Depuis une semaine que Max et moi avions fait les fous, et que je m’étais donné à lui, son comportement n'était plus le même. Il n' avait pas changé, c'était toujours mon copain, mon meilleur copain, bien sûr, même plus maintenant, mais avec un je ne sais quoi de différent. On aurait dit qu'en toute occasion, il essayait de me faire plaisir, et même, quand je lui adressais la parole, c'est à dire souvent, il rougissait ou bien il détournait les yeux. Bref, il se dégageait de lui une sensation de gêne. Alors pour mettre un terme à cette situation embarrassante, pour lui comme pour moi, il fallait que je lui parle.
Et j'étais décidé à le faire, aujourd’hui, sur le chemin de l'étang, pendant que nous étions sur nos vélos; Il était légèrement devant moi, j'ai donné un coup de pédale pour me mettre à sa hauteur.
- Dis moi, Max, je peux te parler ?
- Bien sûr Matthieu.
Il a souri, mais je l'ai senti quand même sur ses gardes.
- ben voilà, depuis l'autre jour, j'ai l'impression que tu me regardes différemment, que tu te sens gêné envers moi, bref que tu n'es plus tout à fait le même, et puis, de ce qu'on a fait, tu ne m'en a pas reparlé. Tu m'en veux ?
Il m'a regardé, l'air surpris.
- Non, non, Matthieu ! Ne crois pas ça, je ne t'en veux pas, bien au contraire, simplement, je me sens gêné vis a vis de toi, tu vois, je ne sais pas comment te le dire, mais j'ai l'impression d'avoir abusé de toi, un peu comme si je t'avais violé, en quelque sorte ...
- Mais tu es fou, Max, C'est moi, qui t'ai amené à faire ce qu'on a fait, je l'ai provoqué, alors si un de nous deux devrait être gêné, c'est moi, toi, tu n'as fait que me suivre, en fait ! Finalement, je crois que je ne te l'ai pas fait assez savoir, que j'avais envie que tu me baises, j'aurais du !
iI a donné un coup de frein qui faillit nous déséquilibrer tous les deux;
- Alors tu ne m'en veux pas ?
- Bien sûr que non que je ne t'en veux pas ! Et même, et même, si tu veux savoir, je suis tout à fait prêt à recommencer !
- Tu es sérieux, là ?
- Bien sûr ! Bon, après, toi je ne sais pas ...
Son visage s'est illuminé
- Mais moi aussi, je suis prêt à recommencer ! Matthieu ! Et quand tu veux !
Les paroles que j'attendais ! Il suffisait de se parler, en fait. J'ai donné un bon coup de pédale pour le distancer ...
- Alors pédale, Max, si tu veux voir mon cul !
Il ne s'est pas fait prié et quelques minutes plus tard, nous posions nos vélos pour courir, main dans la main, vers notre abri secret ; Il a passé ses bras autour de mon cou.
- Putain si tu savais ce que je suis heureux ! Tu sais que je me suis branlé en pensant à toi et que je n'osais pas t'en parler ...
J'ai glissé ma main dans son bermuda pour attraper sa queue qui commençait à se raidir ...
- Tu l'as branlée, celle là, pour moi ...
- Oui ... Elle te plaît ?
- Bien sûr, ça te dirait de me la donner, là maintenant ...J'en ai envie Max !
Il a retiré son bermuda et son slip, qu'il a fait valser, découvrant sa queue bien dressée.
- Matthieu, tu sais quoi ? j'ai envie de faire de toi mon esclave sexuel ...
- Ouais, ça me plairait bien ! Alors, demandes moi ce que tu veux, maître, je le ferai ..
On éclaté de rire en même temps
- Alors, mets toi à poil, esclave, et donne moi ton petit cul.
- Oui maître ...
A mon tour, j'ai balancé mon bermuda et je me suis allongé sur notre paillasse improvisée, faite de branches et d'herbe, et j'ai relevé les fesses en les écartant pour lui présenter mon cul.
