Bonjour, voilà une petite histoire plaisante ( pour moi ) qui m'est arrivée il y a maintenant une quinzaine d'années. J'avais quatorze ans à l'époque, et déjà j'étais attiré par le caca culotte, et il m'arrivait donc, occasionnellement, de faire dans mon slip. En toute discrétion, bien sûr, sauf la première fois ou j'ai raconté à ma mère que j'avais eu un "accident", mais après, personne n'a jamais été au courant de mon petit travers, je gérais tout seul mes caca culotte. Il faut que je dise aussi qu' à l'époque, j'étais davantage attiré par les garçons que par les filles ; c'est une autre histoire, mais qui a quand même son importance dans mon récit. J'avais pour ami un gentil garçon, Louis, il avait douze ans à ce moment là, et nous passions beaucoup de temps ensemble, que ce soit au collège ou chez nous le mercredi après midi, pour disputer des parties de jeux vidéos à n'en plus finir.
Et donc, cette semaine là, maman nous avait informé, papa et moi, qu'elle allait se rendre pour le week-
Et le samedi, nous nous sommes donc retrouvés tous les deux, chez moi, sans contraintes parentales, scotchés à la console et à nos manettes. Seulement, une partie qui commence, on ne sait jamais quand elle va finir, on se donne à fond, surtout pas laisser l'adversaire prendre le dessus, et ça dure, une heure, une heure trente, jusqu'à ce que tout à coup, Louis devienne tout rouge en même temps qu'une mauvaise odeur ne parvienne jusqu’à nos narines ... je me suis tourné vers lui, un peu étonné
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Je l'ai regardé, il était écarlate.
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Il était un peu perdu, du coup, Louis , ne sachant plus trop quoi faire. Il s'est levé, a posé sa manette. Une larme a coulé sur sa joue.
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Mais pour l'instant, je m'en foutais, de la partie, car il était en train de se passer un truc, c'est que j'étais en train de bander, oui, ça parait à peine croyable, mais" l'accident " de mon copain, loin de me contrarier ou de m’écœurer, au contraire, m'excitait ! d'ailleurs je ne faisais même pas attention à l'odeur ! Et je me rendais compte que d'avoir fait dans son slip, il me faisait presque envie ... mais lui, par contre, il n'était pas bien du tout, il en pleurnichait.
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Il était tellement mignon, Louis, et il avait l'air si désemparé, que j'étais obligé d'en sourire ; bon, je ne pouvais évidemment pas le laisser comme ça, sinon, il allait me faire une crise de larmes ...
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Mais loin de le rassurer, au contraire, ma proposition sembla le désoler encore plus.
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Il avait l'air complètement perdu, Louis, en pleine panique, ne savait plus trop ce qu'il devait faire ... et j'ai compris alors que quand il avait un "accident", il s'en remettait entièrement à sa mère, d’où bien sûr la colère de celle ci ... et peut être même qu' elle en est encore à le frotter dans son bain !
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L'idée m'était venue, comme ça, sans réfléchir ! Et puis, moi qui rêvait d'avoir une relation scato avec quelqu'un, j'étais servi, et avec Louis, en plus ! Mon cœur battait à cent à l'heure ...
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Il m'a suivi, penaud, tout en pleurnichant, d'une démarche un peu empruntée. Évidemment, il m'a laissé faire. J'ai donc commencé par le débarrasser de son short en jean, heureusement indemne de toutes salissures, puis de son slip, un petit blanc avec un bandeau noir à la ceinture, sur lequel, avant de le baisser, mes mains se sont un peu attardées et j'avoue que j'ai pris plaisir à en tâter le fond ! Un vrai bonheur ! Bien tartiné, le slip, d'une belle merde un peu molle juste qu'il fallait pour me faire bander, en fait, au point que je ne faisais même plus attention à l'odeur, et qu'il n'en serait pas fallut de beaucoup pour que je jute spontanément ! N' empêche que je m'étais peut être avancé un peu trop vite en ce qui concerne le nettoyage, il y avait du boulot !
J'ai nettoyé son slip au dessus des toilettes, grossièrement, et puis je me suis occupé de mon copain, en me plaçant derrière lui, j'y ai mis tout mon cœur, à grand renfort d'eau et de pq, puis bien frotté avec une éponge, la même qui me sert quand ça m'arrive. Il m'a laissé faire, sans bouger, soumis à ma volonté, avec un semblant de sourire désolé. Il n'a pas bronché quand j'ai insisté sur son anus, dans lequel j'aurai bien glissé un doigt, mais il s'est quand même étonné, tout en reniflant, quand je me suis attardé plus que de raison sur ses bourses et sa petite bite au repos, alors que la mienne était en train de se raidir dans mon jean :
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Et puis, pour finir, il a eu droit à une caresse bien appuyée sur ses fesses bien propres. J'aurais bien fait plus, mais vraiment, ce n'était pas le moment.
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Il a renfilé son short en séchant ses larmes et nous avons regagné ma chambre après avoir laissé la salle de bain aussi propre qu'elle était à notre arrivée. En tout cas, il n'en revenait pas, Louis, que je j'aie pu faire ça pour lui, et n’arrêtait pas de se confondre en remerciements. On s'est assis sur le bord du lit, côte à côte ; je lui ai pris la main.
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Il a levé sur moi de grands yeux étonnés,
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Il m'a regardé hébété
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Il a secoué la tête avec véhémence.
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Je crois que je vais devoir tout lui apprendre, à mon petit copain, et ce n'est pas fait pour me déplaire ...
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Il a fait non de la tête, puis m'a interrogé, l'air pensif
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Il en était tout ragaillardi, Louis, ce n'était plus du tout le petit garçon un peu perdu de tout à l’heure.qui faisait peine à voir .. Toujours assis sur le bord du lit, il s'est penché légèrement en arrière en s'appuyant sur ses bras et a écarté les cuisses.
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Il s'est exécuté pendant que j'allais récupérer son slip merdeux dans la salle de bain. Ensuite, nous nous sommes allongés cote à cote sur le lit, et pendant que je masturbais à travers son slip, et après l'avoir bien mouillé avec ma salive, j' ai glissé mon index dans son cul et je l'ai ramoné comme un malade. Il a bien tenté de se dégager, mais très vite, il s'est abandonné pour me laisser faire.
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J'aurais bien remplacé mon doigt par ma bite, mais j'ai pensé que c'était peut être un peu trop tôt pour lui, et puis, de toute façon, je venais de jouir dans son slip, lui aussi d'ailleurs, tout étonné de voir jaillir quelques gouttes d'un sperme très clair de sa bite raidie, sans qu'il ait eu besoin de se branler.
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Il m'a sourit, s'est laissé tombé sur le lit.
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Il a pris ma main, l'a serrée.
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C'est vrai qu'il sentait quand même un peu.
Il s'est levé, a récupéré ses affaires et s'en est allé sur un signe de la main, pendant que j'étais déjà en train de rêver aux bons moments que nous allions pouvoir passer ensemble.
LOUIS ET MOI
Par Chilou (mb, gays only, anal, masturbation, scat soft)