Ce sont certaines filles du collège qui nous ont surnommés comme ça. Les idiotes ! Pourquoi ? Parce que je m'appelle Matthieu et que mon copain, c'est Maxime, et comme nous sommes toujours ensemble, et que depuis longtemps, nous nous appelons par nos diminutifs, évidemment, il s'en est trouvée une pour nous trouver un surnom : les Mat Max ! Il parait que cela fait référence a un film de science fiction avec un policier vengeur, c'est peut être bien, mais je l'ai jamais vu, Maxime non plus ; n'empêche, cela ne me déplairait pas de jouer les vengeurs, mais plutôt masqué, façon Zorro !
Que nous soyons copains, moi et Maxime, c'est normal, et ça n'a rien d'étonnant, en fait, nous sommes voisins et on fait presque tout ensemble depuis l'école maternelle, alors forcément, ça crée des liens. Physiquement, Maxime et moi, on est sensiblement de la même taille, pas loin d'un mètre cinquante et on se ressemble un peu, il paraît, sauf que lui a les cheveux châtain clair avec des taches de rousseur, et moi châtain foncé, même très foncé. Notre âge, j'ai douze ans, lui treize, vingt cinq à nous deux, et c'est marrant parce que vingt cinq, c'est justement le numéro de la maison ou j' habite.
Quand il fait beau, le mercredi, on va à la pêche, à bicyclette. Pas très loin, en fait, dans un étang appartenant à son oncle, à une centaine de mètres du village. On y est tranquilles, puisqu' à l'entrée, il y a une barrière qui ferme avec un cadenas. Il nous arrive même d'y passer la journée en improvisant un pique nique avec les provisions piquées dans le frigo, ce qui a pour effet de faire hurler ma mère à chaque fois que j'en remplis mon sac.
C'était le cas ce mercredi là, avec un magnifique ciel bleu et une chaleur estivale. Après avoir mangé le saucisson, un quart de camembert, et une quantité invraisemblable de biscuit, le tout arrosé d'une boisson pétillante, et sans alcool, bien connue, nous étions allongés sur l'herbe pour une sieste au soleil, tout en surveillant nos lignes. Quand Maxime me tira par le bras.
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Je me suis redressé. Effectivement, en tendant l'oreille, on pouvait percevoir quelque chose qui ressemblait à des gémissements, ou des plaintes ...
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Nous y sommes allés, et on a vu, de l'autre coté de la haie qui limite la propriété, bien cachés dans notre abri anti atomique, c'est comme ça que l'on appelle notre cabane qui nous permet de regarder les oiseaux sans être vus. un couple, couché l'un sur l'autre, à trois mètres de nous. En fait, le garçon était sur la fille qui avait la jupe relevée et les jambes en l'air. Et c'est elle qui poussait les soupirs et les plaintes que nous avions pris pour des gémissements, pendant que son partenaire s'activait sur elle en la traitant de salope et de putain, ce à quoi elle répondait que oui, à la vache c'est trop bon ! Avec Maxime, on s'est regardé, surpris et hilare à la fois.
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Il m'a regardé avec un drôle de regard, un petit sourire au coin des lèvres, et il a attendu un peu avant de me répondre.
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Et puis les deux amoureux, qui avaient fini de bien faire, se sont relevés pour se rajuster. Le garçon qui ne devait pas avoir plus de seize ans était quelconque, mais la fille, du même âge, un peu boulotte, était mignonne. Après avoir frotté un peu leurs vêtements, ils se sont pris par la main et puis sont partis à travers les taillis, du côté opposé où nous étions.
Nous sommes restés un moment, sans rien dire, encore ébahis, et tout émoustillés par la scène à laquelle nous venions d'assister. C'est Maxime qui a parlé le premier.
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Il a posé sa main sur la mienne, je l'ai laissé faire. parce que au fond de moi, il me semblait que j'avais envie d'être toucher par quelqu'un. Son contact redoubla mon état d’excitation.
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Me branler ? Je ne l'ai encore jamais fait ! Il m'arrive de me caresser quelquefois, mais cela ne va jamais plus loin, j'ose pas, en fait ! Mais, ça bien sûr, je lui ai jamais dit, d'ailleurs ensemble, on a jamais parlé de sexe ; j'ai éludé sa question.