- Quel merveilleux spectacle, laisse moi l'embrasser !
- Oui maître ...
Il m' a embrassé anus, l'a pénétré avec sa langue, l'a léché, c'était si bon que j'en ai ressenti des picotements jusque dans mes couilles ! Et puis, après avoir salivé sa queue, il m'a pénétré, doucement, par petits coups ; j'ai serré les poings, j'ai mordu mes lèvres, la douleur était aussi vive que la première fois, mais j'étais aux anges !
- Vas y maître, encules moi bien, ! Tu sais que j'aime ça ! Oui vas y !
- J'espère qu'il y aura un peu de merde dessus, comme l'autre jour ! Cela me plairait bien !
Décidément, même s'il ne le dit pas, je suis sûr qu'il aimerait que je chie, mon maître, mais pour ça, il faudra qu'il me le demande.
- Moi aussi, maître !
- Tu sais, je regrette de ne pas en avoir une plus grosse, pour que tu prennes bien ton pied !
- Eh ben, moi je trouve que c'est déjà pas si mal ! Oh c'est bon, oui, continue ! défonce moi le cul, maître !
Alors, il s'est déchaîné, m'a ramoné de toute son énergie et puis il a joui en moi. Pas de trace de merde sur sa queue, mais quelques gouttes de sperme que j'ai léchées avec gourmandise. Et puis, il a a voulu me sucer, pendant que j'explorais son cul avec mon index et puis j'ai déchargé dans sa bouche. Il a eu un haut le cœur et a tout recraché.
- Je suis désolé, Matthieu, mais je n'y arrive pas, peut être qu'à longue ...
- Cela n'a aucune importance, maître, le principal, c'est de trouver notre bonheur ! On va se baigner ?
- A poil ?
- Bien sûr, allez viens !
Nous nous sommes baigné, en jouant comme les gosses que nous sommes toujours, malgré notre attirance pour des amusements qui ne sont pas précisément des jeux d'enfants. Plus tard, après s'être séchés au soleil, tout en renfilant nos bermuda, je regardais notre abri.
- Tu sais, Maxime, elle n'est pas mal notre cabane, mais elle manque un peu de confort, il faudrait y mettre de la paille ...
- C' est vrai, eh bien on a qu'à aller en demander un ballot au père François, il refusera pas de nous en vendre un ! M'a t-il répondu.
- Ouais, c'est une chouette idée, alors on y passe en repartant, c'est sur la route !
Et un quart d'heure plus tard, nous sonnions à la porte de l'exploitation du père François.
Le père François, c'est le type même du brave paysan. Taille moyenne, gros, ou plutôt bedonnant, une petite moustache mal taillée sous le nez, il porte quasiment en permanence un pantalon de velours marron à grosses côtes maintenu à la taille par une grosse ficelle, une chemise à carreaux et un chapeau de paille complètement usé. Et il a quelque chose en lui qui inspire la sympathie.
- Et quoique c'est y qu'vous allez en faire, de s'ballot, un feu de joie ?
- Oh non, m'sieur s'est empressé de répondre Maxime, c'est pour aménager notre cabane.
Il a soulevé son chapeau et s'est gratté la tête
- Bon, si c'est pour ça, alors d'accord ! je vous en fais cadeau, et même je vous l’amènerai, mes drôles , vous me plaisez bien !
- Vous êtes gentil, m'sieur, c'est à l'étang de mon oncle, aux Muguettes, au bout du chemin...
- Oui, je vois où, sur la route de mon champ, je passerai demain ou après demain, dans l'après midi, avec le tracteur, je klaxonnerai.
***
Les vacances, c'est le vrai bonheur pour nous deux. Nous passons quasiment tous nos après midi à l'étang, sauf le dimanche, pour se baigner, nus ou en slip bien souvent, pour pêcher, lire ou y faire des combats de catch, pour rire, ou nous profitons de nos luttes éperdues pour nous autoriser quelques caresses tout à fait intimes sur nos corps nus, qui se terminent bien souvent par une bandaison accompagnée d'un fou rire, ou comme maintenant, un baiser d'amoureux bien appuyé pendant que mon maître me malaxe les fesses tout en glissant un doigt dans la raie du cul, et j'adore ça, qu il me tripote les fesses.
