LA MAISON DES PLAISIRS

Par Fed (F+M+, BDSM, bisexe, lesbiennes, oral, anal, inceste familial, uro, heavy scat)

AVERTISSEMENT

Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.


CHAPITRE 1


-Lorsque nous sommes dans cette maison, je ne veux plus être ton épouse, mais ta soumise, ton jouet, que tu fasses ce que tu voudras de moi, pour ton plaisir. Je suis certaine qu’il fera le mien.


C’est par ces mots que ma vie intime a basculé voilà plusieurs années maintenant.


Cette phrase prononcée par ma femme Béatrice, qui me revient en mémoire, mérite un peu de contexte.


Nous nous sommes rencontrés très jeunes, et très vite nous nous sommes mariés. Bientôt Béatrice a été enceinte. Après avoir accueilli le petit Théo, nous avons enchaîné, et Mélissa est née à peine un an après son frère.


Heureusement nous étions très bien entourés par nos familles respectives et Béatrice a pu poursuivre des études supérieures de manière presque normale. Elle a obtenu son diplôme d’ingénieure à vingt-trois ans et a lancé sa start-up immédiatement après ses études.


J’ai de mon côté opté pour un emploi salarié. Bien-sûr nous avons connu des périodes un peu tendues, avec des emplois du temps bien remplis entre les engagements professionnels et familiaux, et des moyens financiers parfois très limités. Toutefois, nous avons su les traverser sans trop de dommages, et avons pu conserver une vie intime bien active.


A vingt-neuf ans Béatrice a saisi l’opportunité de vendre sa société à un grand groupe. Elle a réalisé une plus-value très importante, qui nous autorise à vivre fort convenablement, sans avoir à travailler. Quel luxe !


C’est à partir de ce moment que notre vie sexuelle a profondément changé.


A cet âge, Béatrice est une magnifique jeune femme au regard bleu acier qui dégage une vraie douceur. Les traits de son visage sont bien dessinés, ses lèvres charnues, ses pommettes légèrement proéminentes, ses joues rebondies. Elle porte de magnifiques longs cheveux blonds cendrés. Elle mesure un mètre soixante-dix, son corps est plutôt charpenté, ses formes sont généreuses, mais son allure reste tout à fait svelte, avec son ventre plat et ses jambes fines. Je la trouve ravissante, et je sais ne pas être le seul.


Nous vivions dans un bel appartement, situé en ville, très pratique pour accéder aux services pour les enfants. Grâce à la vente de l’entreprise de Béatrice, nous avons acheté, en guise de placement, une belle petite maison située à l’écart de la ville, entourée d’un beau jardin. Nous avons immédiatement pris l’habitude de nous y rendre en couple, pour de courts séjours. Nous confiions alors les enfants à une nanny.


Se retrouver à deux dans un lieu cosy a largement dopé nos relations intimes. Dès lors, nous nous sommes mis à séjourner de plus en plus fréquemment dans notre résidence secondaire. Le fait que nos enfants soient maintenant un peu plus grands nous aidant à déculpabiliser de nos absences.


C’est dans ce contexte, alors qu’elle était vêtue d’une ravissante nuisette faite de dentelle qui me laissait un vaste accès à sa peau dorée et douce, que Béatrice m’a fait la demande qui introduit cette histoire.


Sans doute interloqué par cette requête à laquelle je ne m’attendais pas le moins du monde, j’ai demandé des explications :

-Chérie, je ne suis pas sûr de te suivre. Tu veux devenir ma soumise ?

-Oui, c’est bien cela. J’ai envie de pimenter nos jeux sexuels et l’idée de me faire dominer par toi, l’homme que j’aime depuis si longtemps, me taraude l’esprit depuis un bon moment. Tu sais, depuis des années c’est moi qui donne des ordres à mes collaborateurs, à nos enfants, … J’en ai assez. L’idée d’obéir à mon tour, de devoir faire des choses dont je n’ai pas spontanément envie, même ressentir de la douleur, tout cela me titille. J’ai vraiment envie d’essayer et ce lieu me semble parfait pour cela. Qu’en dis-tu ?

-La proposition est évidemment alléchante, mais peux-tu me préciser un peu plus ce que tu entends par « soumise » ?

-Je veux que tu guides nos ébats, que tu décides quand et comment nous faisons l’amour, sans forcément être à l’écoute de mes envies du moment. Tu pourras choisir les pratiques, m’imposer des règles. J’aimerai même que tu me bouscules, que tu me fasses mal. Au moins pour essayer.

-OK, je ne m’attendais pas à une telle demande, mais j’avoue que cette nouvelle perspective me fait un certain effet.

-Comme tu me connais tu sais sans doute que j’ai mûrement réfléchi avant de te faire cette demande. Il me semble que toi aussi tu devrais prendre le temps de la réflexion, nos rapports vont forcément changer si on se lance dans cette nouvelle expérience. Je précise également, que si nous nous engageons dans ce jeu je ne serais ta soumise que dans cette maison, partout ailleurs, je resterais ton épouse et ne tolérerais aucune forme de domination de ta part. De plus, j’aimerais que tu mettes à profit les quelques prochains jours pour te renseigner sur la manière de dominer une femme, pour la pousser vers ses plaisirs inavoués.

-Je reconnais bien-là ton caractère réfléchi et organisé ma chérie.

-J’ai même été plus loin. J’ai trouvé un homme dominateur qui est prêt à te donner des indications et des conseils. Qu’en dis-tu ?

-Que tu as drôlement préparé ton affaire ! Tu as sans doute raison, recevoir quelques conseils en matière de domination me semble une bonne chose avant de commencer.


Excité par les aveux de mon épouse, et bien-sûr par sa ravissante tenue légère, j’engage un ébat. Même si le vrai jeu de domination n’a pas encore débuté, je sens que je prends davantage l’initiative et que je provoque des actes que nous n’avons guère l’habitude de pratiquer, notamment un rapport en levrette. Néanmoins pour cette journée nos ébats restent assez classiques.


Dès le lendemain, alors que nous sommes revenus dans notre appartement, je m’enquière du contact du dominateur dont Béatrice m’a parlé. Je prends rendez-vous et le rencontre le jour même.


Ce monsieur, Hervé, âgé de plus de soixante ans se montre ravi de me transmettre son savoir-faire en matière de domination. Je suis très étonné d’apprendre qu’il a dominé de nombreuses femmes et que plusieurs d’entre elles sont encore ses soumises, dont de très jeunes filles ayant à peine dépassé la majorité.


Je passe plusieurs journées avec lui. Il m’enseigne d’abord des éléments théoriques, puis il me fait d’impressionnantes démonstrations avec ses femmes, qui se comportent en véritables esclaves, tout à fait consentantes toutefois. Certaines affichent un goût véritable pour la douleur, ce sont de vraies masochistes, qu’Hervé a révélé comme elles me le confient elles-mêmes, en sans présence ou même sans qu’il n’assiste à nos discussions.


Lors de ces multiples séances, je reste toutefois spectateur. Il n’est pas question pour moi de tromper mon épouse.


Après quelques semaines de ce patient apprentissage, et même si je sais pertinemment avoir encore beaucoup à apprendre en matière de domination, Hervé estime que je suis prêt à débuter la soumission de Béatrice.


Je décide de lancer les choses en lui écrivant la lettre suivante.


Ma chère épouse, ma soumise,


Comme tu me l’as toi-même proposé il y a quelques semaines, j’accepte de devenir ton dominateur dès lors que nous séjournerons dans notre résidence secondaire.


Désormais lorsque tu seras dans ce lieu, tu devras accepter les règles qui suivent, sans réserve. Ton seul moyen de t’y soustraire sera le mot de sécurité « colibri ». Si tu l’utilises, saches que nos jeux de domination prendront définitivement fin.


Voici les règles :

- Tu me vouvoieras.

- Sauf demande contraire de ma part, ton entrecuisse devra être systématiquement accessible, tu ne porteras jamais de culotte ni de pantalon. Tu devras toujours être chaussée de hauts talons.

- Dans cette maison je déciderai seul des moments de nos rapports sexuels, des types de pratiques, de leur durée, de leur intensité. Tu ne me refuseras jamais l’accès à toutes les parties de ton corps.

- Je m’octroie le droit de te violenter, de te frapper avec l’intensité et la fréquence de mon choix, la seule limite étant de ne pas te marquer de façon permanente, sauf agrément explicite préalable de ta part sur ce point.

- Tu n’as droit à aucune intimité. Tu as l’interdiction formelle de jouir, d’uriner ou de déféquer sans mon autorisation.

- A l’intérieur de cette maison, je peux t’offrir à toute personne de mon choix, homme comme femme, tu n’auras pas ton mot à dire.

- A l’intérieur de cette demeure, et en ta présence uniquement, je m’octroie le droit de rompre le serment de fidélité qui régit notre mariage.


Tout manquement à ces règles sera sanctionné. Je déciderai seul des punitions.


Je pourrai à ma guise ajouter d’autres règles à l’avenir, je te les ferai connaître en temps et en heure, et tu auras la possibilité de les accepter ou non.


Si tu souhaites toujours que je te domine, et que tu acceptes les règles de la présente, tu te tiendras dans la tenue adéquate dans la chambre de notre maison secondaire cet après-midi à 14 heures.


