux et je pouvais commencer à voir la cyprine couler de son con. Comme pour faire durer le plaisir, je continuais à vriller mon doigt bien graissé dans son anus, elle se saisit du gode maculé à coté d' elle pour le poser sur son clitoris, ce qui provoqua quelques petits gémissements...

« Maintenant , allez y, je suis prête à me faire remplir », Chantale tenait le bock de 2 litres en l'air, j’enfonçais donc cette canule rigide qui buta rapidement sur les matières. J'ouvris le robinet et quand un flot se fut écoulé, je puis enfoncer la canule entièrement. Françoise avait toujours les yeux fermés et commençait à avoir de plus amples mouvements de respiration. Elle goûtait pleinement cette ondée salvatrice avec, parfois quelques grimaces, mais elle savait que cela allait la libérer.

Lentement et inexorablement l'eau la remplissait faisant gonfler son ventre qui était déjà bien bombé, nous pouvions voir le niveau de l'eau descendre et au bout de 1 litre elle nous pria d’arrêter, je retirais donc la canule de son anus.

Elle était la, allongée sur le bassin, avec les yeux fermés, une main s’était aventurée sur son sexe d’où s’échappait de la cyprine blanche. Elle n’était pas seule à se caresser car Chantale la regardait avec envie et moi je bandais encore. Françoise fit durer le plaisir encore pendant quelques minutes, puis commença à se relâcher, elle arrosa à plusieurs reprises par petits jets, le fond du bassin de ce liquide marron clair avec une multitude de scybales. La pauvre était bien constipée , Chantale s'est penchée sur elle pour lui rouler une pelle bien accueillie par Françoise, ces deux salopes devaient bien se gouiner dans leurs cochonneries (J'en aurais la preuve après).

Encouragée par Chantale, elle commençait a forcer plus sérieusement, de longues tirades de gaz humide et quelques pets sortaient à présent de son anus avec soulagement, ce qui pouvait se lire sur son visage. Soudain un énorme étron pointa son nez et commença à élargir les rebords de son anus mais fut vite stoppé dans sa progression par sa dureté, et elle resta ainsi pendant un bon moment , le gros cigare coincé dans son anus dilaté. Chantale l'aidait par ses belles paroles pour cet accouchement difficile.

Elle reprit ses efforts en bloquant sa respiration et le gros boudin continua sa progression avant d’être à nouveau stoppé. Sa longueur en était interminable. Un dernier effort et il finit par tomber dans le réceptacle accompagné d'une petite giclée plus épaisse, le diamètre du boudin était impressionnant et elle avait du commencer à bien jouir. Elle resta ainsi un moment afin de reprendre son souffle et nous dit « Je sens qu'il en reste encore, maintenant je suis prête pour un lavement plus profond  avec ma longue sonde».

Chantale alla donc vider le bassin dans les toilettes ce qui fit un grand plouf et le réinstalla sous le postérieur de son amie, re-remplit le bock et revint également avec un pichet supplémentaire.

Elle était impressionnée par la grosseur et la longueur de cette sonde et après lui avoir graissé généreusement l'anus, elle présenta celle-ci a l’entrée de l’œillet de Françoise qui s’ouvrait au maximum en relevant bien les genoux sur ses seins, la corolle engloutit les premiers centimètres avec un gloussement de satisfaction de sa patiente qui avait toujours les yeux fermés et après avoir ouvert le robinet, Chantale guidait la progression du serpent dans l'intestin de Françoise. A force de va et vient continus, la sonde se frayait un chemin dans ce boyau boueux. Déjà quarante centimètres et Françoise poussait de grand soupirs ponctués de petits halètements, quand chantale se mit à bouffer le con de sa compagne qui se remplissait lentement. Elle ressortait ce gros tuyaux d'arrosage merdeux pour mieux le re-rentrer et je réalimentais le boc qui etait presque vide. Le ventre de Chantale était à nouveau redevenu gros et ses cuisses étaient maintenant à la verticale. Ces deux salopes étaient tellement excitées, à force de patiente, elle finit par engloutir les quatre vingt centimètres jusqu’à la butée de la boule. Son ventre était celui d'une femme enceinte et contenait probablement plus de trois litres d'eau. Elle gémissait de plaisir en se caressant le clitoris...

Chantale retira doucement la sonde qui vint sans problème, les trente derniers centimètres étaient maculés de merde.

Bravant le risque, elle entreprit de lécher l'anus de son amie insérant sa langue dans son rectum, Françoise goûtait pleinement la caresse en jouissant.

Après un moment a subir cette torture, Françoise commençait à grimacer sentant venir le moment inéluctable du refoulement de cette ondée et laissa échapper un petit jet marron clair sur le visage de son amie , celle-ci nullement effrayée par les conséquences, léchait de plus belle, la rosette pourpre de Françoise.

Soudain, un énorme flot jaillit du trou de bal de la patiente , éclaboussant de même le visage de Chantale et les alentours. Heureusement que nous avions mis une alèse ! Cette salope se vidait à présent avec un sourire bien marqué sur son visage.

Elle chiait sans retenue avec aisance sans discontinuer, d’abord de l'eau épaisse puis de la merde molle. Les deux femelles étaient couvertes de cette matière odorante et de gros morceaux jonchaient l’alèse à coté du bassin qui était maintenant plein. Chantale entreprit d'embrasser Françoise avec sa bouche maculée pendant que celle ci continuait de se vider en longs jets avec de petits grognements. Elle se soulageait encore et encore et remerciait sa compagne de l'avoir « soignée » de son mal de ventre, les serviettes avaient en partie épongées les effluves mais le lit était quand même bien ravagé..

Aération de la chambre et déodorant et après nettoyage du matériel et rangement de la chambre, les deux femelles passèrent un long moment sous la douche a se caresser mutuellement …

Cette Histoire a eu une suite. Le week-end suivant j'invitais Chantale à la maison et après quelques apéritifs je lui demandais si elle était toujours constipée. Elle me répondit par l'affirmative...

Veux tu que je te débouche ? Elle me répondit en hochant la tête avec un large sourire et après avoir mit une alése sur le lit, je préparais son lavement pendant qu 'elle se déshabillait.

Revenu dans la chambre, Je lui ai sucé ses gros seins avant de lui planter la canule dans le cul et quand le bock été vide je l'ai installée sur un bassin. Effectivement , elle chiait des gros morceaux de boudins marron et m'avouait que cela la soulageait beaucoup...

Et je l'ai bien baisée avant quelle me lave le cul et qu’elle me suce et me lèche te trou.

Clystero

CHANTALE ET FRANCOISE, LAVEMENTS CHAMPÊTRES

Par Clystero (FF/M, anal, enema, ws, heavy scat)