- Vin diou ! c'est bien la première fois que je vois deux garnements se bécoter avec autant d'ardeur, et à poil, encore !
Misère, c'est le père François qui amène son ballot, et on avait pas fermé l'entrée ! Et tout occupés à nos caresses, on a même pas entendu son tracteur. On se précipite sur nos bermudas.
- Vous m'excuserez, les jeunots, mais c'était ouvert, j'ai cru que c'était pour moi, c'est pour ça que j'ai pas klaxonné ... mais vous en faites pas, j'en ai vu d'autres, et des moins agréables que vous, mes mignons ! Et rassurez vous, motus et bouche cousue, le père François, aussi muet qu'une tombe ! Alors, j'en fais quoi, de mon ballot ?
- Bah, laissez le là, m'sieur ! A dit Maxime en se rhabillant, on s'en occupera.
- Comme vous voulez ! Mais permettez moi de vous donner un conseil, si c'est pour vous faire une couche, comme je le crois - il y va de son clin d’œil - ne tassez pas la paille, laissez la prendre la forme de vos corps, ce sera beaucoup plus confortable.
- Merci beaucoup, m'sieur on fera comme vous dites ...
Et puis, au lieu de s'en aller, il reste planté là, à nous regarder en se caressant le menton.
- Dites donc, les jeunots, d'après ce que j'ai vu en arrivant - excusez moi encore - vous ne devez pas faire que vous bécoter, hein ? Vous devez y aller aussi de la rondelle, non ? Alors, d'accord, vous avez de jolies quéquettes, mais vous ne connaîtrez vraiment l'extase qu'avec la bite du père François, il y a quelques filles de la région, des garçons aussi, qui pourraient vous le dire, parole !
Avec Maxime, on se regarde complètement éberlués.
- Ça vous étonne ? Eh ben, pour vot' gouverne, sachez qu'à une certaine époque, m'est arrivé de fricoter avec des jeunes, p'têt un peu plus âgés que vous, mais tout aussi désirables, et qu' l'envie de baiser, chez moi, elle est toujours là ! Eh oui mes p'tits loups, j'ai soixante cinq balais, mais je bande encore comme un âne ! D'ailleurs, de vous voir tout nus, la quéquette à l'air, je sens qu'elle vient, la bandaison, alors, si vous voulez vous faire une idée, je peux vous la montrer, la bête, et je vous assure que vous ne serez pas déçus !
Moi, je suis tellement sous le coup de la surprise que je ne trouve rien à répondre. C'est Maxime qui le fait :
- Vous êtes sérieux ou vous nous faites marcher ?
- Comment si je suis sérieux ! mais bien sûr que je suis sérieux ! Manquerait plus que ça ! Alors, je vous la montre ?
Max me regarde, je hausse imperceptiblement les épaules, je ne sais pas ... alors, il décide, puisqu'il est le maître.
- D'accord !
Il est content, le père François, il dénoue la ficelle qui lui tient lieu de ceinture, baisse son pantalon et son caleçon, et là, on reste bouche bée. Puis un mot, un seul, plutôt une exclamation, sort de nos gosiers.
- Waouh !
Il ne nous a pas menti ! Il est énorme, son sexe ! On dirait un concombre ! Bon, pas un énorme bien sûr, un petit, mais quand même ! Je savais pas que ça pouvait exister, un truc pareil.
Visiblement il est fier de nous la montrer, sa bite, il jubile, la prend dans la main pour la caresser, la fait se balancer en remuant le bassin. Et nous on regarde, sans rien dire, n'arrivant pas à détacher nos regard de sa bête, comme il dit.
- Alors, convaincus ? Et ça vous donne pas envie d'y faire une gâterie, à ma valeureuse ?