A l’heure convenu, j’arrive près de notre résidence secondaire, excité en voyant la voiture de mon épouse dans l’allée, mais également un peu stressé par ce nouveau chapitre de notre intimité qui semble en train de s’ouvrir.


Comme je le lui avais demandé, Béatrice est dans notre chambre, assise sur le lit, vêtue d’une fine nuisette transparente, chaussée d’élégants escarpins, elle me sourit, un vague masque d’inquiétude se lit dans ses traits fins et une lueur d’excitation brille dans son regard acier.


-Je suis ravi que tu sois présente au rendez-vous.

-Je suis moi aussi ravie que vous acceptiez de me dominer. La perspective de me soumettre à vous me taraude depuis si longtemps…

Même si je m’y attendais, je suis surpris d’entendre mon épouse me vouvoyer. Cette particularité de langage concrétise son état de soumission et confère une atmosphère nouvelle, qui m’envoûte un peu malgré moi.


Je la regarde en silence. Puis je la palpe, comme si je jugeais du bétail. Béatrice garde les yeux baissés.

Excité par la vue de mon épouse dans sa tenue sexy, docile, tendue, je décide de sortir mon sexe déjà durci.


Je me positionne face au visage de mon épouse, toujours assise sur le lit. Rapidement elle s’avance et me prend en bouche. Plus profondément que lors des fellations qu’elle me prodigue habituellement. Je profite de l’instant, la laisse agir de son propre chef quelques secondes, puis d’un coup sec j’attrape ses cheveux et tire vigoureusement sa tête vers l’arrière. Elle fait une mine surprise.

-Qui t’a donné le droit de me sucer ?

-Euh, je ne sais pas … balbutie-t-elle.

-Tu as bien lu les règles qui s’appliquent ici désormais ?

-Euh … Oui, je vous demande pardon, je croyais …

-Tu n’as rien à croire, tu m’obéis, un point c’est tout ! Que se passe-t-il quand tu ne respectes pas les règles ?

-Je dois être punie.

-Tout à fait. Et je vais te punir tout de suite.


Je la fais mettre à quatre pattes sur le lit. Je remonte le fin tissu de sa nuisette et constate avec satisfaction qu’elle ne porte rien dessous, conformément à mes consignes. Je parcours ses douces cuisses et ses fesses bien galbées de mes mains. Puis j’annonce :

-Ce sera dix coups de ceinture, avec le cuir pour cette première fois. La prochaine, tu auras droit à la boucle.

Béatrice ne bronche pas, elle attend sa punition, avec crainte ou envie, je ne saurais le dire.


J’ôte ma ceinture et m’en saisis de la manière dont Hervé m’a appris. Le plat du cuir frappe le lobe gauche de Béatrice, qui émet un petit cri.

-Compte !

-Un

Je porte un deuxième coup sur la fesse droite.

-Deux.

J’augmente la puissance du coup suivant.

-Trois.

Je continue en donnant à chaque couple de coups une intensité plus importante.

-Dix, souffle Béatrice.

Ses fesses sont marquées de lignes épaisses, rouges, très légèrement gonflées.

Elle semble un peu secouée, mais son regard acier étincelle. Je la connais suffisamment pour savoir qu’elle est excitée.

Je la regarde fixement :

-Qu’est-ce qu’on dit ?

-Euh … Je ne sais pas … balbutie-t-elle, encore dans ses pensées.

-Tu me remercie d’avoir pris la peine de t’éduquer.

-Je vous remercie d’avoir pris la peine de m’éduquer, lance-t-elle.


Je dois admettre que la nouvelle condition de soumise de ma belle épouse ravive le désir que j’éprouve pour elle. Même si la flamme ne s’est jamais éteinte, loin de là, la voir m’obéir et accepter docilement que je la punisse, me donne un sentiment nouveau qui me plait affreusement.


Sans douceur je fais coulisser ma main dans son entrecuisse et constate en effet une vraie humidité.

-Tu es excitée ? l’interroge-je.

-Oui, je crois.

-Bien, alors suce-moi.

Elle approche et me prend en bouche, très profondément, elle m’engloutit bien davantage qu’habituellement. Je profite de sa bonne pipe. Je donne quelques coups de bassin et l’invite à me prendre encore plus en profondeur en appuyant sur l’arrière de sa tête. Elle me suce ainsi un bon moment.

Je me retire avant qu’elle ne me fasse jouir.

Je passe à nouveau ma main entre ses cuisses légèrement écartées, le degré d’humidité y a encore augmenté. En retirant mes doigts, je sens même que des gouttelettes de cyprine ont ruisselé depuis sa source d’amour, le long de ses cuisses. Je mate ses fesses rougies, je les trouve splendides.


J’ai besoin d’un peu de repos pour ne pas jouir trop vite, elle m’excite tant !


-Fais-moi un petit striptease en gardant tes chaussures.

Béatrice s’exécute, je sais qu’elle est douée en effeuillage, elle me le démontre une fois de plus. Je me force à ne pas me masturber, je crains d’éjaculer inopinément. J’ai du mal à me contenir et décide de faire diversion :

-Va me chercher à boire.

-Bien.


Elle s’exécute et me rapporte une bière bien fraîche. Elle reste un moment prostrée pendant que je bois. Je me détends un peu.


Pour reprendre nos jeux, je la fais se placer en levrette à même le sol, la position est inconfortable, mais cela doit faire partie de son excitation. La vue de sa croupe bien galbée et striée de mes coups de ceinture me redonne rapidement une pleine vigueur. Je décide de la sodomiser, sans la prévenir. J’applique une pointe de lubrifiant sur mon dard et le place sur sa rondelle. Nous avons rarement pratiqué la sodomie, seulement par curiosité et il m’avait alors semblé que mon épouse n’appréciait pas particulièrement ce jeu. Étant très largement satisfait de nos rapports plus classiques, nous n’avons guère étendu notre expérience en la matière, mais la nouvelle condition de Béatrice me semble tout à fait propice à cet acte.


La pénétration n’est pas aisée. J’ai quelques scrupules à forcer le passage, mais me rappelle la réelle volonté de mon épouse d’être ma soumise, du fait qu’elle a accepté sans réserve sa nouvelle condition, aussi j’appuie plus fort pour prendre possession de son petit trou. Je sens qu’elle souffre, elle soupire, transpire, mais n’émet aucun signe indiquant qu’elle envisage de stopper nos ébats. Je poursuis donc et parviens à faire coulisser mon chibre dans son fondement. Je fais alors des va-et-vient à un bon rythme. Béatrice commence à gémir. Apprécie-t-elle davantage la sodomie qui lui est imposée que lorsque nous l’avions planifiée ? Je ne sais, mais son plaisir monte doucement, trop lentement me semble-t-il pour qu’elle n’atteigne l’orgasme avant moi. Je le regrette, car je voudrais la faire jouir de cet acte imposé.

Je crains d’échouer lorsqu’elle m’offre une belle solution. Elle se met à frotter sa chatte, sans doute pour atteindre plus rapidement l’orgasme libérateur qu’elle recherche. J’interromps immédiatement mon piston :

-Qu’est-ce que tu fais ? Qui t’a autorisé à te toucher ?

Gênée comme une gamine prise à subtiliser une friandise, mon épouse balbutie :

-Euh … personne … je suis désolée.

-Tu as désobéis, une deuxième fois de l’après-midi !

-Oui, je suis vraiment navrée, j’avais trop envie.

-Que vais-je devoir faire ?

-Vous allez devoir me punir encore.

Elle prononce cette phrase sur un ton étrange, mêlant remords et désir.


Je la fais à nouveau s’allonger à plat ventre sur le lit, avec un coussin sous les hanches qui fait ressortir son fessier.

-Cette fois je vais être moins indulgent, c’est ta deuxième faute.

Je vois qu’elle frissonne légèrement, elle ne dit rien.

-Tu vas goûter au métal de la ceinture. Dix coups, que tu vas compter.

Comme lors de la punition précédente, je débute en modérant les coups, d’autant que ses fesses sont encore bien rouges.

La boucle de la ceinture marque différemment du cuir, la zone touchée est plus restreinte, mais elle provoque une douleur plus vive et fait davantage gonfler la peau.

Béatrice geint, elle a parfois un peu de mal à compter les coups et je décide de ne pas trop augmenter leur intensité. Je sens qu’elle souffre, mais elle ne demande pas la fin du supplice.

-Ouch … dix, souffle-t-elle à la fin.

Après quelques secondes elle ajoute :

-Je vous remercie d’avoir pris la peine de faire mon éducation.

-Bien, ça rentre tu vois.


Je lui laisse quelques instants pour reprendre ses esprits, puis je glisse un doigt inquisiteur dans son intimité. Elle me facilite le passage et je constate avec joie qu’elle est bien humide, mon épouse prend plaisir à souffrir !


-Où en étions-nous avant que tu nous interrompes ? la questionne-je.

-Tu … vous m’enculiez

-Qu’ai-je entendu, tu me tutoie maintenant ?

-Non, non, ma langue a fourché, répond-elle avec une pointe d’inquiétude mêlée à de l’excitation.

Je la gifle, puissamment.

Elle encaisse, soupire et ajoute :

-Merci.

Quel ravissement de dominer ma belle épouse de la sorte ! Je bande bien dur.

-Où en étions-nous alors ?

-Vous me sodomisiez.

-Ah oui, tu as raison. Reprenons alors et fais en sorte que je ne doive pas m’interrompre.