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Le samedi, nous sommes retournés à l'étang, ce qui est rare, puisque en principe, nous n'y allons que le mercredi. Et là, sans concertation, nous sommes allés directement là où nous avions vu nos amoureux faire l'amour. Bien sûr, il n'y avait personne, mais de revoir cet endroit et de repenser à ce que nous avions vu à fait naître en moi, en nous, un nouveau début d'excitation. Et puis, au moment où nous allions partir, nous les avons entendu. Ils riaient fort, surtout la fille et qui disait à son compagnon
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Et lui répondait
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La fille a relevé sa jupe, baissé sa culotte et s'est accroupie pendant que le garçon dégrafait son pantalon et commençait à se masturber. La fille interrogea son compagnon.
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Avec Max, nous nous sommes regardés complètement éberlués
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Pourquoi j'ai cherché sa main à ce moment là, je ne sais pas, l'excitation, sans doute, mais aussi, et surtout, le désir secret de me retrouver dans la même situation, faire comme eux ...
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Mais cela a été très vite, en fait, et puis les deux se sont éloignés un peu pour se coucher dans l'herbe mais hors de notre vue. Je me suis tourné vers Maxime.
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Je n'ai pas cherché à me dégager, j'ai simplement accentué la pression de ma main sur la sienne.
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Alors, encore tout excités par la scène à laquelle nous venions d'assister, nous les avons laissés à leurs étreintes pour retourner à nos cannes à pêche.
Et, un peu plus tard, alors que nous étions allongés, tout près de l'un de l'autre, à nous dorer au soleil, Maxime s'est tourné vers moi
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Il a soupiré
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Et puis, il m'a regardé, l'air vaguement songeur ...
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Alors, nous nous sommes replongés dans notre farniente au soleil jusqu'à ce qu'il se tourne à nouveau vers moi.
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Fille ou garçon, on dirait qu'il a vraiment envie de tout le monde, Maxime ! Si ça continue, il va me demander de lui montrer mon zizi ... Est-
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Mais là, j'ai senti monter en moi comme une certaine gêne, alors pour couper court, j'ai jeté un coup d’œil sur ma montre.
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En fait, je suis sûr qu'il ne demandait pas mieux, que de m'embrasser, Maxime, je l'ai vu à son regard, et dans l'état d'excitation dans lequel nous étions, s'il me l'avais proposé, je lui aurais dit oui, je le sais, j'en avais envie aussi ; mais j'ai hésité et j'ai préféré renoncer avec le fallacieux prétexte de l'heure ! Je me suis dégonflé ! Et le soir, dans mon petit lit, en repensant à cette journée, j'ai senti monter en moi l'excitation, accompagnée d'une irrésistible envie de me faire du bien. Alors, sans le vouloir vraiment, ma main droite s'est glissée dans mon slip, s'est posée sur mon zizi, et je me suis caressé le sexe, mes couilles. Le résultat ne s'est pas fait attendre, je me suis mis à bander, et là, j'ai vraiment eu envie d'aller plus loin. J'ai baissé mon slip pour prendre mon zizi entre mes doigts, et j'ai commencer à faire des mouvements, en faisant coulisser la peau sur ma queue bien raide, comme des des aller et retour, et puis, ça c'est fait naturellement, j'ai accéléré le mouvement, de plus en plus vite, pendant que des images me passaient dans la tête, dans un désordre indescriptible, nos amoureux bien sûr, et aussi Maxime, des images de filles nues, et puis dans un spasme, un flot de liquide épais à giclé de mon zizi, en trois fois, pour se répandre sur ma poitrine : mon sperme ! Pour la première fois de ma vie, je venais d'éjaculer ! Waouh ! Trop bon ! Au fait, est -
Le mercredi, nous sommes partis à l'étang plus tôt que d'habitude, et après avoir rangé nos vélos et préparé nos lignes, nous sommes bien sûr allés voir à notre abri. Comme samedi, il n'y avait personne, nous étions d'ailleurs un peu fous de croire que nos amoureux reviendraient ici pour s'envoyer en l'air, certainement que c'était sur le coup d'une envie soudaine qu'ils étaient venus dans cet endroit. Bien sur, depuis l'autre jour, je n'avais pensé qu'à ce moment ou nous nous retrouverions ici, pour voir si Maxime allait revenir sur notre conversation interrompue, par moi, de l'autre jour, ou s'il avait oublié. Mais ce n'était plus tout à fait pareil, à travers ma découverte de la masturbation, je ressentais de plus en plus l'envie de baiser avec quelqu'un, et bien sûr tout mon être tendait vers Maxime. De son côté, lui me regardait différemment, un peu comme s'il avait deviné mes pensées secrètes et qu'il attendait qu'il se passe un truc ... et puis, j'avais toujours en tête la vision de cette fille faisant caca devant son type ! Est-
Et pour cela, il m'était venu une idée, pas très reluisante, j'avoue.