Mais devant nos mines ahuries et peu enthousiastes, il se résout à la remballer.
- Bon, d'accord, nous fait il en se rhabillant, mais si un jour vous vous laissez tenter, n'hésitez pas, le père François répond toujours présent, et vous savez où me trouver. Bon ce coup ci, il faut que j'y aille. Salut la jeunesse, et, il a ajouté en riant, bonne baise !
On est restés comme deux ronds de flan.
- Tu te rends compte, m'a dit Maxime, dès que le père François se fut éloigné, une bite pareille, on ne peut pas y croire !
J'ai souri.
- Ben dis donc toi qui trouvais dommage de ne pas en avoir une plus grosse ! T'en auras jamais une comme ça ! Ça fait rêver !
- Eh ben j'aime autant, figure toi, grosse comme ça, c'est un handicap ! Tu te vois avec cette monstruosité dans ton mignon petit cul ?
Il serait pas un peu jaloux Maxime ?
- Tu sais, Max, c'est très élastique, un cul ...
- Peut être ! Ouais, mais en attendant, aide moi à étaler la paille, et tu as entendu, on ne tasse pas ! A t-il ajouté avec, quand même, un petit sourire.
Quelques jours sont passés depuis la venue du père François, et la chaleur estivale a quelque peu réfréné nos élans amoureux au bord de l'eau. Pourtant, je n'arrive pas à me débarrasser de la vision du vieux paysan et de sa bite phénoménale. Et au fond de moi, j'avoue que je suis tenté, même si je suis encore un peu jeune ! Alors, je m'en ouvre à mon maître.
Pas, très chaud, Maxime, c'est le moins que l'on puisse dire, alors, j'insiste.
- Tu te rends compte, on aura plus jamais une occasion pareille, et puis nous sommes deux, jeunes et beaux, on peut s'amuser avec lui, il ne pourra rien nous refuser !
- S'amuser comment ?
- Je ne sais pas, on improvisera ...
Il a fini par accepter.
- Bon d'accord, on ira le voir demain, on verra bien !
Et le lendemain, vers quatre heures, on sonnait une nouvelle fois à la porte du père François.
- Entrez, c'est ouvert, fit une voix lointaine.
On est entré dans ce qui semblait être une salle à manger, et au bout d'un moment, une porte s'est ouverte sur le propriétaire des lieux.
- Ah c'est vous ? a-t-il dit en se grattant la tête, ben vous me prenez un peu au dépourvu, mes p'tits loups ! vous auriez du prévenir !
C'est à ce moment que la porte de la pièce d'où il était sorti, s'est ouverte à nouveau sur une fille occupée à rajuster la ceinture de sa jupe.
Laura ! Une fille du collège !
Elle a eu un mouvement de recul en nous voyant, mais s'est vite ressaisie.
- Tiens ! Les Mat Max ! Qu'est-ce que vous faites ici ?
- Ben et toi ?
- Vous êtes bien curieux ! Nous à t-elle répondu en se tournant vers le père François, de plus en plus gêné, pour lui lancer un " à bientôt Papa ! "
Laura, c'est elle qui est à l'origine de notre surnom ! C'est une grande, elle a quatorze ans, jolie, avec de belles rondeurs, les cheveux roux tombant sur ses épaules, tous les garçons lui courent après, et apparemment, pas seulement les jeunes !
Je me suis tourné vers le "Papa "
- Papa ? C'est pas votre fille, quand même ?
- Non, bien sûr, faites pas attention, elle est très taquine, ceci dit, entre nous, elle baise bien, malgré son âge !
Avec Max, on s'est regardé, complètement abasourdis.
- Bon, ben on va vous laisser, alors, a dit Max.
- Mais attendez, partez pas comme ça ! vous prendrez bien un coup de gnôle ! On ne va pas se quitter sur un malentendu, vous reviendrez demain ...
- Non, je ne crois pas, a ronchonné Maxime, par contre si vous voulez nous voir, vous savez où nous trouver, on y est tous les après midi, et puis encore merci pour la paille !