Elle se positionne à genoux, exposant ses belles fesses cramoisies à la peau boursouflée là où elle a tâté de ma ceinture. Elle ne porte plus que ses chaussures à talon aiguille. Je la trouve ravissante et très excitante. Je positionne mon dard sur son œillet et prend possession de son fondement par d’amples va-et-vient. Un régal. Je lui travaille le cul pendant de longues minutes, son plaisir monte et je parviens à la faire jouir de l’anus, sans qu’elle n’ait à effleurer son sexe, j’en suis ravi et je jute dans son boyau peu après.


Nous marquons une brève pause et Béatrice me demande :

-Puis-je aller aux toilettes s’il vous plait ?

-Quel besoin veux-tu satisfaire ?

-J’ai envie de faire pipi, répond-elle, légèrement empourprée.

-D’accord, vas-y.


Elle se lève et se dirige dans la salle de bain où sont situés les toilettes. Elle ferme la porte.

J’attends quelques secondes et entre dans la pièce d’eau. Je vois mon épouse assise sur les toilettes, mon entrée la crispe de manière très visible.

-Euhh …

-Pourquoi as-tu fermé la porte ?

-Euh … comme ça … par habitude, balbutie-t-elle, visiblement confuse.

-Les règles que tu as acceptées stipulent pourtant que tu renonces à toute intimité, non ?

-Oui, veuillez me pardonner.

-Tu sais ce qui va se passer.

-Je vais être punie, je suppose.

-En quelques sorte. Écarte largement tes cuisses et reprend là où en étais.

Elle ouvre les jambes, me révélant son intimité, que je devine humide, mais aucun liquide n’en sort.

-Et bien tu n’avais pas envie d’uriner ?

-Si, mais devant vous c’est très gênant, je n’y arrive plus.

-Force-toi. Je veux te voir pisser devant moi, je te l’ordonne !

Béatrice est vraiment embarrassée. Elle croit que je m’agace et cela la bloque encore plus. Étrangement, et un peu sadiquement, son malaise me réjouit.

-Je ne vais pas te le demander une fois de plus !

Elle se concentre et parvient à libérer un tout petit jet.

-Voilà, ça vient. Encore !

Elle se refocalise et lâche quelques gouttes supplémentaires.

Je décide de poursuivre le supplice en plaçant ma main sous son puits.

-Vas-y, continue.

Peut-être commence-t-elle à se désinhiber, un petit ruisseau tout chaud m’inonde la main. Lorsqu’elle a terminé, je l’approche de mon visage, la renifle :

-Hum, j’aime l’odeur de ton pipi.

Elle me regarde, surprise. Je crains que cette déviance sale, qui ne constitue pas un fantasme dont elle m’aurait exprimé le désir, ne la rebute, mais je suis très attiré par de telles pratiques de mon côté. Je décide de profiter de la volonté de soumission de mon épouse pour la pousser dans ce type de jeux. J’approche ma main humide de son corps, je caresse ses jolis seins avec, en scrutant sa réaction. Je suis ravi de ne pas y lire de dégoût, je surprends même un léger sourire qui illumine son minois. Je poursuis en portant un doigt vers sa bouche. Sans que je ne l’ordonne, elle entrouvre les lèvres et suçote mon doigt enduit de son urine. Pour moi c’est un délice, son geste m’ouvre des perspectives de pratiques sales qui m’attirent depuis longtemps.

-Je ne t’ai pas autorisée à me lécher le doigt !

-Euh, pardon, je suis désolée.

-Comme cela m’a bien excité, je ne vais pas te punir … A moins que tu ne le veuilles ?

-Euh … oui, souffle-t-elle visiblement gênée.

-Oui quoi ? Tu veux que je te punisse.

-Oui, répond-elle d’une voix à peine plus assurée.

Quelle soumise fait-elle ! me réclamer une punition alors que je lui accorde ma clémence. Son effronterie m’excite et je décide de la satisfaire.

-Bien.

Pendant qu’elle est toujours assise sur les toilettes, les cuisses écartées de façon obscène, je me recule légèrement, empoigne mon dard en m’efforçant de débander un peu, ce qui n’est pas aisé dans cette situation qui m’émoustille beaucoup. Avec quelques efforts, je réussis à uriner. J’oriente mon jet chaud et doré sur le délicieux corps dénudé de mon épouse. Très vite sa belle poitrine et son ventre plat sont détrempés. Je monte un peu, le flot atteint le bas de son visage. Béatrice ne bouge pas, elle reçoit stoïquement mon offrande odorante sur son doux minois, sans broncher.

-Ouvre la bouche, la commande-je.

Elle s’exécute, docilement.

J’inonde l’intérieur de sa bouche.

-Avale.

Obéissante, elle déglutit. Mais comme le flot continue d’entrer dans sa bouche, elle se met à tousser et manque de s’étouffer. Elle penche la tête en avant et se fait tremper ses beaux cheveux blonds de mon liquide jaune. Bientôt mon jet se tarit.

Je suis ravi de voir ma belle et soumise épouse douchée à la pisse. Elle reprend vite haleine.

Comme elle m’a beaucoup excité, j’ai une grosse envie de jouir. Je décide de profiter de sa soumission pour m’offrir une jouissance bestiale.

-Ouvre la bouche !

Elle obéit. J’entre ma matraque profondément dans sa gorge et je me mets à la pilonner, ne pensant qu’à mon plaisir de me faire gober la queue par ce fourreau chaud et gluant. Elle bave abondement. J’adore. Je ne suis pas long à envoyer ma semence dans sa gorge, ce qui lui provoque une nouvelle quinte de toux.

Lorsqu’elle a repris ses esprits, je la commande à nouveau :

-Nettoie toute cette pisse qui jonche le sol. Après ce sera finit pour aujourd’hui.


Après cette première expérience de domination, nous revenons à notre appartement séparément, car nous avions pris nos deux voitures. Sur le trajet, je réfléchis à ce que nous avons vécu, j’avoue appréhender la réaction de Béatrice lorsque nous nous retrouverons dans notre vie normale.

Heureusement, nous avons l’habitude nous parler franchement. Une fois que les enfants sont couchés, nous nous retrouvons et tous les deux. Béatrice me glisse d’une voix un peu timide, mais dans laquelle je décèle une pointe de malice :

-Alors, qu’as-tu pensé de notre folle après-midi ?

Rassuré par son ton que je sens enjoué, je réponds librement :

-C’était très surprenant et ma foi, fort excitant. Et toi comment as-tu ressenti les choses ?

-J’ai adoré. Je dois t’avouer que même si j’ai pris l’initiative de ces nouveaux jeux, j’avais de réelles craintes, mais cette première expérience m’a conquise, j’ai hâte de recommencer. J’ai été très surprise que tu introduises des jeux de pipi, je ne m’y attendais pas du tout, mais j’ai beaucoup aimé et j’ai lancé cette idée de domination pour quitter ma zone de confort et faire de nouvelles expériences, donc cela m’a tout à fait convenu.

Je lui souris, amoureusement. Elle poursuit :

-Je voudrais que cela aille encore plus loin. J’ai vraiment aimé que tu me domines, que tu me procures de la douleur, que tu me souilles.

-Je suis ravi que tu aies pris du plaisir. Ça a été également le cas pour moi et je suis impatient d’explorer encore plus ce pan de notre sexualité.

-Je pense que je vais vivre des moments plutôt difficiles parfois, mais les perspectives que m’offrent cette nouvelle orientation de notre relation, me font un véritable effet, j’ai vraiment envie d’explorer ces nouvelles facettes.


Après cet échange à la fois marqué de franchise et porteur de promesses alléchantes, nous faisons l’amour de manière plus conventionnelle et en tirons un vrai plaisir.


CHAPITRE 2


Au fil des semaines qui suivent notre première séance de domination, Béatrice et moi poursuivons notre découverte des rapports dominateur et soumise. Environ une fois par semaine nous nous rendons dans notre résidence secondaire où mon épouse devient ma chose, pour notre plus grand plaisir mutuel. Petit à petit, je corse les jeux, les sévices et les dégradations que je lui fais subir. Je crains parfois d’aller trop loin, qu’elle n’utilise notre code de sécurité pour mettre fin aux supplices, mais elle n’en fait rien.


Fréquemment, nous débriefons de ces séances, à froid, lorsque nous sommes en-dehors de notre lieu de plaisir. A chaque fois Béatrice me fait part du bonheur qu’elle a ressenti lors de nos jeux si particuliers. Elle me confie qu’elle se surprend elle-même à jouir de pratiques violentes, elle m’explique que la douleur devient un catalyseur de ses plaisirs, sans qu’elle ne parvienne à comprendre par quel mécanisme. Par ailleurs, elle me révèle que les humiliations que je lui inflige, notamment les pratiques sales les plus dégradantes, constituent pour elle une source d’excitation profonde. Là non plus elle n’a pas d’explication rationnelle, mais elle ne se pose pas trop de questions et prend son plaisir où il se trouve.


Plusieurs mois après notre initiation, j’en suis venu à infliger des sévices corporels importants à Béatrice. Je prends bien-sûr garde à ne pas marquer son corps de manière permanente, mais il m’arrive de lui administrer des blessures qui mettent plusieurs jours à guérir.