Cela faisait une vingtaine de minutes que nous étions allongés dans l'herbe, sur le ventre et sous une chaleur étouffante, à surveiller nos lignes et à parler de tout, mais pas de ce que nous attendions sans oser le dire. Nous étions mis torse nu, en gardant juste nos bermudas. Mais aujourd'hui, j'étais décidé a rattraper mon hésitation de l'autre jour, et j'étais prêt à tout pour le faire. J'ai tourné la tête vers lui.
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J'ai senti tout de suite qu'il était intéressé.
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Il s'est redressé en s'appuyant sur un coude et s'est tourné vers moi.
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Aussitôt, il a avancé son visage et m'a tendu ses lèvres, j'y ai posé les miennes pour un baiser à bouche fermée, en fait ...
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Nous avons recommencé, en y mettant la langue, cette fois ; et là, c'est pas du tout pareil ! je j'ai pris par le cou et nous nous sommes roulé dans l'herbe, bouche contre bouche et langues emmêlées, pour un vrai baiser, un baiser d'amoureux. Quand nous avons repris notre souffle, tout excités, nous n'avions plus qu'une idée, aller plus loin dans notre délire amoureux !
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Et nous nous sommes embrassé pour la deuxième fois, toujours avec la même fougue et la même dinguerie amoureuse, peut être même davantage..
Et puis, la bouche encore brûlante de nos baisers, nous nous sommes rallongés côte à côte, main dans la main.
Et puis d'un moment, j'ai éprouvé le besoin, et aussi l'envie, de mettre mon plan à exécution.
Je me suis relevé. Ce qui bien sûr a provoqué une réaction de Maxime.
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Ce n'était d'ailleurs pas un mensonge, puisque je me retenais non sans mal depuis hier. Et tout de suite, j'ai vu son regard s'allumer. Il s'est levé aussitôt;
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Je lui ai souri.
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Et puis, j'ai fait mine de réfléchir un instant
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Je n'ai pas été bien loin, juste à l'abri d'un petit bosquet ; Tout en jetant un œil autour de nous, pour s'assurer qu'il n'y avait personne d'autre que nous, .j'ai dégrafé mon bermuda, devant lui, mais sans le baisser. Déjà là, je suis sûr qu'il était tout excité de me voir commencer à me déshabiller.
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L'idée de faire devant lui, et qu'il me regarde, me faisait déjà bander, comme lui, puisqu'il était déjà en train de se caresser. Je me suis tourné, de façon à lui présenter mes fesses et je me suis accroupi, mais pas complètement.
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J'ai chié, un étron énorme qui n'en finissait pas, et qui failli faire se pâmer d'aise mon copain ! Et puis, sans m’être essuyé, je me suis tourné vers lui.
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Je n'avais même pas idée de ce que cela faisait de se faire enculer, mais j'en avais tellement envie, au fond de moi ! Maxime, lui, n'en croyait pas ses oreilles.
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Je me suis allongé, sur le dos ; il s'est mis à genoux et m'a fait écarter les cuisses au maximum ; et j'ai senti sa bite en train de forcer le passage de mon petit trou, et par petites saccades, il a réussi, non sans douleur pour moi, à me pénétrer entièrement.
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J'ai commencé à me masturber pendant qu'il se démenait comme un diable dans mon trou du cul, et puis, il s'est mis à crier
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On a joui ensemble ! Il est resté un moment en moi, et puis quand sa bite à commencé à ramollir, il est sorti de mon cul.
Il est venu se rallonger près de moi.
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Je l'ai sucé avec délectation, il a léché la mienne, et puis, sommairement nettoyés, nous avons renfilé nos bermudas pour rejoindre nos cannes à pêche, en laissant derrière nous un bel étron, et en se faisant la promesse d'inverser les rôles la prochaine fois.
LES MAT MAX
Part 1 Par Chilou (mb, gays only, anal, oral, masturbation, scat soft)