Sur le retour, il ne décolère pas, Max !
- Tu te rends compte, Laura, la salope ! Et si ça se trouve, le vieux, il se tape toutes les filles du collège, non mais j'y crois pas !
- Et peut être même les garçons ! ai-je ajouté, histoire d'en remettre une couche. En tous cas, j’espère bien qu'i viendra nous voir à l'étang !
- Oui, ben moi, je ne suis plus très chaud, a marmonné mon maître.
- Pourquoi, parce qu'il a une grosse bite et qu'il se tape sans doute quelques filles ?
- Peut être !
J'ai haussé les épaules.
- C'est même pas sûr, en fait, et rien ne dit qu'elle était là pour baiser, Laura ! Sinon, si je te fais un plan un peu spécial, tu dis quoi ?
Du coup, intéressé, il en oublie sa mauvaise humeur et m'adresse un sourire.
- Ah ouais, lequel ?
Bon, je suis à peu près sûr qu'il va me demander de faire caca, mais je ne vais pas l'influencer ....
- C'est toi qui décide, maître ...
- D'accord, on verra demain, esclave !
Et nous sommes repartis sur un énorme éclat de rire.
Et cet après midi, en arrivant à l'étang, une surprise de taille nous y attendait, qui nous fit froncer les sourcils : Laura !
- Ben qu'est ce que tu fais là ? Et d'abord, comment tu sais, pour ici ?
- Le père François, tiens ! Il m'a dit que vous vous baigniez dans un étang et que vous étiez des garçons bien ... Alors je me suis dit que peut être, par cette chaleur, une petite baignade ...
Elle manque pas d'air, elle ! Je me suis tourné vers Max.
- Muet comme une tombe, tu parles, je le retiens, le père François !
- Et tu as l'intention de te baigner avec nous ? Lui a demandé Max.
- Ben si c'est pas interdit ...
- C'est pas interdit, c'est privé, c'est pas pareil !
Maxime s'est tourné vers moi pour m'interroger du regard, je lui ai fait un signe qui voulait dire" bof je sais pas " alors il a expliqué à Laura.
- Bon, si tu veux te baigner avec nous, d'accord, mais je te préviens, nous on se baigne nus ...
- Nus ?
- Oui, nus ! Ou à poil, si tu préfères !
- Ah mais ça ne me dérange pas, a fait Laura, et de toute façon, je n'ai pas de maillot de bain, et puis je trouve que quand il fait chaud, c'est mieux ...
On l'a regardé, un peu surpris qu'elle soit aussi conciliante.
- Bon alors viens, passe devant, lui a dit Max, en prenant le temps de me glisser à l'oreille.
- Tu vois que c'est une vraie salope !
- Oui, mais avoue que cela ne te déplaît pas, et j'ai ajouté en riant, je ne suis pas jaloux, maître.
Nous nous sommes dévêtu, ensemble, mais la plus gênée n'était pas Laura, moi, c'était la première fois que je me mettais nu devant une fille, Maxime aussi ! Et tout comme moi, il a eu un début d'érection quand elle a baissé sa culotte, une petite blanche à fleurs multicolores, pour découvrir sa petite toison déjà bien fournie.
Nous nous sommes baignés, à trois, nus, une grande première. Et très vite, dans l'eau, la baignade s'est transformée en partie de touche touche, comme on le fait quelquefois avec Max, quand on a envie de se faire plaisir, mais sauf que là, il y a une fille en plus. Et ça change tout ! c'est peut être une salope, Laura, mais elle se laisse toucher les seins ... et pas seulement les seins ! Et cela ne la gêne pas trop de tâter du côté de nos sexes. Et puis, après la baignade, comme d'habitude, nous nous sommes séchés au soleil, côte à côte, et là encore, très vite, nous nous sommes retrouvés mélangés. mais sans les caresses que Laura semblait attendre. Elle s'est tournée vers moi, puis vers Maxime.