Afin de parfaire ma formation de dominateur sadique, je passe du temps avec le contact de Béatrice, Hervé, qui m’enseigne de nouvelles techniques et me conseille sur les meilleures manières d’infliger une douleur propice au plaisir masochiste sans engendrer de blessure profonde.


Globalement nos nouvelles pratiques nous apportent un vrai plaisir, qui se ressent dans notre bonheur et notre équilibre de vie quotidienne. Il nous arrive parfois de limiter notre temps passé dans notre maison des plaisirs, car nos enfants réclament davantage notre présence. Si notre fille suit un parcours scolaire exemplaire avec une réelle facilité, notre fils ainé nous donne davantage de soucis, ses résultats ne sont pas fameux et il lui arrive de troubler les cours. Nous nous efforçons de le cadrer et l’aider au mieux, quitte à sacrifier nos séances de plaisir.


Nos relations prennent un nouveau tournant par une journée de printemps. Nous sommes arrivés en fin de matinée dans notre maison secondaire alors que nous n’y étions pas venus depuis près de deux semaines. Notre enthousiasme est fort et promet une belle séance.


Comme nous en avons pris l’habitude je laisse un temps de préparation à mon épouse, j’en profite pour installer les instruments dont nous nous sommes équipés ces derniers mois, en aménageant une vaste pièce de la maison, que nous dédions totalement au sexe.


Béatrice apparaît, perchée sur ses escarpins aux talons vertigineux, ses jambes fuselées gainées de bas blancs, le corps tout juste voilé d’une fine nuisette transparente, qui montre qu’elle ne porte aucun sous-vêtement. Ses tétons gonflés dardent sous le tissu fin. Qu’elle est belle ! Elle me donne une érection par sa simple présence à mes côtés dans cette tenue indécente.


Selon nos nouvelles pratiques en ces lieux, je la toise, alors que ses yeux arrivent presque à hauteur des miens, elle baisse le regard. Je passe un doigt sous son menton, relève sa tête et lui crache au visage.

-Merci, me souffle-t-elle en réponse.

Je lui souris. Empoigne sa belle chevelure et la tire vigoureusement, l’obligeant à pencher la tête en arrière. Je la maintiens ainsi quelques secondes. De ma main libre je saisi un téton que je pince très fort. Je la relâche. Au moment où son visage revient en position normale, je la gifle rudement.

-Merci, réagit-elle encore.


Je la positionne ensuite sur un cheval d’arçon, allongée sur le ventre, sa croupe remonte outrageusement, ses fesses se dénudent sans même que j’ai à relever la nuisette. Je lui attache les mains et les pieds, bien serrés. Je la sens frémissante, elle sait qu’elle va être battue, qu’elle va souffrir, mais également qu’elle y prendra du plaisir.

-Tu n’as commis aucune faute, mais j’ai envie de te battre tout de même, juste pour le plaisir, déclare-je, tu n’y vois pas d’objection ?

-Non, bien-sûr que non, répond-elle d’une voix flageolante, dans laquelle pointe le désir.

-Bien.

Je porte quelques coups à main nue, pour chauffer ses fesses. Béatrice souffle un peu plus fort, mais elle encaisse très bien, habituée qu’elle est désormais à ces traitements rudes.

Lorsque sa peau est devenue rouge et que ses chairs sont bien chaudes je passe aux choses sérieuses, en me munissant d’un fouet de cuir. Je porte mes coups avec une puissance qui augmente petit à petit. Je compte lui administrer vingt coups. Arrivé au douzième Béatrice semble vraiment en souffrance, ses cris se transforment en larmes. La peau de ses jolies fesses est striée de marques longilignes boursouflées d’un rouge sombre, mes coups l’ont bien marquée.

Je ralentis le rythme. Je glisse mes doigts dans son entrecuisse et constate avec satisfaction qu’il est très humide. Je poursuis donc mon traitement, sans trop intensifier les coups.


Après la vingtième marque dessinée sur son joli derrière, je détache mon épouse et la relève. Son visage est en larmes, elle sanglote. Je l’installe le plus confortablement possible et la regarde droit dans les yeux.

-Ma chérie, je suis fier de toi, tu as bien encaissé.

-Merci.

-Tu as souffert et je crois que tes fesses te lancent encore, non ?

-Oui, vous m’avez fait mal en effet, je souffre.

-Tu m’en veux ?

-Oh non, bien-sûr que non. Ici j’adore que vous me fassiez mal. J’ai pris du plaisir et la douleur va continuer à se diffuser en moi et à m’exciter. Puis j’aurai encore mal pendant plusieurs jours, mes fesses vont être bleues, tout cela va prolonger mon excitation très longtemps. Je vous remercie.

Ses propos agissent sur moi tel aphrodisiaque puissant.

Je sors mon sexe, allonge Béatrice sur un divan, à plat ventre, j’écarte ses cuisses et glisse mon dard dans sa chatte trempée d’excitation. La baiser en levrette en admirant les traces de son vice masochiste imprimé sur son joli postérieur me procure un plaisir rare. Béatrice n’est pas en reste, elle crie son plaisir. A chaque pénétration mon bassin vient cogner contre ses fesses meurtries, relançant la douleur. Elle jouit bruyamment et je quitte rapidement son antre agréable afin de garder ma semence, pour l’instant.


Je ne lui laisse pas le temps de se remettre. Je la positionne debout, lui fais enlever sa nuisette, et la contemple un instant, elle est superbe avec son beau cul cramoisi, perchée sur ses talons, ses jambes toujours vêtues de ses bas blancs, la poitrine ferme et haute sur laquelle fleurissent ses tétons provocateurs au bout de ses seins généreux.


Je la positionne dos à un mur et lui attache les mains à ce dernier. Je fixe également ses chevilles à des anneaux placés au sol, en l’obligeant à écarter les jambes. Un lien la contraint à tenir sa tête collée au mur. Avec ses hauts talons, sa position est incommode, c’est voulu.


J’orne ses tétines de pinces métalliques spécialement conçues à cet usage, dont la pression peut se régler. Je les relie entre elles par un câble particulier à la longueur ajustable par un système d’enrouleur. Dans un premier temps je laisse une longueur suffisante pour aller d’un sein à l’autre. Puis j’ordonne à Béatrice :

-Tire la langue.

Prestement, j’attrape sa jolie langue rose dans une autre pince métallique obligeant ma soumise à garder la langue tirée entre ses lèvres ouvertes.

Je passe ensuite un câble du même type dans la boucle de la pince buccale et l’attache à celui qui court entre les deux mamelles. Bientôt je raccourcis les attaches de sorte que les seins soient tendus vers le haut et vers l’intérieur, soulevés par la langue tirée au maximum, tandis qu’elle ne peut pas pencher la tête en avant, puisqu’elle est fixée au mur. Bien-sûr cette position est hautement inconfortable. Béatrice soupire, la pince sur sa langue la force à baver négligemment sur sa belle poitrine entravée.


J’augmente la douleur infligée par les pinces et les attaches en envoyant des pichenettes à la racine des tétons distendus. Béatrice feule de douleur. Je donne également quelques petites tapes sur le bord de ses fesses, toujours boursouflées par mon traitement récent.


Satisfait de la situation incommode dans laquelle je l’ai plongée, je décide de délivrer du plaisir à mon aimée. Vigoureusement je fourre deux doigts dans son sexe et entreprends une masturbation énergique. Après quelques salves, je débusque son clitoris de son capuchon et me mets à le triturer fermement. J’enchaîne en me munissant d’une brosse à dent électrique, un peu trafiquée, pour que sa vitesse de rotation soit accentuée et dotée de poils robustes. Je mets en route l’objet et plaque la petite brosse directement sur le clitoris dénudé. L’effet de la douleur sur ses parties érogènes provoque un orgasme foudroyant à Béatrice. Étant empêchée de crier comme elle le voudrait, elle émet une sorte de meuglement bestial tout à fait évocateur du plaisir qu’elle éprouve.


Son vagissement m’excite, j’ai envie de libérer mon plaisir à mon tour. Je détache mon épouse, lui provoquant une nouvelle douleur vive lorsque le sang revient dans ses tétons qui sont restés longtemps comprimés par les pinces. Je l’agenouille et lui donne ma queue à sucer, ou plutôt je fourre ma bite profondément et sans ménagement dans sa gorge qu’elle sait désormais rendre délicieusement baveuse. Je fais des va-et-vient jusqu’à maculer son visage de sa salive, puis je me retire et la fais allonger à nouveau sur le cheval d’arçon, sur le ventre. Le contact entre le cuir et ses tétons meurtris lui fait évidemment mal. Toujours sans égard pour elle, j’investis son anus serré en quelques poussées brutales. Béatrice soupire, elle souffre, mais ne bronche pas. J’attrape sa longue chevelure et m’y agrippe, l’obligeant à arquer la tête en arrière et à augmenter les frottements de ses seins sur le support. De ma main libre je flatte sa fesse gauche de quelques tapes qui seraient anodines si son postérieur n’avait pas tout récemment enduré le fouet. Béatrice souffre et jouit à nouveau. Son extase me pousse à juter en elle, profondément enfoui dans son rectum. Quel délice rare !