- Eh ben, ça n'a pas l'air de vous faire trop d'effet d'être couchés avec une fille nue ...
- Ben nous, on préfère être entre garçons, a dit Maxime !
Laura a éclaté de rire.
- Non, sérieux ? vous êtes homos ? Bon, je m'en doutais un peu, d'ailleurs le père François me l'avait laissé entendre ... Remarquez, moi, ça ne me dérange pas ! Après, si vous êtes tentés par une expérience avec une fille, côté pile, j'ai rien contre non plus ... de toutes façon, il n'y a pas d'autre alternative, je n'ai pas de capote ...
Une nouvelle fois, avec Maxime, on s'est regardé. Cette fois, c'est moi qui ai répondu.
- Moi, je n'ai rien contre ...
Elle a fait la moue
- Tu es gentil, Matthieu, mais tu es un peu jeune pour baiser ... Par contre, si tu veux, je peux te faire une pipe ...
Du coup, Maxime a accepté la proposition de Laura .
- Et moi je veux bien aussi ...
- Alors je t'attends, mais enduis bien ta queue de salive, a t elle dit en se mettant à quatre pattes et en écartant les fesses, pendant que Maxime se mettait à genoux derrière elle pour la pénétrer.
- Viens près de moi, Matthieu, que je te fasse une belle pipe.
Elle m'a sucé, en connaisseuse, pendant que Maxime lui ramonait le cul, séance à trois que je n'aurais jamais imaginé connaître, et que je ne suis pas près d'oublier, et puis on a joui, pour finalement s'abandonner pêle-mêle sur l'herbe pour reprendre nos esprits. C'est Laura qui qui a bougé la première.
- Et pour faire pipi, c'est où ? A t-elle demandé.
Je lui ai répondu
- C'est où tu veux, en fait.
Alors sans gêne, elle est allée s'accroupir un peu plus loin pour pisser, en nous regardant avec un sourire satisfait.
- Ça vous plaît ? C' est vrai que vous ne devez pas en voir souvent, des filles faire pipi, je suis sûre que c'est la première fois ?
On était tellement captivés par le spectacle qu'elle nous offrait que moi j'ai oublié de lui répondre. Mais c'est Max qui a eu le bon réflexe.
- Tu peux faire caca aussi, si tu veux, nous on a rien contre, au contraire ...
- Désolée, j'ai pas envie ! Pourquoi, vous aimez ça aussi ?
- Bien sûr ! A répondu Max, c'est même un passage obligé si tu veux faire partie de notre bande !
Elle s'est relevée, a fait quelques pas pour aller ramasser sa culotte, s'essuyer la chatte avec et la renfiler en même temps que sa jupe et son tee shirt.
- Votre bande ? S'est elle étonnée, vous êtes combien dans votre bande ?
- On est tous les deux ...
Elle a éclaté de rire.
- Ah oui d'accord, quand même tout ça ! Mais moi, si je faisais partie de votre bande, je prendrai le commandement, c'est obligé, je suis la plus vieille ...
- Faudrait qu'on vote d'abord ! a rétorqué Max, alors c'est d'accord ?
Elle a enfourché son vélo.
- Ne rêvez pas, les gars ! Allez, je vous laisse, salut et merci !
- Et tu reviens quand tu veux, lui a lancé Maxime ... et quand elle a été hors de vue, il s'est tourné vers moi.
- Tu te rends compte Matthieu ? Si elle disait oui ? Je rêve de lui glisser un doigt dans son cul tout merdeux, et de la baiser après, pas toi ?
- Si, aussi, mais elle a raison, tu sais, faut pas rêver, les filles c'est pas dégueu comme les garçons ! Elle ne dira jamais oui, et je suis sûr qu'elle ne reviendra pas ..
- Ouais, peut être, c'est dommage ! a t-il soupiré.
Quelques jours se sont écoulés depuis l'intermède Laura, intermède, puisqu'elle n'est pas revenue, la belle, de même le père François qui semble lui aussi nous avoir oublié. Alors, nous avons repris nos activités d'avant qu'ils n'entrent dans nos vie et n'en sortent aussi vite ; pêche, baignade, bagarres pour rire et aussi, sexe ! Mais, sans se l'avouer, nous n'attendions qu'une chose, en fait, le retour de notre belle !
En vain.
Donc, aujourd'hui, on prenait le soleil, comme disent les vieux, allongés sur l'herbe près de l'eau tout en chassant les moustiques, quand Maxime s'est tourné vers moi.
- Au fait, Matthieu, l'autre jour, tu ne m'avais pas parlé d'un plan spécial ?
- Bien sûr, mais avec tout ça, j'avais presque oublié ...
- Alors, racontes, c'est quoi ?
Je n'ai pas le temps de lui dire puisqu'un coup de sonnette nous fait tourner la tête ; c'est Laura qui déboule sur son vélo.
Elle s'arrête, pose un pied à terre, toute contente.
- Alors les Mat Max, surpris de me voir, hein ?
Ça, elle peut le dire ! C'est ce que je lui dis.
- Surpris, et surtout contents que tu soit revenue ! Qu'est ce qui t'amènes ?
Elle descend de sa bicyclette, ce qui me permet de constater qu'elle porte une culotte blanche, et vient vers nous ...
- Je veux bien faire partie de votre bande, à condition de commander, mais aussi de lui donner un but ...
- Et ce serait quoi, d'après toi, ce but ? L'interroge Max, plutôt sceptique
- Je ne sais pas, par exemple ... agir pour l'environnement ...
Max a soupiré
- Il parait qu'il y a déjà des écolos pour ça, mais bon, ça n'empêche pas de le faire aussi, à notre niveau ...
Et puis il m' a regardé pour me demander mon avis, je lui ai fait signe que j'étais d'accord ...
- Alors c'est bon, dit Max, à condition que tu remplisses la condition nécessaire.
- Il faut que je chie, c'est ça ?
- C'est ça !
- C'est bon pour l'environnement, ça ? Vous êtes vraiment cracra, tous les deux ! Mais ça ne me dérange pas ; bon, je me mets où ?
On se relève, je lui prends la main.
- Viens par là
Elle me suit en me serrant la main, hum, c'est bon, ça !
- Voilà, ici, c'est bien.
- Je retire ma culotte ?
- Oui, si tu veux, et tu peux me la confier...
Elle la retire, une belle blanche au toucher soyeux, me la tend et s'accroupit.
- Tournes toi et lève toi un peu, Laura, lui demande Max qui est déjà en train de se caresser la bite, sinon on profite pas bien ...
On a profité.
Elle a chié, un étron long comme une saucisse, ce qui nous a valu à coup sûr la plus grosse érection de l'année. puis elle s'est redressée, nous a regardé, a considéré avec envie nos membres en érection pour venir se mettre tout contre Maxime et lui caresser la bite.
- Hum, ce serait dommage de perdre une belle érection comme la tienne, dis donc ! Et j'ai des capotes dans la sacoche de mon vélo ... mais avant, toi, Matthieu, tu vas me nettoyer le cul ...
- Avec plaisir, ma belle ! Allonges toi !
Elle s'est couchée sur le ventre, je lui ai écarté les fesses et je lui ai léché le cul avec délectation tout en me branlant à travers sa culotte, j'ai même poussé le plaisir à lui pénétrer l'anus avec la pointe de la langue ... il sent la merde, son cul, normal, mais j'aime ça, et à voir la façon qu'elle a d'écarter les fesses, elle aussi ! Et puis Maxime est revenu avec ses capotes et il se sont éloignés un peu pour baiser ... Moi, j'ai joui dans son slip, après m'être essuyé la bouche avec, laissant quelques traces brunes sur le tissu ... elle ne va sans doute pas apprécier, la belle Laura, mais je m'en fous, après tout, c'est elle qui l'a voulu ...
En tout cas, tout cela nous promet de bons moments, à trois, jusqu'à la fin de l'été ...
Fin