Alors, que Béatrice se remet doucement des tourments que je lui ai infligés et des plaisirs qu’elle en a tirés, et que je prends également un peu de repos, la sonnette de l’entrée retentit. J’ouvre la porte sur une jeune fille menue au visage marqué par de récents pleurs. Je mets quelques instants à reconnaître Louise, l’une des soumises d’Hervé. Elle porte une petite robe d’été plutôt moulante qui laisse deviner des formes marquées sans être pour autant plantureuses, bien mises en valeur par les hauts talons de ses escarpins. Bien que rougi par les larmes, elle a un beau visage aux traits fins.

Sa visite me surprend.

-Bonjour Louise. Que se passe-t-il ? l’interroge-je.

Pour toute réponse elle me tend une enveloppe adressée à mon nom, Charles M.

Je la décachette et lis.


Cher Charles,


Puisque que tu lis cette lettre c’est que je suis mort.


Sache que le partage avec toi de mes connaissances en matière de domination a été un plaisir. J’ai très vite su que tu as un talent rare pour permettre aux femmes de tirer un plaisir vrai d’une situation de soumission.


Aussi, je te demande une faveur. Je sais que Louise, qui a dû venir vers toi et te remettre cette lettre, aurait beaucoup de mal à vivre sans être soumise et elle mérite d’être dominée par une personne douée pour cet art. Après ma disparition je crains qu’elle ne se jette dans les griffes de n’importe quel pseudo-dominateur qui ne la satisferait pas, ou la maltraiterait. Aussi, je te demande – comme un service amical et une véritable faveur – d’accepter de devenir son maître.


Comme tu le sais, Louise est très bien éduquée, elle apprécie d’être fortement violentée. Je suis sûr que Béatrice et toi éprouverez bien des plaisirs avec elle.


J’espère que tu accepteras ma demande et que tu y trouveras une véritable satisfaction.


Avec ma reconnaissance éternelle.


Ton ami, Hervé


P.S. : je me dois de t’informer que Louise est ma fille.


Je suis bien-sûr estomaqué par le contenu de cette lettre. Mon ami Hervé décédé, qui me demande de devenir le maître de sa soumise qui se révèle être sa propre fille … Quel choc !


Je réagis toutefois rapidement. Je fais patienter Béatrice dans notre chambre de repos, fais entrer Louise dans la pièce à vivre et entame une conversation avec elle.


Elle n’est visiblement pas au courant du contenu de la lettre. Elle sait qu’Hervé était son père, mais elle le considère avant tout comme son maître. Elle me révèle, ou plutôt me confirme, que c’est à son initiative à elle que son paternel est devenu son amant dominateur, peu après qu’elle ait fêté ses dix-huit ans. Elle se noie en pleurs lorsqu’elle se remémore tous les plaisirs qu’elle a éprouvés aux jeux sadiques qui l’ont tant fait jouir, et qu’elle prend conscience qu’ils appartiennent désormais inéluctablement au passé.


Je lui fais part du souhait d’Hervé qu’elle devienne ma soumise. Louise se montre immédiatement enthousiaste, une étincelle brille dans ses beaux yeux couleur de noisette.

-Vraiment, vous feriez ça pour moi ? se pâme-t-elle.

-Ecoute, Hervé a été un ami précieux, aussi je serais ravi de lui rendre le service qu’il me demande. Bien-sûr tu devras accepter les règles que je fixerai. Elles seront assez proches de celles qu’Hervé t’imposait, mais je vais en ajouter une importante.

-Je vous écoute.

-Bien-sûr tu me seras totalement soumise, mais je veux que tu obéisses également à mon épouse Béatrice. Elle m’est soumise, mais elle pourra te dominer dans la mesure que j’accepterai. Qu’en dis-tu ?

-J’accepte bien-sûr monsieur.

-Parfait.


Je prépare un engagement écrit, sur le modèle de celui signé par Béatrice, qui prévoit que Louise est également soumise à ma femme. Ce contrat stipule que la soumission de Louise ne s’applique que dans notre résidence secondaire, elle reste bien-sûr libre de quitter cette maison si elle le désire, en usant d’un code de sécurité au besoin.


Dès que le document est paraphé, je vais chercher Béatrice et l’informe de la nouvelle du décès d’Hervé et de sa demande vis-à-vis de Louise. Je précise la hiérarchie que je compte instaurer :

-Je veux que Louise vive ici à temps plein et qu’elle nous soit soumise à tout les deux. Bien-sûr tu restes totalement sous ma domination, mais tu seras la maîtresse de Louise qui devra t’obéir comme à moi lorsque je serai absent ou que je te le demanderai. Lorsque nous sommes dans cette maison, je pourrai avoir des relations sexuelles avec elle, tu en auras également. Cette situation ne sera évidemment tolérable qu’ici. Est-ce bien clair pour toi ?

-Oui monsieur.

-Acceptes-tu ce nouveau fonctionnement ?

-Oui, avec joie.

-Parfait.


Voilà, en quelques heures seulement, notre vie sexuelle a été une nouvelle fois bouleversée, pour le meilleur je l’espère.


Dès que la situation est clarifiée et acceptée par mes deux soumises, je fais les présentations. J’en profite pour glisser une main sous la robe de Louise et une autre sous la nuisette de Béatrice. Comme je m’y attendais Louise ne porte pas de culotte et mes doigts inquisiteurs rencontrent immédiatement son sexe humide. Celui de ma femme est également moite après nos ébats endiablés. Mes deux femelles sont excitées, et moi aussi.


J’ai hâte de voir Béatrice dominer Louise.


CHAPITRE 3


Selon nos habitudes, Béatrice et moi avons parlé « à froid » de l’entrée de Louise dans notre vie sexuelle. Même si elle n’avait pas envisagé de devenir dominatrice, mon épouse se réjouit de cette nouvelle aventure, elle aime explorer de nouvelles facettes du plaisir.


Malgré son expérience de soumise, elle prend quelques jours pour se documenter sur la manière de dominer et de provoquer du plaisir à une femme en la faisant souffrir. Durant ce temps, je fais en sorte que Louise s’installe véritablement dans notre résidence secondaire, qu’elle y trouve les affaires dont elle aura besoin et se sente bien dans ce lieu. Elle est notre soumise lorsque nous sommes présents, mais Béatrice et moi souhaitons qu’elle vive normalement le reste du temps.


Quelques jours après que Louise ait signé son accord de soumission, j’organise le premier acte de son nouveau statut. Nous l’avons prévenue de notre venue. J’ai clairement signifié à mon épouse que c’est elle qui mènera la danse en début de séance. Je l’observerai et interviendrai quand bon me semblera.


Lorsque nous arrivons, Béatrice file se préparer tandis que je me rends dans notre salle spécialement équipée, où Louise patiente, debout. Elle a pleinement respectée mes consignes, elle se tient nue comme un ver, ne portant que des souliers à talons aiguille. Sa jolie poitrine menue pointe fièrement au-dessus de son ventre plat, elle est à croquer. Elle m’accueille par un :

-Bonjour Maître.


Je la toise sans lui répondre.


Bientôt Béatrice entre à son tour, vêtue d’un ensemble de lingerie blanche, le sexe libre, perchée sur ses escarpins. Je m’assieds dans un coin, en observateur. La vue de ces deux très belles femmes dénudées et prêtes à commettre des actes pervers en ma présence, et à mon initiative, agit comme un puissant aphrodisiaque. Je libère mon sexe pour me mettre à l’aise.


Je constate avec joie que Béatrice a imaginé un scénario élaboré pour cette première séance dans son rôle de dominatrice.


Louise la salue comme elle l’a fait avec moi :

-Bonjour Maîtresse, prononce-t-elle en gardant les yeux baissés.


En réponse, elle reçoit une gifle assez puissante.

-Qui t’a autorisée à m’adresser la parole pétasse ?

-Personne Maîtresse. Je vous présente mes humbles excuses. Merci de m’avoir corrigée.


Sa réponse me rappelle que Louise est une soumise déjà très bien dressée par Hervé.


-Ce n’est pas une correction petite conne ! réplique Béatrice d’un ton mauvais.

-Pardon maîtresse, souffle Louise.


Mon épouse saisit son esclave par les cheveux et la pousse dans la partie que nous dédions aux jeux sales, qui est totalement carrelée et dispose d’écoulement au sol. Elle l’allonge sur le sol.

-Ouvre grand la bouche connasse !


Louise obéit. Béatrice la chevauche en restant debout, jambes écartées. Notre soumise doit avoir une jolie vue sur l’entrecuisse de ma femme, mais bientôt ses yeux se voilent car elle reçoit en pleine figure un puissant jet d’urine brûlante. Elle a le visage détrempé en une seconde. Elle laisse échapper des onomatopées de sa bouche gargouillante. La miction dure un bon moment, Béatrice a dû se retenir depuis plusieurs heures. Les spasmes de la toux font se redresser le buste de Louise, dès lors le liquide doré asperge ses beaux cheveux longs.


Lorsque Béatrice ferme enfin les vannes, tout le haut du corps de notre soumise est imbibé de sa pisse Elle pousse des grognements qui marquent son dégoût. Même si Hervé l’a habituée à être dominée et maltraitée, je pense qu’elle n’a jamais été confrontée à un tel traitement sale. Je crains un instant qu’elle ne s’y plie pas, mais elle ne fait pas mine d’avoir l’intention d’utiliser son message de sécurité.


-Voilà ta correction morue !

-Mer … ach ach … merci maîtresse, parvient à articuler Louise entre deux toussotements.

-Tu empestes, rince-toi, lui intime sa dominatrice.

Louise prend le pommeau de la douche et se rince à grande eau, sans même attendre qu’elle soit montée en température, elle semble vouloir exécuter la demande de sa dominatrice dans les plus brefs délais, elle est bien éduquée.

Sadiquement, Béatrice tourne le mitigeur vers une chaleur maximale.

-Continue, lave-toi mieux.

Docile, Louise continue de s’asperger avec l’eau désormais brûlante. Sa peau rougit, elle souffre, mais obéit.

Son supplice est long. J’hésite à intervenir, lorsque mon épouse ferme enfin le robinet. Louise gémit.


Avant qu’elle ne se remette complètement, Béatrice lui intime un nouvel ordre :

-Viens bouffer ma chatte !

Son esclave se glisse habillement vers l’entrecuisse dénudé et plaque sa bouche sur le sexe de mon épouse. Je ne lui connaissais aucun penchant lesbien, mais elle y prend visiblement du plaisir, elle feule pendant plusieurs minutes, sa respiration s’accélère. Visiblement Louise est douée pour prodiguer des cunnilingus. Elle pousse Béatrice jusqu’à l’orgasme.

-Ah oui, tu m’as bien fait jouir petite catin ! Pour te récompenser je vais t’offrir une fessée. Si tu l’encaisses sans broncher, tu pourras te branler pour jouir.


Elle plaque Louise sur le cheval d’arçon, le cul bien haut, et commence à frapper à main nue le joli postérieur, qui rougit rapidement. Louise soupire à peine, sans doute très habituée à ce style de traitement. Béatrice adopte une nouvelle technique, elle empoigne une cravache pour martyriser les beaux lobes de sa partenaire. Rapidement, les coups se font beaucoup plus rudes et la belle gémit à chaque fois que le cuir mord sa peau délicate. Mon épouse compte vingt coups. Les larmes pointent aux yeux de sa soumise, mais elle a encaissé sans plainte réelle.

-Bon, c’est pas mal pour une première fois. Je t’autorise à te branler pendant que je compte jusqu’à cent, jouis si tu veux, mais tu devras tout interrompre quand je dirais « cent », sinon je triplerai la punition !

Visiblement ravie de l’occasion d’atteindre le plaisir – qu’elle craint d’être rare – Louise entame une frénétique masturbation.


Tandis qu’elle commence à compter, j’interviens et m’adresse à mon épouse :

-Que vient-il de se passer ? l’interroge-je d’un ton sévère.

-J’ai joué avec Louise et l’ai punie, comme vous me l’avez demandé.

-Oui, mais tu as enfreint plusieurs règles. En as-tu au moins conscience, l’as-tu fait volontairement ?

-Euh … je ne sais pas trop …, balbutie-t-elle.

-Ah bon, tu ne sais pas ? Qui t’a autorisé à uriner, même au visage de Louise ?

-Euh, personne. Pardon monsieur.

-Qui t’as autorisé à jouir sous les coups de langue de cette petite traînée ?

Béatrice blêmit. Elle a arrêté de compter et Louise en profite pour s’astiquer.

-Pardon monsieur.

-Que dois-je faire ?

-Me punir. Doublement.

-Bien, au moins tu comprends. Retire ta nuisette.


J’attache les poignets de mon épouse à des suspentes fixées au plafond. Toujours juchée sur ses chaussures à talons hauts, sa généreuse et ferme poitrine est fièrement dressée, quelle vue magnifique !


Pendant ce temps Louise poursuit sa branlette et atteint un orgasme qui la fait crier. Dès qu’elle recouvre ses esprits, elle cesse d’agiter ses doigts dans sa fente. Je réagis immédiatement :

-Qui t’a dit d’arrêter de te branler pétasse ? Béatrice n’a pas dit « cent », continue et met-y du cœur !

La jolie brune reprend son activité. Je l’observe un moment, émoustillé par ce spectacle, la bite au garde-à-vous, en voyant mes deux soumises dénudées et obéissantes.

Je décide d’employer la cravache sur les beaux seins de mon épouse. Elle n’est pas encore totalement accoutumée à ces coups, je procède donc progressivement. Elle commence par gémir, puis lance de vrais cris après les cinquièmes claques sur chaque mamelle. Je lui en inflige quinze à droite et autant à gauche. Elle finit en pleurs, mais ne demande pas l’arrêt du supplice. Je bande toujours bien dur en voyant les traces rouges laissées par le cuir sur la peau douce de sa belle poitrine.


Dans le même temps Louise continue sa masturbation. Elle a joui, au moins une fois supplémentaire, peut-être deux, pendant que je battais Béatrice, j’ai l’impression que ce spectacle la stimule.

Je l’invective pour qu’elle poursuive, frénétiquement. Elle s’exécute, mais je la vois fatiguer.


Je lui assène quelques baffes, tant pour mon plaisir que le sien. Quel bonheur de dominer de si belles et dociles femmes !


Je détache Béatrice. Voyant qu’elle a besoin de récupérer un peu, je la laisse s’assoir et retourne auprès de Louise.

-Mets-toi à quatre pattes sur le canapé. N’arrête pas de te branler la chatte.

Elle obéit et m’offre une vue magnifique sur son postérieur zébré.

-Branle-toi toujours.

Disant cela, je présente ma queue raide contre son orifice anal.

Je n’ai encore jamais trompé Béatrice depuis toutes nos années de vie commune, mais je décide que le moment est arrivé. Je déculpabilise en me rappelant qu’elle l’a accepté en signant son acte de soumission et qu’en outre elle assiste à la scène, je n’ai donc pas le sentiment de la trahir.

Je pousse et entre sans trop de difficulté dans le fondement de la jeune Louise. Elle pousse un petit cri qui tranche avec ses gémissements dus à l’action de ses doigts dans son vagin. J’enfonce mon pieu profondément en elle et la besogne à un bon rythme.

-Branle-toi plus fort salope !

Elle jouit encore. Je poursuis ma sodomie pendant de longues minutes.

Elle finit par me faire juter dans ses entrailles, après être partie d’un nouvel orgasme puissant.

Je vis une vraie délivrance en répandant ma semence dans son boyau !


Je surprends un regard de jalousie de Béatrice, mais elle ne dit mot.


Je quitte alors Louise, en lui rappelant de continuer sa branlette, tant que sa maîtresse n’a pas dit « cent ». Elle fatigue, mais je m’en fous ! Elle est là pour souffrir après tout.


Je sens que Béatrice est jalouse, mais je m’aperçois bien vite que son émotion la pousse à se montrer plus salope que sa soumise. Je la conduis dans la partie carrelée de la pièce et la fais allonger au sol. Qu’elle est belle avec ses gros seins marqués de mes coups, ses yeux bleu profond, sa longue chevelure blonde. Je l’aime. Mais je veux poursuivre les rapports de domination, qu’elle a elle-même initiés et souhaités.


Je la chevauche et m’accroupis au-dessus de son ventre. Ayant un peu débandé, je parviens facilement à ouvrir mes sphincters et à libérer l’étron qui encombre mes intestins. Un affreux serpentin marron, collant et puant, s’enroule sur le ventre ferme de mon épouse. Elle affiche une mine dégoûtée, mais ne semble pas prête à stopper la séance. J’imagine qu’elle ne veut surtout pas perdre la face vis-à-vis de sa rivale et ne pas connaître cette humiliation supplémentaire, qui serait à ses yeux bien pire que de se retrouver badigeonnée de merde ou être vigoureusement battue.


J’abuse de la situation.

-Voilà ta seconde punition. Prend cette merde dans tes mains.

Timide, elle touche la matière fécale.

-Mieux que ça, empoigne l’étron.

Elle s’en saisit, visiblement gênée, mais elle obéit docilement.

-Etale-la sur toi. Tes cuisses, ton ventre.

Elle s’exécute. Le dégoût semble faiblir un peu.

-Sens tes doigts.

Doucement, elle approche la matière ignoble de son nez et inspire. Elle semble rebutée, mais n’a pas de geste de recul. J’apprécie.

Louise profite de cet instant pour hurler un nouvel orgasme. Coïncidence ou excitation due aux jeux sales que j’impose à Béatrice ? Nous le saurons prochainement.

-Salis ta chatte avec ma merde.

Mon épouse obtempère.

-Branle-toi. Fais-toi jouir dans mes souillures.

Je suis stupéfait qu’il ne lui faille que quelques dizaines de secondes pour qu’elle soit traversée par un puissant orgasme en s’astiquant de ses doigts merdeux. Je suis ravi et elle aussi visiblement.

Lorsqu’elle est remise, je lui demande enfin :

-Compte jusqu’à cent.


Louise n’a pas le temps de jouir une nouvelle fois, mais elle a largement pris son plaisir pour aujourd’hui.


Nous terminons ainsi cette incroyable première séance à trois. J’en suis personnellement très satisfait, et j’apprendrai quelques heures plus tard que Béatrice a également été conquise par ces pratiques totalement déviantes. Quelles belles perspectives avons-nous ouvert là.


CHAPITRE 4


Quelques mois après avoir intégré la soumise Louise à nos jeux déviants, nous sommes malheureusement contraints d’espacer nos séances, car nos enfants nous donnent de plus en plus de soucis, surtout Théo, qui n’en fait qu’à sa tête et se fait renvoyer de son établissement scolaire. Même si sa sœur Mélissa obtient de très bons résultats au lycée, elle est plutôt arrogante vis-à-vis de son frère, de la nanny et même de nous, les relations familiales sont tendues.


Nous en arrivons même à proposer à Louise de cesser son contrat de soumission, car il est clair que nous la délaissons. Toutefois, cette dernière refuse et choisit de rester dans notre résidence secondaire, que nous fréquentons pourtant bien peu.


Cet état de fait dure malheureusement plusieurs années. Béatrice et moi sommes frustrés, mais nous acceptons cette épreuve avec philosophie et profitons des rares occasions de nous adonner à nos penchants pervers avec encore plus de félicité.


Finalement, la situation va se débloquer d’une manière inattendue quelques mois après que Mélissa ait fêté ses dix-huit ans.


Depuis quelques semaines la tension familiale a baissé d’un cran. Mélissa est nettement moins arrogante vis-à-vis de son frère et ce dernier semble enfin moins enclin à commettre les frasques dont il est devenu coutumier.


Ce répit nous a permis, à Béatrice et moi, de retourner prendre du plaisir dans notre résidence secondaire, pour notre plus grande joie, partagée par Louise.


Nous pensons que nos enfants gagnent enfin en maturité et espérons que la situation s’arrange durablement.


Lors d’un tête-à-tête avec Théo, je le félicite pour l’amélioration de son comportement, sa réponse me stupéfie :

-Papa, j’ai quelque chose à te demander.

-Bien-sûr, vas-y.

-Voilà, depuis quelques temps ma relation avec Mélissa a profondément changé. On se détestait il y a encore peu de temps, mais je l’ai surprise dans sa chambre un beau jour en train de mater du porno, et pas n’importe lequel, des trucs sado-maso.

Je suis ébahi. Mon fils poursuit :

-En fait j’ai compris qu’elle avait un vrai tempérament de soumise masochiste et cela m’a fait de l’effet. J’ai décidé de lui proposer de devenir son maître. Au début elle s’est foutue de moi, comme elle le fait si bien. Mais elle a rapidement changé d’avis et est revenue vers moi en me demandant très clairement de devenir ma soumise, mon esclave sexuelle. Je me suis formé, en consultant des sites Internet spécialisés et me suis entraîné à manier divers instruments de douleur. Assez vite nous avons commencé nos jeux, plutôt violents. En plus des coups et des sévices, Mélissa m’a aussi demandé de la baiser. Je l’ai même dépucelée et je l’ai vite prise par tous ses trous.


Je suis totalement décontenancé par cette révélation, mais Théo poursuit encore :

-Un peu par hasard, j’ai compris que toi aussi tu jouais un rôle de dominateur sexuel avec maman.

-Comment as-tu appris cela ?

-Je trouvais assez bizarre vos absences ponctuelles, avec des prétextes étranges. Je vous ai discrètement suivi dans une maison à la campagne où j’ai pu entrer sans me faire remarquer et j’ai vu vos manèges, avec une autre fille en plus !

-Comment as-tu osé ?

-Tu sais bien que je ne suis pas le fils sage dont maman et toi rêviez.

-A qui as-tu parlé de ça ?

-A personne … Sauf à Mélissa. Et elle s’est montrée très intéressée. En fait, elle voudrait participer avec vous, devenir la soumise de toute la famille. Rien que de m’en parler elle trempait sa culotte et m’a demandé de la baiser comme un sauvage, elle a joui furieusement ce jour-là, je suis sûr qu’elle se projetait dans une partie de baise avec ses parents.

-Comment est-ce possible ?

-Comme je te le dis, elle adore être soumise sexuellement, ça la change de sa vie habituelle ! Je crois qu’elle fantasme vraiment sur le fait de pouvoir s’adonner à ses plaisirs avec toute la famille et même votre copine.


Je prends un peu de temps pour digérer la nouvelle et je parle évidemment à Béatrice des révélations de notre fils. Elle semble un peu étonnée, mais sans doute moins que moi.

-Parlons de la situation en direct avec Mélissa. Nous jugerons par nous-même, conclue-t-elle, toujours rationnelle.

Je lis dans ses beaux yeux bleus que l’idée d’avoir des relations sexuelles avec nos deux enfants, devenus majeurs, la titille.


Dès le lendemain nous nous entretenons avec notre fille, de manière très franche. J’ai du mal à évoquer le sujet frontalement avec elle, aussi sa maman, comme souvent, prend les choses en main. Mélissa rougit à peine lorsque Béatrice lui rapporte les propos que son frère a eu sur elle. Elle ne nie rien, bien au contraire :

-Oui, Théo a dit vrai. Depuis quelques temps je ressens de fortes pulsions dans mon ventre, elles me poussent irrésistiblement à me faire brutaliser pour quérir le plaisir dont j’ai besoin pour me sentir bien. Quand il m’a appris que vous aviez des rapports de domination, j’ai tout de suite été émoustillée et eu envie de participer, d’être votre soumise, votre objet à tous les trois, et même à la fille que vous avez apparemment intégrée à vos jeux. C’est Théo qui a proposé de vous en parler.


En poursuivant la conversation avec Mélissa nous comprenons qu’elle a un vrai désir de prendre du plaisir en se soumettant et en souffrant, ses envies semblent bien plus profondes qu’une simple passade de jeunesse et il apparaît que Théo l’a déjà conduite à des pratiques très poussées. Béatrice et moi décidons de tenter l’expérience folle d’inclure nos deux enfants dans nos jeux pervers. En ce sens, comme pour Béatrice et Louise, je fais signer un contrat de soumission à Mélissa. Comme elle le désire, ce contrat prévoit qu’elle devient l’esclave sexuelle de tous les occupants de notre maison secondaire, y compris de notre esclave Louise. Elle a évidemment la possibilité de mettre un terme à son statut à tout moment, sans conséquence sur les relations familiales.


Après cet entretien, Béatrice me confie qu’elle se sent également prête à intégrer notre fils Théo à nos ébats débridés. Elle adore être ma soumise, mais a également envie de s’adonner à un nouveau vice en ayant des relations sexuelles avec son fils, tout en se soumettant à un nouveau dominateur.


Nous informons Théo et Louise de cette incroyable nouvelle et programmons une première séance pour le lendemain. Je me suis concerté avec Théo sur les grandes lignes du programme que nous allons proposer aux trois femmes.


En entrant dans notre pièce des plaisirs, j’ai le souffle un peu coupé en découvrant les trois filles en tenue très sexy. Elles sont perchées sur des chaussures à hauts talons et à peine couvertes de nuisettes transparentes, sans rien dessous. Bien-sûr je connais par cœur le corps de mon épouse, ainsi que celui de Louise, mais je découvre les formes de ma fille. Elle est plus petite et menue que sa maman, ses seins et ses fesses sont bien fermes, un peu moins proéminents que ceux de Béatrice, mais plus généreux que ceux de Louise, je les trouve particulièrement excitants. Je constate que Théo est ravi de découvrir le corps maternel et celui, non moins appétissant, de la jeune Louise. J’imagine l’excitation perverse qu’il doit ressentir en matant sa propre mère, quasiment nue, offerte à ses vices. Cette sensation de briser un tabou m’envahit et m’excite également lorsque je palpe les fesses douces et les seins fermes de ma fille. Que faisons-nous ? me questionne-je un instant, sommes-nous devenus fous ? Nous prenons du plaisir, entre adultes consentants, chacun garde la possibilité de stopper nos actes s’il le souhaite, sans contrainte ni représailles. Où est le mal ? Nulle part. Continuons !


Passé le premier temps de découverte, je demande à Béatrice de maltraiter notre fille, pendant que Louise, Théo et moi jouons les voyeurs.


Habilement mon épouse attache Mélissa en exposant ses parties intimes. Elle porte quelques coups à main nue sur les fesses et la poitrine de son enfant, mais elle constate rapidement, non sans satisfaction, que sa progéniture reste frustrée par ses claques qu’elle doit juger trop molles, aussi se munit-elle bientôt d’une cravache qui lui donne davantage de force pour porter des coups plus douloureux, qui font rapidement rougir la peau claire et pousser des gémissements qui expriment autant la douleur que le plaisir de notre fille.


Cette scène nous excite et je demande à Louise de branler le sexe de Théo et le mien, et d’alterner entre nous pour des caresses buccales. Bientôt Théo force la bouche de Louise et se fait juter en elle. Docile elle avale le tout et continue son action comme si de rien n’était car personne ne lui a demandé d’arrêter.


Les lobes fessiers et les beaux seins de Mélissa sont bientôt cramoisis. Béatrice glisse un doigt dans l’entrecuisses de notre fille, elle me le présente, je suis ravi de le découvrir humide. Elle est bien excitée.


Je propose alors à Théo de baiser sa sœur, ils ont l’habitude, mais le faire devant leurs parents va sans doute provoquer un surcroit d’excitation. Il la laisse ficelée et présente son dard raide dans sur sa fente en la pénétrant d’une traite. Elle gémit un peu, mais semble apprécier le traitement, elle quémande :

-Oui c’est bon, … plus fort … frappe-moi en même temps.

Théo répond à ses demandes. Il la frappe tout en la besognant vigoureusement, la gifle, tire ses cheveux, claque ses seins déjà rouges. Je laisse faire un moment, je bande comme un âne devant cet incroyable spectacle de voir ma fille se faire baiser et maltraiter par son frère, tout en étant moi-même branlé par notre soumise, avec mon épouse quasi nue à nos côtés !

Je finis toutefois par intervenir :

-Depuis quand une soumise demande des choses ?

Instinctivement Théo arrête de frapper sa sœur, mais il continue à pistonner son sexe trempé.

Je poursuis :

-Punis cette petite mal-élevée.

Avant qu’il ne jouisse, Théo interrompt sa pénétration et équipe les tétons de Mélissa de pinces métalliques très mordantes. Elle ne peut retenir un cri de douleur, nous sentons qu’elle souffre, mais elle n’emploie pas le code de sécurité, elle encaisse.

-C’est bien Théo. Maintenant tu peux reprendre là où tu en étais … Ou bien tu pourrais lui fourrer le cul.

Notre fils approuve mon idée et place son membre dur sur la rondelle de sa petite sœur, cette dernière résiste un peu, mais l’intrus force et écartèle l’anneau qui cède en faisant geindre sa jolie propriétaire. Il la bourre sans ménagement, tout en titillant vicieusement les pinces qui blessent les tétons.

Béatrice fait de gros efforts pour ne pas se toucher, je le vois à son regard pétillant, suppliant, mais je ne l’autorise pas.

La fellation en gorge profonde dont m’a gratifié Louise me fait un bel effet. Je choisis de ne pas perdre mon foutre dans sa gorge et vais l’offrir à ma fille, qui gémit toujours de douleur et de bonheur sous les assauts fraternels. Elle accueille ma semence avec une belle gourmandise et jouit bruyamment des attentions que nous lui portons.



CHAPITRE 5


Quelques semaines à peine après notre première séance de domination à cinq, nos vies ont considérablement évolué. Désormais nous vivons en continu dans notre maison de plaisir, dans la luxure et les vices les plus abjects et les plus délicieux.


Théo et moi dominons régulièrement Béatrice en satisfaisant de notre mieux ses penchants de masochiste soumise. Elle prend un plaisir particulier à être baisée et violentée par notre fils et moi.


Dans le même temps Béatrice, Théo et moi, profitons quotidiennement des charmes de Louise, en la baisant, la soumettant et la maltraitant sauvagement. Elle n’a pas de lien de sang avec les autres membres de la famille, mais elle fait pleinement partie de notre groupe de débauche et personne ne remet en question sa présence si agréable à tous.


Bien-sûr, Mélissa est la soumise de toute la maisonnée. Elle est totalement dédiée aux envies de son frère Théo et aux miennes, tandis que nous l’offrons régulièrement à sa maman et à notre amie Louise, qui ne se privent pas de ces occasions pour laisser libre cours à leur côté sadique, éduqué par les pratiques que nous leur infligeons régulièrement.


Entre autres pratiques dégradantes, notre fille bien-aimée, joue désormais le rôle de chiottes pour tous les occupants de notre maison de la décadence et du stupre. Chacun fait ses besoins dans sa bouche. Lorsqu’elle régurgite trop le contenu infâme de nos vessies et de nos intestins gras, nous nous vidangeons sur son corps et notamment sur ses parties intimes. Mélissa tire une véritable jouissance de nos actes pervers et dégoûtants. Ce vice prend même petit à petit le dessus sur ses envies masochistes, même si la douleur accentue toujours sa jouissance.


Ce matin, je me lève le premier. Je me rends dans la chambre des filles où elles dorment toutes les trois sur des nattes peu confortables. Je sens ma vessie et mes intestins bien pleins. Je me positionne au-dessus de ma fille profondément endormie et sans hésitations je libère un étron massif et un peu mou qui tombe sur le corps dénudé, en plein sur la poitrine découverte. A peine surprise, Mélissa s’éveille. Elle me sourit. Connaissant son rôle de chiotte, elle saisit la merde puante et la porte à sa bouche, elle mâche à peine, déglutit et recommence son ignoble geste. En quelques bouchées elle a ingurgité la totalité de mon présent. De ses doigts elle racle au mieux les traces merdeuses qui colorent sa poitrine, puis elle lèche ses doigts en bavant pour les nettoyer. Elle recommence l’opération jusqu’à ce que sa peau ne porte plus de traces marrons. Je profite de ce moment pour l’arroser de mon urine chaude. Je trempe son corps en un instant et finis ma miction dans sa bouche assoiffée. Quel bonheur.


Bientôt Théo m’imite. Sa sœur gobe toutes les immondices qu’il exsude.


Les deux autres occupantes de la chambre ont bien-sûr été réveillées par nos actes de débauche, l’odeur de la pièce est devenue suffocante. Nous continuons en demandant à Louise de se vider sur Mélissa. Cette fois s’en est trop pour ma fille. Plus que repue, avant même d’avoir goûté aux fèces de Louise, Mélissa vomit bruyamment, répandant l’infâme contenu de son estomac sur son torse. Elle se ressaisit rapidement et commence à bouffer le caca gras de la jeune femme, jusqu’à avoir dévoré l’étron. Alors, notre fille commence à diriger les miasmes régurgités qui polluent sa poitrine vers sa bouche toujours gourmande.


Enfin, Théo invite sa mère à se vidanger sur Mélissa, qui accepte cette nouvelle offrande sans sourciller, mais qui l’oblige à vomir quelques instants plus tard.


Compréhensif vis-à-vis de ma fille, je demande à Louise de prendre à son tour une partie des saletés dans sa bouche, elle avale docilement. Pour la récompenser je lui offre une jouissance en la faisant enculer par Théo. Dans le même tant j’offre le même cadeau à ma fille, qui profite en plus d’un cunnilingus maternel. Elle jouit frénétiquement, docilement, conformément à son rôle de soumise qu’elle a désormais totalement intégré et qu’elle apprécie au plus haut point.


Je sors ensuite quelques heures, faire des courses et prendre l’air. Puis je reviens à la maison pour continuer à prendre, et à donner, du plaisir à ses occupantes enthousiastes.


Je baise ma femme sans préliminaire, vigoureusement, tout en la brutalisant. Je pénètre alternativement tous ses trous, sous l’œil excité de notre fille. Je ne l’autorise pas à se branler, mais elle finit – comme très souvent – par enfreindre la règle, tant pour se donner le plaisir dont elle a besoin, que pour mériter la punition que je ne saurais manquer de lui infliger par la suite.


Après avoir fait jouir mon épouse, je punis en effet notre fille pour sa désobéissance caractérisée, même si elle me semble tout à fait compréhensible. Pour accentuer mon plaisir de dominateur sadique, je l’entraîne dans une joute verbale, prélude aux coups :

-As-tu quelque chose à m’avouer ?

-Oui, j’ai fauté.

-Comment cela ?

-Je me suis donné du plaisir sans votre permission. Je dois être punie.

-Quand est-ce que tu été punie pour le même motif la dernière fois ?

-Euh … Hier, je crois, souffle-t-elle.

-Oui hier. Et tu recommences dès aujourd’hui ?

-Oui, pardon.

-Quelle a été ta punition hier ?

-J’ai été piquée par quatre aiguilles qui ont transpercé mes mamelons et quatre autres dans mes grandes lèvres intimes.

-Comme tu récidives dans les vingt-quatre heures, que dois-je faire de toi ?

-Augmenter ma punition, répond-elle sans hésitation, d’une voix plus assurée que craintive.

-Ce sera donc cinquante coups de cravache aujourd’hui ! Va chercher la cravache.

-Merci.

Un instant après, Mélissa me présente la cravache avec laquelle je vais marquer sa peau douce. Son regard pétille, je sais qu’elle est excitée à l’idée d’être encore battue. D’elle-même elle se place au niveau des anneaux positionnés au sol et au plafond, où elle sait qu’elle va être attachée. Louise étant occupée à être brutalisée par Théo, je demande à Béatrice de ligoter notre fille, bras en l’air, pieds chaussés de hauts talons fixés au sol, le compas des jambes largement ouvert. Hormis ses souliers elle ne porte rien.


Sadiquement je titille sa peau douce du cuir de la cravache. Mélissa attend les coups, bien-sûr un peu inquiète, mais surtout très excitée. Je remarque – comme bien souvent – des gouttelettes qui ruissellent à l’intérieur de ses cuisses bronzées. Je la frappe enfin, d’abord le fessier, dix coups bien portés, puis dix autres coups sur chaque sein. Son postérieur et sa belle poitrine sont zébrés de rouge. Mélissa soupire, elle a mal, mais elle n’utilise pas le code, elle se contente de compter les coups, comme je lui ai demandé. J’astique ensuite son pubis glabre de cinq coups qui la font crier bien fort, puis gratifie son dos de dix coups supplémentaires. Je garde les cinq dernières cinglures pour sa fente trempée et encore sensible de la punition aux aiguilles de la veille. Je suis ravi de provoquer la jouissance de ma fille lors de ces derniers sévices.


Sa mère regarde la scène, les yeux exorbités d’envie, tant de se toucher, ce qu’elle se retient de faire, que de se trouver à la place de sa fille. Clément, je me dirige vers elle, introduis mon sexe dur dans sa bouche habile, y fais quelques va-et-vient, puis la positionne pour une sodomie énergique durant laquelle je nous fais atteindre un orgasme puissant et synchronisé, qui coïncide avec des cris de jouissance de Louise et Théo à quelques mètres de nous.